Aller au contenu
Rechercher dans
  • Plus d’options…
Rechercher les résultats qui contiennent…
Rechercher les résultats dans…

Max|mum-leterrarium

Membres
  • Compteur de contenus

    12 143
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par Max|mum-leterrarium

  1. Inde : des analyses ADN pour condamner les trafiquants de venin de serpent Le braconnage de serpents pour leur venin est en pleine recrudescence en Inde. Pour lutter contre ce trafic, les autorités reçoivent l'aide de scientifiques pour déterminer si oui ou non le venin provient d'une espèce protégée. Une preuve qui leur permet de condamner les trafiquants. Le trafic de venin serait en hausse dans le pays, selon les autorités indiennes dans le Kerala. La substance rapporte gros mais elle est prélevée en majorité chez les espèces en voie de disparition comme le cobra. "Le braconnage et le commerce illégal de serpents et autres reptiles est un énorme problème dans l’Asie du sud. Ce sont des animaux convoités pour leur viande et leur peau, et qui sont utilisées dans la médecine traditionnelle", a expliqué Richard Thomas de l’organisation Trafic. Une fois prélevé, le venin est alors revendu au marché noir comme drogue. Ainsi, les autorités indiennes ont saisi il y a peu 600 grammes de venin d’une valeur de 300.000 euros. La substance provenait d'un naja, une espèce de cobra chez qui il est particulièrement difficile d'extraire le venin. D'où le prix. Selon Bill Haast, ancien directeur du Serpentarium de Miami cité par Good-planet.info, il faut 69.000 prélèvements de venin pour remplir une pinte. Face à l'ampleur qu'a pris le phénomène, les autorités ont donc décidé d'agir mais il est difficile de condamner les trafiquants quand on ignore si le venin vient ou non d'une espèce protégée. Du moins, c'était le cas jusqu'à ce que les scientifiques ne fournissent un coup de pouce. En effet, ceux-ci peuvent déterminer si le venin prélevé provient d’une espèce protégée ou non en comparant les ADN présents dans les échantillons. Ainsi, des prélèvements de venin ont été récemment envoyés au Centre pour la biologie cellulaire et moléculaire d'Hyderabad et ont permis de démontrer que la substance provenait bien d'un cobra indien, espèce protégée. Les contrebandiers mis en cause dans l'affaire ont pu être accusés de chasse illégale et de trafic d'animal protégé. Ils risquent jusqu’à trois ans de prison. Source
  2. Porto-Rico : Face à l’invasion… des exportations de viande d’iguane vert Introduit il y a 20 ans sur l’île caribéenne, l’iguane est accusé de ravager les récoltes, de provoquer des coupures de courant et même de retarder les avions. En encourageant l’exportation de sa viande, l’État tente de contrôler la prolifération de cette espèce invasive. affirme Umberto Vásquez, l’un des dirigeants de Best Iguana Puerto Rico Meat. Cette entreprise portoricaine au nom évocateur commence, dès mars 2012, l’exportation de la viande d’iguane vers les États-Unis et d’autres pays d’Amérique. L’objectif est d’enrayer la reproduction effrénée de cet envahisseur, introduit il y a 20 ans depuis l’Amérique centrale, qui ne possède aucun prédateur sur l’île de Porto Rico. Grâce à cette mesure, le département des ressources naturelles et environnementales (DRNA) espère pouvoir réduire la population d’iguanes verts de 80 % à moyen terme. Coupures de courant, nids-de-poule et perturbations aériennes Au fil des ans, le comportement de cet envahisseur a fini par provoquer la colère des habitants. Le journal la Primera Hora rapporte que l’iguane vert a pris la fâcheuse habitude de s’installer dans les transformateurs électriques et de cheminer sur les câbles à haute tension, provoquant des coupures de courant à répétition. Lorsqu’il ne se dore pas au soleil sur les pistes de l’aéroport international de l’île, il aime aussi construire son nid sous les autoroutes et a provoqué l’apparition d’une multitude de nids-de-poule sur l’ensemble du réseau routier. La chasse est ouverte Umberto Vásquez et son équipe se disent prêts à commencer la chasse et expliquent que le reptile se rencontre fréquemment dans les parcs et les jardins de toutes les zones urbaines portoricaines. Selon lui, il existe un véritable marché pour ce produit particulier, que les américains ne sont pas les seuls à apprécier. La viande d’iguane est également populaire dans d’autres pays d’Amérique centrale comme le Salvador, le Panamá ou la Colombie. Par ailleurs, la peau des animaux est très appréciée des maroquiniers et sert à la confection de nombreux articles. Source
  3. Vipère à fossettes des forêts; encore une première européenne au Vivarium! Le Vivarium de Lausanne expose en première européenne la vipère à fossettes des forêts (Bothriopsis taeniata). Cette vipère vit dans les forêts équatoriales de l’Amérique du sud et on la trouve surtout dans les arbres. Les mâles mesurent environ 1 mètre, tandis que les femelles peuvent facilement atteindre les deux mètres. Un serpent magnifique à voir absolument! Source
  4. Le plus petit caméléon au monde découvert près de Madagascar Une espèce de caméléons plus petits que le bout d’une allumette a été récemment découverte sur Nosy Hara, un îlot au large de Madagascar. Brookesia micra est dorénavant la plus petite espèce de caméléons au monde. Le spécimen, a été découvert sur Nosy Hara, un îlot au large de Madagascar, lors d’une expédition destinée à répertorier des petits reptiles qui jusqu’à présent n’ont jamais été décrits. Frank Glaw, herpétologiste au Museum d’Histoire Naturelle de Munich et directeur de l’opération, confie à OurAmazingPlanet que outre son expérience et celle de ses collègues l’équipe a eu aussi "beaucoup de chance" de tomber sur B. micra ainsi que trois autres espèces de minuscules caméléons identifiés au cours de leurs excursions. Pour parvenir à cette prouesse, les chercheurs ont parcouru de nuit l’île en utilisant des projecteurs et des lampes torches. Les petits caméléons sont en effet plus facilement repérables le soir car ils s’accrochent sur des branches pour y dormir. "On les trouve généralement à 10 centimètre du sol", explique Frank Glaw. Si la recherche des petits reptiles s’avère une tâche ardue, forte heureusement, une fois ils ne sont pas difficiles à attraper une fois repérés. "Comme ils dorment, vous pouvez simplement les ramasser. Ils ne bougent pas du tout la nuit. C'est comme la cueillette de fraises" ironise le chercheur. Les observations publiées dans la revue en ligne PLOS ONE, le 15 février, décrivent B. micra comme un petit caméléon atteignant en moyenne 30 millimètres de long à l’âge adulte, quelque soit son sexe. Selon Frank Glaw, la nouvelle espèce représente la limite de la miniaturisation possible. Le mini caméléon ne détrône toutefois pas le record du plus petit vertébré détenu par Paedophryne amauensis, une grenouille de 7,7 millimètres de long. 
L’enthousiasme engendré par la découverte aura toutefois été de courte durée. Les experts ont déjà averti que deux des espèces découvertes sont extrêmement menacées en raison de la perte de leur habitat engendré par la déforestation à Madagascar. Source
  5. De nouvelles pensionnaires au Musée Océanographique de Monaco Agées de 5 à 30 ans et pesant une quarantaine de kilos les cinq tortues sillonées (originaire d'Afrique Subsaharienne, c'est la 3ème plus grosse tortue terrestre au monde après la tortue des Galápagos et la tortue géante des Seychelles.) seront visibles à partir du mois de mai. L'occasion pour les visiteurs de découvrir cette espèce protégée par la convention de Washington, dans un nouveau cadre totalement aménagée, sur la terrasse offrant également des jeux pour les enfants et un espace détente pour les familles. Le Musée Océanographique de Monaco poursuit ainsi sa lutte pour la protection des tortues, qu'elles soient terrestres ou marines. Source
  6. Elle trouve ça loin St-Jean-sur-Richelieu. Ça va finir par Max ramène moi le après le show de St-Jean j'ai l'impression
  7. Coït interrompu On n'aime qu'une fois, chez les mâles Nephilengys malabarensis. Ces araignées font face à un dilemme crucial: être dévoré tout cru après l'amour, ou sacrifier leur sexe et avoir une chance de rester en vie... Il la regarde amoureusement. Courage, se répète-t-il. Nerveux, il avance précautionneusement: un gentleman n'effarouche pas sa dulcinée, surtout lorsqu'elle fait 10 fois sa taille. Ils échangent un regard complice. Elle veut! Sans faire ni une ni deux, il escalade son abdomen et, dans un moment indicible d'exaltation, insère tendrement son bulbe reproducteur dans l'épigyne de sa compagne. La culmination de toute une vie. Mais la relation à peine entamée, la dame y met fin en des termes on ne peut plus clairs. «Je n'avais pas terminé», pense-t-il, incrédule, pendant que sa compagne dévore ses entrailles. Alors que l'étincelle de vie vacille dans ses huit yeux, un dernier regret effleure l'esprit de l'araignée: coït interrompu. Tragédie après tragédie, les Nephilengys malabarensis mâles une espèce d'araignée notamment présente en Afrique et en Océanie ont dû céder aux arguments et aux dents de leurs bien-aimées. La politique du coït interrompu chère à ces dames est une manière de s'assurer que plus d'un mâle féconde ses oeufs: seul le tiers du sperme d'un mâle est transféré avant que l'arachnide ne soit mangé. Une plus grande variété de matériel génétique donne de meilleures chances de survie à l'espèce. C'était sans compter l'obsession de l'évolution et des hommes pour le sexe. Pour éviter l'interruption importune, les mâles ont trouvé la solution parfaite: l'ablation des organes génitaux pendant la copulation. Selon des chercheurs de l'Université nationale de Singapour, cités dans le plus récent numéro de la revue scientifique Nature, les Nephilengys malabarensis coupent leur bulbe copulateur dès son insertion dans l'épigyne de la femelle afin que le transfert de leur sperme se poursuive au moment où ils s'emploient à échapper aux avances charnelles de leur amoureuse. Mais les avantages ne s'arrêtent pas là. Les Nephilengys malabarensis sont jaloux de leur femelle, et le bulbe copulateur détaché joue aussi le rôle de ceinture de chasteté. Impossible pour un autre mâle de féconder une femelle qui a un bulbe implanté dans l'épigyne. Surtout pendant que les eunuques veillent au grain et attaquent férocement tout prétendant. Leurs bijoux de famille sacrifiés, ces araignées n'hésitent pas à combattre à mort. Elles n'ont littéralement plus rien à perdre. Source
  8. L’employé de l’animalerie revendait les serpents Un employé de l’animalerie Maxizoo est soupçonné d’avoir dérobé des reptiles et du matériel du magasin pour les revendre. Le préjudice est estimé à plus de 20000 €. Un varan, un python ou même un boa… Un vendeur d’une animalerie de Montigny-lès-Cormeilles est soupçonné d’avoir revendu des reptiles en douce, sur le parking même de son employeur. Les policiers du commissariat d’Herblay ont mis un terme à son petit marché parallèle. Un premier bilan fait état d’un préjudice de plus de 20000 €. L’affaire débute au moment de l’inventaire. Les dirigeants de Maxizoo, une grande animalerie installée le long de l’ex-N 14, découvrent qu’il manque plusieurs dizaines de milliers d’euros dans la caisse. En regardant de plus près, ils ont compris qu’il y avait un souci dans le rayon des reptiles. En poste depuis un peu plus d’un an dans le magasin, Kevin, 23 ans, est rapidement soupçonné. Une plainte est alors déposée par le responsable régional de la chaîne pour faux et usage de faux (des factures auraient été maquillées) et vol. Dix-huit reptiles sont saisis Jeudi matin, les policiers d’Herblay placent le jeune vendeur en garde à vue. Avec le concours des agents de la DDPP (les services vétérinaires de la préfecture) et d’un conseiller technique en risque animalier, un pompier du Val-d’Oise spécialiste des reptiles, ils découvrent lors des perquisitions au domicile du vendeur, à Jouy-le-Moutier, tout un rayon d’animalerie, des vivariums. En tout, dix-huit reptiles sont saisis, dont trois pythons royaux, deux caméléons panthères, un varan, un boa arc-en-ciel, un boa constrictor, deux pythons verts, des élaphes (des serpents qui vivent aux Etats-Unis et qui peuvent atteindre 2 m)… Kevin ne disposait d’aucun document obligatoire pouvant attester que les animaux, des espèces protégées, sont bien nés en élevage dans l’Union européenne. Il n’a pu présenter aucun justificatif. L’enquête doit permettre de déterminer quels sont les reptiles qui lui appartiennent et ceux susceptibles de venir du magasin. Le jeune vendeur est en tout cas suspecté d’avoir revendu des animaux sur le parking de l’établissement, après les avoir fait sortir des vivariums. Il aurait également revendu de la nourriture, des matériels comme des incubateurs ou des terrariums. Lorsqu’il avait un serpent qui mourait chez lui, il rapportait aussi discrètement le cadavre au magasin et repartait chez lui avec un autre reptile bien vivant. Kevin a été remis en liberté à l’issue de sa garde à vue dans l’attente du rapport d’expertise qui doit être rendu par les agents des services vétérinaires. Source
  9. Une nouvelle espèce de gecko découverte en Australie Décrivant leur découverte jeudi 9 février sur le site de la revue Zootaxa, des chercheurs américains et australiens ont recensé une nouvelle espèce de gecko, un minuscule lézard, dans une île du nord-ouest de l’Australie. Un corps de 4,51 centimètres de longueur, plus 5,3 centimètres pour la queue, des doigts repliés et un poids de seulement 2,5 grammes : Cyrtodactylus kimberleyensis, une nouvelle espèce de gecko, vient d’être décrite par le Dr Aaron Bauer, de l'Université Villanova (Pennsylvanie) et le Dr Paul Doughty, du Western Australian Museum. Ceux-ci en ont découvert le premier spécimen – une femelle, porteuse d’un œuf unique de 9,4 x 5,3 millimètres – sur l'île d’East Montalivet, sur la côte nord de la région du Kimberley, en Australie occidentale. "La nouvelle espèce est l’une des plus petites du genre Cyrtodactylus, dont elle est le premier représentant connu en Australie occidentale. L’île d’East Montalivet est à plus de 30 km au large de la côte, au nord du Kimberley, ce qui en fait l'une des îles les plus isolées de cette région", ont précisé les chercheurs cités par Sci-news.com. "La découverte d'un Cyrtodactylus à un tel endroit est particulièrement surprenante, étant donné qu’aucun reptile de ce genre n’est connu sur la partie continentale du Kimberley, voire sur toute zone au sein de l'Australie, en dehors du nord du Queensland, situé de l'autre côté du continent", ont-ils encore ajouté. Source
  10. Le venin de cobra utilisé pour lutter contre le trafic L’ADN du venin de serpent est utilisé pour lutter contre le trafic de venin des espèces protégées. La signature génétique du venin permet de déterminer si l’espèce d’origine est une espèce concernée par des mesures de protection. Selon les autorités indiennes, le trafic de venin est de plus en plus répandu. Cette substance, prélevée sur le cobra Indien, est revendue sur le marché noir comme drogue. Selon The New York Times, la police indienne a récemment saisi 600 grammes de venin pour une valeur estimée de 400000 dollars. Le venin de naja (une espèce de cobra) est particulièrement difficile à extraire ce qui explique son prix. Selon Bill Haast, ancien directeur du Serpentarium de Miami, il faut 69000 prélèvements de venin pour remplir une pinte. « Le braconnage et le commerce illégal de serpents et autres reptiles est un énorme problème dans l’Asie du sud. Ce sont des animaux convoités pour leur viande et leur peau, et qui sont utilisées dans la médecine traditionnelle », ajoute Richard Thomas de l’organisation Traffic. Le venin d’espèces non protégées est lui couramment utilisé dans l’industrie pharmaceutique notamment dans la fabrication de sérum anti-venin. Source
  11. Iguane, python géant et chat domestique : ces espèces invasives qui menacent la biodiversité Introduites plus ou moins volontairement par l'homme, les espèces invasives représentent une menace pour les écosystèmes dans lesquels ils se développent en absence de prédateurs naturels. Elles envahissent l'espace et deviennent nuisibles pour les espèces indigènes dont certaines sont déjà menacées. Les iguanes envahissent Porto Rico Bien que la plupart des espèces d'iguanes soient menacées en Amérique latine, le reptile envahit l'île de Porto Rico. Introduit par l'homme dans les années 1970, ils sont désormais quatre millions d'individus à arpenter ce territoire situé entre l'océan Atlantique et la mer des Caraïbes, compliquant sérieusement le quotidien de la population. Les iguanes se terrent sous les immeubles et détruisent les fondations, ils font leurs nids près des centrales entraînant des coupures d'électricité et envahissent les aéroports. Des épisodes qui ont poussé les pouvoirs publics à prendre des décisions drastiques. Ils prévoient d'abattre les reptiles et de revendre leur viande aux Etats-Unis à un prix atteignant 10 euros le kilogramme. Au vu du nombre d'iguanes présents sur l'île et dans un contexte de récession qui touche Porto Rico depuis cinq ans, ce business est plutôt bien accueilli. Dans les Everglades, le python molure décime les populations de mammifères Une étude publiée par le journal Proceedings of the National Academy of Sciences (PNAS) estime que le python molure représente une menace pour la biodiversité du parc national des Everglades, en Floride (Etats-Unis). Ce serpent constricteur géant originaire d'Asie peut atteindre six mètres et demi de long et peser jusqu'à cent quatre-vingt kilogrammes. Introduit sur le territoire américain dans les années 1990, il a depuis envahi ce parc national qui accueille plusieurs espèces protégées. Plus d'une dizaine de milliers de pythons y vivraient aujourd'hui. Selon l'analyse de PNAS, les effectifs de mammifères ont radicalement diminué depuis les années 1990 dans les zones où le reptile a pu être observé. Les populations de ratons-laveur ont reculé de 99,3 %, celles d'opossums de 98,9 % tandis que les effectifs de lynx ont chuté de 87,5 %. D'autres espèces, comme le lapin des marais, ont quant à elles totalement disparu. A contrario, là où le python molure n'a pas été introduit, les effectifs de mammifères sont équivalents aux populations recensées dans les années 1990. Même le chat domestique représente une menace pour les écosystèmes D'après une étude britannique, le chat, peu difficile en ce qui concerne la nourriture, serait un prédateur redoutable. Les scientifiques ont mis en relation le taux de prédation de ce petit félin avec le nombre d'individus présents sur le territoire de Grande-Bretagne – environ 8 millions de chats domestiques. En un an, les chats domestiques seraient responsables de la mort de 53 à 63 millions de mammifères, de 25 à 29 millions d'oiseaux et de 4 à 6 millions de reptiles et d'amphibiens. S'ajoutent les dégâts provoqués par les félins errants dont la population est estimée à 800 000 individus. Source
  12. Les escargots géants envahissent le sud de la Floride Après le python, les habitants de Miami doivent faire face à un nouvel envahisseur : l’escargot géant d’Afrique. Alors que l’animal menace l’agriculture de la région, des mesures d’éradication sont déjà en place. Ils sèment la terreur à Miami. Envahissent les jardins et les parcs de la plus grande ville de Floride. Les escargots débarquent, et ils sont énormes. Jusqu’à 20 centimètres de long et 10 centimètres de diamètre. Autant dire qu’ils tiennent à peine dans la main. Actuellement à pied d’œuvre, les inspecteurs du Département de l’Agriculture de Floride ont capturé pas moins de trente-cinq mille escargots géants depuis le début de l’invasion, en septembre dernier. Une habitante de la ville assiégée en aurait même délogé 583 de son jardin ! Mais malgré les efforts déployés pour les intercepter, les escargots se sont rapidement propagés et ont envahi 12 autres zones de la région. Les gastéropodes ont été identifiés comme étant des escargots géants d’Afrique. Nul ne sait comment ils sont arrivés ici, mais ce n’est pas une première : l’animal aurait déjà envahi Miami par le passé, ainsi que la Martinique et la Guadeloupe. Le problème, et l’explication de cette rapide propagation, réside dans l’extraordinaire capacité de reproduction de ces animaux. Outre une très longue espérance de vie, l’escargot géant peut en effet pondre 1200 œufs par an. L’impressionnant mollusque se nourrit de 500 espèces de plantes Mais en plus des désagréments liés à leur passage (filets de baves et autres excréments envahissent les jardins), les escargots géants d’Afrique seraient également dangereux. A travers la présence d’un petit parasite, leur bave pourrait ainsi transmettre une forme non-mortelle de méningite, mais provoquant de violents maux de ventre. Ils représentent aussi une menace pour l’agriculture qui inquiète les autorités. « S’ils s’installaient pour de bon, ils pourraient dévaster l’agriculture », a mis en garde Mark Fagan, porte-parole du Département de l’Agriculture de Floride, sachant que le secteur primaire constitue dans l’Etat la deuxième activité économique après le tourisme. Pas moins de 500 types de plantes et de fruits sont exposés, et les gastéropodes se nourrissent également de l’enduit des murs des maisons, d’où ils puisent le calcium nécessaire à la solidification de leur coquille. Un programme d’élimination a donc été mis en place pour débarrasser Miami de ses nuisibles. Une fois capturés, les escargots sont tués. Si un contrôle de leur prolifération est indéniablement nécessaire, les méthodes employées sont cependant discutables sur le plan moral, les animaux étant plongés dans de l’alcool ou placés dans de la glace afin qu’ils meurent d’hypothermie. Et alors qu’ils sont exterminés aux Etats-Unis, les escargots géants sont élevés en Afrique, prisés qu’ils sont pour leurs protéines, et le fer et calcium qu’ils contiennent. Leur sort varie donc du tout au tout suivant de quel côté de l’Atlantique ils se trouvent. Source
  13. Beaucoup de plaisir était au rendez-vous hier pour cette exposition là. Environ 450 visiteurs ont braver le froid pour venir nous voir pendant que le carnaval de Québec et l'hôtel de glace étaient en activité. J'ai envoyé quelqu'un prendre quelques photos et j'ai pris le temps (pour une fois) de faire le tour moi-même question de prendre quelques clichés. Voici les photos! Guerillamarc m'a fait un tag personnalisé pour l'évènement mais ça n'a mené à rien
  14. Les Alsaciens à la reconquête des zones humides Un « corridor écologique » pour le crapaud vert entre Strasbourg et Ostwald, et la création par une société alsacienne d’une zone humide artificielle à Reims : ce sont deux des premiers projets de préservation de la biodiversité retenus par le ministère de l’Écologie. Le crapaud vert est une espèce menacée d’extinction en Europe. En France, elle n’est présente qu’en Corse, dans le Doubs, en Moselle et en Alsace, et toujours dans des zones de faible étendue. C’est pourquoi la Communauté urbaine de Strasbourg (Cus) juge avoir une « forte responsabilité » dans la sauvegarde de ce batracien. Sous les routes et les voies de tram Elle a donc lancé un projet de « corridor écologique » qui lui permettra de circuler entre deux sites de reproduction, entre Ostwald et Strasbourg. Il s’agit d’un réseau de mares sur plus de 600 mètres, avec la restauration d’un cours d’eau envasé, l’Ostwaldergraben, et des aménagements permettant au crapaud de franchir routes et voies de tramway. Pour financer ces travaux estimés à 375 000 €, la Ville a répondu à l’appel à projet lancé dans le cadre de la stratégie nationale pour la biodiversité. À travers elle, la France s’engage à stopper la disparition des espèces et à restaurer les habitats naturels. Le dossier strasbourgeois a été retenu parmi les 62 lauréats présentés mardi au ministère de l’Écologie. Une enveloppe de 10 millions d’euros leur sera rapidement affectée, permettant de financer la moitié de chaque projet. « Travailler pour la biodiversité n’est pas une dépense de plus, c’est un investissement pour maintenir les services rendus par la nature », plaide la ministre de l’Écologie Nathalie Kosciusko-Morizet. Le travail de purification des eaux usées assuré par un hectare de zone humide, ses plantes et ses micro-organismes, est par exemple évalué entre 2 200 € et 4 400 €, soit la somme qu’il faudrait engager pour les épurer artificiellement, dans des stations. En abondant rapidement 25 millions d’euros dans son Fonds d’investissement pour la biodiversité et la restauration écologique (Fibre), l’État permettra aussi « de maintenir ou de créer de l’activité », se réjouit NKM. La société Sinbio, basée à Muttersholtz, près de Sélestat, en est une belle illustration. 27 emplois chez Sinbio à Muttersholtz Sollicité par la Cus, ce bureau d’études de 27 personnes planche sur un autre projet doté par le Fibre et monté avec Hydreos, le pôle de compétitivité d’Alsace-Moselle : la création à Reims de la plus grande zone humide artificielle de France. D’une surface de 5 à 10 hectares, elle recueillera et traitera les eaux de pluie, mais aussi celles sorties de la station d’épuration de la ville, dont la qualité est médiocre en cas de fortes intempéries. Évalué à 1,5 million d’euros, « ce projet va nous permettre de renforcer notre savoir-faire », se réjouit Grégoire Jost, de Sinbio. Et sans doute d’irriguer les commandes d’une entreprise qui dispose déjà de cinq agences en France. Source
  15. Les serpents de Suisse La Suisse possède un territoire mesurant 41 284,57 km² avec un biotope relativement varié et de nombreux reptiles. Dans ces différents espaces Suisses, on retrouve 8 espèces de serpent avec des populations plus ou moins importantes. - On retrouve la coronelle lisse qui est une espèce assez courante en Suisse. Elle est totalement inoffensive. Vous trouverez une fiche informative à cette adresse : http://serpent.cheloniophilie.com/Fiches/Coronelle-lisse.php - La couleuvre d’Esculape est présente mais de façon localisée. Elle ne possède pas de venin. La fiche informative : http://serpent.cheloniophilie.com/Fiches/Couleuvre-esculape.php - La couleuvre verte et jaune est également présente de façon localisée sur le territoire Suisse. Elle est aussi totalement inoffensive. La fiche sur cette espèce : http://serpent.cheloniophilie.com/Fiches/Couleuvre-verte-et-jaune.php - La couleuvre vipérine est présente mais les populations sont rarissimes dans ce pays. Elle peut être vulgairement confondue avec une vipère (voir les critères de distinction) mais elle ne possède pas de venin. La fiche : http://serpent.cheloniophilie.com/Fiches/Couleuvre-viperine.php - La seule espèce que l’on retrouve en Suisse mais pas en France est la couleuvre tessellée cependant les populations sont très petites et il est rare de pouvoir faire des observations. Fiche sur la couleuvre tessellée : http://serpent.cheloniophilie.com/Photos/Natrix-tessellata.php - La couleuvre à collier est une espèce très courante en Suisse. Elle est totalement inoffensive et très régulièrement observable en milieu naturel. Les informations sur ce serpent : http://serpent.cheloniophilie.com/Fiches/Couleuvre-a-collier.php - La vipère aspic est une des deux espèces venimeuses présente sur le territoire Suisse avec des populations conséquentes. Elle peut être dangereuse pour l’homme en cas de morsure. La fiche sur cette espèce : http://serpent.cheloniophilie.com/Fiches/Vipere-aspic.php - Enfin la vipère péliade est la seconde espèce venimeuse mais qui est présente de façon localisée. La fiche informative : http://serpent.cheloniophilie.com/Fiches/Vipere-peliade.php Source
  16. Plus de 100 kg de viande de tortues saisis, Jacky Bryant rappelle les contrevenants à l'ordre Plus de 100 kilos de viande de tortue verte, de l’espèce « chelonia midias » ont été saisies par les douanes ces jours derniers. Jacky Bryant, ministre de l’environnement tient à rappeler que cette espèce est protégée par la Convention de Washington et par la délibération 90-83 AT du 13 juillet 1990. Il rappelle également que le transport, la détention, la collecte des œufs, la capture à terre ou en mer, la taxidermie, la commercialisation, l’importation et l’exportation sont strictement interdits. Tout contrevenant est passible de sanctions pénales (amende et emprisonnement), assorties de la saisie des moyens de transport et de pêche utilisés. Pour le ministre de l’environnement ces « délinquants » aussi bien pêcheurs que acheteurs ne doivent pas restés impunis, conscients ou pas que les tortues sont menacées d’extinction. D’ailleurs différentes études montrent une diminution constante de ces espèces ces trente dernières années, dûe à une pêche excessive, à l’augmentation de l’activité humaine et à la pollution de nos lagons. Par ailleurs, le ministre tient à féliciter les douanes pour le travail de surveillance, et de contrôle du respect de la réglementation qu’ils effectuent. Le ministre tient à rappeler que si cette espèce ancestralement sacrée venait à disparaître, aucune somme d’argent ne pourra demain la ressusciter ! Source
  17. Les reptiles font leur show à la salle des fêtes Les serpents font peur et en même temps ils fascinent, ils ne laissent personne indifférent… Aujourd'hui, à 17 h à la salle des fêtes, le "Reptile Show" donne une séance de présentation et manipulations de reptiles vivants agrémentées par des explications sur leur physiologie et leur mode de vie. Aider le public à surmonter les peurs non fondées que les serpents inspirent et expliquer les dangers réels que ces reptiles présentent, tel est le but du "Reptile Show". M. Dieter, erpétologue qualifié, présente ses animaux l'un après l'autre, montre par le biais de remarquables manipulations leurs particularités et caractéristiques pendant que la présentatrice fournit tous les renseignements. Une occasion unique de se faire une opinion plus juste sur ses animaux mal-aimés et d'apprendre à reconnaître la vipère et la couleuvre. De la petite couleuvre au python de 6 m de long, puis d'autres mal-aimés au programme tel que bongo, le crocodile, scorpion et mygale. A la fois fascinant et éducatif, ce spectacle inhabituel séduit un public de tout âge. Source
  18. Il y a des amphibiens mais beaucoup moins. Personnellement, j'ai cessé d'en apporter dût à la fragilité des bêtes.
  19. 123 kg de tortue dans un pick-up Deux hommes et une femme sont attendus aujourd'hui au palais de justice en vue d'une comparution immédiate. À l'origine de l'affaire, deux pêcheurs âgés de 42 et 46 ans partent en bateau vers Tetiaroa dimanche vers 7 heures. De retour vers 19 h 30, ils mouillent au quai des pêcheurs du motu de Arue. L'un des deux hommes appelle alors sa compagne pour qu'elle vienne les récupérer directement sur le quai. Celle-ci arrive en pick-up et les deux hommes chargent leur pêche dans la benne du véhicule, bien à l'abri des regards. Mais à la sortie du motu de Arue, au niveau du stade Boris-Léontieff, le pick-up est arrêté par la douane. Son “chargement” : 123 kilos de viande de tortue… l'équivalent de deux animaux. Les douaniers, en collaboration avec la gendarmerie, “attendaient” leurs clients après avoir obtenu des informations sur leurs agissements. Le véhicule a été saisi, ainsi que le bateau des pêcheurs. Et hier soir les deux hommes dormaient à Nuutania. Source
  20. Gabon : Un python terrassé par un homme Libreville, 9 février 2012 (Infos Gabon) – Un homme d’une cinquantaine d’années révolues, plus connu sous le nom de Moudjambo dans le village Ferra, à 12 km de Ndendé, rapporte le quotidien « Gabon Matin », aurait terrassé un python de près de 4 mètres, au terme d’une lutte acharnée. A Ferra, ce genre d’histoire n’intrigue plus personne, tant les habitants de ce regroupement de villages du canton nord du département de la Dola, où vivent près de 109 âmes, sont habitués à écouter et vivre ces faits insolites. D’après une source, les faits remontent en septembre dernier, lorsque Moudjambo, un passionné de la pêche, reconnu dans la localité, se rend le 23 du même mois en matinée au marigot pour tremper son trémail. Bien sûr, tous les pêcheurs connaissent les dangers dans les étangs et marigots réputés poissonneux, surtout qu’en cette période de saison sèche, hommes et femmes remplissent souvent des paniers de poissons divers destinés à la fois à la vente et à l’alimentation familiale. Sur les lieux de la pêche, à un endroit où il s’était frayé le passage paré des branchages au bord, un sixième sens l’invite à relever la tête pour surveiller l’environnement, car généralement, si ce ne sont des serpents, vous avez des fortes chances de croiser un guêpier, un essaim d’abeilles,ou des animaux féroces au repos. A une certaine hauteur se trouvait un python enlacé sur une grosse branche, attiré par le clapotis des poissons qui remontaient à la surface respirer un bol d’air ou happer les petites proies. Une rencontre soudaine transformée en ’’chance’’ pour Moudjambo. Courageux, il met son couteau en poche et se met à grimper sur l’arbre pour affronter ce redoutable reptile. « Mais avec les malices qui sont les siennes, il a repéré la tête du serpent et lui a mis de grosses entailles le long du ventre », a expliqué la source, relatant les faits vécus par le pêcheur. De même, sous l’effet de la douleur, le serpent ne s’est pas laissé faire et, avec une telle vélocité, a enroulé le corps de son ennemi, avant de se retrouver tous au sol, sans lâcher prise. Du coup, Moudjambo s’est retrouvé avec un bras dans la gueule du python âprement mordu. L’humain a continué le fendillement du ventre puis l’a anéanti. Une aubaine en attendant le produit du trémail. Au village, il semble que Moudjambo aurait pour habitude de suivre tout serpent sur ses traces. Et au cours de ce même mois de septembre, il avait tué cinq pythons et non des moindres, selon toujours la source. D’ailleurs, les mauvaises langues disent qu’il utilise des fétiches pour affronter les pythons. « Lui-même parle d’un simple courage d’homme », conclut la source. FIN/INFOSGABON/MM/PK/2012 Copyright Infos Gabon Source
  21. Ces bébés si mignons vont devenir de redoutables prédateurs La nature les a faits si mignons qu’on voudrait les prendre dans nos bras et les câliner. Mais ces petites peluches adorables deviennent, une fois adultes, de redoutables prédateurs. Ils sont généralement les maîtres de leur habitat naturel et ne craignent presque rien, si ce n’est les changements climatiques et l’Homme, qui reste malheureusement le plus grand prédateur de la planète. Le crocodile Le crocodile est l’un des prédateurs les plus effrayants de la planète. Quasi-invisible dans l’eau, il ne laisse aucune chance à ses proies. Il peut rapidement atteindre 17km/h et sa taille varie selon les espèces : de 1 mètre pour les plus petits jusqu’à… 10 mètres. Son régime alimentaire est essentiellement constitué de buffles, de zèbres, d’antilopes et autres mammifères, mais aussi d’oiseaux et de poissons. Le crocodile utilise l’énergie apportée par son alimentation de façon très efficace. Ainsi, un crocodile du Nil ne fait en moyenne que 50 repas par an. Le lynx Il ressemble à un gros chat, et comme lui, il ronronne. Le lynx est pourtant l’un des plus grands prédateurs d’Europe, avec le loup et l’ours. Ce félin est également présent en Amérique du Nord et en Asie occidentale. Il chasse la nuit, en solitaire et se nourrit de jeunes cervidés (cerf, chevreuil, renne), de rongeurs, de petits mammifères comme le lapin et le lièvre, et parfois même d’oiseaux. Depuis longtemps, les lynx sont traqués pour leur mauvaise réputation et leur fourrure. L’espèce avait même disparu de France avant d’être réintroduite dans les années 1980. L’ours polaire Droit et fier sur sa banquise, l’ours polaire est tristement célèbre en raison de la menace environnementale qui pèse sur son habitat. Avec sa belle robe blanche, ce carnivore grand amateur de phoques se confond parfaitement avec la banquise. Il se nourrit presque exclusivement du petit mammifère marin qu’il chasse lorsque celui-ci sort de l’eau. Il lui assène alors un énorme coup de ses puissantes pattes munies de petites griffes, avant de le mordre à la nuque. Pour varier les menus, il chasse également les poissons et même les oiseaux, rennes et autres bœufs musqués. Présent sur les banquises de l’hémisphère Nord, l’ours polaire peut atteindre jusqu’à 2,5 mètres de longueur pour un poids compris entre 300 et 500kg. Malheureusement, sa population est en constante diminution à cause du réchauffement climatique. Le lion Cet adorable petit lionceau deviendra le plus grand carnivore d’Afrique. Le roi des animaux est également présent dans l’ouest de l’Inde, et contrairement aux autres félins, il est sociable et vit en groupe, exceptés quelques vieux mâles solitaires, malades ou blessés. Ce sont principalement les lionnes qui chassent, et rapportent au groupe des buffles, des gnous, des zèbres ou encore des antilopes. Les lions assurent quant à eux la sécurité de la famille. Le renard roux Rusé comme un renard, dit-on. Le petit canidé roux possède en effet une grande faculté d’adaptation et parvient à survivre dans des conditions extrêmes. Présent sur presque tous les continents, il peut vivre dans la toundra arctique aussi bien que dans… les centres-villes. Le renard est un prédateur nocturne et silencieux au régime alimentaire très varié. Si sa proie habituelle est le lapin, il se nourrit en effet aussi de petits mammifères, avec une préférence pour les campagnols. Il lui arrive par ailleurs de chasser les oiseaux, les insectes et les vers de terre. Le renard roux a longtemps été traqué pour sa fourrure mais est aujourd’hui l’un des mammifères sauvages les plus répandus. Le guépard Le guépard est un grand félin présent essentiellement dans les steppes et savanes africaines. Quelques individus vivent encore au Moyen-Orient. Strictement carnivore, ce grand prédateur élégant est connu pour être un excellent coureur, lui qui peut dépasser les 100 km/h en vitesse de pointe, ce qui fait de lui le mammifère le plus rapide du monde. Avant de s’élancer dans une course poursuite effrénée, il guette longtemps sa proie, et la course sur deux cents mètres en moyenne. Il s’attaque en général aux gnous et gazelles, et parfois aux zèbres. Le tigre Pour chasser, le tigre se met à l’affût de sa proie avant de s’élancer vers elle, et renonce généralement à la poursuite si l’assaut échoue. Il apprécie particulièrement les grosses proies comme les cervidés et les buffles, mais aussi les singes, les lièvres et les oiseaux. Il n’hésite pas non plus à se mouiller les pattes et est même un excellent pêcheur. Enfin, il peut se rabattre sur les serpents et les grenouilles si les proies se font rares. Solitaire, le grand félin à la robe rayée vit dans les forêts, mangroves et taïgas d’Asie et est lui aussi, malgré une notoriété mondiale, une espèce aujourd’hui en grand danger. Le faucon Rapace diurne, le faucon est un redoutable chasseur d’oiseaux. A tel point qu’il a parfois été domestiqué pour la chasse de perdrix, de canards et de faisans. On le reconnait à ses ailes pointues et à sa queue caractéristique, qui se rétrécie à la pointe. Le faucon se nourrit également d’insectes qu’il chasse, comme les oiseaux, en plein vol. Il se niche sur les falaises rocheuses et les arbres, mais aussi en plein cœur des villes, dans les clochers notamment. Il est ainsi un célèbre habitant de Notre-Dame-de-Paris. Le loup Les louveteaux ressemblent à de petits chiens. Mais en grandissant, leurs yeux caractéristiques ne laissent aucun doute. Et contrairement à son proche parent qui cherche ses proies le museau collé au sol, le loup chasse la tête dressée, le nez à l’affût de la moindre odeur alléchante. Il attaque en meute d’une dizaine d’individus et se nourrit principalement de rongeurs, de rennes, de chevreuils et d’élans. On distingue le loup gris d’Europe, d’Asie et du nord de l’Amérique, du loup roux de l’est des Etats-Unis. Très redouté, le loup a alimenté de nombreux mythes et fut chassé pour les ravages qu’il provoque parmi les troupeaux. Il est aujourd’hui protégé dans certains pays comme le Canada. L’ours brun L’ours brun est présent de l’Asie à l’Europe en passant par l’Amérique, mais reste menacé dans de nombreuses régions. Son alimentation varie selon son lieu d’habitation. Dans les Rocheuses canadiennes, le repas favori du grizzli se compose d’élans, de wapitis, de marmottes ou encore de chèvres, d’où un régime alimentaire semblable à celui de son cousin scandinave. En Alaska, l’ours brun est cependant un prédateur moins redoutable, qui se nourrit essentiellement de végétaux et de charognes. L’ours est également un célèbre et excellent pêcheur de saumons. Une fois qu’il a emmagasiné les graisses nécessaires, il peut alors hiberner et passe jusqu’à six mois sans nourriture. Crédits photos: drewm / Dave Bezaire & Susi Havens-Bezaire / enigmachck1 / Hitchster / mikebaird / MacJewell / nello / qmnonic / odolphie / jimbowen0306 Source
  22. La couleuvre, celle qui aime les étreintes langoureuses Lors de la parade nuptiale, il arrive très rarement que les mâles se battent, ils font tout juste semblant. Mais une fois qu'ils ont choisi leur partenaire, ils l'enlacent et ne la lâchent plus pour ne pas qu'on leur pique. Comme ces couleuvres d'Esculape qui ne semblent ne former plus qu'une. Les serpents amoureux commencent généralement par entortiller leurs queues, puis s'enroulent et se déroulent lentement l'un autour de l'autre. Les serpents de certaines espèces peuvent rester ainsi durant des heures entières ! Source
×
×
  • Créer...