Aller au contenu
Rechercher dans
  • Plus d’options…
Rechercher les résultats qui contiennent…
Rechercher les résultats dans…

Max|mum-leterrarium

Membres
  • Compteur de contenus

    12 143
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par Max|mum-leterrarium

  1. Il donne un chaton vivant à manger à son python Un homme d'une vingtaine d'années est recherché en Grande-Bretagne. Il a donné un chaton vivant à manger à son python, a filmé le tout et a posté la vidéo sur un site internet. Un chaton vivant âgé de quatre mois environ donné à manger à un python, comme cadeau de Noël: le propriétaire de ce serpent est actuellement recherché en Grande-Bretagne, pour avoir adopté un comportement sadique. Sur une vidéo qui dure sept minutes, on peut voir le chaton placé dans un bonnet de Père Noël. Le propriétaire du python l'amène ensuite dans une chambre à coucher, où l'animal est placé sur le lit, rapporte le site thesun.co.uk. Le chat commence à se promener, lorsque le serpent se jette sur lui, l'étouffe et le mange, tête la première. Les cris du chaton sont dissimulés par la chanson de Noël "Little Drumer Boy". Une société protectrice des animaux a demandé aux lecteurs du Sun d'aider à retrouver le propriétaire du python, qui promet par ailleurs d'autres scènes du genre. Il risque six mois de prison et une amende de 20'000 livres (28'000 francs) pour avoir causé des souffrances inutiles à un animal. Source
  2. Martigues : il vit sa passion avec sang froid Nicolas Charlier-Kehailia est un exploitant agricole... très exotique. Il tient le plus important élevage de reptiles du Sud-Est et organise un salon ce week-end à Croix-Sainte. Son premier serpent ? Il l'a eu à l'âge de 11 ans. Et de fil en aiguille, à 35 ans, Nicolas Charlier-Kehailia en possède plus de 300. Avec iguane, varan et autres lézards, il atteint même les 350 individus. Sa passion des reptiles a conduit ce Martégal à devenir, il y a 4 ans, un professionnel de l'élevage. Et à être aujourd'hui le premier éleveur professionnel du Sud-Est. A ce titre, Nicolas organise ce week-end une première dans le département: une bourse 100% reptile. Plusieurs centaines de reptiles seront présentées et/ou en vente. Et parmi les individus, le public pourra admirer des spécimens totalement inconnus puisque fruit du travail de mutations génétiques effectuées par Nicolas. "Ce que j'aime c'est tout ce travail de création autour des couleurs, des dessins. Le fait de produire quelque chose d'unique, de poser sa marque", raconte ce passionné tout en présentant fièrement ses boas constrictors "créés" cette année. À chacun son caractère Dans son local, situé à Jonquières, Nicolas compte 70 reproducteurs, parmi lesquels des pythons molures de 2,80mètres et d'environ 30kg, un python royal piedball (dépigmenté), des couleuvres japonaises... Il les manipule tous avec aisance, mais toujours avec précaution. "Notamment le python améthyste qui est réputé pour être très dangereux. A titre d'exemple, il peut tuer et manger un kangourou. Mais j'ai de la chance, le mien,c'est une crème", sourit Nicolas. L'éleveur semble encore plus vigilant lorsqu'il ouvre le vivarium des pythons à lèvres blanches. "Le seul serpent qui, quoi que vous mettiez, va le tuer même s'il n'a pas faim. En plus de sa dangerosité, celui-là n'a pas un caractère facile", explique-t-il tout en le manipulant. Cela peut surprendre mais quoi qu'on puisse en penser, les reptiles ont leur caractère, indépendamment de celui propre à leur espèce. Et preuve en est, une iguane femelle âgée de 17 ans et qui ne supporte que très difficilement la compagne de Nicolas et le manifeste en donnant de grands coups de queue ou de museau sur la vitre de son vivarium. Nicolas, lui, la caresse et elle semble apprécier. "Mais ça peut être une arme. Sa queue est un nerf de boeuf, elle peut tuer un enfant avec. Et lacérer un visage avec ses griffes." Un peu plus loin, dans un box à part, Nicolas présente son varan salvator, originaire de Malaisie. Pesant environ 40kg, le reptile est impressionnant. "Je l'ai eu quand il était tout petit. Il me connaît. C'est un animal qui peut devenir familier, même s'il est soumis à autorisation préfectorale car potentiellement dangereux", précise son propriétaire, le seul à pouvoir entrer dans le box du varan. Pour nourrir tout ce petit monde, Nicolas doit gérer un stock de nourriture gargantuesque. "Je passe environ 100 kg de rats par mois, sans compter la volaille, les insectes pour les lézards... 90% des bêtes sont nourries au mort, je fais juste décongeler les proies avant de les leur donner." Une sacrée ratatouille! Pour ce qui est des lapins, là, la fin n'est pas digne d'un dessin animé. Reptilink : 06 84 37 87 21 ou reptilink13@hotmail.fr Source
  3. Le premier squelette complet de tortue verte assemblé à Taiwan Il a fallu cinq mois à une équipe de l’Université nationale des sciences et technologies de Pingtung, dans le sud de Taiwan, pour préparer, à partir d’un spécimen échoué sur l’îlot coralien de Liuqiu, le premier squelette complet de tortue verte (Chelonia mydas) jamais assemblé dans l’île. Utilisant des techniques de chirurgie orthopédique, les vétérinaires ont pu, avec mille précautions, fixer ensemble les os de cet animal dont la carapace mesure 98 cm de long et 74 cm de large. La tortue verte est une espèce menacée et c’est pour attirer l’attention du public sur l’importance de la protection de la nature que le district de Pingtung a financé cette opération. Source
  4. Il lâche 40 serpents dans la préfecture Mécontent de ne pas avoir reçu un terrain, un charmeur de serpents se venge de la préfecture. Note pour plus tard : ne jamais contrarier un charmeur de serpents. C'est la leçon qu'ont retenu mardi les employés des services administratifs de Basti, une province indienne. Passablement énervé de ne pas avoir obtenu une parcelle de terre auprès de la préfecture, Hakul n'a pas trouvé mieux que de lâcher 40 reptiles rampants dans l'établissement concerné. Selon les médias locaux, relayés par le BBC, au moins 4 cobras étaient recensés. La centaine d'employés et de visiteurs présents ont été terrorisés pendant plusieurs heures. "Les serpents grimpaient sur les tables et les chaises, c'était le chaos", a raconté un témoin. Heureusement, personne n'a été mordu. Mais dans la panique générale, le dresseur a semble-t-il réussi à s'échapper. Source
  5. Un show pour vaincre la phobie des serpents Plus d'une soixantaine de personnes avait investi dernièrement la salle des fêtes pour assister au "Reptiles Show" qui présentait bon nombre de serpents vivants, mais également scorpion, mygale ou bien jeune caïman. Les présentateurs de ce show, Dieter et Uschi, font une tournée européenne pour faire connaître au public les dangers réels, mais surtout pour arriver à vaincre les peurs, bien souvent infondées, vis-à-vis de ces animaux. Effectivement, la peur qu'inspirent les serpents, animaux les plus mal aimés de la Terre, n'est pas née de connaissances ou d'expériences, mais de légendes et rumeurs transmises de génération en génération. Spécialiste qualifié avec ses 30 ans d'expérience, Dieter a réalisé devant un public attentif des manipulations assorties d'explications, en présentant successivement scorpion, mygale, couleuvres, vipère à corne, python royal, boa constrictor et un python tigre de 80 kg qui mesurait près de 6 mètres de long. Le public a ensuite été invité a soulever cet imposant reptile, non sans mal, puisqu'ils étaient par groupe de quatre ou cinq personnes pour pouvoir soulever l'imposante masse mouvante. Cette démonstration a été clôturée par la présentation d'un jeune caïman à la mâchoire déjà impressionnante. De nombreuses personnes ont pu ensuite se faire photographier avec les reptiles, prouvant ainsi qu'elles avaient su dominer leur angoissante phobie. Source
  6. Vingt tortues relâchées Durrel a procédé à la remise de vingt tortues dans leur habitat naturel. Ces animaux n'existent qu'à Madagascar. Vingt tortues à soc ou Angonoky sub-adultes, après un élevage et des soins spécifiques à Ankarafantsika, ont été ramenées dans leur habitat naturel, dans la Baie de Baly à Soalala, le vendredi 25 novembre dernier. Tandis que 44 autres y vivent déjà. Elles sont marquées et munies de micro-puces pour un suivi. « Ces 20 tortues seront d’abord entreposées dans un enclos de 20mx15 », a expliqué Henri Rakotosalama, responsable du suivi des Angonoky dans la Baie de Baly de l’ONG Durrel. « Elles seront ensuite relâchées dans la nature 3 semaines après. Ceci, afin que les tortues puissent prendre goût à leur nouveau milieu. Les micro-puces nous permettront ensuite de les suivre de près », a-t-il ajouté.  Il est à noter que la communauté locale participe également à la protection de ces animaux, de par la mise en place de pare-feux ou de par la détection de braconniers.  « Ces tortues me tiennent particulièrement à cœur », a précisé, Lee Durrel, Directeur Honoraire de Durrel, venue particulièrement à Soalala pour le relâchement des tortues Angonoky. « On essaie de les protéger et de les conserver depuis 25 ans. C’est l’animal qui a fait les premières activités de Durrel dans l’île », a expliqué le Directeur honoraire de Durrel. Pour démontrer l’engagement de la population locale ainsi que celui des partenaires de la conservation des Angonoky, la 4ème édition du Festival Angonoky a eu lieu à Soalala, les 24 et 25 Novembre dernier.  Marque L’événement a pour but de sensibiliser la population et le public en général de l’importance de cette richesse unique au monde mais qui n’existe qu’à Madagascar, et à Soalala. L’Equipe de Durrel dirigée par le Directeur Fondateur, Lee Durrel, le Directeur de Programme pour Madagascar, Richard Lewis, a rehaussé de sa présence ce festival après la célébration du 25e anniversaire de l’ONG à Ankarafantsika, jeudi dernier. Désormais, les tortues à soc ou Angonoky, espèce endémique de Soalala, Région Boeny, en voie de disparition seront marquées sur leur carapace. Des marquages relevant de leur spécificité telle que le nombre de stries et d’anneaux circulaires sur leur carapace, l’âge ou le sexe. Les chiffres sont ensuite suivis des lettres MG signifiant Madagascar. L’initiative est partie de l’ONG Durrel Wild life Conservation Trust, ONG internationale britannique qui travaille pour la sauvegarde des espèces en voie d’extinction dans le monde. En 1986, l’Angonoky était sur le point de disparaître à cause de la perte de son habitat dans la Baie de BALY dans la Région du Boeny. Depuis, l’ONG Durrel travaille d’arrache-pied avec les communautés locales et le Gouvernement pour la survie de cette espèce de tortue victime de trafic ou de consommation.  Source
  7. Pourtant, tout fonctionne chez moi. Je ne comprends pas! D'autres ont ce problème?
  8. Tortue en circulation illégale Mercredi dernier, un habitant de Pouembout se dirigeant vers la sortie sud du village a croisé le chemin d‘une tortue de Floride. Il l’a remise à la brigade des gardes-nature (BGN) de la province Nord, qui rappelle que cette espèce envahissante est interdite. Cette découverte n’est pas une première. Il y a deux mois, un automobiliste avait déjà eu le réflexe de rapporter une tortue sur le bureau de Max Kastavi, chef des gardes-nature de la province Nord. « Nous saluons les initiatives citoyennes de ces personnes qui participent activement à la préservation du patrimoine naturel calédonien, au travers de ces gestes simples que sont le dépôt des animaux découverts », souligne le responsable. Localisation. La tortue a passé la nuit dans un carton. Le lendemain, elle avait pondu deux œufs. « Si le spécimen ne nous avait pas été rapporté, il aurait pondu dans la nature et je crois malheureusement que la commune en a déjà assez dans son milieu naturel. » Rappelons que si la tortue de Floride est autorisée en province Sud (en étant déclarée et pas plus de cinq spécimens par propriétaire), sa possession en province Nord est totalement illégale. « Nous en avons récupéré une dizaine depuis le début de l’année. Chaque citoyen peut éliminer par ses propres moyens l’animal ou faciliter la recherche et la localisation dans les milieux susceptibles d’être impactés, en appelant directement le service compétent », rappelle Max Kastavi. Biodiversité. En ce qui concerne les propriétaires encore hésitants, il est demandé de ne surtout pas lâcher les animaux dans la nature. La BGN invite à faire le nécessaire pour régulariser la situation. « Certains ont déjà effectué des démarches auprès du service pour trouver une solution commune en vue d’éradiquer l’espèce, et ce, avec une prise de conscience volontaire et déterminée des intéressés », salue Max Kastavi. Et de prévenir qu’en 2012, les contrôles seront plus stricts concernant la possession de cette espèce dangereuse pour la biodiversité calédonienne. Source
  9. «Bouffe-la qu’on en finisse! » Je vous ai déjà dit que ma copine lit son JEQ tous les matins. Elle ouvre sa boîte de courriel et lit les nouvelles de la veille. La semaine dernière, une vidéo peu banale l’attendait. Sujets : L’Hebdo Journal , Collège Laflèche , Carrefour Trois-Rivières Ouest Durant un long moment, elle a observé un serpent se nourrir. La proie était une souris congelée. C’était fascinant à regarder! Pendant que les images de la vidéo défilaient à l’écran, le spécialiste en reptiles Mathieu Naud nous expliquait le système digestif du serpent, le pourquoi de son comportement, son système de détection de la proie. Mathieu est un excellent vulgarisateur. Sa voix est posée, le débit modéré. On avait l’impression d’assister à un cours gratuit. Saviez-vous qu’un serpent ne se nourrit qu’une fois par semaine? Peut-être moins? La vidéo durait presque dix minutes. Fallait donner la chance au serpent quand même. Sa vitesse d’exécution le rapproche plus de la limace que de la gazelle. « J’étais hypnotisée! » me racontait ma copine.«Je regardais le serpent absorber la souris très lentement et je me disais : « Bouffe-la qu’on en finisse! » Non mais, as-tu vu le temps qu’il a mis à bouffer la queue? » À première vue, cela peut sembler dégoûtant. Mais c’est justement la lenteur du serpent à s’offrir la souris qui rendait le spectacle supportable et éducatif. Si cela vous attire, sachez qu’une série de dix vidéos est en cours de production et sera diffusée sur le JEQ à raison d’une par semaine. C’est un minimum. D’autres s’ajouteront probablement. Mathieu nous parlera de presque tous les reptiles qu’il garde chez lui : serpents, lézards, varans, etc. Son zoo à domicile comprend autour de 250 animaux répartis en une quarantaine d’espèces. Le gars est un passionné et ça paraît! Il a déjà fait l’objet de la première page de L’Hebdo Journal. Récemment, il était au Collège Laflèche dans le cadre d’une activité éducative. Source
  10. Les espèces comportant une petite répartition géographique sont en péril au Canada OTTAWA, le 28 nov. 2011 /CNW/ - Lors de la récente réunion du COSEPAC (Comité sur la situation des espèces en péril au Canada) à Ottawa, en Ontario, du 21 au 25 novembre 2011, le statut de conservation de 23 espèces sauvages canadiennes a été évalué et les espèces comportant une petite répartition géographique étaient celles étant le plus en péril. Plusieurs espèces de plantes, une mousse, un mollusque, deux arthropodes, un poisson, un amphibien, deux oiseaux et deux mammifères ont été évalués comme espèces « disparue du pays », « en voie de disparition », « menacée » ou « préoccupante » au Canada et ont illustré la vulnérabilité particulière des espèces comportant une petite aire de répartition géographique. La responsabilité mondiale du Canada envers deux espèces septentrionales La drave du Yukon, une petite plante de la famille de la moutarde, et le pica à collier, un mammifère herbivore de petite taille, apparenté aux lapins et aux lièvres, sont des espèces survivantes de la période glaciaire. La drave du Yukon, qui ne se trouve qu'au Canada, occupe moins de cinq kilomètres carrés dans le sud-ouest du Yukon. L'habitat de cette plante comprend d'anciennes plages formées par le recul de lacs glaciaires. Ces habitats sont menacés par la dégradation causée par la construction routière associée à l'exploitation minière et forestière et aux activités récréatives. En raison de ces menaces, le COSEPAC a assigné le statut « en voie de disparition » à la drave du Yukon. Bien que plus répandu, le pica à collier se trouve aussi dans un type d'habitat restreint, soit des petits blocs rocheux dispersés dans les prairies alpines des régions montagneuses du Yukon, des Territoires du Nord-Ouest et du nord de la Colombie-Britannique. Les effets des changements climatiques sur le pica à collier menace sa persistance, ce qui a mené à un statut d'espèce « préoccupante ». Plus de la moitié de la population mondiale du pica à collier se trouve au Canada; en conséquence, et tout comme la drave du Yukon, la persistance de l'espèce dépend de sa protection au Canada. Remarquable coléoptère disparu du Canada Le nécrophore d'Amérique est reconnaissable à sa grande taille et à sa couleur orange et noire frappante. Ce coléoptère est également remarquable car les adultes s'occupent de leur progéniture en enterrant et en défendant une carcasse d'animal qui servira de nourriture aux jeunes nécrophores. Cette espèce était trouvée jadis dans le sud de l'Ontario et dans la majeure partie de l'est de l'Amérique du Nord, mais elle est maintenant disparue de la majeure partie de son ancienne aire de répartition. L'espèce n'a pas été observée au Canada depuis 1972; par conséquent, le COSEPAC a évalué le nécrophore d'Amérique comme espèce « disparue du pays ». Les menaces pesant sur de multiples plantes sont exacerbées par la petite répartition géographique de ces dernières Trois espèces de plantes, le baccharis à feuilles d'arroche en Nouvelle-Écosse, le buchnéra d'Amérique en Ontario, ainsi que le carex faux-lupulina en Ontario et au Québec ont une répartition géographique extrêmement limitée au Canada, chacune occupant moins de 100 kilomètres carrés d'habitat. Ces petites répartitions, combinées avec des populations de taille relativement petite, rendent chaque espèce particulièrement vulnérable à des menaces qui perdurent telles que la perte et la dégradation de l'habitat ainsi que les plantes envahissantes. Par exemple, les menaces pesant sur le carex faux-lupulina incluent le drainage des terres résultant des activités agricoles, ainsi que l'envahissement de l'alpiste roseau. Par conséquent, le COSEPAC a évalué le baccharis à feuilles d'arroche comme espèce « menacée » et le buchnéra d'Amérique et le carex faux-lupulina comme espèces « en voie de disparition ». Un membre d'une ancienne lignée de grenouilles est un autre amphibien en péril La grenouille-à-queue côtière est l'une des deux seules espèces d'une famille distincte de grenouilles dont les membres apparentés les plus près vivent en Nouvelle-Zélande. Au Canada, l'espèce ne se trouve que dans les chaînes de montagnes côtières de la Colombie-Britannique et requiert des cours d'eau frais et limpides pour la reproduction. Le COSEPAC a assigné le statut d'espèce « préoccupante » à la grenouille-à-queue côtière car elle est sensible aux effets de l'exploitation forestière et de la construction routière, elle produit peu de petits et une mycose, liée au déclin mondial des grenouilles, a récemment été découverte chez les grenouilles-à-queue côtières. Un mammifère rare des prairies fait face à de nouvelles menaces Le chien de prairie est un membre fouisseur de la famille des écureuils qui vit en colonie. Il est limité à seulement 12 kilomètres carrés d'habitat de prairie dans le sud de la Saskatchewan. D'abord évalué par le COSEPAC comme espèce « préoccupante » en 2000, les menaces croissantes que constituent les sécheresses et une maladie bactérienne pourraient rapidement éradiquer l'espèce. La récente réintroduction d'une autre espèce en péril, le putois d'Amérique, dans le parc national du Canada des Prairies ajoute un élément intéressant. Le putois ayant comme proie le chien de prairie, le sort des deux espèces est donc inextricablement lié. En ce qui concerne le chien de prairie, la combinaison de sa répartition restreinte et des menaces graves décrites précédemment ont mené à une évaluation d'espèce « menacée ». Aiguillat commun du Pacifique Nord : un autre exemple de menaces à l'échelle mondiale pesant sur les requins Jusqu'à un tiers des espèces mondiales de requin sont à un certain niveau de risque, principalement en raison de la surexploitation. L'aiguillat commun du Pacifique Nord s'ajoute à huit autres espèces de requins déjà évaluées comme étant en péril au Canada. L'espèce, trouvée dans les eaux côtières de la Colombie-Britannique, est un petit requin distinctif et remarquable pour ses périodes de gestation extraordinairement longues pouvant atteindre jusqu'à deux ans. L'existence d'une pêche commerciale, l'incertitude quant aux tendances démographiques et le faible potentiel de rétablissement des populations ont motivé la désignation du statut d'espèce « préoccupante » pour l'aiguillat commun du Pacifique Nord. Des efforts d'échantillonnage engendrent de nouvelles données et une meilleure perspective pour un lichen et une plante La pseudévernie fantôme et la dalée velue ont été évaluées auparavant par le COSEPAC. Des efforts d'échantillonnage élargi suscités par ces évaluations ont mené à la découverte de sites additionnels pour la pseudévernie fantôme, ainsi qu'à une taille de la population dix fois plus grande que celle indiquée par les estimations précédentes pour la dalée velue. Cette nouvelle information d'échantillonnage a été un facteur clé qui a mené à des désignations de moindre risque, soit « non en péril » pour la pseudévernie fantôme et espèce « préoccupante » pour la dalée velue. Les menaces telles que les changements climatiques, les altérations de l'habitat ainsi que les espèces envahissantes demeurent d'importantes sources de préoccupation pour la dalée velue. Prochaine réunion La prochaine réunion d'évaluation des espèces sauvages du COSEPAC sera tenue à Kananaskis, en Alberta, en avril 2012. À propos du COSEPAC Le COSEPAC évalue la situation des espèces, des sous-espèces, des variétés ou d'autres principales unités de la biodiversité à l'état sauvage considérées comme étant en péril au Canada. Pour ce faire, le COSEPAC se sert de connaissances scientifiques, traditionnelles autochtones, ou des collectivités, lesquelles sont fournies par de nombreux spécialistes provenant des gouvernements, des universités et d'autres organismes. Les sommaires d'évaluations sont actuellement à la disposition du public sur le site Web du COSEPAC (www.cosepac.gc.ca) et seront transmis à la fin de l'été 2012 au ministre fédéral de l'Environnement pour une considération de l'inscription en vertu de la Loi sur les espèces en péril (LEP). À compter de cette date, les rapports de situation et les sommaires de statut complets seront mis à la disposition du public dans le Registre public des espèces en péril (www.registrelep.gc.ca). Il y a maintenant 640 espèces sauvages inscrites aux diverses catégories de risque du COSEPAC, y compris 281 espèces en voie de disparition, 158 espèces menacées, 177 espèces préoccupantes et 24 espèces disparues du pays (c.-à-d. on ne les trouve plus à l'état sauvage au Canada). En plus de ces espèces sauvages inscrites aux catégories de risque du COSEPAC, 14 espèces sont désignées comme étant disparues. Le COSEPAC est composé de membres provenant de chaque organisme responsable des espèces sauvages des gouvernements provinciaux et territoriaux, de quatre organismes fédéraux (le Service canadien de la faune, l'Agence Parcs Canada, Pêches et Océans Canada et le Musée canadien de la nature), de trois membres scientifiques non gouvernementaux et des coprésidents des Sous-comités de spécialistes des espèces et des connaissances traditionnelles autochtones. Définitions de la terminologie et des catégories de statut du COSEPAC : Espèce sauvage : Espèce, sous-espèce, variété ou population géographiquement ou génétiquement distincte d'animal, de plante ou d'un autre organisme d'origine sauvage (sauf une bactérie ou un virus) qui est soit indigène du Canada ou qui s'est propagée au Canada sans intervention humaine et y est présente depuis au moins cinquante ans. Disparue (D) : Espèce sauvage qui n'existe plus. Disparue du pays (DP)* : Espèce sauvage qu'on ne trouve plus à l'état sauvage au Canada, mais qu'on trouve ailleurs. En voie de disparition (VD)* : Espèce sauvage exposée à une disparition de la planète ou à une disparition du pays imminente. Menacée (M)* : Espèce sauvage susceptible de devenir « en voie de disparition » si rien n'est fait pour contrer les facteurs menaçant de la faire disparaître. Préoccupante (P)* : Espèce sauvage qui peut devenir « menacée » ou « en voie de disparition » en raison de l'effet cumulatif de ses caractéristiques biologiques et des menaces reconnues qui pèsent sur elle. Non en péril (NEP) : Espèce sauvage qui a été évaluée et jugée comme ne risquant pas de disparaître étant donné les circonstances actuelles. Données insuffisantes (DI) : Catégorie qui s'applique lorsque l'information disponible est insuffisante (a) pour déterminer l'admissibilité d'une espèce sauvage à l'évaluation ou (b) pour permettre une évaluation du risque de disparition de l'espèce sauvage. *catégorie de risque du COSEPAC Source
  11. Des serpents que j'ai regretté d'avoir vendu ceux là. Beaux spécimens!
  12. Effectivement, ils auraient dut offrir une commandite en échange de faire passer leur flag durant l'expo.
  13. Max|mum-leterrarium

    Python royal

    Eh oui, un petit PR vient d'arriver chez moi. Il n'était pas prévue mais bon, on me le donnait. La personne qui l'avait m'a écrit au cours de la semaine dernière pour me demander de le prendre. Elle ne savait pas où l'envoyer et elle retourne vivre chez sa mère et ne peut pas amener le serpent avec elle. Le serpent a 4 ans, il a un retard de croissance évident. Quand il est arrivé, il était couvert de mauvais mue. Un bain est requis pour ce petit paquet de muscle. Voici quelques photos! Quand je l'ai reçu, j'ai regardé le serpent pour me rendre compte qu'il a une brûlure sur le ventre qui cicatrise depuis longtemps et aussi une coupure qui est cicatrisé sur la brûlure. Je n'ai aucune idée de ce qui s'est passé mais ça semble dater de loin. Je vous montre l'animal afin de vous montrer l'évolution de la bête seulement. Je ne veux pas qu'on critique l'ancienne propriétaire. Elle a probablement fait ce qu'elle pensait bon pour le serpent et fait des erreurs. On a nous aussi fait des erreurs dans le passé et c'est de cette manière que l'on apprend malheureusement.
  14. Ça ne pourra jamais être pire que St-Hyacinthe il y a quelques années!
  15. Jeziel Carvalho en pince pour les serpents Ce Blésois passionné de reptiles s’est lancé dans l’élevage des pythons, boas et autres lézards. Il conseille et forme aussi les pompiers à leur capture. La semaine dernière, les pompiers de Blois intervenaient dans un immeuble pour récupérer un petit serpent des blés qui avait échappé à la vigilance de son propriétaire. Que faire de ce charmant élaphe guttata ? En pareil cas, les pompiers font appel à un Blésois spécialiste des reptiles qui a récupéré l’animal attendant de lui trouver un nouveau maître, le précédent n’ayant pas donné signe de vie. Jeziel Carvalho, 33 ans, n’est pas un inconnu pour les pompiers. Cet éleveur professionnel figure en bonne place sur leur carnet d’adresses depuis qu’il a formé plusieurs pompiers, notamment ceux du groupe animalier, à la capture des reptiles. « Tout a commencé par des pompiers de Blois-Sud qui sont venus visiter mon élevage, ensuite on m’a demandé d’intervenir à plusieurs reprises à l’école des pompiers de Vineuil. Je leur donne d’abord des connaissances de base sur les reptiles, leur façon de fonctionner. J’emmène avec moi plusieurs spécimens, pythons, boas, si possible un peu nerveux et mobiles pour qu’ils s’initient à leur capture. Dans la réalité comme dans une situation d’exercice, on n’y va jamais en kamikaze surtout s’il s’agit d’un serpent venimeux, sinon c’est la morsure assurée. » Les pompiers sont appelés régulièrement pour des couleuvres ou des vipères et se débrouillent le plus souvent seuls avec leurs pinces pour les capturer. Mais dès qu’on aborde des espèces plus exotiques et potentiellement plus dangereuses, une procédure spécifique doit être respectée et il revient normalement à la direction des services vétérinaires de désigner un spécialiste qui se chargera de capturer la bébête. « Le hic c’est que dans le département, aucune personne ne détient la capacité pour les espèces venimeuses. Pourtant certains particuliers en détiennent. En cas de problème, qui va capturer ces animaix ? Et qui va les recueillir ? » Un site Internet pour aider les passionnés En attendant, Jeziel Carvalho qui détient la certification de capacité pour élevages de reptiles, a ouvert sa boutique à domicile et n’est pas avare en conseils sur son site Internet (*) pour aider les particuliers passionnés comme lui à se lancer dans l’élevage, en choisissant le bon matériel et l’alimentation adaptée. Il accueille aussi des stagiaires qui comme lui se destinent à obtenir la certification d’éleveur. « Les reptiles sont très à la mode mais il est indispensable de bien se renseigner avant de se lancer sinon on augmente le risque d’abandon des animaux. » (*) www.snakeandco.com Source
  16. Effectivement, je vais m'occuper de ça un peu plus tard.
  17. Les araignées les plus impressionnantes La peur des araignées n'est pas banale. Ces petites bêtes, qui peuvent tout de même mesurer jusqu’ à trente centimètres, ont conquis toutes les terres émergées et su marquer leur territoire. Leurs huit pattes et leur excellente vue font d'elles des prédatrices hors pair, se nourrissant de chair vivante pour survivre. Dangereuses ou non pour l’homme, les araignées ne laissent personne de glace. Tour d'horizon des espèces les plus impressionnantes. L’araignée crabe Avec une allure et un déplacement qui font penser au crabe, les Thomisidae sont les araignées des fleurs, cachées entre les pétales en attendant l’arrivée des insectes. Mais dépourvues de dard, elles sont inoffensives pour l’homme. Attention ! Il ne faut pas confondre l’araignée crabe et le crabe araignée, qu'on appelle aussi araignée de mer japonaise. Cette deuxième espèce est un véritable monstre, pouvant mesurer jusqu’à quatre mètres d'envergure avec les pattes mais n'est en réalité qu'un simple crustacé ! La veuve noire Ne mesurant pourtant jamais plus de quinze millimètres, la veuve noire est l'araignée la plus dangereuse du monde ! La toxicité de son venin est telle qu’une simple morsure peut causer nausées, spasmes, hallucinations et mener à la mort. Durant l’accouplement les femelles dévorent tout ou partie du mâle ! En réalité, beaucoup d’espèces d’araignées le font, mais le cas de cannibalisme sexuel de la veuve noire est le plus retenu. La néphile dorée Les longues pattes de la néphile lui permettent de tisser l'une des toiles les plus résistantes et les plus belles au monde, avec des fils de soie aux reflets dorés. Araignée passive, elle attend que ses proies soient prises dans ses filets pour les manger, mais ne présente aucun danger pour l’Homme. L’araignée-lynx Verte, grise ou fauve, la lynx se confond aux plantes sur lesquelles elle se tient à l'affût. Capturant ses proies par surprise, cette chasseuse se tient souvent sur ses pattes postérieures, les pattes antérieures relevées pour mieux bondir. Elle n'est ni dangereuse ni agressive mais évitez de la provoquer : elle pourrait bien vous sauter au visage si elle se sent menacée… L’araignée goliath Voici la mygale mangeuse d’oiseaux ! D'une taille dépassant parfois les trente centimètres, la goliath est la plus grosse araignée du monde. La nuit, elle part à la recherche de viande : oisillons, reptiles et petits mammifères sont ses proies. Son venin n'est pas mortel et si elle peut mordre l’homme, elle ne le mange pas… La cobalt bleue D'un bleu intense, la cobalt est l'araignée fétiche des collectionneurs. Originaire d'Asie, elle est réputée agressive en milieu naturel, d'autant plus que sa morsure est très douloureuse. Vous pouvez l'observer derrière le verre de l'aquarium, mais nul besoin de préciser qu’il vaut mieux ne pas trop s'en approcher… La mygale aux orteils rose Fourrure noire aux reflets rouges et orteils roses sont les signes distinctifs de ces araignées inoffensives. Particulièrement sociables, ce sont les seules mygales qui peuvent vivre ensemble sans s'entre-dévorer. Comme elle n'a pas de venin, vous pouvez sans risque en caresser une entre vos doigts… N'hésitez plus : vous avez trouvé votre nouvel animal de compagnie ! L’usambara orange L’usambara orange Tout comme la cobalt, l'usambara est une mygale de collection, mais son venin n'est pas en mesure de tuer un être humain. Se nourrissant exclusivement d'insectes, elle est pourtant effrayante pour les arachnophobes, notamment à cause de ses pattes jaunes et velues particulièrement grosses. L’araignée loup Les lycosidae, ou araignées-loups, chassent la nuit et se cachent le jour. Avec un corps mesurant de trois à trente millimètres, ce sont les araignées les plus arrogantes ! Elles n'ont pas peur des hommes et peuvent courir sur vous si vous restez longtemps immobile à leur proximité. Leur venin n'est pas mortel mais nécrosant, ce qui implique que leur morsure est douloureuse et peut laisser des traces. L’argiope frelon L'Argiope frelon, est un leurre visuel : grâce à son camouflage jaune et noir, elle ressemble à une guêpe ; ce qui lui permet de mieux attraper des proies qui ne la craignent pas. Vorace, elle peut manger jusqu'à quatre sauterelle par jour, mais est, elle aussi, sans danger pour l’homme. Source
  18. Une mygale pour les collectionneurs Qui aurait crû que les araignées, objets des phobies les plus violentes dans nombre de cultures, deviendraient en une vingtaine d'années des animaux de compagnie ? Personne si les chiffres ne nous révélaient une augmentation de 3% de la demande chaque année ! Il est vrai qu'entre la goliath mangeuse d'oiseau, la mygale aux orteils roses et la cobalt bleue aux doux reflets velus, les collectionneurs n'ont que l'embarras du choix... Mais attention, cette petite bête à huit pattes garde un point commun avec les chiens : elle mort si elle se sent menacée. Un conseil : ne la sortez pas de son aquarium si vous avez peur. Source
  19. Un grand moment que le "Reptiles show" Vendredi dernier, les villageois ont pu assister à un étonnant spectacle proposé par un couple Allemand domicilié à La Redorte. Le "Reptiles show" de Dieter Zorn et Uschi Kallus a attiré un large public de plus de 50 personnes, composé essentiellement d'enfants de tous âges accompagnés de leurs parents, mais aussi d'ados et de personnes plus âgées. Les spectateurs se sont installés en rond, le couple effectuant la présentation de son étrange ménagerie au centre, tout à côté d'eux. Rompu à l'exercice, Dieter Zorn a ouvert une première boîte d'où il a sorti une énorme mygale velue, s'amusant de l'araignée qu'il a placée sur son crâne avant de s'approcher du public. Ce faisant, sa compagne détaillait la vie de l'animal dans son milieu naturel, sa dangerosité ou pas. Vipère, python et boa Pendant plus d'une heure, la même opération s'est reproduite avec des rampants à chaque fois plus volumineux, de la petite couleuvre en passant par la vipère, jusqu'à un python, un boa constrictor et même un caïman de Guyane. Cette progression a permis aux spectateurs de se familiariser avec ces animaux plutôt impressionnants. Puis, Dieter Zorn a demandé si certains voulaient les manipuler. Immédiatement, des doigts d'enfants se sont tendus. Tous ceux qui le souhaitaient ont été décorés de serpents à la façon de colliers, autour du cou ou dans les bras, pendant que leurs parents immortalisaient les courageux. Ce spectacle dans le spectacle a prouvé que si les plus jeunes agissaient en toute confiance, il n'en allait pas de même pour leurs mamans. Plusieurs ont surmonté leur appréhension pour être à la hauteur de leur gamin... Très pédagogiques, les commentaires d'Uschi Kallus ont soulevé bien des questions auxquelles les deux amoureux des reptiles se sont fait un plaisir de répondre. A travers ce spectacle qu'ils tournent depuis 31 ans dans toute l'Europe, le couple souhaite réhabiliter l'image de ces animaux en les faisant mieux connaître. Source
  20. Voici les photos qui ont été prises par trois personnes avec mon appareil-photo en cette journée d'exposition. Notre ami Gorezone! Maintenant, au tour de Michel Le Blanc! Je vous présente une demoiselle que j'ai connu à une exposition à Lévis ce printemps. Elle disait avoir une grande phobie des araignées. Je lui ai dis qu'elle allait la vaincre avec moi. Elle m'a filé entre les doigts à Lévis. Par contre, je l'ai vu sur place à Trois-Rivières. Elle a été courageuse et a pu surmonté sa peur durant un instant. Maintenant le reste des photos!
  21. Des animaux qu’on ne voit qu’au zoo Monsieur Reptile et une vingtaine d’exposants ont partagé leur passion à l’occasion de la première exposition éducation de reptiles qui se tenait hier au Collège Laflèche. Araignée, tortues, serpents, lézards et crocodiles étaient exhibés par des professionnels soucieux de démystifier ces animaux qui donnent souvent la frousse aux gens. «C’est une activité très familiale où petits et grands peuvent voir et toucher les reptiles. C’est une opportunité de poser des questions et discuter avec des gens qui s’y connaissent», soutient Sophie Guillemette organisatrice de l’évènement. En plus des kiosques d’exposition, du service de photographie et des mini-conférences, un coin spécialement pour les enfants a été aménagé afin que ceux-ci touchent et apprivoisent différentes espèces. «J’ai plus peur que les enfants» avoue Édith St-Jaques accompagnée de trois bambins âgés de un à cinq ans. «C’est une belle activité instructive et les organisateurs sont gentils, mais surtout très rassurants. C’est bien de faire connaitre des reptiles aussi rares», renchérit-elle. Source
×
×
  • Créer...