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Max|mum-leterrarium

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Tout ce qui a été posté par Max|mum-leterrarium

  1. Un serpent venimeux capturé à Minderhout Un pêcheur amateur a capturé mardi un serpent dans une carrière de sable le long de l'E19, à Minderhout (Anvers). L'homme a averti la police, qui est aussitôt arrivée sur les lieux, car il s'agissait d'un serpent à sonnette venimeux. L'animal vit normalement à l'état sauvage aux Etats-Unis et s'est donc probablement enfui d'une collection privée. Le Serpentarium de Blankenberge a recueilli l'animal, a indiqué la Société royale de zoologie d'Anvers (KMDA). Le pêcheur a pu attraper le serpent, sans connaître au préalable le danger qu'il courrait. Le poison du crotale cause des boursouflures et de fortes douleurs avec comme conséquence une éventuelle gangrène. Une morsure peut même être mortelle pour les enfants, les personnes âgées et celles en moins bonne santé. Il s'agit d'animaux particulièrement agressifs qui vivent en liberté dans les prairies du sud-ouest des Etats-Unis. Les citoyens belges ne peuvent détenir cette espèce de serpent sans autorisation et, selon la KMDA, les permis ne sont que très rarement délivrés. (belga) 20/07/11 20h29 Source
  2. Ça fait plaisir! C'est à ça que servent les forums, discuter et approfondir nos connaissances.
  3. Un boa constrictor et un élaphe perdus près de Mons Le service environnement de la police boraine est intervenu deux fois la semaine dernière à la suite de l'évasion de deux serpents de leur terrarium, a-t-il fait savoir lundi. Les deux reptiles ont été remis à l'asbl Carapace, un centre de revalidation situé dans le parc Pairi Daiza et chargé de récupérer les nouveaux animaux de compagnie (NAC) qui lui sont amenés après saisie. Le 11 juillet, les policiers ont été appelés par un citoyen qui désirait faire un abandon volontaire de son serpent, un élaphe. Ce dernier s'était enfui quelques jours avant et avait été capturé par d'autres policiers qui avaient constaté que le propriétaire du serpent ne disposait pas des autorisations nécessaires à la détention d'un tel animal. L'animal a été remis à l'asbl Carapace. Le lendemain, une habitante de Frameries a contacté la police boraine car son boa constrictor ne se trouvait plus dans son terrarium. Retrouvé par la police, le serpent de 1,20m a également été conduit à l'asbl après que son propriétaire a exprimé le souhait de s'en débarrasser. La police boraine déplore, dans un communiqué, que beaucoup de propriétaires de NAC ont recours à ces abandons volontaires, surtout pour raison financière. Un propriétaire de NAC est en effet obligé de contacter le service environnement de sa commune pour obtenir un permis d'environnement. Le coût total s'élève à environ 200 euros. La détention de NAC sans autorisation est passible d'une peine d'emprisonnement pouvant aller jusque 3 ans et d'une amende pouvant s'élever à 30.000 euros. (belga) 18/07/11 12h39 Source
  4. Est-ce que tu parles du Rhampholéon brevicaudatus? Si oui, les mâles ont la queue plus longues que les femelles et ils sont aussi muni d'une petite crête dorsale.
  5. Qui a vu «Jürg», mon serpent très venimeux? Une affichette sème l’émoi près de Wohlen (AG). Quelqu’un aurait «égaré» son mamba, un reptile dangereux. Un promeneur a fait une drôle de découverte la semaine dernière, apprend-on dans l’«Aargauer Zeitung». Une feuille volante annonce qu’un serpent très vif et venimeux, un mamba vert, a été perdu. Sur l’affichette, il est écrit que le propriétaire se rendait chez un vétérinaire lorsque le reptile, prénommé «Jürg», lui a faussé compagnie. Lorsqu’on compose le numéro de téléphone indiqué, on n’aboutit nulle part. De plus, en y regardant de plus près, la photo du serpent venimeux ressemble à s’y méprendre à celle qui illustre un article de Wikipédia sur le Net. Idem pour une partie du texte, qui est un copié-collé de l’encyclopédie en ligne. Du côté de la police, «aucune action de recherche spécifique n’est entreprise», précise Peter Christen, de la police régionale de Wohlen. Cette «plaisanterie» pourrait être l’oeuvre d’un promeneur qui ne supporterait pas la présence de chiens dans le secteur. Source
  6. Jolies bêtes! Juste pour le corn du nom de Kameo, un miami est l'une des formes régulières mais seulement de localité.
  7. Consensus pour la protection des tortues marines Réunion du groupe de travail Te Puna Honu Le groupe de réflexion et de travail Te Puna Honu, qui rassemble plusieurs associations de protection de l’environnement et de pêcheurs, a organisé un rendez-vous, mardi, sur la plage du PK 24, à Tiarei, avec le maire de Hitia’a o te Ra, Henri Flohr, et le maire délégué de la commune associée, Dauphin Domingo. En vue, la protection d’un site de ponte de tortues marines repéré en début d’année, pour lequel celles-ci souhaitent impliquer les élus et la population. Cette réunion fait suite à la découverte, fin 2010, d’un nid découvert par Rainui Pitia, par un jeune de Tiarei. Une centaine d’œufs de tortues vertes pondus sur cette même plage avait alors été confiée par la Direction de l’environnement (DIREN) à l’association Tamarii Pointe des Pêcheurs de Punaauia. Après deux mois d’incubation, sous la surveillance du biologiste Benoît Tchepidjian, une trentaine de juvéniles avaient été remis à l’eau sur le lieu même de leur naissance. Cette opération de sauvetage qui visait à éviter que les œufs ne soient dévorés par des chiens ou subtilisés par des amateurs indélicats avait permis d’identifier comme tel l’un des rares lieux de ponte, à Tahiti, de cette espèce protégée. Aujourd’hui, la mise en place d’un balisage et d’une surveillance du site est à l’ordre du jour, dans le cadre d’une réflexion globale de préservation de ces reptiles marins. Analyser le problème dans toutes ses dimensions Conscientes que la protection de cette espèce protégée requiert un consensus, en accord avec les populations concernées, plusieurs associations de protection de l’environnement et de pêcheurs ont fait le choix du regroupement, en travaillant de concert avec la DIREN. L’un de leurs objectifs est d’analyser le problème dans toutes ses dimensions, écologiques, culturelles et économiques… afin de modifier une réglementation qui, à l’évidence, n’est pas efficace et qui a mené des pêcheurs récalcitrants à goûter à quelques mois de prison. Un autre est de sensibiliser la population à l’importance de participer à la sauvegarde de cet animal, symbolique à plus d’un sens, dans la culture polynésienne. Avec les maires, les représentants de ce collectif ont examinés la possibilité de mettre en place, sur ce lieu de ponte, des panneaux explicatifs et pédagogiques permettant aux riverains d’être acteurs de la sauvegarde d’une des richesses de la commune. Modifier une réglementation inefficace Un constat négatif est à l’origine de la création de ce groupe de travail. Force est de remarquer que, depuis la loi du 13 juillet 1990, aucun progrès n’a été réellement enregistré quant à la protection des tortues marines en Polynésie française, pourtant classée sur la liste rouge des espèces menacées de l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN). Il n’est pas rare de retrouver des animaux blessés par harpon, même quand ils ne sont pas comestibles... Quant à la consommation, même illégale, elle se porte toujours bien alors que la loi de 1990 stipule bien que sont interdits “le transport, la détention, la collecte des œufs de tortues marines, la capture à terre ou en mer, la taxidermie, la commercialisation, l’importation et l’exportation de toute tortue marine…”. Les sanctions encourues en cas de non-respect de la réglementation sont pourtant sévères : un emprisonnement de 1 an maximum et une amende de 980 000 Fcfp, sans compter la saisie du bateau…Mais leur application stricte est du domaine de l’irréalisable, vu le nombre d’îles et leur étalement sur une surface maritime aussi vaste que l’Europe. Face au braconnage, qu’il est difficile de contrôler, il avait été question en octobre 2010 de modifier la réglementation en cours pour faire de l’exception un principe élargi à toute la population : le droit de chasser la tortue, a priori uniquement à des fins de consommation personnelles, selon des quotas fixés par le gouvernement. Cette hypothèse avait provoqué une levée de boucliers, notamment des associations de protection de l’environnement. Initié par la DIREN, ce groupe de travail qu’est Te Puna Honu se réunit environ toutes les trois semaines afin de progresser dans la progression du phénomène tortue en Polynésie française et des moyens de sauvegarder cet animal en proposant les termes d’une législation applicable et équitable. Menacées de toutes parts Considérées comme l’émanation des dieux de l’océan, les tortues marines tenaient une place importante dans la société polynésienne d’autrefois. Considérées comme tapu, elles pouvaient néanmoins être consommées par certaines catégories de population, selon des rites particuliers. Après l’arrivée des missionnaires européens, dans la deuxième moitié du XIXe siècle, le tapu a été levé par Pomare V. Des techniques plus productives que les techniques traditionnelles ont été dès lors utilisées pour pêcher ces animaux qui représentaient une source de protéine non négligeable. Depuis plus de 30 ans, la chasse à la tortue et sa commercialisation, sont certes fortement réglementées en Polynésie française. Mais cela n’empêche pas le braconnage et la consommation de viande de tortue de continuer à large échelle. Or, aujourd’hui, ces pratiques se rajoutent aux autres menaces dues aux activités humaines dont est victime la tortue (perte de leur habitat, pollution, collisions avec les embarcations…), ainsi qu’aux menaces naturelles (prédation, variation du climat,...). L’une des conclusions du 1er Symposium international sur les tortues marines en Polynésie française, qui s’est tenu en octobre 2010 à Moorea, signifiait la nécessité “d’intégrer dans les plans de conservation les dimensions culturelles et traditionnelles, afin de partager les expériences et les idées qui devraient guider les choix pour élaborer un cadre prospère au renouvellement à la sauvegarde des tortues marines”. Source
  8. Quatre générations de passion Il s'appelle Johnny Muller et c'est lui le maître de cet endroit inquiétant. ... Les reptiles, c'est une histoire de famille. « Mon arrière grand-père faisait le fakir dans un cirque, mon grand-père travaillait dans les cabarets et mon père faisait des interventions en milieu scolaire ! Je suis né avec les serpents ! En 1987, j'ai investi 2 millions de francs et je suis parti sur les routes. L'un de mes fils vient d'ailleurs de faire la même chose, l'autre travaille avec moi. » La petite entreprise de Johnny, ce sont 100 reptiles, dont des tortues, qu'il achète en majorité dans des animaleries à l'étranger, et deux employés pour assurer le montage et le démontage à chaque déplacement. Mais la détention de ces animaux est très réglementée. « Ils sont tous répertoriés dans un livre, pucés et identifiés. Et ce livre est paraphé par la police. Quand l'un meurt, il faut le faire constater par un vétérinaire. Dans chaque département, nous sommes d'ailleurs contrôlés par les services vétérinaires. » De nombreux enfants et leurs parents déambulent dans les camions où sont installés les vivariums dans lesquels somnolent les serpents. « Malheureux ? Non, même en liberté, un reptile ne bouge pas, ce n'est pas un chat ni un chien ! Il ne sort que pour chasser et se nourrir, ensuite il rentre et met 20 jours à digérer. Et ainsi de suite. On les appelle les nouveaux animaux de compagnie : c'est faux, il n'y a aucun échange affectif avec un reptile. D'abord, il n'entend pas, ensuite il n'est pas intelligent. Il peut vous mordre chaque jour quand vous le nourrissez parce qu'il ne vous reconnaît pas et a peur de vous ! » Et pourtant, Johnny ne cache pas sa passion pour ses bêtes, nourrie par une observation quotidienne de leur comportement, de leurs couleurs, de leur aspect. « Du 1er janvier au 31 décembre, avec mon fils, on se lève à 6 h pour nettoyer et nourrir. Oui, il faut être passionné ! J'ai une tortue depuis 25 ans : le zoo de la Palmyre m'en a proposé trois fois son prix, et j'ai refusé. Elle est magnifique ! » Johnny ne cache pas que son business lui rapporte. « Mais cela me coûte cher aussi à entretenir tout ça ! 100 rats et 100 souris tous les 15 jours, et 80 lapins tous les 20 jours. » C'est le festin de la petite troupe qui lui est livrée par une animalerie de Mouscron. Sans compter l'entretien du matériel et des vivariums, chauffés ou tempérés à 28° toute l'année. Mais quand on aime, on ne compte pas... Johnny est même allé jusqu'à Miami pour rencontrer des herpétologues. « En fait... je n'ai pas appris grand-chose parce que je suis né dedans... » Mais si vous allez faire un tour dans son monde, ne vous attendez pas à un numéro de cirque avec serpents autour du cou : « Je n'ai pas le droit de les sortir. Juste un petit boa pour les visiteurs qui veulent une photo. » Juste le plaisir des yeux... Source
  9. Intelligence animale : des lézards aussi doués que des oiseaux ? Mis en ligne sur le site Biology Letters, les résultats d’expériences américaines sur l’intelligence d’un lézard de Porto Rico montrent chez cet animal de réelles capacités cognitives, qui ont sans doute contribué au succès évolutif du genre auquel il appartient. Manuel Leal, biologiste à la Duke University en Caroline du Nord, a soumis à des tests expérimentaux – habituellement réservés aux oiseaux – des lézards de l’espèce Anolis evermanni, originaires de Porto Rico. Présentant aux reptiles un bloc de bois creusé de 2 petits puits, le premier vide et le second, recouvert d’un capuchon, contenant un ver (leur pitance), il a observé leurs réactions. 4 lézards (2 mâles et 2 femelles) ont fini par réussir à faire sauter le capuchon, soit en le mordant, soit en le heurtant du bout du museau. Et ce au terme d’un nombre de tentatives 3 fois moins élevé que des oiseaux testés antérieurement – une comparaison toutefois jugée moyennement pertinente par certains autres chercheurs. "Ils mettaient leur museau sous la petite anse en plastique, puis l’expulsaient rapidement. Ils ne le font pas dans la nature", remarque Manuel Leal, qui a compliqué ensuite le test en couvrant également d’un capuchon – d’une autre couleur – le puits vide : les lézards ont continué à agir sur le bon trou, celui qui contenait le ver. Enfin, les expérimentateurs ayant perfidement inversé les couleurs des capuchons, 2 des 4 animaux, après quelques erreurs, ont compris le truc – ce qui leur a valu les surnoms de Platon et Aristote. Des résultats "totalement inattendus" qui prouvent que, sur plusieurs tâches cognitives, ces reptiles ont su apprendre, désapprendre et se souvenir pour résoudre un problème jamais rencontré auparavant. Comparés à d'autres lézards, les Anolis sont plus doués pour exploiter divers habitats, et ils présentent un comportement complexe : des facteurs qui ont pu favoriser le développement de leurs capacités mentales. À l’inverse, leur réussite aux tests de laboratoire peut être une indication des traits qui ont permis à ce groupe de se répandre avec succès à travers les tropiques, selon les conclusions de Manuel Leal. Source
  10. À la découverte de l'anaconda et d'autres reptiles terrifiants Le palais des Reptiles s'est installé place du Travail. L'occasion pour les sapeurs-pompiers ... de suivre une leçon pratique sur les serpents et autres reptiles. Accueillis par Johnny Muller, le maître des lieux, les pompiers ont découvert les nombreuses espèces de serpents présents avant d'entrer dans le vif du sujet : comment attraper un gros serpent. « Il faut lui cacher les yeux avec linge ou un chiffon puis lui attraper la tête et ensuite le reste du corps, explique le spécialiste. Sachant que pour un anaconda mesurant plusieurs mètres, pas question de faire ça tout seul. Il faut se mettre à plusieurs. » Une opportunité pour les pompiers de remettre à jour leurs connaissances théoriques en la matière : « Chaque sapeur-pompier a, dans le cadre de sa formation, un cours sur les risques animaliers, où l'on aborde aussi bien les chiens dangereux que les araignées ou les serpents. Il y a un peu de manipulation mais ça reste globalement théorique, explique Pierre Declercq, chef du centre de secours de Roubaix. L'intérêt pour nous de rencontrer un spécialiste des serpents est d'obtenir des conseils et aussi de pratiquer. Car si l'on n'attrape pas des serpents tous les jours, ça arrive quand même parfois. Et quand le serpent a une très grande valeur, il vaut mieux que ça se passe bien pour nous comme pour lui. » Les pompiers ont donc pu manipuler quelques-uns des nombreux serpents présentés dans le cadre de l'exposition de reptiles. Après avoir fait un point théorique sur les serpents venimeux, puis les constricteurs, les soldats du feu se sont entraînés à attraper deux anacondas (constricteurs) mesurant pour l'un jusqu'à quatre mètres. Là, la concentration était au rendez-vous, d'autant que le spécialiste avait prévenu : « Si un jour un anaconda vous mord, vous allez souffrir, mais ne vous occupez pas de sa tête. Il faut l'empêcher de s'enrouler autour de vous. Si vous êtes seul, c'est impossible, vous serez mort en quinze minutes. Il faut absolument être à plusieurs pour s'en sortir. » Une manoeuvre qui a renforcé la légendaire solidarité des sapeurs-pompiers. • R. L. Jusqu'à dimanche place du Travail. Ouvert à partir de 14 h. Enfants 5 E, adultes 7 E. Source
  11. Une espèce longtemps interdite à la vente La tortue d’Hermann est un animal en voie d’extinction. En 1985, le commerce en a été interdit pour la protéger, avant d’être autorisé de nouveau, sous conditions drastiques, en 2006. Seules les tortues nées en captivité de parents eux-mêmes nés en captivité peuvent être vendues. Plusieurs démarches sont indispensables avant d’en acquérir. D’abord, il faut s’assurer de leur provenance : elles doivent être titulaires d’un certificat intra- communautaire (CIC). Il est aussi nécessaire de faire une demande d’autorisation de détention auprès de la DDPP (Direction départementale de protection des populations). Au-delà de six tortues adultes, une formation et un certificat de capacité délivré par les services vétérinaires sont indispensables. Si vous avez hérité d’un animal d’avant 1985, il faut pouvoir prouver votre bonne foi. « Car le problème, explique Philippe Javaux, c’est que, lors de l’interdiction, beaucoup de gens avaient des tortues chez eux qu’ils n’ont pas forcément déclarées. » Ces animaux, comme leur descendance, sont donc interdits à la vente, au grand dam de l’éleveur. « Il existe chez les particuliers des tortues de qualité génétique incroyable, que l’on ne peut pas utiliser pour la reproduction. » Et qui, souvent, se retrouvent en vente illégale sur Internet. Source
  12. Découvrez les tortues terrestres du Vexin Un éleveur du Val-d’Oise organise une surprenante expo-vente demain à Neuilly-en-Vexin. Des dizaines de tortues d’Hermann seront en quête de familles d’adoption. Demain, du côté de la salle polyvalente de Neuilly-en-Vexin, Philippe Javaux viendra présenter les petits bijoux de son élevage du Vexin : des tortues d’Hermann, une sympathique espèce terrestre originaire du sud de la France et longtemps interdite à la vente (lire ci-dessous). Ce passionné, installé dans le Val-d’Oise, mais qui préfère garder son lieu d’implantation secret pour protéger ses petits pensionnaires, fera découvrir aux visiteurs des spécimens âgés de 1 à 33 ans. Des petits compagnons écolos « qui se nourrissent des mauvaises herbes du jardin et ne demandent quasiment aucun soin », « non allergènes, qui vivent jusqu’à 50 ans et peuvent être laissés seuls pendant les vacances! », énumère l’éleveur. « Offrir une tortue à son enfant, c’est un peu l’école de la vie. Il doit apprendre que c’est un animal sauvage, qui garde son indépendance et qu’on ne peut pas déranger pendant cinq mois de l’année », résume Philippe Javaux, qui mettra en vente ses juvéniles (âgées de 1 an) à partir de 150 € l’unité. La tortue d’Hermann est la seule espèce qui existe à l’état naturel dans le sud de la France et peut donc vivre sans soin particulier en région parisienne. Seule exception, la reproduction. « Ici, il ne fait pas assez chaud pour que les œufs éclosent », explique le spécialiste. L’éleveur, lui, les récupère pour les mettre dans un incubateur. La première année, les juvéniles sont encore fragiles, mais peuvent déjà se débrouiller seules pour survivre, même si « on peut déjà prévoir un abri sommaire pour leur hibernation. » Une fois par mois, il organise une rencontre avec les détenteurs de tortues intéressés pour dispenser quelques conseils. Les tortues de l’éleveur du Vexin, qui est l’un des rares du pays, sont très prisées en France. « Je suis quasiment le seul à en vendre, justifie-t-il. Parce que c’est une activité très compliquée à mettre en place. Il faut plusieurs certifications. » Pour diversifier son cheptel, Philippe Javaux n’hésite pas à franchir des frontières afin de trouver la perle rare. « J’échange des tortues en Allemagne et même en République tchèque. » Sa satisfaction? « Chaque tortue qui part d’ici, c’est une tortue de moins que des gens sont allés prélever dans la nature. » Selon lui, le potentiel de l’activité légale est énorme : « La plupart des gens ne savent même pas que c’est autorisé! » Et l’éleveur d’estimer à 10000 les ventes potentielles en région parisienne. Il plaide donc pour « un accès facilité aux tortues légales » pour enrayer le trafic florissant sur Internet. Exposition-vente de tortues d’Hermann, demain de 10 heures à 17 heures à la salle polyvalente de Neuilly-en-Vexin. Renseignements sur www.tortuedeterre.info. Source
  13. Déclin d’un reptile exceptionnel : la tortue à nez de cochon Selon une étude australienne publiée dans la revue Biological Conservation, le déclin continuel des populations de tortues à nez de cochon, à la chair et aux œufs très prisés par les populations de Papouasie-Nouvelle Guinée, menace la survie de cette espèce rare. La tortue à nez de cochon (Carettochelys insculpta), seule espèce de sa famille, fait les frais de son succès alimentaire auprès des populations autochtones de Papouasie-Nouvelle Guinée, l’une de ses principales aires de distribution. Des zoologistes de l’Université de Cambera (Australie) ont mené des recherches sur la population de tortues de la région de Kikori, ainsi que sur la présence de viande ou d’œufs de cet animal sur les marchés locaux. Ils ont constaté que les villageois avaient récolté les œufs de plus de 95% des nids de la zone surveillée et prélevé plus de 160 femelles adultes. Rapprochant les données obtenues de celles résultant d’une étude similaire menée entre 1980 et 1982, les scientifiques ont constaté que les tortues femelles étaient devenues plus petites, en moyenne, les individus les plus gros ayant été capturés. De plus, l'espérance de vie globale de l'espèce a diminué. "Nous avons estimé la baisse de cette population de tortues à nez de cochon à plus de 50% depuis 1981", résume le Pr Carla Eisemberg, qui a dirigé la récente étude. Une espèce "unique et insolite" Cette espèce d’eau douce, fréquentant étangs et rivières d’Australie et de Nouvelle-Guinée, seule survivante d’une famille autrefois très répandue, occupe une place unique dans l’arbre généalogique de ces reptiles, et présente donc un grand intérêt scientifique : "les tortues à nez de cochon sont considérées comme uniques et insolites parmi les espèces de tortues d'eau douce, à cause de nombreuses facettes de leur morphologie, de leur écologie et de leur comportement. Tout comme chez les tortues marines, ses membres sont en forme de pagaie, mais possèdent encore les doigts mobiles", précise encore Carla Eisemberg. La scientifique préconise une politique de protection "donnant-donnant" en coopération avec les populations locales, pour qui cette espèce est une précieuse source de protéines. Source
  14. Ce que je dis souvent, c'est que le monde reptilien est encore en mode d'étude. Nous en apprennons chaque jour sur eux encore puisqu'ils font parti de nos vies depuis beaucoup moins longtemps que n'importe quelle autres espèces animales.
  15. Pour ce qui est du Halloween, c'est sûrement un milk snake et non un king snake. Il existe une phase de pueblan milk snake du nom de Halloween qui sont vraiment d'une beauté remarquable. Chose à savoir, le nom milk snake vient de la légende que ces serpents entraient dans les fermes pour boire le lait sur les pies de vaches, ce qui était faux, mais ils sont des king snake comme les autres. La raison qu'on les trouvait près des fermes comme ça, c'est seulement à cause de la facilité à trouver de la nourriture dans ces endroits. Pour ce qui est du terme ophiophage, effectivement, ils le sont. Ils se nourrissent donc de d'autres serpents et ce, même de sa propre espèce. On dit d'eux qu'ils sont même immunisé contre le venin des serpents venimeux mais je n'ai pas d'expérience personnelle là-dessus pour le prouver. Le nom king snake représente très bien le serpent par contre. Oui, ils sont manipulables. Ils ont par contre un caractère dont on ne cherche pas. Si on cherche un king snake, on trouve un king snake. Ils ne se laissent pas impressionné facilement. Les king snake sont les chihuahua ou les pinscher des serpents. Je m'explique, ils sont petits mais dans leur tête, ils sont gigantesques. On peut faire cohabiter des king snake mais avec beaucoup de supervision et surtout, d'alimentation. Si on les laisse sur leur faim, il y a de bonnes chances que l'un de ses colocataires soient assez appétissant pour le prendre comme repas. Lorsque j'ai reproduis des king snake dans le passé, je surveillais tout le long pour éviter un problème d'ingestion d'un ou de l'autre. Les petits sont généralement un peu plus difficile à démarrer pour l'alimentation mais celà est relativement possible à faire facilement. Certains ont besoin d'un petit coup de main dans le sens on frotte le rongeur sur un reptile afin de lui donner l'odeur du reptile. C'est un truc qui a été un succès de mon côté et pour plusieurs personnes que je connais qui ont vécu l'expérience.
  16. Pose tes questions sur les king snake au pire. J'en possède et j'en suis passionné depuis près de 15 ans alors je peux sûrement te répondre.
  17. Je ne les ai pas regardé depuis longtemps mais si je me rappelle bien, on y voit que des anacondas verts dans le vidéo. Je suis content que le vidéo puisse faire l'effet de tomber des préjugés sur l'espèce. Ce sont des reptiles donc ils fonctionnent par instint et non par désir de tuer. Pour ce qui est de l'instint maternel, j'ai une anecdote là-dessus. Personnellement, la seule espèce de boa que j'ai vraiment reproduis à titre d'éleveur a été le boa arc-en-ciel brézilien. Chaque fois que la femelle avait ses petits, j'avais de la difficulté à aller les chercher dans le terrarium puisqu'elle les protégeait. Tout ce qui approchait d'eux, elle voulait le mordre.
  18. Héhé belle bête même si c'est long cliquer sur tous ces liens
  19. Peu importe ou ce n'est pas courant. On voit beaucoup de California king snake mais pour ce qui est du reste, on en voit rarement.
  20. Effectivement, ça ne court pas les rues en plus. C'est un joli petit garçon un peu nerveux par moment mais généralement se manipule bien.
  21. Il s'agit effectivement d'une espèce de king snake ou serpent roi. Pour être plus exact, c'est un serpent roi variable de San Luis ou, de son nom scientifique, Lampropeltis mexicana mexicana.
  22. C'est juste que vous n'êtes pas compatible mais il y en a d'autres que tu aimes.
  23. Je me suis fais avoir dernièrement. Je suis allé dans un animalerie avec ma copine et le vendeur, me connaissant bien, m'a sorti un Lampropeltis (king snake). Je le voulais mais je tentais de me convaincre que non. Il m'a convaincu en me disant, pour toi, je te le laisse à (je vais me taire sur le prix pour ne pas déranger le vendeur ) qui tombait à être près de 70% de rabais sur le serpent. Je lui ai fais remarqué et il me répond tabarn... je me fais avoir, je n'avais pas réalisé, je vais te chercher une boîte. Ok, officiellement, je n'avais pas encore dit que je le prennais mais ma copine avait déjà décidé qu'il était à elle. Il s'agit d'une jolie petite bête en croissance. Je vous montre quelques photos! C'est une jolie bête hein?
  24. Bienvenue Nelka! Je suis content pour toi que tu ais pu vaincre ta peur. Tu entres dans un univers fascinant qui me passionne depuis des années personnellement. J'espère bien que ton souhait se réalise puisque la passion grandit encore plus lorsque nous pouvons la partager avec les autres.
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