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Joe Biden et la tortue du désert Chargé par Barack Obama d'identifier les gaspillages de l'argent du contribuable, le vice-président américain s'en est pris à un site internet gouvernemental consacré à ce petit reptile. C'est l'histoire d'un petit reptile qui allait faire les frais de gros gaspillages. Ce petit reptile est la tortue du désert, une tortue vivant dans les régions arides du sud-ouest des Etats-Unis. Espèce menacée, la bestiole a son propre site. Sans doute plus pour très longtemps. Car voilà, le vice-président américain, Joe Biden, a été chargé par Barack Obama d'identifier les gaspillages d'argent du contribuable. Toutes les sources de gaspillages d'argent. De l'impression du journal officiel par ailleurs disponible en ligne au site gouvernemental dédié... à la tortue du désert. Son nom : http://www.deserttortoise.gov.. Dans un message mis en ligne sur le site de la Maison Blanche et intitulé "Un nouveau shérif est arrivé en ville", Joe Biden écrit à l'attention de ses concitoyens : "Je parie que vous ne saviez pas que l'argent de vos impôts payait un site internet consacré à la tortue du désert. Je suis certain qu'il s'agit d'une espèce formidable, mais nous ne pouvons pas nous permettre d'avoir un site unique consacré à chaque membre de l'espèce animale". La Maison Blanche affirme que le gouvernement américain utilise 2.000 noms de domaine internet ".gov". Mais, c'est sans compter sous-domaines et petits sites dépendants de ces grands sites... Soit, au total, 24.000 sites internet "d'objectif, conception, navigation et accessibilité différents". "Les sites internet redondants et superflus sont source de confusion pour le public, et gaspillent de l'argent", note la présidence sur "
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Salon des bestioles de Lévis
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Max|mum-leterrarium dans Expositions et activités
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Insolite. Une tortue luth observée devant Groix : les images
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Insolite. Une tortue luth observée devant Groix : les images Jeudi, un plaisancier a pu observer, et filmer, une tortue luth entre Lorient et Groix. Une présence rare mais pas exceptionnelle de la plus grande des tortues marines. Ce qui s'appelle un beau coup de chance. Ou tout simplement avoir l'oeil. En s'offrant ce jeudi une journée en mer avec un guide de pêche de Port-Louis, Christophe Tabourin, 47 ans et originaire de Perros-Guirec, était loin d'imaginer qu'il approcherait de si près la plus grande des tortues marines. «Mon guide, Daniel Nicolet, m'a dit que c'était la première fois qu'il en voyait une en 30 ansd'exercice» s'amuse ce pêcheur régulier. «Une», c'est cette tortue Luth, repérée en fin d'après-midi au retour de leur virée en mer, entre Lorient et Groix. «Nous avons vu des oiseaux qui tournaient autour d'une carapace. Arrivés à cinq mètres de là, nous avons constaté qu'il s'agissait d'une tortue. Nous l'avons tranquillement observée pendant cinq minutes. Ensuite, elle a plongé». Rare sur les côtes bretonnes De retour, Christophe Tabourin signale cette présence à l'Aquarium de laRochelle. Et apprend qu'il pourrait s'agir d'une tortue Luth. Après visionnage de sa vidéo, Florence Dell'Amico, chargée du développement du centre d'études et de soins pour les tortues marines à l'Aquarium de laRochelle, le confirme. «Cette présence le long de nos côtes n'est pas exceptionnelle en période estivale, notamment sur le secteur de laRochelle. Mais c'est effectivement plus rare près des côtes bretonnes. Cela dit, on en a déjà recueilli jusqu'en baie du Mont-Saint-Michel. Les analyses que nous avons réalisées sur celles échouées ces derniers mois ont démontré qu'elles venaient des Caraïbes. Ce qui doit être le cas de celle-là. Elles peuvent mesurer jusqu'à deux mètres et nagent très rapidement. Et elles sont très solitaires». Une bonne nouvelle La tortue Luth fréquente tous les océans de la planète, mais sa survie est gravement menacée par le braconnage, les filets de pêche, la pollution et l'urbanisation du littoral. Elle figure sur la liste de l'UICN des espèces en voie de disparition et fait l'objet de conventions et de programmes internationaux de protection et de conservation. Elle parcourt plusieurs milliers de kilomètres pour rejoindre ses aires d'alimentation en méduses, qui constituent la majeure partie de son alimentation Selon la spécialiste, cette présence le long de nos côtes est plutôt une bonne nouvelle. «Cela indique tout simplement qu'il y a une bonne qualité du milieu marin». Florence Dell'Amico conseille aux autres chanceux qui pourront en approcher d'éviter de les toucher. «Et de nous contacter pour signaler leur présence et leur positionnement». Source -
Madagascar : les tortues radiées menacées de disparition
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Madagascar : les tortues radiées menacées de disparition Selon les conclusions des chercheurs présentées par WWF mardi à Antsakaviro, les tortues terrestres du Sud-Ouest de Madagascar sont vouées à l’extinction d’ici 25 ans, rapporte la Gazette de la Grande Ile. L’organisation tire la sonnette d’alarme sur l’avenir des tortues radiées, en proie à la déforestation et victimes du braconnage. Dans le rapport réalisé par de nombreux chercheurs nationaux et internationaux nommé « l’Ile aux trésors », 615 nouvelles espèces animales et végétales découvertes depuis 1999 ont été répertoriées. Les scientifiques estiment que les tortues radiées, peuplant le Sud-Ouest de la Grande Ile pourraient disparaître dans les 25 années à venir. Ces tortues, qui ont pourtant la capacité de s’adapter à leur milieu pendant des millions d’années, sont aujourd’hui décimées par le braconnage. Tuées pour leur viande, destinées aux exportations illégales, leur population s’est considérablement réduite. En 2005, WWF évaluait à 60000 spécimens repérés chaque année, entre 1999 et 2010, seules 8000 tortues ont pu être enregistrées par les différents acteurs de la conversation. De plus, la déforestation met en péril directement l’existence de ces tortues, en détruisant leur habitat naturel. En effet, 1,2% des forêts épineuses où vivent majoritairement ces animaux disparaissent chaque année. WWF a également souligné l’inadéquation des textes de loi au contexte actuel. Les tortues radiées sont classées espèce protégée, mais les textes juridiques constituent un bouclier bien faible contre les dangers qui les menacent et restent insuffisants à leur préservation. Ainsi la loi prévoit une sanction de 3000 Ar à l’encontre des trafiquants, alors qu’une tortue radiée revendue sur le marché Thaïlandais rapporte 30000 Ar. La disproportion entre les risques encourus et la valeur marchande de ces tortues ne permet pas d’enrayer efficacement le trafic. Pour WWF, changer les anciennes lois en vigueur et effectuer des contrôles plus stricts sont des actions nécessaires à la survie de l’espèce. Source -
Certains coléoptères tuent et mangent des amphibiens
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Certains coléoptères tuent et mangent des amphibiens Publiée dans la revue scientifique ZooKeys, une étude menée par des chercheurs israéliens décrit la façon dont certains coléoptères, inversant les rôles, attaquent et dévorent grenouilles ou crapauds bien plus grands qu’eux. Dans une étude récente, des chercheurs de l'Université de Tel Aviv ont constaté qu’un genre de carabes (coléoptères carnivore), Epomis pouvait paralyser et tuer des amphibiens de plusieurs fois sa taille. Partageant son habitat avec les amphibiens durant la journée, l’insecte leur lance, la nuit tombée, une attaque furtive. Selon l'étude, Epomis commence par mordre sa proie dans le dos, la jetant dans des spasmes violents - dernière tentative pour désarçonner l’insecte. L'incision paralyse la proie en quelques minutes, permettant ensuite au coléoptère de passer plusieurs heures à dévorer lentement son repas. Les chercheurs ont ainsi observé le carabe ingurgiter des grenouilles, des crapauds, des tritons et des salamandres… qu’ils avaient obligeamment fournis au prédateur. "Les amphibiens sont des prédateurs d'insectes typiques et leur régime alimentaire peut comprendre des coléoptères adultes, des carabes, en particulier. Ces attaques récemment filmées de coléoptères sur des crapauds et des grenouilles apportent de nouveaux éclairages sur les interactions des amphibiens et des insectes, documentant ce phénomène rare : des invertébrés s'attaquent aux vertébrés", explique Gil fané, directeur de l’étude. Découvrez ce phénomène en vidéo en cliquant ci-dessous : http://www.maxisciences.com/col%e9opt%e8re/un-amphibien-devore-par-un-coleoptere_art15166.html Source -
Des espèces très menacées L'AAPPMA Nivelle Côte basque souhaitant développer ses animations, a présenté récemment, une exposition sur les espèces menacées de la Nivelle, en partenariat avec le CPIE littoral basque pour les Barthes de la Nivelle. Toutes les espèces aquatiques ou semi-aquatiques de la Nivelle ont été représentées, du vison d'Europe à la loutre en passant par l'écrevisse à pattes blanches et des poissons comme le saumon ou l'anguille. Cette manifestation avait pour but de sensibiliser les personnes à la reconnaissance et à la préservation de ces animaux ; méconnus, ils sont souvent les victimes d'accidents ou de confusions avec d'autres espèces. L'attention a été portée sur les espèces autochtones, qui bien souvent ne sont pas ou peu connues du grand public ; ainsi des espèces endémiques aux Pyrénées comme le Desman (petit rongeur amphibie) ou la grenouille et l'Euprocte des Pyrénées (amphibien de la famille des salamandres) ont été présentées et souvent découvertes par les visiteurs. Trois membres de l'association étaient disponibles afin d'informer le public. Cette exposition a permis à l'AAPPMA Nivelle Côte basque de partager ses connaissances sur le milieu aquatique et de sensibiliser le public à l'importance de la sauvegarde des espèces. Source
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Festivent de Lévis
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Max|mum-leterrarium dans Expositions et activités
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Les Zanimos s'exposent à Saint-Denis ! Le 1er salon Zanimos attire du monde ! Petits et grands se sont donnés rendez-vous pour ce premier rendez-vous animalier au parc des Expos de la Nordev sur Saint-Denis. Entre les reptiles, les oiseaux, les chiens, les chats… les visiteurs semblent conquis ! La grosse attraction du salon est le stand des reptiles qui ne désemplie pas... er salon animalier à Saint-Denis et le public est déjà au rendez-vous. Pour une première journée la manifestation Zanimos a fait le plein proposant toutes sortes de stands dédiés aux professionnels du domaine animalier. Organisé du 11 au 13 juin au Parc des Expos de Saint-Denis, c'est la première fois qu'un tel salon voit le jour à la Réunion. Entre les chiens, les chats, les vaches, chevaux…, les marmailles et leurs parents semblent conquis par l'événement. Certes on pourra regretter qu'il n'y ait pas assez de représentants du monde agricole, mais les stands qui attirent le plus de visiteurs sont les reptiles et les oiseaux. Gros succès pour les reptiles Les enfants sont littéralement scotchés aux cages exposant des serpents et autres lézards. "On fait découvrir tous les reptiles, un peu moins connus, au public comme les lézards et serpents", explique Johann Cuffard, travaillant pour une animalerie spécialisée dans la vente de reptile. Sur le salon il est possible d'acheter des reptiles, les prix varient de 20 euros pour une petite tortue à près de 500 euros pour un python ! Mais attention avant de se lancer sur un achat comme celui-ci, il faut bien réfléchir et les animaleries le rappellent aux visiteurs. "Même si nous sommes présents pour faire passer la peur provoquée par ce genre d'animaux. On est présent pour discuter avec les visiteurs sur les différentes conditions qui découlent de ces achats", souligne-t-il. Pour tout achat il sera fourni une facture et numéro de Cites qui prouve que l'animal a été introduit légalement dans l'Union Européenne. "Pour ce qui est des conditions de maintiens (ndlr : nourriture, entretien, …) nous fournissons toutes les explications", précise-t-il. Les visiteurs pourront repartir avec un spécimen s'ils le désirent, en attendant les curieux pourront toujours en prendre plein les yeux derrière les vitres ! Samedi 11 Juin 2011 - 15:45 Julien Delarue Source
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Superbe couleuvre verte et jaune Le printemps bien entamé et le soleil qui réchauffe la terre réveillent aussi les reptiles. Cette grande famille qui domina la planète avec les dinosaures regroupe aujourd’hui tortues, lézards et serpents. Qui n’a pas vu le lézard se chauffer sur un mur ou fuir à notre approche, ou l’orvet dans le jardin caché sous l’herbe sèche ? Les serpents ne sont pas en reste par leur diversité. Ce sont des vertébrés avec une colonne vertébrale et des côtes. Partons à la découverte d’un serpent remarquable, la couleuvre verte et jaune. C’est une cousine de la couleuvre à collier que certains appellent « couleuvre d’eau » car c’est une excellente nageuse. Un serpent à la robe originale La couleuvre verte et jaune est présente en France dans une grande moitié sud, avec une progression vers le nord. Elle remonte à l’ouest jusqu’à la Loire et à l’est en Lorraine. Elle est bien présente en Haute-Saône. Le département des Vosges et le sud Meusien (Bar-le-Duc) constituent sa limite nord actuelle. On peut la voir du pays de Neufchâteau, en passant par la Vôge et jusqu’au Val d’Ajol. Ce grand serpent peut atteindre 1,50 m et son corps est de couleur noire ou vert foncé avec des taches formant des barres ou des séries transversales près de la tête, et des lignes « en pointillés » jusqu’à la queue. Le ventre est jaune ou blanc verdâtre. Quand on a la chance d’observer ce magnifique serpent, il est difficile de se tromper sur la couleuvre verte et jaune, tant ces « pointillés » jaunes sont originaux. Où voir ce serpent ? La couleuvre verte et jaune habite les endroits secs, ensoleillés, les broussailles, les murs et les rochers. On peut l’observer plus facilement au printemps quand elle se chauffe au soleil, le matin et en fin d’après-midi. Elle affectionne les talus, les lisières forestières, les bords de chemin et même les haies mais n’hésite pas à parcourir des milieux humides (prairies, bords de rivières). La couleuvre verte et jaune peut grimper dans les buissons et même les arbres. Quand on s’approche, elle peut fuir très rapidement tout en fouettant de sa queue, mais peut revenir après quelques minutes si le danger est écarté. Vous pouvez l’observer soit allongée en plein soleil où elle fait le plein d’énergie, soit enroulée quand le soleil décline, ceci afin de concentrer au maximum la chaleur des derniers rayons. Le soleil, moteur de la vie Comme tous les reptiles, la couleuvre verte et jaune a besoin d’une exposition au sud pour réchauffer son corps d’animal dit « à sang froid » ou animal poïkilotherme. Seuls les oiseaux et les mammifères arrivent à maintenir grâce à leur métabolisme, une température élevée de leur corps. Pour les serpents, le soleil donnera d’abord la chaleur nécessaire à la reptation ; lente le matin, elle sera vive au zénith. Ensuite, il permettra à l’animal d’assurer la capture rapide et surtout efficace de ses proies. La couleuvre verte et jaune est très agile et très rapide ce qui en fait un redoutable prédateur de rongeurs en majorité, mais aussi de lézards, de batraciens et même d’autres serpents (des vipères ou d’autres couleuvres). Quand sa proie est grosse notre couleuvre la maîtrise et la tue par constriction comme un boa ! Les proies sont dégluties entièrement puis digérées. Là encore, la chaleur du soleil va permettre au serpent d’accélérer la digestion de la proie. Aidez la couleuvre Un pierrier, un vieux mur, une haie, un verger, un bon tas de compost ou de branches mortes pourraient accueillir ce magnifique reptile qu’est la couleuvre verte et jaune. Vous découvrez une couleuvre verte et jaune ou un autre serpent ? Profitez-en pour l’observer et signalez sa présence à Oiseaux-Nature. En partenariat avec Oiseaux-Nature Pour les sorties : voir l’agenda sur le site http://association-oiseaux-nature.wifeo.com ou tel : 03 29 32 72 72. Source
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Lê Mât, un village des serpents qui charme les touristes
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Lê Mât, un village des serpents qui charme les touristes Le village de Lê Mât, dans la commune de Viêt Hung, district de Gia Lâm, Hanoi, est depuis fort longtemps reputé pour pour la chasse, l'élevage de serpents aussi des mets concoctés à base de l'animal. Une tradition qui a fait la fierté du village. "C'est un métier original que l'on ne connaît guère ailleurs" , déclare fièrement Nguyên Danh Vinh, président du Comité populaire de la commune de Viêt Hung. Lui-même a fait partie des chasseurs-éleveurs de serpents depuis vingt-six ans, contribuant à préserver la passion sacrée du métier. Les fameux produits à base de serpent tels qu'alcool de serpent (ruou ran), médicament à base de venin de serpent, et autres et divers objets fabriqués avec de la peau de serpent comme ceintures, portefeuilles, chaussures..., sont vendus dans le pays comme à l'étranger. Dans les années 1960, Lê Mât possédait déjà une ferme d'élevage de serpents sous forme de coopérative, dont les animaux étaient utilisés pour la préparation de mets spéciaux et préparations médicinales dont partie était exportée. En 1993, le Vietnam ayant ratifié les conventions internationales sur la protection de la vie sauvage et transposé leurs dispositions en droit interne, le village les a rigoureusement respectées. Les plats à base de serpents furent absents durant de nombreuses années et le métier fut très limité. En 2007, compte tenu des potentiels et du statut de Lê Mât au regard des critères d'un village de métier, le comité populaire de la commune de Viêt Hung a élaboré le "Projet de développement du village de métier traditionnel Lê Mât en relation avec le tourisme et la gastronomie" , dont le but était de restaurer et de développer le métier traditionnel de l'élevage et de la transformation des serpents. Il fut un jalon majeur de la renaissance et de l'épanouissement de ce village. Dans le cadre de ce projet, le comité populaire de l'arrondissement de Long Biên a créé la commission de pilotage pour le développement du village de métier et le club de Lê Mât qui comprend plus de 40 membres. Le village a investi dans ses infrastructures et, en même temps, a invité des experts à venir enseigner les procédés d'élevage des serpents. Les foyers d'éleveurs ont bénéficié de subventions ainsi que d'une assistance juridique pour obtenir une autorisation d'élevage. Après trois années de restructuration et de développement, Lê Mât possède une bonne centaine de foyers d'éleveurs employant près de 400 personnes, deux modèles d'élevage centralisés que sont l'élevage pour la chair et celui pour la reproduction d'une superficie totale de plus de deux hectares, lequel offre également des produits d'écotourisme. Le village accueille chaque jours environ 500 visiteurs, vietnamiens comme étrangers, qui viennent découvrir les spécialités de serpent... La recette de l'élevage, de la transformation, du tourisme et des services s'élève à plus de 31 milliards de dôngs par an, représentant 44,22% du bilan des activités productives locales. Le 27 janvier 2011, la municipalité de Hanoi a décidé de lui décerner le titre de "Village de métier traditionnel d'élevage de serpents de Lê Mât", titre remis le 22 avril dernier, lors de la fête traditionnelle du village (du 20 au 23 mars du calendrier lunaire). Le président du Comité populaire du quartier de Viêt Hung, Nguyên Danh Vinh, a souligné que la reconnaissance de Lê Mât en tant que village de métier traditionnel est un atout pour sa préservation et son développement. Dans les prochaines années, le village devra examiner et étudier le modèle d'élevage de serpents centralisé dans des zones éloignées de la population, orienté vers la performance pour attirer les touristes et préserver les produits locaux. Il lui faudra continuer de généraliser les modèles d'élevage de serpents pour la chair et la reproduction, tout en réduisant l'élevage en foyer et en garantissant l'environnement comme la sécurité des gens. Enfin, il sera important de finaliser le projet de "Construction de la rue gastronomique du village de Lê Mât" qui comprendra de nombreux restaurants de spécialités traditionnelles, de restaurer les vestiges historiques et culturels reconnus par l'État, de gérer et exploiter les fêtes traditionnelles, de créer le "Centre d'exposition du village de métier de Lê Mât" où seront présentés aux visiteurs les produits typiques réalisés à base de serpent. L'ensemble de ces tâches devront se fonder sur et pour l'union féconde de la culture, le tourisme et la gastronomie" de ce village. Minh Phuong/CVN 6/6/2011 Source -
Les geckos ont du souci à se faire est-ce là qu'une rumeur ? De riches clients, que l'on dit chinois ou coréens, débourseraient de petites fortunes pour acquérir ce lézard tropical, théoriquement protégé. On parle de 100 000 pesos [1 600 euros] offerts pour un animal de 500 grammes (le poids moyen d'un adulte se situe autour de 350 grammes), raconte le Philippine Daily Inquirer. Les tukos – comme on les appelle aux Philippines – entreraient ensuite dans la fabrication de remèdes médicinaux, mais aussi dans des programmes de recherche d'un vaccin contre le sida. Conséquence : aux quatre coins de l'archipel, la chasse est ouverte et on trouve même des offres sur des sites de petites annonces. Source
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Journée nationale jeudi à Rabat, consacrée aux cas d'envenimations par morsures de serpent Une journée nationale, sous le thème "problématiques des envenimations par morsures de serpent au Maroc", sera organisée, jeudi prochain à Rabat, par Le Centre anti poison et de Pharmacovigilance (CAPM). Cette rencontre s'inscrit dans le cadre de lutte contre le fléau des morsures de serpent qui pose un vrai problème de santé publique, indique un communiqué du Centre. Cette journée sera axée sur plusieurs questions liées audit phénomène, notamment "la systématique, l'écologie et la répartition géographique des serpents venimeux et l'épidémiologie des envenimations ophidiennes". Elle sera également l'occasion de débattre des aspects cliniques et thérapeutiques des morsures de serpent, de la sérothérapie antivenimeuse. Plusieurs spécialistes et experts en herpétologie, en toxicologie et en épidémiologie, outre des producteurs des sérums spécifiques prendront part à cette journée. MAP Source
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Les serpents et autres reptiles ne sont pas à l’abri de problèmes de digestion Réputés pour être capables d’ingurgiter leur proie en une seule fois, les reptiles et les serpents ne sont pas pour autant exempts de problèmes digestifs. Toutefois, selon une récente étude européenne, leurs indigestions seraient dues, non pas à l’absence de déglutition, mais à la présence d’un parasite. Ce dernier serait, en effet, à l’origine d’une maladie gastro-intestinale très contagieuse, appelée cryptosporidiose. Peu fréquente chez les mammifères, celle-ci est, en revanche, très répandue chez les reptiles, avec une issue souvent létale. Elle peut également affecter l’homme. Apparaissant après une longue période d’incubation, cette maladie gastro-intestinale est connue des scientifiques depuis plus d’un siècle, bien qu’aucun remède ne soit actuellement disponible. Le diagnostic repose sur la détection des parasites dans les fèces. Mais cette opération est problématique chez les serpents notamment, dans la mesure où ces derniers excrètent des parasites qu’ils ingèrent avec leur proie. Dès lors, la présence du parasite n’implique pas toujours que l’animal soit infecté. En outre, les cryptosporidies, les parasites responsables de la maladie, sont souvent présents dans les fèces en très petite quantités et difficilement détectables. Publiée dans le Journal of Veterinary Diagnostic Investigation, l’étude a permis de déceler la présence d’un type particulier de cryptosporidie dans l'un des six échantillons provenant d'un serpent domestique, la couleuvre des blés. Le parasite était également présent dans approximativement un échantillon sur douze pour le gecko léopard, un lézard répandu dans les collections de reptiles. Selon l’équipe de chercheurs de l'université de médecine vétérinaire de Vienne (Autriche), à l’origine de cette étude, ces résultats montrent que la cryptosporidiose est désormais une maladie courante. Inquiétante, la sensibilité des reptiles communs à cette maladie implique un risque élevé d’infection entre les différentes espèces réunies au sein de collections de reptiles. Cécile Cassier Source
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Biodiversité: Les tortues terrestres vouées à l’extinction
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Biodiversité: Les tortues terrestres vouées à l’extinction Si rien ne se fait pour les tortues terrestres du Sud-ouest de Madagascar, elles disparaîtront d’ici 25 ans. C’est ce que le WWF a avancé hier à Antsakaviro lors de la présentation du rapport « L’île aux trésors ». Fruit des recherches du WWF, de chercheurs nationaux et internationaux, ce document évoque les 615 nouvelles espèces animales et végétales découvertes de 1999 à 2010. Si de nombreuses espèces comme les tortues radiées citées plus haut sont menacées de disparition, d’autres viennent de se révéler aux chercheurs. Le représentant de WWF à Madagascar et des îles de l’océan Indien, Richard Hughes affirme : « Ce rapport montre la valeur de la biodiversité de la Grande Ile, les enjeux et l’importance de cette biodiversité ». Si l’on prend l’exemple des invertébrés dont les araignées, ils sont souvent perçus comme peu importants. Or, les auteurs du rapport soulignent : « Les invertébrés participent au recyclage des matières nutritives et à la formation et la qualité des sols. Ils sont aussi une source de nourriture pour de nombreux prédateurs ». Le primatologue, coordonnateur de l’ONG Durell wildlife conservation trust et responsable du Groupe d’étude et de recherche sur les primates de Madagascar (GERP), Jonah Ratsimbazafy affirme également que les lémuriens comme les microcèbes jouent un rôle important dans la pollinisation de certaines graines. Des plantes sont menacées si les microcèbes disparaissent. Ce primate découvert en 2000 et portant le nom de la primatologue Berthe Rakotosamimanana, Microcebus berthae, est pourtant en voie d’extinction en raison de la déforestation. Un problème qui risque fort de perturber la survie de certaines plantes, voire la chaîne alimentaire. Mais la moitié des 103 espèces de primates enregistrées à Madagascar ne fait pas l’objet de données approfondies. Elle devrait pourtant avoir des caractéristiques spécifiques sur le plan écologique, agricole... Le primatologue encourage les jeunes chercheurs à s’y pencher car au vu de la déforestation, le pays risque de voir disparaître des espèces sans pouvoir collecter des données sur elles. Concernant les tortues, Tina Rasamoelina de WWF rappelle qu’en 2005, les tortues radiées collectées tous les ans étaient estimées à 60 000 par an, alors que de 1999 à 2010, le partenariat entre les différents acteurs de la conservation a permis de saisir 8 000 tortues. C’est une espèce qui s’adapte à son milieu pendant des millions d’années. Elle risque de disparaître en un rien de temps à cause des trafics et de la pauvreté. La tortue est collectée pour sa viande et pour les exportations illicites. Il faut y ajouter la déforestation. 1,2% des forêts épineuses, habitat de ces tortues, disparaissent tous les ans. Toutefois, la plupart des textes protégeant les espèces ne sont plus adaptées au contexte ou ils sont méconnus par le système judiciaire. Le directeur de la conservation de WWF, Nanie Ratsifandrihamanana explique que pour WWF, le renforcement de l’application des lois s’inscrit dans les actions de WWF pour les 5 prochaines années. Il faut noter que certaines sanctions prévues par des vieilles lois s’élèvent à 3 000 Ar alors qu’une tortue radiée écoulée sur le marché thaïlandais vaut 30 000 dollars. Source -
Sous le signe de la tortue: au secours d'une espèce menacée
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Sous le signe de la tortue: au secours d'une espèce menacée PARIS - Vertes, à écailles, géantes, luths ou caouannes, les tortues marines sont aujourd'hui menacées de disparition: le combat pour leur survie est au centre du documentaire Sous le signe de la tortue, qui donne la parole à ceux qui ont décidé d'enrayer ce processus. Le film emmène les téléspectateurs à Madagascar, aux Seychelles, en Afrique du Sud et à La Réunion pour suivre le destin parfois tragique de ces animaux qui vivent sur terre et dans les mers depuis des centaines de milliers d'années. Ce 52 minutes, réalisé par Rémy Tezier et commenté par Isabelle Delannoy, sera diffusé samedi 11 juin à 17h00 sur France 5. Berthin Molotinirina, enseignant chercheur, milite pour la protection des tortues vertes de Madagascar. Une mission très difficile dans un pays où 72% de la population vit sous le seuil de pauvreté et survit grâce au commerce de ce reptile marin. Le commerce des tortues marines empaillées est interdit par la convention de Washington mais à Tulear, il représente aujourd'hui une activité rémunératrice. Chaque jour, une dizaine de bêtes sont tuées, en dépit de la mise en place d'une politique de protection, déplore Berthin Molitonirina. Sur l'île de Bird aux Seychelles, une tortue pond sous le regard admiratif de quelques touristes. Un spectacle rendu possible grâce à Marie-France Savy, une enfant du pays, qui concilie tourisme et protection de la nature. Pionnière de l'écotourisme, elle accueille les visiteurs sur son île depuis 1973 et leur explique le rôle essentiel que jouent les tortues marines dans les fonds marins. Chaque saison, avec son équipe, elle sauve des milliers de bébés tortues des pinces des crabes. On assistera aussi à l'opération chirurgicale d'une tortue qui a avalé un hameçon au centre Kélonia à La Réunion, créé en 1997 en remplacement d'une ferme d'élevage de tortues exploitées dans les années 80 pour leur viande et leur précieuse carapace. Défendre son environnement peut apporter la promesse d'un avenir meilleur, revendique Isabelle Delannoy. C'est le signe que nous avons reçu de la tortue. Source -
Un nouveau fossile éclaire l'origine des serpents
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Un nouveau fossile éclaire l'origine des serpents La découverte en Allemagne d’un fossile de lézard vieux de 47 millions d’années réfute l’une des théories expliquant l’origine des serpents. Les serpents descendent-ils des lézards ou de reptiles fouisseurs ressemblant à des vers, les amphisbènes ? La question a longtemps divisé les paléontologues. En 2005, une analyse génétique menée par Nicolas Vidal, du Museum national d’histoire naturelle de Paris, trancha en faveur des lézards. « Les données génétiques et moléculaires indiquaient que les serpents ne descendent pas des amphisbènes, mais personne n’avait trouvé de fossile pouvant le confirmer », explique le paléontologue. Or un tel fossile vient d’être découvert en Allemagne par des paléontologues du Musée d’histoire naturelle de Berlin. Il s’agit d’un spécimen de lézard vieux de 47 millions d’années. Baptisé Cryptolacerta hassiaca, cet animal d’à peine 8 centimètres de long est le seul de son espèce (voir la photo en haut). Les chercheurs ont d’abord examiné le fossile par tomodensitométrie, une technique d’imagerie aux rayons X permettant de reconstituer le squelette de Cryptolacerta hassiaca en trois dimensions. Ils ont mis en évidence un crâne plus massif que celui de la plupart des lézards, garni de renforcements et constitué d’os solidement soudés entre eux (voir ci-dessous). Autrement dit, ce crâne est approprié à l’enfouissement comme celui des amphisbènes, faisant de ce petit lézard leur plus proche parent. Ces données morphologiques ont été confirmées par des analyses génétiques. « Les serpents étant beaucoup plus anciens que Cryptolacerta, on peut définitivement écarter la thèse selon laquelle ils descendent des amphisbènes », conclut Nicolas Vidal. A ce jour il estime, avec de nombreux scientifiques, que les plus probables ancêtres des serpents seraient les iguanes et les anguimorphes, un groupe comprenant les varans. Source -
Un serpent capturé ! Ce samedi 04 Juin 2011 vers 14 heures, les pompiers de Trith-Saint-Léger ont été contacté par le comité des fêtes du Fort. Un serpent, ( une couleuvre certainement ) s'etait mise sous un chalet place du fort (Nelson mandella) rue Ghesquiére à Trith-St-Léger, chalet, qui nous rappelons servira ce dimanche 05 Juin 2011 à la traditionnelle Kermesse annuelle pour une journée bien chargée en animation (entrée gratuite) Apres plus de 20 minutes, le serpent à pu être capturé par les pompiers de Trith-St-Léger, qui a mobilisé une dizaine d'homme quand même ! Ce dimanche rassurez-vous les personnes ayant réservé le repas méchoui, pas de serpent au menu ! Source
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Anaconda : Les géants du Vénézuela
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Max|mum-leterrarium dans Télé et DVD
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Anaconda : Les géants du Vénézuela
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Max|mum-leterrarium dans Télé et DVD
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Chalon : Carnet rose chez les anacondas en vidéo C'est un carnet rose un peu particulier que nous vous proposons aujourd'hui en vidéo. Car les bébés ne sont pas communs. Ils ne sont pas nés à la maternité mais sur l'exposition de reptiles vivants actuellement présente sur le parking de la zone commerciale de la Thalie. 20 bébés anacondas ont ainsi vu le jour dans leur terrarium tandis qu'un oeuf de tortue alligator a lui aussi éclos cette semaine. D'autres naissances de tortues devraient suivre dans les prochains jours. carnet rose chez les anacondas par leJSL Source
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Différence entre les grenouilles de Nain africaine et de la grenouille africaine Au cours des dernières années, il y a eu une hausse stark dans le populaire de grenouilles aquatiques chez les amateurs. Xenopus de grenouilles aquatiques tels que les pays africains et nain grenouilles sont connus pour leurs comportements uniques qui sont intéressante et divertissante. Quiconque a jamais vu un réservoir de grenouilles peut attester cela. Certains amateurs d’exécuter le problème du logement grenouille avec des grenouilles naine en raison d’un manque de connaissances des deux espèces. Après que vous lisez cet article au complet, vous serez capable de bien comprendre les différences entre les deux types de grenouilles. Nain africain et les similitudes de grenouille onguiculés Avant que nous montons commence avec les différences entre les deux types de grenouilles, nous allons tout d’abord une compréhension pour les similitudes d’entre eux. Grenouille et nain grenouilles sont entièrement aquatique. Ils sont capables de vivre sous l’eau sans la nécessité de laisser l’eau. Ces créatures aussi ressemblent beaucoup qui provoque souvent des gens à confondre un type pour les autres qui peuvent entraîner des problèmes dans un aquarium. Les deux partagent des comportements similaires tels que traîner au fond du réservoir tout en touchant à l’occasion de surface de l’eau. Nain africain et les différences de grenouille onguiculés Il y a quelques différences entre les deux. Connaître ces différences peuvent être une affaire vivant ou mort quand l’empoissonnement votre aquarium. Les grenouilles miniature croissent beaucoup plus petits que la version onguiculée avec les plus grandes pouces un peu plus de deux croissantes. Espèces onguiculés ont su se développer aussi grand que huit pouces. Seules les versions onguiculées sont disponibles sous une forme albinos. Tandis que les deux types d’amphibiens sont équipés de pattes palmées, seulement le nain a palmés mains. Les yeux sur une grenouille naine africains sont situés sur le côté de sa tête tandis que les yeux d’une espèce onguiculée se trouve sur le dessus de tête de la grenouille. Alors que les exigences de l’habitat sont assez semblables pour les deux grenouilles, il y a quelques différences. Par exemple, la grenouille nécessite un plus grand réservoir puisqu’elles poussent beaucoup plus grandes. Le régime alimentaire de ces créatures est également similaire dans le fait qu’ils sont les deux carnivores. Cependant, grenouille est des prédateurs beaucoup dangereuses dans un aquarium de domicile. Ils sont capables de manger des créatures beaucoup plus grandes comme les petites écrevisses et goldfish. Jamais la maison grenouilles naine africaine avec grenouille africaine ! La plus grande grenouille va tuer et manger la plus petite grenouille naine. La grenouille est également connue pour être un peu plus agressif que la miniature qui est normalement Pacifique. Après coup Les deux types de créatures aquatiques sont extrêmement divertissants et peuvent être très intéressante des animaux de compagnie. Grenouille est illégales dans certains États, donc certaines personnes devront régler pour le type de miniature qui n’est pas une mauvaise chose. Après avoir lu cet article, j’espère que vous serez maintenant en mesure de comprendre les similitudes et les différences des deux espèces. Source
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Saint-Génis-des-FontainesLes serpents vivants à la salle polyvalente
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Saint-Génis-des-FontainesLes serpents vivants à la salle polyvalente SAINT-GENIS-DES-FONTAINES Les serpents font peur et en même temps ils fascinent, ils ne laissent personne indifférent. Demain à 18 h 30, le Reptiles Show donne une séance de présentation et manipulations de reptiles vivants agrémentée par des explications sur leur physiologie et leur mode de vie à la salle polyvalente. Aider le public à surmonter les peurs non fondées que les serpents inspirent et expliquer les dangers réels que ces reptiles présentent, tel est le but du Reptiles Show. M. Dieter, herpétologue qualifié, présente ses animaux l'un après l'autre, montre leurs particularités et caractéristiques pendant que la présentatrice fournit tous les renseignements. De la petite couleuvre au python de 6 m de long, puis d'autres mal-aimés au programme tel que bongo, le crocodile, scorpion et mygale. A la fois fascinant et éducatif ce spectacle inhabituel séduit un public de tous âges. Source -
Environnement / Deux tortues marines en détresse recueillies et soignées par le WCS à Libreville Libreville, 9 juin (GABONEWS) – Deux tortues vertes adultes gravement blessées suite à des chocs violents et recueillies par des riverains après s’être échouées sur la plage du centre-ville de Libreville, en l’espace de deux semaines, ont reçu des soins intensifs dans un bassin de la Wildlife Conservation Society (WCS) et vont probablement être relâchées demain (vendredi) dans leur environnement naturel, a-t-on appris ce jeudi. Sauvées et recueillies par des riverains puis conduites dans les locaux de la WCS, à Libreville, Gypsie, la tortue femelle et Benjamin, le mâle, gravement blessées par des braconniers et par l’hélice d’un moteur, ont reçu des soins intensifs dans les locaux de cette structures qui s’occupe de la préservation globale de la nature. Ces soins ont permis à ces deux animaux, espèces entièrement protégées de recouvrer leur santé. Ce qui a poussé les responsables de cette ONG les relâcher ce vendredi matin, dans leur milieu naturel. « Je pense que ces deux tortues peuvent désormais regagner leur environnement vital. Je me rappelle qu’elles sont arrivées ici très fatiguées du fait du choc qu’elles avaient reçu, elles ont été aussitôt mises sous traitement et tout le monde constate ici que ça va bien et par conséquent nous allons les relâcher car leur environnement est le meilleur médecin dans ces cas de figure », a déclaré le Dr Nontsé Loïs Allela, du cabinet vétérinaire CIEL. Rappelons que GYPSIE, la tortue femelle, a été retrouvée sur la plage de Libreville, devant la présidence de la République, le dimanche 15 mai 2011, par deux enfants qu’accompagnait un homme qui a alerté la chaîne de télévision privée TV+ avant que ce médium ne prévienne à son tour l’ONG Aventure Sans Frontière (ASF) qui s’occupe de la protection des tortues marines. GYPSIE était en état de grande fatigue à son arrivée dans les bureaux de la Wildlife Conservation Society (WCS), et présentait une blessure profonde à la tête. La cause probable est une collision avec une hélice de bateau, au regard de la largeur et de la profondeur de la blessure. Cette femelle est une tortue verte (Chelonia mydas) avec une longueur courbe - la longueur de sa carapace est de 90 cm-. Ce qui laisse penser qu’elle est très vieille et peut avoir entre 80 et 100 ans. Son poids est estimé à 70-80 kilos. Quant à BENJAMIN, la tortue mâle, elle été retrouvée sur la même plage le lundi 30 mai 2011, par un passant, puis recueilli par l’ONG ASF. Elle a également subit des soins intensifs dans le bassin du WCS. BENJAMIN est également une tortue verte (Chelonia mydas), sa longueur courbe est de 93 cm, ce qui permet de dire qu’il est également très âgé. Toutes deux font partie des quatre (4) espèces de tortues marines du Gabon, notamment les Luth, Verte, Olivâtre et Imbriquées; intégralement protégées. L’ONG Aventure Sans Frontière et le WCS exhortent de ce fait les populations à s’engager dans la lutte contre l’extinction de ces animaux marins qui subissent encore malgré tout, les affres des braconniers qui commercialisent leur viande très prisée par certaines communautés côtières du Gabon. GN/MM/DCD/11 Source
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Des têtards élevés dans la bouche de grenouillles mâles
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Flash
Des têtards élevés dans la bouche de grenouillles mâles L'habitat naturel de la grenouille de Darwin se situe dans l'eau des forêts du Chili et de l'Argentine. Étrangement, les têtards se réfugient dans la bouche de leur père par une minuscule ouverture sous la langue. Ils demeureront dans ce sac vocal de la grenouille adulte le temps de leur croissance, soit environ 60 jours, jusqu'à ce qu'ils atteignent une longueur approximative de un pouce. Alors le mâle les expulse, puisque suffisamment développés, leur redonnant leur liberté. La grenouille de Darwin du Chili, se particularise du fait qu'elle se retrouve le dernier membre d'une espèce élevant ses petits de cette façon. Elle fut baptisée ainsi en l'honneur de celui qui en fit la découverte. Cette grenouille se retrouve face à un avenir incertain notamment à la suite de projets de construction de barrages hydroélectriques aux abords d'un de ses milieux de vie les plus importants. Le développement de l'industrie et particulièrement le retour d'un champignon, le chyrtrid, responsable de la disparition de différentes espèces d'amphibiens sur terre, menacent ces batraciens. L'élevage en captivité, dans le but de sauvegarder cette espèce jugée vulnérable, permettra une augmentation du nombre de ces grenouilles uniques suivi de leur réinsertion dans la nature. Source