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Max|mum-leterrarium

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Tout ce qui a été posté par Max|mum-leterrarium

  1. Les vétérinaires vont rendre la tortue géante au lac de l’Épée restituée "Les résultats des quatre analyses effectuées à partir d'échantillons prélevés sur la tortue de Hô Guom (lac de l'Épée restituée) ont montré qu'elle était totalement rétablie", a déclaré Bùi Quang Tê, chef du groupe chargé des soins de la tortue de Hô Guom, lors d'une réunion du Comité de pilotage d'urgence de protection de cette tortue emblématique, tenue le 22 juin à Hanoi. Il a également fait savoir que maintenant, ce reptile pouvait de nouveau s'adapter à l'eau du lac, ses blessures ayant complètement disparu. Pour préparer la remise en liberté de la tortue dans le lac, Nguyên Van Khôi, vice-président du Comité populaire de Hanoi, a demandé aux services concernés d'élargir la surface du bassin de soins à 30 x 30 m pour 1,8m de profondeur, contre les 10 x 10 m d'aujourd'hui. Le Département des produits aquatiques de Hanoi continue de lâcher des poissons dont se nourrit la tortue. Le Service des ressources naturelles et de l'environnement accélère le rythme de nettoyage du lac de l'Épée restituée... La tortue de Hô Guom a été amenée le 3 avril dernier dans un bassin spécial installé au pied de la tour de la Tortue, au milieu du lac de l'Épée restituée, au centre de Hanoi, afin de soigner ses blessures. Depuis, un groupe spécial a veillé 24 heures sur 24 auprès d'elle pour lui prodiguer tous les soins nécessaires à son rétablissement. CVN 28/6/2011 Source
  2. Sur le dos de la tortue Aujourd’hui, dans ce monde où des hommes sans mythes et sans légendes sont surinformés sur tout et sur rien, qui s’intéresse encore aux migrations des tortues ? Si, il y a encore un proverbe africain, très amusant comme le sont toujours les adages de ce continent, qui affirme : «Celui qui se lève tard ne voit jamais la tortue se brosser les dents le matin» «Mais où vont les tortues luths lorsqu’elles quittent les côtes sud de l’Atlantique ?». Voilà une question dont la réponse n’intéresse pas les foules. Déjà que les tortues, en général, n’intéressent que les gosses et seulement lorsqu’elles sont des bébés tortues. Ça les fascine pendant quinze jours puis ils s’en détournent pour d’autres animaux moins léthargiques. Et c’est quoi quinze jours dans la longue et nonchalante vie d’une tortue ? La question du début de la chronique a été posée dans le début, justement, d’un petit article datant déjà de janvier (Rubrique océanographique. Eh oui, il faut tout lire) et relatant la longue migration des tortues luths dans l’Atlantique Sud. Mais l’auteur de l’article ne donne aucune information ni sur cette espèce, ni sur le nom, «luth», dont on l’a affublé. Juste une petite photo sur une colonne d’une tortue aux nageoires en croix échouée sur la grève d’une plage de nulle part. On pouvait s’en contenter et passer son chemin de lecture n’eût été ce sous-titre alléchant : «Le trajet de cet animal emblématique a été suivi pour la première fois par des balises». Admirer la titraille de cet article anodin. D’abord un titre accrocheur presque en cinémascope : «La longue migration des tortues dans l’Atlantique Sud». Et puis vient le sous-titre en forme de bande-annonce. C’est presque un docufiction attrayant qui ne peut laisser indifférents ceux qui ont des souvenirs de tortues perdues de vue depuis des générations. En effet, l’espérance de vie d’une tortue est mal connue, nous disent les experts, et pour cause ! On ne sait rien de ces bêtes sous leurs carapaces en écailles cornées. En tout cas, elles peuvent passer au moins deux ou trois générations. C’est-à-dire qu’une personne qui a gardé une tortue en captivité à la maison pourrait la léguer à ses petits-enfants. Il n’y a pas un chien ou un chat, ni même un cheval qui pourraient se targuer de traverser ainsi les générations. Mais ce sont les frontières que traverse notre tortue luth que l’on a laissée sur la plage. Cette espèce marine parcourt quelque 7 000 kilomètres de l’Afrique jusqu’en Amérique de Sud en empruntant trois grandes routes migratoires. Les tortues vont de la zone de pontes vers d’autres territoires avant de revenir à leur point de départ au bout de trois ou quatre ans. Un voyage extraordinaire où elles voient des pays et des contrées au cours d’un périple tortueux ( c’est le cas de le dire) qui les conduit du centre de l’Atlantique vers l’Amérique du Sud, Guyane, Brésil ou en passant par le Cap de Bonne-Espérance… Si les experts, grâce à des balises fixées sur le dos des tortues luths, ont pu tracer les routes migratoires choisies par ces bêtes, ils donnent leur langue au chat quant à ce qui influence ces choix. Encore heureux. Ils sont marrants les scientifiques. Non contents de mettre fin au mystère de l’itinéraire des tortues luths, ils veulent que ces pauvres bêtes nous avouent pourquoi elles ont choisi d’emprunter telle contrée plutôt que telle autre. Bref, ils veulent que les animaux se comportent comme ces touristes qui préfèrent tel endroit et critiquent un autre parce que le service est mauvais, les autochtones trop collants et les prix trop dissuasifs. En attendant, on ne sait pas encore pourquoi ces bêtes se nomment-elles tortues luths. Tout d’abord, elles n’ont rien à voir avec ces tortues apeurées et planquées sous des carapaces à écailles cornées qui vivent sur les terrasses des vieilles demeures et que de vieilles grands-mères nourrissent de salades et d’épluchures de légumes. Non, elles possèdent une peau lisse et brillante de couleur bleu noir ayant l’aspect de cuir. D’où leur appellation en anglais : «Leatherback» (dos de cuir ou «dos tout cuir» pour faire dans la maroquinerie). En français, c’est sans doute la forme de la carapace qui rappelle le luth qui leur a valu ce nom. Cela va bien faire plaisir aux luthistes et aux arabes en général qui ont inventé, comme chacun le sait, ce bel instrument de musique. Et ça nous fait une belle jambe, me dit et médit l’autre. Et en arabe, comment nomme-t-on cette tortue ? A part soulahfate bahrya (tortue marine), on ne la voit pas avec un oud (luth) sur le dos. Pourtant, que de contes et légendes autour de la tortue ont été produits dans la littérature arabe ancienne et souvent importés de l’Extrême Orient où cet animal a toujours été un grand symbole. La lenteur qui caractérise la tortue a souvent servi de morale. Bien avant la fable de La Fontaine (la course du lièvre et de la tortue : «Rien ne sert de courir, il faut arriver à point»), il y eut le duel entre elle et Achille, l’homme le plus rapide de la mythologie grecque. Aujourd’hui, dans ce monde où des hommes sans mythes et sans légendes sont surinformés sur tout et sur rien, qui s’intéresse encore aux migrations des tortues ? Si, il y a encore un proverbe africain, très amusant comme le sont toujours les adages de ce continent, qui affirme :«Celui qui se lève tard ne voit jamais la tortue se brosser les dents le matin». Najib Refaïf. La Vie éco www.lavieeco.com 2011-06-28 [url=http://www.lavieeco.com/news/debat-et-chroniques/Sur-le-dos-de-la-tortue-19837.html#Scène 2]Source[/url]
  3. Trafics de tortue Des affaires devant la justice Le trafic de tortues à Madagascar constitue un réel problème. De plus, les auteurs restant impunis, le phénomène perdure. Vingt-neuf affaires liées au trafic illicite de tortues sont déposées auprès du Tribunal de Mahajanga. Cette déclaration d'un responsable d'une entité oeuvrant dans la protection de l'environnement démontre l'envergure de ce phénomène. Les données recueillies sur terrain déterminent la population de tortues à éperon- espèce endémique à Soalala- réduite de moitié, passant de 400 il y a deux ans, à 200 au moment présent. Les exportations illicites concernent toutes les variétés de tortues comme la tortue radiée, la tortue à éperon et les tortues de mer. Cette dernière est aussi consommée localement dans la partie sud du pays, ou dans les grands restaurants de la capitale. Première destination L'absence de sanctions envers les responsables serait le principal motif de cette prolifération. « Plusieurs affaires sont en justice dans le cadre de ces trafics illicites, mais nous constatons malheureusement que les auteurs sont soit relaxés, soit évadés », s'insurge notre interlocuteur, lors d'une entrevue. Les tortues, espèces protégées, constituent une véritable source de revenus pour les trafiquants. Selon une investigation menée en 2010 par Traffic International, la Thaïlande serait la destination première des tortues de Madagascar. A ce niveau, la pièce coûte entre 180 à 273 dollars. Elles partent ensuite vers d'autres pays, où ce prix peut atteindre les 4 600 dollars. Les exportations concernent les tortues âgées de 2 à 4 ans. Les plus âgées sont consommées localement, vendues aux environs de 10 000 ariary. Concernant les ventes sur le marché extérieur, les trafiquants tendent vers l'utilisation de l'e-commerce. Toutefois, le marché à ciel ouvert reste dominant à Thaïlande. Sur 590 espèces confondues en provenance de Madagascar répertoriées sur ce marché, 160 sont des tortues radiées. Lantoniaina Razafindramiadana Mercredi 29 juin 2011 Source
  4. Je faisais qu'une suggestion mais que veux tu savoir au juste sur elles? Je peux t'aider aussi
  5. Sensais. Un serpent rouge et noir trouvé près d’une maison… Sensais, dans les Deux-Sèvres. Une maison située dans la grand-rue de ce village... Ses habitants donnent l'alerte. Ils ont aperçu un serpent, près de chez eux ! La mère l'a vu serpenter dans l'herbe. On a tenu les enfants - qui ont eu peur - à distance. Le fils a tenté de l'empêcher de s'échapper à l'aide d'un balai et d'une hache, précise La Nouvelle République. Les pompiers ont essayé de l'attraper, mais ils ont raté la première tentative... Le reptile s'est faufilé « sous les lattes en bois de la maison »... Il ne restait plus qu'à le maintenir tant bien que mal et à attendre l'arrivée des pompiers spécialisés dans la capture d'animaux sauvages, toujours selon ce journal. Malgré leur qualification, ces derniers ont eu du mal à identifier le serpent. Il a des anneaux noir et blanc, ce peut donc être soit un serpent inoffensif, soit un corail, qui lui est venimeux ! Ne parvenant pas à lui sortir la tête sans démonter le bardage, les pompiers ont décidé de l'euthanasier... L'animal mesure 90 cm et il est gros comme une pièce de 2 euros. Un des pompiers spécialisés a précisé finalement que c ‘était une espèce inoffensive, surnommée « faux corail ». Les restes du serpent ont été congelés et remis aux services vétérinaires qui doivent maintenant trouver d'où il vient et identifier le propriétaire éventuel. Il sera remis ensuite à un Centre d'études spécialisé de Chizé pour être autopsié à des fins scientifiques. Le spécialiste qui l'attend a confirmé, au vu de ce que lui ont décrit les pompiers, qu'il est bien inoffensif. « Il s'agit vraisemblablement d'un lampropeltis. C'est un serpent '' faux corail '' très classique en terrarium. Il n'est pas venimeux, ni protégé et n'est donc soumis à aucune autorisation particulière. On peut en avoir au même titre qu'un cochon d'Inde. » Le journal précise aussi que ce type de serpent est facile à élever et qu'il ne risque pas de proliférer dans la nature. Le spécialiste déclare au journal « il vivrait quelques mois dans la nature mais ne passerait sans doute pas l'hiver. » Source
  6. Drôme : quels sont ces serpents qui sifflent sur les routes ? À Lagarde-Adhémar, dans le département, il y a une petite route qui serpente, que les anciens appelaient "le cimetière des couleuvres". À Lagarde-Adhémar, dans la Drôme, il y a une petite route qui serpente, que les anciens appelaient "le cimetière des couleuvres". C'est là qu'un panneau tout à fait unique plante le décor. "Passage de serpent, Roulez au pas" enjoint cette signalisation routière aux automobilistes. "Ce panneau, je l'avais découvert lors d'un voyage en Inde dans l'État du Kerala. J'avais alors été frappé de voir comme les Indiens respectent les animaux", explique Luc Fougeirol, habitant de ce village classé parmi les plus beaux de France à quelques encablures de Pierrelatte, et fondateur de la populaire ferme aux crocodiles à Pierrelatte, ce qui explique cela. Ici, sur cette route du Val des Nymphes, évolue un biotope tout à fait particulier où ont trouvé ressource des couleuvres vipérine (non venimeuses et mesurant jusqu'à un mètre), des couleuvres de Montpellier (pouvant atteindre deux mètres), des vipères et des lézards verts. "Ce sont toutes des espèces protégées", explique le passionné de reptiles. "La particularité du site est qu'il est constitué de falaises d'un côté et de points d'eau en contrebas. Ces parties rocheuses le long de la route sont des cachettes extraordinaires, chauffées par un ensoleillement constant", précise Luc Fougeirol. Méfiant par nature, le serpent est plutôt du genre à fuir le danger. "Il peut sentir les vibrations de la route et donc partir si une voiture passe par là. Mais le serpent se fait généralement écraser lorsqu'il traverse." De nombreux messages de soutien Et selon le spécialiste, une autre particularité rend vulnérable le reptile, là où il y a de la circulation : "Le soir, les serpents aiment à se déployer sur le goudron chauffé durant la journée". Ce qui accroît sa mortalité. Depuis une semaine, ce triangle rouge illustré par un serpent trône sur le bord de cette route départementale 472 en direction de Valaurie, est alors planté dans un terrain privé. "C'est assez amusant de voir que les gens sont sensibles à cette information. J'ai reçu de nombreux messages de soutien. Et je crois qu'il y a un regain d'intérêt pour la nature et sa biodiversité", s'enthousiasme Luc Fougeirol. Faire homologuer ce nouveau panneau signalant ce passage d'animaux s'avère donc la nouvelle étape entreprise par celui qui l'a financé. D'ailleurs, le maire de la commune, Christian Andruegol soutient son administré dans ce combat insolite. "Nous espérons le faire valider par la direction des routes du Conseil général de la Drôme. Pour le moment, il n'y a rien d'illégal, ce panneau ne représente pas un danger pour le conducteur dans le sens où il n'est pour le moment qu'associé à un écriteau publicitaire. Et puis, tout ce qui peut faire ralentir les conducteurs, on le partage volontiers avec la protection des serpents." L'initiative semble donc ramper à son rythme, l'idée restant de faire proliférer ce serpent vers d'autres communes. Source
  7. Natura 2000 va sauver une graminée et des espèces menacées - Hédé Le réseau Natura 2000 est un ensemble de sites naturels européens, terrestres et marins, identifiés pour la rareté ou la fragilité des espèces sauvages, animales ou végétales et de leurs habitats. La démarche du réseau privilégie la recherche collective d'une gestion équilibrée et durable. Quatre étangs en question Natura 2000 et la Direction départementale des territoires et de la mer (DDTM) a inclus dans le programme « Étangs du canal d'Ille-et-Rance » quatre plans d'eau : l'étang de la Bézardière à Hédé, l'étang d'Hédé - Saint-Symphorien, l'étang de Bazouges-sous-Hédé et celui du Boulet pour Feins, Dingé et Marcillé-Raoul. Un comité de pilotage s'est réuni pour la troisième fois, lundi dernier à la salle des Mille-club à Bazouges-sous-Hédé, sous l'égide du conseiller général Jean-Yves Praud, président du comité de pilotage, et de l'opérateur en la personne du directeur de l'Institution du canal d'Ille-et-Rance Manche-Océan-Nord (Icirmon), Jacques Gloaguen, des représentants des communautés de communes, des communes et des associations concernées. Le président a fixé la ligne de conduite : « la création d'un document d'objectif qui définit le cahier des charges à mettre en oeuvre pour garantir la pérennité des habitats et des espèces sur les sites, le tout en liaison avec deux groupes de travail : l'un sur la gestion de l'eau et l'autre sur les milieux naturels ». Un programme a été établi : des réunions d'information en septembre et deux réunions du comité de pilotage le 3 octobre et le 12 décembre. Les espèces menacées La flore : le coléanthe délicat est une petite graminée très rare et éphémère qui pousse sur la vase humide, aux bords des quelques étangs après la baisse du niveau de l'eau, et disparaît lors de la remontée. En France, elle n'est connue que de quelques étangs de l'Ouest. La faune : le triton crêté est un petit représentant de la famille des salamandridés de quinze centimètres. C'est un petit amphibien dont l'espèce est en déclin. La seconde famille, les chiroptères, est constituée de trois variétés de chauves-souris, que l'on rencontre près des quatre étangs : la barbastelle, le grand-murin et la pipistrelle, très rare dans nos régions. Contact : Armelle Andrieu, chargée de mission Icirmon, tél. 06 23 54 27 52 ou armelle.andrieu@icirmon.eu Source
  8. Plus de 1.000 espèces découvertes en Nouvelle-Guinée Le WWF annonce aujourd’hui la découverte exceptionnelle de plus de 1.000 nouvelles espèces en dix ans, sur l’île de la Nouvelle-Guinée. Un serpent aveugle, un escargot jaune fluo, une grenouille avec des crocs ou encore un dauphin à tête arrondie. Les scientifiques ont fait de surprenantes découvertes ces dix dernières années sur l’incroyable île de la Nouvelle-Guinée partagée entre l’Indonésie et la Papouasie-Nouvelle-Guinée. Ces découvertes se sont faites au rythme de deux par semaine entre 1998 et 2008, précise le Fonds Mondial pour la Nature dans un rapport sur la biodiversité de cette île. La Nouvelle-Guinée ne couvre que 0,5% de la surface de la Terre mais sa biodiversité est extrêmement riche. Elle possède 8% des espèces répertoriées dans le monde, selon le WWF. Un kilomètre carré de forêt tropicale peut accueillir plus de 150 espèces d’oiseaux. Par ailleurs, les scientifiques y ont vu le papillon le plus grand du monde, d’une envergure de 30 centimètres, ainsi que des rats géants de près d’un mètre de long. Voir quelques unes de ces espèces extraordinaires en images en cliquant ci-dessous : http://www.maxisciences.com/biodiversit%e9/des-especes-extraordinaires-photographiees-en-nouvelle-guinee_art15407.html Source
  9. Les reptiles et les insectes sont nos amis Ce dimanche a eu lieu la deuxième foire Bio de Goudargues organisée par l'association Itinéraire Cèze et Jardi Cèze. Au programme de la journée, deux animations ont été organisées par Abeilles et biodiversité. Et au détour des étales divers et axés sur le bio dans toutes ses formes, le public pouvait venir s'instruire sur nos amis les insectes et reptiles. Et le mot ami prend tout son sens quand on écoute Pascal Nardi expliquer que ce sont les croyances et légendes autour de ces animaux qui nous font avoir peur d'eux. Certains visiteurs auront donc eu la chance de se réconcilier avec ces petites bêtes et même de dépasser leurs craintes en caressant mygale et serpent. Cette exposition d'insectes et de reptiles était animée par l'association la Cicindèle. Cette association a pour objectif l'initiation et la découverte de la faune exotique et régionale, et plus particulièrement, les insectes, les arachnides, les reptiles et les amphibiens. Elle s'adresse à tout public. Dans le courant de l'après-midi s'est tenu un café débat au café des Sources sur le thème 'Consommer bio et local' animé par l'association Autrement la vie, des producteurs, le Civam de l'Arnave, Jardi Cèze, Amap Alexandrine. C'était une journée haute en couleurs et en senteurs de Provence. Un avant-goût de la saison estivale qui va commencer. Source
  10. Je ne sais pas les prix pour l'Europe mais as tu songé aux Dendrobates ou aux Mantellas?
  11. Avec le lieu que tu habites, c'est officiellement la couleuvre rayée. Mon opinion personnel reste qu'elle devrait retourner ou tu l'as trouvé.
  12. Pour t'aider à faire ton choix, je t'invite à répondre à ces questionnaires. /t1273-aide-de-choix-pour-un-lezard Tu peux reprendre les mêmes questions et les transformer pour les grenouilles. Il sera ensuite plus facile de t'aider.
  13. Max|mum-leterrarium

    Perpignan

    Perpignan Lâcher de tortue En novembre 2010, l'Office national de la chasse et de la faune sauvage était alerté par la gendarmerie maritime qu'un pêcheur de Saint-Cyprien avait ramené dans son filet, une tortue affaiblie. Il s'agissait en fait d'une tortue caouanne (caretta caretta), seule tortue marine nidifiant en Méditerranée. Cette tortue a été immédiatement récupérée afin de la transférer au centre d'étude et de sauvegarde des tortues de Méditerranée au Grau-du-Roi, dans l'Hérault. Espèces menacées Et tout récemment, après six mois de soins en attendant que les eaux de la Méditerranée se réchauffent, c'était le retour à la liberté pour la jeune tortue, après lui avoir posé une bague d'identification. Le lâcher s'est déroulé au large de Banyuls, en collaboration avec le correspondant du Réseau des tortues marines de Méditerranée française du laboratoire Arago (UPMC, CNRS) ainsi que les agents de la réserve naturelle marine de Cerbère-banyuls. C'est l'occasion de rappeler que les tortues marines sont des espèces menacées - à cause de la pollution, de la raréfaction des sites de ponte, des collisions - et protégées. En cas de découverte d'un spécimen vivant ou mort, il est impératif de contacter le responsable régional du Réseau des mammifères marins et tortues marines de l'Office national de la chasse et de la faune sauvage au 06 27 02 58 66 ou laurent.dupont@oncfs.gouv.fr Source
  14. Des toubibs qui soignent aussi les « NAC » | DANS LES COULISSES DE LA CLINIQUE VÉTÉRINAIRE DU | Les chats, les chiens,stars de nos foyers ? Plus si sûr... Car les lapins, furets, serpents et autres perroquets ont la cote. Pour preuve, la clinique vétérinaire du Caducée, spécialisée « NAC », nouveaux animaux de compagnie, à Loos. Depuis son ouverture en 2007, elle ne désemplit pas. Avec un unique leitmotiv : « Tous les animaux méritent d'être soignés, même les bernard-l'ermite ! » Ambiance, vendredi matin. PAR ÉLISE PINSSON metro@lavoixdunord.fr PHOTOS CHRISTOPHE LEFEBVRE Une odeur de foin, des battements d'ailes, Bitume l'iguane est sur une branche dans le hall du Caducée. Vendredi matin, dans cette clinique spécialisée dans les nouveaux animaux de compagnie, Émilie Teissier, l'un des trois associés, file au bloc opératoire. Entre deux caresses à un chaton recueilli - « on ne peut pas s'empêcher de craquer » -, la chirurgienne de 31 ans doit s'occuper d'une poule dont « l'oeuf est coincé » depuis quatre jours - « on va essayer par les voies naturelles, un accouchement au forceps, sinon on passera par la chirurgie ». Puis, elle doit réaliser une ovario-hystérectomie sur la chatte Clochette (l'ablation du système reproducteur de la femelle) et stériliser Fifi, un chinchilla déposé le matin même. Les animaux, objet de la mode eux aussi Les chiens et les chats sont aussi les bienvenus au Caducée, mais ce n'est pas la vocation première de cette clinique fondée par « trois potes » en 2007. Ses patients sont le plus souvent taxés d'« étranges », d'« exotiques », ou bien encore de « confidentiels ». Ce sont des ratons laveurs, des kangourous, des singes, des caméléons... mais aussi des lapins ou des tortues. Du plus cher au plus petit - « on a pratiqué une endoscopie sur un bernard-l'ermite » - en passant par le plus effrayant, ou réputé effrayant - une mygale bébé est actuellement hospitalisée -, tous bénéficient ici de soins médicaux adaptés. « On manque encore de connaissances et de recettes toutes faites, avoue Cyril Chovet, autre associé, mais on les guérit. » Les vétérinaires ne nient pas l'effet de mode dont sont l'objet ces animaux : « Il y a quelques années, on voyait pas mal de gens se balader dans la rue avec un rat sur l'épaule ; aujourd'hui, ce sont les reptiles. » « Si l'on est percé et tatoué, on a forcément un reptile. Pourquoi ? Envie de se démarquer, envie d'exotisme, ironise Cyril, mais on a aussi des petits couples bien sages avec des caméléons. » Pour ces derniers, la domestication n'est pas un souci. Mais « le bien-être de l'animal prime. Il faut comprendre que tous les animaux ont besoin de soins, et ce n'est pas l'animalerie ou des forums internet qui apporteront les réponses adaptées. » Tortues à Phalempin En salle d'imagerie, point de caméléon, mais une tortue de Floride, Rik, que Cyril est en train de « résiner. Elle s'est fait croquer par le chien de la maison. Il faut boucher le trou sur sa carapace avant que cela ne s'infecte ». La tortue, tenue par le vétérinaire, rentre la tête mais ne bouge pas d'une patte. « Elles s'achètent à 3 cm en aquarium. Au début, c'est drôle, les gens les mettent même dans leurs baignoires, ce que je ne ferais pas car elles ont des bactéries, mais une fois qu'elles mesurent 20 cm, c'est une autre histoire... Il y en a d'ailleurs pas mal en forêt de Phalempin. » À quelques mètres de là, en consultation avec le troisième larron de la bande, le vétérinaire Frédéric Vlaemynck, Dora, un perroquet gris du Gabon, passablement déplumé. Sa propriétaire, Joséphine Mercanti, l'a laissé à la clinique pour cause de « picage ». Revenue le chercher, elle est contente mais anxieuse. Rassurant, le vétérinaire n'en est pas moins ferme : « On attend les résultats des prises de sang. D'ici là, il ne faut plus lui donner que des croquettes et arrêter les graines. Et n'hésitez pas à lui mettre de la musique classique, elle apprécie... » Et les animaux vraiment « exotiques » alors ? « On ne les voit que lorsqu'il y a un problème, surtout lorsqu'il s'agit d'animaux "interdits", car les propriétaires ont peur de la délation, regrette Émilie Teissier, mais il y en a plein dans le Nord. Ce qu'il faut comprendre, c'est que l'on n'est pas là pour faire la morale, on est là pour soigner. » Il est un peu plus de midi, les consultations sont terminées, l'opération de Fifi, en cage de réveil, s'est bien déroulée. la résine de Rik est posée, l'oeuf de la poule, brisé, n'est pas encore extrait - « il faut maintenant attendre que ça sorte » -, et Dora est repartie à Lens avec Joséphine. Une pause rapide, et Émilie repart avec le contrôle d'une césarienne sur un lézard. • Source
  15. Au Toulon, les serpents vivent en famille De drôles d'animaux de compagnie ont élu domicile rue du Dépôt à Périgueux Difficile au Toulon, rue du Dépôt, de cacher les origines ferroviaires de ce nom. Mais là où jadis sifflaient les trains, on entendrait presque aujourd'hui les serpents. Du moins chez Dominique Ducret, à la tête d'une pertinente collection de reptiles non venimeux et n'hibernant pas, après avoir commencé avec une simple petite couleuvre élaphe. Il faut aller voir cet ex-prof de sciences naturelles s'amuser, en compagnie de ses filles Léa et Marion, avec ses serpents-rois d'Amérique du Nord, un impressionnant python, ou bien encore « Anna », lézard pogona qui s'endort dès qu'on lui caresse le dos. La famille Ducret ne vit pas avec ces animaux pour « faire bien », au gré de la mode des nouveaux animaux de compagnie (NAC). Elle aime d'autant cette compagnie qu'elle a l'impression de braver des préjugés. Constat de Dominique Ducret : « Certaines gens aiment les chiens et les chats, mais diabolisent les reptiles. Nous, nous croyons qu'à l'instar des insectes, des papillons, des abeilles, des grenouilles ou des hirondelles, ils témoignent d'une diversité animale en péril… » La plus vieille couleuvre a ici vingt ans, les tailles s'étagent de 25 cm à deux mètres avec de superbes animaux étirant leurs anneaux colorés à l'intérieur des vivariums. On prend soin tout de même de bien refermer les vitres ! Achetés dans le commerce, ils mangent des souris congelées ou des cobayes, qui attendent eux-mêmes leur sort avec résignation. Réglementation très stricte Si ces animaux viennent d'Outre-Atlantique, c'est qu'en France nul n'a le droit de les élever, pas plus d'ailleurs que de les capturer ou de les tuer. On peut simplement en posséder. C'est une forme de protection contre les risques de trafic ou d'anéantissement auquel Dominique souscrit bien sûr pleinement. Après avoir enseigné en Afrique noire, il a passé trente ans au lycée de Nontron, y suscitant des passions pour les sciences naturelles avec un atelier biologique, un boa et cinq pythons, un rûcher-école et des tas de rencontres, dont une avec Claudie Haigneré lors d'une semaine consacrée à l'espace. Sa consœur Laure Peyruchaud a pris le relais à Nontron, mais il continue à aller à la rencontre des jeunes, au Toulon, aux Maurilloux, à Borie-Brue, etc. pour répondre à leurs questions, notamment surla reproduction des reptiles. Rêveur, il raconte : « Tout a commencé pour moi à 10 ans à Montrouge en banlieue parisienne, quand je me suis mis à ramasser escargots et criquets ! » Source
  16. Les "savanes" des grands prédateurs marins Thons, requins, baleines, tortues.... des centaines d'individus ont été suivis pendant 2 ans pour traquer leurs déplacements et leurs habitats dans le Pacifique. Curieusement, ils aiment revenir "à la maison", notent les chercheurs. Deux grandes zones de l’océan Pacifique apparaissent comme de vastes «réserves» pour les grands prédateurs marins : il s’agit du courant de Californie, le courant froid qui passe au large des côtes américaines, et la zone de transition nord-Pacifique, où se rencontrent les eaux froides de la région subarctique et les eaux plus tropicales du sud. Sans surprise, il s’agit de zones où la nourriture est abondante, grâce à la remontée d’eaux froides. Cette nouvelle cartographie a été établie grâce à la plus vaste étude de marquage jamais menée pour l’océan. 23 espèces de prédateurs marins ont été suivies entre 2000 et 2009. Plus de 4.000 tags électroniques ont été posés, permettant au final de suivre près de 1.800 individus pour un totale de 265.000 journées…. L’étude combine des données de localisation (grâce aux balises Argos) mais aussi des données liées à l’environnement (température, luminosité, salinité, etc..). L’objectif du programme TOPP (Tagging of Pacific Predators) est de mieux connaître les grandes aires de répartition et de migration des thons, requins, baleines, tortues, éléphants de mer, otarie, ou encore albatros. L’équipe qui a mené ce programme, dans le cadre du vaste projet de recensement des océans, le Census of Marine Life, publient leurs résultats aujourd’hui dans la revue Nature. Ils comparent leurs cartes à celles des grandes réserves africaines, abritant de grands prédateurs sauvages. Ces lieux de concentrations et de circulation des espèces marines de grande taille sont un peu comme le corridor naturel emprunté chaque année par la grande migration des gnous, zèbres et gazelles dans le parc du Serengeti, en Afrique. Leur connaissance est indispensable à la gestion de ces écosystèmes à grande échelle et à la protection des espèces. Barbara Block (Stanford University, Californie, États-Unis) et ses collègues ont été frappés par la capacité de ces espèces à revenir sur leur lieu d’origine, en fonction des saisons, après avoir parcouru des milliers de kilomètres. Les chercheurs ont pu corréler les déplacements des thons, des requins ou des baleines bleues le long de la côte américaine, du nord au sud avec les changements saisonniers de la température et de la concentration en chlorophylle. Cette dernière étant visible par satellite, elle permet désormais de prédire les mouvements de certaines espèces, expliquent les chercheurs. Source
  17. Hanoi prépare le relâchage de la tortue de Hô Guom Après quatre analyses de prélèvements de la tortue de Hô Guom (lac de l'Epée restituée), les résultats ont montré qu'elle s'est totalement rétablie. C'est ce qu'a déclaré le docteur Bui Quang Tê, chef du groupe de traitement de la tortue de Hô Guom, lors d'une réunion du Comité de pilotage d'urgence de protection de cette tortue emblématique, tenue le 22 juin à Hanoi. Ce dernier a également fait savoir que maintenant, ce reptile peut s'adapter à l'eau du lac et que ses blessures ont disparu. Pour préparer le relâchage de la tortue dans le lac, Nguyên Van Khôi, vice-président du Comité populaire de Ha Noi, a demandé aux services concernés d'élargir la surface du bassin de soin pour atteindre 30 x 30m, et 1,8m de profondeur, remplaçant l'ancien de 10 x 10m où l'animal vit actuellement. Le Département des produits aquatiques de Hanoi continue de lâcher des poissons qui servent de nourriture à la tortue. Le Service des Ressources naturelles et de l'Environnement accélère le rythme de nettoyage de Hô Guom... La tortue de Hô Guom a été amenée le 3 avril dernier dans un bassin spécial installé au pied de la tour de la Tortue, au milieu du lac de l'Epée restitutée (Ho Guom), au centre de Hanoi, afin de soigner ses blessures. Depuis, un groupe spécial a veillé 24 heures sur 24 auprès d'elle pour la soigner.- AVI Source
  18. Trafic de mygales Vendredi 24 juin, le tribunal va se pencher sur une affaire de trafic de mygales dans laquelle un Bruaysien de 24 ans est mis en cause. Les faits remontent à décembre 2009, jusqu'au 31 janvier 2011. Le Bruaysien, âgé de 22 ans à l'époque des faits, avait une passion depuis une dizaine d'années pour la "brachypelma vagans" (il s'agit d'une mygale assez commune en raison de ses couleurs). Il possédait également des serpents et une chauve-souris. Certaines espèces ont été acquises en Belgique. Quatre mygales ont été revendues à des tierce-personnes. Sauf que ces espèces protégées font l'objet d'une réglementation stricte à laquelle le jeune homme s'est soustrait. Il devra donc répondre d'une dizaine de chefs d'accusations qui tournent autour de son exploitation illégale d'animaux non-domestiques, espèces protégées. Depuis, le Bruaysien s'est séparé de ses petits protégés. Notamment afin d'assurer la sécurité de son bébé qui devait naître. « Pour ce type d'infraction, la peine encourue est de 15 000 euros d'amende et un an d'emprisonnement », précise Julien Adroit, substitut du procureur au parquet de Béthune. C. B. Ce que dit la loi : "quels que soient les espèces et le nombre de spécimens que vous détenez, vous devez passer votre certificat de capacité et demander en préfecture l'autorisation d'ouverture d'un établissement d'élevage d'animaux d'espèces non domestiques". Source
  19. Un long serpent fugueur tué dans le Marais poitevin Sansais. Grosse frayeur mercredi soir dans le village maraîchin : un serpent rouge et noir a fait irruption près d'une maison. Les pompiers ont dû le tuer. Un serpent rouge aux anneaux noirs et jaunes de près de 90 cm de long a été tué mercredi soir à Sansais par les sapeurs-pompiers. L'alerte avait été donnée en début de soirée par les habitants d'une maison située dans la grand-rue du village maraîchin. « Ma mère l'a vu la première, il serpentait dans l'herbe, témoignait hier Claude Bouhier. Les enfants ont eu peur. Je me suis tenu à distance, avec un balai et une hache. J'avais surtout peur qu'il nous échappe, disparaisse et revienne. » L'animal a déjoué une première tentative de capture des pompiers et s'est en partie faufilé sous les lattes de la maison en bois. Il a été retenu tant bien que mal dans cette position jusqu'à l'arrivée de pompiers spécialisés dans la capture d'animaux sauvages. En dépit de leur formation, ils ont été confrontés à un problème d'identification : les anneaux visibles évoquant à la fois un serpent inoffensif et... un corail venimeux. Il était par ailleurs impossible de déloger la bête sans démonter une grande partie du bardage. Il a donc été décidé d'euthanasier l'animal. Une fois dégagé, il s'est avéré long de près de 90 centimètres, pour un diamètre équivalent à une pièce de 2 € « Nous pensons qu'il s'agissait en fait d'une espèce inoffensive, un faux corail, précise un pompier. On ignore d'où il vient. » Les restes du reptile ont été congelés et remis aux services vétérinaires, qui ont ouvert une enquête pour identifier l'espèce avec certitude et essayer de retrouver le propriétaire. La dépouille est ensuite attendue au centre d'études biologiques de Chizé (CEBC) : « Il sera autopsié à des fins scientifiques, précise le chercheur Xavier Bonnet. C'est triste pour l'animal, mais les pompiers n'avaient pas le choix. » L'herpétologue n'avait pas encore vu le « serpent de Sansais », hier, « mais d'après la description faite par les pompiers, il s'agit vraisemblablement d'un lampropeltis. C'est un serpent '' faux corail '' très classique en terrarium. Il n'est pas venimeux, ni protégé et n'est donc soumis à aucune autorisation particulière. On peut en avoir au même titre qu'un cochon d'Inde. » Facile à élever, le lampropeltis ne présente pas de risque de prolifération à l'état sauvage en cas de fugue ou d'abandon, selon Xavier Bonnet : « Il vivrait quelques mois dans la nature mais ne passerait sans doute pas l'hiver. » nr.niort@nrco.fr en savoir plus Les pompiers et les serpents La diffusion des serpents et autres reptiles comme animaux de compagnie a occasionné quelques interventions mémorables pour les pompiers spécialisés dans les captures d'animaux dangereux. Il y a quelques mois, un python a été attrapé dans une cage d'escalier à Niort. Il y a quelques semaines, c'est une belle couleuvre verte et jaune, qui a été récupérée dans un camion en provenance d'Italie, et confiée au CEBC de Chizé. Les soldats du feu capturent aussi occasionnellement des couleuvres et vipères strictement deux-sévriennes, qui sont quant à elles remises en liberté à bonne distance des habitations. Sébastien Kerouanton Source
  20. Afrique du Sud - Crânes de serpent contre médicaments Situé au cœur du quartier d’affaires de Johannesburg, le marché de Faraday est spécialisé dans le «muti», la médecine traditionnelle. Haut en couleurs, il offre au regard une collection d’établis vieillissants sur lesquels sont présentés toutes sortes de remèdes, observe BBC News, dans un reportage à Faraday. Du crâne de serpent Mamba pour soigner le rhume aux écorces d'arbres anciens pour traiter l’impuissance ou la mal de tête, en passant par la poudre de python pour aviver sa force intérieure, les soigneurs l’attestent: chaque topique à ses vertus. Ils sont plus de 100 guérisseurs à occuper les allées de Faraday. Second marché dédié au «muti» dans Johannesburg, il témoigne de la vivacité de la médecine traditionnelle, y compris dans les villes les plus modernes du pays. Capitale économique de l'Afrique du Sud, la ville compte 710.000 habitants. Chaque jour, plus d’une centaine de prescriptions y sont délivrées par ces soigneurs venus de l’ensemble de la corne de l’Afrique, issus des ethnies Ngui, Zulu ou Swazi... La mise en place par l’Etat sud-africain d’un système de santé publique n’a pas mis en péril cette forme de soins ancestrale —sa pratique est clairement encadrée par la loi. Les guérisseurs font ainsi partie d'une association des soigneurs traditionnels, qui compte 30.000 membres. De plus, le système de santé est souvent flou et mal compris par la population, notamment par les plus pauvres, qui privilégient alors les soigneurs traditionnels, jouant aussi le rôle de conseiller ou guide. Aujourd'hui, ce sont les trois quart des Sud-Africains qui fréquentent un soigneur traditionnel, dont le nombre a considérablement augmenté ces dernières années, suivant, semble-t-il, la hausse de population du pays. D’ailleurs, en Afrique du Sud, la médecine traditionnelle a autant d'influence que les grands laboratoires pharmaceutiques internationaux, note BBC News. Les soigneurs gagnent bien leur vie —même s'ils souffrent ces derniers temps de la crise et ont vu récemment leur revenus dégringoler. Source
  21. Le serpent en balade récupéré par son propriétaire REIMS (Marne). Il a retrouvé le confort de son terrarium. Deux jours après avoir causé une belle frousse à un automobiliste en sortant du capot de sa voiture, le serpent capturé mardi par les pompiers au centre-ville de Reims a été récupéré par son propriétaire. L'homme était sans nouvelle de son reptile échappé du domicile depuis peu de temps, quelque part dans le secteur de l'avenue de Laon. Il a tout de suite fait le rapprochement en découvrant l'article paru dans l'union de mercredi. Les retrouvailles ont suivi à l'animalerie exotique de la zone commerciale de Saint-Brice-Courcelles où le serpent avait été déposé. En vente libre D'une belle couleur orange avec des anneaux transversaux noirs et blancs le long du corps, le reptile répond au nom scientifique de lampropeltis triangulum sinaloe, une couleuvre qui vit principalement en Amérique centrale. Son régime alimentaire se compose de petits rongeurs et reptiles. « C'est une espèce en vente libre », indique le gérant de l'animalerie, David Seignier. « Comme toutes les couleuvres, elle n'est pas venimeuse. Il faut d'ailleurs préciser qu'en France, il est interdit de vendre des serpents venimeux ou de très grosses tailles. Vous ne trouverez jamais un python molure de sept mètres en magasin. » Le lampropeltis triangulum peut atteindre un mètre de long, ce qui est le cas du spécimen confié mardi à M.Seignier. « On en vend assez fréquemment, mais quand même moins que les pythons. Leur couleur orange imite celle de certains serpents venimeux, ce qui leur permet de se protéger des prédateurs. » Sauvée de la mort L'escapade de la couleuvre n'étonne pas Lucien Laurent, responsable du Cercle aquariophile et terrariophile de Reims. « Les petits serpents ont un pouvoir échappatoire très important. Ils peuvent profiter du moindre espace pour se faufiler et s'éclipser. » Apparemment, le reptile se serait glissé dans le moteur de la voiture alors que celle-ci était stationnée rue du Vieux-Coq. Il se trouvait bien au chaud, tranquille, jusqu'au moment où l'automobiliste a démarré. Sans doute effrayé par les vibrations, le serpent s'est remis en mouvement pour s'échapper de cette boîte infernale. Il est sorti du capot alors que l'automobiliste roulait place de la République, au niveau des feux du boulevard Foch. Si personne ne l'avait retrouvée, les jours de la couleuvre américaine étaient comptés, elle qui peut vivre 20 ans. « Elle a besoin de chaleur. En cette saison, elle aurait pu tenir le coup mais elle serait morte avec l'arrivée de l'automne », indique David Seignier. « Encore faut-il qu'elle trouve de quoi se nourrir. Tout dépend du nombre de souris qu'elle aurait croisées dans les rues de Reims. » Source
  22. Aucune nouvelle tortue découverte dans l’étang vidé PRÉDATEUR | Les autorités de Renens avaient décidé jeudi de vider l’étang de la Vorsiaz. Les recherches menées ce vendredi matin n’ont cependant pas permis de mettre la main sur une quatrième tortue hargneuse. «Nous avions une petite appréhension au moment de fouiller le fond de l’étang, mais nous n’avons pas trouvé de tortue hargneuse.» Christophe Luchinger est soulagé. Il est l’employé communal qui s’occupe de l’étang dans lequel trois tortues hargneuses ont été découvertes en l’espace d’un mois. Vendredi matin, avec un collègue et sur demande des autorités communales, il a vidé le bassin situé au milieu d’un quartier d’habitation. Résultat de la pêche: aucune carapace en vue. Il n’a fallu que deux petites heures pour vider l’étang. «On a trouvé des bouteilles en verre, un gros poisson-chat de 30 centimètres de long, et une quantité incroyable de tritons. C’est un très bon signe sur l’état du bassin», se réjouit Christophe Luchinger. Le poisson-chat, qui a du connaître des frayeurs en se retrouvant nez-à-nez avec les tortues hargneuses récemment, a été laissé dans le bassin afin d’y couler des jours plus paisibles. Source
  23. Une troisième tortue hargneuse découverte à Renens Etang | Jeudi à 8h10, une troisième tortue hargneuse a été découverte près de l'étang de Renens. Laurent Antonoff/Fanny Giroud | 23.06.2011 | 10:02 Une troisième tortue hargneuse a été découverte jeudi matin à Renens par un employé communal, au même endroit que les précédentes. Cette fois-ci, les employés communaux ont pu attraper la bête eux-mêmes et l'ont rapatriée au Vivarium de Lausanne. Selon le directeur du Vivarium, Michel Ansermet, le spécimen ressemble furieusement à la deuxième tortue trouvée près de cet étang de Renens. Il s'agirait à nouveau d'une tortue fraîchement sortie de son aquarium. Le directeur craint à présent que tout le monde ne se sépare de sa tortue hargneuse... Source
  24. Pythons par-ci, couleuvres par-là Ce n'est pas la première fois qu'un serpent en balade est capturé par les pompiers marnais. Rappel des dernières affaires. 13 novembre 2010 : une couleuvre américaine de couleur orangée est découverte par un passant sur un trottoir de l'avenue du Général-de-Gaulle à Châlons-en-Champagne. 10 avril 2009 : Alors qu'il vient chercher sa voiture dans le box d'un parking souterrain de la rue de la Bonne-Femme, au quartier Wilson à Reims, un homme voit un serpent d'une cinquantaine de centimètres passer sous la porte. Le reptile se révèle être un élaphe guttata, couleuvre non venimeuse d'Amérique du Nord. 3 septembre 2008 : les habitants d'un immeuble de la rue de Metz, dans le quartier Cernay à Reims, n'en croient pas leurs yeux. Devant eux, à six mètres de hauteur, un python royal se promène sur un fil électrique. Agé de 8 à 9 mois, il mesure dans les 60 cm. Sa provenance est restée inconnue. 28 juin 2008 : grosse panique dans un immeuble de la rue Bacquenois, au centre-ville de Reims, où un serpent de 70 centimètres est découvert dans le hall d'entrée. Là aussi, il s'agit d'un élaphe guttata. Son propriétaire n'a jamais été identifié. Est-ce lui, deux mois plus tôt, dans cette même rue Bacquenois, qui a abandonné les cadavres de quatre pythons royaux dans deux terrariums déposés à même le trottoir, sous une bâche ? 12 octobre 2007 : les pompiers de Châlons-en-Champagne interviennent rue Frédéric-Chopin pour récupérer un python de 80 cm de long coincé dans une gaine technique de l'immeuble. Il s'était échappé d'un appartement voisin. 24 juillet 2006 : un serpent de 40 centimètres de long est retrouvé dans l'escalier d'un immeuble de la rue de l'Arbalète, au centre-ville de Reims, après avoir faussé compagnie à son propriétaire. F.C. Source
  25. La voiture roule, le serpent sort du capot REIMS (Marne). Hier après-midi, un automobiliste qui circulait dans Reims a vu un serpent exotique sortir puis retourner dans le capot-moteur de sa voiture. Les pompiers ont mis quatre heures pour le retrouver. «PATRON ! Je vais être en retard car il y a un serpent dans le moteur de ma voiture ! - Oui, c'est ça ! Arrêtez vos bêtises et venez travailler ! » On imagine les réactions d'incrédulité qu'a dû subir cet automobiliste rémois à l'annonce de sa mésaventure survenue hier après-midi en pleine ville, place de la République. Il s'apprêtait à descendre le boulevard Foch, vers 13 h 45, lorsqu'une scène surréaliste s'est produite devant ses yeux. Le mécano à la rescousse « D'un coup, il a vu un serpent d'un mètre de long sortir du capot moteur de sa Renault Mégane et venir se loger sur le pare-brise », relate un sapeur-pompier. « Le monsieur s'est tout de suite arrêté. Il n'a pas eu besoin de téléphoner au « 18 » car une ambulance de chez nous passait à ce moment-là. » D'une belle couleur orange avec des anneaux transversaux noirs et blancs sur le corps, le reptile a dû se douter qu'on s'intéressait à lui car il est retourné dans le bloc-moteur de la voiture. « Le sortir de là s'annonçait compliqué. Comme notre intervention risquait de prendre du temps, la maison de champagne de Cazanove, devant laquelle le monsieur avait stoppé, a accepté de faire rentrer la voiture dans la cour pour nous éviter de gêner la circulation boulevard Foch. Nous ne savions pas dans quelle partie du moteur se trouvait le serpent. On a d'abord essayé de le faire sortir à l'aveuglette, avec de l'air comprimé puis au jet d'eau, sans succès. » Il n'y avait plus qu'une solution : démonter le moteur ! « Nous avons fait appel à notre mécanicien de la caserne Reims Marchandeau. Évidemment, il n'était pas question de casser la voiture. Nous avons démonté proprement, ce qui a pris beaucoup de temps. Il a fallu retirer le pare-chocs, les caches plastiques, toutes les protections. » Un bon coin au chaud Quatre longues heures ont été nécessaires pour qu'enfin, vers 17 h 30, le serpent soit découvert, blotti sous un phare avant. Capturé sans difficulté à la main, il a été confié à une animalerie de Saint-Brice-Courcelles où son propriétaire peut venir le réclamer. Responsable du Cercle aquariophile et terrariophile de Reims, Lucien Laurent a formellement identifié le reptile : il s'agit d'un lampropeltis triangulum, une couleuvre non venimeuse qui vit dans le sud des États-Unis, en Amérique Centrale et en Amérique Latine. Elle a dû s'échapper d'un logement proche de l'avenue de Laon, car l'automobiliste avait stationné sa voiture rue du Vieux-Coq. « Un serpent est très agile », souligne M.Laurent. « De la chaussée, il lui était très facile de s'accrocher à une barre de l'auto, de s'enrouler et de se glisser jusque dans le moteur. C'est un endroit parfait pour un reptile car il y fait chaud. Ensuite, lorsque la voiture s'est mise à rouler, le bruit, les vibrations l'ont probablement gêné. Il a dû se dire qu'il valait mieux sortir de là. » D'où cette apparition théâtre place de la République. « Pauvre bête », soupire le spécialiste. « L'automobiliste a peut-être eu peur mais je vous assure que le serpent a eu plus peur que lui. » Fabrice CURLIER Source
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