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Max|mum-leterrarium

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  1. A la découverte des tortues marines de Sinnamary Le programme Caret2 (Co-ordinated Approach to Restore our Endangered Turtles 2) piloté par le WWF-France, permet d’assurer le suivi des tortues marines du littoral guyanais, dont les sites isolés de la Malmanoury (Sinnamary) et d’Aztèque (Réserve Naturelle de l’Amana). La plage de la Malmanoury, autrefois fréquentée par les habitants de la commune de Sinnamary, ressurgit aujourd’hui d’un front de mer longtemps occupé par les palétuviers rouge de la mangrove environnante. Présentant des conditions d’accueil idéales lors de leur phase de ponte, le WWF, avec l’appui de la Mairie de Sinnamary et des services du Centre National d’Etude Spatial, mène sur ce site écologique exceptionnel des missions de suivi des trois espèces de tortues marines qui nidifient en Guyane : la tortue Luth (Dermochelys coriacea), la tortue verte (Chelonia mydas) et la tortue olivâtre (Lepidochelys olivacea)[1]. Dans ce paysage sauvage, refuge extraordinaire de la biodiversité guyanaise, le WWF réalise des opérations de comptage des nids et de lecture/marquage des tortues marines[2]. Elles permettront d’améliorer l’estimation du nombre de pontes de ces espèces emblématiques de la région et de renforcer leur suivi sur le plateau des Guyanes. [1] La tortue imbriquée (Eretmochelys imbricata) nidifie de manière épisodique en Guyane et ne fait donc pas l’objet d’un suivi spécifique. [2] L’équipe vérifie la présence de puce électronique sur les tortues marines. En l’absence de puce, la tortue est marquée. Cette puce permet de répertorier l’individu et de l’identifier lors d’une prochaine lecture. Ces opérations permettent le suivi des tortues marines par individu. Source
  2. La tortue Lonesome George est la dernière de l'espèce des Geochelones abongdoni nigra Y’a-t-il sur Terre quelqu’un de plus seul que « Lonesome George » ? Sans parents, ni amis, ni même homologues, George est condamné à errer sur l’île d’Abingdon avant de disparaître, emportant avec lui tout le sort de son espèce. Sur l’île d’Abingdon, dans l’archipel des Galapagos, « Lonesome George » est la dernière tortue géante de son espèce. Cela fait d'elle le reptile le plus rare du monde. Du haut de ses 80 ans (estimation), George a néanmoins encore de beaux jours devant lui car l’espérance de vie moyenne de cette espèce, la Geochelone abingdoni nigra, peut atteindre 150 à 200 ans. C’est en 1971 que George fut découvert sur l’île de Pinta par hasard par un chercheur d’escargot qui a trébuché sur sa carapace. L’événement, pourtant anodin, a eu son importance dans le milieu scientifique qui croyait l’espèce éteinte. Depuis, George a été transféré au centre de recherches Charles Darwin et de nombreuses tentatives d’accouplement ont été tentées avec des membres de sous-espèces voisines (toutes des tortues géantes des Galapagos). Pourtant, impossible de trouver une compagne qui plaise à George. Un peu d’optimisme En juillet 2008, les chercheurs ont constaté avec soulagement que George s’était accouplé avec deux tortues femelles. Résultat : 13 beaux œufs concentrant l’avenir d’une espèce. Ces œufs ont été placés en incubation, mais malheureusement, se sont révélés infertiles. Mais la Geochelone abingdoni nigra n’est pas encore disparue et l’espoir perdure. En effet, des scientifiques de l’université de Yale, aux Etats-Unis, ont comparé l’ADN de George à celui des tortues Geochelone becki provenant de l’île d’Isabela. Surprise : l’une d’elles s’est avérée être une cousine, en ayant la moitié des gènes en commun avec la sous-espèce de George. Parmi les 2000 tortues G. Becki vivant en liberté sur l’île d’Isabela, qui sait si ne se cache pas une femelle dont les deux parents seraient originaires de Pinta. Cette potentielle partenaire sexuelle de George porterait alors en elle tout l’avenir d’une espèce. Source
  3. Des tortues luth géantes reviennent dans les eaux anglaises Espérons que 2011 sera une année exceptionnelle pour les tortues luth au large des côtes du Royaume-Uni. Le "Marine Conservation Society" (MCS) a demandé au public anglais de signaler toute observation des énormes tortues en août qui est généralement la période de pointe pour les voir dans les eaux britanniques. L'été voit les tortues retourner à leurs aires d'alimentation hors du Royaume-Uni après la nidification dans les Caraïbes. l est prévu que l'offre abondante en méduses et physalies cette année, lesquelles forment le principal de leur alimentation, va attirer ces doux géants au dessus des chiffres habituels. 2011 a déjà vu 16 observations de tortues rapportées sur le littoral anglais, avec plus d'un quart de celles-ci étant situées au large des côtes de Cornouailles et cet afflux précoce a conduit à l'espoir de la moyenne annuelle d'environ 20 observations serait facilement dépassé. Dermochelys coriacea, la tortue luth, est l'espèce la plus importante au monde avec un spécimen de tortue découvert sur une plage dans l'ouest du Pays de Galles pesant 916 kg et mesurant plus de 3 mètres. Ces tortues vivent très longtemps grâce à la capacité des adultes à maintenir leur température corporelle jusqu'à 18 °C supérieure à la température de la mer environnante, mais malheureusement, elles sont en déclin dans le monde entier car beaucoup meurent de blocages intestinaux après l'ingestion de plastique (sacs plastiques blancs) qui ressemblent à des méduses, leur proies préférées. Les autres pressions sur les populations de tortues comprennent la pollution, la récolte des œufs (illégale) et la noyade dans les enchevêtrements des filets de pêche. L'océan Atlantique est considéré comme leur dernier bastion grâce à une combinaison de facteurs valables et dont les sites de nidification sont mieux protégés que dans les océans Pacifique et Indien, tandis que paradoxalement la décimation des stocks de thon a signifié le retrait d'un prédateur important de jeunes tortues et de l'augmentation du nombre de méduses également liée à la surpêche a vu l'abondance accrue de leur nourriture préférée. Source
  4. Rediffusion Jeudi 18 août 2011 - 08h00 samedi 20 août, 17h00
  5. Nom scientifique : Sternotherus odoratus Nom français : Tortue musqué commune Nom anglais : Commun musk turtle Origine : Ontario, Québec et États-Unis. Biotope : Aquatique Habitat : Tout plan d'eau peu profond (rarement plus de 2m) où le débit est faible et le substrat meuble, On retrouve comme plante aquatique présente : myriophillum, elodéa, lis d'eau, nénuphars, sagittaria ect... Moeurs : Aquatique et diurne Taille adulte : Jusqu'à 14 cm Longévité : En captivité, certains spécimens ont atteint les 50 ans. Nourriture : Aliments pour tortues, lombrics, viandes et poissons, un peu de végétaux, algues. Photo emprunté au site http://www.cheloniophilie.com Chez nous, cette tortue vit à l'état sauvage. On la voit très peu se faire dorer au soleil. Hors de l'eau, elle se déshydrate facilement et elle est vite en détresse. De plus, elle est extremement gauche sur la terre ferme. Son aire de répartition est très restreinte au Québec. Par contre, du côté européen, on la retrouve en aquarium. C'est peu attrayant pour certaines personnes à cause de son moyen de défense. Son nom, odoratus, vient de sa capacité à émettre une substance nauséabonde pour faire fuir les prédateurs, à partir d'une glande située vers le cou.
  6. UN PTÉROSAURE GRANDEUR NATURE À VULCANIA Depuis le mois de juin, le parc d’attraction Vulcania accueille un Quetzalcoatlus grandeur nature. Ce gigantesque reptile volant disparu il y a 65 millions d’années prendra ses quartiers à Vulcania pour la saison 2011. Il est présenté ici en tant qu’émissaire du futur parc Paléopolis de Gannat, développé à l’initiative du Conseil Général de l’Allier, et qui sera ouvert au public en 2012. Pour promouvoir l’ouverture prochaine de ce Parc consacré à la paléontologie, Vulcania, le Conseil général de l’Allier et la Société Eldonia se sont concertés pour le prêt d’un moulage de Quetzalcoatlus, spécimen rare qui fait partie des animaux préhistoriques parmi les plus importants de l’évolution de la vie terrestre. Ce spécimen préhistorique est un reptile volant (ptérosaure) de 12 à 14 mètres d’envergure, dont le nom provient du dieu aztèque, toltèque et maya Quetzalcoatl, symbolisé par un serpent à plume. Le Quetzalcoatlus est caractérisé par un museau effilé, dépourvu de dents, et il est muni d’un long cou et d’un corps de la dimension d’un homme. Ce reptile du Crétacé supérieur sera visible pendant toute la saison 2011 à Vulcania, à côté du Mastodonte d’Auvergne prêté par le Musée Crozatier du Puy-en-Velay. Ces expositions temporaires en rapport direct la préhistoire de l’Auvergne constituent des éléments de découverte de la région très appréciés des visiteurs de Vulcania et permettent de mettre en valeur des lieux de visites particuliers dans le territoire auvergnat. A propos de Vulcania : Situé au cœur du Parc Naturel des Volcans d’Auvergne, Vulcania est le premier parc d’exploration scientifique ludoéducatif. En 2010, c’est objectif Terre à Vulcania avec 2 nouveautés : « Machine Terre » et « La Planète dévoilée ». Vulcania invite petits et grands à vivre une journée étonnante, sensationnelle et riche d’enseignements. Le parc a accueilli plus de 3 millions de visiteurs depuis son ouverture en 2002. http://www.vulcania.com Source
  7. L'histoire des voisins est pour garder l'anonymat de ceux qui ont fait la plainte. Le gars s'était affiché sur kijiji pour la vente de ces caîmans.
  8. Qui ramassera le serpent mort? (SHERBROOKE) La Ville de Sherbrooke, la Société protectrice des animaux (SPA) ou le propriétaire du terrain? Une citoyenne de Sherbrooke s'interroge sur l'entité qui doit ramasser la carcasse d'un serpent mort sur la rue Mézy. Le reptile d'environ un mètre de long a été abandonné ou est mort dans le stationnement de l'immeuble incendié en septembre dernier en face du 2865 de la rue Mézy. La carcasse du reptile se trouve sur l'asphalte à environ trois à quatre mètres de la rue du quartier nord de Sherbrooke. Le citoyenne a fait part de la situation par courriel à La Tribune cette fin de semaine. Plus de 48 heures plus tard, hier après-midi, la carcasse du reptile s'y trouvait toujours. La Ville de Sherbrooke explique que le ramassage des carcasses d'animaux morts demeure sous leur responsabilité si elles se trouvent sur la voie publique ou sur les terrains vacants appartenant à la Ville. Dans ce cas précis, le serpent mort se trouve sur un terrain privé. C'est donc la responsabilité du propriétaire de disposer de la carcasse du reptile. Un appel à la ligne générale de la Ville de Sherbrooke au 819 821-5858 permet à la division hygiène du milieu de la section permis et inspection de joindre le propriétaire des lieux afin qu'il dispose du reptile mort. La Société protectrice des animaux (SPA)en Estrie mentionne que leur responsabilité se limite aux animaux vivants. «Nous avons reçu un appel en ce sens samedi. Nous référons ces cas à la Ville de Sherbrooke. Concernant les serpents, il est légal d'en posséder certaines espèces à Sherbrooke. Nous sommes en train de faire des propositions à la Ville pour que la réglementation soit clarifiée. Nous intervenons deux à trois fois par année relativement à des interventions concernant des serpents», mentionne le directeur général de la SPA-Estrie, Bruno Felteau. rene-charles.quirion@latribune.qc.ca Source
  9. Eh oui, il y a du bon à dénoncer le braconnage. Voici un article le démontrant : Cinq caïmans saisis dans une résidence à Pintendre (Québec) Un résidant du quartier Pintendre, à Lévis, a poussé sa passion pour les animaux exotiques un poil (pardon pour le jeu de mot) trop loin, en adoptant illégalement pas moins de cinq caïmans à lunette. Les animaux ont été saisi en juin et remis au Zoo de Granby, a fait savoir mardi le Service de protection de la faune du Québec. Les reptiles étaient apparemment des jeunes, puisqu'il ne mesuraient qu'environ 30 centimètres, mais les adultes mâles de cette espèce peuvent dépasser 2 mètres - 1,5 mètres pour les femelles. «Ce sont les gens du secteur qui ont alerté le Service de protection de la faune (SPF) après avoir remarqué que des gens entraient dans la maison avec des aquariums et des vivariums. Des accusations de possession illégales de reptile seront déposées, et peut-être aussi de trafic, selon ce que trouve l'enquête», a indiqué au Soleil le sergent Sylvain Simard, coordonnateur régional au SPF. Les crocodiliens ont été confiés en juillet au zoo de Granby, où ils sont depuis gardés en quarantaine pour une période de trois mois, histoire de s'assurer qu'ils ne transmettront pas de maladie aux autres pensionnaires. Qui est-ce? M. Simard n'a pas voulu divulguer plus d'information au sujet de l'individu inculpé, à part pour en dire qu'il possédait plusieurs autres animaux exotiques, notamment des serpents et des tarentules - mais rien d'illégal. Il n'a pas été possible d'en savoir plus long sur les motivations de l'individu ni sur la façon dont il a bien pu se procurer pareils bestiaux. «On sait qu'il se fait du trafic au Québec, on sait qu'il y a des caïmans qui rentrent de façon illégale. Il y a des États américains où il est permis d'en posséder, mais on ne sait pas encore comment cet individu s'est procuré les siens», a dit M. Simard. Source
  10. Les crocodiles envahissent Kampot Ces dernières semaines de fortes pluies ont sorti la rivière hors de son lit. La Campagne cambodgienne se recouvre d’un mince filet d’eau et le paysage se transforme. C’est l’occasion pour tout les animaux « aquatiques » d’envahir des zones sèches le reste de l’année pendant que les fourmis et serpents se réfugient sur les hauteurs (les maisons en l’occurrence). Des crocodiles auraient été vus dans la petite ville de Kampot. Voila le grand débat qui agite Kampot depuis une semaine. Vérité ou mythe, les crocodiles sont-ils de retour dans la région ? Quelques jours après le naufrage d’un de mes concurrents boatman, la rivière a inondé quelques routes et les mares ont envahi les jardins. De nombreux témoins affirment avoir vu un crocodile près du vieux pont. Ce n’est pas juste quelques conducteurs de tuk-tuk noyant leur ennui dans l’alcool de riz, mais aussi des expatriés et des khmers à qui je fais confiance. J’aimerai beaucoup pouvoir dire à mes clients, que OUI, il y a des crocodiles dans cette rivière ; mais mon propriétaire est catégorique, et sa voix fait autorité après 15 ans à Kampot. Alors, rumeur ou accident ? La question reste posée. Le Cambodge abrite les derniers « exemplaires » libres du crocodile siamois (avec la Malaisie). En Thaïlande et au Cambodge, les fermes à crocodiles sont nombreuses, mais à l’état sauvage, seules les Cardamones en hébergent quelques centaines. Cependant, une population de crocodiles existaient à Kampot. Près des rapides de Toek Chou, au nord de la rivière, une dizaine de crocodiles étaient recensés avant 1975. Ces reptiles préhistoriques ont été décimés pour nourrir les khmers rouges et la population affamée. Pourtant l’information n’est pas totalement impossible. Plusieurs pistes sont possibles pour expliquer l’hallucination collective : Il y a une chance (très faible) qu’un petit nombre de crocodiles du Siam survivent aux alentours de Toek Chou, situé en lisière du parc national de Bokor ; et qu’un membre de ce groupe aie été emporté par le courant de la rivière gonflée par les pluies. Malgré leur démenti, un crocodile a très bien pu profiter de l’inondation pour s’échapper du zoo de Toek Chou situé au bord de la rivière. Les fermes à crocodiles ne sont pas toujours totalement légales. Il y en aurait peut-être autour de Kampot. Dans ce cas, un reptile peut, ici aussi, profiter le l’inondation pour « faire le mur ». Les rivières du Cambodge abritent des espèces de poissons énormes et endémiques. Un « poisson crocodile » ou autre monstre peut avoir été confondu avec le saurien siamois. S’il n’y avait pas eu ces témoignages de confiance, j’aurai pensé à un tronc d’arbre. Beaucoup de morceaux de bois flottent sur la rivière lors de fortes pluies, et certains peuvent être confondus avec un crocodile. En tout cas le sujet alimente les conversations à Kampot. J’aimerai beaucoup voir un de ces crocos rescapés des khmers rouges, et j’aimerai vraiment que la rivière qui coule au bout de mon jardin soit le sanctuaire de ce vieux dinosaure perdu au XXIeme siècle. source : LGV Source
  11. Marylin, vedette du parc L'Aquarium du Périgord noir, au Bugue, compte un nouveau pensionnaire de taille, un python molure albinos. L'Iguana Parc du Bugue vient d'accueillir un nouveau pensionnaire de taille : un python molure albinos (ou doré) de 6 mètres et 95 kilos, âgé de 12 ans. Cette femelle prénommée Marylin a fait son entrée, vendredi matin, dans ce parc rattaché à l'Aquarium du Périgord noir du Bugue. Au milieu des lézards, iguanes, tortues et serpents venus de tous les continents, Marylin est le plus grand des reptiles du parc, la nouvelle vedette en quelque sorte. Plus grande que les deux pythons molures présents sur le site depuis son ouverture en 2008. Plus grande aussi que Lolita, une femelle anaconda de 5 mètres arrivée en février dernier sur les bords de la Vézère. Élevé par un particulier avant de rejoindre la Ferme tropicale à Paris, l'animal vient de passer quatre mois en quarantaine, dans les Landes, pour éviter tout risque de contagion et pour se refaire une santé. C'est donc en pleine forme que le reptile a découvert son nouvel univers. Le plus gros de France « Chez les pythons, l'albinisme est une anomalie génétique rare, explique Thierry, l'herpétologue de l'aquarium. Dans la nature, dépourvus du camouflage de l'espèce, les petits n'ont pour ainsi dire aucune chance de survie. De fait, tous les spécimens en captivité aujourd'hui descendent d'un serpent atteint de cette anomalie, découvert en 1980 dans une grotte du sud-est asiatique. A priori, Marylin est le plus gros python doré présenté en France, mais elle n'a pas encore atteint l'âge adulte, avec une espérance de vie de quarante à cinquante ans. » Quelle taille peut atteindre la nouvelle attraction de l'Iguana Parc ? Un reptile semblable vivant près de Chicago aux États-Unis mesure 8,15 m. Et l'air du Périgord semble réussir à ce genre d'animal puisque Lolita, l'anaconda, a pris 50 cm en quelques mois ! Marylin sera nourrie ici, avec des lapins et des poulets, à défaut des proies de son milieu naturel (à savoir les forêts humides de Birmanie ou de Thaïlande) : oiseaux, reptiles ou mammifères, des rongeurs jusqu'aux gazelles qu'elle étouffe par constriction avant de les avaler entiers. Un animal sauvage Extrait de sa boîte de transport, l'animal semblait placide. « Il ne faut pas s'y fier, prévient Thierry. Si les pythons apparaissent plutôt indolents, ils sont d'une vivacité inversement proportionnelle en phase de prédation. Et ils restent des animaux sauvages, même en captivité. N'oublions pas qu'ils sont dotés d'une force spectaculaire. » C'est ce dont se sont rendu compte les sept personnes qu'il a fallu mobiliser pour « désenrouler » Marylin, dont Laurent Corbel, directeur du site. « C'est toujours une émotion de recevoir un nouveau spécimen, surtout quand il s'agit d'une pièce maîtresse », reconnaît ce dernier. La nouvelle venue a ensuite rejoint le vivarium de Lio, l'autre femelle python qui y a pris ses quartiers sous un bouddha massif depuis 2008. Après avoir exploré chaque recoin de l'espace, jusqu'à la piscine, Marylin a fait connaissance avec sa colocataire que l'on a séparée du mâle (pour déjà deux pontes). Un mâle possédant 50 % de patrimoine génétique albinos qui lui sera présenté le printemps prochain… Le couple ainsi formé en 2012 pourra donc perpétuer cette originalité de la nature. Titia Carrizey-Jasick L'Aquarium du Périgord noir et l'Iguana parc sont ouverts en août tous les jours de 10 à 19 heures. Tarifs : 10,40 € et 7,60 € pour les 4-15 ans. Renseignements au 05 53 07 10 74 ou sur www.aquariumperigordnoir.com. Source
  12. Bon, voici le moment de vous montrer quelques photos de l'exposition. J'étais encore une fois accompagné par mon amoureuse. Nous voilà maintenant installé et prêt pour l'évènement. Il nous reste qu'à attendre le début de la journée. Nous avions amené notre relève pour l'exposition cette fois-ci. Voici maintenant les photos des bêtes! On a l'habitude de faire des plus grosses expos que celle là, mais on était quand même content de terminer notre journée!
  13. Insolite : un boa sous le capot de la Mini Les serpents sont décidemment capables de se glisser partout dans une voiture. Il y a quelques jours, nous observions cette séquence amusante où un serpent se retrouvait blotti sous les essuie-glace d'un SUV sur l'autoroute. Nouveau fait divers impliquant nos amis reptiles aujourd'hui avec cette découverte plutôt effrayante pour un mécanicien anglais. Le propriétaire d'une Mini Cooper amenait son auto dans un garage d'Oxfort. Le mécanicien débute alors son travail de routine et commence par ouvrir le capot de la citadine. Et là, surprise : un boa s'est tranquillement installé sous le feux avant droit de l'auto. Personne ne sait comment le serpent est arrivé là, ni à qui il appartient puisque le Royaume Uni ne possède habituellement pas une faune riche en animaux de ce type. Source
  14. Des dizaines de tortues dans le Vexin Vous conservez un souvenir ému de Caroline, la tortue de « Boule et Bill » fan de salade, de bobsleigh et de balançoire? Les plus jeunes ont un faible pour Franklin, cette tortue de dessin animé qui résout un problème à chaque épisode? Aujourd’hui, c’est l’occasion de voir des tortues terrestres en vrai : Philippe Javaux, éleveur installé dans le Vexin, propose une journée-rencontre à la salle polyvalente de Neuilly-en-Vexin. Vous pourrez y observer des tortues d’Hermann de toutes tailles âgées de seulement quelques mois à 33 ans. Cette espèce est la seule à la fois autorisée à la vente et capable de vivre dans un jardin de la région parisienne sans soins particuliers. De 10h30 à 17 heures, salle polyvalente de Neuilly-en-Vexin. Internet : www.tortuedeterre.info. Le Parisien Source
  15. Environnement : Ils viennent de loin Les espèces lointaines parviennent à s’implanter en France avec des complicités surprenantes. La grenouille taureau a pris l’avion Originaire de Floride, cette grenouille a été introduite en France en 1968 par l’intermédiaire du propriétaire d’un château en Gironde. Fasciné par sa grande taille (40 centimètres), il décide finalement de ramener par avion une dizaine de spécimens pour agrémenter l’étang de son parc. Il n’en fallait pas plus pour que cette grenouille, très vorace en poissons, grenouilles et poules d’eau, colonise les nombreux points d’eau et se répande dans toute la région Aquitaine, et même jusqu’en Sologne. Le Tamia de Sibérie échappé d’une animalerie Ce petit écureuil d’Asie est devenu dans les années 1970 un animal de compagnie très populaire. Echappé accidentellement d’une animalerie, il se reproduit aujourd’hui en grand nombre dans nos forêts, notamment dans celles de Picardie et d’Ile-de-France. Cette espèce est aujourd’hui particulièrement nuisible. Elle est responsable de la recrudescence de la maladie de Lyme. La coccinelle carnivore importée par les scientifiques En 1982, des scientifiques de l’Inra décident d’implanter cette coccinelle originaire de Chine, de Corée et du Japon dans le cadre de la lutte bio contre les pucerons, en remplacement des pesticides. Grâce à ses capacités de reproduction, elle a aujourd’hui colonisé des régions comme la Loire-Atlantique, Rhône-Alpes, la Franche-Comté… Nos chercheurs ignoraient à l’époque qu’il s’agissait d’un carnivore vorace capable de décimer nos coccinelles locales… Le frelon asiatique est arrivé en bateau Alors qu’on le trouve dans le nord de l’Inde et en Chine, ce gros insecte a probablement débarqué en 2004 sur nos rivages, dissimulé dans les conteneurs d’un bateau transportant des poteries chinoises commandées par des producteurs de bonzaïs du Lot-et-Garonne. L’espèce s’est parfaitement acclimatée et prolifère à une vitesse hors norme. Si sa reproduction continue à ce rythme, elle pourrait, à terme, entraîner la ruine de nombreux apiculteurs. Nos scientifiques plantent des arbres espions en Chine A plus de 9.000 kilomètres de l’Hexagone, les scientifiques français de l’Institut national de recherche agronomique cherchent la parade aux invasions d’espèces exotiques. « La majorité proviennent d’Asie, et notamment de Chine », justifie Alain Roques, de l’Unité de recherche de zoologie forestière (URZF) à Orléans, qui dirige le projet européen « Pratique » pour détecter les envahisseurs potentiels en Europe. « En général, ces espèces ne font aucun dégât dans leur pays d’origine. On a donc décidé d’implanter nos arbres européens (cyprès, hêtre, charme, chêne…) en Asie. » Cela permet d’observer quelles espèces attaquent nos arbres et disposer ainsi d’un coup d’avance si l’ennemi arrive en France. Entre 2007 et 2008, deux plantations d’un hectare ont été installées dans les régions de Pékin et de Fuyang. « Grâce à ces “arbres sentinelles”, nous espérons être capables de mettre au point les bons dispositifs pour endiguer leur expansion », poursuit le chercheur. A l’heure actuelle, une centaine d’espèces d’insectes (charançon sur chêne, scarabée de type Hoplotrichia sur charme…), principalement des coléoptères, ont été identifiées comme de potentiels colonisateurs. Cinq d’entre elles sont déjà considérées comme une menace à moyen terme. Source
  16. Sauterelles natures ou sucettes au scorpion : les insectes qui se mangent Crickets grillés, raviolis de grillons, brownies aux vers … « miam » ou « beurk » ? C’est sûr, manger des insectes, cela interpelle ou répugne mais en aucun cas ne laisse indifférent. Si les insectes sont un mets tout ce qui a de plus banal pour 2,5 milliards d’individus dans le monde, pour nous Occidentaux, c’est encore un peu difficile à avaler ! Certains, à l’instar de l’entomologiste (qui étudie les insectes) Bruno Comby ou Romain Fessard, créateur du site insectescomestibles.fr, tous deux invités sur Europe 1 ces jours-ci, se sont jetés à l’eau pour proposer aux Français des produits (délicieux ?) à base d’insectes. Alors, les insectes dans nos assiettes, c’est pour aujourd’hui ? Franchir la barrière culturelle et culinaire Si à l’époque les « délicieux insectes » de Bruno Comby (livre paru aux éditions Jouvence en 1990) avaient suscité beaucoup d’intérêt et de questionnements, on envisageait la dégustation d’insectes plus comme un moyen d’assouvir une certaine curiosité ou le plaisir de relever un défi plutôt que d’une absolue nécessité. Il n’y a qu’à voir le succès d’émissions télévisées telles que Koh Lanta ou Fear Factor où l’on grimace devant ces candidats qui doivent manger vers gluants ou autres brochettes de grillons pour remporter l’épreuve. Pourtant, il existe bien d’autres produits que nous avalons et que d’autres trouvent tout simplement écœurants : les huîtres, les coquillages, les cuisses de grenouille, les escargots … quelle différence y-a-t-il après tout ? C’est bien sûr une question de culture : nous avons éliminé les insectes de notre alimentation depuis des siècles. Dans l’antiquité, les Romains mangeaient des chenilles ou des larves de scarabées alors que les Grecs se régalaient de cigales bien grillées. Bruno Comby raconte même que jusque dans les années 1910, on pouvait trouver des marchands de cigales sur les marchés parisiens … Et même si nous consommons 500 grammes d’insectes par an sans le savoir – on en retrouve dans les tomates en conserve, les sachets de fruits secs ou dans les produits contenant du colorant E120 dont l’autre dénomination est « rouge cochenille » comme dans les boissons sucrées ou les bonbons – nous ne sommes pour la plupart pas encore prêts à avaler une assiette de hachis parmentier d’insectes ! D’ailleurs, il est déjà bien difficile pour beaucoup d’entre nous de concevoir que lorsque nous mangeons de la viande, nous mangeons bien des animaux … Il est vrai que sous vide dans un rayon de supermarché, un steak n’évoque pas forcément le bœuf qui paissait dans un pré quelques jours auparavant. Alors manger des insectes … Pourtant, nous aurions tout intérêt à sauter le pas ! En effet, les insectes sont source de protéines, au même titre que l’est la viande. Et comme le précise un article du magazine britannique Wired UK, « What’s for lunch », l’apport en protéines n’est pas le seul avantage. Consommer des insectes à plus grande échelle dans nos sociétés pourrait bien nous permettre d’éviter les problèmes sanitaires comme la vache folle, la grippe aviaire ou la contamination de la viande de porc à la dioxine. L’auteur, lui même entomologiste et entomophage (qui mange des insectes) explique que le patrimoine génétique des insectes étant tellement éloigné du nôtre, les virus peuvent difficilement arriver jusqu’à nous. De plus, l’élevage d’insectes est beaucoup plus durable que l’élevage de viande puisqu’il nécessite moins d’eau et moins d’énergie. Dans l’article « What’s for lunch », Marcel Dicke procède à un petit calcul : pour 10 kg de nourriture (déchets de l’industrie agroalimentaire) donnés aux animaux pour produire de la viande, on obtient : 1 kg de bœuf, 3 kg de porc, 5 kg de poulet et 9 kilos de sauterelles. De la même manière, 75% de la masse de la sauterelle est mangeable alors que ce taux est de seulement 21% pour le poisson. L’élevage d’insectes pour l’alimentation engendrerait donc considérablement moins de gaz à effet de serre : 99 % de moins que l’élevage bovin, selon une publication de la revue Plos One. Les insectes s’invitent à nos tables en France La FAO (Food and Agriculture Organization, une branche de l’ONU s’occupant des questions de l’alimentation) estime que plus de 1.400 espèces de larves et d’insectes sont consommées dans 90 pays repartis sur trois continents. Elle rappelle que les insectes sont très sains et nutritifs et constituent une excellente source de protéines, de matières grasses et de micronutriments. Avec une population mondiale qui atteindra 9 milliards d’individus en 2050, il est nécessaire de trouver dès aujourd’hui d’autres sources de protéines pour être capables de nourrir tout le monde. voir la croissance de la population mondiale sur le Planetoscope Des insectes à manger chez nous ? Si les insectes arrivent difficilement dans les assiettes françaises, certains pionniers essaient de faire entrer les insectes dans nos cuisines. C’est le cas de sites Internet comme insectescomestibles.fr Le site (qui a un très joli graphisme par ailleurs) est assez surprenant : boutique, blog recettes, jusque là, tout va bien. Et puis, lorsque l’on jette un œil sous les jolies photos très colorées, on découvre les insectes à déguster en snack, des confiseries (bonbons à la fourmi ou au papillon, sucette scorpion …) et des chocolats. Insectescomestibles.fr propose également de nombreuses recettes, salées ou sucrées à base d’insectes ! De l’apéritif au dessert, une vingtaine de recettes sont en ligne : verrine vers et fromage, sushis découverte, quiche aux ténébrions, bananes flambées au rhum et aux insectes … de quoi inspirer vos menus les plus osés ! Le site vous invite d’ailleurs à venir partager vos recettes. La boutique vous propose d’acheter en ligne sauterelles, grillons et autres vers de bambou avec paiement en ligne sécurisé (carte ou Paypal) ou un règlement par chèque. Mais insectescomestibles.fr n’est pas qu’un site d’e-commerce. L’équipe vous propose des animations « découverte » en individuel ou en groupe via plusieurs formules : découverte de nouvelles saveurs, tests à l’aveugle, animations lors d’événements … Vous pouvez également faire le choix d’animations culinaires pour apprendre à cuisiner des insectes, chez vous ou dans tout autre lieu de votre choix (vos collègues vous remercieront … ou pas) L’entreprise vous propose aussi des bons cadeaux qui surprendront très certainement votre entourage ! Les insectes côté resto Nous avions repéré lors de la rédaction d’un autre article sur ce sujet (Manger des insectes plutôt qu’un steak ?) un projet d’ouverture de restaurant à Paris servant des insectes… Apparemment, le projet est reporté : début juillet, la personne à l’initiative de ce restaurant expliquait dans un post sur son blog qu’il n’était pas aisé d’introduire de nouveaux aliments, les réglementations étant assez strictes (ce qui est d’ailleurs plutôt rassurant) Si vous connaissez des restaurants servant des insectes en France, n’hésitez pas à venir témoigner ! Attention, tous les insectes ne sont pas comestibles ! Certaines espèces ne se mangent pas comme les coccinelles ou encore les blattes … Également, les insectes doivent être produits d’une manière compatible avec l’usage alimentaire Il y a quelques années, l’idée de manger du poisson cru était tout simplement invraisemblable pour la majorité des Français. Pourtant, on trouve aujourd’hui des restaurants servant des sushis, sashimis et autres spécialités japonaises à tous les coins de rue et les livraisons à domicile explosent. Peut-être en sera-t-il de même pour les insectes d’ici quelques années ? Alors, des insectes à la place d’un steak, qu’en pensez-vous ? Source
  17. Un fossile de dinosaure marin avec un embryon Le fossile d’un plésiosaure, en pleine gestation suggère que les femelles de cette espèce donnaient naissance à leurs petits Les plésiosaures étaient de grands reptiles carnivores aquatiques. Il est parfois dit familièrement qu'ils ressemblaient « à une tortue avec un serpent au travers du corps ». Ils vivaient durant le Mésozoïque, de - 251 à -65,5 Ma. Le fossile sur lequel ont travaillé de l'université Marshall et du Musée d'histoire naturelle de Los Angeles mesure plus de quatre mètres et est vieux de 72 à 78 millions d'années. Le fossile exposé au Museum Naturel d'Histoire de New-York. MNH Sa découverte ne date pas d’aujourd’hui mais il n’a été analysé que récemment. Les chercheurs le décrivent dans la revue Science comme une femelle portant un petit pas encore né. La grande taille du foetus suggère qu’au lieu de donner naissance à de nombreux petits comme d’autres reptiles vivipares du Mésozoïque, les plésiosaures n’avaient qu’un seul petit de grande taille. D’autres embranchements de reptiles aquatiques de cette ère donnaient aussi naissance à leurs petits mais la question de la « viviparité » des plésiosaures restait un mystère malgré une excellente série de fossiles retrouvés depuis deux cents ans. D’autres espèces marines qui procèdent ainsi tels que les baleines s’occupent beaucoup de leur progéniture comparées à d’autres animaux. Bien que d’autres indices soient nécessaires pour valider cette hypothèse, les auteurs suggèrent que les plésiosaures aient pu aussi prendre soin de leur petit après sa naissance. J.I. Sciences et Avenir.fr 12/08/2011 Source
  18. Un python de six mètres au Bugue (24) Marylin, femelle python, devient la plus grande pensionnaire de l'Iguana park du Bugue Marylin est arrivée vendredi matin en provenance de Paris via les Landes. C'est une femelle python molure albinos de six mètres et 95 kg déjà âgée de 12 ans. Il a fallu sept personnes pour l'extraire de sa boite de transport et la placer dans sa cage dorée de l'Iguana park du Bugue, annexe de l'aquarium. Elle devient le plus grand pensionnaire de l'établissement et peut encore grandir puisqu'elle peut vivre jusqu'à 50 ans. Source
  19. Monsieur Reptile au Festival des 5 sens Monsieur Reptile est un zoo privé spécialisé en herpétologie (science qui étudie les reptiles et les amphibiens) comptant plus de 15 ans d’expérience dans le domaine. Sujets : Mongo Une exposition éducative sera présentée au Festival des 5 sens de Ste-Sophie-de-Lévrard où vous pourrez voir et mieux connaître plusieurs reptiles (serpents, lézards et tortues) de toutes tailles et couleurs. Lors de cette occasion, vous pourrez voir et toucher Mongo le python de Birmanie jaune de 12 pieds. Il sera possible de se faire photographier avec Mongo au coût de 5 $ sur demande. La population est invitée à rencontrer l'équipe de Monsieur Reptile le 13 et 14 août 2011, de 12 h à 17 h et assister à notre conférence dimanche dès 14 h. Source
  20. Un reptile marin datant de l‘ère Mésozoïque retrouvé avec son embryon Il mesurait 4,7 mètres de long et vivait aux côtés des dinosaures il y a 78 millions d’années. Un fossile de polycotylus latippinus, un reptile marin, vient d‘être retrouvé avec son embryon bien formé. Une découverte qui confirme que les plésiosaures, l’espèce à laquelle il appartenait, mettait bas plutôt que de pondre des oeufs. Le reptile marin est exposé au Musée d’Histoire naturelle de Los Angeles. Source
  21. Angers à la pointe pour guérir les morsures de serpent Le docteur Harry a créé à Angers la seule banque de sérums antivenimeux de France. Grâce à ses produits importés de l’étranger, il peut remédier à de nombreuses morsures de serpents exotiques. Son intervention a sauvé, vendredi dernier, un habitant de la région parisienne qui possède une quinzaine de serpents naja, de la famille des cobras. Le passionné s'était fait mordre au pouce. Source
  22. Un boa en fuite dans un quartier d'Argentan Drôle de surprise pour une jeune fille et sa grand-mère en allant étendre leur linge dans la remise de leur domicile, quartier Saint-Martin-des-Champs, à Argentan. Au fond, sur le tas de bois, un boa n’a pas apprécié d’être dérangé dans sa sieste. « En cinq minutes les sapeurs-pompiers étaient là, mais le boa était déjà parti se cacher dans les fourrés derrière chez nous », explique la mère. « C’était jeudi dernier, depuis on n’en dort plus. » Malgré les recherches, le boa n’a pu être retrouvé et se promène encore dans la nature. Source
  23. Avis de recherche : mais où est passée Pénélope ? Rien ne sert de courir, il faut partir à point. Voilà six ans que Pénélope, tortue Hermann, vivait paisiblement dans le quartier des Pradettes avec Marie-Michèle et Patrice Milhavet quand samedi, elle a pris la poudre d'escampette. « C'est la première fois qu'elle s'échappe » confie Patrice, « quelqu'un l'a découverte dans la rue et ne trouvant pas le propriétaire est parti avec. Je suis prêt à offrir quelque chose à celui qui la retrouve, cette tortue a une grande valeur sentimentale pour ma femme et moi ». Si quelqu'un retrouve Pénélope, merci de contacter Patrice ou Marie-Michèle au 06 84 50 10 85 ou au 06 81 31 71 41. Domicile : 7 rue André Broussin. Source
  24. 2 CONTREBANDIERS ARRÊTÉS PAR LES AUTORITÉS MALGACHES Deux hommes sont actuellement jugés à Antananarivo pour avoir tenté de passer en contrebande près de 196 tortues appartenant à une des espèces les plus rares au monde. Les deux contrebandiers, un malgache et un indien, ont été arrêté à l’aéroport d’Itavo alors qu’ils s’apprêtaient à s’envoler pour Nairobi avec dans leurs bagages 195 tortues endémiques ainsi qu’une tortue à soc adulte . Ayant presque réussi à déjouer les systèmes de sécurité, le scanne de leurs bagages a permis aux autorités locales de les appréhender. Richard Hugues, Représentant régional du WWF Madagascar a déclaré : « Nous applaudissons le gouvernement et les autorités pour leur vigilance accrue à faire respecter les lois, comme dans cet exemple, et nous les encourageons à continuer et espérons que ce cas ainsi que les prochains seront suivis de peines lourdes ». « Le gouvernement de transition malgache a montré les signes d'une volonté politique de résoudre les problèmes liés au trafic , notamment pour leurs bois précieux comme le palissandre et l’ébène » annonçait Ndranto Razakamanarina, Conseiller politique WWF à Madagascar. « Cette volonté politique doit être étendue à l'application du droit malgache et à tous les crimes contre les espèces protégées endémiques de l’île comme les tortues par exemple ». Les trois principales menaces Une enquête publiée par le WWF en 2010 révélait que chaque semaine plus de 10 camions transportant des zébus et près de 1000 tortues quittaient illégalement le plateau de Mahafaly au sud de Madagascar . L’instabilité politique du pays a engendré une hausse du braconnage des tortues araignées et des tortues radiées. Le commerce international des tortues araignées, tortues à soc et tortues radiées est aujourd’hui interdit par la CITES , mais ces dernières restent malheureusement largement menacées et exploitées pour répondre aux demandes des marchés asiatiques et européens où elles sont vendues comme animaux de compagnie. Le WWF estime que plus de 60 000 tortues sont extraites de leur milieu naturel chaque année . La tortue radiée est également recherchée pour sa chair. En effet les populations locales la mangent lors des fêtes comme à Pâques, le Jour de l’indépendance ou encore à Noël. Enfin leur habitat est lui aussi menacé par les coupes sauvages et les incendies de forêt. Un risqué élevé d’extinction La tortue radiée (Astrochelys radiata ) et la tortue araignée (Pyxis arachnoides ), deux des espèces endémiques du sud et du sud-est de l’île, font parties des espèces emblématiques des éco-régions des forêts épineuses. Ces dernières sont hautement menacées d’extinction si le taux actuel de contrebande continu. Afin d’enrayer cette possible tragédie, le WWF MWIOPO (bureau des programmes de Madagascar et de l’Océan Indien) a développé, en 2010, un plan d’action de conservation de ces deux espèces. Renforcer l’application des lois On peut d’ores et déjà observer des résultats encourageants sur les sites protégés. De décembre 2010 à janvier 2011, 393 tortues (277 tortues radiées et 116 tortues araignées), destinées au trafic ont été saisies par les agents des services forestiers et les membres de la police. Malgré ces résultats, une saisie comme celle effectuée en juillet dernier montre que les tortues endémiques de Madagascar continuent d’être braconnées et sorties illégalement du pays et que les efforts fournis par les autorités passent encore inaperçus. Des lois sont en place mais leur faible application et les peines dérisoires encourues par rapport aux enjeux financiers liés aux trafics illégaux ont favorisé la corruption. Ndranto Razakamanarina ajoute : « Des mesures importantes doivent être prises afin de s’assurer de l’application de ces lois de façon appropriée. Il ne doit y avoir ni compromis ni exception ». Source
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