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Max|mum-leterrarium

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Tout ce qui a été posté par Max|mum-leterrarium

  1. Les enfants ont vraiment trippé sur les geckos à crête donc nous en avons même acheté un troisième! Voici des photos de Katan (on ne s'est même pas d'où le petit a sorti ce nom là mais bon) et sa soeur Lylie-Fleur. Eh oui, nous sommes retourné chercher le frère du premier qu'on avait acheté. Voici quelques photos des deux! Malgré leur bas âge, 4 et 6 ans, je suis en train de faire d'eux, deux futurs passionnés! Je dois même les avertir si je nourris les tégus, varans et serpents.
  2. Luis vient de muer! Je ne pouvais pas passer sur l'occasion de vous montrer ses belles couleurs!
  3. Max|mum-leterrarium

    Flash

    Eh oui, un autre gecko à crête! Je ne l'avais pas encore montré. On avait acheté un gecko à crête à la fille de ma copine mais là son fils était jaloux. On a donc décidé d'en acheté un pour lui aussi. Il refusait de toucher à tous mes reptiles depuis le début mais maintenant qu'il a le sien, il le prend sans hésiter. Il l'a nommé Flash comme son héro Flash McQueen dans les bagnoles. Il s'agit d'un jeune full striped de 4 jours lors de l'achat. Voici quelques photos!
  4. Fort Boyard : Teddy Riner terrorisé par un serpent Teddy Riner, le quadruple champion du monde de judo, est totalement terrorisé par un serpent dans Fort Boyard. C'est le concept de Fort Boyard et pourtant, des participants n'arrivent toujours pas à s'y faire. Après Chloé Mortaud, Miss France 2009, totalement terrorisée dans Fort Boyard , c'est maintenant le cas de Teddy Riner, le quadruple champion du monde de judo, qui a littéralement paniqué devant un serpent présent à côté de la sortie du jeu dans lequel il se trouvait. Il a fallu que la persévérance de ses camarades l'oblige à sortir du jeu en passant juste à côté de la bête. On doute fort qu'il ait mis sa main dans le pot de mygales ou de cafards, mais il a quand même pris son courage à deux mains alors que beaucoup d'entre nous se seraient retrouvés prisonniers du jeu. Source
  5. Leur python affamé mange leur bébé Un couple est jugé pour homicide au troisième degré sur une fillette. Celle-ci a été tuée par le python domestique. Jaren Hare, une Américaine de 21 ans et son compagnon, Charles Darnell (34 ans) sont actuellement jugés en Floride dans l'affaire du décès de la petite Shaianna (2 ans) qui a été retrouvée morte dans son lit en juillet 2009, un serpent autour du cou qui tentait de la manger. L'animal en question est un python de 2,5m qui appartenait à la maman de la fillette. Mais celui-ci n'avait plus été nourri depuis des semaines. Celle-ci l'avait abandonnée dans une sorte de cuve avec un duvet attaché avec des épingles pour qu'il ne s'échappe pas. Inutile de dire que le python est parvenu à quitter son enclos et celui-ci s'est rapidement retrouvé dans la chambre de la petite et l'a tuée en l'étouffant. Pour les enquêteurs, il n'y a pas de doute, il s'agit d'un homicide par imprudence. Jaren et Charles sont poursuivis pour négligence criminelle. "Ces deux accusés adultes sont responsables de la mort de Shaianna Hare", a indiqué le procureur Peter Magrino aux jurés lors du procès qui s'est ouvert aujourd'hui. En effet, Gypsy, le python "domestique" s'était déjà enfui à plusieurs reprises au cours de ces dernières semaines. Les accusés ont plaidé le manque d'argent pour leur défense. Selon eux, ils ne pouvaient plus se permettre de nourrir le serpent que Jaren "considérait comme son bébé". (CB) 13/07/11 12h01 Source
  6. Nez à nez avec un serpent En sortant de son habitation de Moulin-le-Comte, Stéphanie s'est retrouvée à moins d'un mètre d'un serpent. Depuis, cette jeune femme vit dans la peur de faire de nouveau une mauvaise rencontre Drôle de rencontre pour Stéphanie l'autre dimanche. Alors qu'elle sortait tranquillement de sa maison située dans une impasse de Moulin-le-Comte pour rejoindre son véhicule, garé sur le trottoir d'en face, elle voit à un mètre d'elle, un serpent enroulé sur lui-même en plein milieu de la chaussée. Prise de panique, elle fait immédiatement demi-tour et va s'enfermer chez elle. Après quelques minutes pour revenir à elle, elle décide de prendre son courage à deux mains et de sortir prévenir la voisine, une fermière. Ensemble, elles préfèrent appeler deux connaissances de Rincq. Sur le champ, les deux hommes arrivent. Ils ne sont pas en tenue de circonstance, l'un d'eux porte des tongs. À première vue, ils ne savent pas dire si c'est une vipère ou une couleuvre. « En tant que pêcheurs, nous avons l'habitude de voir des couleuvres d'eau, elles sont vertes et jaunes. Là, elle était grise écaillée, je penchais donc pour une vipère... » explique l'un d'eux. Qu'importe, la bête est toujours là, les deux femmes sont paniquées, il faut agir. Ils essaient tant bien que mal d'attraper l'animal sans lui faire mal. Mais, c'était sans compter sur la vivacité du serpent qui leur échappe des mains à plusieurs reprises avant d'aller se réfugier dans les hortensias de Stéphanie. De loin, les deux femmes contemplent le spectacle. Les hommes viennent chercher une débroussailleuse pour atteindre le serpent. Au bout d'un moment, par peur qu'il leur échappe et ne sachant pas le type de serpent, il décide de le tuer. À l'aide d'une bêche, l'un d'eux achève la bête. Et là, vision d'horreur pour Stéphanie qui voit sortir du ventre de l'animal plein d'oeufs... Les deux téméraires prennent un sac poubelle pour l'emporter aux services techniques de la ville. Une fois sans vie, ils en sont quasiment sûrs, c'est une couleuvre viperi-collier. Une espèce non dangereuse mais qui se ferait très rare dans le coin... On pourrait expliquer sa présence par le changement de climat. De nouvelles espèces se trouvent bien par chez nous. Cela fait aujourd'hui plus d'une semaine que Stéphanie vit dans la peur de faire de nouveau un face à face avec un serpent, d'autant que depuis qu'elle en parle, les langues se délient. « Apparemment, par ici, on trouve beaucoup de couleuvres d'eau. Le propriétaire de mon logement m'a dit que son chat lui avait déjà rapporté un serpent. Les deux hommes de Rincq ne sont pas à leur première prise non plus. Quand j'ai appelé les services techniques, ils m'ont dit qu'ils en avaient déjà retrouvés au jardin public d'Aire, dans un terrain de particulier... Là, c'est encore un autre cas. » Toute cette histoire commence sérieusement à faire froid dans le dos de la jeune femme. Jamais, elle ne pensait tomber nez à nez avec un tel animal. « Sur le net, ils disent qu'il y a effectivement des couleuvres et des vipères dans le coin. Et puis, il y a cette histoire d'oeufs. Il se peut qu'elle ait été fécondée soit par un mâle, soit par une autre femelle. Dans ce dernier cas, les oeufs n'auraient pas éclos... Ce que je souhaite évidemment. Rien qu'à l'idée de me dire que le mâle est peut-être près de chez moi, je frémis. Ça fait une semaine que je n'ose pas ouvrir mes volets devant. Pour y aller, il faut longer les hortensias et pour l'instant, j'ai trop peur... » Si Stéphanie a voulu témoigner c'est parce qu'elle n'a pu su comment réagir. « En fait, j'aurais dû appeler les pompiers. J'ai lu après, que les couleuvres étaient des espèces protégées. Nous n'aurions pas dû la tuer mais, à chaud nous ne savions pas quoi faire. Si mon histoire peut servir à d'autres... » Charlotte POHIER Source
  7. Le retour de Tom la tortue Après 7 ans d'absence, Tom revient au zoo de Mulhouse. Cette tortue géante des Seychelles, un mâle âgé de 44 ans et qui pèse actuellement 160 kg, avait été prêtée à la ménagerie du jardin des plantes de Paris. « Dans les années 2000, le parc zoologique de Mulhouse n'avait plus les locaux adéquats pour accueillir Tom, la tortue géante des Seychelles » explique Brice Lefaux, le directeur. Arrivé en 1967, dans sa première année d'existence, Tom avait beaucoup grandi et pris beaucoup de poids. D'où son départ, en 2004, pour la ménagerie du jardin des plantes de Paris... qui par ailleurs possède des femelles de la même espèce. « On espérait qu'il y ait reproduction entre eux. Source
  8. Ils se mobilisent pour la tortue Le collectif Te Puna Honu, qui regroupe plusieurs associations et organismes, s’est réuni hier à Tiarei sur le lieu de ponte d’une tortue, dont les petits ont été mis à l’eau le 24 février dernier. Ensemble, ils sont décidés à sauvegarder cet animal emblématique en Polynésie. Un collectif s’est formé pour préserver la tortue marine et son nouveau lieu de ponte à Tiarei Sous le nom Te Puna Honu, il regroupe plusieurs associations et organismes L’aménagement du PK 24,1 à Tiarei, avec panneaux éducatifs, balisage et surveillance, est leur priorité Ça a pris un pas de tortue, mais ça y est. L’animal marin a un collectif pour lui venir en aide. Sous le nom Te Puna Honu, il regroupe plusieurs associations sensibles à l’environnement. Le collectif, auquel s’est joint le maire Henri Florh, s’est réuni hier à Tiarei, au PK 24,1, sur le lieu de ponte découvert en décembre dernier, pour préparer leur plan d’action. Au programme à court terme : l’installation de panneaux éducatifs, la mise en place d’un balisage et d’une surveillance du site. Car une tortue revient pondre sur son lieu de naissance, il est donc important de préserver d’abord le lieu. Cette rencontre sur la plage de Tiarei fait suite à la découverte en décembre dernier d'une trentaine d'œufs de tortues par Raanui, un jeune homme du district qui s'est empressé de prévenir la Diren, la direction de l'environnement, pour les sauver. Benoit Tchépidian, biologiste de l'association Tamari'i Pointe des Pêcheurs, a surveillé les œufs pendant deux mois jusqu'à leur éclosion et, le 24 février, les habitants de Tiarei ainsi que de nombreux spectateurs ont pu assister à cet événement exceptionnel : un lâcher de bébés tortues. La Diren a initié Te Puna Honu, un groupe de travail réunissant tous les partenaires sociaux, associatifs, professionnels et culturels afin de dresser un bilan critique car, en 20 ans d'application des délibérations relatives aux tortues marines, aucun progrès n'a été enregistré dans la protection de cette espèce en Polynésie. Des réunions préparatoires ont eu lieu où chacun a parlé librement de son vécu pour mettre en place une entreprise polynésienne de sauvegarde, par les Polynésiens. Un projet qui nécessite une implication des municipalités, des habitants et de tous les acteurs qui sont en liaison avec la tortue et sa préservation tels les syndicats de pêcheurs ou les associations écologistes. Toutes les parties ont été à l'écoute les unes des autres pour faire une vraie réglementation qui sera équitable et ne lésera personne. Un bel exemple de débat de la société civile qui était écouté avec respect et intérêt par les responsables présents, comme Dauphin Domingo ou Howard Vairaaroa, maire de Fakarava, ainsi que Miri Tatarata et Claude Serra de la direction de l'environnement. ZoomLe collectif Te Puna Honu, ce sont eux • Pae Pae no te Ora, l'association qui, parmi ses multiples activités, protège le littoral de Punaauia en faisant des greffes de corail et qui a créé un sentier sous-marin, que de nombreux élèves des écoles de Tahiti empruntent pour mieux connaître la faune et la flore. • L’association Tamari’i Pointe des Pêcheurs représentée par Paul Pere, grand défenseur du lagon de Punaauia, était présente pour donner elle aussi une dimension écologique aux actions qui vont être mises en place pour la protection des lieux de ponte sur Tahiti au fur et à mesure de leur localisation. • Le collectif Te Hotu Moana a Hiva qui, par la voix de son président Arakino, a évoqué le fait que la tortue était vendue sur le marché il y a quelques années et reste encore très présente dans la tradition. Précisant que le savoir ancestral pouvait être une aide pour les travaux des scientifiques, il plaide pour une juste réglementation avec des quotas. “Une législation impliquant chaque homme pour l'avenir et pour qu'aucun Polynésien ne se retrouve en prison.” • Le Syndicat Rava'ai Rau représenté par Marc Atiu dont des adhérents tombent sous le coup de la loi pour pêche illicite s'est prononcé “pour une législation qui ne sacrifiera pas le pécheur au règlement”. • L'Association Réserve de Biosphère de la commune de Fakarava représentée par Howard Vairaaroa, maire de Fakarava, a fait part des aménagements qui là-bas ont conservé les tortues selon les traditions des ancêtres. “Préserver la ponte et la sortie des naissains en les récupérant et en emmenant les petites tortues à un mille au large pour leur éviter les attaques des prédateurs.” Il précise aussi que “l'élevage n'était pas conseillé par les anciens, car une fois relâchée, la tortue ne savait pas se nourrir seule” et il se félicite d'une augmentation de 100% du peuplement aujourd'hui • L'association Tamarii Scilly, Mopelia, Bellinghausen représentée par René Taputu, qui élève des tortues depuis des années, réitérait sa demande de dérogations pour les tortues de ses parcs. • To'u Fenua, Te Faufaa Tupuna no Aimeho et la Fédération Te Ora Naho participaient à cette mise en place de la protection des lieux de ponte ainsi que de l'information au public et à l'implication des populations. Mais si le dialogue est ouvert, la réglementation sera délicate à mettre en œuvre, tant la tortue a d’amateurs qui la considèrent chacun d'un œil très différent ! DÉCRYPTAGE • Des nouvelles de tortues suivies par satellite. Des femelles tortues vertes venues pondre sur l’atoll de Tetiaroa ont été marquées avec une balise satellite. La première est partie le 18 novembre 2010. En 115 jours, elle a parcouru 3 500 km pour rejoindre Fidji. La seconde marquée le 9 février a, en 42 jours, parcouru une trajectoire en ligne droite au nord des îles Cook et se dirige vers Niue à plus de 1 500 km de Tetiaroa. Une autre, marquée le 3 mars a, en 26 jours, parcouru une trajectoire en ligne droite et a dépassé les îles Cook. • Il existe une Clinique des tortues de Moorea, qui est active depuis 2004 et a recueilli plus de 200 tortues et en a relâché plus de 65 réhabilitées. • Pour toute information relative à des tortues marines nécessitant des soins, l’association Te Mana o te Moana est joignable 24h sur 24 : Matthieu Petit : 71.53.44 Source
  9. Brutus le crocodile fait parler la toile Un crocodile octogénaire a fait jaser internet ces derniers temps. Une photographie montrant le reptile sauter hors de l’eau pour se saisir de la nourriture que lui donnaient les touristes faisait polémique: certains doutaient de la véracité du cliché. Brutus le crocodile existe bel et bien malgré la polémique qu’il a générée. Ce crocodile des mers de belle taille, qui a 80 ans et une patte en moins des suites d’une rencontre avec un requin, vit dans la rivière Adélaïde en Australie. Les touristes ont été impressionnés par les 5m40 que mesure l’animal, rapporte Yahoo. Sur une vidéo capturée depuis un bateau où se massaient les curieux, on peut voir l’animal s’approcher pour ensuite tenter de saisir la viande crue qui lui est tendue. Pour cela, il effectue des sauts acrobatiques qui dévoilent son gabarit imposant et son absence de patte avant droite. Des clichés ont été pris de ses sauts, mais l’un d’entre eux avait fait polémique : après retouche, l’animal paraissait encore plus gros qu’il n’est en vérité, ce qui a fait douter les internautes. Désormais, la vérité est rétablie : Brutus est moins imposant qu’il a été montré, mais reste un crocodile intimidant. L’auteur de la photographie d’origine, Katrina Bridgeford, a raconté : "Quand il est sorti de l’eau, il y a eu beaucoup de 'oooh' et de 'aaaah'... Je ne m’attendais pas à ça. Je n’arrivais pas à croire à quel point il était près de nous. Si vous aviez tendu le bras, vous auriez pu le toucher... Avec un peu de courage". Découvrez la vidéo de Brutus en cliquant ci-dessous : http://www.gentside.com/crocodile/un-gros-crocodile-a-trois-pattes-saute-hors-de-l-eau_art25136.html Source
  10. Un serpent roi à deux têtes exposé dans un zoo Un serpent roi de Californie à deux têtes sera exposé pendant deux mois dans un zoo privé à Yalta, dans le sud de l'Ukraine, a annoncé son directeur le 13 juillet. Le reptile albinos, âgé de trois ans et long d'une soixantaine de centimètres, sera exposé dans le zoo de Skazka, qui l'a loué en Allemagne pour deux mois, a indiqué à l'AFP Oleg Zoubkov. «C'est un cas rarissime», la plupart des serpents nés avec une anomalie pareille n'étant pas viables, a souligné le responsable. «Il s'agit d'un unique exemplaire vivant en Europe», a-t-il assuré. L'une des têtes est principale, l'autre secondaire, mais elles agissent indépendamment, a expliqué M. Zoubkov. «Parfois, une tête veut bouger dans un sens et l'autre dans le sens opposé. C'est très intéressant des les observer», a-t-il ajouté. Source
  11. Remise en liberté de la tortue de Hô Guom La tortue de Hô Guom - ou Hô Hoan Kiêm : Lac de l'Epée restituée - a été remise en liberté mardi dans son espace naturel après 100 jours de soins dans un bassin spécial implanté au pied de la tour de la Tortue, au milieu de ce lac qui est en plein centre de Hanoi. Cette nouvelle a été annoncée mercredi par le docteur Lê Xuân Rao, vice-président du Comité de pilotage du traitement de la tortue de Hô Guom, qui a assuré que cette remise en liberté, décidée en suite d'un complet rétablissement de l'animal symbolique de Hanoi, est intervenue dans des conditions de sécurité maximales afin de ne pas porter atteinte à sa santé. Le nettoyage de Hô Guom continue d'être effectué par les services concernés afin d'assurer un environnement de vie propre, stable et durable pour la torture. Auparavant, durant son traitement, des scientifiques et spécialistes ont également examiné et étudié la tortue, une espèce endémique du Vietnam vivant dans les bassins des fleuves Rouge, Ma et Da au Nord du Vietnam. Les résultats obtenus après analyse des ADN de la tortue de Hô Guom et de plusieurs grandes tortues de la pagode Hung Ky (Hanoi) et de Quang Phu (Thanh Hoa) ont révélé qu'elles sont toutes de la même variété. - AVI Source
  12. Il reste encore des places de disponibles, ça approche vite!
  13. Mordu par un serpent, il meurt faute de sérum anti -venin Un employé de restaurant, Serigne Guèye, est décédé dimanche à Saly après avoir été mordu par un serpent. Evacué au centre de Santé de Mbour, il n’a pu être sauvé faite de sérum anti-venin. Le tour des pharmacie de la ville pour acheter l'anti-venin n'ont rien donné. Ses parents et les médecins sensés le sauver ont ainsi été obligés d’assister, impuissants, à la mort de Serigne Guèye. Son corps a été restitué à sa famille qui l’a inhumé lundi dernier.La famille compte déposer une plainte contre le Centre de santé de Mbour pour non-assistance à personne en danger.Les pharmaciens de Mbour, qui dégagent toute responsabilité dans cette mort, estiment que le sérum anti-venin est un médicament d’urgence qui coûte cher ( près 80.000 francs) et que son écoulement n’est pas facile, surtout dans des zones comme Mbour et Saly. Par conséquent, ils ne peuvent le laisser en stock dans leurs rayons au risque de le perdre par péremption. Source
  14. Anvers: un python échappé d'un terrarium sème la terreur Aucune trace du reptile depuis une semaine. Les habitants sont inquiets. Un python tigre d'une longueur d'un mètre quatre-vingts, échappé mardi dernier d'un terrarium, sème la terreur dans la commune anversoise de Hulshout. Personne n'a revu le reptile et les enfants ne sont plus autorisés à jouer à l'extérieur. Pas vénimeux mais les morsures sont douloureuses Le propriétaire qui possède un autre python (une femelle de 2m50) a ratissé plusieurs fois le quartier dans un rayon d'un kilomètre, mais sans résultat. Il a précisé que l'animal n'était pas venimeux mais que ses morsures pouvaient être douloureuses. C'est la raison pour laquelle de nombreux parents inquiets préfèrent que leurs enfants ne sortent plus jouer dans le quartier. Une réunion entre les habitants et le bourgmestre est prévue cet après-midi, a rapporté notre journaliste sur place, Mathieu Col (voir la vidéo ci-contre). Source
  15. Chacahé au large Après plusieurs mois de soins, elle va être suivie sur Internet grâce au satellite 500 personnes ont assisté au lâcher de Chacahé sur la plage de la Conche des Baleines. photo thomas dusseau Elle a disparu sous l'eau à 10 heures sous les applaudissements des 500 personnes venues l'observer. Soignée pendant sept mois au Centre d'études et de soins pour les tortues marines (CESTM) de l'Aquarium de La Rochelle, Chacahé a été relâchée hier matin. Menacée d'extinction selon une liste rouge établie par l'Union internationale pour la conservation de la nature, cette jeune tortue caouanne a retrouvé l'océan sur la plage de la Conche des Baleines, au nord de l'île de Ré. Avant de replonger dans son milieu naturel et de nager tranquillement vers le large, Chacahé a d'abord joué les vedettes. Elle est restée immobile sur le sable pendant plusieurs minutes. Un poil star, elle s'est même retournée plusieurs fois sous les regards attentifs et curieux du public. Beaucoup de familles et de jeunes enfants avaient fait le déplacement. « Nous nous attendions à voir une tortue plus grosse mais sommes ravis d'avoir pu assister à cet événement », témoignait Eliane, venue sur la plage avec sa fille et ses deux petits-fils. Avant de lancer : « Longue vie à Chacahé ! » Espèce en liste rouge Bonheur lisible également sur les visages de l'équipe de l'Aquarium et du Centre d'études et de soins pour les tortues marines. « Je suis un peu triste car je ne la verrai plus tous les jours mais je suis très contente qu'elle retrouve l'océan, expliquait Florence Dell'Amico peu après le lâcher. On soigne les tortues pour qu'elles retrouvent leur milieu naturel. » Chargée de développement au CESTM, elle a suivi toute l'évolution de la tortue marine depuis son arrivée au centre en décembre 2010. Retrouvée échouée à Lège-Cap-Ferret, sur la côte girondine, Chacahé souffrait alors d'une conjonctivite. Soignée, nourrie avec des apports vitaminiques, la « petite » tortue pèse, aujourd'hui, 5,7 kg pour une longueur de carapace de 31 centimètres. À sa taille adulte elle pourrait peser près de 150 kilos. Le fruit de son alimentation est notamment fait de mollusques, de méduses, de crabes ou de poissons. « Les tortues s'échouent principalement l'hiver et souffrent d'hypothermie. Le froid leur pose des problèmes de flottabilité et elles arrivent moins bien à plonger », explique Pierre Morinière, le responsable du CESTM. Afin d'améliorer les connaissances sur le comportement des tortues, l'Aquarium de La Rochelle s'est associé, cette année, au Centre national d'études spatiales. La jeune tortue Chacahé a ainsi été équipée d'un émetteur satellitaire qui permettra, grâce à ses capteurs, de connaître sa position géographique. Mais aussi la température de l'eau. Un équipement léger dont la durée d'autonomie est d'environ 160 jours. Il a été complété par une bague placée sur la nageoire antérieure, ainsi que par une puce électronique. En cas de nouvel accident, cela permettra d'identifier la tortue. Elle avait été baptisée Chacahé en l'honneur du bateau du skipper Aymeric Chappellier, à l'effigie d'une tortue caouanne. Présent, hier matin, sur la plage de la Conche des Baleines, ce skipper prendra le départ de la transat Charente-Maritime/Bahía au mois de septembre, en véritable ambassadeur des tortues. En attendant, on peut suivre la trajectoire de la jeune tortue sur le site Internet de l'Aquarium. http://www.aquarium-larochelle.com Source
  16. Le gecko du désert boit la rosée matinale déposée… sur ses yeux Namibie – Après 3 jours de traque dans le désert namibien, un photographe amateur a réussi à immortaliser la façon dont un minuscule gecko du désert lèche ses propres yeux pour recueillir la rosée matinale qui s’y est déposée, précieuse source d’humidité. Entre Océan Atlantique et désert de Namibie, dans un milieu particulièrement aride, un petit gecko, un lézard nocturne de quelques centimètres de long, "fait le plein d'eau" d'une manière très originale. Il recueille du bout de la langue, la rosée matinale condensée sur… ses globes oculaires. "Ils lèchent très élégamment les gouttelettes présentes sur leurs globes oculaires en cinq ou six coups de langue", explique Isak Pretorius, un photographe amateur sud-africain, qui est parvenu à réaliser des clichés de l'étonnant gecko. "Dans ces dunes côtières, l'air chaud du désert rencontre l'air froid de l'océan, en créant une couche dense de brume presque tous les matins. Cette brume s'étire sur environ 3 miles à l’intérieur des terres et crée un environnement tout à fait unique", explique ce passionné, qui précise : "la seule façon de dénicher ces geckos, c'est de trouver leurs pistes et de les suivre". "Elles sont très ténues, et nous avons dû rouler très lentement, inspectant chaque mètre carré de dune très attentivement. Au troisième et dernier essai, notre patience a finalement payé, puisqu’on a trouvé deux geckos qui nous ont divertis par ce comportement. Nous avons été tristes de partir, mais nous nous sentions privilégiés d'avoir assisté à ce spectacle, une des merveilles naturelles du monde", conclut-il. Source
  17. Une filiale d'Amazon lance une animalerie en ligne Quidsi Inc., entreprise rachetée par la plateforme de vente Amazon en novembre 2010, a annoncé le 6 juillet le lancement de Wag, une animalerie en ligne. Pub. L'animalerie, actuellement en version bêta, comprend six catégories: Dog (chien), Cat (chat), Bird (oiseau), Fish (poisson), Reptile (reptile) et Small animal (petit animal). Chacune se subdivise en d'autres sections, comme Everyday essentials (les essentiels), Top sellers (meilleures ventes) et Brands we love (les marques qu'on aime). Wag.com est basé aux États-Unis et ne livre que dans ce pays, y compris l'Alaska, Hawaï et les territoires américains. De nombreux produits pour animaux domestiques sont aussi disponibles sur Amazon.com, dans la catégorie Cuisine et Maison/Animalerie. Plusieurs autres sites Le géant de la vente en ligne eBay propose aussi des jouets et accessoires animaliers, dans la catégorie Jardin, Maison, Bricolage. D'autres magasins en ligne spécialisés se partagent le marché, parmi lesquels The Pet Shop, Pet Supplies et Pet Planet. Un des premiers sites internet de ce type, Pets.com, avait été financé par Amazon. Il a cessé d'exister en novembre 2000, victime de la fin de la première bulle internet. À l'époque, il avait diffusé une publicité pendant le Super Bowl, et sa mascotte avait été interviewée par le magazine People. Wag.com - wag.com Amazon.com animalerie - amzn.to/oKSF9J eBay animalerie - pet-supplies.shop.ebay.com The Pet Shop - the-petshop.com Pet Supplies - petsupplies.com Pet Planet - petplanet.co.uk Source
  18. Menace sur le lézard vert de Manapany (La Réunion) : quels moyens juridiques de lutte contre le grand gecko vert de Madagascar ? Le lézard vert de Manapany (Phelsuma inexpectata), reptile endémique de l'île de La Réunion autrefois considéré comme une sous espèce de Phelsuma ornata, le gecko diurne orné de l’île Maurice, est protégé par l’arrêté du 17 février 1989 fixant des mesures de protection des espèces animales représentées dans le département de La Réunion (JORF, 24 mars 1989, p. 3881). A ce titre « sont interdits en tout temps sur tout le territoire du département de la Réunion, la destruction ou l'enlèvement des œufs, la destruction, la capture ou l'enlèvement, la naturalisation des reptiles d'espèces suivantes ou, qu'ils soient vivants ou morts, leur transport, leur colportage, leur utilisation, leur mise en vente, leur vente ou leur achat ». Lézard vert de Manapany Conservatoire du littoral Malgré cette protection forte du Lézard vert de Manapany, l’espèce est, depuis juin 20101, menacée par l’arrivée d’un lézard exotique envahissant dans son aire de répartition : le grand gecko vert malgache (Phelsuma grandis). Celui-ci, de grande taille, omnivore, se nourrit d'insectes, de produits sucrés d'origine végétale, mais aussi d'autres geckos. Il est ainsi le prédateur du Lézard vert de Manapany et pourrait conduire à la raréfaction, voire à l'extinction de l’espèce endémique dont l’aire de répartition est extrêmement réduite, située entre la plage de Grande Anse et l'embouchure de la rivière Langevin sur le territoire des communes de Petite-Île et de Saint-Joseph sur le lieu-dit Manapany. Dans ce contexte, quels moyens juridiques de lutte précoce peuvent être envisagés ? I – Le classement du grand gecko vert malgache comme « espèce interdite d’introduction » par le ministre La première difficulté qui se pose est celle du statut juridique du grand gecko vert malgache. Le droit français donne en effet aux espèces différents statuts : domestiques ou non domestiques, gibiers comprenant les espèces susceptibles d’acte de chasse, espèces « nuisibles », etc. Dans cet ensemble, le droit peine à donner une place à l’espèce exotique envahissante. Le grand gecko vert malgache ne relève d’aucun statut particulier. Une première mesure à prévoir serait donc de faire figurer le grand gecko vert malgache sur la liste des espèces interdites d’introduction dans le milieu naturel au titre de l’article L. 411-3, I du Code de l’environnement. Cette liste, dressée par arrêté conjoint du ministre chargé de la protection de la nature et du ministre chargé de l'agriculture, permettrait à l’autorité administrative compétente de « procéder ou faire procéder à la capture, au prélèvement, à la garde ou à la destruction des spécimens de l'espèce introduite ». Les listes existantes à ce jour ne concernent que le territoire métropolitain. Avantage : une telle mesure permettrait de lutter contre le grand gecko vert malgache dans un cadre juridique adapté à la situation. Inconvénient : la procédure d’élaboration des listes d’espèces interdites d’introduction peut être longue (arrêté ministériel) et ne répond pas à une situation d’urgence qui impose une riposte précoce. II – Le classement du grand gecko vert malgache comme « espèce interdite d’introduction » par le préfet Le ministre est l’autorité de police spécialement compétente pour prendre des mesures contre les espèces exotiques envahissantes (article L. 411-3 du code de l'environnement). Une telle compétence empêche en principe l’intervention d’une autorité de police administrative générale comme le préfet, sauf pour deux raisons : - pour aggraver les mesures en cas de circonstances locales particulières2 et, en matière environnementale de péril imminent3; - pour palier la carence de l’autorité détentrice du pouvoir de police spéciale4. Sur ce fondement jurisprudentiel, des arrêtés préfectoraux ont déjà été pris en Martinique, pour autoriser la destruction de l’Iguane vert5 ou en métropole s’agissant de la Bernache du Canada6 ou de l'Ouette d'Égypte7. Aucun de ces arrêtés n’a semble-t-il été attaqué devant un tribunal. Dans ce contexte, l’intervention du préfet pour permettre de lutter précocement contre le grand gecko vert malgache, semble possible. Les « circonstances locales particulières » sont facilement identifiables à travers l’endémicité du Lézard vert et son aire de répartition très réduite. Le « péril imminent » dont le concept renvoie à la notion de l’immédiateté définie comme « l’urgente nécessité de faire face à des risques graves et caractérisés » est également défendable, la menace pesant sur le Lézard vert de Manapany pouvant conduire à l’extinction de l’espèce sur la planète. Enfin, la carence de l’autorité détentrice du pouvoir de police spéciale se situe dans l’absence d’arrêté ministériel pris sur le fondement de l’article L. 411-3 du Code de l’environnement permettant de procéder à la capture ou au prélèvement du grand gecko vert malgache. Avantage : la prise de décision peut être rapide (arrêté préfectoral) et répond à l’urgence de la situation. Inconvénient : la légalité de l’arrêté dépendra de l’éventuelle appréciation que feront les juges de la notion de « péril imminent » maniée avec circonspection, car elle engendre une modification momentanée de la répartition des compétences entre les autorités de police. Il reste qu’à notre connaissance, aucun arrêté préfectoral pris sur le fondement de l’article L. 411-3 du Code de l’environnement n’a été attaqué devant les tribunaux. III – Le classement du grand gecko vert malgache comme « gibier » dont la chasse est autorisée S’agissant de supprimer – ou de réguler – une population envahissante, et à défaut de mesures prises sur le fondement de l’article L. 411-3 du Code de l’environnement, le recours au droit de la chasse pourrait être envisagé. L’acte de chasse étant conçu comme « un acte volontaire lié à la recherche, à la poursuite ou à l’attente du gibier ayant pour but ou pour résultat la capture ou la mort de celui-ci » (article L. 420-3 du code de l'environnement) pourrait en effet permettre de lutter efficacement contre le grand gecko vert malgache. En droit français, les actes de chasse ne peuvent être entrepris qu’à l’égard d’espèces gibiers dont la chasse est autorisée. Un arrêté du 25 août 2008 fixe la liste des espèces de gibier dont la chasse est autorisée sur le territoire du département de La Réunion (JORF 31 août 2008, p. 13713). Le grand gecko vert malgache ne figurant pas sur cette liste, il ne peut pas faire l’objet d’acte de chasse. Cependant, inscrire ce lézard sur une telle liste ne semble pas tout à fait pertinent : le message deviendrait équivoque puisque l’espèce envahissante serait alors traitée comme n’importe quel gibier. Avantage : l’acte de chasse peut constituer un mécanisme utile de lutte contre la propagation du grand gecko vert malgache. Inconvénients : - la procédure de révision des listes d’espèces gibiers peut être longue et ne répond pas à une situation d’urgence qui impose une riposte précoce. Elle exige en outre une modification de l'article R. 424-12 du Code de l'environnement relatif aux périodes de chasse. - l’espèce introduite sera considérée comme n’importe quel gibier, la situation restant ambivalente. - on ne sait pas si l’espèce fera réellement l’objet d’une pression de chasse par la population locale. IV– Le classement du grand gecko vert malgache comme « nuisible » Des animaux sont considérés comme « nuisibles » en fonction des dommages qu’ils peuvent causer aux activités humaines et aux équilibres biologiques. Leur liste est fixée par un arrêté ministériel après avis du Conseil national de la chasse et de la faune8. Ces animaux peuvent notamment être régulés par le piégeage9 ce qui s’avèrerait intéressant pour le grand lézard vert malgache. Pour l’heure, ce dernier ne figure pas sur la liste des espèces « nuisibles ». Avantage : les particuliers pourraient détruire le grand lézard vert malgache dans l’intérêt de la protection de la faune et de la flore. Inconvénient : la procédure de révision de la liste peut être longue (arrêté ministériel) et ne répond pas à une situation d’urgence qui impose une riposte précoce. V- Protection de l’aire de répartition du Lézard vert de Manapany En complément du contrôle direct des espèces exotiques, le droit des aires protégées peut être un outil privilégié d’observation des populations animales et végétales, de leur évolution et donc aussi des introductions. Il reste qu’aucune disposition générale n’oblige les textes de classement d’aires protégées à réglementer les introductions d’espèces exotiques. Tout dépend de la rédaction de l’acte de création de l’aire protégée. Pour l’heure, le lézard de Manapany n’est inclus dans aucune aire protégée. Si le droit des parcs nationaux et des réserves naturelles permet de prévoir les moyens de lutter contre les espèces envahissantes – ce que les actes de création font généralement – en revanche, les arrêtés préfectoraux de biotope, contraints par les limites de leur régime juridique, ne peuvent que prohiber l’introduction d’espèces sans prévoir et organiser les modalités de destruction d’une espèce exotique déjà présente. Avantage : permet la gestion à long terme du Lézard vert (surveillance de la population, moyens humains et matériels, mesures de lutte…). Inconvénients : longueur de la procédure et problèmes éthiques s’agissant de détruire des espèces de faune ou de flore au sein même d’un espace où la nature dans son ensemble est en principe protégée. 1 N. Dubos stagiaire Master 2 MNHN – NOI. 2 CE, Section, 18 décembre 1959, Société les films Lutétia, Rec. p. 693. 3 Ainsi en est-il à l’égard de l’intervention d’un maire en matière d’installations classées (CE, 15 janvier 1986, Société Pec-Engineering et CE, 29 septembre 2003, Houillères du bassin de Lorraine), de police spéciale de l’eau (CAA Nancy, 5 août 2004, Préfet de la Haute-Saône contre commune de Saulnot, req. n° 02NC00779) et d’organismes génétiquement modifiés (CAA Versailles, 18 mai 2006, Commune de Dourdan, req. n° 05VE00098). 4 CE, 8 mars 1993, Commune des Molières, Rec. p. 655. 5 Arrêté n° 05/0589 du 28 février 2005 autorisant la destruction des spécimens de l’espèce Iguana iguana ou Iguane vert en Guadeloupe. 6 Voir par exemple : Arrêté n° 2010/DDEA/SEPR/221 du 12 mai 2010 fixant les modalités de régulation des Bernaches du Canada (Branta Canadensis) dans le département de Seine-et-Marne pour les années 2010 et 2011. 7 Voir par exemple : arrêté préfectoral du 24 mai 2011 prescrivant des opérations de destruction à tir de l'Ouette d'Egypte dans département du Bas-Rhin. 8 Voir arrêté du 30 septembre 1988 fixant la liste des animaux susceptibles d'être classés nuisibles, JORF 2 octobre 1988, p. 12439. 9 Voir arrêté modifié du 29 janvier 2007 fixant les dispositions relatives au piégeage des animaux classés nuisibles en application de l'article L. 427-8 du code de l'environnement, JORF 18 avril 2007 p. 6961. 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  19. Une vipère dans la cuisine Messein. Un habitant de la commune a eu la désagréable surprise en pénétrant chez lui de trouver un serpent lové au milieu de la cuisine. Il a appelé les sapeurs-pompiers, après vérification ceux-ci ont découvert qu'il s'agissait d'une vipère vipérine, qui a été relâchée dans les sous-bois. . Un habitant de la commune de Messein en Meurthe-et-Moselle a eu la désagréable surprise en pénétrant chez lui de trouver un serpent lové au milieu de la cuisine. Il a appelé les sapeurs-pompiers, après vérification ceux-ci ont découvert qu'il s'agissait d'une vipère vipérine, qui a été relâchée dans les sous-bois. Source
  20. Russie: un python de deux mètres sème la panique en plein centre ville C'est en plein centre de Kaliningrad, enclave russe entre la Pologne et la Lituanie, qu'un python de deux mètres de long a été découvert se prélassant au soleil, a rapporté le service de presse de l'administration locale. Un python de deux mètres de long se chauffant au soleil a été découvert en plein centre de Kaliningrad, enclave russe entre la Pologne et la Lituanie, a indiqué mardi le service de presse de l'administration locale. Installé près "d'un immeuble résidentiel, le python, accablé de chaleur, se comportait de manière bienveillante et n'a fait de mal à personne", précise le communiqué, cité par l'agence Interfax. Ces pythons ne sont pas dangereux Selon les spécialistes, les pythons de cette espèce ne sont pas dangereux pour l'homme hors le fait que leur taille impressionnante provoque généralement une forte frayeur. "Chers habitants de Kaliningrad, nous vous prions instamment de surveiller vos animaux domestiques !", a insisté le service de presse, précisant que le serpent a été attrapé et rendu à son propriétaire. Source
  21. Réchauffement climatique : une menace directe pour les tortues d’eau Présentés le 3 Juillet à Glasgow durant la conférence annuelle de la Société de biologie expérimentale, des travaux australiens montrent l’impact physiologique et comportemental direct d’une augmentation des températures sur certaines tortues aquatiques d’Australie, particulièrement menacées, donc, par le réchauffement climatique. Elusor macrurus, la tortue de la rivière Mary, est endémique d’un unique bassin fluvial d’Australie. Or, les scientifiques s’inquiètent des effets prévisibles du réchauffement global sur cette espèce : après avoir incubé des œufs de cette tortue à différentes températures – 26, 29 et 32 °C – et observé les jeunes issus de leur éclosion, des biologistes de l’Université du Queensland ont observé, chez ceux couvés 32 °C, une capacité de natation réduite et une préférence pour les eaux peu profondes. "L'eau plus profonde, non seulement fournit aux jeunes tortues une protection contre les prédateurs, mais c’est aussi là que se trouve leur nourriture. Les jeunes présentant des capacités de natation médiocres et s'attardant près de la surface sont incapables de se nourrir et sont très susceptibles d'être capturés par les oiseaux. Ces résultats sont préoccupants, car les prévisions sur les changements climatiques pour la région suggèrent que des températures de 32°C, pour les nids, sont susceptibles d'être atteintes durant les décennies à venir", explique le Dr Mariana Micheli-Campbell. Déjà considérée comme en danger par l'UICN à cause de la collecte de ses œufs pour les animaleries et l’introduction dans son milieu de prédateurs tels que chiens et renards, la tortue de la rivière Mary serait particulièrement sensible au réchauffement du climat, à cause de la faible profondeur de ses nids, comparativement aux tortues de mer, par exemple. Mais d’autres espèces pourraient être dans le même cas. Source
  22. Sa société fabrique des boîtes pour des insectes du monde entier - Dompierre-du-Chemin Rencontre Quel est son métier ? Quand on lui pose cette question piège, Sébastien Philippard, 37 ans, est bien embarrassé de répondre : sa société s'appelle Entomo-Phil, mais il exerce une profession répertoriée nulle part. « Dans l'annuaire, ils m'ont mis à taxidermiste. C'est une grossière erreur car je ne suis ni taxidermiste, ni naturaliste, ni entomologiste ». Mais, comme a priori, il serait le seul en France à exercer cette profession, on peut concevoir qu'elle ne soit pas encore référencée. Que fait-il ? « Je suis artisan commerçant fournisseur de tout matériel et accessoires pour les entomologistes. C'est-à-dire les personnes qui étudient le comportement des insectes. » Contrairement à ce que certains pensent, il n'y a pas d'insectes dans l'atelier de Sébastien, sauf une mygale bien vivante mais soigneusement enfermée. Boîtes, bocaux, cages... Entomo-Phil propose dans son catalogue tout ce qui est nécessaire pour les insectes à six pattes : des boîtes pour les conserver, les exposer, des bocaux à éther, des cages pour transporter les insectes vivants, des étaloirs à papillons, des mini-épingles faisant jusqu'à 1/10 e de millimètre de diamètre et tout un matériel chirurgical : pinces, scalpels, loupes et boussoles. Quand on entre dans son lieu de travail, au vaste sous-sol de sa maison, une odeur particulière vous fait friser le nez : « Ce sont des vapeurs de créosote de hêtre : un produit qui assure la conservation des insectes morts en évitant que des bactéries se développent et les détruisent ». Avant Sébastien Philippard, il y avait son père Gérard qui a repris cette petite structure en 1986. « Elle appartenait à mon oncle qui a proposé à mon père de prendre sa suite. ». Le jeune Sébastien a donc eu le nez dedans très tôt : « J'ai vécu mon adolescence dans ce milieu et parmi cette odeur qui fait partie de mon quotidien. En 2009, lorsque mon père est parti en retraite, je lui ai succédé. » Les clients de la société Entomo-Phil ne viennent jamais à Dompierre-du-Chemin : « Toutes les transactions se font par téléphone ou par internet. J'ai très peu de magasins spécialisés dans ma clientèle car ils ne sont que 5 ou 6 en France. Par contre, les clients particuliers, des collectionneurs de papillons par exemple, sont nombreux mais pour un chiffre d'affaires toujours très mesuré ». Clients aux quatre coinsdu monde Qui s'intéresse donc aux produits proposés par Sébastien Philippard ? « Les collectivités publiques, les grands musées, les universités, l'INRA, le CNRS, l'EDF, l'ONF, la brigade criminelle scientifique, etc. Et là les budgets sont relativement importants. On n'imagine pas à quel point les études des insectes sont précieuses pour tous ces gens-là. Par exemple, le type d'insecte recueilli sur un cadavre permettra de dater le décès. Pour EDF, l'étude des insectes vivants dans l'eau peut permettre d'étudier les phénomènes de pollution ». Entomo-Phil est un très bon client pour la poste de Dompierre qui expédie très régulièrement des colis pour la Suisse, la Belgique, l'Afrique du Nord, les Dom Tom et la Nouvelle-Calédonie. Et parfois, Sébastien reçoit des demandes très particulières : « J'ai fourni des dizaines de filets à papillons pour les vitrines d'un très grand bijoutier parisien ». Source
  23. Préférence domestique: tarentule ou scorpion ? Pierre Masse - Université de Sherbrooke Préféreriez-vous découvrir une tarentule ou un scorpion sous un lit ? Si possible ni l'un ni l'autre peut-être... Certes, la réponse est fonction du dégoût ou de l'attirance que ces gentilles bêtes inspirent. Mais aussi de science, pour la biologiste Sophie Calmé, professeur à la Faculté des sciences de l'UdeS, et ses deux collègues d'El Colegio de la Frontera Sur au Mexique, Ariane Dor et Yann Hénaut. Les chercheurs avaient remarqué que dans la péninsule du Yucatán, où vivent des tarentules et des scorpions, les villages dont la densité de tarentules est élevée sont exempts de scorpions. Oui, mais tarentule ou scorpion ? En fait dans les deux cas, la piqûre est aussi douloureuse, alors... "Avoir une tarentule chez soi ce n'est pas si mal, témoigne la professeur Calmé. Elle agit en parfaite ménagère, elle mange beaucoup d'insectes et est plutôt tranquille, contrairement au scorpion, beaucoup plus agressif." Il y a effectivement plus de chance de trouver la tarentule sous le lit, alors que le scorpion trône en position d'attaque sur le lit. 1 à 0 pour la tarentule, même si un bon tue-mouche pouvait être envisagé en remplacement. Mais ce n'est pas fini. La tarentule est une super guerrière ! "Lorsqu'on place des scorpions avec des tarentules, il y a autant d'attaques d'une espèce sur l'autre, explique la biologiste. Par contre la tarentule gagne presque à chaque fois." Habileté au jeu de pattes velues, immobilisation, piqûre létale. Les chercheurs ont mené une expérience scientifique avec une vingtaine d'araignées de trois à quatre ans et de scorpions pour vérifier l'hypothèse d'une prédation des tarentules sur les scorpions. Tarentule 2 - Scorpion 0 par knock-out. Les résultats commentés du match scientifique sont publiés dans le numéro d'avril du Journal of Arachnology. Dernier élément pour convaincre, s'il en fallait : selon la chercheuse, la piqûre d'une tarentule ressemble à celle d'une grosse guêpe... Vraiment ? Source
  24. À Lorient, une couleuvre collier s’invite sur le bateau vers Groix Ce matin, vers 9 h, les pompiers de Lorient sont intervenus pour récupérer… une couleuvre collier qui s’était invitée sur le bateau reliant Lorient à Groix (Morbihan). La passagère clandestine s’était glissée dans un camion d’élagage, au départ de Lorient, qui devait se rendre sur l’île. C’est l’équipage de la navette de la Compagnie Océane qui a repéré le serpent. Il a d’abord fallu la mettre dans un sac pour sécuriser le bateau. « Beaucoup de personnes ont pensé à une vipère (tête en triangle) alors que la couleuvre, (tête ronde) n’est pas dangereuse », a expliqué le major Bruno Boucher, du centre de secours de Lorient. Au retour de Groix, la couleuvre a été récupérée par les pompiers qui l’ont conduite dans un premier temps au Zoo de Pont-Scorff. Finalement, elle a été relâchée dans la nature. La couleuvre à collier est un serpent « aquatique » et se rencontre essentiellement près de l’eau. Source
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