Aller au contenu
Rechercher dans
  • Plus d’options…
Rechercher les résultats qui contiennent…
Rechercher les résultats dans…

Max|mum-leterrarium

Membres
  • Compteur de contenus

    12 143
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par Max|mum-leterrarium

  1. Saint-Paulien : un marais en danger Le marais d'Orcenac à St-Paulien abrite pas moins de 36 espèces de libellules et des plantes remarquables comme la gentiane pneumonanthe. Mais le nombre de grenouilles périclite dangereusement. Ce vendredi, le Conseil général a finalisé les travaux de sauvegarde des zones humides. Un investissement nécessaire quand on sait que 50% des lacs et marais du plateau du Devès ont disparu en 20 ans. Ce vendredi 10 juin 2011 a eu lieu la réception des travaux de sauvegarde et de restauration des zones humides du plateau du Devès sur le site du marais d'Orcenac à Saint-Paulien en présence de Michel Joubert, vice-président du Conseil général en charge du tourisme. Le marais abrite pas moins de 36 espèces de libellules ou des plantes remarquables comme la gentiane pneumonanthe. Mais les populations de grenouilles y sont en nette diminution. 50% des lacs et marais disparus en 20 ans Le Conseil Général de la Haute-Loire pilote depuis 10 ans un programme de sauvegarde et de restauration des zones humides du plateau du Devès dans le but d'enrayer la dégradation des ces lacs et marais, dont plus de la moitié ont disparu en l'espace de seulement 20 ans, victimes du drainage agricole de l'urbanisation ou de l'enrésinement. Espèces rares et menacées Ces sites témoignent d'une grande valeur écologique car ils offrent des aires d'accueil et de reproduction de très nombreuses espèces animales et végétales, souvent rares et menacées, parfois réglementairement protégées. Les accumulations tourbeuses de certains de ces sites nous lèguent la mémoire de plus de 8000 ans d'enregistrements sédimentaires. Par ailleurs, ces éponges naturelles, dont la surface peut atteindre une quarantaine d'hectares, retiennent l'eau lors des fortes précipitations et la restitue progressivement aux cours d'eau permettant ainsi de l'épurer et également de limiter les crues et de soutenir les étiages. D'un point de vue paysager, ces espaces ouverts présentent de belles palettes de couleurs, souvent soulignées par les haies bocagères et les murets de pierres sèches. Joncs des chaisiers et gentiane pneumonanthe La plupart de ces zones humides est caractérisée par des ceintures de végétation typiques des milieux humides et encore structurées dans les sites les mieux conservés : carex au centre, puis joncs et graminée en périphérie. Elles regorgent d'un bon nombre d'espèces remarquables et en voie de régression, à l'instar du Joncs des Chaisiers ou de la Gentiane pneumonanthe. Grenouille rousse, crapaud calamite... 36 espèces de libellules ont été recensées sur l'ensemble des sites du plateau du Devès, soit le tiers des espèces métropolitaines. Et chose étonnante : des espèces méditerranéennes ont été rencontrées en de nombreux endroits. Leur présence est très variable d'un site à l'autre, conditionnée essentiellement par la présence d'eau en période printanière et au début de la période estivale. D'autre part, il est constaté une très nette diminution des populations de grenouilles. Certains sites abritent tout de même encore la Grenouille rousse, le Crapaud calamite, le Triton crêté, le Triton palmé … Quant aux sites les plus favorables aux oiseaux d'eau, il s'agit de ceux dont la surface en eau est permanente tout au long de l'année. La diversité des espèces présentes est également augmentée par le présence de vasières ainsi que par le maintien d'un pâturage autour des sites, favorisant par exemple les limicoles. Neuf sites restaurés Après le marais du Lassou à Cerzat en 2006, le Lac de la Ribeyre à Céaux d'Allègre, de Freycenet à Borne et du Pâtural de Lachamp à Landos en 2008, une nouvelle tranche de travaux a démarré début septembre 2010 concernant cinq nouvelles zones humides : le marais de Collanges à Loudes, la Gimberte à Borne, le Pratement à Vernassal, le Pérouzes à Saint-Paulien et le Péchey ou marais de Lair à Siaugues-Sainte-Marie. Ces travaux ont pour objectif de favoriser la diversité biologique, particulièrement la petite faune, comme les libellules et les amphibiens, ainsi que l'avifaune nicheuse, migratrice ou sédentaire, en renforçant la présence de l'eau dans ces sites. Ainsi, les zones les plus humides et donc les plus riches font l'objet de creusements de petite taille, par exemple 250 m² au marais de la Gimberte. Les plus "sèches" sont recreusées sur des surfaces un peu plus étendues : 800 m² sur le marais de Collanges et 1000 m² au marais de Pratement. Le plus grand chantier à Orcenac Les travaux les plus importants ont été réalisés sur le marais des Pérouzes, près du village d'Orcenac, sur la commune de Saint-Paulien. Cette petite zone de 0,8 ha, en cours d'atterrissement, connaît de longs assecs répétitifs très préjudiciables à l'ensemble de son écosystème. Seuls quelques rares têtards de grenouilles vertes et de crapauds calamite ont été trouvés lors des derniers inventaires réalisés au printemps dernier. Côté flore, aucune espèce remarquable n'a pu être inventoriée. Partant de ce constat, il a été décidé en étroite concertation avec la commune de Saint Paulien et l'agriculteur concerné de réaliser un surcreusement important d'environ 3400 m² et d'une profondeur maximale d'un mètre, la couche imperméable d'argile ayant une profondeur de 1,60 m à 2 m. De tels travaux dans une zone humide, même très dégradée, peuvent surprendre. Il sont le résultat d'études approfondies et se fondent sur des expériences jugées « très positives » de ces dernières années, comme au Pâtural de Lachamp à Landos. La période automnale des travaux étant la moins préjudiciable pour la faune qui a achevé son cycle de reproduction, une "cicatrisation" naturelle s'opère très rapidement dans ce type de milieu humide. L'ensemble de l'opération – incluant la maîtrise d'œuvre du bureau d'études Riparia et les travaux par l'entreprise Vacher de Polignac – pour les cinq sites, s'élève à 117 625 euros hors taxe, financés pour moitié par la taxe départementale pour les espaces naturels sensibles, ainsi que par le Fonds Européen Agricole pour le Développement Rural (FEADER) à hauteur de 50% également. Pâturage, plantation de haies et pose de panneaux L'ensemble de ces sites bénéficient de plan de gestion dont la mise en œuvre régulière est assurée par le service environnement du Conseil général. Cela se traduit, par exemple, par un suivi de l'entretien des sites par le pâturage, un suivi des niveaux d'eau, un suivi scientifique des espèces animales et végétales ainsi que la mise en œuvre de petits travaux, telles que la plantation de haies en bordure des sites ou la pose de panneaux de présentation. Source
  2. Capvern. La grenouille « protégée » empêche l’extension du centre commercial ! Capvern, dans les Hautes-Pyrénées. A la sortie de Capvern et à l'entrée de Lannemezan, on trouve une zone commerciale, dont l'extension sur 8 ha est envisagée. Mais, la lande qui se trouve en face du centre s'avère être un paradis pour plusieurs espèces rares d'animaux, rapporte la Dépêche. Un herpétologiste et deux étudiants de l'Université de Toulouse ont fait une étude sur cette zone humide... Leur inventaire est impressionnant ! On y trouve « du triton marbré et palmé, de la grenouille rainette et agile, de la salamandre tachetée, du lézard vert, de la couleuvre jaune, à collier et vipérine, etc., etc.. », autant d'espèce dont la protection serait maximale ! Le scientifique est en coléré et déclare à La Dépêche : « on plante quelques arbres pour se donner bonne conscience et là, on va raser un pan de forêt sans le moindre état d'âme. On va détruire un milieu riche. Je propose, comme l'a fait le maire de Lannemezan chez lui, de créer une réserve ici. Les emplois sont brandis comme argument choc, mais si on détruit notre propre monde, jusqu'à quand pourra-t-on parler d'emplois ? » Selon le maire, les règles seront respectées. Il a chargé un bureau d'étude compétent d'étudier la flore et la faune de la zone jusqu'au mois d'octobre (pour prendre en compte toutes les saisons). Lorsque le rapport lui sera remis, il instruira les dossiers d'aménagement « en fonction, évidemment, de ce qui aura été trouvé ou pas trouvé », déclare-t-il au journal. Mais déjà, la police de l'eau (l'ONEMA) est venu voir sur place et a « trouvé non des tritons marbrés, mais des tritons palmés, ce qui n'est pas pareil », dit le maire. Il s'engage ensuite à remettre le dossier aux administrations compétentes. L'herpétologiste qui a réalisé la première étude a aussi son idée sur les élus, qu'il soupçonne de mettre « l'environnement à toutes les sauces, dès qu'il y a des élections »... Il déplore qu'un élu ait cru bon aussi de lâcher : « ce n'est pas deux tritons qui vont nous emm... et nous empêcher d'avancer !», ça me fait bouillir »... Il croit aussi que « l'argent est roi » ! Au minimum la bataille de l'environnement va retarder ce chantier... Mais après ? Source
  3. Maurice : sauvetage d’une espèce de lézard en voie de disparition Des scientifiques du Durrell Wildlife Conservation Trust, un centre de conservation des animaux sauvages, ont ramené en Grande-Bretagne 22 scinques à queue orange, une espace de lézard en voie de disparition présente sur l’île Maurice, a annoncé vendredi, Andrew Terry, le responsable du programme, rapporte BBC. "Nous avons pour objectif final de réintroduire l’espèce dans l’île", a déclaré Andrew Terry. Le scinque à queue orange a été découvert uniquement sur l’île plate, la plus grande des îles de Maurice, en 1995. Sa survie est en danger en raison de la forte présence dans l’île des musaraignes, petits rongeurs carnivores. Source
  4. Halte au massacre des tortues Cinq stagiaires en formation patrimoine, tourisme, développement local, assistant manageur, animation et gestion touristique au comité départemental du tourisme de Mayotte, accompagnés de leur tuteur Attoumani Harouna, ont découvert une tortue échouée sur la plage de Kombo Bato. L’événement s’est produit ce vendredi 3 juin, vers 10h, au cours d’une randonnée découverte entre Saziley et M'tsamoudou. Cette tortue baguée portait le numéro 9653. Elle avait la nageoire avant droite sectionnée, sans doute par des braconniers. La marée était basse, et l’animal connaissait des difficultés à rejoindre le large. Les cinq stagiaires ont aidé l’animal à rejoindre la mer du mieux qu’ils pouvaient. Le site de Saziley étant protégé, les responsables des plages ont donc l’obligation de surveiller et de parcourir la zone pour éviter les actes de braconnage, mais ce jour-là personne n’était présent. Si nous lançons cet appel aujourd’hui, c’est pour sensibiliser la Collectivité et lui dire que de tels actes de barbarie existent encore. Cela remet en cause la lutte contre le massacre des tortues marines protégées dans le monde entier, et en particulier à Mayotte. Cette protection est d’ailleurs stipulée sur la Convention de Washington. Il faudrait pour cela un renforcement au niveau de la protection des animaux menacés et aussi une accentuation sur la lutte contre le braconnage à Mayotte. La tortue marine représente l’un des atouts incontournables du tourisme à Mayotte. Actuellement, on doit se demander si le personnel est en sous-effectif ou est-ce un manque de moyens ? En tout les cas, la surveillance n’est pas assez assurée. Source
  5. La tortue hargneuse vole la vedette à l’iguane Kouma VIVARIUM DE LAUSANNE | La méchante bestiole, trouvée en plein Renens il y a deux semaines, attire de nombreux curieux Laurent Antonoff | 10.06.2011 | 15:01 Elle est en train de voler la vedette à Kouma, l’iguane vert de près de deux mètres qui était la mascotte du Vivarium. Jusqu’à son arrivée il y a deux semaines. Elle, c’est l’affreuse tortue hargneuse, découverte par un passant fin mai en plein Renens (24 heures du 1er juin). «Les gens viennent exprès pour la voir depuis qu’elle est passée dans le journal», explique Michel Ansermet, le directeur du Vivarium. Une vedette. La tortue est toujours en quarantaine dans son vaste aquarium. Elle n’a pas encore été présentée à sa congénère déjà pensionnaire du Vivarium. «Elle est malgré tout très active. Et elle mange beaucoup. On voit que cela faisait un moment qu’elle ne s’était rien mis sous la dent», explique le directeur. Que mange-t-elle? Un beau rat par semaine, mais que les âmes sensibles se rassurent: le repas de la tortue n’est pas vivant. Dans le cadre de la loi sur la protection des animaux, le Vivarium s’approvisionne en effet en souris et en rats congelés. Reste que la tortue hargneuse n’a pas été baptisée par le personnel. Elle ne le sera sans doute jamais car elle risque de ne pas rester longtemps à Lausanne. «Nous l’avons mise sur un site Internet européen qui regroupe les zoos susceptibles de l’accueillir. On verra bien.» On ne sait toujours pas qui a abandonné cette tortue extrêmement dangereuse à proximité d’un quartier d’habitations et d’un petit étang, le 29 mai dernier à Renens Source
  6. Sauver les tortues, un combat humaniste "Sous le signe de la tortue" propose un tour d'horizon des initiatives locales de protection des tortues marines. Ce documentaire en forme de carnet de voyage donne la parole aux défenseurs des tortues marines dans différents pays de l'océan Indien. Direction les rivages de l'île de le Réunion et d'Afrique du Sud, où le reptile le plus vieux du monde est pêché accidentellement par les chalutiers. Le réalisateur nous emmène aussi sur les plages de Madagascar et des Comores où l'animal mythique est chassé: vendre une tortue empaillée peut rapporter deux fois le smic à un Malgache. Malgré l'interdiction de ce commerce par la convention de Washington de 1973, les tortues sont traquées. Il est quasiment impossible de chiffrer les massacres engendrés par ce commerce prohibé et donc dissimulé. Grâce à ce film, on peut néanmoins observer localement l'impact du braconnage. Sur certaines plages, plus aucune tortue ne vient nicher. Par exemple, à Madagascar, on se rend compte que les pêcheurs n'attrapent presque plus que des tortues juvéniles, signe d'une espèce en difficulté qui n'atteint pas l'âge adulte. Ce voyage original dans les régions où les tortues sont en danger révèle l'inégalité des pays dans la protection de leur environnement. Comparées aux moyens techniques et scientifiques dont disposent l'Afrique du Sud et l'île de la Réunion, les ressources comoriennes et malgaches sont dérisoires. Mais comment interdire la chasse à la tortue où l'animal rapporte 100 kg de viande à une famille? Comment sensibiliser les populations à la protection de la faune dans des régions où les Etats ne garantissent même pas la protection de sa population? Le réalisateur, Rémy Tezier, reproche aux pays riches d'imposer des politiques de protection qui ne sont pas adaptées aux pays pauvres. L'écotourisme, une solution? Rémy Tezier préconise des stratégies de développement comme l'écotourisme, "car il vaut mieux un animal dérangé qu'un animal tué". Dans le film, il fait escale à Bird Island, aux Seychelles. Ce lieu de ponte des tortues à écailles est protégé par Guy et Marie-France Savy, pionniers du tourisme vert depuis les années 70. Un bel exemple de cohabitation de l'homme et de la nature, mais difficile à imiter partout, selon le documentariste: "Aux Comores, par exemple, le billet d'avion est tellement cher (car l'archipel est mal desservi) que l'écotourisme a du mal à s'implanter". En montrant la chasse aux braconniers par une petite association dans un village de l'île Moheli aux Comores ou encore le travail de sensibilisation d'un chercheur malgache, le film suggère que la solution est peut-être entre les mains de la société civile. L'implication individuelle peut combler l'incapacité de certains Etats trop instables ou corrompus à instaurer des solutions durables. Il en dépend de la survie des tortues, mais aussi de l'amélioration du niveau de vie des habitants. > Le documentaire inédit "Sous le signe de la tortue", d'Isabelle Delannoy et Rémy Tezier sera diffusé sur France5 le samedi 11 juin à 17h. Source
  7. Une tortue Luth filmée devant l'île de Groix En s’offrant ce jeudi une journée en mer avec un guide de pêche de Port-Louis, Christophe Tabourin était loin d’imaginer qu’il approcherait de si près la plus grande des tortues marines. [Vidéo] "Nous avons vu des oiseaux qui tournaient autour d’une carapace. Arrivés à cinq mètres de là, nous avons constaté qu’il s’agissait d’une tortue. Nous l’avons tranquillement observée pendant cinq minutes. Ensuite, elle a plongé", explique le plaisancier, qui a filmé la scène [Vidéo]. Pas exceptionnel, mais rare Florence Dell’Amico, chargée du développement du centre d’études et de soins pour les tortues marines à l’Aquarium de la Rochelle, a visionné la vidéo. "Cette présence le long de nos côtes n’est pas exceptionnelle en période estivale, notamment sur le secteur de la Rochelle. Mais c’est effectivement plus rare près des côtes bretonnes", a-t-elle expliqué. La spécialiste estime que cette tortue Luth pourrait arriver des Caraïbes. "Une bonne nouvelle" La tortue Luth, qui peut mesurer jusqu'à deux mètres, parcourt plusieurs milliers de kilomètres pour rejoindre ses aires d’alimentation en méduses, qui constituent la majeure partie de son alimentation Selon la spécialiste, cette présence le long de nos côtes est plutôt une bonne nouvelle. " Cela indique tout simplement qu’il y a une bonne qualité du milieu marin". Un conseil enfin, pour ceux qui auraient la chance de croiser leur chemin : "nous contacter pour signaler leur présence et leur positionnement". Source
  8. Arrestation à Pointe-Noire de trafiquants de carapaces de tortues BRAZZAVILLE (Xinhua) - Trois membres d'un réseau de trafic ont été arrêtés pour avoir tenté de vendre 17 carapaces de tortues marines à Pointe-Noire, a-t-on appris mardi à Brazzaville de source proche du Projet d'Appui à l'Application de la Loi sur la Faune sauvage (PALF). Selon le coordonnateur du PALF, Naftali Honig, les côtes congolaises et celles de l'Afrique centrale accueillent un nombre important de sites de ponte pour les tortues marines, le long des plages et des campagnes pour l'amélioration de la conservation des tortues y sont menées depuis un certain temps maintenant. Récemment, des enquêteurs ont rapporté qu'ils se sont vu offrir des carapaces de tortues marines tout juste à côté d'un large panneau signalant le caractère illégal d'une telle vente. L'observation des tortues marines est une activité importante pour le développement de l'écotourisme et qui permet de changer les économies locales, alors pourtant que leurs populations continuent à être décimées. Le trafic demeure fort et les arrestations pour trafic de tortues marines rares. Les tortues marines font partie des espèces intégralement protégées au Congo et leur commerce est illégal. L'arrestation de ces trafiquants intervient au moment où le Congo abrite à Brazzaville un sommet sur la préservation des trois bassins forestiers tropicaux du monde, les bassins d'Amazonie (Amérique du sud), du Congo (Afrique centrale) et du Bornéo-Mékong (Asie du sud-est). Source
  9. Protection des tortues marines : 20 ans déjà... La situation de ces espèces s'est nettement améliorée depuis la signature de l'arrêté préfectoral en 1991. L'archipel guadeloupéen a la chance d'accueillir 5 des 7 espèces de tortues marines existant dans le monde. Trois d'entre elles viennent pondre sur nos plages : la tortue luth, la tortue imbriquée et la tortue verte, dont les périodes de ponte se succèdent de mars à novembre. L'ensemble de ces espèces a failli disparaître, fortement exploité depuis l'arrivée des colons en Guadeloupe, et presque exterminé au XXe siècle. Alors que les premiers chroniqueurs des Antilles françaises - tels le Père Breton - témoignaient de l'abondance des tortues marines au XVIIe siècle, seulement 300 ans plus tard, les constats sont alarmants : « Le danger de voir disparaître ces animaux est réel et proche à moins que des mesures conservatrices soient prises d'urgence » , écrit Kermarrec en 1976. Il faut néanmoins attendre 1991 pour que l'arrêté de protection des tortues marines soit signé. Ce texte a été la base indispensable pour enrayer la chute drastique des populations et permettre de voir, 20 ans plus tard, les tortues revenir dans nos eaux et sur nos plages. Il a été renforcé en 2005, faisant des tortues marines, des espèces intégralement protégées sur le territoire national. Un arrêt du déclin des pontes Depuis 20 ans, et bien au-delà, les actions de conservation des tortues marines sont menées par des acteurs locaux, regroupés pour la plupart au sein du Réseau Tortues marines Guadeloupe. Les acteurs sont surtout des bénévoles qui consacrent leur temps libre à la sensibilisation, au suivi des pontes, aux patrouilles de surveillance nocturne, des professionnels de la pêche qui parlent autour d'eux des enjeux de la protection des tortues marines et essayent de limiter les captures accidentelles, des plongeurs qui font partager leur bonheur d'observer une tortue à leurs clients, des associations qui fédèrent et initient des actions pour l'ensemble de la population, des administrations qui s'engagent et soutiennent les acteurs de terrain. Depuis ces arrêtés de protection, la situation semble s'être très sensiblement améliorée. En effet, les pêcheurs et les plongeurs témoignent tous de l'importante augmentation des effectifs. L'absence de références historiques claires sur les effectifs en ponte ne permet pas de tirer de conclusions nettes pour les femelles en ponte, mais les travaux du Réseau Tortues marines, s'ils doivent être poursuivis, semblent montrer, si ce n'est une augmentation du nombre de pontes, l'arrêt de leur déclin, au moins sur certains sites. (1) Le Gaïac, l'AEVA, Évasion Tropicale, Ecolambda, Ti-Tè, Karet (centre de soins à l'aquarium), l'école de la mer, Kap Natirel et les réserves de Saint-Martin et Saint-Barthélemy. Source
  10. Max|mum-leterrarium

    Nouveaux arrivants!

    Le dernier a l'air vraiment spécial! Finalement, as tu un chat de mort? Ou le pot était vraiment vide?
  11. Une tortue marine remise à la mer à Sainte-Maxime Une tortue marine de l'espèce la plus commune sur nos rivages, "Caretta Caretta", a repris la mer mercredi à Sainte-Maxime après un peu plus d'un mois de soins à Marineland. Découverte en difficulté par Emmanuel Eulin, moniteur à l'école de voile, le 20 avril dernier, l'animal avait été pris en charge par Sidonie Catteau, membre du réseau des tortues marines de Méditerranée française. Source
  12. Des centaines de tortues saisies à Bangkok A l’aéroport de Bangkok, en Thaïlande, des centaines d’espèces de tortues rares ont été retrouvées, dissimulées dans des bagages. C’est à l’aéroport de Bangkok que les douanes thaïlandaises ont découvert des centaines de tortues vivantes et d’autres espèces rares cachées dans des bagages. Annoncée hier, cette saisie vient s’ajouter à la liste déjà conséquente des saisies d’espèces protégées victimes de trafic. En septembre dernier déjà, l’aéroport international de Bangkok avait saisi plus de 1.000 tortues étoilées et le mois dernier un voyageur avait été arrêté alors qu’il tentait de faire sortir de Thaïlande plusieurs espèces en danger dont quatre bébés léopards. Enregistrés au Bangladesh, les bagages étaient en transit pour l’Inde lorsqu’ils ont été repérés grâce aux rayons X. Leur propriétaire aurait toutefois réussi à prendre la fuite. Mises à part les nombreuses petites tortues retrouvées, les bagages contenaient 35 tortues étoilées d’Inde, sept gavials et un animal de la famille des crocodiles. En tout, il y avait pour 33.000 dollars d’animaux. Les tortues étoilées sont classées par la Convention sur le commerce international des espèces en danger. Pour pouvoir les exporter, il faut être détenteur d’un permis. Source
  13. LE SERPENT, UN AMIMAL MAL AIME, MAIS POURQUOI DONC ? Le serpent souffre chez un grand nombre de personnes d'une mauvaise réputation ou alors d'une crainte, soulève des peurs. Alors bien sûr, depuis la création, dans la Génèse, la Bible il fait figure de tentation, dans le paradis d'Adam et Eve. Il est présent aussi dans l'imaginaire comme celui par qui arrive le mal, on lui prête des histoires ou des légendes affreuses. Mais, le serpent c'est aussi l'animal qui symbolise la pharmacie. Et aujourd'hui, certains produits de beauté contiennent du venin de serpent, véritable élixir semble-t-il pour repulper la peau, la rendre plus jeune, plus souple. Est-ce par qu'ils rampent, sont des invertébrés que les serpents font peur ou juste parce que certains sont constricteurs, tels que les boas, qui étranglent leur proie, pour les tuer, est-ce le célèbre Anaconda de l'Amazonie qui terrorise par sa taille et sa force ?. J'ai vu l'autre jour un très joli serpent corail dans une sorte de terrarium; je l'ai trouvé magnifique, possédant des couleurs chatoyantes. Alors, tuer des pythons pour en faire des sacs, des chausures, voire des bracelets de montre, je trouve celà fort malheureux pour des espèces qui ne méritent pas de finir de telle façon pour des questions de mode, pour des fashions victimes fort riches pour la plupart. Laissons ces reptiles vivre en paix dans leur milieu naturel ou encore dans des vivariums où l'on prend soin d'eux, où on les étudie comme des animaux tellement anciens et intéressants. A quelque part, moi, ils me fascinent surtout par leur façon de s'adapter à leur biotope ou leur environnement ambiant. Béatrice FUCHS Source
  14. La mer n’est pas une poubelle uel est le point commun entre : une brosse à dent, une fermeture de pack de lait, un jeton de jeu pour enfant, un gobelet, un emballage de barre en chocolat, une barquette, un couvercle de pot de glace,un sac poubelle, de vieux bidons ???? Tous sont en plastique et ont tous été retrouvés dans l’estomac d’une tortue de mer (voir la photo jointe). Il s’agit d’un juvénile de tortue caouanne Caretta caretta qui pourtant vit au large et que l’on pourrait penser être à l’abris des déchets générés par notre société de consommation. Les Journées de la Mer sont l’occasion de sensibiliser sur la nécessité de réduire les déchets et de respecter les filières de collecte et de traitement. Ces déchets plastique ont une durée de vie telle (plusieurs dizaine à centaines d’années), qu’ils s’accumulent sur la surface des océans et sur les plages des îles même inhabitées. Ils ont un impact croissant sur la faune marine. A La Réunion, en raison de la taille et du relief de l’île, encore plus vite qu’ailleurs tous les déchets produits à terre risque de finir en mer sans une gestion adaptée. Et chacun d’entre nous peut agir pour que cette pollution se ralentisse et cesse. Source
  15. Cette tortue se prend pour un hamster! Il n'y a pas que les hamsters qui ont le droit de s'amuser à faire des tours dans leur roue. Car cette tortue aussi veut aussi goûter aux joies du grand huit! Le hamster n'est désormais plus le seul animal à faire des tours pendant de longues minutes dans sa roue. Il a en effet trouvé depuis peu de la concurrence avec cette tortue, qui se retrouve coincée dans une bassine posée sur le côté. En effet, elle parvient alors à la faire rouler en se déplaçant dessus. L'animal que l'on imagine toujours lent prouve ainsi au monde entier qu'il est capable de dépasser les clichés liés à son espèce. Loin de manger des salades toute la journée en se "hâtant avec lenteur", la tortue trotte avec vigueur dans sa roue improvisée. Drôle et sans conséquence sur la santé de la tortue, cette vidéo amuse par son côté insolite tout en nous permettant de connaître à présent une autre facette de la personnalité de ces animaux nonchalants. Source
  16. « Taty Martine » se bat pour la reconnaissance des tortues - Plénée-Jugon L'histoire Martine Aubrun est chéloniophile, comprenez fan de tortues. À quelques heures de la manifestation qu'elle organise ce samedi à Plénée-Jugon, elle nous parle de sa passion pour cet animal protégé. Sa première tortue, Martine Aubrun s'en souvient comme si c'était hier. « Je l'ai eu contre une pièce de 5 francs à la poissonnerie de Poissy. Je devais avoir sept ans. » Depuis, les tortues ne se sont jamais éloignées de Martine qui collectionne aussi les objets qui se rapportent au sympathique reptile. Son mari a suivi le mouvement, « sans avoir vraiment le choix », sourit notre passionnée. « J'ai toujours eu au cours de ma vie une ou deux tortues mais je me suis vraiment lancé à fond depuis 1999. Internet m'a beaucoup aidé à me documenter. Depuis, c'est l'euphorie, de la folie, la magie de la tortue », concède Martine, qui partage son quotidien entre ses chéloniens et les enfants qu'elle accueille en tant qu'assistante familiale. « Taty Tortue » Martine Aubrun est venue s'installer rue des Frères-Gauthier, il y a deux ans, « après quelques contraintes administratives » liées au transfert de tous ses reptiles depuis le département de l'Eure où elle résidait. « La première chose que nous avons faite en arrivant c'était d'aménager des parcs pour les tortues. » Martine et ses pensionnaires à carapace ont tout de suite été adoptés par un voisinage interrogatif. Son surnom de « Taty tortue » a fait le tour de la cité. « Il n'est pas rare que je retrouve un sac de pissenlits posé à ma porte ! » La centaine de tortues, Hermann Varoises ou Corses, que possède Martine en raffole. « Je n'ai que de la tortue française », revendique Martine Aubrun. Caroline, Franklin, Adèle, Maurice, etc. tous ces pensionnaires adultes ont un prénom. Mais attention on ne s'improvise pas éleveur de tortues ! Son statut de capacitaire, reconnu par les autorités, lui a permis de créer son établissement en toute légalité. « Toutes mes tortues ont des papiers. La tortue est aujourd'hui un animal légalisé », martèle la Plénéenne, qui préside justement une association, Les Tortues du pays d'Oïl, qui informe les propriétaires de chéloniens sur leurs droits et leurs devoirs. Première fête de la Tortue, ce samedi 4, de 10 h à 18 h 30, à la salle polyvalente de Plénée-Jugon. Entrée : 2 € pour les plus de 12 ans. Tél. 06 10 95 45 89. Source
  17. Non Tregg, il parle d'une animalerie de centre d'achat avec un nom d'une grosse chaine.
  18. Des policiers tirent deux fois sur un alligator avant de réaliser qu'il est faux INDEPENDENCE, États-Unis — Des policiers appelés en renfort pour s'occuper d'un alligator aperçu en banlieue de Kansas City n'ont pas hésité à ouvrir le feu contre la bête tapie dans les mauvaises herbes près d'un étang. C'est seulement après avoir tiré une seconde fois, et vu les balles rebondir sur la tête de l'animal, qu'ils ont réalisé qu'ils avaient mortellement blessé... une décoration de jardin en béton. Un homme habitant près du plan d'eau a téléphoné samedi soir à la police parce que ses enfants avaient vu un alligator alors qu'ils jouaient dans des bois du voisinage. Après avoir consulté un agent de conservation de la faune, qui leur a dit de tuer le reptile s'ils se sentaient menacés, l'un des policiers a fait feu deux fois avait de se rendre compte que quelque chose n'allait pas, a expliqué Tom Gentry, le porte-parole de la police d'Independence, au Missouri. M. Gentry a raconté que, voyant que l'alligator ne bougeait pas, les deux agents s'étaient tranquillement rapprochés pour finalement constater que c'était une imitation en béton. Il faut dire qu'il commençait à faire nuit et que le faux alligator était partiellement couvert par la végétation. Le propriétaire de l'étang a affirmé qu'il avait installé cette reproduction afin de dissuader les gens de se promener sur son terrain. Les policiers lui ont plutôt suggéré de mettre une affiche indiquant qu'il s'agissait d'une propriété privée. Source
  19. Nac. L'ascension des petites bêtes... Si tous les goûts sont dans la nature, certaines espèces ne devraient cependant pas la quitter. Depuis quelques années, mygales et serpents venimeux viennent pourtant se nicher dans les terrariums bretons. Le petit chaton qui vous supplie de ses grands yeux larmoyants? Bof. Le chienchien à sa mémère qui ne vous lâche plus d'une semelle? Merci, mais non merci. Depuis quelques années, la tendance est beaucoup plus exotique. Les mygales, mille-pattes et autres serpents ont les faveurs des amateurs de Nac (pour nouveaux animaux de compagnie). «Ça, c'est Venom: une mygale "acanthoscurria geniculata" achetée sur internet à un particulier. 60 €. Un bon prix. Elle a l'air un peu endormie, mais quand on la chatouille, elle peut devenir un peu speed». Franck couve du regard sa protégée en lui caressant l'abdomen. En s'éclairant d'un sourire provocateur, le jeune lanestérien rapproche l'araignée pour découvrir ses crocs. «Tupeux la toucher, elle ne va pas te mordre. Enfin, en principe...». Ils sont nombreux à avoir donné ses congés au hamster et à avoir remplacé sa roue sans fin par un terrarium chauffé et recouvert de tourbe et de plantes. L'effet de mode ne semble pas retomber. Et ne va pas sans provoquer quelques désagréments. Des mygales sur la toile «Certains animaux importés appartiennent à des espèces menacées. D'autres sont interdits à la vente en France et sont, de plus, à employer avec précaution. Cela demande des connaissances, du savoir-faire et du temps...», prévient Michel Collin. Dans son bureau d'études entomologiques, le Guidélois ouvre ses portes à toutes les mygales abandonnées sur une aire de repos. «Le problème, c'est que les gens se lassent. Ils les relâchent dans la nature. À l'insectarium, je recueille et protège ces espèces». Paradoxalement, si la facilité d'acquisition des Nac explique en partie l'engouement qu'ils suscitent, elle est aussi bien souvent la cause de leur abandon. «On trouve des mygales ou des serpents venimeux sur internet. Un achat dans les pays frontaliers de la France, où la législation est plus souple, et le tour est joué». Douche froide Les petites bêtes relâchées dans la nature peuvent être la cause de surprises légèrement désagréables. Un Vannetais a ainsi fait la rencontre d'un scorpion... dans sa douche. «C'était une espèce non venimeuse, un Teuscopius flavicodis. C'est très rare chez nous. Heureusement, la personne n'a pas paniqué. Elle a appelé les pompiers qui m'ont envoyé le scorpion. Il est ici, et se porte très bien». Passionné par les petites bêtes qui rampent et qui grimpent, Michel Collin est devenu le spécialiste morbihannais des arthropodes (mygales, myriapodes, scorpions...). Il est titulaire d'un certificat de capacité spécifique qui l'autorise à élever et manipuler des animaux par nature imprévisibles. Il rappelle: «Les mygales sont interdites à la vente en France». Nac attaque... ou pas «Ces animaux ont des comportements radicalement différents des autres espèces. Il y a une certaine façon de les approcher et de les attraper», assure-t-il. En France, les animaux venimeux doivent être déclarés à la DSV (Direction des services vétérinaires). «Mais c'est rarement le cas», déplore l'entomologiste, qui rassure néanmoins: «Une mygale peut mordre si elle se sent menacée, mais elle ne va pas injecter son venin quand elle juge que sa proie est trop grosse pour qu'elle puisse s'en nourrir». L'homme ne devrait donc pas être au menu. Une précision qui a cependant peu de chances de rassurer les arachnophobes... et pas plus de dissuader les amateurs d'exotisme et de sensations fortes. Breizh insectarium. Tél.02.97.65.34.28. Source
  20. Je vais te répondre par email. J'ai oublié de spécifier, remarque de LD50, que l'exposition de reptiles a lieu seulement le 6 et le 7 août donc les deux jours de la fin de semaine.
  21. Bonjour Nicholas et bienvenue sur le forum! J'ai édité ton message pour ne pas nuir à personne. Quand on nomme un endroit en négatif, il peut y avoir des poursuites et étant donné la grosseur de l'entreprise, vaut mieux ne pas prendre de risque. Je sais très bien de l'endroit dont tu parles. J'y suis allé avec une amie qui voulait me faire découvrir la ville. Eh oui, je ne suis pas à Québec depuis longtemps et elle me disait tu vas voir, c'est la plus belle animalerie. J'ai également vu la pink toe qui était vendu pour une rosy. J'ai porté mes commentaires à mon amie. Le plus gros problème est le manque d'information. Il faut leur offrir notre aide à ces places là afin de leur permettre de s'améliorer. J'ai manqué de temps pour y aller mais je devrais être en mesure de leur offrir de mon temps sous peu. Serais tu prêt à venir donner un coup de main?
  22. Bonjour tout le monde, Cet été aura lieu la 29ième édition du festivent de Lévis. Le festival aura lieu du 3 au 7 aoùt 2011. Il s'agit de l'un, sinon du plus gros festival de montgolfières dans la région. J'ai été approché par les organisateurs pour offrir une distraction de plus aux visiteurs, c'est à dire, une exposition de reptiles. Ils m'ont laissé un grand chapiteau à remplir. J'aimerais donc offrir la chance à certain d'entre vous de participer à une belle expérience d'expositions en allant partager votre passion tout en vous amusant durant ce merveilleux festival. Pour ceux qui ne connaissent pas le festivent, voici leur site internet : http://festivent.net/fr/Accueil/ S'il y a des intéressés à venir partager leur passion avec des milliers de visiteurs, veillez me contacter par messagerie privé ou encore, via email à maximumreptiles@hotmail.com . Je serai en mesure de répondre à vos questions. C'est par moi que passe vos inscriptions alors n'hésitez pas à me contacter. Les places sont limités alors faîtes vite! Bonne journée
  23. Viêt Nam: Des cobras royaux cachés dans des sacs sèment la panique dans un train HANOI, Viêt Nam — Les autorités vietnamiennes ont découvert vendredi sous le siège d'un train des sacs contenant plusieurs cobras royaux, des serpents très venimeux. Pham Quynh, un représentant de la compagnie ferroviaire, a raconté que les passagers avaient été terrifiés lorsque les sacs de vêtements où les reptiles étaient enfermés avaient été repérés. Ils étaient vivants mais leur gueule avait été cousue. Selon M. Quynh, le nombre exact de cobras n'a pas été déterminé mais les sacs pesaient 45 kg. Les agents de sécurité ont saisi les bêtes, qui étaient vraisembablement destinées à être vendues à des restaurants de Hanoï. Leur propriétaire s'était apparemment enfui durant le chaos causé par leur découverte. La chair de serpent est considérée comme un délice au Viêt Nam, mais les cobras sont protégés par la loi. Pham Quynh a indiqué que les reptiles avaient été confiés à des gardes-forestiers qui les ont relâchés dans la nature samedi puisque personne ne les avait réclamés. Source
  24. Une tortue hargneuse dans les égouts par Renaud Bournoud - Capable d’arracher un doigt, ce redoutable prédateur américain se baladait dimanche à proximité d’un étang, à Renens. La police l’a confié au Vivarium de Lausanne. Canetons, alligators juvéniles, poissons, batraciens et même ses congénères plus petits, tout y passe avec la tortue serpentine, dite «hargneuse». «Elle mange tout, elle est très rapide et si elle vous chope le doigt, il est loin», prévient d’entrée Michel Ansermet, le directeur du Vivarium de Lausanne. Extrêmement agressive C’est lui que les policiers de l’Ouest lausannois ont appelé à la rescousse, dimanche après-midi, lorsqu’ils ont été alertés de la présence d’un spécimen dans le quartier de la Vorsiaz, à Renens. «Elle était dans une bouche d’égoût à proximité d’un étang, raconte l’herpétologue. Je l’ai attrapée par la queue en faisant très attention à sa gueule, car elle a un cou qu’elle peut détendre en un éclair.» Et son patronyme en dit long sur son caractère. Michel Ansermet décrit le reptile originaire d’Amérique du nord et pouvant atteindre 80 cm comme encore plus agressive que la très inquiétante tortue alligator. Animal dangereux «C’est probablement quelqu’un qui s’en est débarrassé dans l’étang», estime le 1er lieutenant Fiaux, confronté pour la première fois à ce type de bestiole. «Cela m’énerve, ces animaux sont dangereux», fustige le directeur. Pour l’instant, la bête, âgée d’une quinzaine d’années, a été placée en quarantaine au Vivarium de Lausanne. Elle y restera, si elle arrive à s’entendre avec le spécimen que l’institution abrite déjà. Source
  25. Ils tombent nez à nez avec la plus vorace des tortues! RENENS | Encore plus agressive qu’une tortue Alligator, une Chelydra Serpentina a été trouvée dimanche près d’un parc public. Un geste totalement «irresponsable», selon le directeur du Vivarium Laurent Antonoff | 31.05.2011 | 19:05 Dans la grande famille des tortues, elle n’a pas la meilleure des réputations. Et pour cause: carnivore et très agressive, la Chelydra Serpentina ne fait pas la différence entre vos doigts et des rats de 200 grammes, qu’elle avale généralement tout entier. Un de ces spécimens a été trouvé par hasard en pleine nature, dans le quartier de la Vorsiaz dimanche dernier. «C’est un acte totalement irresponsable! Il y a un petit étang tout proche. Imaginez des enfants qui seraient venus y chercher des têtards cet été!» s’indigne Michel Ansermet, le directeur du Vivarium de Lausanne. C’est lui qui a capturé l’animal qualifié de «très dangereux», une femelle de quinze ans aux griffes et à la mâchoire redoutables. Toute l’histoire demain dans 24 heures. Source
×
×
  • Créer...