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Max|mum-leterrarium

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  1. La protection de la tortue marine dans le Pacifique Au Honduras, le Programme des Petites Donations (PPD) du Fonds pour l'Environnement Mondial (FEM) soutient dans le Sud du pays le Centre de Conservation et d'Investigation de la Tortue Marine (Centro de Conservación E Investigación de la Tortuga Marina) de la communauté de El Venado (Marcovia). Actif depuis 2007 et géré par la communauté, il se charge chaque année de récupérer près de 10 000 oeufs de tortues pour ensuite les libérer, permettant ainsi de protéger et d'augmenter la population de ces reptiles. La Veda Du 1er au 25 septembre a lieu la veda (fermeture), où il est alors interdit de collecter les oeufs des tortues. Apuyés par l'armée hondurienne lors de cette (courte) période, les membres de la communauté récupèrent ces oeufs chaque nuit. Quatre groupes se relayent sur deux plages de 18h à 6h. Ils repèrent les tortues sur la plage, les laissent pondre - en moyenne 100 oeufs par animal - puis récupèrent la ponte dans un sceau. Ils sont alors immédiatement transportés vers le Centre où ils sont à nouveau soigneusement enterrés, et enregistrés. Les tortues sont marquées afin de permettre leur suivi. Une espèce menacée Ces tortues, de l'espèce Golfina (Lepidochelys olivacea), sont une espèce menacée. Alors qu'il y a trente ans elles pululaient sur les plages du Golfe de Fonséca, aujourd'hui on en compte parfois à peine deux par nuit. C'est le résultat de dizaines d'années de surexploitation de leurs oeufs, récupérés dans leur totalité, puis vendus et mangés. Les populations les plus pauvres du Golfe se chargent de ce commerce, rentable, mais très saisonnier. En dehors de la période de veda, le Centre tente, avec ses maigres fonds, d'acheter à un prix avantageux certains oeufs pour protéger plus de tortues. Chaque année depuis 2007, 10 000 jeunes tortues environ sont relâchées en mer. Ce chiffre est en constante baisse. En moyenne, sur 1 000 qui se jettent à l'eau, une seule atteindra l'âge adulte... D'autres centre le long de la côte Pacifique d'Amérique centrale se charge de la même mission. Le Centre accueille toute l'année - mais surtout au mois de septembre - des volontaires et des biologistes venus d'Amérique centrale, d'Amérique du Nord et d'Europe. Conçu en bois, sur pilotis, au bord du Golfe de Fonséca, ce Centre dispose d'habitations et bientôt de tout un arsenal permettant des recherches scientifiques sur les tortues marines. Avis aux amateurs ! Source
  2. Un étrange dinosaure bossu en Espagne Une nouvelle espèce de dinosaure, un prédateur carnivore doté d'une étrange bosse et d'appendices analogues à des plumes d'oiseaux sur les avant-bras, a été identifiée dans le centre de l'Espagne, selon une étude publiée aujourd'hui dans la revue Nature. Baptisé Concavenator corcovatus par les scientifiques espagnols qui l'ont découvert à La Cierva, dans la province de Cuenca (centre), ce dinosaure vieux de 120 à 150 millions d'années mesurait environ six mètres de long et marchait sur ses pattes arrière. Un animal "bizarre" et un "spécimen unique" en son genre, insiste Fernando Ecaso, de l'Université autonome de Madrid. Il serait un ancêtre "primitif" de la famille des carcharodontosaures ("lézard aux dents aiguisées"), les plus grands des dinosaures prédateurs qui pouvaient surpasser en taille et en poids le célèbre tyrannosaure. Grâce à son squelette presque complet, trouvé dans un excellent état de conservation, les paléontologues espagnols ont pu étudier deux bizarreries chez le Concavenator. Le reptile était en effet affublé d'une sorte de bosse formée par deux vertèbres hypertrophiées au milieu de l'échine, une caractéristique inconnue jusqu'alors et dont la fonction reste mystérieuse. "C'est la première fois que nous observons une structure semblable sur l'épine dorsale d'un dinosaure, bien qu'elle soit répandue chez certains animaux actuels, les vaches par exemple", note Ecaso. Plus étrange encore, les chercheurs ont mis en évidence la présence d'une série de petites bosses sur le cubitus (os de l'avant-bras), des bosses dont la structure et l'implantation sont, selon eux, similaires aux points d'attaches des plumes chez de nombreux oiseaux. L'hypothèse la plus probable est que ces appendices étaient des filaments courts et rigides, indiquent les chercheurs, sans toutefois pouvoir trancher sur le débat en cours concernant la présence de plumes sur les dinosaures. Source
  3. Un lézard qui se reproduit comme un mammifère, en images Australie - Des scientifiques ont constaté l’évolution d’un lézard australien qui passe du stade d’ovipare à vivipare. Appartenant à la famille des scinques, un petit lézard semblable à un serpent avec 4 pattes minuscules, a été découvert pondant des œufs le long des côtes australiennes. Toutefois, un autre spécimen vivant dans les régions montagneuses plus froides donne naissance à ses petits de la même façon que les mammifères. "En étudiant les différences parmi des populations qui se trouvent à différentes étapes du processus, vous pouvez commencer par comprendre ce qui semble être la transition entre un mode de reproduction à un autre", aexpliqué le biologiste James Stewart au National Geographic. Selon lui, cette évolution pourrait être liée à la façon de nourrir les nouveaux-nés ou simplement un moyen de les protéger des climats les plus difficiles. Chez les mammifères, le bébé est nourri via le placenta tandis que chez les ovipares, les nutriments proviennent du jaune (d’œuf) et du calcium de la coquille qui est absorbé. Toutefois, certains poissons et reptiles utilisent déjà ces deux types. "Désormais, on peut constater que l’utérus secrète du calcium qui s’incorpore à l’embryon – fondamentalement c’est le début de l’évolution d’un placenta chez les reptiles", a ajouté le Dr Stewart. Découvrez les lézards vivipares en photos : http://www.zigonet.com/l%e9zard/un-lezard-se-reproduisant-comme-un-mammifere_art15438.html Source
  4. Dubréka: Un serpent a atteint mortellement un cultivateur du secteur de Limbita Mohamed Diawara, né en 1980, à Mandou, préfecture de Kissidougou, célibataire sans enfant, cultivateur de profession, vivait avec son frère Karamoko Traoré, lui-même cultivateur. Tous résidents à Limbita, un secteur de Korira, préfecture de Dubréka. En ce mois de ramadan, comme ses coreligionnaires de l'islam, il s'est levé vers 4 heures du matin pour prendre son repas de l'aube. Ce matin du jeudi 2 septembre, il pleuvait fortement sur sa localité. Il a pris son parapluie pour se mettre à l'aise derrière la maison. Il ne savait pas que la mort fatale l'y attendait. C'est en se mettant à l'aise, selon nos informations, qu'il serait mordu par un reptile. Il aurait aussitôt poussé des cris. Mais en vain. Pas de secours. Il aurait rendu l'âme sur le champ. Aux environs de 9 heures, des passants ont constaté la présence d'une personne allongée entre les buttes. Ils ont approché le lieu et ont constaté que c'était le pauvre Mohamed Diawara. Sa main gauche était sur sa cuisse gauche. Le sang coulait au niveau de sa cheville. Aucune autre trace n'a été remarquée sur son corps. C'est ainsi l'hypothèse de la morsure d'un serpent aurait été avancée. Le pauvre a été inhumé dans la consternation, hier vendredi, par plusieurs habitants de la localité. Suite à cet accident, certaines dispositions ont été prises. En autres, il est demandé à chacun d'assainir en cette période de grandes pluies les environs immédiats des habitations qui sont les lieux de prédilection des reptiles dangereux. Source
  5. Herseaux: un serpent capturé dans nos rues Imaginez-vous qu’en rentrant du travail, vous tombiez nez à nez avec un serpent qui se balade sur le trottoir. C’est ce qui est arrivé à un couple de Mouscronnois habitant l’avenue Antonio Vivaldi. Les pompiers ont réussi à attraper le reptile. j.k. “ Le serpent avait déjà été aperçu, il y a une semaine dans le clos. On m’a averti, mais il faisait nuit et on n’a pas réussi à mettre le grappin dessus ”, explique Christophe Denève, de la cellule environnement. “ Il n’est réapparu que ce lundi vers 17h. Les propriétaires d’une villa du clos l’ont aperçu en face de chez eux. Ils ont donné l’alerte et ils ont bien fait. On ne sait jamais sur quoi on peut tomber. Il ne faut pas jouer les héros avec ce type d’animaux. Ce sont les pompiers, qui ont eu quelques formations à ce sujet, qui ont réussi à le capturer avant que je n’arrive sur place pour l’évacuer. ” Ce qui a donné des sueurs froides aux habitants du clos, n’est en fait qu’une couleuvre élaphe d’environ 1m20. Une espèce que l’on ne devrait normalement pas retrouver chez nous. “ C’est une espèce qui a été amenée jusqu’ici mais qui vit habituellement dans le sud de la France et l’Espagne ”, précise Christophe Denève. Source
  6. Un python royal retrouvé dans une maison à Fressin ! Lucette Attagnant, retraitée, vient de connaître la peur de sa vie. ... Hier, elle a fait une drôle de découverte. Un de ses amis, convié à dîner, a eu le regard attiré par un drôle d'« objet » se dorant au soleil entre les planches de l'ancienne balance à grain. Il s'agissait en fait d'un python royal, de plus d'un mètre. Il a immédiatement appelé les sapeurs-pompiers qui ont dépêché sur place l'adjudant-chef Franck Boulanger, un spécialiste en la matière, basé au centre d'incendie et de secours d'Hesdin. Ce python royal, une espèce non venimeuse, s'était en fait échappé de chez un particulier à qui il a été rendu. L'animal s'était offert une escapade de trois semaines. • Source
  7. La Clinique des tortues de Moorea deplore une nouvelle victime Je suis incapable de vous copier le texte donc je vous mets le lien. Source
  8. Oh oui, parce que personnellement, je ne laisserais jamais ma fille de cet âge là avec un serpent.
  9. Les gens se cachent moins donc ils sont peut-être juste plus déclaré.
  10. Fressin: un python royal découvert dans le jardin d'un particulier Aujourd'hui, un serpent de race python royal mesurant plus d'un mètre a été découvert dans le jardin d'une retraitée habitant Fressin, dans le Montreuillois. Les sapeurs-pompiers locaux sont intervenus pour capturer l'animal qui appartient à un particulier. Le reptile, un animal de compagnie, avait réussi à s'échapper de son vivarium depuis trois semaines. Source
  11. A six mois, elle joue avec un python IINDE | Son père attrape des serpents pour gagner un peu d'argent. Il lui offre des pythons car il ne peut "se permettre d'acheter des jouets". Sidhi Siddharth Sinune n'a que six mois, mais elle a déjà le coeur bien accroché. Elle passe ses journée à jouer avec un python tandis que ses parents travaillent dans les champs à l'ouest de l'Inde. Le reptile n'est pas venimeux mais il pourrait aisément l'étrangler avec sa force. C'est son père qui, fermier de métier, attrape des serpents. Celui-ci explique qu'il ne peut se permettre d'acheter des jouets. Il ajoute "Sidhi a un rapport inhabituel avec ces reptiles, et eux aussi aiment jouer avec elle". Source
  12. Encore une pour les humains (Agence Science-Presse) La tortue géante à corne du Pacifique, vous connaissez? On la croyait disparue il y a 30 à 40 000 ans à cause du refroidissement du climat. Voilà que c’est plutôt l’humain qui serait en cause — encore. Des restes de cette bestiole d’une demi-tonne, qui ont manifestement servi à un (ou plusieurs) repas ont été retrouvés sur l’île de Vanuatu, dans le Pacifique Sud. Ces restes, selon la datation au carbone-14, ont entre 2760 et 2890 ans. Or, les humains sont arrivés sur cette île il y a... 3000 ans. La tortue n’avait manifestement aucune chance. (Source : Proceedings of the National Academy of Sciences) Source
  13. Sus aux mangeurs de grenouilles ! Les Français sont parfois considérés à l'étranger comme d'avides mangeurs de grenouilles. Mais les américains sont en passe de nous rafler le titre. Les membres de l'association Save the Frogs, (sauver les grenouilles en français) n'apprécient guère le développement de cette pratique outre-Atlantique. En jeu, la survie des amphibiens dont de nombreuses espèces sont en voie de disparition. Le 5 septembre, le mouvement Save the Frogs a organisé une manifestation devant un restaurant d'Arlington en Virginie - dont les cuisses de grenouilles sont la spécialité. Et tenez-vous bien, il s'agit purement et simplement du plus grand rassemblement de soutien à la grenouille de tous les temps. Pour l'occasion étaient réunis huit écoliers, deux étudiants, cinq membres de l'association et quelques badauds. Le but de la manoeuvre était d'éveiller l'attention sur la rapide disparition des grenouilles – et sur la contribution au phénomène des restaurants qui les mettent au menu. Car si de nombreuses espèces sont menacées aujourd'hui, c'est en partie à cause des mangeurs de grenouilles. L'espèce que nous consommons - qui au passage est un crapaud - est dangeureuse pour les autres amphibiens. Aujourd'hui élevée dans seize pays différents, elle finit toujours par s'échapper et s'incorporer aux écosystèmes locaux. Puis elle supplante les espèces présentes dans le milieu depuis des années, vouant celles-ci à l'extinction. Un tiers des espèces composant le groupe des amphibiens est déclaré en voie de disparition alors même qu'on ne les connaît pas toutes.(Voir notre article sur la découverte d'une nouvelle espèce de mini grenouille.) Ne vous y trompez pas, il s'agit là d'un problème plus sérieux qu'il n'y parait. Les fondateurs de Save the frogs, en fait d'illuminés amoureux des grenouilles, sont des scientifiques reconnus. Kerry Kriger, le directeur exécutif du mouvement, titulaire d'un doctorat en sciences environnementales, est spécialiste de la chytridiomycosis, une maladie qui touche l'amphibien. Parmi les membres de l'administration, on retrouve également un neurologiste et physicien, et un professeur au Griffith University en Australie. Le comité scientifique est lui aussi composé de chercheurs et de professeurs éminents. Source
  14. Un caïman d'1,50 m s'invite au café Ce sont des photos de la soirée du 10 juillet diffusée sur les sites Internet qui ont donné l'alerte à l'Office national de la chasse et de la faune sauvage. Au départ, elles n'étaient censées n'être qu'un coup de pub pour le bar ouvert depuis quelques mois seulement. Sur ces photos, très joyeuses et festives, on voit des clients du bar Le Pulp qui s'amusent follement. Anaconda autour du cou, mygale sur la peau et caïman dans les mains. Sauf que, léger problème : en matière d'animaux sauvages et plus spécialement d'espèces dangereuses, la loi est très stricte. Il faut toutes les autorisations nécessaires pour pouvoir détenir, et a fortiori pour présenter au public. Or, le propriétaire du caïman et de l'anaconda, lui, ne disposait pas du certificat de capacité nécessaire. Aucune autorisation de présentation au public n'a par ailleurs été demandée. Mise en danger d'autrui S'ajoute à ces deux infractions la mise en danger d'autrui. Pour tout cela, le responsable du bar et le propriétaire des animaux comparaîtront le 4 janvier prochain devant le tribunal correctionnel. Pour le bar, il ne s'agissait donc à l'origine que d'un coup de pub. Malheureux, sans doute, mais pour le coup, on va retenir le nom de l'établissement. « A aucun moment, insiste la gérante Soraya Guerguet, on ne s'est senti en danger. Les clients non plus. Ce sont eux qui ont demandé à poser sur les photos, pour se faire un souvenir. Si tout n'était pas en sécurité, on n'aurait jamais pris le risque… » Le propriétaire avait, assure-t-on du côté de l'établissement, dit que tout était en règle côté autorisations. La passion des reptiles Le propriétaire des reptiles, Kevin, parle de son côté de sa passion pour les reptiles. « J'ai eu mon premier reptile à douze ans. J'en ai vingt-six aujourd'hui. Ce caïman à lunettes, je l'ai acheté tout à fait légalement à l'époque ; il en mesurait que 20 cm ! Mais aujourd'hui, la loi a changé. » « Je ne savais pas, poursuit-il, qu'il fallait maintenant un certificat de capacité. Ce n'était même pas lucratif : j'ai montré ces animaux gratuitement. » Kevin l'assure : « J'ai pleuré au commissariat quand on m'a enlevé les animaux. » Ils sont maintenant dans un zoo dans le Loir-et-Cher. « Si j'obtiens le certificat de capacité, je pourrai les reprendre. » A son domicile, rue Charles-Gomard, on ne semble pas plus inquiet que cela en tout cas, d'apprendre que depuis des années, le voisin hébergeait un caïman et un serpent. « C'est surprenant », s'amuse un père de famille. « Mais peut-être moins dangereux qu'un chien dont on ne s'occupe pas, si on enferme bien ces reptiles… » DEPUIS 10 ANS RUE CHARLES-GOMARD Depuis une dizaine d'années, Kevin détenait donc chez lui ce caïman à lunettes, et cet anaconda, animaux originaires d'Amazonie. Mais nés en captivité et élevès dans l'Hexagone. Ils lui ont été saisis, avec une mygale. « Un caïman, c'est une première », explique-t-on à l'Office national de la chasse et de la faune sauvage (ONCFS) à Laon, où on précise : « des détentions d'animaux dangereux, cela est déjà arrivé dans l'Aisne. » En la matière, la législation s'est durcie en 2004. Il faut, pour détenir des animaux sauvages, a fortiori dangereux, un certificat de capacité. Et une autorisation pour montrer au public. Kevin risque donc pour cela jusqu'à 7 500 euros d'amende et six mois de prison. Source
  15. El Oued : Le scorpion fait sa 7e victime Le scorpion ne cesse de sévir dans la wilaya d’El Oued, et la plupart de ses victimes sont des enfants. Des sources bien informées ont indiqué qu'une fille de 15 ans a trouvé la mort, hier, suite à une piqûre de cet arthropode. Notre source a précisé que le drame a eu lieu alors que la victime effectuait des travaux ménagers au domicile familial, sis dans une localité relevant de la commune de Guemar. À noter que le décès, de cette adolescente qui a rendu l’âme trois heures après son admission à l’hôpital, est le septième cas du genre. Les services de la prévention d’El Oued ont enregistré plus de 300 cas d’envenimation scorpionique depuis le début de cette année. Des sources locales ont indiqué que les causes principales de la prolifération de ces arachnides sont dues à l’absence d’hygiène, à l’insuffisance d’éclairage public, aux amas de pierres éparpillés çà et là, ainsi que les restes de matériaux de construction qui jonchent les rues. Source
  16. Un animal de compagnie qui provoque la crainte parmi les piétons qui traversent la route Santiago- Des animaux domestiques , il y en a pour tous les goûts . La plupart préfèrent se faire accompagner par un chien , d'autres préfèrent les chats , certains aiment les oiseaux . Mais, un boa dans la maison ! L'expérience de Julio Dinza González de Santiago, qui, il y a quatre ans a trouvé un boa à Santa Maria qui s'est fait écrasé sur une autoroute. Il prit le boa et l'emporta à la maison pour le guérir et depuis, il se promène dans les rues de Santiago , ce qui provoque la crainte ou l'angoisse parmi les piétons qui traversent la route . Le quotidien cubain Cubadebate a publié les photos du couple homme - boa prises par le photographe Miguel Rubiera Source
  17. Oui moi aussi. J'ai même demandé à la demoiselle avec qui j'habite si je pouvais en ramener un à la maison!
  18. Je suis allé visiter l'aquarium de Québec la semaine dernière avec une amie. J'ai entendu plein de mauvais commentaires sur l'endroit mais je devais voir de mes propres yeux. Certains me disaient d'aller voir la section reptiles tandis que la majorité des gens me disait, euh, il n'y a pas de reptiles là bas. Finalement, oui, il y a une PETITE section reptiles. On peut compté environ une dizaine de terrarium. Ce que j'ai trouvé drôle, c'est de voir un BCI dans un terrarium équivalent à peut-être 33 gallons et un PR dans un immense terrarium équivalent presque la grandeur d'une pièce. J'avoue que le BCI était un juvénile mais la première année de croissance de cette bête est quand même incroyable. Je trouvais juste que ce placement était mal arrangé. J'ai quand même bien aimé ma visite sauf que j'avoue que ce n'est pas là que j'y retournerais quelques fois par année. Le plus gros défaut de la place a été qu'il y a plein d'animation tout le long de la visite. Ces animations doivent être activé par un bouton qu'on appuie. La majorité de ces boutons étaient brisé donc on ne pouvait pas entendre les animations. Bon, assez de bla bla et je vous montre quelques photos de la visite avec un appareil dont les piles étaient morte à l'avance Tortue peinte dont la femelle n'avait pas compris que c'est le mâle qui doit courrir après elle. Grenouilles léopard dont une avec une cataracte! Chaco golden knee tarantula Couleuvre rayée Tortue à carapace molle de Floride Un sinaloan milk snake! Désolé pour la dame sur la photo mais apparamment qu'une vitre donne un reflet maintenant. Et maintenant, les autres animaux que l'on peut voir à cet endroit. Avant qu'on pose la question, la prochaine photo est un oeuf de raie. J'ai été grandement impressionné par les méduses honnêtement. Ok ok, c'est seulement une petite bête qui illumine dans le noir mais qui peut être assez dangereux mais bon...
  19. Max|mum-leterrarium

    Eh bien...

    ai-je besoin de donner mon opinion?
  20. Un peu plus d'info, on sait maintenant les espèces. 100 reptiles vivants dans une valise Kuala Lumpur, Malaisie – Un contrebandier a été arrêté par le service de sécurité de l’aéroport de Kuala Lumpur. Sa valise contenait 100 reptiles vivants. Le personnel de l’aéroport a été prévenu lorsque la valise s’est ouverte sur le tapis roulant. Ils ont trouvé à l’intérieur de la valise une impressionnante quantité de reptiles dont 95 boas constricteurs, 2 vipères rhinoceros et une tortue matamata. Le contrebandier, Anson Wong, est déjà connu des services américains pour trafic d’animaux sauvages et avait encouru en 2001 une peine de 71 mois de prison. C’est alors qu’il était en transit entre la capitale malaisienne et Jakarta en Indonésie qu’Anson Wong a été une nouvelle fois arrêté pour le même motif. Un communiqué de presse a expliqué que Wong restera en prison 2 jours et risque au total jusqu’à 7 ans de prison et des amendes de près de 25.000 euros pour chaque animal sauvage. Le boa constrictor est notamment protégé par la Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d’extinction (CITES selon le sigle anglo-saxon). Traffic, une organisation contrôlant le commerce d’animaux sauvages a déclaré que la Malaisie devait "relever le défi" et prendre conscience que le pays est une plateforme pour les trafiquants d’animaux sauvages. "Leur tentative de se moquer du système légal malaisien doit être traité de front", a expliqué Kanitha Krishnasamy, directrice de programme chez Traffic. Source
  21. Bonjour à tous, Je vous fais ce petit message pour vous demander des idées pour les présentations d'espèces de la semaine. Si jamais vous aimeriez découvrir ou faire découvrir une espèce en particulier, juste à m'en faire part. Bonne journée
  22. Manapany : un gecko peut en cacher un autre SAINT-JOSEPH. Pour ne pas que leur emblème se lézarde, les habitants de la baie sont priés de guetter le « cousin » malgache du lézard de Manapany, deux fois et demi plus gros que lui. Depuis peu, ce prédateur représente une menace réelle pour le petit reptile endémique du Sud sauvage. Il a été aperçu pour la première fois il y a trois mois et, depuis, le nombre de ses congénères aurait quasiment doublé autour de la baie. Lui, c’est Phelsuma (madagascariensis) grandis, alias le grand gecko vert malgache, qui ressemble beaucoup à l’emblème de Manapany, le lézard vert, endémique de La Réunion. C’est Nicolas Dubos, étudiant stagiaire à l’association Nature océan Indien (NOI), qui a eu la primeur de la rencontre avec ce reptile. C’était le 8 juin dernier. « Je sortais de chez une habitante du boulevard de l’océan chez qui je faisais une étude de terrain sur le lézard vert. J’ai aperçu ce gecko sur un arbre, je n’y croyais pas. Deux jours après, j’en ai vu cinq, alors on en a conclu qu’il y avait une population à Manapany. » Déjà signalée en 2009, sa présence n’avait jusque-là jamais été vérifiée dans la baie. Il était cependant bien implanté dans d’autres secteurs (Saint-Gilles, Tampon, Saint-Denis…), depuis qu’un éleveur avait relâché en 1994 à Sainte-Suzanne quelques spécimens importés de la Grande-Île. « Comme il adore se faire dorer au soleil, il a très bien pu être amené ici dans le capot d’une voiture où il s’est réfugié lorsque le chauffeur a démarré », envisage Nicolas Dubos. Toujours est-il que selon les estimations de la NOI, une cinquantaine de geckos verts malgaches auraient élu domicile dans les végétaux de Manapany, en quelques mois seulement. « Ils s’adaptent très rapidement et se reproduisent beaucoup plus vite que le lézard endémique », confirme Nicolas Dubos. Ces derniers restent encore largement majoritaires, avec 5000 individus dans un rayon de 5 km autour de la baie. Mais, selon les scientifiques, ils pourraient à terme être supplantés par leurs envahissants « cousins malgaches ». Prédateurs et compétiteurs Ceux-ci sont effet beaucoup plus grands (30 cm contre 12) et, surtout, à la fois prédateur et compétiteur. Prédateurs, car certains clichés montrent le lézard malgache ne faire qu’une bouchée du gecko péi, qu’il soit adulte, juvénile ou dans son œuf… Compétiteurs, puisque les deux espèces occupent le même type d’habitat. Et quand les deux espèces se croisent sur une branche de vacoa ou de latanier, la bataille tourne court. Le gecko malgache réquisitionne habitat, refuge et nourriture aux dépens de son cousin. Ce que ne font pas ses autres prédateurs, chats et autres rats. Verdict unanime chez les scientifiques : le lézard vert de Manapany geckoest victime de sa « naïveté ». « Il est menacé car son évolution l’a conduit à perdre ses réflexes de fuite puisqu’il était seul. L’introduction de prédateurs a été un véritable carnage pour lui », explique-t-il en approchant sa main à portée de souffle d’un lézard vert qui flemmarde sur la façade de la salle communale de Manapany. C’est derrière ces murs que s’est tenue hier après-midi une réunion d’information à destination de la population. Et, visiblement, la cause du lézard vert mobilise. Une cinquantaine de Manapanyens ont assisté à l’exposé de cette nouvelle menace. De tous âges, mais aussi beaucoup d’enfants. Qui ont pour beaucoup incité leurs parents à se déplacer. Un lézard péi trop naïf « Nous avons fait des interventions au sujet du lézard dans l’école maternelle de Manapany et dans une école élémentaire de Saint-Joseph. Nous en avons sensibilisé une centaine. Ce sont eux qui sont le plus à même de faire passer le message aux parents », expose Marie-Claude Ollivier, présidente de l’ADPRH (1). C’est lors d’une manifestation organisée l’an dernier par son association qu’elle avait fait connaissance avec le gecko malgache. « Un parent nous avait alertés à ce sujet, je n’en avais jamais entendu parler. Suite à cela, la NOI a débuté ses recherches, qui ont prouvé sa présence. » Et la résistance s’organise déjà. En cas de signalement d’un cas, la NOI et les agents communaux du service environnement se chargent de récupérer l’envahisseur, manuellement ou à l’aide d’une canne à collet. Avant de le tuer. Selon une enquête menée par Nicolas Dubos, 89 % de la population s’est prononcée pour la préservation du lézard vert de Manapany. « Tout dépendra de la bonne volonté des personnes, estime Marie-Claude Ollivier. Les habitants n’y sont pas opposés. Maintenant, il faut le montrer dans les actes. C’est notre endémique et notre emblème ! » La poignée de sauveteurs du gecko de Manapany souhaite lui éviter le triste sort qu’ont connu à La Réunion vingt-deux espèces d’oiseaux, quatre de reptiles et autant de chauves-souris, toutes endémiques : la disparition pure et simple. Pour ne pas que leur emblème se lézarde à jamais. Julien Cinier Source
  23. Au secours d’espèces en péril Avec cette subvention du ministère canadien de l’Environnement totalisant 46 885 $ qu’il vient de recevoir, le Conseil régional de l’environnement du Centre-du-Québec (CRCQ) pourra entreprendre deux projets visant à protéger l’habitat de la tortue des bois et des espèces floristiques comme la polémoine van Brunt et le noyer cendré. Des propriétaires des MRC d’Arthabaska et de l’Érable où l’on a repéré la présence de ces espèces vulnérables, seront appelés, le CRCQ cherchant à les sensibiliser, les renseigner sur des moyens de protection. «Souvent, les propriétaires ne savent pas qu’une espèce est menacée. Et lorsqu’on le leur apprend, ils sont curieux de savoir comment s’y prendre pour la protéger», dit la biologiste Andréanne Blais. Si certains sont indifférents, d’autres sont prêts à signer une déclaration d’intention, un engagement symbolique à adapter leurs pratiques afin de protéger ce qui vit ou pousse chez eux. L’an dernier, le CRCQ avait entrepris la première phase du projet «Protection de l’habitat de la tortue des bois au Centre-du-Québec». Aux 25 propriétaires de la MRC de l’Érable sollicités l’an dernier, 15 autres seront appelés dès cet automne à assurer la protection de ce petit reptile, une espèce déclarée menacée par le gouvernement fédéral et vulnérable selon la classification québécoise. La polémoine van Brunt Si la tortue des bois est surtout concentrée dans l’Érable, aux abords des rivères Noire et Bourbon, c’est dans la MRC d’Arthabaska, particulièrement à Ham-Nord et à Saints-Martyrs, que pousse la polémoine van Brunt. «Elle pousse dans le corridor appalachien, précise Mme Blais. Il y en a en Estrie et au Centre-du-Québec.» Les trois plus fortes concentrations de polémoine se trouvent à Saints-Martyrs et à Ham-Nord. «C’est beaucoup le déboisement qui menace la polémoine», ajoute la chargée de projet. Le noyer cendré Quant au noyer cendré, une espèce menacée au fédéral et susceptible d’être ainsi désignée par le gouvernement du Québec, on en trouve un peu partout dans les cinq MRC du Centre-du-Québec, mais plus particulièrement dans l’Érable et dans Arthabaska. L’arbre pousse dans les zones périphériques aux milieux humides. Un chancre menace la survie du noyer cendré, les spores du champignon se transportant d’un arbre à l’autre. «Il faut, d’une part, éviter la propagation de la maladie et, d’autre part, on voudrait trouver un noyer résistant.» C’est la première fois que le gouvernement fédéral soutient un projet d’intendance sur les espèces floristiques en péril, dit Mme Blais. L’an dernier, le CRCQ avait mené un projet de protection du ginseng sauvage dont la récolte est formellement interdite. Il ne se trouve qu’une concentration de cette plante au Centre-du-Québec (son emplacement demeure confidentiel) et les deux propriétaires ont accepté de signer une déclaration d’intention. Pourquoi protéger? Qu’il s’agisse de ginseng sauvage, de polémoine van Brunt, de noyer cendré, de tortue des bois, les chargés de projet ont toujours à répondre à la question de l’utilité de protéger des espèces menacées. «À quoi servent-elles?» «Pas toujours directement à l’humain», répond Andréanne Blais. C’est la chaîne écologique que l’on veut protéger dans le cas des espèces floristiques. «La polémoine, par exemple, est butinée par les abeilles et on sait à quel point les abeilles sont indispensables à l’agriculture.» Dans le cas de la tortue des bois, sa présence constitue un indicateur de la qualité d’un milieu, de l’intégrité d’un cours d’eau, dit Éric Perreault, autre chargé de projet au CRCQ. Une quinzaine d’autres propriétaires de la MRC de l’Érable seront invités cette année à protéger l’habitat de la tortue des bois, «la plus terrestre des tortues», qu’on reconnaît à sa carapace striée, mais surtout à l’orangé de son cou et de ses pattes. Elle vit une trentaine d’années entre rive et rivière. Tout la menace : l’urbanisation, les activités forestières, les nombreux prédateurs. «Le respect des règlements sur le déboisement et la protection des bandes riveraines constituent déjà une mesure de protection pour la tortue des bois», précise M. Perreault. Le spécialiste en environnement note toutefois que les travaux visant à «redresser» un cours d’eau ont eu pour effet de détruire ces méandres si utiles à ralentir le débit des rivières et à procurer un refuge aux tortues des bois. Cette année, le CRCQ sollicitera la créativité des élèves de la Polyvalente La Samare pour créer l’illustration d’un panneau de sensibilisation à la protection de la tortue des bois. Source
  24. Les 10 plus dingues découvertes douanières dans un aéroport Londres (Royaume-Uni) - Si l'on doit classer par ordre d'étrangeté les dix plus dingues découvertes animalières faites par des douaniers en fouillant les bagages des passagers qui passent le contrôle aux aéroports internationaux Gatwick et Heathrow de Londres (Royaume-Uni), voici le classement : 1. Un petit boa constrictor. Un passager a essayé de passer le contrôle avec son animal de compagnie, un petit boa constrictor enroulé autour de sa jambe. 2. Lorsqu'une peau de tigre a été trouvée dans les bagages d'un passagers, les douaniers ont immédiatement pensé à de la contrebande. Après analyse, l'homme transportait une peau d'un grand chien domestique peinte comme une peau de tigre. Personne n'a jamais su pourquoi. 3. Un passager transportait 40 œufs de plusieurs espèces très rares et très protégées de perroquet, dont le très fameux Ara de Coulon. Il les avait caché dans une veste spécialement conçue pour cet usage. Mis en couveuse, les petits perroquets sont nés et ont été donnés à des zoos. L'homme, quant à lui, a été donné à la justice. 4. Vingt-six oiseaux de proie, en provenance de Thaïlande, avaient été cachés dans des tubes de plastique afin de les dissimuler aux douaniers. 5. Dans un colis en provenance de Tanzanie, les douaniers ont découverts deux serpents hautement venimeux et mortels. Une vipère heurtante (Bitis arietans) et une vipère du Gabon (Bitis gabonica). 6. Un chien renifle un colis suspect porté par un homme arrivant de Shanghaï (Chine). Le passager transportait 42 petits hippocampes séchés couramment utilisés dans la médecine traditionnelle asiatique. 7. L'homme transportait 1.000 araignées dans sa valise. Oui ! Mille, soit huit mille pattes en tout. Elles étaient rangées, vivantes, dans des petites boites. Il y avait plusieurs espèces très venimeuses et particulièrement dangereuses. 8. Un couple de britannique de retour de Corfou (Grèce) avait décidé de ramener des tortues sauvages de leurs vacances sur l'ile. Comme elles ne cessaient pas de bouger, ils les avaient scotchées ensemble. 9. Trois très rares lézards-alligator boréal (Elgaria coerulea) retrouvés dans une cassette vidéo vidée de son contenu pour héberger les trois reptiles. 10. Le plus étrange. Des pigeons éviscérés dans un colis expédié à des cuisines de restaurant londonien. Et une vieille paire de bottes dans le colis. Personne n'a compris pour les pigeons.. ni pour les bottes. Source
  25. Tortue Carey pour la première fois à Drake Bay Un événement historique à Corcovado, Le 29 août, les premières tortues Carey ont été trouvées par les gardes du parc sur la plage de Ganado, légèrement au nord de Drake. Sur cette même zone, les gardes avaient trouvé en 2006, les premières tortues de Ridley puis en 2009 la Tortuga Negra que l’on rencontre principalement aux Galapagos. Saluons les efforts des gardes qui patrouillent sans cesse sur cette partie du Costa Rica, la plus riche en faune et en flore. C’est la fondation Corcovado dont Costa Rica Découverte SA est membre qui nous a prévenu de cet évènement.La tortue Carey, on l’appelle aussi Imbriquée car ses écailles épaisses sont posées comme des tuiles sur un toit. C’est d’ailleurs pour la qualité de ses écailles qu’elle a été longtemps pêchée et est aujourd’hui une espèce menacée d’extinction. Elle mesure rarement plus d’1m pour un poids moyen de 65 kg, et est reconnaissable, outre ses écailles, par un bec long et crochu, sa carapace d’un brun orangé, le plastron jaune, les nageoires brunes sur le dessus et jaunes dessous. La tortue imbriquée est considérée comme une grande nageuse et, à l’aide de ses pattes transformées en rame, peut atteindre des pointes à 25 km/h. C’est le seul reptile spongivore connu, dont l’alimentation à base d’éponge constitue près de 90% de son régime alimentaire, le reste étant composé de crustacés, algues et méduses. Ses poumons et son sang lui permettent de s’oxygéner suffisamment pour faire des plongées profondes et on a pu l’observer en train de dormir sous l’eau pendant plusieurs heures. Il faut quelquefois attendre vingt ans pour qu’elle atteigne une maturité sexuelle et se reproduise. Les difficultés d’observation ne permettent pas de connaître son espérance de vie, certains parlent d’une cinquantaine d’années. Les femelles imbriquées ne se reproduisent que tous les deux ou trois ans mais plusieurs fois dans la même année. Cas très rare, la femelle stocke des spermatozoïdes et donc peut se reproduire pendant des années sans contact avec un mâle. Les nouveaux-nés ont une chance minime d’arriver à l’âge adulte, une étude a démontré que moins d’un sur mille y parvient. C’est principalement sur la côte Caraïbe que l’on peut les observer et notamment à Tortuguero ou Cahuita entre avril et novembre et maintenant côté Pacifique dans la péninsule d’Osa. Source
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