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Max|mum-leterrarium

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Tout ce qui a été posté par Max|mum-leterrarium

  1. Sur la bourse aux reptiles, la tortue va sortir de sa carapace Les reptiles ont la cote dans la hiérarchie des animaux de compagnie. Parmi eux, les tortues. Quatre pattes et une carapace qui séduisent des amateurs de 7 à 77 ans. Ce dimanche, sous la Rotonde, elles seront parmi les vedettes de la 11e bourse organisée par le Cercle aquariophile et terrariophile Flandre-Artois. Rencontre avec des pros de la bête. PAR ISABELLE MASTIN OAS_AD('Position1'); bethune@info-artois.fr Nicolas Delattre était à peine plus haut que deux ou trois carapaces quand il a sympathisé avec ses premières tortues. Normal : « Mon grand-père était fleuriste mais il vendait aussi des tortues de jardin. » Une autre époque qui se moquait encore de la convention de Washington rédigée dans les années 70. La preuve, « il les achetait au kilo ! » Son petit-fils a grandi entouré de ces reptiles familiers mais quand, récemment, il a décidé d'en faire son métier, il savait que la partie ne serait plus si facile. Avec Stéphane Pruvot, il tient le Terrario-Center, à Lens, et ce qui leur tombe dessus au kilo, ce sont plutôt les règlementations. Ce dont quelque part ils se réjouissent : ça encadre le métier. « En France, c'est très surveillé. » Pas assez encore, soupirent-ils : beaucoup d'animaux « sont ramenés du bled dans les valises et quand c'est par 200 ou 300, c'est pour les vendre sur les braderies ou les marchés. » Stéphane a déjà lu sur internet une petite annonce disant : « Vends tortues du Maroc sans papiers ». Ça ne les empêche pas d'avoir une clientèle qui se déplace parfois d'Ile-de-France. « De 7 à 77 ans, il n'y a pas de profil ! Des nostalgiques de l'enfance ou des petits nouveaux. » Seule exigence : « On ne vend pas aux mineurs non accompagnés. » Un petit bonhomme qui cherchait une souris sans doute pour jouer un tour pendable en a été pour ses frais. Dans leur magasin, on trouve aussi des serpents et des lézards mais leur spécialité, ça reste la tortue terrestre, déclinée en une dizaine d'espèces. « Méditerranéenne ou exotique. » La première, qui n'excède guère les 25 cm, se laisse aussi appeler « tortue de jardin ». La seconde, plus frileuse mais plus grande (jusque 70 cm), ne supporte le plein air qu'en été et se complaît le reste du temps dans un terrarium, bien à l'abri des courants d'air. Leur prix varie « de 70 E à plusieurs milliers » et ce qui est offert, c'est le conseil. « Une fiche technique à chaque fois. » Passionnés, Nicolas et Stéphane ont leurs propres tortues à domicile mais là, au moment d'en parler, ils se replieraient presque dans leurs carapaces. Non, ce n'est pas parce qu'ils ne sont pas en règle. Nicolas pourrait montrer sans problème son certificat de capacité. Mais il y a autre chose : « Des tortues, c'est vite volé... Plus facilement que des serpents. » Alors ils ne diront pas non plus où se cache leur cheptel de tortues nées en captivité - les prélèvements dans la nature sont interdits à quelques exceptions près. La bourse aux reptiles de Béthune, ils la connaissent depuis le début. « Je venais plutôt en visiteur », se souvient Nicolas. Ce dimanche, c'est en exposant qu'il y assistera. Quinze mètres de stand. Un peu moins qu'il ne l'avait espéré dans une salle Olof-Palme archi-comble, mais on sent qu'il va s'y plaire. « C'est une bourse familiale : comme l'entrée n'est pas chère, ça permet aussi aux "novices" de venir et parfois, ils se laissent tenter. Dans les autres bourses, les débutants manquent. Ici, on travaille bien et on aime se retrouver entre exposants. » • Source
  2. C'EST UN SPECTACLE culturel et éducatif qui a attiré beaucoup de monde, dimanche dernier, lors de la fête. Le Reptile show avait été invité par le comité des fêtes. En fin de soirée, Ulchi Kallus et Dieter Zorn présentaient et manipulaient différents reptiles vivants et expliquaient leur mode de vie et leur physiologie. De nombreux jeunes, des enfants et leurs parents n'ont pas hésité à se rapprocher des animaux. Le public fut très attentif à cette représentation qui avait pour but de vaincre les peurs que les serpents inspirent et connaître les dangers réels qu'ils représentent. C'est ensuite au faubourg de Truyère que le rendez-vous « paella » rassemblait encore beaucoup de monde, avant le brillant feu d'artifice tiré du pont de Truyère. Une nouvelle édition réussie, grâce au dévouement des membres du comité des fêtes et au soutien de la municipalité. Source
  3. Bonjour tout le monde, En ce jour, du 29 août 2010, nous fêtons le cinquième anniversaire de ce site, http://leterrarium.com . Depuis le début, nous sommes en constantes évolutions pour offrir un meilleur site pour nos membres. Quand je parle de membres, je parle également de tous les visiteurs qui passent seulement lire dans le but d'acquérir des connaissances. Avec le temps, nous nous sommes consacrés beaucoup plus sur le plan informatif que le plan dialogue comme bien d'autres forums. Je crois que c'est ce qui nous distingue de la majorité des autres endroits. C'est le pourquoi que je voudrais vous remercier tous. C'est vous tous qui avez fait la différence pour que ce forum soit encore viable après ces cinq longues années. Chaque personne, celui qui écrit chaque jour, celui qui se connecte chaque jour sans n'avoir jamais écrit, celui qui écrit que de temps en temps, la personne qui s'est inscrit mais qui n'est jamais revenu, la personne qui ne s'est jamais inscrit mais qui passe de temps en temps lire sur le forum, la personne qui est passé qu'une seule fois en étant tombé sur le site par hasard en cherchant de l'information via google, etc... C'est vraiment chaque personne qui a connu leterrarium.com qui a fait de ce forum ce qu'il est devenu. Un grand merci à vous tous!!!
  4. En Europe aussi il y a des crotales! Pas besoin d'aller à l'autre bout du monde pour croiser des serpents dangereux. En tout, près de trente espèces toxiques peuplent l'Europe, des steppes russes au pourtour méditerranéen. Pour la première fois en Suisse, le Vivarium de Lausanne en présente une quinzaine. Gros plan sur quelques-uns de ces animaux à sang froid avec le responsable de l'exposition Ces serpents ont beau vivre en Europe, dans leurs crochets coule du venin. «On estime entre 500 et 700 le nombre de serpents venimeux à travers le monde, dont près d'une trentaine sur le Vieux-Continent, presque exclusivement des vipères, explique Julien Regamey, responsable de l'exposition «Les serpents venimeux d'Europe», présentée, en première Suisse, au Vivarium de Lausanne. Chez nous, on peut en croiser deux: la vipère aspic, qui apprécie les milieux secs, comme les vignobles, et la vipère péliade, qui aime les endroits où il y a un grand écart de température entre le jour et la nuit, à l'image des Alpes ou de la vallée de Joux.» Ce venin, qui ne se régénère totalement que quelques jours après la dernière morsure, leur permet d'immobiliser leurs proies (des petits mammifères, voire des lapins selon la taille du serpent), mais aussi de liquéfier les organes internes et les tissus pour mieux les digérer. Il représente accessoirement un moyen de défense contre l'homme, même si l'on sait qu'en termes de toxicité, le venin d'un mamba, serpent très répandu en Afrique, ou d'un cobra est plus puissant que celui d'une vipère européenne. Les conséquences dépendent surtout de la quantité injectée et de la réaction propre à chaque individu, mais presque toutes les morsures de serpents venimeux sont potentiellement mortelles, et peuvent provoquer des nécroses conduisant à l'amputation. Il ne faut donc jamais les négliger. Quant à la douleur ressentie lors de la morsure, elle équivaut à celle que l'on ressent quand on se coince violemment les doigts dans une porte! Rencontre avec trois des quinze espèces présentées au Vivarium de Lausanne... Le crotale européen Saviez-vous que l'on trouve aussi des crotales en Europe? Il faut se rendre dans les steppes russes pour découvrir l'Agkistrodon glodius halys, un serpent nocturne d'une soixantaine de centimètres. Cette espèce repère ses proies grâce à deux fossettes thermosensibles situées sous ses narines, en obtient une image thermique, au millième de degré près, qui lui permet de les identifier et de les attaquer par la partie antérieure, plus vulnérable. Le couple que présente le Vivarium de Lausanne est de couleur brune, mouchetée de gris, mais la gamme de couleurs est très large. L'animal étant très rare en captivité, seul le parc du Dählhölzli, à Berne, présente d'autres individus de cette espèce. La vipère ammodyte ou vipère cornue Cette vipère trapue, longue de 60 à 80 centimètres en moyenne, possède le venin le plus puissant d'Europe si on le rapporte à sa taille. La vipère ammodyte (Vipera ammodytes) arbore une bande foncée en zigzag ou ondulée sur le dos, mais sa particularité réside dans une petite corne de 5 millimètres située à l'extrémité de son museau (particularité qu'elle ne partage qu'avec la vipère de Lataste que l'on trouve sur la péninsule Ibérique), bien utile pour l'identifier sous nos latitudes. Une chance, car il est difficile de se fier à sa couleur, qui varie beaucoup d'un individu à l'autre, et peut aller du gris à des teintes sable ou rougeâtres. Commune en Europe, on la rencontre - la nuit pendant les mois chauds et la journée pendant les mois froids - avant tout dans les pays balkaniques. Hormis ce nez pointu, le spécimen exposé à Lausanne ressemble beaucoup à notre vipère aspic. La couleuvre de Montpellier Qui a dit que les couleuvres ne sont pas venimeuses? La couleuvre de Montpellier (Malpolon monspessulanus), serpent diurne généralement brun grisâtre ou verdâtre dont la taille peut dépasser les 2 mètres, nous prouve le contraire... «En Suisse, les couleuvres - que l'on reconnaît à leurs pupilles rondes et aux neuf écailles qu'elles ont sur la tête - ne représentent aucun danger. Mais à l'étranger, cette règle n'est plus vraie», explique Julien Regamey. La couleuvre de Montpellier, que l'on rencontre sur tout le pourtour méditerranéen, n'est cependant que peu dangereuse. Comme ses petits crochets sont placés à l'arrière de sa mâchoire, elle n'est pas en mesure de nous injecter des doses mortelles de venin. C'est aussi pour cette raison qu'elle achève ses proies en les écrasant contre une branche tombée à terre ou un rocher. Voir cette espèce au Vivarium de Lausanne est une occasion unique, car elle est si véloce qu'on ne la croise pas facilement dans la nature. Source
  5. Les scientifiques de Kélonia au chevet des tortues La découverte du massacre de la tortue verte Minus, la plus observée dans l’île a indigné la communauté scientifique et l’ensemble des défenseurs de l’environnement. Au centre de recherches Kélonia, l’équipe axe sur la sensibilisation et tente de réparer les dégâts dans la mesure du possible. La tête tranchée et la carapace vidée de sa chair : Minus qui était pourtant devenue la mascotte des baigneurs de la côte Ouest n’a pas été épargnée par le braconnage. Comme elle, une dizaine d’autres tortues ont été victimes de la malveillance des hommes récemment, à l’image de Gwendoline, touchée par une arbalette et qui se remet doucement de ses blessures dans l’un des bassins de soin de Kélonia. L’équipe des scientifiques qui observent toute l’année durant les déplacement des tortues,et procèdent à leur recensement par le biais de la photo identification, fournit en parallèle de ces deux missions un travail de taille pour soigner et sauver les tortues victimes de braconnage. A "l’infirmerie" de Kélonia, les scientifiques accueillent des animaux ayant subi les assauts de l’homme mais aussi des tortues blessées par des requins et d’autres espèces gagnées par la maladie. Sur les 7 espèces de tortues marines, 5 fréquentent les eaux de l’Océan Indien. Depuis 1996, le nombre d’individus observés dans les eaux réunionnaises à triplé. Cette progression indique que la Réunion est un habitat pour les tortue marines et qu’en ce sens, tous les efforts doivent être mobilisés pour que ces espèces protégées et peu nombreuses puissent évoluer et se reproduire. Source
  6. Avec le CPIE, découvrez la tortue de Floride Cette tortue, connue sous le nom de « tortue de Floride », vit normalement dans les marécages du Mississippi. Elle est essentiellement aquatique, en eau douce et s'aventure rarement à terre. Mais dès qu'il fait chaud elle aime prendre le soleil en surface ou perchée sur un rocher. Elle se reconnaît facilement à la rayure rouge ou jaune qu'elle a sur les tempes. Son ventre est jaune avec des taches noires et sa carapace vert-brun. De la taille d'une pièce de monnaie quand elle est jeune, cette tortue peut atteindre 25 cm à l'âge adulte pour un poids de 1 à 2 kg. Dans son milieu naturel en Amérique du Nord, elle peut faire jusqu'à 40 cm de long et 8 kg. Elle peut vivre jusqu'à 50 ans. Depuis les années 1970, des tortues de Floride sont vendues dans les animaleries d'Europe. Des particuliers ont cru bien faire en relâchant dans la nature leurs tortues devenues trop grandes pour leurs aquariums. Mais elles y sont très dangereuses pour les animaux locaux. Carnivore, elle est très vorace, et consomme des alevins, des larves de batraciens, divers insectes. Plus grosse, elle s'attaque aux poissons et aux amphibiens. Des centres d'accueil pour tortues ont été créés pour récupérer des animaux retrouvés dans la nature, ou pour accueillir ceux des gens qui voulaient offrir un meilleur environnement à leur animal. Il est conseillé de ne plus en acheter. • Source
  7. Une tortue luth retrouvée dans les filets d'un pêcheur de Marseille Une tortue luth, la plus grosse tortue marine au monde, a été retrouvée morte vendredi matin dans les filets d'un pêcheur de Marseille, a-t-on appris samedi auprès d'un responsable du Centre d'études et de sauvegarde des tortues marines de Méditerranée (CESTMed). La tortue, qui mesure 1,65 mètre et pèse 300 kg environ, a été transportée au muséum d'histoire naturelle d'Aix-en-Provence (Bouches-du-Rhône), où elle a été placée en chambre froide, a précisé à l'AFP Jean-Baptiste Senegas, du CESTMed. Une autopsie de la tortue, dont la corpulence ne correspond pas à celle d'un spécimen adulte, sera réalisée la semaine prochaine. Elle permettra de comprendre comment elle est morte, si elle s'est noyée ou si elle a été heurtée par un bateau. Les tortues luth, qui ne possèdent pas d'écailles mais un dos dit cuirassé, peuvent vivre une cinquantaine d'années, mesurer jusqu'à 2 mètres et atteindre 500 kg, voire 800 kg, selon M. Senegas. "C'est très, très rare de croiser ce type de tortues en Méditerranée, où elles n'effectuent que des passages pour trouver de la nourriture", a souligné M. Senegas. Elles figurent sur la liste de l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN) des espèces en voie de disparition. Source
  8. Oui mais les températures, humidité, sur quel substrat tu la maintiens, qu'est-ce qu'elle mange et à quelle fréquence,etc...
  9. Quels sont les paramètres de son terrarium? Celà me laisse croire à une constipation sévère!
  10. Ce que femme veut, dieu le veut comme on dit. Je suis obligé de me défaire de mes mygales finalement. Celle ci part aujourd'hui donc j'ai voulu prendre des photos souvenirs juste avant son départ. Je vais en faire don à un zoo en espérant qu'ils la prennent sinon je la ramène ce soir.
  11. L'invasion des pythons dans les Everglades Quelque part dans les Everglades, en Floride, d'étranges reptiles s'y sont réfugiés et leur rencontre peut parfois causer un carnage... Prochaines diffusions de cet épisode Lundi 30 août à 7h00
  12. Une tortue imbriquée prise dans un filet de pêche Jeudi matin, au cours d'une sortie sur le lagon pour surveiller les approches d'observation des baleines par les professionnels et les particuliers, les agents de la Brigade nature, accompagné d'un gendarme "Free"(Formateur relais enquêteur environnement) de M'tsamboro, sont tombés sur une tortue imbriquée prise dans un filet de pêche, au milieu des îlots des Quatre Frères, devant Mamoudzou. Lors du contrôle du filet, il s'est avéré qu'il faisait 400 mètres de longueurs, contre 300 mètres autorisés, et qu'il n'avait pas été déclaré aux Affaires maritimes. Le pêcheur risque jusqu'à 1.000€ d'amende, ou un avertissement ou une composition pénale si c'est seulement sa première infraction. La tortue, mal en point, a pu être libérée des mailles et relâchée dans le lagon. Source
  13. Nom scientifique : Salamandra salamandra Nom français : Salamandre de feu Nom anglais : Fire salamander Origine : Europe Biotope : Humide Température : 18 à 24°C Hygrométrie : 70 à 80% Moeurs : Terrestre à tendance fouisseuse, nocturne Taille adulte : 20 à 30 cm Longévité : 10 à 20 ans Nourriture : Insectes Le nom de salamandre de feu vient de la légende où la salamandre sortait des feu. L'explication logique de cette histoire est tout simplement que les campeurs voyait cette salamandre sortir des feus après avoir mit une bûche dans le feu. Comme on retrouve souvent des salamandres dans des bûches pourrites, il y a de fortes chances qu'ensuite, elles cherchaient simplement la survie en s'enfuyant de l'enfer où on l'avait jeté.
  14. Le "Reptiles show" Ludique et pédagogique, mais aussi et surtout surprenant ! « Reptiles show » a captivé le public présent mercredi soir à la salle des fêtes de villefranche de Panat. Par méconnaissance, de très nombreuses personnes avouent leur crainte parfois même leur terreur de ces animaux. C'est pour lutter contre ces préjugés et les rumeurs que Dieter et Uschi ont monté le « Reptiles show » ; depuis 25 ans, ils sillonnent l'Europe pour faire découvrir leurs animaux sous un autre jour. Présentation, explications (mode de vie, morphologie, alimentation...) et manipulations se succèdent avant d'inviter le public volontaire à la démonstration. Quelques enfants ont ainsi porté des couleuvres, alors que les adultes les plus courageux « sympathisaient » avec le boa ou le python. Le scorpion, la mygale et le caïman faisaient également partie de la liste des invités. En fin de spectacle, loin d'être apprivoisés, les héros de la soirée étaient devenus un peu plus sympathiques, ou plutôt un peu moins terrifiants, aux yeux des spectateurs. Source
  15. Naissance d'une tortue siamoise On imagine la surprise de cette Cavaillonnaise fan de tortues lorsqu'elle a vu sortir celle-ci de son oeuf. Cette dame, qui en possède plus d'une douzaine et a même installé chez elle une mini-couveuse, n'en est pas revenue. Cette mini tortue siamoise (ou doit-on dire "ces tortues") est âgée d'à peine une semaine et se nourrit comme ses soeurs issues de la même couvée, avec de la salade. La propriétaire n'a pas remarqué si la petite bête mangeait pour deux. Elle l'a bien entendu montrée à son vétérinaire qui lui a expliqué que ce phénomène était très rare. En revanche, il n'était pas en mesure de lui dire si l'animal pourrait vivre encore longtemps. Source
  16. Pallier au manque d'informations sur les tortues Spécialiste en tortue, Aline sensibilisera les visiteurs à la législation, au trafic de tortues et expliquera les démarches pour acquérir légalement une bête à carapace. Il parait que sur son faire-part de naissance figuraient des tortues. Est-ce cela qui lui a donné la passion des bêtes à carapaces ? Allez savoir. Cette passion, Aline, résidant dans le Béthunois, la fera partager aux visiteurs de la bourse aux reptiles organisée ce dimanche 29 août à la salle Olof Palme. Membre du cercle aquariophile et terrariophile Flandres Artois depuis deux ans, Aline occupera un stand à la bourse : « Mon but est d'informer les visiteurs sur la législation en vigueur concernant les tortues ». Un point essentiel, qui permettra d'éviter des dérives, estime la jeune femme : « les gens pensent que les tortues terrestres sont interdites en France, et ils les ramènent donc du Maghreb. Mais ces tortues ne s'acclimatent pas chez nous et la plupart meurent peu de temps après », explique Aline, capacitaire en matière de tortues. Ses connaissances sont reconnues, et sur un blog qu'elle a créé, elle forme les personnes en manque d'information sur les tortues. Comme sur ces trafics depuis le Maghreb, pour lesquels les Français encourent de lourdes peines. « Sur place, les gens récupèrent des espèces pesant trente grammes. Sauf qu'à la fin, ces tortues peuvent peser jusqu'à cent kilos ! Elles creusent des trous énormes dans les jardins... C'est une vraie catastrophe, alors qu'en France, Monsieur tout le monde peut acheter légalement des tortues terrestres, les Sulcata ». Méconnaissance La maintenance des tortues. voilà un autre sujet « totalement méconnu » sur lequel va insister Aline : « Les propriétaires de tortues ne savent pas qu'il ne faut pas les maintenir en terrarium ». Autre idée préconçue : la nourriture à donner aux tortues : « non, elles ne mangent pas de salades et de tomates ! » Sensibiliser, Aline « aime ça. À Béthune, en plus, il y a un public hyper intéressant, et plus motivé qu'ailleurs. Pendant la bourse, on arrête pas de la journée... Beaucoup de gens viennent nous voir sur notre stand, car les tortues, ça intéresse... » Sur place, le 29 août, la Béthunoise emmènera « des bébés de l'année, ainsi que des bébés par année de naissances. Je prendrais des tortues nées entre 2003 et 2010, pour que le public voit l'évolution normale d'une tortue. Ils pourront alors comparer avec les leurs... et verront si il y a un soucis ! » T. M. http://tortues-actions.naturalforum.net/ Source
  17. Villers-Cotterêts / Un village un peu particulier Audrey, au milieu des tortues Une jeune fille de Villers-Cotterêts, Audrey Watelet, a vécu pendant le mois d'août sa passion pour les tortues, ce qui lui a valu une apparition au JT de 20 heures sur TF1, dimanche soir, pour la plus grande fierté de sa famille et de ses amis, elle y expliquait notamment comment « réparer » une tortue blessée. Entièrement bénévole, elle a vécu dans « le village des tortues » à Gonfaron, un site de deux hectares en milieu naturel en plein maquis provençal. Créé en mai 1988 par l'association Soptom (Station d'observation pour la protection des tortues et de leurs milieux), il a pour but de conserver la dernière tortue terrestre française : la tortue d'Hermann. besoin de bénévols Le village a été amené à s'intéresser à la conservation d'autres espèces (tortue de madagascar, tortue sulcata). Pour fonctionner, le village a continuellement besoin de bénévoles. Audrey, est enchantée d'en avoir fait partie. De ses « vacances » elle n'a qu'un regret, c'est de les voir se terminer. Jointe par téléphone, elle témoigne : « Ce séjour me permet de décompresser de mon année en master 1 droit de l'environnement, tout en me permettant de répondre à ma passion des animaux. J'en apprends beaucoup sur les tortues, sur la vie d'une association… Je rencontre d'autres bénévoles avec qui je partage de très bons moments. Durant mon séjour je suis à la fois soigneuse, caissière, bricoleuse, guide, cuisinière… Cette expérience est très enrichissante pour moi et permet à une association de continuer ses actions de protection. ». Source
  18. Protéger les tortues marines au Congo Le Parc Marin des Mangroves est un Parc naturel situé à l’embouchure du fleuve Congo sur l’Océan Atlantique, en République Démocratique du Congo. La faune qu'il abrite est très variée. On y trouve des lamantins, des varans du Nil ou des rats des roseaux. La côte est le refuge de nombreux oiseaux comme le vanneau, la civette ou la sterne. La région est principalement peuplée de communautés de pêcheurs et d'agriculteurs. Dans leurs filets, les pêcheurs retrouvent souvent des tortues marines qui s'y sont emmêlées par mégarde. Même s'ils en relâchent quelques unes, d'autres sont vendues comme ornement ou pour être mangées. Les nids sont régulièrement pillés car les œufs de tortues sont très prisés dans la région. On savait peu de choses sur les tortues riveraines du parc. C'est pourquoi, en septembre 2006, le WWF et ses partenaires locaux ont récolté des données afin de mieux cerner et combattre les menaces qui pèsent ces reptiles menacés. Pendant 5 mois, des volontaires ont surveillé les plages et les marchés. Ils ont recensé le nombre de tortues qui venaient pondre et qui étaient vendues. Nous avons pu voir que trois espèces de tortues marines: la tortue verte, la tortue luth et la tortue olivâtre, viennent pondre sur les plages du Parc. Les écogardes chargés de la surveillance des plages ont eu la surprise de découvrir la présence d'une quatrième espèce. Nzinga Makutu, chef d'équipe des écogardes raconte: "Un matin, notre équipe de surveillance a surpris un groupe de pêcheurs en train de manipuler une 'étrange' tortue. Il s'agissait en fait d'une tortue imbriquée, une espèce que nous n'avions pas encore rencontrée. Nous l'avons baguée et relâchée dans l'océan." Maintenant que nous en savons plus sur les tortues qui vivent dans la région, nous sommes plus à même de les protéger. Le WWF continue son action. Nous développons actuellement un projet d'écotourisme dans la région. C’est dans ce cadre, que l’équipe de terrain du WWF a récemment découvert une tortue marine sur l'étal d'un marché. Elle a immédiatement contacté l'ICCN (Institut congolais pour la conservation de la nature) qui est intervenu pour libérer la tortue et la relâcher après l'avoir baguée. Source
  19. Une mini-grenouille découverte à Bornéo Une nouvelle espèce de grenouille minuscule a été découverte sur l'île de Bornéo. C'est un des plus petits amphibiens du monde (près de 10 millimètres) et une grande découverte pour les scientifiques qui pourront en apprendre plus sur l'impact des changements climatiques sur ces animaux. Aussi grosse qu'un petit pois, elle s'appelle Microhyla nepenthicola, vit sur la montagne de Gunung Serapi à Bornéo et elle est officiellement le plus petit amphibien du "vieux monde" (Asie, Afrique et Europe). La minuscule grenouille a été découverte lors d'une expédition fin juillet par l'Allemand Alexander Haas et le Malaysien Indraneil Das. Ce dernier mène aussi une des équipes scientifiques qui recherchent des amphibiens présumés disparus, dans le cadre d'une campagne mondiale dont Durable.com s'est fait l'écho. Une nouvelle espèce pour des grenouilles déjà connues Les toutes petites Microhyla nepenthicola n'avaient jamais été identifiées comme une espèce à part entière, bien qu'elles soient connues depuis longtemps. C'est leur petite taille qui a trompé les chercheurs. " J'ai vu quelques spécimens dans des collections de musée qui ont plus de 100 ans ", explique le professeur Das. "Les scientifiques ont vraisemblablement pensé qu'il s'agissait des jeunes d'autres espèces, mais ce sont bien les adultes de cette micro-espèce nouvellement découverte". Pour les scientifiques, le défi a été d'attraper ces grenouilles dont les mâles adultes mesurent entre 10,6 et 12,8 mm. Ils ont d'abord enregistré leur chant, puis s'en sont servi pour attirer les amphibiens sur des pièces de tissus blancs, afin de les repérer. Vous pouvez entendre ici leur symphonie, qui a lieu pendant les premières heures de la nuit. Elles dépendent pour vivre d'une plante creuse nommée Nepenthes ampullaria, au cœur de laquelle les têtards grandissent. La jungle de Bornéo qui les abrite est connue pour receler des trésors de biodiversité : depuis trois ans, ce ne sont pas moins de 123 nouvelles espèces qui ont été découvertes sur cette île que se partagent la Malaisie, l'Indonésie et le sultanat de Brunei (chiffres de WWF parus en avril 2010). « Un phénomène biologique fascinant » Les Microhyla nepenthicola sont les plus petits des amphibiens présents en Europe en Asie et en Afrique, et comptent parmi les plus petits du monde. Leur toute petite taille est " un phénomène biologique fascinant et offre de nouvelles opportunités substantielles pour étudier le développement et les différents stades de croissance de ses animaux, la biologie de terrain et d'autres aspects ", prévoit la revue scientifique Zootaxa qui a révélé la découverte. " Les amphibiens sont très sensibles aux changements dans leur environnement, nous espérons donc que la découverte de ces grenouilles miniatures nous aidera à comprendre quels changements de l'environnement mondial ont un impact sur ces animaux fascinants " a également estimé le professeur Robin Moore de l'organisme Conservation International, qui a organisé l'expédition scientifique. Photo : Avec moins de 15 millimètres, la Microhyla nepenthicola intéresse beaucoup biologistes et environnementalistes. Prof. Indraneil Das/Institute of Biodiversity and Environmental Conservation, avec l'autorisation de Conservation International. Source
  20. Frameries: un serpent de 70 cm chez lui Le service environnement de la Police Boraine a été appelé par un Framerisois qui venait de découvrir un serpent d’environ 70 cm au sein de sa maison. Celui-ci se semblait ramper vers les canaris, le Framerisois a eu peur pour ses volatiles. Mais heureusement... A coups de raclette, il est parvenu à mettre le serpent dehors avant de contacter la Police Boraine. Sur place, les 2 policiers ont pu constater que le serpent se trouvait toujours dans la cour de l’habitation (entièrement fermée). Il s’agissait d’un Elaphe G. Guttata d’environ 65-70 cm. Le serpent était agressif et, dès les premières tentatives pour l’attraper, s’est directement mis en position d’attaque... Avec calme et patience les policiers ont eu le dessus et sont parvenus à le capturer pour le placer dans une boîte avant d’aller le déposer Pairi Daiza où il sera mis en quarantaine avant de rejoindre les autres serpents du site. Source
  21. Un passager clandestin mexicain caché chez Ford obtient l'asile à Detroit Ford vient de diffuser un communiqué annonçant un fait insolite que personne n'avait prévu quand l'Accord de libre échange a été signé, entre le Canada, le Mexique et les États-Unis. Le constructeur automobile rapporte qu'un lézard mexicain d'une espèce rare a été capturé après qu'un ingénieur de Ford l'eut aperçu, le 29 juillet, se faufilant le long d'un quai de chargement à l'usine de transmissions Van Dyke, à Sterling Heights, au Michigan. Ford explique que l'animal, un iguane du Yucatan à queue épineuse, s'était probablement introduit dans un chargement de pièces en provenance du Mexique et qu'il s'est rendu au Michigan comme «passager clandestin» accidentel. La direction de l'usine a appelé la fourrière locale, qui a attrapé le lézard long de 30 cm. L'iguane, un mâle adulte, est désormais pensionnaire du Zoo de Detroit, où on est bien content de cet immigrant sans papiers, puisque l'iguanidé Ctenosaura defensor ne vit que dans une zone de 3100 km carrés dans la péninsule du Yucatan, au Mexique. Sans-papiers mexicains aux USA : les iguanes peuvent rester Dans son communiqué, Ford explique que cette espèce d'iguane a une queue épineuse qu'il utilise parfois pour se défendre, d'où son nom latin defensor. Le constructeur automobile de Dearborn, au Michigan, ajoute que le corps du reptile rare est multicolore, ayant «un thorax noir tacheté de blanc, une queue grise bleutée et des reins rouges». La compagnie n'a pas voulu dire à La Presse si elle envisage d'offrir cet arrangement de couleurs dans la palette de couleurs des véhicules Ford. Source
  22. Les serpents de Fabien Champey Certains préfèrent les poissons rouges ou les lapins nains, d'autres aiment chiens ou chats. Fabien Champey est, pour sa part, tombé sous le charme des serpents. Pas banal. Découverte de l'univers des terrariums... Il faut l'avouer, les serpents n'ont pas bonne image ! Ils rebutent plus qu'ils n'attirent ! L'animal fait peur comme la grande famille des reptiles en général. Peur de la morsure toujours. Et pourtant certains, comme Fabien Champey en ont fait leur passion. Chez lui dans son petit appartement de la rue du Calvaire à Berck, ce fonctionnaire possède pas moins de quatre terrariums (un peu comme des aquariums mais sans eau...). Là, Elaphes, boas et autres pythons se chauffent sous la lampe ou se mettent au frais selon leurs besoins. Avec quelques précautions, Fabien Champey les manipule et les sort de leur "résidence" pour la distribution de nourriture. » Je les nourris une fois par semaine sauf les jeunes qui ont droit à quatre rations hebdomadaires » précise ce passionné. Tout a commencé alors qu'il n'avait que seize ans. Du côté d'Arras, un ami possédait une animalerie. Très vite, Fabien s'est intéressé aux reptiles notamment aux lézards avant de mieux appréhender les serpents. Aux côtés de son ami, il a appris les bons gestes, les espèces, les techniques d'élevage, etc. Et voilà près de dix ans que ça dure. « Il faut toujours être vigilant car le serpent dès qu'il voit une main pense que c'est une proie. Je fais surtout très attention quand je suis entrain de les nourrir car je porte sur moi l'odeur des souris ou des rats. » nous a expliqués Fabien Champey. « Mais une fois le serpent pris en main, il devient inoffensif ! » s'empresse-t-il d'ajouter. Comme tout passionné qui se respecte, surtout dans le monde des animaux, Fabien Champey est titulaire des certificats de capacité recommandés pour la possession, l'élevage ou bien encore la vente de reptiles (considérés comme des NAC, Nouveaux Animaux de Compagnie). « Ces certificats existent d'ailleurs pour tous les autres animaux que ce soient des lapins, des chiens ou des poissons » insiste -t-il. Des documents importants qui nécessitent quelques heures de formation, histoire de parfaitement maîtriser les connaissances des différentes races et surtout de connaître les us et besoins de ces animaux. Le danger ? « Oui, il existe mais je me refuse à posséder des serpents venimeux. C'est trop dangereux. Là, mes serpents peuvent simplement me mordre même si les boas et pythons ont une force impressionnante. D'ailleurs il est déconseillé de les manipuler seuls au cas où... » reconnaît ce passionné qui avoue s'être fait attraper une fois pas un boa. Trois heures par semaine sont nécessaires à Fabien pour l'entretien des terrariums et la distribution de la nourriture. Il lui faut en effet nourrir un à un ses pensionnaires en les isolant dans une boîte. » on ne peut pas les nourrir ensemble car ils se dévoreraient ! » Souris et rats sont ainsi distribués. Congelés ou vivants, les proies sont ainsi attrapées avec une vitesse impressionnante par le reptile. Quant aux jeunes élaphes nés chez Fabien, ce sont des souriceaux d'une journée qui servent de repas... Cinq élaphes (1m 30 à la taille adulte), deux boas constrictor imperator (2.50 m) et deux pythons morelia panthère (4 m) semblent couler des jours heureux chez Fabien. Pour preuve, ils se reproduisent à l'image des élaphes. Quant aux boas et aux pythons, l'éleveur attend avec impatience leur maturité sexuelle. Dernier détail, tous les terrariums de Fabien sont fermés à clés et son rêve serait de disposer d'une pièce uniquement réservée à ses serpents. Question de sécurité aussi ! Car pour ce qui est du bruit, les voisins ne se plaignent jamais... Marc MOLIN Vos réactions sur www.lereveildeberck.fr Source
  23. Découvertes d'alligators dans le nord des É-U CHICAGO - Deux alligators dans la rivière Chicago. Un autre déambulant dans une rue du Massachusetts. Un autre encore surgissant à New York. Et cela rien qu'au cours des dernières semaines. Du Dakota du Nord à l'Indiana, des alligators sont repérés très loin de leurs habitats traditionnels du sud — incluant un spécimen long de près d'un mètre capturé mardi dans la rivière Chicago. Les experts affirment toutefois qu'il ne s'agit pas d'une conséquence des changements climatiques: en fait, les créatures étaient sans doute des animaux de compagnie qui se sont enfuis ou dont leurs propriétaires se sont débarrassés. Selon Ken Vliet, un expert en alligators de l'Université de Floride qui se penche sur les reportages médias concernant ces reptiles, plus de 100 cas de découverte d'alligators ont été signalés depuis trois ans. En tout, ces bêtes auraient été signalées dans plus de 15 États d'où elles ne sont pas normalement originaires. La Caroline du Nord est l'endroit le plus au nord où les alligators vivent à l'état sauvage, explique M. Vliet. Un alligator long de près d'un mètre et portant un collier a été découvert dimanche dernier dans une rue de Brockton, au Massachusetts. Lundi, un reptile de 60 centimètres a été aperçu sous une voiture à New York. En fait, depuis ce printemps, des alligators ont également été trouvés à Fargo (Dakota du Nord), dans l'est du Missouri, dans le nord de l'État de New York, dans l'Indiana rural, en Ohio et en banlieue de Détroit. Ken Vliet affirme que de si petits alligators ne sont pas vraiment dangereux pour les humains. Le danger serait plutôt pour les reptiles, qui ne survivraient sans doute pas aux rigueurs des climats nordiques, dit-il. Source
  24. Que sont devenus les amphibiens « disparus » ? Nos amis, les grenouilles, les crapauds et les salamandres ne sont pas à la fête ces dernières années. Les évolutions climatiques, la perte de leur habitat et la prolifération d’un champignon pathogène, le chytridiomycose, ont accéléré leurs difficultés à survivre L’estimation est alarmante: 30% des espèces sont menacées de disparition. Raison pour laquelle une vaste campagne de recherche, menée par des scientifiques du monde entier (l’Union Internationale pour la conservation de la nature (UICN) et l’organisation Conservation International) sur cinq continents et dans 14 pays, a été lancée au début du mois d’août. Le but : en savoir plus sur ces amphibiens, soi disant « disparus », qui pourraient avoir survécu dans des endroits isolés. Essentiels pour la vie humaine La campagne de recherche, au-delà de renseigner sur les amphibiens et de recenser leurs populations, rappelle le rôle important joué par ceux-ci. Contrôle des insectes qui propagent des maladies infectieuses et menacent les cultures agricoles, aide à maintenir la qualité de l’eau douce dans plusieurs cours d’eau, rôle important dans la création de nouveaux médicaments, grâce aux produits chimiques secrétés par leur peau. Autant de facteurs positifs pour la préservation de l’humanité. Et autant d’arguments en plus, pour ne pas laisser nos écosystèmes se détruire. Sur la trace de ces vertébrés tétrapodes Dix espèces, considérées comme prioritaires parmi les 100 recherchées, sont dans l’œil du viseur des scientifiques. Présentation : 1/ Le crapaud doré ou « Incilius periglenes », Costa Rica. Vu pour la dernière fois en 1989. 2/ La grenouille Plate a Incubation gastrique, Australie, 2 espèces : la Rheobatrachus vitellinus (ci-contre) et la Rheobatrachus silus. Elles ont été vues pour la dernière fois en 1985. 3/ Le crapeau Rhinella rostrata. Colombie. Vu pour la dernière fois en 1914. 4/ La salamandre Bolitoglossa jacksoni, Guatemala. Vue pour la dernière fois en 1975. 5/ Le crapeau Atelopus balios, Equateur. Vu pour la dernière fois en avril 1995. 6/Le crapeau Discoglossus nigriventer, Israël. Vue pour la dernière fois en 1955. Et aussi : 7/ La grenouille Ansonia latidisca , Bornéo (Indonésie et Malaisie) : Vue pour la dernière fois dans les années 50. 8/La grenouille Callixalus pictus. République Démocratique du Congo/Rwanda. Vue pour la dernière fois en 1950. 9/La salamandre Hynobius turkestanicus, Kirghizistan, Tadjikistan ou Ouzbékistan.Vue pour la dernière fois en 1909. 10/Atelopus sorianoi, Venezuela.Vue pour la dernière fois en 1990. Source
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