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Tout ce qui a été posté par Max|mum-leterrarium
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Les deux braconniers déjà sanctionnés Triste fin pour deux tortues marines protégées. Le service des douanes a procédé, dans la nuit du 4 août, à la saisie de deux spécimens minutieusement découpés et conditionnés dans des sacs plastiques, pour un poids total de 112 kg. “Il s’agit de deux tortues vertes de l’espèce chelonia mydas, particulièrement recherchées pour la qualité de leur chair, mais protégées par la convention de Washington, au titre des espèces menacées d’extinction”, ont expliqué les douanes, dans un communiqué. “Dans son audition, l’auteur de l’infraction a expliqué qu’il était allé pêcher quelques heures auparavant, avec un ami, aux abords de l’île de Tetiaora, lieu de reproduction bien connu des tortues marines, et qu’ils avaient tué deux tortues vertes, ensuite dépecées sur place.” Dans le cadre de la procédure douanière, les agents de contrôle ont prononcé la saisie des 112 kg de viande de tortue, d’une valeur estimée à 560 000 Fcfp sur le marché illicite. Le pick-up et le poti marara ayant tous deux servis à la pêche illégale et au transport des tortues protégées, ont également été confisqués. Sur instructions du procureur de la République, les deux pêcheurs ont ensuite été conduits à la gendarmerie de Arue pour les suites judiciaires de cette nouvelle affaire de braconnage. Ils sont d’ores et déjà convoqués devant le tribunal de première instance de Papeete, le 8 février 2011. Source
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Une énorme tortue pêchée au Grau-du-Roi Salsa pourrait devenir la nouvelle mascotte du Seaquarium, au Grau-du-Roi (Gard). En toute discrétion, le musée de la mer soigne depuis quelques jours une tortue aux dimensions impressionnantes : près d’un mètre de diamètre et plus de 60 kg sur la balance. Du jamais vu en vingt ans, selon Jean-Marc Groul, responsable du site. D’ici un mois, la tortue devrait être relâchée en mer et suivie, à l’aide d’une balise Argos qui en dévoilera peut être un peu plus sur les aventures de cet animal marin. Car pour l’instant, les spécialistes s’interrogent sur son apparition au large de nos côtes. Au Grau-du-Roi, sur les quais de la criée comme dans les coulisses du Seaquarium, tout le monde s’accorde : « On n’a jamais vu une tortue comme ça ! » Avec ses 80 cachePubVide('pubCarreEdit'); cm de diamètre et ses 65 kg, cette tortue mâle pêchée la semaine passée défraie la chronique. Jean-Marc Groul, responsable du Seaquarium, et spécialiste des animaux marins : « C’est franchement un phénomène étonnant. Les tortues mâles sont très rares. La carapace est superbe ! On se demande comment il a fait pour arriver jusque-là. » L’histoire débute jeudi après-midi au large du Grau-du-Roi sur le chalutier Sainte Salsa II. A bord, Thomas Boniface, pêcheur depuis plus de vingt ans, et les trois hommes de son équipage, s’apprêtent à réaliser la dernière cale de l’après-midi, avant retour au port. « D’un coup, on a bien vu que quelque chose de bizarre se passait. Au départ, on pensait que c’était une pierre. Quand on a vu que c’était une tortue, avec ses nageoires, ses griffes, sa grande carapace, on n’y croyait pas », témoigne le patron. Driss, l’un des pêcheurs, parvient malgré tout à la libérer : « Pas si facile, elle était lourde. Et un peu ensuquée à cause des filets. On l’a gardée à bord, on l’a arrosée de temps en temps. » Les pêcheurs se photographient avec leurs téléphones portables, pour le souvenir, et très vite, contactent le Seaquarium. A leur arrivée à quai, ils remettent l’animal aux mains de spécialistes. Et la tortue hors norme rejoint les bassins du Cestmed, basé dans les locaux du Seaquarium. Ce centre d’étude et de sauvegarde des tortues marines en Méditerranée, unique sur le littoral sud français, soigne chaque année une quinzaine de reptiles marins. « Celui-là est exceptionnel, confie Jean-Baptiste Senegas, le responsable, encore surpris par ce nouveau patient désormais surnommé Salsa. D’après nos observations, la tortue n’a ni plaie, ni fracture, ni traumatisme crânien, mais nous le garderons encore plusieurs semaines en observation avant, sans doute, de le relâcher. » Comme les deux autres tortues actuellement soignées au centre, Salsa est une caouanne, la tortue la plus répandue en mer Méditerranée. Elle est capable d’effectuer entre 30 et 40 km par jour et peut vivre jusqu’à 80 ans. Apparue il y a 130 millions d’année, la caouanne, carnivore, est aujourd’hui une espèce en voie de régression, et donc protégée. Avec sa carapace en forme de cœur et sa tête presqu’aussi grosse qu’un ballon de rugby, Salsa ne rentrerait pas dans une baignoire ordinaire, ni même une piscine gonflable ! Au repos dans les bassins du centre de soin, il va faire l’objet d’un suivi détaillé. Car pour Jean-Baptiste Senegas et Amélie Laencina, soigneuse au Cestmed, cette aventure reste incroyable. « Des tortues femelles, nous sommes habitués à en soigner. Elles viennent pondre dans la Méditerranée. Mais les mâles sont vraiment très rares. Celui-ci doit avoir 50 ans. Et leur population est si faible au large de nos cotes que la possibilité d’en retrouver dans les mailles d’un filet de pêche est infime ! » Si Salsa ne montre aucun signe de faiblesse, il sera relâché le mois prochain, avec une balise argos au large de Marseille. La ville de Martigues et le département des Bouches du Rhône se disent candidats pour financer l’étude de ses déplacements dans la Grande Bleue, un peu comme les oiseaux qu’on bague avant leur envol. « Nous pourrons suivre le périple de Salsa, explique Amélie Laencina. Et en terme scientifique et pédagogique, cela devrait être très enrichissant. » Source
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Expédition scientifique : à la recherche des amphibiens disparus
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Expédition scientifique : à la recherche des amphibiens disparus L'Union internationale pour la conservation de la nature et l'organisation Conservation International lancent une campagne mondiale [b]L'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN) et l'organisation Conservation International lancent la chasse aux amphibiens disparus. Rassurez-vous, la campagne est une expédition pacifique qui doit se dérouler dans 14 pays. L’idée est de répertorier une centaine d’espèces d’amphibiens « présumés éteints ». Les photographier, les observer, savoir par exemple si le crapaud Rostré de Mésopotamie existe toujours. Ce dernier à la tête en forme de pyramide a été vu pour la dernière fois en 1914 du côté de la Colombie…[/b] [b]A la recherche des amphibiens disparus…[/b] La chasse se déroule sur cinq continents et dans quatorze pays. En résumé, c’est une véritable expédition internationale. Voir et comprendre grenouilles, crapauds, salamandres. L'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN) et l'organisation Conservation lancent une campagne pour répertorier des espèces d’amphibiens disparus. Une étude de cas grandeur nature pour ces spécialistes qui ont pour mission d’en apprendre plus sur les facteurs déterminants dans la survie ou l’extinction d’un spécimen au Vénézuela ou en Syrie. Les changements de températures, le réchauffement climatique, ont-il un impact sur ces espèces ? [b]100 espèces rares « présumées éteintes »[/b] Attention spécimens rares ! C’est là toute la difficulté dans cette campagne d’observation des amphibiens « présumés disparus ». Voilà des décennies que l’on n’a pas croisé la grenouille écarlate, l’étonnante salamandre grimpeuse de Jackson tout en jaune et noir, ou encore le crapaud Arlequin du Rio Pescado. C’est pourquoi les équipes scientifiques des deux organisations vont devoir s’armer de patience pour découvrir nos amis les amphibiens. Allons-nous enfin savoir pourquoi la salamandre du Turkestan est une espèce en voie de disparition ? La salamandre du Turkestan a été découverte pour la dernière fois en 1909 en Asie centrale du côté du Tadjikistan et de l’Ouzbékistan. Piqûre de rappel : 30 % des amphibiens sont aujourd’hui menacés d’extinction. Définis comme étant d’ « utilité écologique », ils constituent un indicateur sur l’état de nos écosystèmes et la qualité de l’eau. En France, tous les amphibiens sont protégés par la loi (arrêté ministériel du 19 novembre 2007 qui interdit la destruction de l’espèce ou de son habitat). Même le crapaud commun dans nos étangs... Source -
Bordeaux. Un petit scorpion trouvé dans un quartier…
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Bordeaux. Un petit scorpion trouvé dans un quartier… Isabelle qui tient un blog concernant le quartier des Chartrons, à Bordeaux, raconte qu’une jeune fille Léa a trouvé un petit scorpion dans ces lieux ! Ce quartier se situe près de la Garonne. Aujourd’hui, il est aménagé en parkings et promenades mais pendant longtemps, il était équipé pour recevoir des livraisons de marchandises par bateaux. Il est donc le témoin de nombreux échanges passés avec l’Outremer et les colonies. Donc, le titre du billet d’Isabelle est : « Scorpions au Chartrons… le retour ! » Et – sans rigoler – elle affirme que des scorpions résident dans certaines maisons du quartier avec pour preuve celui que vient de trouver une amie… Connaissant ce quartier, comme le fond de sa poche, elle écrit sur son blog : « Les Chartrons, le quartier le plus (ou)vert de Bordeaux : entre les bobos et les écolos, les antiquaires et les skaters, les associatifs et les galeristes, les nordistes et les marins d'eau douce » Avec une pointe d’humour, elle conclut : « si c’est pas de la biodiversité çà » ! Mais êtes-vous d’accord pour ce genre de biodiversité dans les villes ? Source -
Le Passage d’Agen. Un iguane déambulait! Le Passage d’Agen (Tarn-et-Garonne). Un iguane déambulait ce week-end dans le village. Il a été capturé et placé à la clinique vétérinaire d’Agen, selon La Dépêche. On ne sait pas s’il a fait une fugue ou s’il a été lâché volontairement… La clinique contacte le Centre Régional de Sauvegarde de la Faune Sauvage d'Aquitaine pour lui confier cette bête, mais il semble que cela pose problème d'après La Dépêche, parce que l’organisme n’est pas habilité à recevoir des reptiles, même si, pour raison de sécurité, il a déjà hébergé un python dans le passé. Alors, le responsable a accepté temporairement l’iguane pour raison d’urgence, surtout un week-end, toujours d’après ce journal. Il attendra alors quelques jours avant qu'on lui trouve un foyer définitif. La multiplication des "Nouveaux Animaux de Compagnie" (NAC), dont fait partie cette iguane, ne cesse d’augmenter. La Dépêche rappelle que l'on commence à voir au détour de quelques lacs des tortues de Floride qui ont probablement échappé à leur propriétaire. Alors, on craint toujours que quelque serpent vénéneux ne se retrouve libre dans la nature. Pour cette fois, ce n’était qu’un iguane, sans doute inoffensif! Et vous, avez-vous déjà croisé ce genre d'animal? Source
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Un couple d'Allemands captive le public avec son Reptiles Show
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Un couple d'Allemands captive le public avec son Reptiles Show Ce couple allemand, qui parcourt depuis plus de vingt-cinq ans l'Europe et dont le but est, par l'animation et l'explication, de démystifier l'aspect diabolique de ces animaux mal aimés que sont les reptiles et autres araignées, a fait étape dernièrement à la salle des fêtes. Pendant plus d'une heure, Uschi Kallus et Dieter Zorn ont captivé le public dans un spectacle plein de charme, d'intérêt et d'émotion. Dieter présentait et manipulait python, boa, mygales, scorpions et caïman pendant qu'Uchi assurait le commentaire, expliquant la morphologie, le comportement, les origines de chaque espèce ainsi que le biotope dans lequel ils évoluent habituellement et leur façon de s'alimenter, de se reproduire et de se déplacer. Le public a pu apprendre à reconnaître les diverses familles de reptiles depuis les couleuvres : celle des blés couleur orangée et la vipérine, les vipères que l'on rencontre chez nous, les pythons et les boas. Les plus spectaculaires étaient certainement les deux derniers spécimens présentés : un python réticulé (plus de 10 m, 80 kg, qui ingurgite jusqu'à la moitié de son poids) et Bongo le caïman. Tout au long de la soirée, les deux animateurs expliquaient la façon d'aborder ces diverses espèces et les dangers des morsures et du venin de certaines. Le meilleur moyen de s'en protéger étant bien entendu de les laisser vivre et de ne pas les toucher. A la fin de la séance, quelques spectateurs ont tenu à poser pour la postérité en la compagnie de l'un ou l'autre des animaux présentés, mais, vu l'expression des visages, on ne peut pas dire que tous les spectateurs étaient complètement réconciliés avec les reptiles. Source -
Une tortue en pleine rue! Trois pompiers se sont chargés de prendre en charge le reptile HORRUES Vendredi, il était environ 13 h lorsque les membres du service incendie de Soignies ont été appelés sur la chaussée d’Enghien, à Horrues, pour une intervention quelque peu particulière. Un camionneur les a, en effet, contactés car il ne pouvait continuer son chemin. Ce n’était pas un autre véhicule qui l’empêchait de passer mais bien une tortue ! Les membres du service avaient donc pour mission de dégager le reptile. Celui-ci était assez impressionnant : il avait une hauteur d’environ 40 cm, un diamètre de 70 et pesait environ 50 kilos. Encore plus impressionnante : sa présence dans la rue puisqu’il s’agit d’une tortue du Sahara. Trois pompiers se sont chargés de la prendre en charge. Le reptile a effectué un bref passage à la caserne où il est resté dans la camionnette mais où il a eu droit à une salade. Il a, ensuite, été emmené au parc Pairi Daiza à Brugelette. Source
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À côté de la bourse aux reptiles, des conférences pour se perfectionner Bientôt la bourse aux reptiles ! Dimanche 29 août, on pourra aussi suivre une conférence-formation indispensable à qui veut faire ami-ami avec les « nouveaux animaux de compagnie ». Inspection avec Laurent Lejeune, des services vétérinaires de la préfecture, qui interviendra sur la législation en vigueur pour la détention et l'élevage de reptiles. tQuelles sont vos fonctions ? « Je suis inspecteur auprès de la Direction départementale de la protection des populations. Mes missions concernent en particulier la faune sauvage captive. J'instruis les demandes et j'ai un rôle de contrôle. » tVos journées sont-elles chargées ? « Oui, le Pas-de-Calais est très fourni en espèces exotiques ! Canards, passereaux, canaris, oies, reptiles... Depuis dix ans, c'est la terrariophilie qui se développe, avec en tête de gondole les tortues. Il y en a toujours beaucoup eu, notamment en raison des relations de la région avec le Maghreb. C'était une tradition d'en ramener dans les valises... même si c'est interdit. Et puis la région compte beaucoup de petits jardins, appropriés. » tUn profil-type d'amateurs ? « Plus maintenant. Par le passé, le profil était un peu "rock'n'roll" mais là, depuis une dizaine d'années, on trouve aussi bien des jeunes filles que des cadres ou des ouvriers. » tLe cadre légal a-t-il évolué ? « Jusque dans les années 70, il y avait un gros marché de ce qu'on appelait les tortues de jardin. Maintenant, il existe un nouveau cadre, beaucoup d'éleveurs variés se sont installés, ce qui représente un gros travail de régularisation : j'instruis et je traite la partie administrative, complexe car variable selon les quotas ou le fait que les espèces soient protégées ou dangereuses. Les déclarations sont suivies de contrôles - qu'on aimerait développer. Les amendes peuvent être lourdes. » tComment ces contrôles sont-ils déclenchés ? « Parfois on répond à des urgences, comme récemment avec ce kangourou à Fruges. Ou nous agissons de notre propre initiative, ou en réponse à des dénonciations, voire à la diffusion d'annonces suspectes... Globalement, le bilan est positif dans les animaleries. Ce qui pêche, ce sont les particuliers, surtout par manque de connaissances sur la législation et les conditions de détention. Sur internet, on trouve des sites de bonne qualité mais il vaut mieux parler anglais car les anglo-saxons sont plus pointus. » tLes vendeurs ne jouent pas le jeu ? « Les animaleries ne vendent que des espèces se passant d'autorisation mais si par exemple quelqu'un achète plus de 25 couloeuvres, ils font l'effort d'informer. Le souci vient de quand on achète à un particulier - ce qui est permis quand il ne s'agit pas de faire commerce mais de se séparer d'une portée. Les conseils ne suivent pas toujours. » tLes animaux rejetés en pleine nature sont-ils nombreux ? « Il n'y a pas de chiffres mais en proportion des milliers de reptiles vendus, le retour des captures est très faible. Le problème, c'est la tortue de Floride. Depuis 2004, en France, il faut le certificat mais tout le monde en a et on trouve une sous-espèce en Belgique. Elle grossit puis se pose le problème du logement, alors certains la mettent dans l'étang voisin... C'est gênant car ce n'est pas une espèce locale. Ça l'est d'autant plus au sud de la Loire, où elle se trouve en concurrence avec une autre espèce. » tLes achats transfrontaliers ne facilitent pas les choses. « Il y a d'une part les animaleries de l'autre côté de la frontière et, d'autre part, les bourses d'échange aux Pays-Bas ou en Allemagne, où on achète en oubliant que les dispositions franco-françaises sont différentes : on peut se procurer un caïman à lunettes alors qu'en France, il est tenu pour dangereux et donc soumis à l'obtention du certificat de capacité. C'est l'une des raisons pour lesquelles nous répondons aux sollicitations d'associations comme le Cercle aquariophile et terrariophile. Mon intervention est faite pour les débutants et débouche sur une attestation comptant pour le certificat de capacité. Une grande plage horaire est réservée aux questions. » tOù se renseigner avant d'acheter ? « Au 03 21 21 26 26 ou ddsv62@pas-de-calais.gouv.fr • Bourse aux reptiles, dimanche 29 août de 10 h à 18 h à la salle Olof-Palme, 2,50 E, gratuit si moins de 12 ans. Conférence-formation à 14 h à la Maison des associations du Mont-Liébaut, 10 E incluant une entrée à la bourse, inscriptions au 06 83 91 91 74. Source
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Coca-Cola participe au lâcher d'une tortue au large de la ville
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Coca-Cola participe au lâcher d'une tortue au large de la ville John Brock, 65 ans, P.d-g. de Coca-Cola Entreprises, le n°1 mondial des franchises Coca a participé aujourd'hui au lâcher d'une tortue baptisée Massalia au large de Marseille, près du phare du Planier. Prise dans des filets au large de l'Espagne, cette femelle d'une trentaine de kilos et d'environ quarante ans a été soignée au Centre d'étude et de sauvegarde des tortues marines de Méditerranée, au Grau-du-Roi, que soutient financièrement le fabriquant de boissons. "Cet animal est un symbole marquant pour tous de la nécessité de participer au maintien de la biodiversité, de la protection des océans", explique John Brock. Pour lui, c'est aussi le symbole de l'engagement de sa société dans une politique sociale et environnementale responsable. Avec par exemple un maximum de 260 km entre les lieux de production et de livraison, seulement 1,26 litre d'eau utilisé pour un litre de soda dans l'usine de Vitrolles et la volonté dans l'avenir de recycler 100% de leurs conditionnements. Source -
Une tortue vendue pour 2 kg de viande ! MOOREA - Ramenée fléchée au centre de soins de l’Intercontinental On croyait le message bien passé, portant cette tortue fléchée ramenée au centre de soins de Moorea, confirme que la survie de l’espèce reste toujours menacée. Cet exemple de pêche au fusil harpon a été constaté samedi. Cécile Gaspar, vétérinaire et responsable du centre soins des tortues de l’InterContinental, nous en parle : “Nous avons récupéré cette tortue verte qui venait juste d’être fléchée, d’une personne voulant garder l’anonymat. Elle avait été vendue par des pécheurs itinérants au bord de la route à Moorea à Atiha pour être consommée. Elle n’a que deux ans, pèse 10 kilos, pour une longueur de 44 cm”. Fort heureusement la personne qui a récupéré cette tortue toujours en vie, s’est rendue au centre afin que l’animal puisse recevoir rapidement les soins nécessaires, car elle était blessée à l’une des nageoires. La flèche n’a fort heureusement pas touché de parties vitales et selon la vétérinaire, elle pourra être relâchée après cicatrisation de sa blessure, et après être baguée. “Il faut vraiment arrêter ce massacre, c’est encore une preuve qui témoigne que certains n’hésitent pas à se rabattre sur les tortues, parfois très jeunes, comme c’est le cas ici, pour guère plus de 2 kilos de viande...” En six ans, le centre de soins de Moorea a récupéré 161 tortues et relâché 62 d’entre elles, la plupart après avoir été fléchées dévoilant des blessures plus ou moins importantes. Le centre peut être contacté 24 heures sur 24 au 715 344 ou au 706 066, les tortues sont soignées par les biologistes marins et vétérinaires de l’association “te mana o temoana” sous couvert de la direction de l’environnement et de la gendarmerie De notre correspondant Jeannot Rey Source
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Un serpent dans une voiture, à Bruay Dimanche soir, peu après 18 h, les pompiers de Bruay ont reçu un appel d'une conductrice affolée. ... Pas à cause d'un accident de la route, mais... d'un serpent. La bête n'était pas sur la chaussée mais pas loin des chaussures de l'automobiliste, sur le plancher de l'auto. Paniquée, la dame a stoppé net, en face du parking du supermarché Cora, et a alerté les secours. OAS_AD('Position1'); Que faisait un serpent dans une voiture à Bruay ? La réponse est à chercher du côté du mari de cette dame. La veille, samedi donc, celui-ci aurait acheté deux reptiles qu'il a transportés dans une boîte embarquée dans sa voiture. Arrivé chez lui et jusqu'à dimanche soir donc, l'amateur de serpents ne se serait pas aperçu que l'un de ses deux nouveaux compagnons manquait à l'appel. 1 m 80 Ce sont les pompiers de Bruay-La Buissière qui l'ont prévenu. Dépêchés sur place, les secours se sont d'abord enquis de la dangerosité de la bête (longue d'1 m 80 et de couleur marron clair). Verdict : inoffensif. Pour autant, les pompiers ont préféré contacter le propriétaire pour qu'il vienne lui-même sortir le serpent de la voiture. Histoire d'éviter à l'hydre un deuxième transport et peut-être une nouvelle mésaventure. Que les phobiques des serpents se rassurent, le reptile a regagné ses pénates peu après 19 h dimanche soir. • C. BA. Source
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La plus petite grenouille du monde découverte en Amérique latine (TV)
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
La plus petite grenouille du monde découverte en Amérique latine (TV) Des chercheurs colombiens et équatoriens ont découvert sur le territoire de "la Bonita" (à la frontière entre la Colombie et l'Equateur) la plus petite grenouille du monde, a annoncé mardi la télévision mexicaine. Les femelles mesurent 18mm, alors que les mâles ont des dimensions encore plus réduites et ne mesurent que 12mm. La grenouille est de couleur brune, mais sa peau est tellement translucide qu'elle laisse apercevoir le squelette. La grenouille a été baptiséée Osornophryne cofanorum et elle figurera dorénavant au Livre des espèces protégées des deux Etats (Colombie et Equateur). Source -
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Un petit qui résiste, mais jusqu’à quand ? L’orangé de sa face ventrale le signale à l’œil du randonneur botaniste. « C’est une parade pour décourager un éventuel prédateur », indique Olivier Walurzelle, garde moniteur du Parc national des Écrins. Mis à part les truites et ombles chevaliers qui peuplent, artificiellement, les lacs de montagne, le triton alpestre n’intéresse guère les prédateurs. Son goût, sans doute, « mauvais. » L’alevinage, que la fédération de pêche des Hautes-Alpes s’est engagée à ne pratiquer que dans les lacs du Pétarel, Leauthier et Lauzon, lui a fait déserter ces lacs d’altitude pour les petites mares et pierriers alentours, un milieu accueillant pour cet amphibien d’une dizaine de centimètres. Là, il voisine avec la libellule, la grenouille rousse et des dizaines d’espèces d’insectes. « Il y a une biodiversité très intéressante », témoigne Olivier. La capacité de se reproduire à l’état larvaire Reste que le triton alpestre, pourtant pas regardant sur son alimentation, - « il est ubiquiste, c’est-à-dire qu’il se nourrit de tout » -, survit difficilement. Il s’est pourtant adapté aux rigoureuses conditions climatiques des Alpes. C’est d’elles d’ailleurs qu’il tire son qualificatif d’alpestre. Parce que, comme son nom ne l’indique pas, le triton alpestre vit aussi en Belgique et au nord de la Loire. Il est absent des Pyrénées mais vient de faire l’objet d’une réintroduction en Aveyron. Localisé en Vanoise, dans le Mercantour et bien sûr dans le Massif des Écrins, - « il est surtout présent dans le Champsaur et le Valgaudemar » -, Triturus alpestus a, en altitude, la capacité de se reproduire à l’état larvaire. Les scientifiques appellent cela “la pédogénèse”. « Vu les conditions extrêmes, l’espèce met plus de temps pour arriver à maturité sexuelle », explique Olivier Walurzelle. Une espèce en déclin Mais programmée pour se reproduire, elle se reproduit coûte que coûte. Le temps des amours venu, le mâle déploie un ballet d’ondulations avec sa queue recourbée, bombardant ainsi la femelle de phéromones, plus prosaïquement des informations olfactives très ciblées. C’est dire la rage de Triturus alpestus de résister à l’adversité. Les lacs et mares d’altitude sont devenus son « milieu refuge. Son corps, peu sensible, fait avec les conditions du milieu ». Il aime ces eaux jeunes donc peu abondantes en nourriture. Il y plonge pour s’y reproduire mais se balade surtout autour de la mare ou se prélasse sur une pierre. « Quand il est présent, il est assez facile à voir. Il est là comme en pose, avec les quatre pattes écartées. » À la fois terrestre et aquatique, il témoigne des origines de la vie. Avec lui, on se sent comme au premier matin du monde. « On est presqu’au début de chaîne », alors que l’espèce s’est remarquablement adaptée. Pourtant, avec la disparition de son biotope et la pollution, elle « décline ». Aussi fait-elle l’objet d’une surveillance attentive. par Marie-Noëlle CACHERAT le 23/08/2010 à 05:00 Source
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« Plus d'un siècle que je traîne ma carapace ici »
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
« Plus d'un siècle que je traîne ma carapace ici » La tortue est née il y a 120 ans. Depuis, Nénette n'a jamais quitté la Butte Sainte-Anne. Voici le récit d'un reptile qui fait l'attraction du quartier depuis des dizaines d'années. J'ai arrêté de compter. C'est en faisant des calculs que Michèle, ma maîtresse, a déduit mon âge. J'avais à peine 100 ans quand elle a hérité de moi, et ça fait 22 ans que je vis avec elle. Moi, c'est Nénette ! Une jolie petite tortue terrestre. Oh, je n'irai pas jusqu'à dire que je n'ai pas pris une ride, mais je me porte bien : 2,8 kg, une belle carapace ni tout à fait ronde, ni tout à fait carrée, et l'oeil bien vif. Une femelle, pour sûr Évidemment, le temps a laissé son empreinte sur mon corps de vieille dame : mes écailles s'écartent un peuet leur couleur ont beaucoup moins d'éclat.Ma peau aussi, a vieilli. Et cette année, à ma sortie d'hibernation, j'ai rencontré le vétérinaire pour la première fois en 120 ans (une occlusion intestinale, pauvre de moi). C'est lui qui a confirmé à Michèle que j'étais bien une dame. En tout cas, je dois bien avouer que les années n'ont pas eu raison de mon appétit. Les fraises : mon péché mignon ! Michèle dit que sous mes airs attendrissants se cache un caractère bien trempé. Mais je suis le reptile de la Butte Sainte-Anne : je mérite bien qu'on cède à quelques caprices. D'abord, je ne mange que ce qu'on me donne à la main. Une fois repue, je pars me promener dans le jardin. Je reconnais que je ne prends pas toujours la peine d'épargner les plantes. Et le visage de Michèle qui se décompose... « Parfois, on dirait vraiment qu'elle fait exprès. Elle marche bien droit sur toute la rangée ! » Et puis il y a la chasse aux orteils. Ils me croient lente, mais je n'ai rien perdu de ma vigueur. Je me hisse sur la pointe des pattes et je cours mordre les doigts de pied. Le nec plus ultra, c'est la grattouille. Michèle a découvert il y a peu, qu'en me grattant la carapace, je ne pouvais m'empêcher de secouer le postérieur de délectation... Je suis passée de mains en mains depuis plus d'un siècle (sans compter celles de tous ces gamins du quartier qui défilent régulièrement dans mon jardin). À la mort de mon premier propriétaire, c'est sa soeur qui m'a accueillie. Elle vivait juste en face de chez Michèle (je me souviens d'elle petite, elle venait jouer avec moi déjà à l'époque). Au décès de cette voisine, ses enfants n'ont pas souhaité me garder. Ils pensaient me donner au Jardin des plantes. Heureusement que Michèle était là ! On ne m'aurait pas nourrie à la main là-bas ! La vie de château Au moins ici, je vis comme une reine : je me couche vers 17 h pour me réveiller à 10 h, et je passe mon temps à me prélasser au soleil (ça augmente ma température, sous ma carapace). Chaque année, aux alentours du 20 octobre, j'entre en hibernation. Je m'enterre et j'attends que les saisons passent. Michèle m'a construit un abri qui me tient au chaud. Et je repointe le bout de mon bec le 19 mars. Le même calendrier depuis 120 ans... Un jour, j'ai entendu Michèle dire : « Bien sûr que je serai triste à sa mort. Vous vous rendez compte ? Ça fait 50 ans que je la connais ! » Moi, je n'ai pas envie de m'en aller... Source -
Le scorpion sévit en ville Du fait de la dégradation à grande échelle de l'environnement en milieu urbain dans la wilaya de M'sila, l'envenimation scorpionique, sévissant traditionnellement en milieu rural, est en phase de se manifester avec force en milieu urbain, notamment à M'sila, Bou Saâda et Magra, où il a été enregistré 6 morts durant le premier semestre de l'année en cours, avec respectivement 3 décès à M'sila, 2 à Bou Saâda et 1 à Magra. L'androctonus australis, l'espèce de scorpion la plus répandue dans cette wilaya, n'en finit pas de semer la mort sans que l'on puisse trouver la parade pour enrayer ce phénomène. La situation ne fait que s'aggraver du fait de la détérioration du milieu urbain, et en dépit de la disponibilité de plusieurs milliards pour l'aménagement des quartiers, il n'empêche qu'aucune opération d'envergure n'a été lancée par les autorités de la wilaya. Un projet bloqué Ce sont des opérations ponctuelles, n’ayant aucun impact sur le cadre de vie des citoyens, qui ont été jusque-là effectuées. Le constat est amer, des quartiers entiers au chef-lieu de wilaya et de centres urbains de Bou Saâda, Sidi Aïssa et Magra baignent dans l'insalubrité la plus insoutenable. En effet, des quartiers situés au cœur de M'sila sont dépourvus du minimum, ni éclairage public, ni espace vert, ni aire de jeu pour les enfants qui n'ont pour lieu de loisirs que la rue avec tous les dangers que cela comporte. La dégradation du cadre de vie dans les cités explique la prolifération des foyers de scorpions, qui trouvent dans ces quartiers le milieu de prédilection pour semer la mort, notamment parmi les enfants. Il a été enregistré durant ce premier semestre 2817 cas de piqûres scorpioniques avec 626 cas à Magra, 445 à Bou Saâda et 405 à M'sila. Ces 3 grands centres urbains représentent 52% du total des piqûres scorpioniques enregistrées durant ce semestre à travers l'ensemble de la wilaya. Le phénomène de l'envenimation scorpionique, devenu un problème de santé publique au niveau de cette wilaya, ne semble pas inquiéter outre mesure les autorités locales qui ne font que répercuter l'inventaire macabre des effets de piqûres scorpioniques. Preuve en est que l'implantation en 2001 d'une annexe de l'Institut Pasteur d'Algérie à M'sila dont l'objectif était de lutter contre les zoonoses, notamment la leishmaniose et l'envenimation scorpionique, n'a pas eu l'impact escompté, en dépit du dynamisme de la jeune équipe de cette annexe, dont l'activité s'est limitée au ramassage des scorpions et l'extraction du venin. En effet, le projet de réalisation d'un centre d'élevage de chevaux pour la production de sérum antiscorpionique (SAS) n'a jamais connu un début d'exécution en dépit de l'existence des infrastructures et des terrains de parcours cédés par la commune de Ouled Madhi depuis 2001. Ce projet a fait du surplaèèèce, et l'androctonus australis continue à sévir implacablement dans cette wilaya où il a été enregistré durant les deux dernières années 2008 et 2009 pas moins de 25 morts. Source
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Six hommes pris avec 3756 oeufs de tortues ACAPULCO, Mexique - La police mexicaine a annoncé avoir arrêté six suspects surpris en possession de 3756 oeufs de tortues protégées récoltés illégalement sur la côte du Pacifique. La police de l'État de Guerrero a affirmé que les six hommes avaient été arrêtés dans une ville côtière située près d'Acapulco avec des centaines d'oeufs de tortue olivâtre, l'une des plus petites espèces de tortues marines, considérée comme vulnérable. Les oeufs se trouvaient dans des sacs et étaient apparemment transportés en vue de les vendre ou de les consommer. Les tortues olivâtres, qui font leur nid sur la côte Pacifique du Mexique, sont protégées par les lois du pays. Récolter leurs oeufs est passible de peines de prison allant d'un à neuf ans. Les six hommes ont été placés en détention vendredi. Source
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A chaque pays son animal aux pouvoirs divinatoires... L'Australie mise sur un reptile : "Dirty Harry", un crocodile marin de 720 kilos, résidant à Darwin. L'animal avait lui-aussi prédit que l'Espagne remporterait la Coupe du Monde, face aux Pays-Bas. Pour ne pas gâcher un tel talent, les Australiens font à présent appel à Harry pour faire des pronostics politiques. Il a dû choisir entre deux poulets, liés à deux candidats au poste de Premier ministre. Le croco a opté pour Julia Gillard, qui serait donc réélue, dans le cas où la bête dirait vrai. Ou plutôt penserait vrai.
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La protection des tortues marines de Floride Le long de la côte est floridienne vous aurez l’opportunité de croiser de nombreux centre de préservation de la nature et des animaux, notamment des tortues. En effet, seuls ces centres offrent la possibilité de voir des tortues marines vivantes, mais attention vous ne croiserez que des tortues blessées où malades. Les tortues en captivité ne sont pas autorisées dans l’état de Floride, car la tortue, quelque soit sa race, est une espèce très protégée et il est strictement interdit de posséder une tortue chez soi, sous peine d’une lourde amende. Sur la côte est vous pourrez croiser différents centre : - le Loggerhead Marinelife Center est un petit centre dédié à l’écologie de la côte nord du conté de Palm Beach. Le centre combine une exposition instructive sur la vie des récifs alentours, des plages… et un circuit pédagogique dans les dunes de sables. Il est situé au sud de Jupiter au Loggerhead Park de Juno Beach, plage de sable fin occupée par quelques immeubles de standing, mais surtout l’un des principaux lieu de reproduction des tortues caouanes. La visite du centre est gratuite et vous pourrez assister aux soins des tortues. Certaines tortues souffrent d’avoir eu la carapace découpé par une hélice de bateau, d’autres de malnutrition et il y a une nurserie car la survie des bébés tortue est aussi très précaire. Pendant la période de ponte des tortues le centre organise des Turtle Walk, pour avoir la chance de voir des tortue pondre sur la plage. - le Gumbo Limbo Nature Center, situé à Boca Raton. C’est excellent centre éducatif offre la possibilité de découvrir l’univers marin et une promenade qui serpente à travers la mangrove et une tertre en bois tropical. - Le Turtle Hospital si situe sur les keys, plus précisément sur l’ile de Marathon. Le centre est plus grand que les précédent avec un petit reportage éducatif au début de la visite et une visite des blocs opératoires, de radio… La visite d’un de ces centres permet d’être sensibilisé à la protection de l’écosystème marin de Floride, d’observer tous les dégâts apparents de l’homme sur une nature et des animaux qui restent malgré tout fragiles. Source
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Chypre: Un mystérieux crocodile recherché Un mystérieux reptile est actuellement recherché sur l'île de Chypre après le témoignage d'une fermière qui a signalé sa présence dans une localité à l'ouest de Nicosie, la capitale de l'île. Des propos qui laissent pantois car les bêtes de cette espèce ne sont pas courants sur l'île malgré les nombreux récits concordants de Chypriotes faisant état d'alligators aperçus ici ou là sans qu'aucun ne soit jamais retrouvé. Les experts en faune se démènent pour retrouver la trace de l'animal en posant des pièges et autres appâts. "Nous n'avons rien vu qui suggère que quelque chose soit là, mais nous allons continuer à chercher", a expliqué Constantinos Moustakas, responsable du département de recherche maritime et de pêche de Chypre. Source
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Des écologistes protestent contre un nouveau pont entre le Canada et les USA MONTREAL - Une des principales organisations écologistes canadiennes, Sierra Club, a lancé mercredi une action en justice pour stopper la construction d'un pont entre Detroit aux Etats-Unis et Windsor au Canada, affirmant vouloir défendre des serpents et des plantes rares. Le pont DRIC (Detroit River International Crossing) est le plus important projet d'infrastructure canado-américain, dont le coût est estimé à 5 milliards de dollars. Selon le directeur de la branche ontarienne de Sierra Club, Dan McDermott, sa construction touchera la zone "écologiquement sensible" d'Ojibway Prairie, entraînant "une dégradation permanente d'un écosystème fragile" et "la destruction d'espèces menacées". L'organisation affirme dans un communiqué vouloir faire examiner par la justice une décision du ministre canadien des Ressources naturelles d'autoriser les constructeurs à tuer ou à capturer et transporter ailleurs plusieurs espèces menacées, dont notamment le serpent à sonnette Massasauga, la couleuvre fauve de l'Est ou encore le serpent-jarretière de Butler. Elle soutient en outre que la procédure de projection d'impact du projet sur l'environnement était entachée d'erreurs ce qui a abouti à ignorer la présence de certaines espèces menacées dans la région. Interrogé par l'AFP, le ministère fédéral du Transport n'a pas voulu commenter sur le fond la démarche des écologistes, affirmant qu'il comptait aller de l'avant. "Le dépôt de la contestation judiciaire ne compromet pas l'engagement du gouvernement du Canada à trouver une solution à long terme pour relever les défis rattachés à la capacité du passage frontalier le long de ce corridor de commerce important", a déclaré la porte-parole du ministère Maryse Durette. Le corridor Windsor-Detroit absorbe à lui seul un quart du trafic commercial entre les deux plus grands partenaires commerciaux de la planète. Le pont actuel, l'Ambassador Bridge, étroit et vieillissant, peine à accueillir les quelque 10.000 camions qui empruntent ce passage chaque jour. Actuellement, des travaux préparatoires se déroulent sur le site, le chantier principal devant être lancé en 2011. Source
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Triste fin pour deux tortues marines protégées Dans la nuit du 4 août, le service des douanes a procédé à la saisie de deux tortues marines pour un poids total de 112kg. Il s'agit de deux tortues vertes de l'espèce chelonia mydas, particulièrement recherchées pour la qualité de leur chair mais protégées par la convention de Washington au titre des espèces menacées d'extinction. Dans son audition, l'infracteur a expliqué qu'il était allé pêcher quelques heures auparavant, avec un ami, aux abords de l'île de Tetiaora, lieu de reproduction bien connu des tortues marines et qu'ils avaient tué deux tortues vertes, dépecées sur place. Dans le cadre de la procédure douanière, indique mercredi un communiqué des douanes, les agents de contrôle ont prononcé la saisie des 112 kg de viande de tortue d'une valeur estimée à 560 000 Fcfp (un peu moins de 4.000 euros) sur le marché illicite, du pick-up et du poti marara ayant tous deux servis à la pêche illégale et au transport des tortues protégées. Sur instructions du Procureur de la République, les deux pêcheurs ont été remis à l'issue de leur retenue douanière à la gendarmerie d'Arue pour suites judiciaires ; ils répondront des délits, douanier et de droit commun, relevés à leur encontre, devant le Tribunal de Première Instance de Papeete, le 8 février 2011. Source
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La tortue caouanne, le lamantin et le pélican brun sont très menacés par la marée noire
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Max|mum-leterrarium dans Nouvelle
23000 œufs de tortues de mer déplacés pour un programme de conservation Un plan de conservation vise à récupérer les œufs de tortues sur la côte de l'Alabama pour relâcher les nouveaux-nés dans l'Atlantique, rapporte le site Solve Climate. La marée noire dans le Golfe du Mexique avait suscité des craintes pour la survie des jeunes tortues. L'association Share my beach, qui a lancé l'initiative, a jusqu'à présent récupéré 23 000 œufs. Ces derniers sont transportés vers le centre spatial Kennedy en Floride dans lequel ils sont préservés dans des conditions similaires à celles de leur nid d'origine. Les tortues y restent jusqu'à leur éclosion avant d'être relâchés dans l'océan. Trois espèces sont concernées par ce plan de conservation: la tortue verte, la tortue de Kemp et la tortue carette. Source