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Max|mum-leterrarium

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  1. Italie: un python gardait la cocaïne La police financière italienne a annoncé aujourd'hui le démantèlement d'un trafic de drogue avec l'arrestation de 12 personnes, assortie de la découverte insolite d'un python albinos. Les trafiquants l'utilisaient pour garder la cocaïne et obliger les clients à payer comptant, selon la police financière. La police a trouvé le python quand elle a fait irruption dans un appartement du centre de Rome. Par chance, les agents avaient été prévenus par une des personnes qu'ils venaient d'interpeller qu'"un animal" s'y trouvait. Quand ils ont ouvert la porte, ils ont eu la surprise de tomber sur un serpent de trois mètres de long blanc et jaune, laissé en liberté dans l'appartement et enroulé sur un tapis chauffant. La police a dû faire appel au service spécialisé Cites de garde-forestiers pour le capturer. Le python étant maintenu à jeun pour qu'il soit plus agressif, les garde-forestiers lui ont donné un poulet entier d'un kilo pour le tranquilliser et l'attraper. Il a été remis au zoo Bioparco de Rome. Le reptile "couvait" littéralement 200 grammes de cocaïne pure qui sont venus s'ajouter à un total de 5 kg trouvés dans l'appartement. Lors de la perquisition, les policiers ont également arrêté 6 personnes, après en avoir interpellé 6 autres quelques heures auparavant. Les 12 trafiquants, dont 2 femmes, ont été écroués pour association de malfaiteurs destinée au trafic de cocaïne et détention illégale d'un animal protégé par la Convention de Washington. Source
  2. Un atlas réservé aux mal-aimés Chacun est invité à participer à la réalisation d'un atlas des amphibiens et reptiles d'Aquitaine. «Une espèce de reptiles et d'amphibiens sur cinq risque de disparaître en France », alerte Christophe Coïc, le responsable fondateur de l'association de protection Cistude nature, installée sur le site du moulin du Moulinat au Haillan. Il y a urgence à agir. Et c'est d'autant plus compliqué qu'aux facteurs économiques (assèchement des terrains, atteintes aux milieux naturels) et aux aménagements (constructions de routes, de lotissement) s'ajoute la difficulté à mobiliser le public pour des animaux qui, la plupart du temps, sont mal-aimés. Il fut plus facile de sensibiliser les gens pour une espèce de vaches (la vache marine, par exemple) ou de chevaux menacés (le pottock des Pyrénées), que sur le sort de couleuvres, tritons et autres crapauds. Cistude ne l'entend pas de cette oreille et pense que la sensibilisation d'un public de non-spécialistes est tout à fait jouable. Il y a quelques mois, l'association a édité un guide des amphibiens et reptiles d'Aquitaine, qui répertorie et présente une quarantaine d'espèces. Un ouvrage remarquable, aussi plaisant à feuilleter qu'à lire et, qui plus est, qui est offert à quiconque en fait la demande (1). Ce guide n'est qu'une étape. La suite est la réalisation d'un atlas. Il s'agira de savoir où vivent tels et tels lézards, tortues ou grenouilles. Avec un objectif de connaissance mais aussi de sensibilisation et de protection : si un promoteur envisage un projet néfaste sur le territoire d'un crapaud, il risquera fort de trouver des contradicteurs sur sa route. Le travail est titanesque ; aussi, la livraison de l'ouvrage est fixée à l'horizon 2014 (2). Une démarche participative Si les spécialistes et membres d'associations de protection de la nature sont mobilisés, Christophe Coïc a souhaité également demander à ceux qui le souhaitent de faire état de leurs rencontres sur le terrain avec une coronelle girondine (petite couleuvre), ou avec un lézard ocellé, au gré des balades sur le littoral ou en Périgord. « L'Aquitaine est une région très en retard en terme de prospection, note le responsable de Cistude. L'originalité de ce réseau est de faire participer toutes les personnes intéressées et ne pas en faire une seule affaire de spécialistes. » Afin de le mettre en place et d'apporter l'information à ceux qui s'impliqueront, des réunions seront organisées dans chaque département d'Aquitaine. Renseignements et calendrier sont disponibles sur ww.faune-aqutiane.org et sur www.cistude.org. (1) Guide disponible auprès de Cistude nature. 10 euros si frais d'envoi. (2) En partenariat avec la région Aquitaine, les Conseils généraux des départementaux concernés, le Fonds européen de développement rural et l'Agence de l'eau Adour-Garonne. Source
  3. Nom scientifique : Gecko vittatus Nom français : Gecko ligné Nom anglais : White line gecko Origine : Indonésie, Nouvelle-Guinée, Îles Salomons Biotope : Humide Température : 25 à 29°C, ne doit jamais dépasser 30°C Hygrométrie : 80% Moeurs : Arboricole et nocturne Taille adulte : 15 à 20 cm, maximum 25 cm Longévité : 6 ans Nourriture : Insectes Photo emprunté sur le site http://www.gadygady.pl/ Voici une espèce de gecko arboricole, proche parent du gecko tokay, qui est encore peu connu. Il reste moins agressif que son cousin, mais il reste un animal peu sociable avec l'homme. Il peut avoir tendance à mordre mais ce n'est rien de très douloureux. Ce gecko est une espèce qui reste très facile de maintien. Il est parfait pour les débutant à condition que les manipulation ne soient pas un besoin fondamental.
  4. Personnellement, je trouve le bilan lourd tout de meme mais j'avoue que ça aurait pu être pire.
  5. La faune a (relativement) peu souffert de la marée noire Plus de peur que de mal, pourrait-on dire à la lecture du dernier bilan « faunistique » de la marée noire qui frappe le golfe du Mexique depuis le 20 avril. Publié le 9 août, il s’appuie sur les recensements réalisés en Alabama, Floride, Louisiane, Mississipi, Texas, et en mer, par l’U.S. Fish and Wildlife Service (USFWS) et la National Oceanic and Atmospheric Administration (NOAA). Bien évidemment, il ne concerne que les espèces visibles ou ceux dont les corps ont été récupérés. L’impact sur l’ichtyofaune ne sera peut-être jamais réalisé, pas plus que celui sur les méduses, les crustacés ou les planctons. Quoi qu’il en soit, 5.771 oiseaux, 1.020 tortues, 76 mammifères marins et 2 reptiles ont été récupérés par les sauveteurs. Sur le lot, 1.869 oiseaux, 503 tortues, 5 mammifères marins et 1 reptile étaient vivants. Ces miraculés ne sont pas encore prêts à revoir leur milieu. Moins de 800 oiseaux ont été relâchés, contre 127 tortues marines et 1 mammifère. Le reptile rescapé se morfond encore dans son vivarium. Pour mémoire, la catastrophe de l’Exxon Valdez (1989) a provoqué la mort de plusieurs milliers de mammifères (loutres, cétacés, phoques), et de plus de 300.000 oiseaux. Au voisinage de la pollution, invertébrés et crustacés disparurent. Ainsi que plusieurs milliers de poissons. Source
  6. Opération récupération de la tortue américaine Sur la terrasse couverte du Conservatoire du patrimoine naturel de Savoie, au Bourget-du-Lac, trois tortues de Floride, ou tortues à tempes rouges, s’ébattent avec vigueur au fond d’une bassine en plastique. « Ce sont les reines de l’évasion », avertit André Miquet, responsable scientifique au conservatoire, « de véritables acrobates ». Importées par centaines de milliers d’Amérique dans les années 70, ces tortues aquatiques ont été abandonnées dans la nature tout aussi massivement dans les années qui ont suivi. En cause : une taille qui passe d’une pièce d’un euro à la naissance à 15 ou 20 cm pour un poids de 2 ou 3 kg à l’âge adulte. Et si l’on ajoute à cela le fait qu’elles peuvent vivre jusqu’à près de 60 ans, on comprend qu’elles n’ont pas tardé à lasser leurs propriétaires. Mais voilà, cette tortue américaine s’est trop bien adaptée aux conditions de vie sur les rives du lac du Bourget, et menace aujourd’hui le retour d’une tortue qui avait disparu de Savoie il y a quelques décennies, la cistude. Plus petite, moins costaud que son homologue américaine, cette dernière a, depuis sa réintroduction en l’an 2000, bien du mal à faire régner sa loi sur les bords de lac. « C’est une course de vitesse entre les deux espèces », explique le scientifique, « et la tortue de Floride a de l’avance : elle est plus grosse et elle se reproduit plus vite ». Alors, depuis quelques années, le Conservatoire donne un coup de pouce à la cistude en capturant ou récupérant des spécimens à tempes rouges. « Pas facile » explique André Miquet : « on ne les voit que quand elles prennent le soleil. On en capture dix ou vingt chaque année, mais leur nombre ne diminue pas et c’est plutôt inquiétant pour nous ». Quand à l’effectif encore dans la nature, « il est impossible à évaluer, on sait seulement qu’elles sont plus nombreuses et mieux implantées que la cistude. Mais de toute façon on a renoncé à les éradiquer : depuis 2002, elles parviennent à se reproduire en liberté. On ne peut qu’essayer de limiter leur expansion ». D’avril à octobre, le conservatoire invite les propriétaires qui souhaitent se débarrasser de leurs tortues à venir les déposer dans ses locaux. Là, elles sont stockées puis acheminées vers le jardin zoologique du parc de la Tête d’or, à Lyon. Une vingtaine de tortues ont déjà été récupérées cette année. Mais l’organisme de conservation du patrimoine naturel, qui a peu de moyens, souhaite faire plus encore. Et ne désespère pas de trouver des volontaires pour partir à la chasse à la tortue de Floride : « obtenir de l’aide des pêcheurs ce serait l’idéal », conclut André Miquet. Source
  7. AVIS DE RECHERCHE: TOTO, TORTUE DE 38 ANS, VOLÉE À MOUTON La chaîne barrant l'entrée du jardin des Mathieu, à Mouton, a été sectionnée. La tortue, achetée à la foire il y a trente-trois ans, a disparu. Pour Evelyne Mathieu, c'est plus qu'un vol: c'est un rapt. Cette Ruelloise, propriétaire d'une maison familiale dans le hameau de «Puygelier» à Mouton, a porté plainte après la disparition de Toto, une tortue terrestre âgée d'environ 38 ans dont elle est sans nouvelles depuis le 14 juillet. Ce jour-là, les Mathieu découvrent qu'en leur absence quelqu'un est entré par effraction dans leur jardin. «On» a sectionné le cadenas et la grosse chaîne qui entourent le lourd portail. Pas de doute, c'est bien le reptile à carapace que les visiteurs ont voulu dérober. Il s'est envolé avec une salade déposée par les propriétaires dans le coin du jardinet pour la nourrir. Rien d'autre n'a disparu. Et la porte d'entrée n'a pas été forcée. L'affaire est très sérieuse et les Mathieu réellement aux quatre cents coups. Toto fait partie de la famille depuis trente-trois ans. Achetée 40 francs, elle vaudrait 150 euros «Mes parents l'ont achetée à l'époque à la foire de Mansle pour 40 francs, se souvient Evelyne Mathieu qui, au fil du temps, s'est attachée à l'animal. Il fallait voir la tortue venir vers nous quand on arrivait pour lui donner à manger. Quand j'étais plus jeune, je me suis retrouvée au chômage pendant quelque temps. Je me suis alors occupé d'elle. Elle m'a beaucoup apporté. Ma mère avait également de l'affection pour cet animal». Lorsque les parents d'Evelyne sont décédés, les Mathieu ont conservé la maison familiale à Mouton. Et laissé Toto dans le jardin. «On n'a pas voulu la changer de cadre. Elle a toujours vécu là. On venait lui donner à manger tous les deux jours.» L'intérêt de voler une tortue? «Pour la revendre», imaginent les Mathieu. Le reptile entre dans la catégorie des espèces protégées selon la loi française et vaudrait «environ 150 euros» sous le manteau. Trois semaines après la disparition de sa fidèle compagne, Evelyne Mathieu ne perd pas espoir. Elle a passé une petite annonce dans CL la semaine dernière. Et distribue des photos de Toto dont voici la description: c'est une tortue de type ibéra d'environ 30 centimètres de diamètre et d'à peu près 2 kilos. Si vous l'apercevez, téléphonez au 06.79.98.49.23. Source
  8. Bah je n'ai plus grand chose maintenant donc ça ne sera pas difficile. Mon dieu, merci du compliment!
  9. Il était plus calme plus jeune mais je ne l'ai pas manipulé comme je devrais. Là j'ai plus de temps à lui accorder donc il devrait redevenir comme il était. Il est calme mais une fois sorti.
  10. Oui il y a un bout de temps quand il était plus petit et c'était surprennant quand même.
  11. Lancement à Ouargla d'une étude pilote sur l'envenimation scorpionique [Aps 10/8/10] OUARGLA - Une étude pilote sur l'envenimation scorpionique est en cours dans la wilaya de Ouargla, a indiqué mardi la direction de l'hôpital Mohamed Boudiaf de Ouargla. Impliquant des équipes médicales (réanimateurs et généralistes) de Ouargla et d'Alger ainsi que des paramédicaux, cette étude s'étale de début juin à fin août, période constituant le pic des cas de piqûres de l'insecte, et porte sur un examen clinique, biologique, toxicologique et immunologique, mené sur des malades directement, sachant qu'une partie des analyses se fait au centre de toxicologie de l'Institut Pasteur d'Alger, a-t-on précisé.L'étude doit déboucher, selon la même source, sur beaucoup de pratique concernant la prise en charge de l'envenimation scorpionique, une meilleure connaissance de l'évolution de la pathologie, et une adéquation de l'aspect préventif et de la prise en charge médicale.Cette étude pilote, dont une est menée simu! ltanément à Biskra, devra être élargie, selon ses résultats, à d'autres régions cibles du pays, a fait savoir la direction de l'hôpital Mohamed Boudiaf. L'opération vient peaufiner et parfaire le consensus de prise en charge de l'envenimation scorpionique, document de référence actuel, lui-même couronnement de tout un processus de prise en charge de ce type d'envenimation lancé dans les années 1980, depuis que la pathologie a été classée par les instances de tutelle en tant que problème de santé public, a-t-on ajouté.Le processus avait aussi donné lieu à l'organisation de plusieurs séminaires spécialisés à Ouargla, Biskra et El-Oued notamment. "Depuis, une grande amélioration a été constatée sur le plan de la mortalité, grâce à une meilleure prise en charge médicale, mais peut être aussi par la nature du sérum anti-venin de scorpions qui est fabriqué en Algérie", a-t-on fait remarquer.A titre d'illustration, l'évolution de la létalité de l'envenimation scorpionique, à l'éch! elle nationale, est tombée de 0,45% en 1991 à 0,20%, puis à 0,! 15% en 2008, selon la même source. Ce taux est calculé, a-t-on expliqué, sur un échantillon de 4.000 piqués/an pour une population de 100.000 habitants pour les wilayas du Sud-Est à forte prévalence de l'envenimation due au scorpion, et de 1.000 piqués/an pour une population de 100.000 habitants dans d'autres wilayas moins exposées.Le scorpion a fait, depuis le début de l'année à fin juillet dernier, 973 victimes, dont deux décès, dans la wilaya de Ouargla, a-t-on déploré. L'année dernière, 1289 piqûres avaient été enregistrées, entrainant 3 décès. La direction de l'hôpital Mohamed Boudiaf insiste, à cette occasion, sur l'importance du volet préventif, dans la lutte contre ce fléau, à travers notamment la préservation permanente de l'hygiène du milieu, la généralisation de l'éclairage public, la poursuite de l'opération de collecte des scorpions à des fins de fabrication du sérum anti-venin, tout en appelant à l'évacuation le plus rapidement possible des victimes vers les s! tructures de santé. Source
  12. La régénération des salamandres imitée chez la souris ! En s'inspirant de ce que sait faire la salamandre, des chercheurs ont réussi, chez la souris, à régénérer du tissu musculaire viable et à le réintégrer dans l'animal. La régénération d’un membre entier, à l’image de la prouesse de l'amphibien, est encore loin mais la recherche avance pas à pas. Les salamandres constituent l’un des rares groupes d’animaux capables de régénération. Une queue ou même un membre sectionné peut repousser et reformer la morphologie exacte du membre absent. Cette spectaculaire capacité intéresse fortement les biologistes qui espèrent trouver la clé pour adapter cette fonction à l’homme, qui en est dépourvu. En effet, excepté la régénération du foie et une certaine capacité limitée à cicatriser, il lui est impossible de reconstituer un ensemble de tissus complexes. Même si la question n’est pas encore totalement résolue, la majorité des scientifiques s’accorde à penser que la régénération chez les salamandres provient d’un retour des cellules musculaires situées autour de la blessure à un état primitif. Cette dédifférenciation s’accompagne d’une capacité à se multiplier, ce dont les cellules matures sont incapables. De précédents travaux de recherches avaient confirmé l’hypothèse et même identifié le responsable d’un tel mécanisme : le gène de la protéine du rétinoblastome (Rb). Habituellement, elle empêche la multiplication cellulaire, mais son expression est ici stoppée pour favoriser la régénération des tissus. Les mammifères aussi possèdent ce gène Rb, alors pourquoi la régénération n’est-elle pas possible ? Dans leurs recherches, des scientifiques du Stanford University School of Medicine à Stanford en Californie ont identifié un autre gène, Arf, absent des vertébrés inférieurs et donc potentiellement responsable de l’inhibition de la régénération. Ils ont cherché à éteindre l’expression des deux gènes, Rb et Arf, simultanément dans des cellules de mammifères, imitant l’état d’une cellule musculaire de salamandre en pleine régénération « Pas question de jouer avec le feu » Pour stopper l’expression des gènes, ils ont utilisé la technique d’ARN interférence sur des cellules musculaires de souris en culture. L’extinction spécifique des deux gènes a été réalisée transitoirement, laissant le temps à ces cellules (qui sont normalement incapables de se diviser) de commencer à proliférer. La restauration de l’expression des deux gènes a ensuite stoppé la division des cellules, qui ont finalement été réimplantées dans la souris et ont pu s’intégrer au tissu musculaire. Malgré cette belle réussite, les travaux publiés dans le journal Cell Stem Cell laissent des interrogations en suspens. Cette manipulation semble d’abord dangereuse au vu de l’extinction de deux gènes importants dans le contrôle des tumeurs (Rb et Arf). Pourtant les chercheurs se défendent : « Il n’est pas question de jouer avec le feu. La crainte vient du fait que les cellules n’étant plus protégées par le suppresseur de tumeur, elles peuvent se multiplier de manière incontrôlée. Mais des expériences ultérieures suggèrent que l’extinction temporaire du gène ne provoque pas de tumeur ». De plus, les cellules musculaires utilisées proviennent de cultures cellulaires et seraient trop éloignées du vrai tissu musculaire au sein d’un organisme vivant pour réagir de la même façon, selon certains chercheurs non impliqués dans l’étude. En outre, il ne s’agit ici que d’une dédifférenciation puis d’une multiplication cellulaire, encore loin d'une régénération à proprement parler, qui a des contraintes morphologiques et anatomiques complexes. Cependant, ces résultats confèrent une base pour la recherche sur la reconstruction de tissus. Les malades du cœur ou du pancréas pourraient peut-être un jour bénéficier de ces avancées grâce à la régénération des cellules endommagées, sans nécessiter de transplantation d’organes. Source
  13. A la recherche d’amphibiens disparus A la recherche d’amphibiens disparus. Conservation International et le Groupe de Spécialistes sur les Amphibiens de l’UICN ont annoncé le lancement d’une campagne de recherche dans l’espoir de retrouver plus de 100 espèces d’amphibiens dites « disparues ». Conservation International et le Groupe de Spécialistes sur les Amphibiens de l’UICN ont annoncé aujourd’hui le lancement d’une campagne de recherche sans précédent, menée par des équipes de scientifiques du monde entier, dans l’espoir de retrouver plus de 100 espèces d’amphibiens dites « disparues » (à savoir des animaux classés comme potentiellement disparus qui pourraient toutefois avoir survécu dans des endroits isolés). Selon l'Union Internationale pour la Conservation de la Nature et des ses ressources (UICN), cette recherche, qui se déroulera dans 14 pays sur cinq continents, est le tout premier effort de coordination mondiale pour localiser un grand nombre de créatures « disparues ». Elle intervient alors que la population globale de plusieurs espèces d’amphibiens souffre d’un déclin alarmant avec plus de 30 pour cent des espèces menacées de disparition. La plupart des amphibiens recherchés par les équipes de scientifiques n’ont pas été vus depuis plusieurs dizaines d’années. Il est extrêmement important de déterminer si ces populations ont survécu ou non afin de pouvoir évaluer l’étendue réelle de la crise d’extinction récente des amphibiens. Les amphibiens occupent un rôle critique dans les écosystèmes naturels, et sont responsables pour de nombreux services importants pour les êtres humains tels que le contrôle des insectes qui propagent les maladies infectieuses et produisent des dommages qui affectent la production agricole dans le monde. Les amphibiens aident aussi à maintenir la qualité de l’eau douce dans plusieurs cours d’eau. Les produits chimiques sécrétés par la peau des amphibiens ont également joué un rôle important dans la création de nouveaux médicaments ayant le potentiel de sauver des vies, y compris un analgésique 200 fois plus puissant que la morphine. « Les amphibiens sont particulièrement sensibles aux changements environnementaux et peuvent souvent servir d'indicateurs aux dommages subis par les écosystèmes » explique le Dr Robin Moore, qui organise la recherche pour le Groupe de Spécialistes sur les Amphibiens de l’UICN. « Le rôle d’indicateur joué par les amphibiens au niveau global signifie que les changements rapides et profonds de l’environnement, qui ont lieu depuis plus de cinquante ans, notamment les changements climatiques et la perte de l'habitat, ont eu un impact dévastateur sur ces incroyables créatures.Nous avons organisé cette recherche des espèces « disparues » qui, d'après nous, peuvent avoir réussi à survivre afin d’obtenir des réponses définitives. Nous espérons également apprendre ce qui a permis à quelques espèces faiblement représentées de survivre alors que d’autres espèces ont tout simplement disparu ». Au problème de perte d’habitat auquel sont confrontés les amphibiens , s’est ajouté la propagation d’un champignon pathogène, qui provoque la chytridiomycose, maladie qui a anéanti des populations entières d’amphibiens voire dans certains cas, des espèces entières. Le Dr Moore et son équipe ont dressé une liste de 10 espèces prioritaires parmi les 100 en cours de recherche.Il explique que « Bien qu’il soit très difficile d’évaluer l’importance d‘une espèce par rapport à une autre, nous avons réussi à dresser une liste de 10 espèces prioritaires de part leur valeur scientifique ou leur valeur esthétique particulière ». Liste des 10 espèces prioritaires : Carpaud doré,, Incilius periglenes, Costa Rica. Vu pour la dernière fois en 1989. Peut-être le plus célèbre des ’amphibiens disparus. En un peu plus d’un an à la fin des années 80, il est passé d’une population dense à l’extinction. Grenouille Plate a Incubation gastrique, Australie. 2 espèces – Rheobatrachus vitellinus et R. silus, vues pour la dernière fois en 1985 (dispose d’un mode de reproduction unique : les femelles avalent leurs œufs et élèvent les embryons dans l’estomac. Donnent naissance aux grenouilles par la bouche). Mesopotamia Beaked Toad, Rhinella rostrata. Colombie. Vu pour la dernière fois en 1914. Crapaud remarquable avec une tête distincte en forme de pyramide. Jackson’s climbing salamander, Bolitoglossa jacksoni, Guatemala. Vue pour la dernière fois en 1975. Salamandre d’un noir et d’un jaune exceptionnels – Une des deux espèces connues aurait été volée dans un laboratoire californien dans les années 70. African Painted Frog, Callixalus pictus. République Démocratique du Congo/Rwanda. Vue pour la dernière fois en 1950. Peu d’informations sont disponibles sur cet animal qui semble ne jamais avoir été photographié. Rio Pescado Stubfoot Toad, Atelopus balios, Equateur. Vu pour la dernière fois en avril 1995. Peut avoir été anéanti par la chytridiomycose. Turkestanian salamander, Hynobius turkestanicus. Kyrgyzstan, Tadjikistan ou Ouzbékistan. Vue pour la dernière fois en 1909. Connue seulement de deux spécimens récoltés en 1909 dans un endroit « entre Pamir et Samarkand » Scarlet frog; Atelopus sorianoi, Venezuela.Vue pour la dernière fois en 1990. Localisée dans une petite rivière dans une forêt isolée. Hula painted frog, Discoglossus nigriventer, Israël.Vue pour la dernière fois en 1955. Un adulte localisé en 1955 représente le dernier registre confirmé de l'espèce.Les efforts de drainage des marécages en Syrie pour irradier la malaria peuvent être à l’origine de la disparition de cette espèce. Sambas Stream Toad, Ansonia latidisca. Bornéo (Indonésie et Malaisie) :Vue pour la dernière fois dans les années 50.Une sédimentation accrue dans les rivières après une exploitation forestière pourrait avoir contribué au déclin de l’espèce. Claude Gascon, co-directeur du Groupe de Spécialistes sur les Amphibiens de l’UICN et vice-président exécutif de Conservation International a déclaré que « cette recherche est une grande première. Elle a une importance capitale non seulement en raison de la menace qui pèse sur ces amphibiens et notre besoin de mieux comprendre ce qui leur est arrivé mais également parce qu'elle représente une opportunité exceptionnelle pour tous les scientifiques du monde entier de redécouvrir des espèces qui ont disparu depuis longtemps. La localisation de ces animaux disparus peut nous fournir des informations vitales pour guider nos efforts de protection et pour aider l'humanité à comprendre son impact sur la planète ». Source
  14. Max|mum-leterrarium

    Mon pogona

    Il a une belle coloration. Ça va faire différent de ta petite mygale!
  15. Ça peut n'avoir rien à voir avec l'homme tu sais.
  16. Avec le CPIE, découvrez l'orvet fragile L'orvet fragile est un reptile, au corps allongé et cylindrique, possédant une tête de lézard. ... Il peut atteindre cinquante centimètres de long. Son corps est entièrement recouvert d'écailles variant du brun clair au brun foncé, voire noir. Son nom vient de sa queue qui casse facilement lorsqu'il est attaqué, ce qui lui permet de s'échapper. L'orvet fréquente les lisières forestières, les friches, les anciennes carrières, les talus de voies ferrées, mais aussi les jardins, et ruines. Le jour, il s'abrite sous des pierres, du bois, des feuilles mortes ou encore dans des galeries de petits rongeurs. Particulièrement actif en soirée, par temps pluvieux, l'orvet chasse divers petits animaux tels limaces, vers de terres ou insectes. L'espèce entre en hibernation en automne, en petits groupes, sous de grosses racines et ne réapparaît qu'en mai-juin pour se reproduire. Il faut attendre 3 ans pour le mâle et 4 ans pour la femelle, avant qu'ils ne puissent se reproduire. L'orvet est ovovivipare, c'est-à-dire que la femelle porte les oeufs durant la période d'incubation, dont la durée est d'environ trois mois. À ce terme, elle donne naissance à une dizaine de jeunes déposés dans un abri en août-septembre. Ces derniers mesurent cinq à sept centimètres et sont de couleur gris blanchâtres ou argentés. • Source
  17. La tortue imbriquée Les tortues imbriquées se nourrissent d’invertébrés, avec une préférence pour les éponges. En arrachant de petits morceaux de la surface du corail, elles fournissent de la nourriture aux poissons de récifs. Leur place est capitale pour l’équilibre des écosystèmes marins. Les menaces Tout comme les autres tortues marines, les tortues imbriquées sont menacées par la perte de leurs sites de ponte et de nourrissage, la collecte intensive de leurs œufs, les prises accessoires, la pollution et le développement des régions côtières. Bien que la tortue imbriquée protégé par la CITES (la Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d’extinction) et de multiples lois nationales, beaucoup d’entre elles sont encore victimes du commerce international. Le changement climatique et le réchauffement global menacent sérieusement les populations de tortues marines. Comme de nombreux reptiles, la détermination du sexe est dépendante de la température du sable. Si les températures globales augmentent, la proportion de mâles et de femelles en sera affectée. La population risque d’être déstabilisée. Le travail du WWF Via le réseau TRAFFIC, (le réseau de surveillance du commerce illégal des plantes et animaux), le WWF met un frein au commerce illégal de produits issus des tortues marines. Source
  18. http://www.lesdebiles.com/lezard-avec-deux-tetes-et-six-pattes-v9625-1.html
  19. Le zoo d'Anvers va conserver le sperme des salamandres géantes américaines (Belga) Le zoo d'Anvers va collaborer à un projet scientifique qui vise à sauver les salamandres géantes nord-américaines de l'extinction, a annoncé jeudi l'Université du Michigan. Dans cette optique, le zoo va conserver le sperme de ces amphibiens. Une équipe internationale menée par Robert Browne, scientifique australien travaillant au zoo d'Anvers, se chargera de récolter et de congeler le sperme des salamandres géantes nord-américaines. Ce projet est soutenu par la Communauté flamande et se fera en collaboration avec l'Université du Michigan et le zoo de Nashville. La salamandre géante est une espèce menacée, explique Robert Browne. "Il est donc important de conserver du sperme pour l'avenir car, de cette manière, nous pourrons réintroduire cette espèce dans 10, 20 ou 30 ans." Par ailleurs, ces techniques pourront également être utilisées pour d'autres sortes d'amphibiens. Le nombre de salamandres géantes nord-américaines a fortement diminué ces dix dernières années à cause de la dégradation et de la perte de l'habitat. Ces salamandres de 40 centimètres de long vivent aux abords des torrents dans le sud-est des Etats-Unis. On peut retrouver des espèces similaires en Chine et au Japon. (ROJ) Source
  20. Zoo de Bâle: une tortue de Tornier voit le jour - phénomène rare Une tortue de Tornier est née récemment au zoo de Bâle. C'est la première fois qu'une telle naissance est enregistrée sur les bords du Rhin. L'animal à carapace molle ne pond qu'un oeuf et se reproduit très rarement en captivité. Adulte, cette tortue ne mesure que 20 cm. Dans la nature, elle est menacée. On la trouve au Kenya et en Tanzanie. L'animal né à Bâle ne mesure actuellement que 4 cm, a indiqué jeudi la direction du zoo. La gestation dure entre 120 et 220 jours. Source
  21. Les apparences sont parfois trompeuses!!!
  22. J'ai toujours cette grosse bête qui a facilement doublé depuis que je l'ai. Ce gros gourmand venait tout juste de se bourrer la débaine dans les fruits de mer.
  23. Même s'il ne me reste moins de 10 reptiles, c'est officiel que je ne pouvais pas me défaire de ma grosse bête féroce.
  24. Eh oui, elle aussi a eu droit à un cadeau. Pour ceux qui connaissent Sophie, vous allez savoir pourquoi elle y a eu droit. Peut-être que certains d'entre vous l'ont déjà vu sans savoir que c'était elle. C'était la petite rousse qui m'a suivit dans chaque des expositions depuis le début de l'année sauf celle de St-Jean sur Richelieu. Elle qui aimait tant mon petit Luis, elle en parlait sans arrêt. Je lui en ai donc acheté un mais de sexe féminin. Malheureusement, elle ne l'a pas gardé sous prétexte qu'elle en avait peur. Par contre, on habite ensemble maintenant donc elle a le petit Luis chez elle.
  25. Rappelée à l'ordre pour avoir recueilli une couleuvre Pour avoir recueilli un serpent, une femme a reçu la visite des agents de l'Office de la chasse. Recueillir un oiseau à la patte cassée ou un petit hérisson en vadrouille dans son jardin est chose plus courante que capturer un serpent. D'autant plus quand ce long reptile à la mauvaise réputation s'avère être une espèce protégée. C'est pourtant l'amère expérience que vient de faire une habitante de Chancelade, qui avait récupéré chez elle une couleuvre verte et jaune. Capturée non loin de son domicile, cette trentenaire qui apprécie les serpents avait décidé de le placer dans un vivarium et de s'en occuper en lui donnant à manger. Ne sachant à quelle espèce appartenait son nouvel animal de compagnie, elle a posté, sur Internet, une photo de la couleuvre demandant qu'on l'identifie. La rapidité du web ayant parfois des effets indésirables, la Chanceladaise a reçu une visite des agents de l'Office national de la chasse et de la faune sauvage (ONCFS) pour toute réponse à ses interrogations. « Un internaute, à l'autre bout de la France, nous a signalé qu'une personne détenait chez elle une couleuvre verte et jaune, ce qui est strictement interdit car c'est une espèce protégée. Nous avons procédé à une perquisition. L'animal a été saisi et relâché », précise Aurélien Viau, chef du service départemental de l'ONCFS. Procès-verbal dressé Un procès-verbal a été établi par les agents et sera adressé aux services du procureur de la République de Périgueux qui prendront ensuite une décision. La couleuvre verte et jaune est un reptile courant dans les jardins en Dordogne. Elle n'est pas dangereuse pour l'homme car elle n'a pas de venin mais, en cas de morsure, il faut désinfecter la plaie. « Les animaux sont utiles dans leur milieu naturel. On ne récupère pas des serpents. La loi interdit également leur transport, poursuit Aurélien Viau. Le mieux, quand on a un serpent dans son jardin, c'est de ne pas y toucher ou de le faire fuir en tapant du pied, ce sont des animaux sensibles aux ondes. » Jusqu'à 9 000 euros Et pour celles et ceux qui rêvent de contempler ces serpents aux couleurs et longueurs variables, le chef de service de l'ONCFS conseille de se tourner vers des animaleries. « Les reptiles proposés sont moins contraignants que des sauvages. Les espèces trouvées dans la nature ne sont pas faites pour vivre en terrarium. La couleuvre que nous avons relâchée aurait pu mourir ou avoir des problèmes dans son cycle biologique car elle n'est pas faite pour être domestiquée », précise Aurélien Viau. Si ce genre de mésaventure reste plutôt rare en Dordogne, il est bon de garder dans un coin de la tête que la peine encourue pour la capture d'un animal protégé peut aller jusqu'à 9 000 euros d'amende et jusqu'à six mois de prison. Source
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