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Max|mum-leterrarium

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  1. Les tortues en 41 clichés Exposition. Une exposition de 41 photos de tortues marines se tient actuellement dans le hall du Novotel à Cayenne. Elle propose une immersion complète dans la vie de ces reptiles aquatiques, qui viennent pondre sur les plages de Guyane. Ce n'est qu'entre les mois d'avril et août que nous avons l'occasion de les observer et de les protéger. Une exposition qui tombe donc à pic pour ceux qui n'ont pas pu aller à leur rencontre sur les plages de Rémire-Montjoly ou Awala-Yalimapo. Portraits de tortues adultes, émergences (ou l'émouvante course à l'océan de dizaines de bébés tortues)... En 41 clichés et leur légende, l'exposition propose plus que de belles images : elle alerte aussi sur les menaces qui pèsent sur les tortues marines. L'occasion de sensibiliser enfants et adultes à la fragilité de cette espèce en danger ainsi qu'aux précautions à prendre lorsque l'on croise leur chemin. Cette exposition est l'aboutissement d'un projet de l'association Kwata qui s'ajoute à une série d'actions menées pour la protection des tortues marines. C'est d'ailleurs grâce au fonds photographique de ses bénévoles que l'association a pu mettre sur pied cette expo. Ceux qui ont manqué le spectacle grandeur nature ont encore la chance de l'apprécier en photos au Novotel jusqu'au samedi 12 septembre. - Exposition visible au Novotel de Cayenne, chemin Hilaire, route de Montabo à Cayenne. - Pour plus de renseignements, tél. association Kwata au 0594254331 ou 0694228323 ou sur internet www.kwata.net Source
  2. Une délégation internationale en formation à Kélonia Pendant 3 jours, le centre des tortues marines de Saint-Leu, Kélonia, a accueilli un atelier organisé dans le cadre de la Composante 5 du SWIOFP (South West Indian Ocean Fisheries Project). Cette Composante vise à évaluer et réduire les interactions avec la biodiversité et les espèces protégées dont font partie les tortues marines. C’est le centre Kélonia qui a été choisi pour organiser un atelier de formation sur la pose de balises Argos et le suivi à long terme des tortues marines. « Kélonia a des programmes de suivis depuis plus de 30 ans et nous avons posé notre première balise en 1994. Nous pouvons partager ces expériences avec les différents pays », explique Stéphane Ciccione, directeur de Kélonia. Cet atelier fait partie d’un vaste programme intitulé “SWIOFP” (South West Indian Ocean Fisheries Project). Financé par la Banque Mondiale, ce projet comprend 6 Composantes et dont l’objectif global est de se focaliser sur des ressources marines partagées entre différents pays et exploitées par la pêche dans la région du Sud-Ouest de l’océan Indien : état des stocks, état de pression des pêcheries, solutions à mettre en place pour une exploitation durable de ces ressources... Plus précisément, la Composante 5 vise à évaluer et réduire les interactions avec la biodiversité et les espèces protégées dont font partie les tortues marines. Les acteurs de la zone (Afrique du Sud, Mozambique, Kenya, Tanzanie, Seychelles, Comores, Madagascar, Maurice et La Réunion) impliqués dans l’étude et la conservation des tortues marines ont donc suivi une formation sur la pose de balises Argos. « Il y a eu une partie théorique, qu’est-ce qu’une balise Argos ? Comment elle fonctionne ? etc. Aujourd’hui, ils vont voir comment on pose une balise Argos », poursuit Stéphane Ciccione. Cette balise va permettre de suivre les déplacements de la tortue et également « ces comportements de plongée. Nous pourrons voir à quelle profondeur elle va, pour ensuite s’accorder avec les pêcheurs et éviter qu’ils pêchent à certaines profondeurs ». Cet atelier, financé par le Fonds français pour l’environnement mondial, permettra in fine aux pays de la zone de s’accorder sur un protocole commun pour pouvoir comparer et analyser les résultats des programmes de recherche. La coopération régionale est indispensable pour évaluer l’état des populations de ces grandes migratrices et mettre en place des mesures de gestion et de préservation efficaces. « A Kélonia, nous avons plusieurs espèces de tortues en bassin, nous pouvons donc faire une démonstration plus vivante, plus ludique », indique Stéphane Ciccione. En effet, une jeune tortue Caouanne a servi de cobaye pour la démonstration de pose de balise Argos. Attrapée accidentellement par un pêcheur en février dernier, la jeune tortue, trop immature pour que son sexe soit reconnu, a été prise en charge par Kélonia. « Nous l’avons opérée pour enlever l’hameçon » et, après avoir été chouchoutée pendant quelques mois par l’équipe du centre, Frankline devra rejoindre son milieu naturel dans 2 semaines. Une balise Argos, financée par la Région, a été posée sur cette tortue afin d’observer ses déplacements et comportements. Au total, 10 balises seront posées dans les mois qui suivent sur des tortues marines à La Réunion. Source
  3. Je viens de comprendre comment tu as fais pour pouvoir payer une maison!
  4. Nom scientifique : Corallus hortulanus Nom français : Boa amazone Nom anglais : Amazone tree boa Origine : Centre et sud de l'Amérique du sud Biotope : Humide Température : 28 à 32°C Hygrométrie : 70 à 80% Moeurs : Arboricole et nocturne Taille adulte : Moyenne de 1,5 mètres mais peut atteindre 2 mètres Longévité : Moyenne de 15 ans mais peut en atteindre 20. Nourriture : Oiseaux, lézards, petits mammifères mais en captivité accepte très bien les rongeurs. Voici un serpent qui a longtemps fait jaser pour son agressivité. Beaucoup de gens l'ont décrit pratiquement comme étant un tueur d'homme ou presque. Nous savons bien pourtant que c'était de l'exagération pure et simple. Ce serpent a une morsure féroce mais il n'est pas dangereux pour autant. Plusieurs aussi nous ont démontré qu'on pouvait les manipuler. La forme de ce serpent démontre bien qu'il est arboricole. Il se maintien aux branches avec une force incroyable.
  5. Eh oui, c'est officiel, je n'ai plus de mygales. Comme on dit, ce que femme veut, dieu le veut. Cette petite dernière est partie ce matin. Dommage puisque c'est une espèce tellement magnifique avec un comportement tellement fascinant. J'aimais bien voir ses petits tunnels qu'elle se creusait et modelait à l'aide de sa toile. L'une de mes plus belles acquisitions selon moi mais bon, un jour peut-être...
  6. Tu étais sur le point de te convaincre toi même au fait Un caméléon de Meller avec un Uromastyx égyptien, il te restait même de l'argent à dépenser pour des mossy frog Tu le fais tout seul Dire que finalement, tu les as acheté pareil. Je viens de me rappeller de tout ça en voulant faire un update photo de ma mygale qui est parti tantôt!
  7. Nom scientifique : Sericopelma rubronitens Nom français : Mygale à culottes rouges du Panama Nom anglais : Panamanian red rump tarantula Origine : Panama Biotope : Humide Température : 25 à 29°C Hygrométrie : 80% Moeurs : Terrestre et nocturne Taille adulte : 17 à 20 cm Nourriture : Insectes Voici une espèce de mygale très peu connu sur le marché. Elle est apparu dans nos foyers, il y a à peine 10 ans. On connait très peu de chose sur elle. Son venin n'est pas bien connu encore mais il est très puissant apparamment. C'est une mygale très rapide et agressive.
  8. Ça fait un bout que je ne vous ai pas donné de nouvelles d'elle. Eh oui, elle va toujours bien. Elle s'est calmé par contre donc un peu moins agressive. Pour ceux qui ont suivit le poste, j'avais deux mygales de cette espèce, l'autre est bel et bien morte.
  9. Formation au suivi des tortues marines Saint-Leu - Un atelier de formation sur la pose de balise Argos et le suivi à long terme des tortues marines sera organisé du 31 aout au 2 septembre 2010 à Kélonia à Saint-Leu. Cet atelier accueillera durant 3 jours des acteurs de la zone (Afrique du Sud, Mozambique, Kenya, Tanzanie, Seychelles, Comores, Madagascar, Maurice et Réunion) impliqués dans l'étude et la conservation des tortues marines. Durant cette formation les participants assisteront à la pose d'une balise Argos sur une tortue caouanne. La tortue sera ensuite relâchée en mer. Ils auront découvert auparavant l'ensemble des méthodes de suivi à long terme des populations de tortues marines. Cette formation est organisée dans le cadre du SWIOFP, un projet financé par la Banque Mondiale, dont l'objectif global est de se focaliser sur des ressources marines partagées entre différents pays et exploitées par la pêche dans la région du sud ouest de l'océan Indien: état des stocks, état de pression des pêcheries, solutions à mettre en place pour une exploitation durable de ces ressources... Ce sont les scientifiques de Ifremer et Kelonia qui dispensent cette formation. Kelonia ayant été retenu pour accueillir l'atelier en raison de ses infrastructures et des programmes de suivi menés à La Réunion depuis plus de 30 ans, qui permettent d'illustrer l'intérêt de ce type de programme à long terme. Les tortues marines sont des espèces migratrices qui occupent au cours de leur cycle biologique des habitats diversifiés réparties sur l'ensemble de la zone Océan Indien. La coopération régionale est donc indispensable pour évaluer l'état des populations et mettre en place des mesures de gestion et de préservation efficaces. La standardisation des protocoles est un élément déterminants pour pouvoir comparer et analyser les résultats des programmes de recherche. Source
  10. Un peu mieux expliquée Des œufs de grenouille pour créer un robot détecteur de polluants Un groupe de chercheurs de l'Université de Tokyo a mis un point un capteur ultra sophistiqué, de la taille d'une boîte d'allumettes et capable de détecté les odeurs de substances chimiques ou de gaz polluants, comme les émissions de dioxines de carbone. L'astuce consiste à insérer des œufs de grenouilles génétiquement modifiés dans le nez du robot. Les résultats de leurs travaux ont été publiés dans le dernier numéro de la revue Proceedings of the National Academy of Sciences. Les laboratoires de recherche utilisent communément les récepteurs olfactifs d'un Amphibien d'origine africaine, le Xenopus laevis ou xénope, que les Anglo-saxons nomment clawed frog (la grenouille à griffes). L'ovocyte de Xenopus laevis constitue un des modèles de choix pour les scientifiques. Elle fonctionne comme une petite usine et on peut la récolter facilement pour l'utiliser à ses propres fins. On sait, par ailleurs, que les moustiques sont équipés de détecteurs de dioxide de carbone qui leur permettent de repérer les hommes ou plus précisément le CO2 qu'ils exhalent. Il suffit d'extraire l'ADN de ces moustiques puis de l'injecter dans des œufs de grenouille. En réalité, les chercheurs japonais ont sélectionné trois insectes (deux espèces de papillons et une de mouche) connus pour leur capacité à détecter les odeurs. Les œufs génétiquement modifiés sont placés entre des électrodes pour former un détecteur et mesurer le courant créé lorsque les molécules odorantes se lient à eux. Ce détecteur biologique est bien plus sensible que les détecteurs, utilisant les vibrations physiques de tiges de quartz. Lors d'une démonstration, les chercheurs japonais ont utilisé un mannequin robotisé, dans le nez duquel ils ont inséré les œufs génétiquement modifiés. Celui-ci secoue la tête lorsqu'il détecte des odeurs. Source
  11. Un robot et des cellules de grenouille cela donne ? Vous êtes-vous lavé aujourd'hui ? Des scientifiques de l'université de Tokyo ont réussi à manipuler génétiquement des cellules de grenouille pour qu'elles deviennent des cellules de nez d'insecte. Je ne sais pas pourquoi ils n'ont pas directement utilisé de cellules d'insectes, désolé... Ensuite, ils les ont installées dans un "portable fluidistic device" ("dispositif portable fluidistique" ?), grâce à une méthode semi-automatique créée pour l'occasion. Je ne sais pas non plus comment on appelle une machine à qui on a raccordé des parties biologiques, toujours désolé... Ce serait le contraire d'un cyborg en fait. Inventeurs de mots, on vous écoute ! Après c'est le plus simple. Connecté comme une carte d'extension, cette objet portable fluidistique permet à un robot de détecter avec fiabilité plusieurs odeurs en même temps, avec une sensibilité de quelques parties par milliards, et même des composés aux formules similaires mais pourtant différents par leur structure atomique ne le pertubent pas (pour les détails techniques, voyez l'article sur le site de la PNAS). L'intégration n'entraîne aucune perte de sensibilité du dispositif, sans compter qu'elle est compacte. Les chercheurs pensent ainsi avoir mis au point un moyen simple de doter de l'odorat nos chers robots à venir, et suggèrent deux applications évidentes: la recherche de personnes en danger et la surveillance de la qualité de l'environnement en usine, laboratoire, etc. Humbrella Corporation devait certainement utiliser un système similaire... Source
  12. Un antibiotique à la grenouille? La peau des batraciens a récemment permis aux chercheurs de faire une grande découverte. La recherche sur les bactéries résistantes aux antibiotiques a fait un bond en avant. En effet, une découverte vient d'être faite et de nouveaux antibiotiques puissants pourraient être créés à partir de la peau des grenouilles. Les scientifiques savent depuis longtemps que la peau des grenouilles contient des substances hautement résistantes aux bactéries qui sont souvent toxiques pour les humains. Leur composition est ainsi faite en raison des milieux hostiles dans lesquels les batraciens vivent. Déjà, on dénombre une possibilité de cent antibiotiques, incluant celui qui pourrait irradier la bactérie Staphylococcus aureus (MRSA), laquelle se propage dans le domaine hospitalier et résiste à la méthicilline. Les scientifiques examinent maintenant les sécrétions de la peau de plus de 6 000 espèces de grenouilles en vue de développer des antibiotiques. Jusqu'ici, ils ont pu identifier la structure chimique d'à peine 200 de ces espèces. Ces découvertes ont été présentées lors de la conférence de l'American Chemical Society à Boston. Source
  13. Personnellement, je trouve ça plutôt fascinant. Je suis de ceux qui croit que ce genre de chose arrive pour quelque chose. J'espère pouvoir avoir un suivit de cette bête. Je suis curieux de savoir si elle vit normalement, se nourrit normalement et combien de temps elle vivra.
  14. En fait, ce qui me fait le plus grincher les dents, (j'ai faillis ne pas afficher la nouvelle pour cette raison) c'est qu'ils mentionnent un endroit exact où trouver l'une des tortues les plus protégés du Québec. On parle quand même de l'espèce de tortue la plus braconné au Québec. Je trouve fortement intéressant de le savoir personnellement puisque je risque de chercher l'endroit pour aller prendre quelques photos mais quand même...
  15. Son job : elle s'occupe de vos animaux Ancienne soigneuse animalière au zoo de Doué, Gwenaëlle Marchand s'occupe de vos chiens, chats, lapins... serpents et autres animaux de compagnie à la mode pendant vos vacances. L'histoire Cheveux longs et sourire aux lèvres, Gwenaëlle est en apparence une jeune femme de vingt-deux ans comme les autres. Pas tout à fait, pourtant. Passionnée par les animaux depuis son plus jeune âge, elle a choisi d'en faire son métier. À dix-huit ans, elle concrétise son projet et se lance dans une formation de soigneur animalier. Sept mois plus tard et son diplôme en poche, elle peut enfin se lancer. Son parcours débute par le zoo de Doué-la-Fontaine. Saisonnière, elle officie de février à novembre, deux ans durant. « Je m'occupais des girafes, des rhinocéros ou encore des lions. » Même les rencontres avec l'anaconda ne lui font pas peur. « Lorsque j'ai commencé, je rentrais dans le terrarium. Les responsables m'ont expliqué que le serpent pouvait me tuer alors je ne l'ai plus fait ». Son expérience ? Un atout Les hasards de la vie font parfois bien les choses. Pour ne pas rester inactive pendant la période de fermeture du parc animalier, Gwenaëlle cherche du travail. Internet va mettre sur son chemin une petite annonce qui va littéralement changer sa vie. « Les propriétaires de 4 pattes à dom' cherchaient quelqu'un pour reprendre l'entreprise. » Fonceuse, elle se présente. Sa formation de soigneuse et sa motivation parlent pour elle. Les propriétaires la choisissent. Elle va devenir chef d'entreprise a seulement 22 ans. L'affaire se conclut il y a quatre mois. Pour Gwenaëlle, la vie ne sera jamais plus comme avant : « Le fait d'avoir un poste à responsabilité et d'être son propre patron, c'est important pour moi. » Le concept de son entreprise, importé des États-Unis, est simple : elle propose aux particuliers de s'occuper de leur animal pendant leurs absences. Chiens, chats, lapins... La jeune femme leur donne à manger, les promène et prend soin d'eux lorsque leurs maîtres ne sont pas là. « Grâce à mon parcours, je peux m'occuper de presque tous les animaux. » Serpents et autres animaux de compagnie à la mode sont donc aussi les bienvenus. Souvent, son expérience est un atout : « Une fois, une cliente m'a contacté pour transporter un chat malade chez le vétérinaire. Il refusait absolument de rentrer dans sa boîte de transport. J'ai mis une serviette sur sa tête et il s'est laissé faire ». Quand les petites astuces simplifient la vie. Si tout se passe bien pour Gwenaëlle - le chiffre d'affaire de son entreprise a été multiplié par dix par rapport à la même période l'année dernière - elle réfléchit à de nouvelles idées pour développer 4 pattes à dom'. Source
  16. Les passionnés de reptiles se multiplient, jusqu'à passer dans le rang des éleveurs « On implose. Moi ce que je voudrais, c'est exploser. » À peine la 11e bourse aux reptiles est-elle entamée que Didier Loiseau, le président de la CATFA, l'association organisatrice, n'a qu'une idée en tête : prendre le Dojo d'assaut pour la prochaine édition. Les 35 mètres de couloir mis à disposition cette année, en plus de la salle Olof-Palme, pour les 90 exposants (dont certains ont dû être refoulés par manque de place), n'auront pas suffi à contenir les foules, agglutinées jusque dans les escaliers en attendant de se hisser vers l'entrée. Dès la première heure, 800 visiteurs ont foulé les allées bordées de reptiles. Dans les boîtes, des élaphes, des pythons, des boas... L'amateur incapable de reconnaître une espèce de serpent à l'oeil nu n'a eu qu'à suivre les étiquettes pour se faire une idée sur un spécimen, et sa valeur : au milieu du menu fretin se cache parfois des perles rares. Depuis dix ans, Nicolas Hussard traverse les Yvelines pour participer à la bourse. Cette fois-ci, il a apporté un python brongersmai « matrix albinos », né chez lui d'une mutation très difficile à obtenir. « Il m'a fallu deux générations pour produire un combiné entre le gène matrix et le gène albinos, indique le professionnel. Cette année, nous ne sommes que quatre dans le monde à en vendre. » D'où le prix, qui frôle les 5 000 E. Les amateurs passent la barrière À moins d'être un passionné pur jus, pas besoin d'y mettre autant trouver son bonheur. Une heure après l'ouverture, Nicolas Eeckout a déjà les mains bien remplies. Il s'est entiché de quatre lézards pogona qui lui ont coûté 200 E au total. « Je me lance dans l'élevage », annonce-t-il fièrement. L'idée a germé depuis un moment dans la tête du Lensois, jusqu'à ce que la bourse aux reptiles lui donne un prétexte pour passer à l'acte. Sa compagne, Sylvie, n'a plus qu'à suivre. « Avant j'étais sceptique, j'en avais même peur. Maintenant j'arrive à m'en occuper », relativise-t-elle. Nicolas met son acclimatation sur le compte de son lézard : « Le pogona, c'est une espèce super affectueuse et docile. On peut en faire ce qu'on veut. » C'est sans doute pour cette raison que Dorine Chamillard, Lucie Belin et Morgan Le Guilloux en ont fait leur élevage. Il y a quatre ans encore, ils faisaient leur ronde à la bourse, en simple acheteurs, où ils ont dégoté six lézards gecko. Aujourd'hui, ils en ont vingt, plus onze pogona, car les lézards ont fait des bébés. « C'est l'aboutissement de notre élevage, confie Lucie Belin. Entre notre passion et les bébés obtenus, on s'est décidés à exposer. » Le trio se revendique passionné, et surfe sur la vague d'un engouement croissant pour ces animaux de compagnie. Sans pour autant se faire d'illusion : « C'est un effet de mode, une façon de se démarquer. » Selon eux, le soufflé finira tôt ou tard par retomber... Mais plutôt tard que tôt. Pour la troisième année consécutive, la bourse dépasse les 3 200 entrées, 3 227 exactement. Record battu. Source
  17. Découverte en Galilée d'indices d'un festin datant de 12.000 ans Jusqu'à présent les chercheurs soupçonnaient l'existence de festins avant la période du néolithique, qui a débuté il y a environ 11.500 ans, mais n'en avaient aucune preuve, relève Natalie Munro de l'Université du Connecticut (nord-est des Etats-Unis), principal auteur de cette étude parue dans les Annales de l'Académie nationale américaine des sciences (PNAS) datées du 30 août. "Cette découverte représente la première preuve solide confirmant l'hypothèse selon laquelle les festins de groupe existaient déjà et peut-être assez fréquemment au début de la période de transition avec le début de l'agriculture", ajoute-t-elle. Le terme "néolithique" signifie l'âge de la pierre nouvelle, ou pierre polie, qui succède à l'âge de la pierre ancienne ou paléolithique. Le néolithique, qui s'achève vers 3.500 ans avant JC, est la période durant laquelle les humains sont passés de l'état de prédateurs à celui d'agriculteurs et de bergers.Natalie Munro et son collègue Leore Grosman, de l'Université hébraïque de Jerusalem, ont découvert les restes d'au moins 71 tortues et de trois autres animaux sauvages, une densité inhabituellement élevée pour cette période, dans deux fosses creusées de façon particulière. Les carapaces de tortues et les ossements des autres animaux portaient des marques indiquant qu'ils avaient été dépecés et cuits pour la consommation humaine. Une fosse a été creusée dans le cadre d'un rituel de sépulture humaine et l'autre dans celui d'un festin, selon ces chercheurs. Dans la première, les carapaces de tortues étaient disposées dessous, autour et au-dessus des restes d'une vieille femme enterrée apparemment selon des rites, ce qui laisse penser que le festin était organisé à l'occasion de ces funérailles. La viande qui provenait des tortues seules pourrait avoir nourri environ 35 personnes, ont calculé les auteurs de l'étude, tout en notant que davantage de convives ont pu participer à ce festin. "Nous ne savons pas exactement combien de personnes ont participé à ce festin en particulier ou la participation moyenne à ce type de réunion puisqu'on ignore quelle était la quantité de viande disponible dans la caverne", explique Natalie Munro, ajoutant qu'il s'agit "d'une estimation minimum" du nombre de convives basé sur les ossements présents. Une des principales raisons pour lesquelles les humains ont commencé à festoyer et un peu plus tard à cultiver et à élever leur propres sources d'alimentation s'explique par l'accroissement accéléré de la population et les changements dans les ressources disponibles, notent ces chercheurs. AFP. 30/08/10 Source
  18. Nouvelle espèce de tortue Une nouvelle espèce de tortue a été identifiée au parc national de Frontenac. Il s'agit de la tortue peintre. Celle-ci vient s'ajouter aux deux autres qui existaient déjà soit la serpentine et la tortue des bois. Medhi Daoudi, garde-parc naturaliste, explique que c'est la première fois que l'on voit une tortue peintre à cet endroit. 18 espèces d'amphibiens et de reptiles ainsi que 285 vertébérés peuvent être observés dans le parc national de Frontenac. Source
  19. Médecine vétérinaire : des animaux équipés de prothèses à découvrir en images Monde - Partout dans le monde, vétérinaires et orthoprothésistes rivalisent d'ingéniosité pour réparer ou remplacer pattes, nageoires et autres becs endommagés. Leur but : éviter l'euthanasie à des dauphins, des lamas, des chats voire des aigles ou des tortues de mer victimes de maladies ou d'accidents. Comme les êtres humains, les animaux peuvent parfois être victimes d'une amputation, consécutive à une maladie ou un accident. Dans le milieu naturel, ils sont alors généralement condamnés à une mort certaine, leur infirmité les empêchant de se déplacer, d'échapper à leurs prédateurs et de se nourrir. En captivité, le handicap induit par la perte d'un ou plusieurs membres pousse généralement propriétaires ou soigneurs à euthanasier les animaux concernés, au vu des coûts médicaux et des séquelles engendrés par l'amputation. Il existe pourtant de nombreux exemples d'animaux sauvés par l'homme grâce à la mise au point d'ingénieuses prothèses, souvent développées sur mesure pour ces patients à quatre pattes ou à nageoires. Des équipements qui témoignent de l'ingéniosité et de la détermination de certains vétérinaires, orthoprothésistes et soigneurs lorsqu'il s'agit de sauver un chat amputé des deux pattes arrière, un dauphin ayant perdu l'extrémité de sa queue ou une tortue privée de plusieurs nageoires. Maxisicences vous propose de découvrir quelques-uns de ces surprenants exemples en images : http://www.maxisciences.com/proth%e8se/dauphin-tortue-ou-aigle-des-animaux-sauves-par-des-protheses-sur-mesure_art8945.html# Source
  20. Furet ou boa : de drôles de compagnons Un furet tenu en laisse, trottant allègrement auprès de ses maîtres sur la pelouse de la place Jean-Jaurès à Tarbes. Ce spectacle insolite n'a pas manqué de surprendre en plein centre-ville pendant une animation estivale. Ce petit mammifère au corps allongé et à la queue touffue fait partie des nouveaux animaux de compagnie. Plus généralement nommés les NAC. Celui-ci est inoffensif, voire attendrissant. Toutefois, le furet ne ferait plus fureur. Très peu de ventes de cet animal qui ressemble à une peluche, note Emmanuel, l'animalier de Jardiland. « Le phénomène est passé de mode. » Selon ce spécialiste, « aujourd'hui, c'est plutôt l'écureuil de Corée qui a le vent en poupe ». Mais il est timide et craintif. Tandis que la gerbille, qui lui ressemble (mais sans la queue), « est plus sociable, elle a tendance à venir vers vous ». Bref, ces rongeurs, nouvelle coqueluche des enfants, sont voués à vivre en cage après leur achat. Ainsi va la vie de ces animaux de compagnie. Mais il y a bien plus dangereux que hamsters, souris, chinchillas ou autres mammifères. « Allô ! mon boa est parti » « Il est arrivé qu'on nous téléphone pour nous dire : « Mon boa est parti », raconte le commandant Didier Marcaillou, signalant toutefois que ce type d'appels en direction des pompiers est très rare. Seulement quelques-uns par an. » Le problème avec le boa, c'est qu'il est constricteur, c'est-à-dire capable d'étouffer sa proie. Pire, certaines personnes détiennent aussi des espèces venimeuses : serpents minute ou des mambas noirs, particulièrement dangereux. « Il faut aller les chercher dans un vide-sanitaire, ils peuvent aussi partir par la canalisation », constate cet officier. « De temps en temps, on fait appel à un herpétologiste pour montrer les techniques de capture. Il arrive qu'il vienne récupérer l'animal. » Le spécialiste en question, installé à Lannemezan, se nomme Pierre Barataud. « Je tiens une SPA pour reptiles », plaisante-t-il avant de raconter qu'il est intervenu assez récemment sur Tarbes pour récupérer trois gros serpents (pythons et boa), abandonnés dans un appartement avec des rats. Il est formel : « En aucun cas un serpent ne peut être un animal de compagnie. Si le reptile s'échappe dans la cage d'escalier, quelqu'un peut avoir une attaque et son propriétaire est responsable ». Toujours à Tarbes, il a récupéré des iguanes dans des jardins. Et trouve qu'il y a beaucoup de farfelus dans le milieu des reptiles. Globalement, concernant les NAC, il trouve scandaleux « d'acheter en animalerie des animaux pour les bambins et qu'on les retrouve à la SPA ». Et d'ajouter : « Mais ils achètent parfois des serpents pour les gosses ! » Source
  21. haha, je trouve ça drôle que tu parles au forum comme si tu parlais à quelqu'un
  22. Moi je n'aurais pas courru le risque de la mettre avec d'autres...
  23. Max|mum-leterrarium

    Bonsoir !

    Bienvenue parmi nous mademoiselle! J'espère que le forum te plaira!
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