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Max|mum-leterrarium

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Tout ce qui a été posté par Max|mum-leterrarium

  1. Un scorpion découvert sur les terrains d'Inbev à Louvain Les surveillants des terrains du brasseur Inbev à Louvain ont découvert dans la nuit de lundi à mardi un scorpion, a indiqué mardi la police locale de Louvain. Les gardiens ont trouvé l'animal, qui mesure 4 cm, dans les bâtiments situés sur la Vuurkruisenlaan et ont réussi à mettre la bête dangereuse dans une bouteille en plastique. La police est allée la récupérer sur place et l'a amenée mardi matin au parc animalier de Planckendael. Source
  2. Max|mum-leterrarium

    Bonjour a tous

    Bienvenue sur le forum! Pour les photos, voici un lien utile! /general-f12/mettre-une-photo-sur-le-forum-t214.htm J'ai quand prit le loisir de mettre ta photo adéquatement en attendant.
  3. Un python de 4,5 mètres dans le poulailler Un python de 4,5 mètres a été découvert dans un poulailler de Füllinsdorf, à Bâle-Campagne, dimanche matin. Le serpent constricteur avait déjà ingurgité une poule et tué une autre. Après le choc de sa découverte, vers 6h00 du matin, le propriétaire du poulailler a appelé la police. Celle-ci a dépêché un spécialiste en reptiles qui a pu capturer l'animal pesant pas moins de 19 kilos. Celui-ci s'était échappé d'une maison du voisinage actuellement en rénovation.Dans les combles de cette habitation, un autre python réticulé, long de 3,5 mètres et pesant douze kilos, a été découvert. Le deuxième python a aussi été capturé, a indiqué la police de Bâle-Campagne. Les deux animaux ont été confisqués sur ordre de la vétérinaire cantonale adjointe. Une plainte devrait être déposée contre le propriétaire des reptiles.ats/ap/sbo Source
  4. Un plan pour sauver les tortues molles à épines (Granby) Le Zoo de Granby tenait hier sa Journée de la biodiversité. Une vingtaine de représentants de groupes de réhabilitation d'espèces en voie d'extinction ont alors pu rencontrer les visiteurs du zoo pour les sensibiliser, entre autres, à la problématique du caribou de la Gaspésie, de la salamandre des ruisseaux, du chevalier cuivré et de la rainette faux-grillon de l'Ouest.«Par les années passées, nous appelions cette activité Journée de la conservation, mais comme l'ONU a décrété 2010 année de la biodiversité, on a choisi de changer son appellation», explique Hélène Bienvenue, conseillère en communications du zoo. Si le nom a changé, l'essence de l'activité est la même. Les spécialistes réunis en plein coeur du zoo ont prodigué informations et conseils aux visiteurs avec la ferme intention d'ouvrir les yeux des gens sur les dangers qui guettent les animaux menacés du Québec, mais aussi ceux du monde entier, comme la tortue marine affectée par la marée noire du golfe du Mexique. Source
  5. Une tortue luth échouée sur une plage de l'île d'Oléron LA ROCHELLE - Une tortue luth, la plus grosse tortue marine au monde, a été retrouvée morte vendredi sur une plage de l'île d'Oléron (Charente-Maritime), a-t-on appris auprès des pompiers."On ne sait pas pourquoi elle est morte, nous allons l'autopsier" samedi, a expliqué à l'AFP Mathieu Coutant, chargé de mission à l'aquarium de La Rochelle.Ce phénomène intervient "entre cinq et dix fois par an sur la côte Atlantique", a-t-il ajouté, les tortues venant dans la région afin de se nourrir."Il arrive que les tortues ingèrent des sacs plastiques en les prenant pour des méduses" et qu'elles en meurent, a expliqué M. Coutant, en soulignant que "toutes les tortues marines sont en voie d'extinction".Les tortues luth peuvent mesurer 2m de diamètre et atteindre 500 kg, pour une longévité de 50 ans.(AFP / 09 juillet 2010 18h56) Source
  6. Tessin: une tortue, coincée dans une cheminée, sauvée in extremis Coincée dans une cheminée, une tortue terrestre âgée d'une vingtaine d'années a pu être récupérée juste avant de mourir déshydratée. Il a fallu deux heures à quatre inspecteurs de la Société de protection des animaux pour la tirer de sa fâcheuse posture. Le sauvetage a eu lieu jeudi soir dans une maison de Solduno près de Locarno, a indiqué vendredi à l'ATS Armando Besomi, président de la Société de protection des animaux de Bellinzone (SPAB). La tortue qui appartient aux habitants de la maison avait disparu depuis deux à trois jours. L'animal s'est introduit dans la cheminée depuis le jardin, en empruntant le conduit d'aération, précise M. Besomi. Ses propriétaires l'ont entendue gratter mais n'ont pas pu la libérer car elle était encastrée derrière une plaque en acier. La SPAB est intervenue avec une caméra mobile qui a permis de localiser la position de l'animal. "La plaque d'acier a dû être tranchée à l'aide d'un fer à souder et il s'agissait de ne pas blesser ou brûler la tortue", explique Armando Besomi. (ats / 09 juillet 2010 22:00) Source
  7. Un serpent remonte par le siphon d'une baignoire Hier matin, un grand serpent noir et blanc a été découvert dans la baignoire d'un appartement de Tourcoing. Le reptile a été rendu à son propriétaire, le voisin du dessus, qui aurait expliqué l'avoir perdu il y a plusieurs mois. Belle frayeur, hier en fin de matinée, pour des ouvriers chargés de remplacer une baignoire dans un appartement de la rue Philippe-de-Girard, à Tourcoing. « Il y a des travaux dans notre immeuble, témoigne l'occupante de l'appartement. Des ouvriers étaient chargés de changer la baignoire quand un jeune a sursauté. Son collègue, plus ancien, est venu me voir pour me dire : "Madame, il y a un serpent". » Elle n'en croit pas ses yeux. « Je suis soignée pour le coeur. Heureusement que ce n'est pas moi qui suis tombée dessus. J'aurais fait une crise cardiaque direct ! » Là, le sang-froid a prévalu. // Les pompiers de Tourcoing ont été appelés à la rescousse. « C'était un long serpent noir avec une ligne blanche, continue la propriétaire. Ils ont mis le serpent dans une de mes cocottes. » Stocké à la caserne des pompiers de Tourcoing, le reptile a finalement été récupéré par son propriétaire. Ce voisin a expliqué qu'il avait perdu son animal il y a plusieurs mois. Selon des voisins, il s'agissait d'un serpent roi de Californie non venimeux. « Venimeux ou pas, le voisin est venu me rendre ma cocotte. Hors de question que je cuisine là-dedans. Il m'en faut une neuve ! », continue la locataire, visiblement remise de ses émotions.w V.DE. Source
  8. Ça coasse fort aux Grandes-Crosettes «Tu les entends chanter?» Hier matin, dans l'étang des Grandes-Crosettes, un concert de grenouilles vertes accompagne le cri des troglodytes. Marcel Jacquat, ancien conservateur du Musée d'histoire naturelle écoute, fasciné, ravi! «Il y a deux ans encore, on n'en entendait pas une seule ici... Et ces grenouilles vertes sont beaucoup moins nombreuses que les grenouilles rousses qui sont certainement déjà sorties de l'étang il y a longtemps». Sous un soleil qui tapait déjà de toutes ses forces vers 9 heures et demie, une petite équipe - «ils font tous partie de ce Groupe de protection des batraciens des Grandes-Crosettes, une équipe de gens désintéressés qui aiment la nature!» - allait se rassembler pour enlever la barrière sud du passage. La barrière nord, destinée à guider les batraciens de la forêt à l'étang pour la ponte, par tunnels interposés, avait déjà été enlevée début juin. Les lieux étaient idylliques mais c'était du travail, à faire de préférence avec de bonnes chaussures car le terrain était pentu. il s'agissait d'arracher une série de maillets puis d'enrouler 200 mètres de bâche. Pourquoi ne pas la laisser en place, finalement? «Avec le temps, elle s'abîmerait, et entre la barrière nord et la barrière sud, on en a quand même eu pour 10 000 francs». Arrivent Daniel Christen, Eric Fischbacher et Nathalie Doudin. On les entend s'exclamer: «Et un triton, un!» «Une grenouille rousse!», microscopique merveille de la nature qui doit bien avoir quelques semaines. A ne pas admirer trop longtemps: ces délicieuses petites créatures n'apprécient pas le soleil... Il grouille de vie, cet étang, bien que les algues y prolifèrent. Des martinets y font du rase-mottes, les libellules s'amusent avec les papillons, sur fond d'un chœur de «côa côa» qui réjouit le cœur de nos dévoués travailleurs. Mais toutes les grenouilles ne passent pas de l'autre côté de la route sans casse. Hier matin, on en a vu une aplatie sur le bitume, et Marcel Jacquat, une bonne dizaine il n'y a pas longtemps. C'était justement un cri d'alarme de Nathalie Boulin qui avait lancé l'aventure: en période de reproduction, les batraciens se faisaient écraser en masse en traversant la route pour passer du Bois-du-Couvent à l'étang des Grandes-Crosettes... /CLD CLAIRE-LISE DROZ Source
  9. Pas de chasse à la grenouille sans permis (Québec) En camping, au chalet, lors d'une sortie baignade dans un lac, vous capturez des grenouilles avec fiston. Criminel! Non pas que l'activité soit interdite, mais vous avez sans doute oublié d'acheter votre permis de chasse à la grenouille léopard, à la grenouille verte, au ouaouaron...Eh oui, la loi est claire à cet effet, confirme le sergent Sylvain Marois de la direction régionale de la Capitale-Nationale et de la Chaudière-Appalaches du Service de la protection de la faune. Avant de pister et d'abattre les amphibiens, vous devez acquitter les droits de 14,49 $ pour le fameux document légal. «Si on prend la loi au pied de la lettre, ça prend un permis pour faire de la chasse à la grenouille.» Vous êtes cependant dispensés de l'obligation de détenir un permis de port d'arme et un certificat de chasseur. Et on n'abat pas la bête n'importe comment. Il y a des commandements à respecter lors de vos excursions, précise le sergent Marois. Vous ne pourrez ainsi tuer la grenouille qu'avec des «engins de chasse de type 8» énumérés dans la loi. Les attraper avec les mains est accepté. Sinon, sortez l'épuisette, l'hameçon, l'assommoir ou le dard (bâton avec un clou à l'extrémité). Quelques stratégies moins con-ventionnelles sont aussi acceptées. Il y a la fosse, une cavité dans le sol avec un appât au fond ou un trou creusé assez profond pour que la grenouille ne puisse plus en sortir. La technique «de la barrière» est également légale : la grenouille aime suivre un mur ou une clôture. En disposant un piège en forme de labyrinthe au bout de la «barrière», vous pourriez en récolter plusieurs. Si un agent vous coince en flagrant délit, sans permis valide, il pourrait sévir. Dans les faits, le sergent Marois convient que la traque aux chasseurs hors-la-loi de grenouilles ne trône pas au sommet des priorités de son service. «C'est sûr que si quelqu'un le fait de façon commerciale et qu'il y a une plainte, on va aller voir.» Au fait, si un des parents détient un permis, il peut inviter son conjoint ou son enfant sans contrevenir à la loi. Le document est valide un an. Attention toutefois, seules les trois espèces nommées sur le document (la grenouille léopard, la grenouille verte et le ouaouaron) peuvent être chassées. Source
  10. Le pelobate cultripède va t-il arrêter la LGV ? Une espèce de grenouille très protégée a été découverte à Fargues-sur-Ourbise. Il s'avère que cet animal réside là même où doit passer la future ligne LGV. Voici quelques années, un tout petit insecte, le pique prune, s'était, bien involontairement trouvé sous le feu des projecteurs en étant à l'origine de l'arrêt du chantier d'une autoroute du centre de la France pour cause de destruction de son habitat de prédilection. L'histoire risque de se répéter chez nous à cause d'une sorte de « grenouille », le Pélobate cultripède. Ce fameux batracien aurait pu passer inaperçu sans la perspicacité de techniciens d'un bureau d'étude bordelais qui l'ont « déniché » du côté de Fargues sur Ourbise, justement là où certains herpétologues (dont ceux de la SEPANLOG) ne l'avaient pas encore (ou mal) cherché. Sauf que cette charmante bestiole bénéficie de mesures de protection drastiques, y compris à l'échelon européen dès lors qu'elle figure dans la fameuse Directive Habitats (Annexe 3). D'où l'interrogation d'opposants à la LGV qui voient là une opportunité supplémentaire à saisir pour faire capoter le projet. « Dans l'absolu, compte tenu de la vulnérabilité des noyaux de populations que nous avons en Aquitaine (seulement 3 connus hors littoral dont un seul en Lot-et-Garonne, une destruction des zones représentant des habitats d'une importance majeure pour l'espèce ne serait pas envisageable surtout en pleine année mondiale de la Biodiversité nous a confié avec un petit sourire le président de la SEPANLOG, J.P Lacave. Et si je dis dans l'absolu c'est tout simplement pour souligner les incohérences et donc les limites de la politique de préservation de notre patrimoine vivant ». évitement ou mesures compensatoires Renseignements pris, la fameuse Directive Habitats prévoit, en effet, le cas de « force majeure » et donc la possibilité d'ignorer les dispositions législatives et réglementaires qui s'appliquent à tout un chacun sans pour cela concerner les grands projets au premier rang desquels se situe, en Lot-et-Garonne, la LGV.Pour l'instant la sonnette d'alarme a été tirée sans pour autant arrêter… le train en marche. Situé dans le fuseau de 1000 mètres, l'habitat du pélobate pourrait, en effet, bénéficier d'une mesure d'évitement même si, disent les écologistes, « il faudra étudier de très près les risques de fragmentation du noyau de population ». Mais là encore RFF a tout prévu, y compris la construction de « batroducs », en clair des passages à batraciens ; cela coûtera simplement un peu plus cher. Et puis, en dernier recours, reste l'arme fatale, la prise de mesures compensatoires ou l'art de payer pour… détruire, y compris des milieux ultrasensibles ; c'est tout à fait légal ! Et notre Pélobate dans tout ça ? il continue de couler des jours heureux dans cette partie des landes de Gascogne en attendant que des naturalistes avisés trouvent quelques refuges supplémentaires histoire de pimenter les débats autour du passage de la LGV. Source
  11. Il fait quelle taille? Il y a toujours la bonne vieille méthode des trappes collantes mais par contre, personnellement, je me trouverais une bonne paire de gants pour le moment de le décoller. Tu le décolles avec de l'huile végétale de sa trappe.
  12. Je ne sais pas si elle l'a encore. Je ne lui ai pas parlé depuis un bout mais elle parlait de le vendre un moment donné.
  13. C'est sur que c'est faisable. Je le conseille pour les jeunes corns snakes entre autre. On prend un deux litres de pepsi qu'on découpe le haut pour le recoller à l'envers avec une proie à l'intérieur. Ce qui donne comme résultat qu'une fois le serpent entrer, il a de la difficulté à trouver la sortie donc ça nous laisse du temps pour le retrouver. Par contre, avec un White lips, c'est trop gros pour ça.
  14. France : un serpent s'invite dans le métro parisien Les rats ne sont plus les rois du métro parisien car un animal bien plus exotique leur a volé la vedette la semaine passée. Le 2 juillet dernier, les voyageurs de la station "Télégraphe", dans le 20e arrondissement, ont eu la mauvaise surprise de découvrir dans l'une des poubelles une couleuvre vivante, précise Europe 1. Les pompiers sont intervenus quelques minutes plus tard afin de capturer l'animal laissé à l'abandon. Selon le journal officiel de la Police, PPRama, le serpent aurait été abandonné par son propriétaire avant d'être transféré dans une animalerie du 13e arrondissement. Source
  15. Un serpent "de race non identifiée" capturé place Voltaire Les sapeurs-pompiers doivent parer à toute éventualité. Dans la nuit de mardi à mercredi, ils sont intervenus dans le centre-ville de Narbonne dans le cadre d'une mission pas comme les autres. Ils ont dû capturer un serpent blanc long de 40 centimètres qui, semble-t-il, effrayait quelques passants. Sa race n'a pu être déterminée. Le reptile a été emmené chez le vétérinaire de garde. Les sauveteurs ont récupéré l'animal grâce à une pince adaptée. Nul n'a été blessé. Source
  16. Personnellement, il y a quelques années, j'avais perdu un serpent et il a été retrouvé 6 mois plus tard. Il semblait en parfaite santé mais un peu amaigrit, à peine en fait. C'est sur que c'était un serpent adulte. J'ai vécu la même chose durant la même époque avec un bébé boa des sables. Ouin, un serpent adulte qui se pousse et qui jette les bacs des bébés parterre. J'avais retrouvé tous les autres sauf lui. Je l'ai retrouvé au bout de trois mois traversant tout bonnement la cuisine. Il était affaiblit honnêtement. Ça me faisait peur puisqu'à l'époque, j'avais un gros trou dans le plancher juste derrière le four qui tombait à être de l'autre côté du mur de ma chambre à reptiles.
  17. Ça reste un white lips. As tu un plafond flottant dans ton sous-sol. Je me rappelle avoir été chez quelqu'un qui cherchait un serpent et on avait lever les tuiles du plafond flottant pour retrouver le serpent là. Personnellement, j'ai cherché un serpent durant un mois pour le retrouver couché en boule sur une tablette dans la garde-robe.
  18. Max|mum-leterrarium

    Terra de mon pogona

    C'est très bien je te dirais. En plus, tu auras la chance d'avoir un terrarium esthétique.
  19. Est-ce que tu as des bureaux à tiroirs dans ce coin là? Est-ce que tu as des trous dans les murs?
  20. Nom scientifique : Acanthoscurria geniculata Nom français : Mygale à genoux blancs du Brésil Nom anglais : Brazilian white knee tarantula Origine : Brésil Biotope : Semi-humide à humide Température : 26 à 32°C Hygrométrie : 65 à 75% Moeurs : Terrestre à tendance fouisseur et nocturne Taille adulte : 20 cm Nourriture : Insectes Voici une belle mygale de grande taille. Il n'est pas rare de voir des spécimens dépasser les 20 cm chez cette espèce. Pour ceux qui aiment voir grandir un animal et qui sont impatient. La croissance de cette espèce est très rapide. Ils auront atteint leur taille maximale dans les trois premières années.
  21. Nom scientifique : Heterodon nasicus Nom français : Hétérodon de l’ouest Nom anglais : Western hognose Origine : Sud des États-Unis et Mexique Biotope : Semi-humide Température : 26 à 30°C Hygrométrie : 50 à 60% Moeurs : Terrestre à tendance fouisseur et crépusculaire Taille adulte : 40 à 80 cm Longévité : 10 ans Nourriture : Crapauds, petits mammifères, oiseaux et lézards La photo a été emprunté au site http://research.amnh.org/ L'hétérodon de l'ouest est l'une des espèces de serpents qui fait jaser pas mal de lui ici au Québec. Tout le monde connait la règlementation concernant les serpents venimeux sur notre territoire. Pourtant, l'hétérodon est muni d'une dentition opistoglyphe. Ce type de dentition est une dentition venimeuse mais le crochet à venin est situé à l'arrière plutôt qu'à l'avant. L'utilité de ce type de dentition est de crever les crapauds qui se gonflent lorsqu'ils les mangent. Ce serpent a une autre particularité. Regardez bien l'écaille rostale au niveau du nez. La position de cette écaille est tout simplement d'aider le serpent à creuser dans le sol pour s'y enfouir.
  22. Épisode 8 Cette semaine : à Tucson, Marc Hammond sort plutôt amoché d'une rencontre avec un serpent agressif; en Floride, Rick Kramer et Scott Petrone interviennent auprès d'un alligator qui risque d'attaquer des enfants; une mère de famille demande l'aide de Carl Lackey lorsqu'un ours noir pénètre dans sa cuisine; et deux travailleurs de la construction rencontrent deux moufettes. Prochaines diffusions de cet épisode Mardi 13 juillet à 13h00 Jeudi 15 juillet à 7h00 Canal D
  23. Épisode 7 Cette semaine : Jim Davidson Sarvey est à la recherche d'un ours blessé. Pourra-t-il le retrouver à temps?; Pete Nolan et Brad Gates interviennent auprès d'un raton laveur prisonnier d'un panneau d'un concessionnaire automobile; Rick et Scott Kramer recherchent un gigantesque alligator vivant à proximité d'un terrain de golf; et un raton laveur a élu domicile dans un garage, mais Garon Fyffe est sur place et tente de le ramener en forêt. Prochaines diffusions de cet épisode Mardi 6 juillet à 13h00 Jeudi 8 juillet à 7h00 Canal D
  24. Un programme de réintroduction sauve la tortue géante des Galapagos [b]D'après le Guardian. La réintroduction d’espèces que Charles Darwin a côtoyées suscite l’espoir pour d’autres. Des scientifiques ont réussi à réintroduire les tortues géantes aux Galapagos où l’espèce avait frôlé l’extinction. Dans le reste de l’archipel, l’espoir renaît. [/b] La semaine dernière, l’observation d’Hispanola, l’île la plus méridionale, a confirmé, que les efforts entrepris pour réintroduire des petits de tortue géante avaient porté leurs fruits : la population atteint désormais 1 500 individus. Le projet a pour but de replonger à l’époque où l’homme n’avait pas encore éradiqué l’espèce qui a inspira à Charles Darwin sa théorie de l’évolution. « C’est la fin heureuse d’une histoire triste », résume Johannah Barry, présidente de Galapagos Conservancy, une organisation basée en Virginie et qui a en partie financé l’étude.ET AUSSI... Les résultats préliminaires de l’étude, conduite sur 10 jours par les gardiens du parc national des Galapagos ont révélé que l’albatros, le cactus et la végétation boisée ont également entamé leur convalescence, redonnant à l’île un aspect proche de celui qu’avait pu observer Darwin deux siècles auparavant. « Une des espèces de tortue géante (Geochelone hoodensis) ne comptait plus que 15 individus dans les années 70 alors qu’elle était très répandue auparavant », explique Washington Tapia, un employé du parc qui a mené l’observation en utilisant des appareils électroniques pour suivre les animaux. « Pendant l’expédition, nous avons découvert des nids, des tortues tout juste sorties de l’œuf et des adultes, tous nés à Hispanola. Ce qui indique que la population se porte bien. » La population est à présent comprise entre 1 500 et 2 000 individus, poursuit Linda Cayot, conseiller scientifique à Galapagos Conservancy. « Nous pourrons affiner nos conclusions quand les résultats de l’observation seront analysés. » La population d’origine était estimée à 5 000 individus avant de devenir le mets privilégié des marins de passage. Le succès du projet a permis la mise en œuvre d’un plan similaire sur une autre île, Pinta, avec les mêmes espèces, dans l’espoir de recréer un écosystème « pré-humain ». Les îles volcaniques éparpillées sur presque 1 000 kilomètres à l’Ouest de l’Equateur sont classées au patrimoine mondial de l’UNESCO et sont le refuge de dizaines d’espèces endémiques. 95 % des 4 800 km² du territoire sont des zones protégées. « C’est vraiment incroyable de se trouver dans un des rares endroits où l’on peut observer l’évolution en temps réel », se réjouit Henry Nicholls, ambassadeur du Galapagos Conservation Trust. Il considère la réintroduction de la tortue géante d’Hispanola comme une très bonne nouvelle. « C’est une espèce emblématique qui capte l’attention du public ». Les autorités ont décidé de massacrer les envahisseurs dans les années 70 en faisant appel à des équipes de tireurs d’élite mais quelques chèvres ont survécu, se sont reproduites et le problème persista jusqu’aux années 90 où l’on utilisa des hélicoptères, des chiens et des systèmes de traçage radio. La nouvelle méthode consistait à utiliser des chèvres Juda munies de colliers électroniques permettant de retrouver les troupeaux furtifs. « Mois après mois, les tireurs revenaient, tuaient toutes les chèvres sauf les Juda. Une fois les troupeaux éradiqués, les Judas furent tuées à leur tour », explique Nicholls. La menace pour les espèces endémiques a fait qu’il y eut peu de protestations à propos du massacre des chèvres. « Le public n’a pas contesté ces mesures car les tortues étaient en danger », dit Barry. Les scientifiques ont déplacé 15 tortues géantes, les dernières de leur espèce, depuis leur habitat dévasté sur Hispanola vers un lieu de reproduction en captivité. Une fois les chèvres éradiquées, les petits nés du programme furent réintroduits sur l’île. « Les tortues ont commencé à jouer leur rôle d’architecte de l’écosystème », précise Tapia, directeur de la mission d’observation de l’île. « Nous pouvons dire avec certitude que l’intégrité écologique d’Hispanola est en train d’être restaurée. Un plan similaire pour repeupler Pinta, dans le Nord de l’archipel est en cours d’élaboration. » Cependant, la seule tortue encore en vie de Pinta, Lonesome George, ne s’est jamais reproduite malgré des décennies passées en captivité. Source
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