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Max|mum-leterrarium

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Tout ce qui a été posté par Max|mum-leterrarium

  1. Toi tu l'avais déjà vu. Tu étais là quand je les ai acheté, du moins réservé!
  2. C'est le record pour cette espèce donc je n'y compte pas trop. Quoi qu'elle est encore en pleine forme.
  3. J'ai trouvé cet article fort intéressant puisque ça parle d'assurance. Elle écrase une tortue : qui va payer? L’histoire relatée dans les quotidiens du groupe Sudpresse est somme toute assez banale et pourrait concerner, de près ou de loin, de nombreux enseignants. Pour faire simple : une enseignante (dont on présume qu’elle a en charge le cours de sciences) accepte qu’une de ses élèves apporte sa petite tortue en classe pour un exposé. L’animal est confortablement installé dans une caisse et la classe entière prend plaisir à observer le curieux reptile. Par un malheureux concours de circonstances, à la fin de la leçon, la tortue est extraite de son refuge et posée par terre. Emportée dans ses explications, distraite, le professeur heurte du pied l’animal qui fait moins d’une quinzaine de centimètres. C’est le drame ! La tortue est immédiatement emmenée chez un vétérinaire. L’enseignante pense que l’on va pouvoir la sauver et propose spontanément de prendre tous les frais en charge! Elle prend régulièrement des nouvelles du blessé dont on a colmaté la carapace avec un gel spécial… Hélas, malgré tous ces soins, la tortue meurt 48 heures plus tard. Une fois la période de deuil terminée, se pose alors la question de savoir qui va payer. Notre enseignante se renseigne auprès de son assureur. Prudente, elle a contracté en plus de sa RC familiale, une assurance en responsabilité professionnelle. Mais, souhaitant faire fonctionner la première, elle se heurte au montant de la franchise : 224 euros. Une somme qu’elle doit donc sortir de sa poche. Je ne sais pas combien peut coûter une tortue de ce type. À cela s’ajoutent deux visites chez le vétérinaire. Je pourrais en avoir pour près de 200 euros au total, un montant juste inférieur à ma franchise. Quant à la deuxième option, des différences importantes sont parfois constatées entre les contrats offerts par les différentes compagnies. Philippe Fontaine est assureur à Manage et conseille à tous les enseignants d’être prudents. Ce que je conseillerais à notre malheureuse enseignante, c’est de se renseigner aussi auprès de sa direction à propos de ce que couvre l’assurance de l’école. Je conseille au minimum une RC Vie Privée. Les parents qui ne s’assurent pas ont à mon avis un goût du risque immodéré. Cette assurance n’est pas obligatoire mais il faut savoir que 80 % des ménages belges sont couverts. Pour l’assurance professionnelle « enseignant », il faut d’abord s’informer de la couverture exacte de l’assurance de l’école auprès de la direction. Ce qui est vraiment important, c’est d’éviter avant tout le conflit d’intérêt qui pourrait se produire entre le professeur et l’école. Déjà une assurance « prof » pour 25 euros par an De nombreuses compagnies proposent ce type d’assurance. Ethias propose depuis quelques mois une formule intéressante : Le Modulo Enseignant, un pack d’assurances à prix avantageux. Son contrat « Academic » a déjà séduit plus d’un enseignant sur deux et aucune franchise n’est exigée. L’ option « Academic Plus » permet en outre d’assurer le matériel électronique ou technologique qu’utilise l’enseignant durant ses cours. La prime annuelle s’élève à un peu de moins de 25 euros. D’autres compagnies proposent des produits similaires comme AXA ou les AG Assurances. Les prix ne varient pas du simple au double et restent généralement en dessous d’une trentaine d’euros par an. Attention, certains courtiers dressent parfois un profil plus complet de l’enseignant désireux de s’assurer. Il lui est demandé de préciser la matière qu’il enseigne (étant entendu que le cours de chimie ou d’éducation physique est plus risqué que le cours de religion) ainsi que le type de public auquel il s’adresse (enfants handicapés, caractériels…). Le montant de la prime peut alors filer pour atteindre 50 euros, protection juridique incluse. Certains diront que cela reste insignifiant au regard des sommes qu’il faudrait peut-être débourser en cas d’accident, lors d’une excursion par exemple. Le sujet a déjà été abordé sur notre forum. C’est une assurance indispensable ! Personnellement, je n’y ai jamais eu recours mais un problème est si vite arrivé ! Prenons une situation extrême : tu mets un élève à la porte et il va se jeter par une fenêtre ! L’assurance de l’école risque de se retourner contre toi ……alors imagine les conséquences financières ! C’est à ce moment que ton assurance personnelle entre en jeu ! Un conseil : prends-la sans tarder !1 N’hésitez pas à venir poser vos questions et faire part de vos expériences, positives ou négatives. Un enseignant averti… Source
  4. Les tortues marines à l'honneur à l'Aquarium des Îles ! HAVRE-AUBERT, QC, le 27 juill. /CNW Telbec/ - L'Aquarium des Îles-de-la-Madeleine inaugurait le 26 juillet une exposition permanente sur les tortues marines. Située au deuxième étage de l'Aquarium, l'exposition, réalisée par Amphibia-Nature et l'Île imagin'air avec l'appui financier de la Fondation Hydro-Québec pour l'environnement, sera ouverte au public jusqu'à la fin de l'été et accueillera les groupes scolaires à partir de septembre. L'exposition révèle en une dizaine de panneaux les secrets de ces animaux qui ont cohabité avec les dinosaures. Elle présente également l'impact de la pollution sur les populations de tortues marines ainsi que les moyens de les protéger et de prévenir leur disparition. "L'exposition permanente vient compléter, avec des données scientifiques et étonnantes, le travail amorcé en 2007 dans le cadre du projet À sac les sacs plastique pour la sauvegarde des tortues marines !", a expliqué Stéphane Vigneau, administrateur de l'Aquarium des Îles. Ce projet, financé par la Fondation Hydro-Québec pour l'environnement à hauteur de 49 500 $, vise à informer la population et les visiteurs des Îles-de-la-Madeleine de la présence de tortues marines dans le fleuve Saint-Laurent et à les sensibiliser aux risques que la pollution par les matières plastique fait courir à l'environnement marin. Depuis 2007, de nombreuses actions ont été réalisées pour réduire l'utilisation des sacs plastique et conscientiser la population : des sacs réutilisables à l'effigie de la tortue luth ont été distribués chez les marchands participants ; des capsules radiophoniques et des messages d'intérêt public ont été conçus par des jeunes des Îles-de-la-Madeleine puis diffusés dans les radios et les journaux locaux. Le message a également été véhiculé au moyen d'une carte postale mettant en vedette le héros de bande dessinée créé par Jean-François Gaudet et Hugues Poirier, Néciphore. Par ailleurs, des présentations ont été données à l'Aquarium des Îles et dans différentes écoles, et des bénévoles ont pris part à des corvées de ramassage des débris marins sur les plages. Pour Catherine Leconte, directrice générale de la Fondation Hydro-Québec pour l'environnement, "l'énergie et la créativité déployées dans le cadre de ce projet, tout comme la couleur locale donnée aux différents outils de sensibilisation, ont permis de toucher un grand nombre de personnes et témoignent de la volonté des gens des Îles de jouir de leur environnement de façon responsable." L'Aquarium des Îles tient à remercier ses partenaires, Amphibia-Nature et Attention FragÎles, les commerçants participants, les Coopératives d'alimentation des Îles, les Marchés Tradition et les pharmacies Aline Richard, affiliée à Jean Coutu, et Yves Poirier, affiliée à Proxim, ainsi que la population des Îles-de-la-Madeleine. À propos Depuis 1986, l'Aquarium des Îles de la Madeleine, un organisme muséal, poursuit sa mission de présentation d'espèces vivantes du golfe St-Laurent et d'interprétation des divers métiers de la mer. Comme entreprise d'économie sociale et attrait touristique majeur, cette institution régionale contribue depuis plus de vingt ans au développement socioéconomique de l'archipel. Amphibia-Nature est un groupe de recherche composé d'experts en environnement dont les compétences permettent la réalisation d'études d'impact, le développement de programmes de conservation et la mise en œuvre de projets de recherche scientifique tant au Québec qu'à l'international. Avec une emphase sur les milieux humides, littoraux et marins, cette démarche le conduit à mettre en application des mesures concrètes visant la conservation, la création et la restauration d'habitats fauniques dans le respect et la compréhension des enjeux locaux. Attention FragÎles, un organisme à but non lucratif et de bienfaisance fondé en 1988 par un mouvement citoyen, puise dans l'appui de ses membres, de ses partenaires locaux et de ses bénévoles pour mener à bien ses actions. Dévoué à la cause environnementale, Attention FragÎles agit pour laisser en héritage aux Madelinots et Madeliniennes de demain un environnement de qualité. La Fondation Hydro-Québec pour l'environnement soutient des organismes qui œuvrent concrètement à la protection, à la restauration et à la mise en valeur des milieux naturels et qui s'efforcent de sensibiliser les collectivités locales aux enjeux environnementaux particuliers à leur milieu de vie. De 2001 à 2009, la Fondation a consacré 8,8 millions de dollars à la réalisation de 145 projets mis en œuvre dans toutes les régions administratives du Québec. La valeur globale de ces projets est estimée à 30 millions de dollars. Pour en savoir plus sur les différents projets auxquels la Fondation a contribué, ainsi que sur la mission, les objectifs et les modalités de fonctionnement de celle-ci, visitez le www.hydroquebec.com/fondation-environnement. Source
  5. Autriche: un boa activement recherché Les policiers de Graz (sud-est de l'Autriche) recherchent activement depuis dimanche Amanda, un boa constrictor qui a échappé à la vigilance de son propriétaire, ont rapporté aujourd'hui les médias locaux. L'animal, qui mesure trois mètres de long et pèse 20 kilos, a quitté son terrarium au premier étage d'un immeuble d'habitation après avoir attaqué son propriétaire qui voulait le nourrir. Ce dernier a quitté l'appartement après s'être fait mordre, et à son retour, le boa avait disparu, empruntant une fenêtre laissée entrouverte. Le serpent est resté introuvable depuis, malgré les efforts de plusieurs dizaines de policiers, pompiers et volontaires lancés à sa poursuite, même la nuit, équipés de caméras infrarouge. Un boa constrictor, qui tue ses proies en les étouffant, peut s'avérer dangereux pour les jeunes enfants et les petits animaux. Il pourrait survivre jusqu'à l'automne dans la nature, se nourrissant de petites proies, mais l'arrivée de l'hiver devrait le forcer à chercher un endroit chauffé. Le propriétaire, qui détient le boa depuis dix ans, risque une amende pour n'avoir pas déclaré l'animal. Source
  6. Une Anversoise se réveille nez à nez avec un serpent Une Anversoise de 38 ans a eu la désagréable surprise de se réveiller nez à nez avec un serpent dans son lit. "Tout à coup, j'ai entendu un bruissement sous la couverture. J'ai sauté de mon lit, et j'ai aperçu l'animal qui rampait dans mon lit", raconte Cindy. A lire dans Het Laatste Nieuws. La jeune femme a immédiatement averti la police, qui a débarqué avec un expert en reptiles. Il s'agissait d'un serpent de la famille des Colubridés (inoffensif) d'une longueur de 1,2 mètres. "Le reptile s'était échappé de son terrarium appartenant au chef de l'établissement au rez-de-chaussée il y quelques mois. Cet homme n'a pas cru nécessaire de prévenir ses voisins. La police a capturé les deux autres reptiles qui vivaient dans le même café", a expliqué l'expert. (mb) Source
  7. Été : quand la grenouille se met à rire Elle en fait du bruit, spécialement en ce moment à Montpellier, au grand dam des riverains. Qui ? La grenouille rieuse, une espèce introduite dans les années 1960-1970. L'amphibien prolifère au détriment de sa cousine, autochtone, elle, la grenouille de Pérez. "La sélection naturelle joue en sa faveur", constate Damien Ivanez, expert en milieux naturels à l'association Les Écologistes de l'Euzière. Volubiles "Elle est très compétitive, notamment grâce à son régime alimentaire varié, j'en ai déjà vu une avaler une reinette ! Sa période de reproduction peut s'échelonner jusqu'à l'été, à la différence du reste des amphibiens qui la terminent fin avrilmai", poursuit-il. Ce qui expliquerait que l'on entende son chant très sonore en cette période. "Chez les amphibiens, le chant est un acte de recherche de partenaire sexuel. Mais chez les espèces aquatiques comme les rieuses, les comportements sont plus volubiles : Elles peuvent chanter toute l'année, pour créer des interactions sociales, probablement pour s'identifier entre elles et pour défendre leur territoire", détaille Thomas Gendre, spécialiste des amphibiens au Conservatoire des espaces naturels du Languedoc-Roussillon. Cette espèce protégée est surtout d'une plasticité écologique redoutable : "Elle s'adapte à des milieux pollués et urbanisés", explique-t-il. Son chant en agace certains ? Le naturaliste rappelle le rôle de la grenouille dans la chaîne alimentaire* et il ajoute : "Les éliminer, c'est un coup d'épée dans l'eau car elles sont mobiles. Tant qu'il y aura de l'eau, il y aura des grenouilles." Source
  8. Ils ont 11 et 8 ans. Dans le cas de Zachary, c'est depuis qu'il sait parler qu'il demande à avoir un serpent comme mononcle Maxime. Cédrick ça s'est développé avec le temps. Il aimait les lézards mais était craintif avec les serpents. Au salon des reptiles, Cédrick a convaincu maman avec mon variable king snake. Là, ils ont eu le serpent avec le terrarium tout équipé.
  9. Héhé tant mieux. Tu as dut te faire percer involontairement alors
  10. Je trouve que la coloration ressemble aux divans qu'on voit chez nos grands-parents c'est tout
  11. Nom scientifique : Tiliqua scincoides Nom français : Scinque à langue bleue Nom anglais : Blue tongue skink Origine : Australie, Nouvelle-Guinée, possiblement en Indonésie Biotope : Semi-aride Température : 30 à 35°C Hygrométrie : 50% Moeurs : Terrestre et diurne Taille adulte : 30 à 60 cm Longévité : Moyenne de 10 ans mais peut atteindre 20 ans en captivité Nourriture : Insectes, fruits, légumes Photo emprunté au site http://tiliqua.wifeo.com Voici un lézard ressemblant à un divan de grand-mère mais au comportement fort intéressant. Il s'agit d'un excellent lézard pour débuter puisqu'ils sont généralement calme et se laisse manipuler aisément. Étant omnivore, il est primordial de bien varier son alimentation.
  12. Avez-vous oublié la FRECQ? Me semble qu'il y a eu peu d'inscription pour la quantité de passionné qu'on est.
  13. Pour ceux et celles qui étaient au salon des reptiles, vous vous rappellez sûrement de la visite de mon neveu. Vous vous souvenez qu'il a eu beaucoup de peine quand il fut temps de partir parce qu'il ne voulait pas quitter mon serpent, mon variable king snake (Luis). Maman avait finit par dire oui pour qu'il puisse avoir son propre serpent à la maison. Je ne voulais pas lui donner ma vedette des expositions. Par contre, j'ai eu le coeur gros de le voir aussi chagriné. Je lui ai donc trouvé son propre serpent. C'est une belle femelle grey banded king snake. Il est à mes deux neveus et ils sont tellement content. C'est fou comment ils l'aiment leur oncle Maxime maintenant. Voici le présent. Je sais, je sais, ce n'est pas la même espèce. Par contre, ils ont longtemps été considéré comme des sous-espèces de la même espèce alors ils sont des proches parents. Ce qui compte par contre, c'est que personne ne s'est rendu compte que ce n'est pas le même serpent.
  14. Un python dans sa salle de bain ! Qu'elle n'a pas été la surprise de ce tournonais qui, dans la nuit de vendredi à samedi vers 1 heure, a découvert dans la salle de bain de son appartement situé Grand'Rue à Tournon, un serpent d'environ 1 mètre. Les sapeurs-pompiers, sous le commandement de l'adjudant Giraud, ont réussi à capturer la bête, un jeune python royal de près d'un mètre, sans laisse ni tatouage. Les pompiers ne connaissant pas le propriétaire ont ramené l'animal à la caserne en attendant de prendre des dispositions auprès des vétérinaires. Les gendarmes ont été alertés pour tenter de retrouver le propriétaire. Source
  15. Déjà très âgé, ce petit lézard vit toujours. C'est l'un des rares reptiles que j'ai gardé dans mon grand ménage fait dernièrement. Je sais pourtant qu'elle peut mourrir n'importe quand puisqu'elle a maintenant 15 ans. Je vous montre comment elle est encore en forme la petite pareil.
  16. Et il est revenu top shape?
  17. Le python, animal de compagnie star des USA Les nouvelles modes viennent souvent des États-Unis, et là-bas le python devient l'animal de compagnie préféré, espérons que celle-ci n'arrive pas jusqu'à nous! Certains trouvent que le chien ou le chat est banal en temps qu'animal de compagnie, et c'est pour cette raison que les « NAC », ont autant de succès : chinchillas, lézards, rat, mais aussi des animaux plus effrayants tels que les serpents. C'est ainsi que les serpents sont devenus de vraies stars aux États-Unis, en particulier en Floride où il est devenu tendance de posséder un serpent, particulièrement ceux du type du python, qui semble bien inoffensif puisque non venimeux. Alors pour se faire remarquer dans cette région, il faut se promener avec son python autour du cou, du bras ou de la ceinture, succès assuré! Il est très simple aux USA de détenir un python, le prix est assez bon marché, environ 100$, et il suffit d'obtenir un simple certificat pour en acheter un. Mais il ne faut pas oublier que ces animaux peuvent s'avérer très dangereux, et qu'il faut en prendre grand soin pour ne pas risquer de fâcheux accidents. Une race de python crée par exemple quelques soucis outre atlantique, c'est le python de Birmanie, qui peut atteindre 3 mètres, un vrai monstre qui ne se contente plus de manger de petites souris à l'âge adulte. Des propriétaires d'un tel serpent ont vécu un vrai drame, leur python de Birmanie mal nourri et dans un simple aquarium s'est attaqué à leur petite fille de 2 ans, et l'a simplement étouffé! Certains irresponsables se débarrassent même de ces animaux très encombrants dans le parc des Everglades, où ces serpents prennent le dessus même sur les alligators. Posséder un serpent reste une grande responsabilité et comporte de grands risques, certains semblent l'oublier et même des enfants se baladent avec un python autour du cou, n'oublions pas que ces animaux sont de redoutables prédateurs!!! Source
  18. Un serpent sillonne les rues de London LONDON, Ontario – Un serpent de deux mètres qui a faussé compagnie à son propriétaire il y a environ une semaine dans l'ouest de la ville de London, en Ontario, pourrait être le même qui a été aperçu, en fin de semaine, dans l'est de la ville. Le reptile, que l'on soupçonne être un boa constrictor, a jusqu'à présent échappé aux policiers ainsi qu'au personnel d'une agence d'aide pour animaux. Le serpent a été aperçu pour la dernière fois sous des escaliers extérieurs d'une maison en rénovation. «Comment le serpent a-t-il réussi à faire toute cette distance? Est-ce qu'il a fait le chemin seul ou y a-t-il une personne qui l'a trouvé et qui s'en est débarrassé parce qu'elle ne pouvait en prendre soin?», s'est questionné Kent Lattanzio, directeur des opérations au London Animal Care Centre. Des personnes promenant un chien ont aperçu le serpent, dimanche après-midi, collé le long d'un trottoir. «Nous l'avons observé pendant quelques instants avant qu'il décide de serpenter vers un buisson», a indiqué Chris Inglis. Le propriétaire du serpent n'est entré en contact avec les autorités que lundi pour les avertir que son serpent s'était enfui il y a environ une semaine. Lattanzio a précisé qu'il est illégal de posséder un serpent non venimeux de plus de deux pieds à London, une ville située à mi-chemin entre Toronto et Windsor. Source
  19. Avec La Chaîne des terrils, protégez les amphibiens ! Si vous avez chez vous une mare, même petite, ou si vous avez observé sur un muret un reptile, lézard ou serpent, vous collez parfaitement au profil de l'opération « Un dragon ! Dans mon jardin ? ». Peut-être avez-vous vu, à la mairie, dans un commerce, ou dans votre boîte aux lettres l'affiche d'avis de recherche façon western lancée avec humour pour cette opération, au demeurant très sérieuse. OAS_AD('Position1'); Chaleur Le CPIE La Chaîne des terrils, tout comme les quatre autres centres de la région, invite les particuliers à se faire connaître pour obtenir des informations sur les amphibiens des jardins : tritons, crapauds, salamandres, grenouilles, lézards et serpents. L'intérêt est réciproque : un chargé d'études du CPIE fera le déplacement si nécessaire pour inventorier les espèces et enrichir les données collectées par la structure, et vous bénéficierez gratuitement de ses conseils pour sauvegarder vos petits « dragons », voire augmenter leur population. 2010 est une mauvaise année pour les amphibiens : sur les terrils, par exemple, les mares naturelles, ont été asséchées par la période de forte chaleur. Les pontes ont été anéanties. D'autre part, les particuliers sont moins nombreux à se faire connaître au CPIE. « L'idéal, ce sont les personnes qui ont une mare. Même toute petite, mais dans ce cas, les gens n'osent pas appeler. On ne cherche pas forcément l'ampleur. Une petite flaque dans un terrain suffit. Il n'y a qu'à prendre en photo des amphibiens observés et nous appeler ! », explique Bruno Derolez, de la Chaîne des terrils. L'an dernier, le centre a fait vingt-huit déplacements, dont six dans l'agglomération de Lens-Liévin. Quatre espèces de reptiles et sept espèces d'amphibiens ont été recensées. • G. Cs. Centre permanent d'initiatives pour l'environnement (CPIE) La Chaîne des terrils, base 11/19 Loos-en-Gohelle. Tél : 03 21 28 17 28. Courriel : chaine.des.terrils@wanadoo.fr Source
  20. Plusieurs espèces sont menacées d'extinction au Parc national du Djurdjura Les spécialistes s'inquiètent Véritable temple de la biodiversité, aussi bien sur le plan floristique de faunistique, le Parc national du Djurdjura (PND) vit sous la constante menace de voir certaines espèces s'éteindre si rien n'est fait dans le sens de la sauvegarde de ces espèces ou de leur repeuplement. En matière de faune, il existe au PND 29 espèces de mammifères dont une espèce probable : le serval (Felis serval), une rarissime : le lynx caracal (Caracal algerius), une espèce rare : hyène rayée (Hyena hyena) et une assez rare : le chat sauvage (Felis sylvestris). Si ces espèces sont vulnérables et risquent et de disparaître, au moins quatre autres espèces qui existaient autrefois au parc sont aujourd'hui éteintes. Ces quatre espèces disparues sont l'ours brun (Ursus arctos) dont la datation au carbone 14 des ossements trouvés dans la grotte de l'ours dans le massif de l'Akouker remonte à l'époque vandale (429-533) et aux Byzantins (534-647), le mouflon à manchettes (Ammotragus Larvia) qui a disparu depuis très longtemps, le lion (Felis Leo) et la panthère (Pardus Leo). Au Djurdjura, le mammifère le plus emblématique est sans doute le singe magot qui demeure le seul primate de l'Afrique du Nord. Selon des études, quoique relativement anciennes, il y a plus de 1400 individus à travers tout le territoire du parc. Connaissant le phénomène des intrusions de singes bien au-delà de leur territoire habituel, une nouvelle problématique s'est posée : est-ce que les populations de singes ont augmenté au point où le territoire du parc ne peut plus répondre à leurs besoins, ou bien est-ce que les changements climatiques (sécheresse prolongée) ont influé négativement sur les ressources naturelles du parc ? Une autre espèce de mammifères connaît ces derniers temps un intérêt particulier. Ce sont les chauves-souris qui sont de petits mammifères mais jouant un grand rôle dans la régulation des populations de rongeurs et d'insectes. Douze espèces de chiroptères sont recensées et identifiées avec exactitude par B. Allegrini de l'université de Lille (France) en 2006. La publication n'est pas encore faite. Signalons que la barbastelle d'Europe a été découverte pour la première fois en Algérie par Benjamin Allegrini le 11 mai 2006. Parallèlement aux mammifères, la faune du Djurdjura est riche surtout en avifaune. 121 espèces d'oiseaux ont été recensées au Parc national du Djurdjura dont 67 espèces sédentaires, 52 espèces migratrices, 2 espèces probables (cincle plongeur et merle à plastron), 1 espèce accidentelle : faucon de barbarie, 5 espèces sont rarissimes (gypaète barbu, vautour moine, tchagra à tête noire, bec croisé des sapins, coucou geai). La dernière espèce découverte au parc est le gobe mouche noir à collier vers les années 1990. Cela montre bien que des chances de découvrir de nouvelles espèces ne sont pas à écarter. Les effectifs de rapaces en nette régression Il y a lieu de signaler que les rapaces connaissent une réduction de leur effectif. D'ailleurs, le large déclin des populations de rapaces a motivé de nombreuses tentatives de reconstitution des effectifs, soit par la gestion des populations, soit par celle des habitats et des ressources trophiques. Les différents programmes concernant la conservation des oiseaux de proie ont connu des difficultés liées à la grandeur des domaines vitaux qu'il faut conserver, les sites de nidification assez spécifiques qu'il faut aménager et recréer mais surtout aux différents conflits qui opposent les activités agricoles et certaines attitudes négatives vis-à-vis des rapaces aux concepts de protection de la nature en général et celle des rapaces en particulier. Selon les spécialistes, on s'accorde à retenir trois principaux facteurs responsables du déclin des rapaces : la réduction et la dégradation de leurs habitats, les persécutions humaines par chasse ou braconnage, l'intoxication par les pesticides et autres substances chimiques. Face aux conséquences de ces facteurs, des stratégies permettant de déterminer les effectifs nicheurs ou l'arrêt du déclin peuvent être élaborées en tenant compte de l'espèce, de l'environnement général et des moyens disponibles. On peut retenir la gestion des paysages accompagnée de la conservation des territoires de rapaces, la conservation intégrale des sites de nidification, l'apport supplémentaire de nourritures, l'amélioration de la législation accompagnée de programmes d'éducation et de sensibilisation et enfin la lutte pour la réduction de l'utilisation des produits chimiques dans l'agriculture. On trouve également une grande variété de reptiles. En effet, 17 espèces de reptiles sont recensées au Djurdjura. On peut citer, entre autres, la tortue terrestre et la tortue grecque, le lézard vert, le lézard des murailles, la salamandre terrestre, la vipère aspic, la couleuvre de Montpellier, la couleuvre à capuchon. Quant aux batraciens, seulement cinq espèces sont représentées, il s'agit du crapaud commun, crapaud de Maurétanie, grenouille verte, la rainette verte et la grenouille discoglosse peint. Enfin, d'autres espèces faunistiques ont été également recensées au Parc national du Djurdjura, il s'agit des mollusques et des myriapodes. Source
  21. Tiens tiens, j'ai encore trouvé un jeu de serpent http://jeuxfr.org/jeu-serpent-lapins/
  22. Un serpent échappe à la police en Ontario LONDON, Ont. - Un serpent d'un mètre et demi de long, possiblement un python, se trouvait en liberté dimanche à London, dans le sud-ouest de l'Ontario, après qu'il eut échappé aux policiers qui tentaient de le capturer. Des agents ont répondu samedi soir à un appel les informant de la présence d'un serpent en liberté dans un quartier résidentiel. Une fois sur place, les policiers ont aperçu le reptile. Ils ont tenté de saisir l'animal, qui leur a cependant glissé entre les doigts pour trouver refuge sous les marches d'une maison inoccupée. La police et des agents de contrôle des animaux étaient toujours à la recherche du serpent, dimanche, et ils interrogaient les gens du quartier pour voir si quelqu'un en était le propriétaire. Lee Parker, un responsable de Reptilia, un jardin zoologique de reptiles au nord de Toronto, a indiqué qu'il n'était pas inhabituel que des gens possèdent un serpent, tel que le python, comme animal de compagnie. Source
  23. Le scorpion fait des ravages à El Menéa L’envenimation scorpionique représente l’un des plus importants problèmes de santé publique en Algérie et plus particulièrement au niveau des régions des Hauts-Plateaux et du Sud. C’est là une pathologie spécifique contrôlable par l’hygiène du milieu. Chaque année, plusieurs milliers de personnes sont piquées par les scorpions et une centaine, en moyenne, en décèdent. La première victime par envenimation scorpionique dans la wilaya de Ghardaïa vient d’être, malheureusement, enregistrée dans la daïra d’El Menéa. Il s’agit d’une fillette de 5 ans, résidante au quartier de Zouitel, qui a été mordue la nuit par un scorpion alors qu’elle dormait profondément. Réveillés par ses pleurs et remarquant que leur fillette se tordait de douleur accompagnés de vomissements, les parents l’ont évacuée à l’hôpital du colonel Châabani, où elle rendit l’âme. Le venin ayant eu tout le temps de se propager dans son frêle corps qui n’a pu l’en supporter, elle succombera ainsi effroyablement. Sa mort a jeté l’émoi parmi ses parents et la population locale qui, encore une fois réclame des autorités locales l’éclairage public, absent totalement dans ces quartiers pauvres et surtout la reprise des campagnes de ramassage des scorpions tel que cela se faisait avant. En effet, les années précédentes et à l’approche de chaque été, le comité de wilaya de lutte contre les zoonoses et la direction de la santé de Ghardaïa lançaient une campagne de lutte contre l’envenimation scorpionique. Elle débutait généralement par un séminaire pour l’amélioration de la prise en charge thérapeutique des cas de piqués de scorpions et diminuer le taux de létalité ainsi que le recyclage des médecins urgentistes et paramédicaux dans le domaine de la prise en charge. La répartition du sérum antiscorpionique fourni en quantité suffisante par l’Institut Pasteur d’Alger était aussitôt ventilée sur l’ensemble des structures sanitaires de la wilaya. En parallèle, une campagne de ramassage des scorpions, l’unité était payée à 40 DA. À cet effet, une enveloppe conséquente était dégagée par la wilaya et mise à la disposition de toutes les APC. Aussi, et afin que l’opération atteigne le but escompté, une campagne de sensibilisation était lancée tant sur les ondes de la radio locale que par des journées d’information dans les écoles et collèges de la wilaya. L’implication des services des APC est fondamentale, notamment dans le maintien de l’hygiène environnementale tout comme le ramassage systématique des ordures ménagères et des gravats, ainsi que l’entretien des trottoirs, la création d’espaces verts, l’entretien de l’éclairage public par le remplacement immédiat des ampoules grillées sachant que le scorpion est un animal photophobe. C’est entre autres, quelques-unes des mesures adéquates et efficaces à appliquer contre la prolifération des scorpions, car il faut souligner que le scorpion est un animal millénaire, qui a survécu à tous les aléas. C’est un insecte nocturne qui peut se passer d’alimentation très longtemps, voire plus d’une année. Morphologiquement blindé, il résiste même aux irradiations puisque, paraît-il, il a été retrouvé vivant après les essais nucléaires français à Reggane en 1956. Selon des statistiques, les piqûres de scorpion représentent la première cause de décès par l’envenimation en Algérie, ce qui induit donc selon les spécialistes, des facteurs de gravité épidémiologiques, cliniques et thérapeutiques. Par conséquent, et afin d’infléchir la tendance à la baisse du taux de morbidité et de mortalité causés par les piqûres de scorpions, une stratégie de lutte contre les piqûres et envenimation a été alors élaborée à l’époque par le ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière. L’un des segments de cette stratégie reposait sur la formation du personnel médical et paramédical, sur l’information, l’éducation et la communication par implication intersectorielle. Un comité national de lutte antiscorpionique (CNLAS) constitué des secteurs de la santé, des collectivités locales et de la Protection civile a même été créé en 1987 à cet effet. C’est dire la dangerosité de cet animal, qui chaque année provoque des dégâts, quelques fois irréversibles, voire des décès dus, le plus souvent, comme c’est le cas de cette pauvre fillette, aux transferts tardifs des piqués vers les centres sanitaires. Sur la douzaine d’espèces répertoriées, deux sont particulièrement dangereuses et sont, malheureusement, les plus répandues dans nos régions, il s’agit de l’Androctonus Australis et du Buthus Occitanus. Les prédateurs du scorpion sont généralement les oiseaux, surtout les poules, les chats et les hérissons dont les populations du Sud et des Hauts-Plateaux sont encouragées à en disposer chez elles. La prolifération des scorpions qui augmente le risque d’envenimation est dû à plusieurs facteurs, dont le manque d’hygiène, la promiscuité et l’obscurité. Il y a, au nombre de ces facteurs, la misère des populations qui dans leur immense majorité, vivent dans des maisons très anciennes, sans aucun entretien. Selon un rapport du ministère de la Santé datant de l’année 2000, sur la situation épidémiologique en Algérie, il est précisé que dans la 10e classification internationale des maladies (CIM 10), l’envenimation scorpionique est classée dans le groupe “Effet toxiques de substance d’origine essentiellement médicinale”. L’envenimation scorpionique demeure un problème majeur auquel il faut trouver des solutions urgentes en accorder tous les moyens adéquats pour le combattre et éviter ainsi des pertes humaines. Source
  24. Max|mum-leterrarium

    Épluchette de bébé

    Bah l'important c'est la santé après tout!
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