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Max|mum-leterrarium

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Tout ce qui a été posté par Max|mum-leterrarium

  1. Max|mum-leterrarium

    Ma smithi

    C'est encore tout jeune ça alors.
  2. Vous avez eu une belle journée alors. Qui a été présent? Je doute que l'oeuf soit une éclosion à ce temps ci de l'année. Quoi qu'ils sont sorti d'hivernation plus tôt cette année mais ça serait très tôt pour une éclosion. Malheureusement, les ratons laveurs s'en font une joie de dévorer les oeufs de tortues.
  3. Max|mum-leterrarium

    Ma smithi

    Elle fait quelle taille en ce moment?
  4. Selon Sophie aussi, j'en ai vu un super beau ici à Québec. Elle le veut.
  5. Nom scientifique : Cuniculina imbriga Nom français : Phasme bâton du Vietnam Nom anglais : Vietnamese walking stick Origine : Vietnam Biotope : Humide Température : 20 à 25°C Hygrométrie : 75 à 80% Moeurs : Vit dans l'herbe, les arbrisseaux Taille adulte : 12 à 16 cm Longévité : Maximum 1 ans Nourriture : Feuilles de ronce, de chêne, de rosier, de l'aubépine, de charme. Photo emprunté au site http://arthropodia-phasmes.blogspot.com Les phasmes bâtons du Vietnam ont une sexualité bien particulière. La reproduction de l'espèce est sexué. Par contre, pour l'obtention de mâles, il faut absolument qu'il s'y passe une fécondation. [/size]
  6. Nom scientifique : Lampropeltis mexicana Nom français : Serpent roi variable Nom anglais : Variable king snake Origine : Mexique Biotope : Semi-aride Température : 26 à 29°C Hygrométrie : 50% Moeurs : Terrestre et crépusculaire Taille adulte : 90 cm Longévité : 10 ans Nourriture : Rongeurs, tendance ophiophage Cette photo provient de moi. Comme plusieurs le savent déjà, il s'agit de mon espèce favorite suite à l'acquisition d'un serpent de cette espèce il y a quelques années. Ce serpent me suit dans chacune des expositions et réussit à séduire tout le monde sans exception. J'ai d'ailleurs pu en offrir un à mon neveu dernièrement alors que c'était la pire phobie de ma soeur et j'en ai offert également un à ma copine. Il s'agit d'une espèce à découvrir que je suggère fortement aux débutants plutôt qu'un corn snake que l'on voit partout. On me demande souvent le pourquoi de son nom. C'est fort simple. Ce serpent varie énormément de couleur et pattern selon les spécimens. Voilà le pourquoi de son nom. Il existe trois sous-espèces de ce Lampropeltis qui était jadis une sous-espèce du Lampropeltis alterna.
  7. Nom scientifique : Uroplatus fimbriatus Nom français : Gecko à queue de feuille Nom anglais : Common Leaf-tailed Gecko Origine : Madagascar Biotope : Humide Température : 23 à 28°C Hygrométrie : 70 à 80% Moeurs : Arboricole et nocturne Taille adulte : jusqu'à 30 cm Longévité : Environ 7 ans Nourriture : Insectes Photo emprunté au site http://www.geckosunlimited.com C'était jusqu'en 2006 le plus grand de ce genre avec une taille (queue comprise) de 30 cm pour les plus grands individus. Une espèce récemment découverte, Uroplatus giganteus, dépasse les 30 cm et pourrait atteindre 35 cm. Il reste un Uroplatus aussi fragile que les autres malgré sa grande taille. Il est possible de bien les maintenir en captivité en leur donnant les bons soins.
  8. Le plus vieil animal vivant recensé Harriet est une tortue géante des Galapagos (Geochelone elephantopus porteri), née vers 1830. La date de naissance précise de Harriet est inconnue, mais des tests ADN ont prouvé son âge approximatif. Elle aurait été recueillie puis ramenée à Londres à l'âge de 5 ans en 1835 par le scientifique Charles Darwin à l'occasion d'un de ses voyages aux îles Galápagos. La véracité de cette anecdote est contestée par certains experts, étant donné que Hariett est issue d'une sous-espèce de tortues présente uniquement sur une île que Charles Darwin n'aurait pas visitée. Pendant plus de 100 ans, on surnomma la tortue Harry car on croyait qu'il s'agissait d'un mâle. Le 15 novembre 2005 a été fêté son 175e anniversaire. Elle était ainsi le plus vieil animal vivant recensé de la planète bien qu'elle ne détienne pas le record de longévité des tortues. Harriet a terminé sa vie à l'Australia Zoo dans le nord de l'Australie et est morte le 23 juin 2006 des suites d'une crise cardiaque. D'après le Guinness Book, c'est une tortue étoilée de Madagascar, une certaine Tu'i Malila qui détient le record de longévité. Tu‘i Malila fut offert par le capitaine Cook à la monarchie des Tonga lorsqu'il accosta ce pays en 1777. Aussi connu sous le nom de "vieil homme", elle vécut dans le palais du roi, à Nuku‘alofa, jusqu'à son décès le 16 mai 1965. Il était donc âgé d'environ 190 ans. Il existe également la tortue Adwaita dont l’âge qui fut attribué après sa mort par une datation au radiocarbone reste incertain. Adwaita aurait été offert initialement par les marins qui l'ont capturé aux Seychelles comme animal de compagnie au Major-général Robert Clive de la Compagnie anglaise des Indes orientales. Elle est transférée au zoo de Calcutta en 1875 par Carl Louis Schwendler, son fondateur, après le décès des trois autres tortues qui appartenaient à Robert Clive. D'un poids d'environ 250 kg, Adwaita a vécu dans son enclos au Zoo de Calcutta jusqu'à sa mort en 2006. Sa longévité reste sujette à caution, son âge était évalué de 150 à plus de 250 ans. Certaines sources avancent une date de naissance vers 1750, d'autres mentionnent même une naissance en 1705. Source
  9. Grenouille naine ou dépourvue de poumon, iguane à cornes... Une grenouille pas plus grande qu’un ongle, une autre dépourvue de poumon, un lézard à cornes… Autant de créatures étranges que recèle la nature et que Maxisciences vous propose de découvrir. Sooglossus gardineri est l’une des espèces de grenouille les plus petites au monde. Endémique des Seychelles, elle mesure au maximum 11 millimètres et seulement 3 millimètres juste éclose. Elle est de couleur marron et sa peau est décorée d’une rayure noire. Il s’agit d’une espèce classée vulnérable sur la Liste rouge de l'Union internationale pour la conservation de la nature : elle n’a été recensée que dans cinq localités. Barbourula kalimantanensis a pour particularité de respirer exclusivement par la peau. Il s’agit en effet d’une espèce de crapaud ne possédant pas de poumons : à leur place figurent foie, rate et estomac. Elle a également une forme qui ne passe pas inaperçue : cet amphibien est pratiquement plat. L’espèce est classée en danger d’extinction à cause de la disparition de son habitat et des rejets industriels de métaux toxiques dans les rivières. Verte la nuit et marron le jour, Rhacophorus penanorum, une grenouille de 3,5 centimètres au maximum, a pour faculté de changer de couleur. Il s’agit d’une espèce arboricole capable de faire des sauts de 15 mètres grâce à ses pattes palmées et à des membranes de peau situées sur ses membres. Elle est également dotée de ventouses pour monter aux arbres. Pour découvrir en images ces étranges espèces : http://www.maxisciences.com/grenouille/dix-especes-de-grenouilles-lezards-et-salamandres-etranges_art7974.html Source
  10. La perdition des animaux migrateurs face aux changements climatiques Attendu prochainement, un nouveau rapport du PNUE (1), intitulé « Vulnérabilité des espèces migratrices au changement climatique », donne un avant-goût guère encourageant de l’avenir qui se profile pour les espèces animales migratrices. Le 24 juin dernier, à l’occasion du lancement de l’ouvrage (2) co-écrit par Robert Vagg et le journaliste Stanley Johns, « ambassadeur pour la Convention sur la conservation des espèces migratrices appartenant à la faune sauvage » (CMS), s’est tenue une série de conférences au cours desquelles furent notamment débattus les premiers résultats disponibles de ce prochain rapport. Or, sans surprise, ceux-ci confirment l’extrême vulnérabilité des espèces migratrices, telles que les baleines ou les tortues, face aux perturbations climatiques. Menés par la Société Zoologique de Londres (ZSL), pour le compte de la Convention du PNUE sur la conservation des espèces migratrices appartenant à la faune sauvage, les travaux présentés indiquent que « même les changements les plus subtils des conditions environnementales causés par le changement climatique pourraient avoir des conséquences catastrophiques pour les animaux migrateurs ». Dépendantes de plusieurs habitats pour se nourrir, se reproduire et se reposer, bon nombre d’espèces migratrices pourraient ainsi s’éteindre si elles ne parviennent pas à s’adapter aux modifications affectant leurs milieux d’élection. Parmi les espèces les plus vulnérables, figurent notamment les tortues caouanne, empruntant souvent les eaux britanniques au cours de leurs trajets migratoires. Celles-ci pourraient, toutefois, leur devenir de plus en plus en inhospitalières. Elles y sont, entre autres, confrontées à la raréfaction des plages propices à la nidification, en raison de l’élévation du niveau des océans. En outre, l’élévation des températures représente un obstacle supplémentaire, les chercheurs craignant qu’elle entraîne la féminisation de populations entières et cause, par là-même, la disparition des représentants mâles de l’espèce. Mais les tortues caouanne ne sont malheureusement pas les seules à tomber sous la menace du couperet. La tortue verte, la tortue imbriquée, la tortue luth, la baleine bleue, le lamantin ouest africain et le poisson-chat géant font partie des « espèces à haut risque de disparition face au changement climatique ». Pour Aylin McNamara, gestionnaire du projet de la Société Zoologique de Londres, il ne fait aucun doute que : « L'augmentation des températures, les changements dans les taux de précipitations, l'élévation du niveau de la mer, l'acidification des océans, les changements dans les courants océaniques et les phénomènes météorologiques extrêmes affecteront toutes les populations d'espèces migratoires ». Pour œuvrer à la conservation des espèces migratrices, et les épauler dans leurs efforts d’adaptation aux changements climatiques, le réel défi à relever consiste en l’instauration d’une coopération à l’échelon international, les espèces migratrices ne connaissant pas, par définition, de frontières. Source
  11. Ces espèces qui vont disparaître L’UICN présentera officiellement sa “liste rouge” des espèces menacées de la Réunion dans quelques jours. Devant servir à la réalisation d’une liste nationale, elle classe localement 14 espèces (présentées ci-dessous) en “danger critique d’extinction”. Au total, ce sont 36 espèces qui sont considérées menacées et 17 comme “quasi menacées”. La preuve de l’exceptionnelle richesse faunistique de l’île... et de sa fragilité. Parmi les espèces menacées, 12 n’existent qu’ici dans le monde. Le fruit d’un travail scientifique rigoureux qui a permis de réunir sous une même bannière tous les spécialistes locaux afin de mieux orienter les actions de conservation. Une surprise : si le gecko vert fait son entrée, le bichique, lui, rétrograde en quelques mois de la catégorie “menacée” à “quasi menacée”... Ce n’est pas la même chose. Le gecko vert de Manapany L’un des derniers reptiles terrestres endémiques de la Réunion. Le gecko vert de Manapany ne se rencontre plus que dans le sud-est de l’île, sur une bande littorale longue de 10 km à moins de 200 m d’altitude, entre Saint-Joseph et Grande Anse. Fortement affecté par la destruction de son habitat, il est aujourd’hui en situation critique. Au cours des dix dernières années, plusieurs de ses populations ont disparu et d’autres ont vu leurs effectifs diminuer dramatiquement. L’expansion d’espèces végétales introduites, comme le choca vert et le faux-poivrier, représente une première cause de disparition de son habitat, ainsi que le développement urbain et la construction d’infrastructures routières. Dernière menace : l’apparition du gecko vert de Madagascar à Manapany (notre édition du 21 juin). Un plan de conservation est attendu pour protéger et développer les connaissances sur l’espèce (UICN). Le pétrel noir de Bourbon L’un des oiseaux marins les plus rares et énigmatique au monde. Endémique de la Réunion, le pétrel noir niche sur les massifs montagneux en altitude. Mais, la localisation de la colonie reste inconnue malgré de nombreuses recherches. Estimée à moins de 50 couples, la population semble décliner inexorablement. Les “contacts sonores” diminuent d’année en année. Les animaux introduits, comme les chats et les rats, s’attaquent en particulier aux œufs et aux jeunes dans les terriers. Le pétrel Noir est également sensible aux éclairages lors de son, envol vers la mer. Les oiseaux ne survivent généralement pas à ces échouages. Un réseau de sauvetage a été mis en place par la SEOR. En parallèle, une campagne de sensibilisation est menée pour inciter les communes à réduire leurs éclairages nocturnes, ainsi que des campagnes de capture des chats errants. Un plan de conservation est en cours de rédaction. L’espèce est menacée d’extinction sous dix ans. Le Renard volant de Maurice, ou Roussette noire Espèce endémique des Mascareignes, la Pteropus niger (Roussette noire) a disparu entre 1772 et 1801 de la Réunion (chasse, déforestation...) pour survivre uniquement à Maurice. En tout cas jusqu’en 2007, date du retour d’une toute petite population dans l’Est de la Réunion. La colonie reste cependant très fragile compte tenu de ses faibles taux de reproduction et de population (un seul petit par an) : onze individus observés au maximum en février 2008, mais seulement quatre depuis décembre 2009 (nos éditions précédentes). Un seul cyclone pourrait en venir à bout. De plus, la Roussette noire reste vulnérable aux dérangements extérieurs. Son principal site-dortoir à La Réunion est situé dans une ravine à proximité d’habitations. Un plan de conservation en cours d’élaboration est attendu pour renforcer à la fois la protection et les connaissances. La question de sa réintroduction devrait faire l’objet d’une étude de faisabilité (UICN).- La tortue caret ou imbriquée Si cinq espèces de tortues marines sont présentes à la Réunion, seules deux le sont de façon régulière : la tortue verte (ou franche), qui se reproduit à la Réunion et la tortue caret ou imbriquée (Eretmochelys imbicata). Deux espèces présentes sur l’ensemble de la zone intertropicale. Déjà classée comme en danger critique d’extinction (CR) au niveau mondial, elle l’est désormais au niveau local. Aucun adulte n’a pu être observé depuis une trentaine d’années à la Réunion, mais seulement des juvéniles. Aucune ponte n’a cependant été observée localement. À la différence de la tortue verte - classée en danger par l’UICN - la tortue caret n’a pas fait l’objet d’une étude génétique qui avait permis pour la première de mettre en avant un capital génétique différent à la Réunion (possible colonie). La tortue Caret fréquente les pentes externes des récifs coralliens. Le cabot noir Les deux espèces de cabot noir présentes dans l’île sont menacées : “en danger critique” pour l’Eleotris mauritianus, “en danger” pour l’Eleotris fusca. Les deux espèces sont soumises aux mêmes pressions, mais la taille de la population reproductrice est estimée dix fois moins importante chez le premier : 2 393 individus contre 27 657 chez Eleotris fusca, et en diminution (2007). Pour protéger l’un, il faut donc protéger l’autre, très ressemblant, par la mise en place d’actions de sensibilisation et de protection forte principalement contre le braconnage, dans la lignée des pistes envisagées pour les deux anguilles. Les anguilles du Mozambique et bicolore Fréquente dans l’ouest de l’océan Indien, l’anguille du Mozambique a vu sa population d’adultes reproducteurs poursuivre son déclin, ce qui lui vaut un statut de “en danger critique”. Le même statut donné à l’anguille bicolore. Deux des quatre espèces présentes dans l’île sont donc menacées de disparition. La survie de ces espèces dépend de leur libre circulation entre le milieu d’eau douce et le milieu marin. Les deux espèces font également l’objet d’une forte pression de pêche de la part d’abord des braconniers (trois fois plus nombreux que les porteurs d’une carte de pêche). Plusieurs pistes sont à l’étude pour réduire la pression de pêche sans l’interdire : modification des périodes de pêche, du nombre de jours, de la taille des prises... Des mesures insuffisantes si elles ne s’accompagnent pas d’une réglementation dans les embouchures pour permettre la libre circulation des espèces. Le tuit-tuit Classé dès 1994 dans la catégorie “en danger”, l’échenilleur de la Réunion ou tuit-tuit (Coracina newtoni) a basculé en 2008 dans celle de “en danger critique”. Les derniers comptages de la SEOR portent sur une population (2010) de 27 femelles et 54 mâles. Des données prouvant l’extrême fragilité de l’espèce, basée sur un territoire de seulement 12,5 ha (et non 18 ha) à la Roche Ecrite. Un simple feu de forêt ou une tempête suffirait à remettre en question la survie de cette espèce endémique. Les premières actions de conservation menées depuis 2004 ont permis de stabiliser la population au bout de deux ans puis de la faire progresser : en 2007, on estimait le nombre de mâles à 40 individus. En un an, la progression a été de 15%. La chute était catastrophique : en 1990, le nombre de couples était estimé entre 120 et 150 par l’ornithologue Jean-Michel Probst ! Outre la connaissance, l’action de protection porte principalement sur des campagnes de piégeage contre les rongeurs menées par la Séor. La loche La loche est interdite de pêche depuis janvier 2010. Elle rejoint la chevrette des mascarins (ou écrevisse), elle interdite de pêche depuis 2004 (mais également le cabot bouche-ronde adulte). Le faible nombre d’adultes reproducteurs (38 400 en 2007), associé aux fortes fluctuations de taille que connaît cette population (baisse de 88% des densités moyennes observées sur les stations de veille écologique entre 2000 et 2007) ont motivé son classement. Un fort déclin est observé sur l’ensemble de l’île avec une densité moyenne des adultes en baisse de 91% sur les stations de suivi entre 2000 et 2008. Le Scinque de Bouton Petit lézard très fin (entre 58 et 67 mm), le Scinque de Bouton (Cryptoblepharus butonii), endémique de Maurice et de la Réunion, fut redécouvert en 1999 par Jean-Michel Probst après 130 ans de recherche ! Il n’a malheureusement plus été observé depuis 1999. Il semble désormais isolé dans un seul site marginal de type falaise maritime. Il fréquentait pourtant probablement tout le pourtour de l’île autrefois. Encore bien présent à Maurice, le reptile a vu sa population fortement diminuer à la suite de l’introduction des rats, chats et autres agames, voire d’autres Scinque d’un diamètre plus imposant. Le phasme du Palmiste rouge L’Apterogreffea reunionensis ou Phasme du Palmiste rouge n’a été observée pour la première fois qu’en 2000. C’est une espèce endémique de la Réunion. Sans ailes et strictement nocturne, l’insecte de couleur vert pâle (juvénile) et brun rouge (adulte) est inféodé au Palmiste rouge : il lui sert à la fois de nourriture et d’hôte pour la ponte et la croissance des larves. De par la raréfaction à l’état sauvage du Palmiste, le phasme est classé “en danger critique”. Les cultures de palmistes, si elles permettent de préserver l’espèce, ne sont pas un habitat de substitution favorable pour l’insecte. Seule la restauration du palmiste dans son milieu naturel pourra sauver cette espèce unique au monde... À noter qu’un second phasme, l’Heterophasma multispinosum (endémique), est également classée en “danger critique” par l’UICN. La chevrette des Mascarins Espèce endémique des Mascareignes, la chevrette des Mascarins, ou écrevisse, est déjà interdite de pêche depuis 2004. Des doutes subsistent quant à sa survie sur l’île : aucun individu n’a été observé depuis les années 80. Pour rappel, une absence d’observations pendant cinquante ans est nécessaire avant de déclarer une espèce officiellement disparue. Source
  12. La petite tortue provençale menacée de disparition ! Vous ne la connaissez surement pas, mais si ça continue, vous n’aurez même plus l’occasion de l’apercevoir… Il s’agit de la tortue d’Hermann, un reptile ne dépassant pas les 20 cm, les 1,5 kg et vivant dans le Var. Elle est également la seule tortue terrestre de France.On l’appelle aussi tortue des Maures et si l’on s’intéresse aujourd’hui à son cas, c’est qu’il y a urgence. Les derniers individus de l’espèce sont en train de disparaître et c’est le journal 20 minutes, dans son édition d’aujourd’hui, qui met en relief cet état de fait.Encore un combat pour super HulotEn 2004, c’est Nicolas Hulot qui lançait l’alerte, après les incendies que venaient de subir la Provence, et mettait ainsi un coup de projecteur sur la situation. En 1994, un premier plan de restauration avait déjà été mis en place par le Conservatoire d’Etudes des Écosystèmes de Provence, néanmoins, il n’avait pas reçu l’attention nécessaire. Il aura donc fallu près de 10 ans pour que l’on entende les revendications de la Fondation Nicolas Hulot. » à cause de l’urbanisation « Plusieurs facteurs expliquent la situation actuelle de la tortue Hermann, en plus des fréquents incendies. Le site internet de l’Agence Régionale Pour l’Environnement en PACA, nous explique qu’il s’agit à la fois de « la perte et de la dégradation de son habitat, à cause de l’urbanisation et l’aménagement du littoral méditerranéen. » L’homme en somme… Ce n’est pas tout, selon eux, « les pratiques agricoles ou forestières » ou encore « la prédation par les chiens », entre autres, font également partis des responsables.Aujourd’hui, l’espèce est officiellement classée en danger par l’Union Internationale pour la Conservation de la Nature, ce qui implique une forte répression, exercée par le programme LIFE, des personnes mal intentionnées, qui s’adonneraient à la commercialisation de ces tortues, notamment sur le web. Les dernières tortues sont présentes en effectifs réduits dans le Var, mais également en Corse. Le programme LIFE, co-financé à 50% par la commission européenne, participe aussi à la protection de l’espèce en préservant et même en agrandissant leur habitat. Ils participent également à la création de points d’eau, ainsi qu’à une « pacification » de l’environnement, car les forêts, les maquis denses et les vastes prairies du sud de la France sont hostiles à ces chères petites tortues. Source
  13. Un congrès de grande qualité qui a mis en valeur les tortues Les participants ne s'y sont pas trompés, certains venaient de fort loin pour y assister. Dès l'entrée, à l'extérieur une magnifique exposition de tortues terrestres pour les unes, lacustres pour les autres attirait tous les regards. On s'attardait devant les enclos avec un grand plaisir, mais aussi avec l'envie d'en connaître le plus possible sur ces sympathiques reptiles. Les exposants présents, n'étaient pas avares de renseignements, quelle que soit la question posée, sur les beaux spécimens exposés dont une tortue géante qui adulte pouvait atteindre 300 kg, et dont la longévité est de 150 ans ; ce reptile originaire de l'océan indien, était emporté autrefois par les flibustiers et marins pour constituer leur viande au long de leurs traversées. Les tortues venaient du monde entier, cachePubVide('pubCarreEdit'); mais aussi, loin de chez nous ! Ces tortues-là font l'objet d'études scientifiques pour les sauvegarder sur notre territoire méditerranéen dont elles sont originaires, afin de les réintroduire dans leur milieu naturel, avec toutes les chances de survie, ce qui est une lourde tâche pour la FFEPT. Les tortues présentes sont nées et élevées en captivité. Au cours de ce congrès, à l'intérieur de la salle polyvalente, des conférences étaient données par des intervenants très compétents sur tous les sujets afférents au monde chéloniophile, dans son intérêt total, puisque, au cours de ces congrès, se rencontrent des personnes partageant les mêmes centres d'intérêt. Le sympathique président de la Tartuga Languedoc-Roussillon, Guy Virieux, résident à Sauvian, à l'origine de ce très important congrès peut se féliciter de la réussite à la fois de l'exposition des tortues, et des conférences devant un nombreux public tombé amoureux de ces reptiles. Ce congrès a été réalisé en collaboration avec l'aide de la municipalité. Source
  14. Oui, malheureusement, les mantes religieuses n'ont jamais de longues espérances de vie.
  15. Son caractère aussi décourage souvent le monde.
  16. Tu ne parlais pas d'échanger ta blonde en échange du couple d'Uroplatus l'autre fois?
  17. Max|mum-leterrarium

    Ma smithi

    Oui, c'est des garocheuses de poils nés. On les voit rarement avec tous les poils sur l'abdomen. La morsure n'est pas agréable mais n'a rien de dangereux par contre. C'est ta première mygale si je ne me trompe pas? Je serais curieux de te demander ce qui t'attire vers les mygales. Je vois souvent des gens acquérir cette espèce pour s'en défaire très peu de temps après.
  18. Max|mum-leterrarium

    Ma smithi

    C'est l'une de mes espèces favorites. Elle est comment au niveau du comportement? Est-elle manipulable?
  19. Max|mum-leterrarium

    position smithi

    Elle tente de grimper tout simplement.
  20. Max|mum-leterrarium

    coucou a tous

    Bienvenue sur le forum. Une autre passionné d'arachnides parmi nous enfin.
  21. Nom scientifique : Geochelone sulcata Nom français : Tortue sillonnée Nom anglais : African Spurred Tortoise Origine : Son aire de répartition comprend une bande de 500 kms de large, entre le Sénégal et l’Ethiopie (Mauritanie, Sénégal, Mali, Niger, Nigeria, Centrafrique,Tchad, Soudan, Ethiopie). Biotope : Aride à semi-aride Température : 30 à 32°C Humidité : 30 à 50% Moeurs : Terrestre et diurne Taille adulte : Environ 80 cm Longévité : Plus de 75 ans, certains parlent même de près de 150 ans. Nourriture : Végétaux, baies sauvages, granules pour truites, granules pour tortues terrestres. Voici une grosse tortue qui reste l'une des plus adorables qui soit. La tortue de la photo s'appelle Sophie et appartient au cinézoo à Ste-Anne de la Rochelle. C'est la plus grosse tortue d'Afrique. Cette tortue est complètement herbivore ce qui vient faciliter son alimentation. Elle peut vivre en enclot extérieur l'été mais il faut s'assurer de la rentrer à temps pour qu'elle ne prenne pas froid.
  22. Nom scientifique : Hymenopus coronatus Nom français : Mante orchidée Nom anglais : Malaysian orchid praying mantis Origine : Malaisie Biotope : Humide Température : 20 à 25°C Hygrométrie : 75 à 80% Moeurs : Vit dans l'herbe Taille adulte : Femelle : 7 cm, mâle : 3-4 cm Longévité : Environ 6 mois Nourriture : Insectes Photo emprunté au site http://gallery.photo.net/ La mante orchidée se trouve dans la nature sur les orchidées (souvent espèce Phalaenopsis) de la Malaisie. Elle y attend les insectes qui butine. Ce sont de féroces carnivores donc il vaut mieux éviter la cohabitation. Les femelles sont souvent plus grosses que les mâles. Cette espèce n'est pas parmi les simples à maintenir donc souvent déconseillé aux débutants.
  23. C'est déjà fait mais elle dit qu'elle a son coup de coeur pour les frimbriatus et qu'elle n'accepterait rien d'autre que ceux là.
  24. Épisode 6 Cette semaine : Mark Hammond se retrouve en face d'une famille de serpents à sonnettes dans une cour; Rick Kramer et Gino Pysher maîtrisent un énorme alligator semant la terreur; Pete Nolan et Brad Gates doivent sortir un intrus poilu d'un café; et Carl Lackey approche un ours qui terrorise des chevaux. Prochaines diffusions de cet épisode Mardi 29 juin à 13h00 Jeudi 1er juillet à 7h00
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