Max|mum-leterrarium

Ouin le gros party de famille! Est-ce qu'il y en a qui semble pâlir pour devenir hypo comme tu le souhaitais?

Nom scientifique : Macroclemys temminckii Nom français : Tortue alligator Nom anglais : Alligator snapping turtle Origine : Sud-est des États-Unis Biotope : Aquatique Température : 24 à 26°C pour l'eau 28 à 30°C pour l'air Moeurs : Pratiquement entièrement aquatique et diurne Taille adulte : Peut atteindre 65 cm Longévité : Peut atteindre 50 ans en captivité Nourriture : Carnivore Photo emprunté au site http://idata.over-blog.com/0/05/16/16/les-reptiles/ Voici l'une des plus grosses tortues d'eau douce. C'est une tortue ayant un moyen de chasse bien particulière possèdant un leurre ressemblant à un vers dans la bouche. L'individu le plus gros recensé est celui du zoo de Brookfield à Chicago et il pèse près de 106 kilos et mesure 77 cm. C'est une espèce peu répandu en captivité étant donné le large espace dont il est nécessaire pour sa garde.

300 tortues saisies par la douane en Malaisie Kuala Lumpur, Malaisie - Plus de trois cents tortues venant de Madagascar ont été découvertes par les douaniers de l’aéroport international de Kuala Lumpur. Des grenouilles et des caméléons étaient eux-aussi du voyage. Les douaniers ont saisi des centaines de tortues dont certaines appartiennent à des espèces menacées, des grenouilles tomate de Madagascar et des caméléons. Les animaux étaient entassés dans les bagages à main de deux ressortissantes malgaches qui ont été arrêtées. Parmi les animaux dont la valeur est estimée à 78.000 dollars, une tortue à soc a été découverte. La population de cette espèce est estimée entre 100 et 400 individus répartis sur une superficie de 1.500 km², dans le nord-ouest de Madagascar. "Les tortues étaient ligotées avec du papier adhésif pour les empêcher de bouger, tandis que les caméléons étaient entassés dans des chaussettes pour éviter toute détection" a raconté Abdul Rasid Samsuddin, le responsable de la faune sauvage et des parcs nationaux de Malaisie. Les animaux encore vivants ont été pris en charge par le département de la biodiversité et des parcs nationaux, qui étudie actuellement les moyens de les rapatrier à Madagascar. Ce genre de découverte est loin d'être rare. Une grande partie de la flore et de la faune de Madagascar vit uniquement sur l'île et se trouve victime d'un trafic incessant. Récemment, c'est un trafic de bois précieux qui a été découvert et révélé par un rapport de Global Witness. Une industrie massive de contrebande dans laquelle la police et les services forestiers ont été impliqués. Source

Tortues de mer relâchées dans le golfe du Mexique HOUSTON - Des biologistes relâchent des milliers de bébés tortues de mer en danger d'extinction dans le golfe du Mexique, espérant que par le temps que les petits nageurs soient rendus dans les eaux polluées par la marée noire, la pétrolière BP aura nettoyé le gâchis. Les autorités fédérales américaines des pêcheries et de la faune procèdent à la libération annuelle des tortues de Kemp, la plus petite espèce de tortue marine, sur les rivages de Padre Island étant donné que le Texas a été plutôt épargné par la marée noire. Pendant des années, les scientifiques ont gardé en captivité et fait s'accoupler les tortues pour soutenir l'espèce en voie de disparition. Les risques de garder ces tortues en captivité durant une période critique de leur vie pourraient être pires que les dangers liés au pétrole déversé à 640 kilomètres du lieu choisi, ont soutenu les autorités. Des centaines de spécimens âgés de quelques jours ont été relâchés sur les plages du Texas depuis la décision prise le 8 juin. Un autre groupe doit être libéré au début de la semaine prochaine. Néanmoins, la décision ne fait pas l'unanimité parmi les scientifiques, environnementalistes et amoureux des tortues. Des opposants arguent que la décision ne tient pas bien compte de la saison des ouragans et des modifications du courant qui peuvent amener la marée noire plus vers l'ouest et directement dans la trajectoire des tortues. Les mères couveuses, ajoutent-ils, seraient aussi en danger puisque plusieurs déposent leurs oeufs dans le nord du Mexique ou au sud du Texas et se dirigent vers des secteurs fortement touchés. Source

Nom scientifique : Leptopelis vermiculatus Nom français : Rainette à gros yeux Nom anglais : Big eyed tree frog Origine : Tanzanie Biotope : Humide Température : 23 à 28°C Hygrométrie : 60 à 80% Moeurs : Arboricole et nocturne Taille adulte : mâle : 4 à 5 cm et femelle : 6 à 8,5 cm Nourriture : Insectes Voici une espèce que j'ai longtemps maintenu. Ce sont des grenouilles relativement calme que l'on peut manipuler facilement. Elles sont de bonnes mangeuses également. Ce dernier point rend l'espèce d'une facilité de maintien.

Drôles d'animaux dans la réserve des douaniers Un dos de ukulélé (guitare polynésienne), en carapace de tatou, un petit mammifère protégé. Des bouteilles de gnôles avec à l'intérieur un cobra tenant dans sa gueule une vipère d'eau ou un scorpion noir. Des sacs en crocodile. Des bottines et des chaussures de ville en peau de python. De magnifiques coraux des Antilles. Une carapace de tortue marine... Drôles de souvenirs de vacances pour des touristes qui bravent, volontairement ou non, la convention de Washington censée protéger les espèces menacées. (1). Ces touristes qui sont en infraction, risquent de lourdes amendes. Non seulement ils participent à l'appauvrissement du milieu naturel mais ils prennent le risque d'importer des maladies. « Quand on ouvre une valise, on ne sait jamais sur quoi on va tomber... », confie Marie-Catherine Kuntz-Pinguet, directrice adjointe des douanes de Nice. Et souvent, les douaniers ont de mauvaises surprises. Comme le jour où une jeune fille cachait dans son sac... un petit caméléon en provenance du Maroc. « Un camélon ne peut pas s'acclimater chez nous... », soulignent les douaniers. L'animal a été confié au parc Phoenix. Malgré les soins, il est mort un an plus tard. Il y eut également ce couple de plongeurs chargés de 3,8 kg de coraux, « coupés à la hache... ». Le mois dernier, un homme s'est présenté avec trois perroquets d'Amazonie sans permis d'importation. Les volatiles ont également été confiés au Parc Phoénix. « Mais ils dépérissaient », raconte Marie-Catherine Kuntz-Pinguet. « Nous avons pris le parti de les redonner aux propriétaires. La santé de l'animal passe avant tout... » Dernière prise des douaniers : des défenses d'éléphanteau en provenance de Mauritanie. « Plus de 3000 espèces animales et 40 000 espèces végétales risquent de disparaître », rappellent les douanes de Nice qui déplorent une centaine d'affaires par an liés aux animaux protégés. vbellanger@nicematin.fr (1) En 1973, 39 États dont la France, signaient à Washington une convention visant à réglementer le commerce international de ces espèces de la faune et de la flore sauvages menacées d'extinction. Vincent Bellanger Nice-Matin Source

Python royal sur le trottoir On le trouve en Afrique de l'Ouest ou dans les vivariums. Plus rarement sur un trottoir à Neuchâtel. «Nous avons récupéré un python royal jeudi soir à la rue Denis-de-Rougemont», raconte Pascal Ferrari, du Service d'incendie et de secours de Neuchâtel (SIS). «Deux personnes qui passaient par là nous ont signalé la présence d'un serpent. Ils nous ont appelés parce qu'ils trouvaient que ce dernier ressemblait beaucoup à ceux qu'ils voient chez eux, en Afrique!» Le python royal de 80 centimètres, inoffensif vu sa taille, a adopté une stratégie propre à ses congénères à l'arrivée des pompiers. «Il avait peur alors il s'est roulé en boule. ça a été très facile de le capturer.» ç L'animal a pu ensuite évacuer son stress... au domicile du pompier! Passionné de reptiles, Pascal Ferrari offre son toit aux spécimens qu'il croise lors de ses interventions. La découverte a été annoncée au vétérinaire cantonal, précise-t-il. «Le python a été soit relâché par un privé, soit il s'est évadé. Je vais le garder chez moi en attendant d'avoir des nouvelles.» /ssa Source

Les nouvelles - Confirmation d'une nouvelle espèce, la tortue peinte, identifiée au parc national de Frontenac! Récemment, Mehdi Daoudi, garde-parc naturaliste au parc national de Frontenac, a confirmé la présence de la Chysemys picta marginata communément appelé «tortue peinte». Cette découverte fait suite à de nombreux inventaires infructueux effectués aux cours des dernières années sur le territoire du parc national de Frontenac, afin de confirmer la présence d'une ou de plusieurs espèces de tortues. Désormais, cette nouvelle espèce répertoriée s'ajoute à la liste des 18 espèces d'amphibiens et reptiles ainsi que des 285 vertébrés précédemment identifiés au parc! Bien que la «tortue peinte» soit la plus commune dans le Sud du Québec, elle est difficile à observer. Diurne, elle est facile à repérer quand elle s'expose au soleil sur les troncs, les roches ou d'autres objets émergeant de l'eau. Les tortues et ce comme tous les reptiles, sont des ectothermes. Elles peuvent agir alors volontairement sur leur température en s'exposant aux rayons solaires, en prenant contact avec une surface chaude, ou encore en recherchant l'ombre. On reconnaît la «tortue peinte» à sa carapace lisse et foncée et aux rayures de son corps. La tête est rayée de jaune tandis que le cou, les pattes et la queue sont rayés de rouge. Pour les amants de la nature, il est bon de savoir que si vous avez le privilège d'observer une tortue, prière de ne pas la déranger puisqu'elle est peut-être en train de pondre! Eh oui, les femelles choisissent fréquemment des sites de ponte près de l'eau dans différents substrats incluant le gravier, le sable et le terreau où elles pondront jusqu'à 50 œufs. En conclusion, en plus de la «tortue peinte», deux autres espèces (la tortue serpentine et la tortue des bois) sont susceptibles d'être retrouvées au parc selon l'aire de répartition des espèces québécoises... c'est donc un rendez-vous afin de découvrir ouredécouvrir le parc national de Frontenac! Cet été, vivez le parc national de Frontenac! Source

Un serpent capturé à Chantepie L’équipe animalière des sapeurs-pompiers d’Ille-et-Vilaine est intervenue, ce jeudi, vers 18 h 30, afin de capturer un serpent dont l’origine est, pour l’instant, inconnue. Les sapeurs-pompiers ont été appelés par des passants de la place Granier, apeurés par la présence du reptile. Ce dernier a été remis à une animalerie. Source

Une tortue en vadrouille dans le centre-ville de Cholet Surprenant sauvetage, ce jeudi à Cholet. Une tortue en vadrouille dans les rues du centre-ville n’a dû son salut qu’à l’intervention des sapeurs-pompiers. Il est midi quand l’alerte est donnée, l'animal a été repéré rue du Puits de l’Aire. La police est la première sollicitée. À leur tour, les pompiers sont appelés. La tortue affiche de belles dimensions. Sa carapace mesure tout de même 25 centimètres de longueur. Ce soir, sa propriétaire aurait été identifiée. Reste encore à reconnaître formellement son animal, avant de pouvoir ramener la tortue à la maison. Source

Bah pourtant moi j'ai vu des airs de Martin là dedans!

Oh mon dieu, Martin ne peut pas douter de sa paternité hein!

Mes félicitations ma belle! Je ne croyais pas que c'était si tôt. J'avais en tête que tu devais accoucher cet automne. J'ai bien hâte de voir sa frimousse!

Un serpent-boa mis hors d'état de nuire Le monstre long de plus de 5m était « accusé » de perturber la vie des populations dans le quartier a été abattu hier devant les caméras de télé au quartier Deïdo. Selon un habitant du coin, plusieurs enfants auraient disparu mystérieusement dans le quartier et de tous les marabouts consultés, un serpent boa, totem d’un vieillard du quartier était à l’origine des malheureuses disparitions. Ces derniers jours, le boa était apparu dans plusieurs maisons et très souvent aperçu autour d’un petit coin marécageux à 200m du domicile familial des EKINDI. Les jeunes du quartier fatigués d’être effrayés par les apparitions intempestives du boa ont décidé de mener une opération « vie ou mort » en s’attaquant au boa depuis sa cachette. C’est ainsi que le monstre en essayant de sortir du marécage a été cette fois encerclé par les jeunes renforcés par les habitants qui ne trouvaient plus le sommeil au quartier Deido plage. Le serpent est abattu devant les caméras de quelques médias présents. Quelques individus assoiffés de viande de boa se sont partagés la viande du monstre certains morceaux sont même passés par une vente aux enchères. Source

Saint-Lazare Il accepte de se débarrasser de son python En Montérégie, le propriétaire d’un python de deux mètres a accepté de se départir de son animal de compagnie pour rassurer ses voisins. Il y a trois semaines, le 28 juin dernier, le serpent a causé toute une commotion dans la municipalité de Saint-Lazare après s’être échappé de sa cage. L’animal est sorti par la fenêtre du logement de Patrick Beaudoin et s’est retrouvé dans un stationnement. Il s’est ensuite dirigé vers la fenêtre d’une garderie où se trouvaient une douzaine d’enfants. Certains d’entre eux l’ont aperçu, ce qui a créé un mouvement de panique. Un responsable de la garderie a alors appelé le 911 et des agents de la faune sont venus chercher l’animal, qui se trouvait sous une voiture. «C’est mon enfant, je vis avec lui et je fais attention (...) Mais même s’ils me laissaient le garder, je ne le garderais pas.»Personne n’a été blessé, mais des parents inquiets souhaitent que cet incident ne se reproduise plus. Environ 200 personnes ont signé une pétition pour demander à la municipalité d’intervenir dans ce dossier. La Ville n'aura toutefois pas légiférer parce que le propriétaire de l’animal comprend l’inquiétude des parents et a accepte de s'en débarrasser. «Quand je suis revenu de travailler, il n’était plus là, explique Patrick Beaudoin. J’ai appelé la police, m’ont dit qu’il était au Centre canin de Vaudreuil. Ils l’ont gardé deux jours...» Il ajoute: «C’est mon enfant, je vis avec lui et je fais attention (...) Mais même s’ils me laissaient le garder, je ne le garderais pas.» Le python, de type «birman», est l'un des plus gros serpents au monde. Il n’est pas venimeux, mais il asphyxie ses proies pour les tuer. Source

Madagascar : Trois cents tortues malgaches saisies à l’aéroport de Kuala Lampur Trois cent tortues venant de la Grande île ont été découvertes par les douaniers de l’aéroport international de Kuala Lumpur, en Malaisie, récemment. Les tortues saisies font partie des espèces très recherchées à savoir, la tortue radiée de Madagascar et la tortue araignée. Il y avait également parmi les animaux saisis, une tortue à soc qui est une espèce très menacée. Sa population est estimée entre 100 et 400 individus répartis sur une superficie de 1500 km², dans le nord-ouest de Madagascar. Deux ressortissantes malgaches ont été arrêtées. Les animaux se trouvaient dans leurs valises. Le site de World Wild Fund rapporte que les deux valises de ces passagers contenant les tortues et de la drogue étaient arrivées à Kuala Lumpur par un vol d’Air Mauritius. Les tortues qui étaient vivantes ont été prises en charge par le Département de la Biodiversité et des Parcs Nationaux de Malaisie qui étudie actuellement les moyens de les rapatrier à Madagascar. Dans le passé, des exportations illégales ont été découvertes autant à Madagascar qu’à l’étranger, notamment dans les pays de l’Asie du Sud-Est d’où ces animaux repartent parfois vers d’autres pays. En 2006, un ressortissant malgache avait été arrêté à l’aéroport de Bangkok pour trafic de tortues radiées. En 2005, il y a eu l’affaire de trois militaires malgaches qui ont introduit illégalement 180 tortues radiées à La Réunion. Mais il n’y a pas que les tortues. D’autres espèces font également l’objet de trafic, pour ne rappeler que les 500 caméléons et les centaines d’amphibiens découverts à Ivato dans les bagages respectifs d’un chinois et d’un russe. Source

Une fillette de 5 ans succombe à une piqûre de scorpion Une fillette de 5 ans, originaire de la localité de Saïfi, relevant de la daïra de Messaâd, dans la wilaya de Djelfa, est décédée la nuit dernière des suites d'une piqûre scorpionique. La victime a dû faire un long périple. En effet, au départ, elle a été évacuée aux urgences de l'hôpital de Messaâd avant d'être transférée à celui de Djelfa où il a été décidé qu'elle termine son voyage à Blida du fait de la dégradation de son état de santé. D'autres sources locales disent qu'elle a perdu la vie dans une structure hospitalière à Ksar El Boukhari. Tout cela pour essayer de sauver la vie d’une victime d'envenimation scorpionique. Par ailleurs, quelques jours avant ce décès, un jeune de 18 ans habitant la localité d'Azil Abdelkader, située dans la région de Barika, dans la wilaya de Batna, a trouvé la mort dans les mêmes circonstances. Il a été hospitalisé dans deux établissements sanitaires avant de succomber. Source

Des centaines de tortues exportées illégalement de Madagascar Les agents des douanes à Kuala Lumpur ont trouvé près de quatre cents tortues rares de contrebande en provenance de Madagascar. C'est la seconde fois depuis le mois dernier et cela fait craindre que l'exportation illégale d'animaux et de plantes du pays augmente à cause des problèmes politiques de Madagascar. A des milliers de kilomètres de leur domicile, les tortues etaient à la dernière étape de leur voyage vers les magasins pour animaux de compagnie et peut être les casseroles de quelque cuisiniers quand ils ont été trouvés à l'aéroport de Kuala Lumpur. Ont également été récupérés plus de quarante grenouilles tomate rares. Deux femmes malgaches ont été arrêtées, selon les douaniers les animaux ont été trouvés dans leurs bagages. Selon Richard Thomas de l'organisation Traffic International qui lutte contre le commerce illégal d'animaux exotiques, les deux espèces de tortue retrouvées sont extrêmement rares. Une grande partie de la flore et de la faune de Madagascar, y compris ses célèbres lémuriens, sont uniques à l'île. Ils attirent des centaines de milliers de touristes dans le pays. Ils sont également sous la menace croissante d'être l'exploités. Certains écologistes parlent d'une "liberté pour tous" à Madagascar avec des gangs criminels qui opèrent presque à volonté. Un rapport récent de Global Witness a aussi découvert une industrie massive de contrebande de bois précieux. La police et les services forestiers ont été impliqués dans ce traffic. L'organisation pour la protecton de l'environnement WWF estime que les autorités ont mis en vente une récolte illégale de bois pour leur propre profit. Le mois dernier le Premier ministre malgache s'est rendu aux Comores pour rapatrier un navire qui avait tranporté quinze conteneurs de bois de rose, abattu illégalement. Source

Python vagabond et couleuvre agressive « Lorsque j’ai saisi le serpent avec la pince, il s’est débattu et sa force a rapproché la barque de la berge ! » Le major Michel Misic, pompier animalier de Sarreguemines, considère le reptile qu’il a capturé vers 11h, hier, en bord de Sarre, au niveau de l’écluse 28, avec circonspection. « Je ne suis pas un spécialiste, mais je pense que c’est un python molure ». Une espèce qui, adulte, mesure jusqu’à 8 m de long. Pour l’instant, à vue d’œil, il mesure entre 1,5 et 2 m. « Et il pèse lourd ! », constate le major. Ce sont des pêcheurs qui ont alerté les pompiers après avoir aperçu le serpent dans les ronces. Récupéré à la caserne de Sarreguemines par des pompiers amnévillois, le serpent est désormais au zoo d’Amnéville. « Il va être identifié, placé en quarantaine, puis il va sûrement intégrer le vivarium », pronostique le major. Récalcitrante Les pompiers de Petite-Rosselle ont été alertés samedi soir pour une intervention peu banale. Rue de la Frontière, les propriétaires d’une maison ont trouvé un serpent, long d’un mètre, dans une évacuation d’eau sur leur terrasse. Ce serpent, particulièrement agressif, a néanmoins pu être capturé. Pour cela les pompiers ont dû utiliser des pinces à reptile, avant de le placer dans une caisse. Après concertation avec un vétérinaire de Forbach, décision a été prise de lâcher dans la nature le reptile, s’agissant d’une simple couleuvre, donc inoffensive. Source

Des parents veulent faire disparaître un python Des parents et des travailleurs d’une garderie de Saint-Lazare, à l’ouest de Montréal, sont inquiets ces jours-ci. Et pour cause. Selon ce que rapporte le quotidien The Gazette, un serpent de type «python», de deux mètres de long, s’est échappé de la résidence voisine de la garderie que fréquentent leurs enfants. L’incident est survenu le 28 juin dernier alors qu’une douzaine d’enfants qui jouaient dans le sous-sol de l’établissement ont aperçu le reptile à travers une fenêtre. Un préposé de la garderie devait aussitôt prévenir les autorités et des agents de la faune sont intervenus pour capturer l’animal et le ramener à son propriétaire. Depuis ce temps, quelque 120 parents ont signé une pétition demandant aux autorités municipales de prendre les mesures qui s’imposent pour empêcher la répétition de pareil incident. Selon le quotidien, un policier aurait déclaré au propriétaire de la garderie que le python était de type « birman», un des plus gros serpents sur Terre mais qui n’est pas venimeux. Selon Éric Santerre, porte-parole du Ministère québécois des Ressources naturelles et de la Faune, il n’est pas obligatoire de détenir un permis pour posséder un python. Selon lui, il appartient généralement aux municipalités d’adopter la réglementation concernant l’encadrement de ce type d’animaux. Source

Ouf, tu es pas mal chanceuse. Je garde des mygales depuis des années et je n'ai jamais vu une mue arriver sous mes yeux encore.

Paca - Un village pour sauvegarder les tortues C’est au cœur du Var, à Gonfaron, dans le Massif des Maures, que vous pouvez découvrir sur 2 hectares le village des tortues. Le site est ouvert à la visite tous les jours. Cela commence par la clinique des tortues où elles sont soignées, isolées pour leur repos et rétablissement. Le parcours se poursuit sur des passerelles en bois laissant apparaître les tortues terrestres et aquatiques de France, mais aussi du monde entier, de la plus petite à la plus imposante. Autre partie de la réserve : les serres, qui, elles, rassemblent les spécimens exotiques qui ont besoin d’une chaleur plus importante et constante. En fin de parcours, la nurserie et la closerie. Tout au long de cette paisible promenade, différents panneaux explicatifs, des animations vidéos ou sonores informent les visiteurs sur les tortues et leur évolution à travers les âges. En compagnie des scientifiques La tortue d’Hermann, dont l’habitat naturel est la Provence, apparaît comme une espèce menacée. Seule tortue terrestre de France, elle n’a pas manqué d’attirer l’attention des chercheurs dont le but premier a été son étude et sa conservation. Souvent donnés par des particuliers, blessés (fauchage-débroussaillage, renversés par des voitures, mordus par des animaux…), des specimen sont heureusement recueillis par le centre qui les remet sur patte avant de les relâcher dans leur environnement. Des établissements similaires ont vu le jour au Sénégal et à Madagascar. Créé par trois naturalistes, le village des tortues, qui s’agrandit chaque année et a son site internet (www.villagetortues.com), a vu le jour en 1986, mais il n’a ouvert au public qu’en 1988. Il propose également des stages d’une semaine auprès de scientifiques — afin, par exemple, de « devenir éco-volontaire » — où chacun apprend à mieux connaître ces reptiles à carapace. Avec ses milliers de membres et de parrains, le centre marque la détermination et la grande solidarité pour la sauvegarde d’un animal qui a traversé les âges. Source

Mais qui a tué la tortue ? Une tortue luth de 400 kilos s'est échouée vendredi sur l'île d'Oléron. À l'abri des regards indiscrets, des experts ont pratiqué ce week-end l'autopsie de ce géant de deux mètres C'est la première fable de l'été, celle d'une tortue ayant réussi à devenir aussi grosse qu'un bœuf. Mais qui a déjà subi le deuil malodorant d'une minuscule tortue de compagnie devinera aisément combien ces 400 kilos de barbaque ont vite chatouillé les naseaux des premiers touristes venus guetter la bête échouée, vendredi, au soleil brûlant de la plage de la Rémigeasse. Aussitôt évacuée dans un champ voisin, l'immense dépouille a été discrètement autopsiée ce week-end par les spécialistes rochelais du Centre d'études et de soins pour tortues marines. En voie d'extinction Ne craignant pas même les mâchoires des requins, la tortue luth - la plus grande de toutes - est pourtant en danger critique d'extinction. « Victime du braconnage, des filets et de la consommation de ses œufs, elle succombe aussi régulièrement à l'ingestion de sac en plastique confondus avec des méduses », explique la chercheuse Florence Dell'Amico. Car bien qu'originaire des Caraïbes, la gourmande se paye régulièrement le luxe d'escapades transatlantiques vers des pertuis charentais référencés par le « Gault Millau » des tortues comme l'une des plus grandes cafétérias à méduses au monde. « Des rhizostomes pesant parfois 50 kilos grâce au riche plancton déversé par les eaux de la Seudre et de la Charente », confirme la chercheuse rochelaise. « Équipées d'un bec spécialement profilé, ces tortues peuvent en avaler une dizaine chaque jour. Voilà pourquoi il n'est finalement pas si rare de les voir nager près de nos côtes. » Pour autant, et après le redoutable examen de ses dix mètres d'intestins déroulés samedi au petit matin, nous sommes en mesure de révéler que le malheureux spécimen de la Rémigeasse ne serait en fait mort que de sa belle mort. « La tête avait tout de même l'air un peu râpée, nous gardons le foie et les reins pour des examens complémentaires, tandis que les échantillons de muscles partiront en Californie. » Aux fétichistes friands de mensurations exhaustives, signalons également la taille de la zigounette, elle aussi scrupuleusement étalonnée à l'aide d'un pied à coulisse par les experts rochelais : 50 centimètres accrochés à un corps de deux mètres, soit un ratio assez peu flatteur pour le genre humain. Depuis 1988, et la création du centre d'études par l'aquarium de La Rochelle, seules 82 tortues luth ont pu être autopsiées le long des rivages français de l'Atlantique et de la Manche. Toujours assez mal connue, on ne connaît ainsi avec précision la longévité de cette tortue à la carapace bleutée, sans doute capable de s'enfoncer jusqu'à des profondeurs abyssales. Enfin, et pour tuer dans l'œuf une rumeur qui n'aurait pas manqué de naître, il est temps d'affirmer que les restes de la géante d'Oléron n'ont pas été offerts aux colonies de vacances, pas plus qu'aux maisons de retraite de l'île. Source

Les douaniers saisissent une carapace de tortue et une peau de lynx Ils vont régulièrement y faire un tour, les fonctionnaires de la brigade de surveillance intérieure des douanes d’Avignon. Et samedi matin, aux puces de Bonpas à Avignon, qui voient converger des centaines de personnes chaque week-end, ils ont repéré un couple qui proposait à la vente de drôles de marchandises.Elles provenaient d’un héritage et le couple souhaitait visiblement s’en défaire à bon prix. Ainsi, les douaniers ont-ils saisi une carapace de tortue, deux sacs à main en peau de crocodile et une peau de lynx. Le couple a fait l’objet d’une amende douanière et les marchandises ont été confisquées. Les douaniers agissaient en vertu de la convention de Washington qui régit le commerce des espèces protégées. Source

Crocodile Dundee à la gomme cherche reptile docile Il ne suffit pas de quelques boucles blondes et d'un chapeau crasseux pour devenir Crocodile Dundee. Un Australien s'en est rendu compte lundi soir lorsque, poussé par un niveau d'ivresse lui faisant perdre le sens du danger, il s'est installé à califourchon sur un crocodile. Et que malgré ses 800 kilos, le reptile s'est retourné avec souplesse pour le mordre violemment à la jambe. L'aventurier, probablement originaire du sud-est de l'Australie, avait commencé la soirée dans un pub de Broome, au nord-ouest du pays. Etait-ce pour noyer ses 36 ans? L'homme a beaucoup bu au bar, et s'est fait expulser en milieu de soirée. Il a ensuite eu la brillante idée d'escalader les palissades de l'enclos d'un crocodile, dans un parc animalier de la ville. Après avoir regardé, l'oeil certainement lourd et le cerveau embrumé d'excès, deux femelles croco, il a jeté son dévolu sur un mâle de 5 mètres de long. Un certain Fatso. Qui n'avait pas envie de se laisser dompter. «L'homme a été mordu à la jambe droite quand il a tenté de monter sur le dos du crocodile. Il a réussi à s'enfuir et est retourné au pub où une ambulance a été appelée», selon un porte-parole de la police. Du fait de la gravité de ses lésions, il a dû subir une intervention chirurgicale. La police australienne ne veut pas révéler son nom «car en plus d'être blessé, il se sent assez ridicule». Le blessé ne doit son salut, selon le directeur du parc, qu'à la fraîcheur de la soirée. S'il avait fait plus chaud, le crocodile aurait été beaucoup plus vaillant. D'autant plus que le specimen n'est pas docile :il y a vingt ans, dans la réserve naturelle dans laquelle il vivait, Fatso attaquait les bateaux. Rien que ça. Source