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Max|mum-leterrarium

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Tout ce qui a été posté par Max|mum-leterrarium

  1. Épisode 5 Carl Lackey intervient auprès d'ours qui s'en sont pris à des touristes au lac Tahoe. À Toronto, un raton-laveur s'est réfugié dans une cheminée. Un serpent à sonnettes de trois pieds de long a élu domicile dans un garage. À Miami, l'expert Willie Sklaroff tente de démanteler une ruche de 50 000 abeilles! Prochaines diffusions de cet épisode Jeudi 24 juin à 7h00
  2. Serpents : et en plus, ils volent ! Asie – Les scientifiques se sont penchés récemment sur le cas de plusieurs espèces de serpents capables de se déplacer d’arbre en arbre en planant dans les airs, véritables génies de l’aéronautique. Cinq espèces d’ophidiens du sud-est asiatique, appartenant à la famille des Colubridés, ont cette curieuse habitude. Une observation attentive de ces reptiles peu connus a permis aux zoologistes de décrire leur complexe protocole de décollage et de vol.Tout d’abord, l’animal se positionne au bout d’une branche, et se laisse pendre, formant un "J" avec son corps. Puis, se propulsant avec la moitié inférieure de celui-ci, il lâche prise. Tout en prenant alors la forme d’un "S", il s’aplanit, doublant quasiment la largeur de son corps pour en faire une "voile" propre à intercepter les courants ascendants. Ondulant d’avant en arrière pour tourner, ces habiles planeurs combinent ainsi l’élan de la chute libre et les contorsions de leur corps souple pour circuler dans la canopée. Les scientifiques pensent que ces créatures arboricoles réduisent ainsi à l’extrême leurs incursions à terre, où une rencontre avec un prédateur est toujours à craindre. Se nourrissant essentiellement de rongeurs, de lézards et de chauve-souris, ces serpents, pratiquement inoffensifs pour l’homme en raison de la faiblesse de leur appareil venimeux, mesurent de 60 cm à 1m20 selon les espèces. Assez répandus et vivant de l’ouest de l’Inde à l’Indonésie, ils ne seraient pas menacés actuellement. Source
  3. Nom scientifique : Gonyosoma oxycephala Nom français : Serpent ratier vert à queue rouge Nom anglais : Red tailed green rat snake Origine : Asie du sud-est Biotope : Semi-humide à humide Température : 26 à 29°C Hygrométrie : 70 à 90% Moeurs : Tendance semi-arboricole Taille adulte : 1,7 mètres à 1,8 mètres mais peut dépasser les 2 mètres Longévité : 10 à 15 ans Nourriture : Rongeurs, oiseaux, chauves-souris et petits lézards Photo emprunté sur http://farm4.static.flickr.com/ Ce serpent fait parti des ratiers donc est anciennement un Elaphe. Lors du changement de nomenclature en 2002, son nom scientifique a été réétudié et retravaillé. Ce magnifique serpent n'est pas recommandé comme premier serpent puisqu'il n'est pas des plus sympathique. Ce sont par contre, des serpents très facile à nourrir.
  4. haha et la demoiselle m'a demandé hier soir ou était la tête là-dessus. Elle reste définitive par contre, ça ne rentre pas chez elle. Moi je suis bien content par contre.
  5. Une exposition de tortues à Sauvian L'association "La Tartuga Languedoc-Roussillon" organise à Sauvian, près de Béziers, une exposition de tortues, et accueille le 2 e congrès de la FFEPT (la Fédération Francophone de l'élevage et de la Protection de la Tortue) les 19 et 20 juin 2010 de 9 h à 18 h, salle polyvalente à l'entrée de Sauvian au fond de la rue près du garage Renault. Entrée de l'exposition 2€, gratuit pour les enfants de moins de 12 ans. Congrès : Voir le programme du congrès sur le site : http://congres2010.ffept.org/programme.ohp Exposition : Exposition de tortues terrestres et aquatiques élevées en Languedoc-Roussillon. Présentation d'adultes et juvéniles, présentation pour la première fois de Testudo marginata hypomélanistique. Informations : Conseils d'élevage, réglementation, animations, stands, documentation, livres, souvenirs, buvette. Contact pour l'Aude : Jean-Marie et Thérèse Marie Dupret à Névian tel : 04 68 93 52 81. Source
  6. 51 000 piqûres scorpionniques dont 52 mortelles enregistrées en 2009 Le recours aux campagnes d'information et de sensibilisation contre les dangers que représente le scorpion ainsi que l'organisation d'opérations de collecte de cet animal constituent inévitablement l'un des procédés nécessaires pour une lutte efficace. En effet, pas moins de 52 piqûres mortelles sur 51 000 avaient eu lieu en 2009, et ce, à l'échelle nationale. Selon des statistiques exposées présentées récemment, on constate un recul sensible du nombre de décès par rapport aux années précédentes, surtout en 1999 où 149 cas de décès ont été enregistrés. Il est précisé que le coût quotidien de la prise en charge d'une seule victime de scorpion varie entre 5000 et 10 000 DA. D’où la nécessité de la création d'un centre de lutte qui aura à travailler en coordination avec l'Institut Pasteur d’Algérie (IPA), le ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique ainsi que les autres organismes et associations activant dans le même domaine. Il y a lieu de noter qu'à l'échelle nationale, Biskra occupe la deuxième position en termes d'envenimation scorpionique après Oued Souf, région où le scorpion sévit le plus. Première victime à Barika Un jeune de 20 ans est décédé cette fin de semaine à l'hôpital Mohamed Boudiaf de la ville de Barika. Le défunt, originaire de Dghamna, un hameau relevant de la commune de Abdelkader Azil, a été piqué par un scorpion, ce qui a nécessité son admission à la polyclinique de Ouled Amar. Des suites de la dégradation de son état de santé, la victime a été transférée vers l'hôpital de Barika où elle a rendu l'âme. Rappelons que les scorpions qui prolifèrent dans la région de Barika sont qualifiés des plus dangereux. 4 personnes en sont mortes l'été dernier. Une semaine avant le décès de ce jeune, 13 cas de piqûres ont été enregistrés dans la même région, a-t-on appris de sources hospitalières. Source
  7. Des Terminator pour un boa constrictor jeudi 17.06.2010, 05:10 - La Voix du Nord La scène ressemble un peu à celle d'une série Z de chaîne polar du câble. ... En décembre dernier, à Armentières, un promeneur remarque, face au logement d'un copain, deux individus très affairés à se camoufler le visage derrière des cagoules et des capuches. Coup de sonnette. La porte s'ouvre. L'occupant des lieux est roué de coups. Ses agresseurs tentent même de le ligoter avec du ruban adhésif. Confusion. Bagarre. Finalement, le copain témoin de tout à l'heure débarque. Les assaillants battent en retraite. Bilan : quelques contusions et... un boa constrictor évaporé. La victime, défendue par Marie Alexandropoulos, est un passionné de serpents. Ses agresseurs aussi. Il n'y a aucun doute là-dessus puisque le malheureux tabassé les a reconnus. Hier, à la barre, Benoît S., 21 ans, un grand baraqué à la peau rosâtre tatouée et au cheveu ras, a tenté de se glisser dans le costume de... Brigitte Bardot. S'il a déboulé chez l'autre « mordu » de reptiles, c'est parce que ses bêtes étaient « maltraitées ». Les efforts de la présidente Reliquet pour ne pas éclater de rire et la moue dubitative de la procureure Hoflack ne changeront rien à cette version. Les magistrats accorderont cependant d'avantage de crédit aux propos du complice, Justin G., 21 ans également. Un boa de ce type, ça se revend « 300 E ». Résultat : huit mois de prison avec sursis chacun. • L. B. Source
  8. Bouches-du-Rhône : un python capturé dans des canalisations L'animal, non venimeux, s'était échappé il y a 15 jours de l'appartement d'une résidence située à Vitrolles, en prenant la fuite par les toilettes. Il a été retrouvé vivant. Un python vivant de 2,50m a été capturé jeudi à Vitrolles (Bouches-du-Rhône), à la périphérie de Marseille, a-t-on appris vendredi auprès des sapeurs-pompiers. L'opération a mobilisé pendant trois heures une vingtaine de policiers municipaux, pompiers, agents des services techniques de la ville et les employés de plusieurs entreprises d'assainissement. Le python, non venimeux, s'était échappé il y a une quinzaine de jours de l'appartement d'une résidence du quartier de La Frescoule, à Vitrolles, en prenant la fuite par les toilettes. Dissimulé dans le réseau des eaux usées Depuis, les habitants de l'immeuble s'inquiétaient de ses promenades dans les canalisations, alors qu'il s'était dissimulé dans le réseau des eaux usées de la ville. Les intervenants ont d'abord obstrué les canalisations pour pousser l'animal à sortir, avant d'introduire une quantité d'eau importante. Ils l'ont enfin momentanément anesthésié à l'aide d'un extincteur pour l'attraper. Il a rejoint le vivarium du zoo de La Barben (Bouches-du-Rhône), situé non loin de Vitrolles. (Nouvelobs.com) Source
  9. La tortue, reptile sympathique Amis, connaisseurs, curieux de mieux connaître ce gentil reptile, la ville de Sauvian et la Tartuga Languedoc-Roussillon, informent que le 2 e congrès de la FFEPT (Fédération francophone pour l'élevage et la protection des tortues), se tiendra les aujourd'hui et demain , tout au long de ces deux journées à partir de 9 h le matin et jusqu'à 17 h. Une exposition de tortues nées et élevées en captivité (tortues terrestres, palustres, aquatiques), adultes et juvéniles permettra de mieux connaître ces reptiles. Différentes conférences sont prévues avec des intervenants qui interviendront au fil de ces journées, pour mieux informer le public sur la possession, l'élevage, la législation afférente à ces reptiles, la conservation la réintroduction en site naturel, etc. Un vaste très vaste programme. cachePubVide('pubCarreEdit'); Entrée de l'exposition 2 € et gratuit pour les enfants de moins de 12 ans. Source
  10. Quand même visionné 760 000 fois. C'est une grande vedette cette tortue maintenant!
  11. Les écoliers découvrent le monde des amphibiens C'était journée découverte nature, vendredi, pour les enfants de la grande de l'école primaire du Viala-du-Tarn. Dans la continuité du programme "Sensibilisation des enfants au monde extérieur, aux problèmes de la planète, faire des enfants des écocitoyens", la journée était axée sur la découverte du monde des batraciens. Pour ce faire, Denis Armand, animateur au Centre de protection des initiatives environnement (CPIE) à Millau, est venu à l'école sensibiliser, informer les enfants sur le monde des batraciens (grenouilles, crapauds, tritons, salamandres). Avec, le matin, une partie théorique, et l'après-midi, une observation sur le terrain au lac d'Ambias. D'emblée, le sujet a retenu toute l'attention des élèves et, à certains moments, il était difficile à l'animateur de répondre aux enfants tant les questions ont fusé de toutes parts. Source
  12. Puisque certains se plaignent de la traduction, je vous ai mit une version française provenant de LCN. Ceci revient à ce que je dis souvent et qu'on tente de me faire changer d'avis. Un BCI n'est pas un serpent de débutant.
  13. Attaque mortelle d’un serpent Aux États-Unis, un homme a succombé à ses blessures après avoir été attaqué par un serpent dans un appartement d’Omaha, au Nebraska. Les événements sont survenus hier quand Cory Byrne, 34 ans, est allé à la rencontre de son voisin pour lui montrer son reptile, un boa constrictor d'environ trois mètres de longueur et pesant 25 livres. Selon les policiers, le serpent s’est enroulé autour du cou de son propriétaire, qui s’est vu incapable de s’en défaire, cherchant par tous les moyens à trouver son souffle. Un ami ayant été témoin de la scène a bien essayé de tirer la victime de sa fâcheuse position, mais sans succès. À leur arrivée sur les lieux, les paramédics ont constaté que Byrne était inconscient. Ils ont entrepris des manœuvres de réanimation, parvenant à dégager le serpent du cou de son propriétaire. La victime a été transportée à l’hôpital, où son décès a été constaté. Après l’incident, l’animal a été confié un organisme de protection pour les animaux. On ignore le sort qui lui sera réservé. «Il s’agit de l’un des plus longs serpents que nous ayons accueillis depuis fort longtemps, a dit un porte-parole de la Nebraska Humane Society. Nous allons mener une enquête pour déterminer si la taille du serpent rendait sa possession illégale...» Source
  14. Réunion : La police découvre un trafic de tortues Un trafic de tortues entre La Réunion et la France a été découvert. Plus de 40 tortues chez une retraitée dans le sud de la France. Une femme âgée de 65 ans, a été arrêtée après la découverte à son domicile dans le sud de la France de pas moins de 41 tortues en provenance de la Réunion. Elle a reconnu avoir importé elle-même les tortues dans ses bagages lors de ses différents voyages. Le trafic durait depuis trois ans, selon les enquêteurs. C’est une annonce sur Internet proposant la vente de tortues qui a attiré l’attention des enquêteurs. Des espèces de tortues protégées par la convention de Washington ont été trouvées chez la présumée trafiquante. Les tortues saisies seront recueillies par le village de tortues de Gonfaron. Bernard Devaux est le secrétaire général de cette structure indique que le trafic des espèces rares est encouragé par l’engouement des collectionneurs. « La fameuse tortue rayonnée astrochelys radiata est la tortue la plus trafiquée, c’est celle qui vaut la plus cher au monde. Il y a des collectionneurs, notamment au Japon ou aux Etats-Unis qui sont près à dépenser des sommes folles pour en posséder. (…) Il parait qu’il y en a qui se trafiquent à New York jusqu’à 10 000 dollars », » a-t-il déclaré à RFO Réunion. Des poursuites judicaires seront intentées à la personne interpellée. Source RFO Réunion Source
  15. Dommage que dans la vidéo qu'on ne puisse pas voir c'était quoi le serpent en question. Je me demande s'il y avait réellement serpent même.
  16. Salma Hayek terrorisée par un serpent lors d'une interview Etats-Unis, New-York - Connue pour sa classe, son raffinement et sa dignité, Salma Hayek actrice américaine d'origine mexicaine a perdu son sang-froid lors d'une interview en plein-air. Accompagnée de Maria Bello et Maya Rudolph, Salma Hayek a entamé la promotion de son prochain film Grow Ups. Le New York Daily News a pour l'occasion filmé l'interview qui se déroulait au bord de l'eau. Salma Hayek a particulièrement était terrifiée par la présence non désirée d'un serpent : habillée en robe courte et chaussée de talons aiguilles d'une dizaine de centimètres, elle n'a trouvé refuge que, debout, sur le siège de sa partenaire (et un peu sur sa partenaire aussi), restée tant bien que mal paisiblement assise.L'épouse de François-Henri Pinault s'est ensuite confiée à Terri Seymour, correspondante pour le journal Extra : "C'était comme un python, il était très épais, sa tête était énorme, comme un cobra".Découvrez la vidéo : http://www.zigonet.com/salma-hayek/salma-hayek-effrayee-par-un-serpent_art12677.html Source
  17. Saône-et-Loire: les pompiers se forment au maniement des reptiles Pythons, vipères et autres couleuvres : manier ces serpents pouvant mesurer plusieurs mètres demande une formation spécifique pour les pompiers de Saône-et-Loire de plus en plus souvent sollicités pour maîtriser ces nouveaux animaux de compagnie (NAC).Au Touroparc de Romanèche-Thorins (Saône-et-Loire), abritant notamment un vivarium, une vingtaine de pompiers départementaux participent, sur la base du volontariat, à cette journée incluse dans leur cursus de formation."La formation varie en fonction des départements. Le phénomène des NAC qui était limité aux grosses agglomérations se retrouve maintenant dans les campagnes. Il y a une demande, il faut s'adapter", déclare à l'AFP le lieutenant Eric Lespy, du service formation du SDIS 71.Fabrice Thete, PDG de Touroparc et spécialiste des serpents, dispense le matin la formation théorique, s'appuyant sur des photos."Jusqu'à présent, quand ils voyaient un serpent, les pompiers prenaient une pelle. L'idée c'est de dire: il y a des serpents dangereux et d'autres pas. On leur donne des notions, on les sensibilise" aux caractéristiques de chaque espèce, aux attitudes à adopter ou à éviter, explique-t-il.L'après-midi se déroule dans la moiteur du vivarium. Frédéric Vouhé, électricien passionné de serpents, qui en a élevé "des milliers" depuis 30 ans, fait défiler les spécimens par ordre de taille sur un tapis imitant le gazon, sous le regard des pompiers.De 50 centimètres à 3 mètres 50, les soldats du feu manipuleront tour à tour une dizaine de serpents, tous non venimeux.Armé d'une tige télescopique terminée par un crochet, M. Vouhé dispense ses conseils : "On se place derrière et on prend le serpent au premier quart". Une fois le reptile sur le crochet, on peut le placer dans un sceau, la queue la première.L'instrument, utilisé seulement pour les serpents n'excédant pas 2,50 mètres, passe de main en main. Les pompiers s'essayent avec plus ou moins de succès sur un bébé anaconda de 50 cm, particulièrement agressif.Vient ensuite la technique du balai, réservée aux spécimens les plus imposants."Souvenez-vous, c'est une personne par mètre !", répète-t-il avant de brandir un python de 3m50 et 25 kg. Les pompiers écarquillent les yeux."On teste son agressivité en lui plaçant le balai devant. Il y en a un qui s'occupe de la tête, les autres du corps", dit-il. Le caporal Olivier Sixdenier s'aventure le premier avec trois autres camarades.Après quelques secondes d'hésitation, il place la tête du balai à une dizaine de centimètres de celle du serpent, pour éviter qu'il ne se retourne, avant d'empoigner le reptile et de la faire glisser au niveau des mâchoires. Lui et ses collègues peuvent alors soulever l'animal à quatre."Même s'ils ne sont pas venimeux, il y a une dose d'adrénaline et un petit stress qui monte", confie le caporal. Source
  18. Kélonia récupère une tortue en piteux état Publié : mardi 15 juin 2010 à 11:46 Les hommes de Stéphane Ciccione directeur du centre de découverte Kélonia mettent actuellement tout en œuvre afin de sauver la vie d’une tortue blessée découverte hier. L’animal a semble-t-il été victime d’une hélice de bateau. Pourront-ils empêcher que l’infection ne gagne la totalité de l’organisme du reptile ? rien n’est moins sûr. Il s’agit d’un mâle adulte de tortue verte (Chelonia mydas) présentant de profondes blessures à l’arrière de la carapace. Ce type de blessure est provoqué par une hélice de bateau qui a brisé la carapace le long de 3 lignes bien nettes. L’une des entailles est particulièrement profonde et a traversé la carapace et brisé les os du bassin. Quand elle a été découverte la tortue avait du mal à se maintenir à la surface de l’eau.Alertés par le poste de MNS de Boucan Canot, les soigneurs du Centre de Soins de Kélonia se sont rendus sur place pour prendre en charge la tortue blessée. L’accident doit remonter à plusieurs semaines car des signes de cicatrisation sont bien visibles sur les zones les moins profondes des lésions. Par contre la tortue présente un défaut important de flottaison, ce qui la gène pour respirer en surface et ne lui permet plus de sonder. La tortue s’est donc affaiblie et a fini par s’échouer. La tortue a été mise sous antibiotique et une intervention chirurgicale est programmée mercredi pour tenter de réduire les plaies. Il faut avoir conscience que l’océan n’est pas un espace vide de vie et qui convient de surveiller en permanence à l’avant des bateaux afin d’éviter ce genre de choc qui est souvent mortel. L’année dernière à Noël une jeune tortue verte avec le même type de blessure avait été récupérée par le Centre de soins. Elle est morte après plusieurs semaines de soins. C’est le 4° cas de blessure par choc avec un engin flottant en 5 ans. Source
  19. La chasse au "python des toilettes" ouverte à La Frescoule Une résidante de l'immeuble Nº 16, allée Brocard, a lancé une pétition, largement signée par ses voisins Moi, je l'attends, j'ai besoin d'une nouvelle ceinture", plaisante Jean-Paul, au deuxième étage du bâtiment Nº16, allée Philippe-Brocard, dans le quartier de La Frescoule. Celui qu'il attend de pied ferme, c'est le python qui s'est échappé d'un logement du rez-de-chaussée, il y a maintenant quinze jours. Depuis son évasion, vraisemblablement par la conduite des eaux usées, le serpent, qui mesurerait entre 2,50 et 3 mètres de long, va et vient dans l'immeuble, provoquant quelques sueurs froides aux habitants. L'inquiétude a gagné les résidants, surtout ceux qui ont eu la mauvaise surprise de découvrir le reptile, la gueule ouverte, dans la cuvette de leurs toilettes. "Il était là. J'ai eu peur alors j'ai tiré la chasse d'eau, mais c'était une mauvaise idée parce que du coup, on l'a perdu", confie une jeune femme du deuxième étage. "J'ai vu une énorme masse verte" Selon le témoignage de Dominique, un habitant du bâtiment adjacent, qui connaît bien le propriétaire du python, le serpent aurait d'abord grimpé par des gaines techniques pour accéder aux étages supérieurs, avant de se promener dans les canalisations. "Samedi dernier, il est retourné chez lui, mais son propriétaire n'a pas pu le rattraper. Il a d'ailleurs cassé plusieurs cloisons pour le retrouver." Et c'est dans un autre logement qu'il a fait de nouveau son apparition. "J'ai vu une immense masse verte dans les toilettes, raconte Sabrina, une jeune maman. J'ai crié et j'ai appelé mon mari qui est vite allé chercher le propriétaire." Puis c'est le branle-bas de combat. À l'aide d'une serviette, il tente de maintenir le reptile qui, lui, n'a qu'une envie, se faire encore une fois la malle. Son propriétaire lâchera prise quelques minutes avant que les pompiers et la police municipale n'arrivent sur les lieux. "Il paraît qu'il faut un homme par mètre du python, donc il en faudrait au moins trois vu sa taille, poursuit Sabrina, qui ne cache pas sa crainte. Il paraît que ça peut avaler un nourrisson..., poursuit-elle, tout en montrant que ses toilettes sont situées juste à côté de la chambre de son bébé. Ce jour-là, heureusement, il n'y avait pas les enfants." En face de chez elle, presque enfermée à double tour, une femme sort pieds nus sur le palier. C'est elle qui est à l'origine de la pétition, mais elle a souhaité garder l'anonymat. Pour elle, comme pour les résidants, il est difficile d'accepter que le propriétaire n'ait "pas averti plus tôt que son serpent s'était échappé. C'est la moindre des choses". D'autant qu'il serait carrément fan d'animaux invertébrés et de ce qu'on appelle désormais les NAC : ces nouveaux animaux de compagnie. "On va bientôt se retrouver avec des crocodiles !" Selon les témoignages, l'homme, routier de profession, que nous n'avons pas pu joindre hier, aurait des "iguanes, des rats... et d'autres animaux. Et il les a acquis légalement", rapporte Dominique, qui semble bien le connaître.Mais pour la pétitionnaire, "si on tolère tout, on va bientôt se retrouver avec des crocodiles! J'estime que la liberté s'arrête là où commence celle des autres. Et s'il sort du bâtiment. Il y a des écoles par ici. C'est sûr que ça fait peur". Sa pétition, qui a reçu presque l'ensemble des signatures des habitants de l'immeuble, va être envoyée à la Société Domicil, et au syndic Logicil, qui de son côté affirme "ne pas savoir comment faire dans la mesure où le serpent ne se montre pas." D'après les calculs des résidants, qui ont désormais bien du mal à oser s'asseoir sur le trône, le python serait dans un logement au premier étage. Mais sa propriétaire étant absente, personne n'en a la certitude. Une chose est sûre, dans ce bâtiment de La Frescoule, il faudra garder son sang-froid... Source
  20. Ichthyosaures, mosasaures et plésiosaures avaient le sang chaud Un groupe de chercheurs vient de montrer que les ichthyosaures, plésiosaures et mosasaures du Mésozoïque (entre -200 et -65 millions d'années) étaient bien endothermes. Avoir le sang chaud permettait à ces grands prédateurs d’adopter un comportement de chasseurs actifs malgré leurs tailles. Ces grands animaux, abondamment représentés et qualifiés de reptiles, qui glissaient dans les mers du Jurassique et du Crétacé, étaient très éloignés des dinosaures, contrairement à une confusion tenace, et d'ailleurs double. Dans l'esprit du public, les dinosaures étaient tous de très grands reptiles. Or, beaucoup étaient petits et d'ailleurs, le terme de reptile leur convient mal... La découverte de dinosaures à plumes au cours des années 1990 a contraint biologistes et paléontologues à revoir la classification des vertébrés et on considère aujourd'hui des dinosaures comme des vertébrés diapsides, ce qui inclut les reptiles actuels (à l'exception des tortues) et les oiseaux. D'un point de vue phylogénétique, les oiseaux sont des dinosaures. En fait, le critères essentiel qui fait d’un diapside un dinosaure est le fait que sa posture est érigée. L'animal se dresse sur des membres verticaux. C’est bien le cas d’un T-Rex mais pas celui d’un crocodile actuel. Pour tout de même maintenir une différence entre oiseaux et dinosaures, on décrit les premiers comme des dinosaures aviens et des seconds comme des dinosaures non-aviens. Seuls ces derniers ont disparu, principalement sous l’effet de l’impact de la météorite issue probablement de l’astéroïde 298 Baptistina. Une grande discussion reste en suspens à propos des grands reptiles marins et des grands dinosaures du Mésozoïque. Avaient-ils le sang froid ? Plus précisément, leurs températures internes étaient-elles fixées par celle de l’environnement ? Si la réponse est oui, ils ne possédaient donc pas de mécanismes internes de thermorégulation et étaient ectothermes, ce qui devait rendre difficile un comportement de prédateur actif par exemple. Mais comment le savoir, s'agissant d'animaux disparus ? Il y a quelque temps, un groupe de chercheurs, parmi lesquels se trouvaient Christophe Lécuyer et Eric Buffetaut, avaient utilisé les rapports de deux isotopes de l’oxygène pour tenter de faire la lumière sur cette question épineuse. Pour eux, certains dinosaures du Crétacé avaient bel et bien le sang chaud. Ces deux mêmes chercheurs viennent aujourd’hui de publier dans Science un nouvel article dans lequel ils examinent avec leurs collègues le cas des reptiles marins, plus précisément des ichthyosaures, plésiosaures et mosasaures. Ce sont à nouveaux des isotopes stables de l’oxygène qui ont été mis à contribution. Il faut savoir que dans le cas des poissons ectothermes, le rapport 18O/16O suit l’évolution de la température des océans. Dans les séries fossiles du Jurassique et du Crétacé, les paléontologues observent que ce rapport fluctue de la même manière que la température de l’eau au fil des temps géologiques. Si certains des grands reptiles marins des mers et océans de ces périodes géologiques étaient bien endothermes, on devrait trouver un rapport isotopique constant ou presque dans leurs os. Il a donc suffi aux chercheurs de mesurer ce rapport dans le phosphate contenu dans l’émail des dents fossilisées des reptiles marins vivant à la même latitude et à la même période que certains poissons dont on possède les restes fossilisés, pour répondre à la question initiale des paléontologues. Oui, mosasaures, ichthyosaures et plésiosaures étaient bien endothermes ! Les mesures indiquent que les températures corporelles de ces reptiles marins étaient comprises entre 35 et 39 degrés (±2°C), alors qu’ils nageaient dans des eaux dont les températures variaient entre 12 degrés (±2°C) et 36 degrés (±2°C). Source
  21. Echouage sur la plage de Boucan Canot La tortue blessée opérée à Kelonia La tortue verte (chelonia mydas) blessée prise en charge par Kelonia, l'observatoire des tortues marines de Saint-Leu, a reçu divers soins ce mercredi 16 juin 2010. «Elle a été mise sous antibiotique et une intervention avec le vétérinaire du centre de soins a permis ce mercredi de nettoyer les plaies» explique Stéphane Ciccione, directeur de Kelonia. Alertés par le poste de MNS (maîtres nageurs sauveteurs) de Boucan Canot, les soigneurs du centre de Kélonia se sont rendus sur place ce lundi pour prendre en charge ce mâle adulte de tortue verte, d’environ 80 kg, présentant de profondes blessures à l'arrière de la carapace. Il a vraisemblablement été blessé par l’hélice d’un bateau. «Ce type de blessure est provoqué par une hélice de bateau qui a brisé la carapace le long de 3 lignes bien nettes. L'une des entailles est particulièrement profonde et a traversé la carapace» indique le directeur du centre de soins. «Ce mardi matin nous avons fait des radios pour connaître l'importance des lésions au niveau du squelette. Heureusement la colonne vertébrale ne semble pas touché. Par contre, les fractures des os de la carapace sont importantes et il y a une fracture de l'os du bassin» détaille le directeur de Kelonia. «La cavité coelomique (espace entre la paroi corporelle et le tube digestif de l’animal) n'est pas atteinte ce qui met la tortue à l'abri d'une septicémie» assure Stéphane Ciccione. Cependant «les lésions sont profondes (plus de 6 cm) et nous avons retiré beaucoup de sable en nettoyant les plaies» tempère le responsable de l’Observatoire. L'accident remonte à plus de 2-3 semaines, estime Kelonia, car «les processus de cicatrisation sont bien avancés sur les zones les moins profondes des lésions». Par contre, la tortue présente «un défaut important de flottaison, ce qui la gêne pour respirer en surface et ne lui permet plus de sonder. La tortue s'est donc affaiblie et a fini par s'échouer» explique le centre de soins. Stéphane Ciccione ajoute qu'il faudra «plusieurs mois pour que les tissus bourgeonnent et que les zones brisées de la carapace se reconstituent. La priorité est de garder les plaies propres et que la tortue reprenne des forces. Dans 1 semaine, nous envisageons de tenter de rendre solidaires les morceaux de carapaces cassés pour faciliter leur reconstruction». «Il faut avoir conscience que l'océan n'est pas un espace vide de vie et qui convient de surveiller en permanence à l'avant des bateaux, afin d'éviter ce genre de choc qui est souvent mortel» insiste le directeur de Kelonia. L'année dernière à Noël une jeune tortue verte avec le même type de blessure avait été récupérée par le centre de soins. Elle est morte après plusieurs semaines de soins. C'est le 4ème cas de blessure par choc avec un engin flottant en 5 ans. www.ipreunion.com Source
  22. Vous vous rappellez? /tortues-f21/tortue-qui-se-lance-dans-le-cinema-t4288.htm
  23. Une tortue qui se serait filmée en mer devient une star sur internet MIAMI — Une tortue de mer est devenue, bien malgré elle, une star sur le site youtube.com grâce à une séquence qu'elle aurait "filmée" sous l'eau avec une caméra perdue l'an dernier par un touriste à Aruba, dans les Caraïbes, et qui s'est échouée six mois plus tard en Floride.La caméra, intégrée dans un étui étanche, a été retrouvée par Paul Schultz, un garde-côte américain, en mai à Key West, à la pointe sud de la Floride (sud-est des Etats-Unis)."En janvier", a assuré M. Shultz à l'AFP, "deux mois après que le propriétaire a perdu son appareil photo, une tortue a croisé le chemin de l'appareil dans la mer et, c'est difficile de dire comment cela s'est passé, mais elle a réussi à mettre en marche la caméra et s'est +filmée+ en train de nager. C'est vraiment incroyable".Après avoir trouvé l'appareil, M. Schultz a téléchargé la séquence sur internet pour tenter de retrouver la trace du propriétaire. Avec succès. L'homme en question est un soldat néerlandais qui a expliqué avoir perdu son appareil alors qu'il plongeait en novembre à Aruba, une île au large du Venezuela."Sur la vidéo, on voit d'abord des images sous-marines, puis tout à coup commence une autre séquence dans laquelle la caméra tourbillonne dans l'eau" et une tortue donne des coups dans l'appareil, a poursuivi M. Schultz."Je suis très étonné. Je n'arrive pas à croire que la caméra ait pu flotter d'Aruba jusqu'à Key West", à 1.800 km de là, a-t-il dit.Mais à en juger par les courants marins qui traversent la mer des Caraïbes puis le golfe du Mexique, l'épopée de la caméra est plausible, a-t-il assuré.La séquence vidéo tournée par la tortue avait déjà été visionnée par 760.000 personnes mercredi sur le site internet de partage de vidéos Youtube à l'adresse Source
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