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Tout ce qui a été posté par Max|mum-leterrarium
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Saint-Ghislain: un serpent retrouvé en rue Intervention peu ordinaire pour les pompiers de la ville de Saint-Ghislain, hier dans la matinée. Un serpent des Sables a été récupéré dans la rue de la Riviérette. Rédaction en ligne “ Il y a deux ou trois jours, nous avions déjà reçu un appel disant qu’un serpent avait été aperçu dans cette rue, explique Raphaël Delvaux, un des pompiers de Saint-Ghislain parti en intervention pour récupérer l’animal. Mais malgré nos recherches, nous ne l’avions pas retrouvé ”. Réapparu, il a finalement été pris. “ Malheureusement, il était mort quand nous l’avons retrouvé ”, dit encore le pompier. Le serpent mesurait 1,20m à 1,50, estime Raphaël Delvaux, qui s’est renseigné pour savoir de quelle espèce il s’agissait. “ Il s’agit d’un serpent des Sables; c’est une espèce qui vit normalement aux Etats-Unis. On pense qu’il s’est soit échappé d’un terrarium, soit qu’il a été abandonné par quelqu’un qui ne souhaitait plus, ou n’avait plus les moyens de s’en occuper ”. Il faut savoir que les pompiers de Saint-Ghislain ont une équipée qui est spécialisée dans les NAC, les fameux Nouveaux Animaux de Compagnie. “ On a des cages, des pinces pour attraper les serpents, des sacs de jute pour les mettre dedans . Les pompiers qui font partie de cette équipe reçoivent une formation au cours de laquelle on leur montre comment reconnaître l’animal, voir s’il est relativement dangereux ou non. Et fonction de ces critères, on adopte la façon d’intervenir la plus adéquate, afin que le mettre dans de bonnes conditions pour qu’un éleveur puisse le récupérer ”. Source
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Découverte d’une tortue préhistorique enceinte dans l’Utah
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Découverte d’une tortue préhistorique enceinte dans l’Utah Cette image fournie par la Montana State University montre la technicienne Tanya Spence qui s’apprête à scanner un fossile de tortue de 75 millions d’années. Les paléontologues disent que cette tortue préhistorique découverte dans une région isolée du sud de l’Utah est la deuxième à avoir été trouvée avec des œufs à l’intérieur. Le fossile a été trouvé au Grand Staircase-Escalante National Monument en 2006, mais ce n’est que récemment que les scientifiques ont découvert qu’il y avait des œufs à l’intérieur. Au moins trois œufs sont visibles de l’extérieur, et les chercheurs de l’université du Montana vont étudier les images prises à partir du scanner, pour savoir s’il n’y aurait pas d’autres œufs à l’intérieur. Source -
Des écologistes veulent tranformer le boisée de Brossard en réserve faunique Au cœur d’un vaste projet de ceinture verte autour de Montréal, le boisé de Brossard, encore méconnu, représente une richesse floristique et faunique exceptionnelle qui s’étend sur près de 1000 hectares. De part et d’autre de l’autoroute 10, la forêt périurbaine est décrite dans un rapport de septembre 2008 dressé par Nature-Action et la Fondation du Mont Saint-Bruno comme une «mosaïque de forêts, milieux humides et friches» particulièrement importante pour la survie des populations de rainettes faux-grillons de l’Ouest. «Il n’y a presque plus de ces marécages arborescents au Québec. C’est très rare maintenant», confiait le président fondateur de Sauvons nos boisés et milieux humides, Tommy Montpetit, avec qui le Brossard Éclair a effectué une visite des lieux, le 14 mai dernier. Chargé de projet pour le Centre d’information en environnement de Longueuil, et membre de l’équipe de rétablissement de la rainette du ministère des Ressources naturelles et de la Faune, M. Montpetit mentionne que le boisé de Brossard est «une fois et demi le boisé du Tremblay à Longueuil, où il y a 176 espèces d’oiseaux répertoriés». «On ne peut pas s’attendre à en avoir moins ici», continue l’écologiste qui décrit le site d’une biodiversité très riche en espèces fauniques et floristiques de toutes sortes. Visite des lieux Comme la rainette se reproduit très tôt au printemps, il n’a pas été possible d’apercevoir le minuscule amphibien qui fait l’objet d’une attention particulière actuellement, étant maintenant classé comme menacé par le gouvernement fédéral, alors que Québec s’apprête à faire de même. Mais tout de suite en s’approchant d’un marais, des grenouilles vertes d’une bonne dimension se mettent à sauter. Au cour de la longue marche au cœur du boisé, Tommy Montpetit mentionne les différentes espèces intéressantes qu’on y trouve. On y rencontre des violettes septentrionales, des fourmilières – il y en aurait des géantes comme dans le boisé du Tremblay à Longueuil -, du frêne noir, des champignons géants, etc. L’inventaire est vaste. Une fois, à la suggestion de l’entomologiste Georges Brossard, Tommy Montpetit et d’autres amis écologistes sont venus à la noirceur pour y constater la présence des insectes en projetant de la lumière sur un drap blanc. «C’est assez impressionnant, dit-il, on voit des gros papillons de nuit et une multitude d’insectes de toutes espèces». On retrouve aussi dans le boisé des tortues serpentines et vertes, des rats musqués, des dindons sauvages et beaucoup de castors. Le secteur est aussi fréquenté par des coyotes, sans compter un ravage de cerfs de Virginie. Et bien entendu, la très menacée rainette faux-grillon de l’Ouest. Nature Action et la Fondation du Mont Saint-Bruno, qui ont conçu le rapport écologique sur le lot de 35 hectares acquis d’un propriétaire privé, considère le site comme «un des derniers bois d’envergure dans le secteur Sud-est de la Montérégie» en plus d’avoir un «potentiel de parc régional ou provincial». Menaces La plus grande menace qui pèse actuellement sur le boisé, même s’il a un statut de protection «conservation» dans le schéma d’aménagement, est que la plupart des terrains sont privés. «On n’a pas de fonds», auraient répondu des représentants du ministère du Développement durable, de l’Environnement et des Parcs lors d’une rencontre d’une heure avec l’équipe de rétablissement de la rainette. «Un projet de loi «clé en main» a été proposé au sous-ministre Séguin, où l’on décrit comment acquérir les terres, les zones, comment travailler avec le monde agricole. C’est complet de A à Z. On s’est beaucoup servi du cas de Longueuil comme modèle», informe Tommy Montpetit. La Ville de Longueuil, comme on le sait, a innové en faisant l’inventaire de ses milieux humides et boisés il y a quelques années. Pour la réalisation de ce projet de loi, on a même étudié les «ceintures vertes» présentes dans le monde, dont en Ontario, au Brésil et en Europe. On a aussi consulté des études sur le déplacement des amphibiens en Europe. Ici, à Brossard, l’équipe de rétablissement propose comme avenue à privilégier «qu’on attribue un statut officiel de conservation (ex: refuge faunique, réserve naturelle en terre privée, etc…) aux habitants de la rainette faux-grillon». L’achat d’un premier 35 hectares d’un propriétaire privé est considéré comme une goute d’eau pour cet immense boisé qui subi surtout l’assaut, du côté de Brossard, des véhicules récréatifs comme le tout-terrain et la motoneige. Source
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Les tortues de l'île Española aux Galapagos sont « cousines » de George Mais qui est George ? C’est « Lonesome Georges », « Jorge el Solitario », une tortue géante des Galapagos, dernière de son espèce sur Terre, pour qui depuis des années les scientifiques cherchent à lui procurer une descendance. Or, des études génétiques des tortues géantes de l’île Española, une des îles de l’archipel équatorien des Galapagos, ont ouvert un nouvel espoir pour « George Le Solitaire », ce chélonien géant, dernier spécimen de son espèce, qui n’a pas encore réussi à avoir une lignée. Les tortues d’Española sont « comme cousines » de « George » et leur génétique se ressemble beaucoup, a indiqué le directeur du Parc national des Galapagos, Edgar Muñoz. Il est possible que les baleiniers et les boucaniers qui chassaient des tortues il y a deux siècles dans l’île Pinta (l’île d’origine de « George »), aient abandonné quelques exemplaires sur l’île Española, ce qui a permis de conserver sa génétique. La tortue « George » (Jorge) est originaire de Pinta, la plus septentrionale des îles des Galapagos, et elle a été sauvée en 1972 par un groupe de chasseurs qui éradiquaient les chèvres, une espèce introduite par l’homme qui a décimé l’habitat et a mené aux tortues géantes de cette île au bord de l’extinction. « George » a été emmené à l’Île Santa Cruz, où il vit comme un roi dans le Centre d’élevage de tortues du Parc national des Galapagos, entouré d’un harem de femelles d’une sous-espèce pareille à la sienne, mais qui jusqu’à présent n’ont pas réussi à lui donner la lignée qui assurerait la continuité de son type « geochelone abingdoni ». La communauté scientifique internationale s’est unie pour réparer l’habitat original de « George » et pour cela, le 16 mai passé, 39 tortues géantes hybrides et stérilisées ont été déposées sur l’île de Pinta avec comme objectif la récupération de la flore et de la faune de l’île. Les tortues étaient « l’herbivore qu’il manquait sur Pinta » pour assurer sa restauration complète, a indiqué Edgar Muñoz, le directeur du parc. Lorsque le terrain sera adapté, il est prévu d’importer sur Pinta des tortues de l’île voisine, Española, où l’ont a trouvé des exemplaires ayant « une haute parenté génétique » avec « George », à précisé Muñoz. Il est même possible que le propre « George » puisse retourner à son lieu d’origine, a ajouté le directeur du PNG, après avoir souligné que ce projet, de même d’ailleurs que d’autres que l’institution développe actuellement, a permis de réunir des scientifiques du monde entier. Selon Muñoz, la protection et la conservation dans les îles Galapagos sont de parfaits exemples de comment la science s’applique pour la conservation d’écosystèmes fragiles uniques dans le monde. Source
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Deux classes de l'école Basly étudient la faune et la flore des mares avec La Chaîne des terrils Ils connaissent bien leur sujet, les élèves du CM2 de M. Pringarbe. ... Pourtant, avant la rentrée de septembre, certains n'avaient jamais entendu parler d'amphibiens, d'autres « aimaient ça », sans en savoir davantage, et deux ou trois savaient déjà reconnaître une exuvie de libellule : sa mue. « C'est comme quand vous changez de manteau au fur et à mesure que vous grandissez. » Sourires. Carine Duflot trouve les bons mots pour expliquer les termes techniques. Les enfants ont appris sérieusement à reconnaître la grenouille rousse, le triton alpestre... Faire des sciences sur le terrain, pensez-vous, ça leur plaît ! OAS_AD('Position1'); L'animatrice du CPIE La Chaîne des terrils intervient depuis le début de l'année scolaire dans cette classe et celle de Mme Grzeda (CM1) pour des séances de sensibilisation aux amphibiens, dans le cadre du plan biodiversité de la ville de Loos-en-Gohelle. Tout est parti d'une mare. Celle qui était à l'abandon à l'école Basly. Un dossier a été monté, un financement de l'Agence de l'eau Artois-Picardie obtenu pour remettre en état et effectuer un suivi faunistique et floristique de la mare. Des sorties se sont ajoutées à la théorie, comme au parc des 3M à La Couture ou jeudi matin, autour de la mare d'un Loossois. Depuis le 1e r février, une barrière à amphibiens y a été installée. C'est un périmètre avec de part et d'autre, des sceaux. On y trouvait jeudi une grenouille, un crapaud commun. « Quand ils veulent aller vers la mare, ils font le tour de la barrière et tombent dans le pot. Pour quoi faire ? », demande Carine Duflot. « On les met dans un aquarium et on les range pour quand il y en a qui sont morts... », avance une élève. Non. « On les observe. » « On les compte. » Oui. L'intérêt est d'inventorier les espèces. Dans cette mare, on a recensé 181 amphibiens : 170 tritons alpestres, sept tritons palmés, deux grenouilles rousses et deux crapauds communs. Cette action est aussi en lien avec l'opération Un dragon dans mon jardin, menée depuis un an par le CPIE pour inventorier les amphibiens chez les particuliers, en échange de conseils. • GÉRALDINE CSIZMADIA Centre permanent d'initiatives pour l'environnement La Chaîne des Terrils, Tél : 03 21 28 17 28. Source
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Petit jeu d'araignée ou de serpent
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Max|mum-leterrarium dans Général
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Au paradis du reptile et des plantes tropicales Il y a deux ans, le Colmarien Jean-Paul Ochem pouvait se targuer de posséder une collection de plus d’un millier de mygales (vivantes) et de quelques caméléons. Depuis, les proportions se sont quelque peu inversées. La cinquantaine d’araignées qu’il possède encore ont été reléguées dans une petite pièce et les caméléons, grenouilles et autres tortues ont envahi la maison du passionné. Avec un autre changement : depuis le début de l’année, le collectionneur a fait de sa passion pour les NAC (nouveaux animaux de compagnie) et les plantes tropicales un métier. Sa société Amazone-reptiles existe depuis le 1 er janvier. « Fin 2009, l’entreprise Liebherr, où je travaillais, a proposé un plan de départs volontaires », explique Jean-Paul Ochem. Ce dernier a saisi l’occasion. Avec l’enveloppe proposée par son ex-employeur, le passionné de reptiles disposait d’une cagnotte de départ pour créer son entreprise individuelle. Il a également réussi à contracter un prêt professionnel. En quatre mois, près de 80 000 € ont été investis dans l’entreprise. Pour l’instant, Amazone-reptiles dispose d’un site internet où l’on peut acheter par correspondance. Une à deux fois par mois, Jean-Paul Ochem participe à des salons ou à des bourses. Surtout, grâce à l’important stock de matériel qu’il possède chez lui, il reçoit également ses clients à domicile, mais uniquement sur rendez-vous. Pour l’instant. « Dans le futur, j’aimerais avoir un local à part, dit-il. Mais je me laisse deux ans. »Le concept de « vitrine tropicale » Si le Colmarien ne se presse pas, c’est qu’il a quasiment transformé sa maison en magasin. Au rez-de-chaussée, on trouve les terrariums vides et certaines décorations. Au sous-sol, encore du matériel, mais surtout les reptiles : caméléons panthère, lézards, dendrobates auratus (grenouilles vertes et noires), etc. « Je ne vends que des animaux qui sont nés chez moi », assure-t-il. Le jardin, « un terrarium géant » selon un fournisseur venu à Colmar, accueille les plantes tropicales. Dont les fameuses épiphytes, qui n’ont pas besoin de terre pour se développer. « On peut les mettre sur un caillou ou une branche », souligne le spécialiste. C’est aussi à l’extérieur que le client peut découvrir une des particularités proposées par le fondateur d’Amazone-reptiles : la création de « vitrines tropicales ». Dans un terrarium vide, Jean-Paul Ochem dispose une décoration en relief et des plantes tropicales. Un environnement qui peut accueillir un reptile, ou pas. Le prix (de quelques centaines d’euros à plusieurs milliers) est en fonction de la taille et de l’équipement. Cela peut paraître cher, mais avec son système d’éclairage et de brumatisation, cette « vitrine tropicale » offre une véritable bouffée d’air dans un salon. Et amène un petit peu d’ambiance exotique. Ce qui n’est pas rien, surtout quand on a eu, comme cette année, un hiver long et un printemps en dents de scie.Thierry Martel Y ALLER Le magasin Amazone-reptiles, 6 rue Gutenberg à Colmar, est ouvert du lundi au samedi, de 9 h à 12 h et de 13 h 30 à 19 h, uniquement sur rendez-vous en téléphonant au 03.89.24.31.47 ou au 06.81.87.44.54. Site internet : www.amazone-reptiles.com Source
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Accouplement de tortue
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Max|mum-leterrarium dans Tortues
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mon iguane s'est arraché une griffe
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de maryse04 dans Iguanidés
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C'est que les grenouilles absorbent tout par la peau. Il faudrait une grande filtration pour cette grenouille puisqu'elle risque de salir énormément l'eau de l'aquarium. Je dirais qu'une fois adulte, il faudrait un minimum de 40 ou 50 gallons pour garder une grenouille telle que la grenouille verte. Elle est d'une bonne taille et adore bouger donc...
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Vous êtes une grenouille (Agence Science-Presse) La nouvelle est passée inaperçue et pourtant, une grave discrimination génétique a pris fin : une grenouille d’étang est devenue le 30 avril le premier amphibien à avoir son génome publié. Plusieurs centaines d’espèces ont déjà le leur enregistré dans les bases de données. En majorité des bactéries mais il y a aussi des mammifères — dont le chimpanzé — des insectes et des plantes. Mais il y manquait un amphibien, dont la branche s’est séparée de la nôtre il y a environ 350 millions d’années. Une très longue période, mais qui n’empêche pas qu’une longue séquence de 150 millions de paires de base — sur nos 3 milliards — s’est avérée pratiquement identique chez nous, chez le poulet et chez cette grenouille. Source
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Les écoliers ont participé à la journée de l'environnement
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Les écoliers ont participé à la journée de l'environnement Les élèves des cours préparatoires du Gard étaient invités à participer à la journée de l'environnement organisée par la maison de la nature et l'environnement d'Alès. L'école de Saint-Bénézet y présentait sa ferme de compostage par l'action des lombrics, qui a eu beaucoup de succès. « Sensibiliser les élèves au respect de l'environnement, apprendre les gestes simples pour bien utiliser l'eau et l'électricité, font partie de l'enseignement scolaire », explique l'institutrice, Mme Mouysset. Ainsi, les enfants ont pu s'initier au tri sélectif des déchets et leur recyclage, à la fabrication d'une feuille de papier à partir de vieux papiers, à l'utilisation des énergies renouvelables, au cycle végétatif des plantes. En regardant les lézards, grenouilles et toutes sortes d'insectes, cachePubVide('pubCarreEdit'); ils ont compris l'utilité dans la nature des petits animaux inoffensifs et pourtant souvent méprisés. Les plus courageux ont pu même caresser une mygale ou un serpent. En écoutant les explications de l'apiculteur, le rôle des abeilles pour les fleurs et les fruits leur est apparu essentiel. Au retour, ils partageaient encore leurs impressions sur toutes ces expériences passionnantes. Source -
LES PIQURES DE SCORPION Il existe de nombreuses variétés de scorpions au Sahara. La principale espèce dangereuse est représentée par Androctonus Austrais Hector dénommé Scorpion Tueur d'Homme : C'est un grand scorpion jaune long de 9cm, il possède une grosse queue, des pinces noires et un telson noir effilé. Ce qu'il ne faut pas faire: * Faire courir le blessé. * Inciser l'endroit de la piqûre. * Sucer la blessure. * Consommer de l'alcool. * Brûler la blessure. * Appliquer des cristaux de permanganate de potassium sur la blessure. Ce qu'il faut faire devant une piqûre de scorpion: * Calmer la victime et son entourage: l'angoisse a souvent des conséquences plus graves que le venin lui même. * Installer le blessé à l'ombre, en position couchée en attendant son transfert à l'hôpital. * Mettre un garrot: aussi rapidement que possible au dessus de la blessure (entre la piqûre et le coeur), utiliser une ceinture, des bretelles, un mouchoir, une cravate ....mais jamais une ficelle. Si une bande élastique est disponible, y enserrer entièrement le membre atteint. Quoi qu'il en soit, les pouls doivent rester perceptibles à la palpation. Le garrot a pour but de ralentir la diffusion du venin et non arrêt de la circulation qui peut être responsable d'une gangrène du membre. Lorsque le garrot est placé, il faut le desserer toutes les 30 minutes pendant quelques secondes jusqu'à l'arrivée à l'hôpital. * Laver la blessure à l'Alcool, au Dakin ou à un autre antiseptique disponible. * Immobiliser le membre atteint comme s'il s'agit d'une fracture (toujours dans le but de diminuer la diffusion du venin). * Transporter le blessé couché le plus rapidement possible vers l'hôpital le plus proche. * Injecter le serum anti-scorpionique dès que possible (dans les deux heures qui suivent la piqûre). Comment prévenir les piqûres de scorpion? * Protéger les jambes et les pieds, port obligatoire de sandales recouvrant bien les pieds par les enfants. * Marcher d'un pas ferme, éviter les chemins jonchés de pierre et observer soigneusement où l'on met les pieds et les mains. * Inspecter bien les lieux avant un campement. * Ne pas dormir sur un sol non couvert. * Ne pas soulever pierres, planches.... sans faire attention. * Ne pas laisser trainer : vêtements, chaussures..... pendant la nuit, il faut les suspendre et les secouer avant de les remettre. * Ne pas se paniquer à la découverte d'un scorpion, il a peur de l'homme "le laisser fuir" en restant sur place sans bouger ou en le contournant à une distance appropriée. * Ne pas toucher (qu'avec précaution) un scorpion apparemment mort. * Encourager l'élevage de poulets, canards... Ces animaux sont des prédateurs pour les scorpions. Source
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Biodiversité : le Centre-du-Québec a aussi ses espèces à statut précaire Pour souligner la Journée internationale de la biodiversité de qui a eu lieu le samedi 22 mai, le Conseil régional de l’environnement du Centre-du-Québec (CRECQ) a invité les décideurs et les citoyens à porter attention à la faune et la flore qui les entoure, car la région compte aussi son lot d’espèces dont le statut est considéré précaire. Cela désigne notamment des espèces rares dont la population est surveillée de près par les intervenants concernés. On a déjà beaucoup parlé de la tortue des bois et de l’ail des bois comme étant des espèces menacées par les activités humaines dans la région. On pourrait toutefois ajouter à cette liste la salamandre pourpre, la couleuvre verte, le lis du Canada, l’esturgeon jaune, le héron vert, la pygargue à tête blanche (souvent appelée aigle à tête blanche) et plusieurs autres espèces moins connues. Ces espèces font partie intégrante des écosystèmes centricois et nous permettent de jouir d’une grande biodiversité qui réjouit, entre autres, les amateurs de plein air. Le CRECQ a à cœur la protection de la biodiversité dans la région et agit localement pour préserver les écosystèmes sensibles et les espèces susceptibles d’être affectées par les activités humaines. Des projets sont d’ailleurs en cours concernant la protection de l’habitat de la tortue des bois et de d’autres espèces avec les propriétaires terriens concernés par la présence de ces espèces au Centre-du-Québec. «La biodiversité désigne l’ensemble des éléments vivants qui nous entourent, c’est nous, les humains, les insectes, les plantes, bref, tous les organismes vivants qui dépendent les uns des autres et dont nous dépendons pour répondre à nos besoins et nous développer », précise Gilles Brochu, président du CRECQ.Actuellement, au Québec, 76 espèces ou populations animales sont menacées, ce qui représente plus de 10 % de la faune vertébrée. Chaque citoyen a les moyens et le devoir de participer à la préservation et à la protection de la biodiversité. 2010 – Année internationale de la biodiversité L’assemblée générale des Nations Unies a décrété l’année 2010, Année internationale de la biodiversité. Dans ce contexte, le CRECQ souhaite aussi inviter les Québécoises et Québécois à prévoir cette année la visite d’un parc national et participer aux activités de découverte qui y sont proposées. Ils auront ainsi l’occasion de renouer des liens privilégiés avec la nature, desquels ils pourront s’inspirer pour participer eux aussi aux initiatives de conservation et de mise en valeur de la biodiversité du Centre-du-Québec. Source
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Oui il est possible de la garder en terrarium pour la faire survivre. Par contre, cette grenouille va devenir quand même assez grosse. Tu devras te prendre un grand terrarium. Si tu la remets dans la nature, elle va survivre quand même. C'est un animal sauvage à la base et elle chassera tout ce qui entrera dans sa gueule comme n'importe quelle autre grenouille. Si tu pouvais nous montrer une photo, nous pourrions t'aider à l'identifier. Plusieurs espèces du Québec sont interdites en captivité donc c'est pour t'éviter de l'illégalité.
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mon iguane s'est arraché une griffe
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de maryse04 dans Iguanidés
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Accouplement de tortue
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Max|mum-leterrarium dans Tortues
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Un alligator arrache le bras de son dresseur états-unis | Un reptile agressif a attaqué son dresseur dimanche dans un parc de Floride. L'animal lui a arraché le bras devant une foule terrorisée. Rédaction online | 11.05.2010 | 14:44 Le dompteur essayait de maintenir l'animal à distance au moyen d'un bâton, lorsque l'alligator s'est énervé et a violemment mordu son dresseur au bras droit. Grièvement blessé, l'homme a dû être amputé. La scène, filmée par un spectateur, a été diffusée de manière floutée par la chaîne américaine "Fox News". Source
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Bois de Jussy : la première réintroduction officielle de cistudes en Suisse La cistude, une tortue aquatique à la carapace marquée de jaune, est l'unique représentante de sa famille à être présente naturellement sous nos latitudes. Menacé au nord des Alpes, ce reptile inscrit sur la liste rouge suisse fait l'objet d'une réintroduction locale par l'Etat de Genève, en partenariat avec le Karch et le centre de Protection-Récupération des Tortues (PRT) de Chavornay. Cinq jeunes cistudes ont ainsi été relâchées le 11 mai 2010 dans les étangs renaturés de Pré-Bordon, dans les Bois de Jussy. Ces animaux issus d'élevages seront munis de radio-émetteurs permettant d'étudier leurs déplacements. Cette première réintroduction officielle réalisée en Suisse sera suivie par de nouveaux lâchers dans les semaines à venir. L'unique représentante d'un groupe exotique Les tortues n'habitent pas seulement les zones méridionales ou les mers tropicales. Une espèce aquatique peu connue, la cistude, vit de façon naturelle en Europe, avec différentes sous-espèces régionales. Ce reptile figure en Suisse sur la liste rouge. En effet, la cistude est menacée suite à la perte de son habitat, aux pollutions et au ramassage volontaire - une activité formellement interdite. La plus grande population suisse de ces tortues se trouve à Genève, au Moulin-de-Vert. On y dénombre plus de 300 individus. La plupart sont des hybrides, descendant d'individus d'origine méditerranéenne issus de lâchers non contrôlés réalisés dans la seconde moitié du 20ème siècle. Pourtant Il existe une souche de cistude caractéristique du nord des Alpes.Une première en Suisse Afin de rétablir une population naturelle issue de la souche locale, l'Etat de Genève, en collaboration avec le KARCH (Centre de coordination pour la protection des amphibiens et des reptiles de Suisse) et le centre de Protection-Récupération des Tortues (PRT) de Chavornay, mène un programme de réintroduction locale de la cistude à Genève. Cette action réalisée dans le cadre d'un projet national de restauration de la cistude en Suisse constitue l'un des points forts de l'Année internationale de la biodiversité. Cinq jeunes cistudes, issues d'élevages contrôlés et munies de radio-émetteurs, ont ainsi été relâchées le 11 mai 2010 dans les étangs de Pré-Bordon, dans les Bois de Jussy. Elles pourront coloniser ce site renaturé en 2009 par l'Etat de Genève qui satisfait désormais tous les critères permettant d'accueillir ces sympathiques reptiles. Cette première réintroduction officielle réalisée en Suisse sera suivie par de nouveaux lâchers sur le site de Pré-Bordon dans les semaines à venir. Pour que la réintroduction soit un succès Si le lâcher d'une espèce menacée est toujours une étape marquante, cette action s'intègre à un projet qui s'inscrit dans le long terme. En effet des critères sévères doivent être respectés pour qu'un programme de réintroduction d'une espèce comme la cistude puisse être entrepris. Il faut notamment que le milieu choisi soit parfaitement adapté. Grâce aux actions de renaturation entreprises dans la réserve du Pré-Bordon, ces conditions sont remplies. En effet, ce site humide où la végétation avait progressivement pris le pas sur les marais, a retrouvé sa vitalité. Les plans d'eau ont été recreusés et les arbres qui avaient colonisé les rives ont été abattus. Quelques souches ont également été posées pour permettre aux cistudes de prendre les bains de soleil dont elles ont besoin. Il est également impératif que les animaux relâchés soient sains et que leur origine locale soit confirmée. Ainsi les cistudes réintroduites dans les Bois de Jussy sont issues d'élevages contrôlés, permettant ainsi de préserver les populations sauvages existantes. Elles ont fait l'objet d'analyses génétiques qui ont confirmé leur appartenance à la souche caractéristique du nord des Alpes. . Le marais de Pré-Bordon au début des années 90 Le site a été renaturé en 2009 avec des aménagements prévus pour les cistudes. Malgré toutes ces précautions, une population réintroduite est particulièrement sensible. Pour ne pas fragiliser la cistude et son écosystème, ne relâchez jamais des animaux dans les plans d’eau, en particulier des poissons rouges ou des tortues aquatiques La cistude : une tortue en habit à pois La cistude, ou tortue bourbeuse, est une tortue aquatique qui vit dans les zones humides européennes. Elle est facile à reconnaître : son corps est recouvert de points jaunes vifs. Sa carapace est aplatie et légèrement bombée. A la naissance, les jeunes mesurent 2-3 cm et pèsent en moyenne 3,5 g. A partir de l’âge de 5-6 ans, il est possible de distinguer les mâles des femelles : les premiers ont un plastron concave. La cistude apprécie les eaux douces à faible courant avec fonds vaseux et une végétation aquatique abondante. Les prairies sèches ou d'autres milieux ouverts, non inondables et ensoleillés, aux abords des zones humides lui sont indispensables pour abriter ses oeufs. Elle est carnivore et se nourrit d'invertébrés aquatiques, de têtards et de cadavres d'animaux, jouant un rôle d'« éboueur » des étangs. Durant la journée, elle prend des bains de soleil le matin, puis s'immerge lorsque sa température est suffisamment élevée. Elle hiberne sous l'eau d'octobre à mars, au fond de la vase, exploitant l'oxygène de l'eau qui passe au travers de ses muqueuses. La reproduction a lieu au printemps : les femelles vont pondre leurs œufs dans des prairies à l'abri des inondations. Les jeunes naissent en automne ou au printemps suivant si les conditions climatiques sont défavorables. Présentation de la tortue Cistude, seule tortue indigène de Suisse (Pdf | 350 Ko) 22 mai 2010 : visite guidée sur les traces de la cistude La cistude est sans doute l'une des représentantes les plus originales de la faune genevoise. Pour découvrir cette tortue européenne, le public est invité à participer à une visite guidée organisée par l'Etat de Genève. A l'occasion d'un parcours de trois heures au fil des étangs de la réserve naturelle du Moulin-de-Vert, des spécialistes présenteront aux curieux tous les secrets de ce reptile discret et sympathique. Rendez-vous le samedi 22 mai 2010 à 9h sur le parking du Moulin- de-Vert (en aval du barrage de Verbois). Gratuit - sur inscription, jusqu'au 21 mai 12h. Pour en savoir plus et pour s'inscrire : document.write(decodeAscii('82-119-111-120-54-92-110-123-127-114-108-110'));Info-Service T022 546 76 00 Pour tout complément d'information : document.write(decodeAscii('80-120-125-125-117-114-110-107-41-77-237-119-109-117-114-116-110-123'));Gottlieb Dändliker , inspecteur cantonal de la faune, Direction générale de la nature et du paysage, département de l'intérieur et de la mobilité, Etat de Genève T022 388 55 32 Source