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Max|mum-leterrarium

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Tout ce qui a été posté par Max|mum-leterrarium

  1. Mieux que le toutou, l'iguane ou le serpent Certains caressent leurs chiens, d'autres leurs chats… Julien Joffroy, 23 ans et musicien, aux côtés de Maeva Chollet, 27 ans, chargée d'une animalerie, sont passionnés par leurs NAC, comprendre : nouveaux animaux de compagnie. Julien tient son amour des reptiles de son enfance dans le Pacifique. Quant à Maeva, elle admire les oiseaux depuis qu'elle est toute petite, à tel point qu'elle s'installait des après-midi entiers dans la volière de sa grand-mère pour lire et juste regarder les volatiles. Aujourd'hui ensemble, dans leur appartement du centre-ville, plein de soleil et de douceur, ils accueillent Gaspard, un iguane de Guyane âgé de 9 mois, Monthy une pythone royale africaine de 70 cm et âgée d'un an. Tous deux ont des papiers officiels. « Nous sommes très attachés à ce que nos animaux soient issus d'élevages français, et surtout pas prélevés n'importe comment dans la nature, ne serait-ce que pour éviter l'agressivité ! », déclarent les jeunes gens. Leur arche de Noé Gaspard et Monthy vivent dans leur terrarium respectif avec éclairage adapté, température tropicale et haute hygrométrie. Régulièrement, ils sont sortis pour faire des câlins à « papa et maman ». Ils sont affectueux et domestiqués, et adorent Monsieur Mü, le lapin bélier qui se prend pour un chien ! Ici, tout le monde vit avec les chants de divers oiseaux, pour la plupart originaires d'Australie ou d'Asie, installés par couple dans des volières. Mandarins, moineaux du Japon, padda, diamants de Gould, cailles de Chine, perruches ongulées, callopsittes… ont tous un nom et un surnom, que certains comme les perruches reconnaissent bien. Le « psittacidé sonata » surnommée Fée Clochette est la plus expressive. Elle anime vraiment la maison. Quant à Octave, c'est un râleur né. Tous sont très joueurs et font beaucoup de blagues. « Ils oublient qu'on est là, ils font leur vie, ils se sentent bien… J'aime leur côté dépendant de nous, mais aussi leur indépendance ! » Dans l'avenir, Julien et Maeva aimeraient bien faire de l'élevage, certificat de capacité à l'appui bien sûr. « Mais même dans ce cas-là, on continuera à donner des noms à nos animaux et à leur prodiguer des soins comme en petit comité. C'est une passion avant tout ! » Plus classique dans cette arche de Noé : le prochain animal accueilli devrait être un chien. Source
  2. Max|mum-leterrarium

    Heyy Merdeee!!!!!

    Est-ce que les paramètres ont changé dernièrement ou elle a connu une source de stress qui n'était pas avant?
  3. Max|mum-leterrarium

    Heyy Merdeee!!!!!

    Est-ce que ta femelle a été reproduite jeune ou a eu une alimentation faible en vitamine ou calcium? Désolé de mes questions mais j'essaie de te diriger pour voir si une erreur a été commise pour éviter que ça se reproduise.
  4. Max|mum-leterrarium

    Heyy Merdeee!!!!!

    Est-ce qu'elle mange quand même depuis tout ce temps?
  5. Max|mum-leterrarium

    Heyy Merdeee!!!!!

    C'est le ventre que tu masses tout simplement pour l'aider à détendre et espérer que les oeufs passent. Ce sont que des trucs qui peuvent fonctionner mais ce n'est pas les meilleurs trucs honnêtement. As tu essayé de juste appeller un vétérinaire pour voir si tu ne pouvais pas avoir un truc?
  6. Max|mum-leterrarium

    Heyy Merdeee!!!!!

    Un massage n'est jamais brusque. Tu masses avec le bout des doigts tout simplement.
  7. Max|mum-leterrarium

    Heyy Merdeee!!!!!

    Tu peux aider en la massant aussi mais ce n'est pas des technique efficace à 100% non plus. L'idéal est vraiment un vétérinaire. Donnes des bains tièdes de façon fréquentes et aide en massant pour l'aider le plus possible en espérant que ça fonctionne.
  8. Le trafic très prospère des espèces menacées Le front de lutte est partout. En Espagne, où la garde civile a annoncé, vendredi 9 avril, avoir saisi plus de 2 500 spécimens empaillés ou congelés, parmi lesquels lynx et vautours. En Guyane, où les services des douanes françaises ont découvert, début avril, dissimulés dans des boîtes de pellicules photo, des dizaines de spécimens vivants de Dendrobates tinctorius, petites grenouilles strictement protégées par la Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d'extinction (Cites), mais très recherchées pour leurs couleurs vives et leur venin. A Christchurch (Nouvelle-Zélande), où un ressortissant allemand a été condamné début mars à trois mois de prison pour avoir tenté de faire sortir du pays seize geckos, des reptiles protégés, d'une valeur marchande estimée à près de 100 000 euros. A l'aéroport Paris - Charles-de-Gaulle, en février, les douaniers ont intercepté du lourd : deux pieds, une queue et deux défenses d'éléphant. Ce même mois, une vaste traque internationale coordonnée par Interpol visant le commerce illicite de médicaments traditionnels asiatiques a donné lieu à la saisie de milliers de produits prohibés (os et dents de tigre concassés, musc d'antilope himalayenne, extraits d'écailles de pangolin) d'une valeur de plus de 10 millions d'euros... Le front de lutte est partout, et ses hérauts de mieux en mieux organisés. Ils ne contrôlent pourtant qu'une infime partie du gigantesque trafic mondial auquel donnent lieu les espèces menacées d'extinction, mortes ou vivantes, et de leurs produits dérivés. Selon le WWF, le Fonds mondial pour la nature, il s'agirait de la troisième source illicite de revenus, après le trafic d'armes évalué à près de 900 milliards d'euros par an et le trafic de drogue (près de 300 milliards d'euros). Le montant du trafic est quasiment impossible à évaluer, mais une chose est sûre : il rapporte gros. Au risque de sanctions relativement minimes : "De six mois de prison à 9 000 euros d'amende, que ce soit pour la cession ou la vente non autorisée d'une espèce, un défaut de certificat ou l'exploitation illicite d'un établissement d'élevage", précise le colonel Thierry Bourret. Chef de l'Office central de lutte contre les atteintes à l'environnement et à la santé publique (Oclaesp), unité de la gendarmerie nationale créée il y a six ans pour combattre, notamment, le commerce illicite de la faune et de la flore sauvages, il évoque à propos de ce trafic une véritable "économie souterraine". "Certains serpents, dits phasés, dont les couleurs ont été modifiées, peuvent être revendus 30 000 euros pièce, un couple de tortues Yniphora de Madagascar 90 000 euros. Un manteau en peau de chat léopard afghan s'est vendu à Paris 450 000 euros, et l'on connaît un collectionneur qui avait acheté pour 530 000 euros d'insectes", énumère-t-il. Du collectionneur du dimanche au mafieux pratiquant à grande échelle, le trafic de caviar, d'ivoire ou de civelle (l'alevin de l'anguille, vendu par dizaines de tonnes à l'Asie), en passant par la boutique d'aquariophilie ayant pignon sur rue, les acteurs de cette délinquance organisée sont innombrables. Comme le sont les devenirs des produits vendus. Animaux de compagnie, de collection, usages alimentaires ou pharmaceutiques... Mais aussi ornements de luxe et bizarreries en tout genre. "Cherchez bien dans Paris, et vous trouverez des bracelets en poils d'éléphant", affirme le colonel Bourret. Avant d'évoquer le démantèlement, il y a quelques années, d'un réseau de fourreurs destiné à fournir des sous-vêtements féminins en peau de reptiles et des slips d'homme... en peau de chimpanzé. Si l'on ajoute à cela le fait qu'il s'agit de milieux très fermés et très techniques (il faut être un expert pour reconnaître certaines espèces de lézard ou de corail protégées de celles qui ne le sont pas), on perçoit mieux les difficultés rencontrées par les services de la police et de la douane. "Des milliers de personnes rapportant chacune un ou deux spécimens à leur retour de vacances, cela finit par faire un volume considérable", précise Hubert Géant, directeur de la police à l'Office national de la chasse et de la faune sauvage (ONCFS), où une brigade mobile d'intervention (BMI), en liaison avec les services départementaux, se consacre exclusivement aux espèces protégées par la Cites. A entendre Michel Horn, secrétaire général des douanes de Paris - Charles-de-Gaulle, le trafic "touristique" - le vacancier qui rapporte dans ses bagages, en souvenir, des coraux protégés ramassés sur une plage de Tahiti - serait plutôt en diminution, et les citoyens mieux informés des risques pesant sur la biodiversité. "De là où nous sommes, nous n'avons cependant qu'une vague appréhension de l'ampleur du trafic", ajoute-t-il. Malgré la vigilance des douaniers et la formation de certains d'entre eux (par exemple pour attraper sans risque un serpent dans une cage), les saisies représentent sans doute une infime partie de ce marché international. Et le trafic illégal des espèces animales et végétales menacées d'extinction, après la destruction de leur habitat naturel, reste la deuxième cause de leur disparition. Catherine Vincent Source
  9. Le hic, c'est qu'il n'y a personne pour les écrire. On en voit parfois mais très rarement.
  10. Vendredi, c'est de l'observation de tortue dans mon cas.
  11. Bonjour à tous, La réunion du 28 avril 2010 aura comme sujet le herping. La réunion sera tenu par Maxime Pelletier qui vous parlera de ses expériences en herping et vous apportera de la documentation sur les espèces indigènes. La réunion a toujours lieu vers 19h45 au au 620, rue Richelieu, Beloeil (Québec) J3G 5E8. On passe par la porte arrière et c'est la salle qui se trouve au sous-sol. N'allez pas à la salle qui se trouve à l'étage puisque c'est les réunions des Alcoolique anonyme qui ont lieu le même jour dans cette salle. Les réunions sont gratuites pour les membres de l'association. La carte sera de 25$ annuellement ou de 35$ pour un couple. Les non-membres peuvent assister à une réunion gratuitement et par la suite devront adhérer comme membres ou payer des frais d'entrée de 5$ pour assister aux réunions. Au plaisir de vous voir!
  12. Les petits mordus taquinent le têtard… Solidement chaussés de leurs bottes en caoutchouc, profitant d'une belle journée de début de printemps, les enfants du centre de loisirs sont allés à l'étang de La Chaise pour une sortie pêche à l'épuisette. Ils ont, tout d'abord, découvert la faune des lieux. Puis, sur le pont , au-dessus de l'eau, armés d'ustensiles dignes de pros, ils se sont mis à la tâche. Quel plaisir de remonter à la surface, larves et batraciens. L'occasion d'une étude attentive ! L'étude de la salamandre était également au programme. Christine, l'animatrice du Centre permanent d'initiatives pour l'environnement (CPIE), leur a fourni toutes les explications voulues sur les espèces aquatiques et le milieu dans lequel elles évoluent. Une journée nature qui a fait le bonheur de tout ce petit monde et qui aura suscité, sans doute, des vocations de… pêcheurs ! Source
  13. Un lézard dans le Grand Stade [b]ENVIRONNEMENT. Ecologie pour Le Havre veut porter plainte contre la Codah qui n'aurait pas préservé le reptile. [/b] Il ne mesure que 20 centimètres, mais le lézard des murailles est au cœur d'une polémique au Havre. En effet, l'association Ecologie pour Le Havre a décidé de porter plainte contre la Codah qui, estime-t-elle, n'a pas su préserver son habitat naturel... Le site du futur Grand Stade. « Comme tous les lézards, il est protégé par l'arrêté du 19 novembre 2007. Or, la Codah a décidé de préparer le terrain du futur Grand Stade avant la délivrance du permis de construire. C'est son droit. Sauf que le terrain, et donc l'habitat naturel du lézard, a été totalement dévasté par ces travaux », indique Annie Leroy, présidente d'Ecologie pour Le Havre. Un « saccage » que l'association a fait constater par huissier le 12 avril dernier. Dépôt de plainte Le commissaire chargé de l'enquête publique avait spécifié la présence d'espèces à protéger, notamment des fleurs et ce fameux lézard. « La Codah a méconnu la loi. Nous lui avons demandé, officiellement, de justifier cela. Sans réponse d'ici quelques jours, nous déposerons plainte », prévient la présidente. La justification est pourtant simple pour la Codah. Celle-ci s'est engagée par écrit à sauvegarder le petit reptile. On peut ainsi lire dans l'étude d'impact que «des mesures conservatoires seront prises pour restituer l'état initial de l'habitat des lézards». Si Annie Leroy monte au créneau sur cette affaire de lézard dans le Grand Stade, c'est aussi et surtout pour montrer à tous sa vigilance et sa volonté de ne rien « laisser passer ». Le grand canal dans le collimateur En effet, Ecologie pour Le Havre a dans sa ligne de mire la future extension du grand canal du Havre. Un projet d'envergure qui permettra au Grand Port Maritime du Havre de créer de nouvelles voies de circulation fluviale et de nouveaux terminaux. « Ce projet va massacrer la biodiversité et des espèces protégées tant au niveau Européen que mondial. Des mesures compensatoires sont possibles... Encore faut-il le vouloir », affirme Annie Leroy. Elle estime que cette prolongation du canal n'est pas nécessaire et qu'une meilleure utilisation du canal de Tancarville et de la Seine pourrait suffire. Et de conclure que « selon les estimations les plus optimistes concernant le trafic du Grand Port Maritime, la prolongation du grand canal donnerait passage à... trois bateaux par jour. » MARIE-ANGE MARAINE Source
  14. Des serpents en France métropolitaine ? Oui, mais lesquels ? Un serpent est un reptile répandu et protégé en France qui fait l'objet de nombreuses craintes. Comme tout être vivant, il a un rôle précis dans la nature. Autant le dire de suite, il ne faut pas que vous soyez ophiophobes pour prendre connaissance du sujet suivant. Nous présenterons les principales espèces de couleuvres et de vipères en France métropolitaine, nous verrons comment les différencier, nous préciserons quel est le rôle des serpents dans l’écosystème et comment faire en cas de morsures. Qu’est-ce qu’un serpent ? C’est un reptile au corps cylindrique et allongé, dépourvus de membres apparents, comme chacun le sait. Ses yeux ont des paupières soudées et transparentes qui lui confèrent un regard fixe. Il existe des serpents de toutes tailles et de toutes couleurs. Ils sont tous zoophages, libre court à votre imagination de ce qu’il peut manger, mais n’allait pas aussi loin que dans Le Petit Prince... Quels types de serpents se rencontrent en campagne de France métropolitaine ? La France métropolitaine dénombre 2 familles de serpents : les colubridés (coronelles et couleuvres) et les vipéridés (les vipères), pour 12 espèces de serpents. En outre mer la situation diffère car par exemple sur l'Ile de la Réunion s'observent le serpent aveugle de la famille des typhlopidés et la couleuvre loup. Autre exemple, d'après Michel Breuil sur l'archipel de la Guadeloupe se dénombrent 4 espèces de colubridés et 3 espèces de typhlopidés. En France, les principales espèces sont ainsi la Couleuvre à collier (Natrix natrix), la Couleuvre d'esculape (Zamenis longissimus), la Couleuvre verte et jaune (Hierophis viridiflavus), la Couleuvre de Montpellier dans le Midi (Malpolon monspessulanus), la Couleuvre vipérine (Natrix maura), la Couleuvre lisse (Coronella austriaca), la Vipère aspic (Vipera aspis) ou la Vipère péliade (Vipera berus). Comment déterminer l'espèce à laquelle appartient un serpent ? Un individu de moins de 40 cm est assez dur à identifier, mais voici un résumé des astuces de détermination énoncées par l'association REPT.Les couleuvres sont pacifiques et totalement inoffensives (dépourvues de venin). Elles fuient en général très rapidement. Leurs pupilles sont rondes. Le dessus de tête présente de grandes écailles (plaques) régulières. Entre l’oeil et la bouche, il n’y a qu’une seule rangée d’écailles. La queue est longue et fine par rapport au corps. Elles peuvent toutefois se gonfler d’air pour prendre l’apparence des vipères. En revanche la tête des vipères est pourvue de multiples petites écailles, quelque peu similaires à celles du corps, mais disposées de façonirrégulière, leurs pupilles sont fendues, et entre l’oeil et la bouche se trouvent plusieurs rangées d’écailles ; elle se distingue nettement du corps. Les vipères fuient en cas de danger, mais elles sont plus lentes ; si elles se trouvent acculées, elles préviennent l'agresseur en sifflant bruyamment afin d'être entendues. Même si elles sont venimeuses (pour leurs proies), effrayées elles restent pacifiques. Ce n’est que dans certains cas extrêmes (si on leur marche dessus, par exemple) qu’elles sont contraintes à mordre, usant souvent d’une quantité infime de venin, car celui-ci représente leur unique outil pour pouvoir se nourrir. L’envenimation se traduit d’abord par un œdème. Les biologistes précisent qu’il ne faut jamais se fier à leur livrée (couleur et motifs), car de nombreuses couleuvres possèdent une livrée ressemblant à celle de la vipère, comme la couleuvre vipérine, ce qui pourrait nous conduire sur la voie du mimétisme... Pour plus de détails sur l'identification des espèces de serpents de France métropolitaine, un site Internet avec des fiches descriptives et des photos est à notre disposition : SerpentsdeFrance. Que faire en cas de morsures de serpent ? Les vipères sont donc les seuls serpents sauvages en France à être venimeux. En cas de morsure, il est préférable d’appelez le 15 ou le 112 et de soigner la victime en attendant les secours (désinfection de la plaie sans alcool ni éther et retrait de tout ce qui pourrait faire garrot). Pour se prémunir des morsures de vipères (3 cas mortels par an en moyenne sur près de 300 morsures), il faut porter des chaussures montantes et un pantalon long ainsi que faire du bruit au sol en marchant, car en percevant les bruits, la vipère, peureuse, fuit. Quelle place occupe le serpent dans nos écosystèmes ? Un serpent joue un rôle essentiel dans l’équilibre du milieu naturel. Tout d’abord, il chasse des petits rongeurs, batraciens, poissons et autres reptiles. Ensuite, dans le réseau trophique, ils sont prédatés par de nombreuses espèces animales tel que les gallinacés, les hérissons, certains rapaces (dont le Circaète Jean-le-Blanc, espèce serpentaire rare) ou les putois. Le serpent est-il un animal protégé ? Il est vrai que les prédateurs du serpent sont nombreux. Comme sa maturité sexuelle ne se fait qu’entre trois et cinq ans, on peut imaginer la possibilité d’un déclin rapide d’autant que nombreux sont les individus tués par les insecticides, écrasés sur les routes ou dans les champs ou encore par crainte. De ce fait, tous les serpents d’Europe sont protégés par la loi de 1976, tout contrevenant s’expose à une amende allant de 91 à 915 €. Par exemple, comme le stipule l’arrêté du 19 novembre 2007, sont interdits, sur tout le territoire métropolitain et en tout temps, la destruction ou l'enlèvement des oeufs et des nids, la destruction, la mutilation, la capture ou l'enlèvement, la perturbation intentionnelle des animaux dans le milieu naturel. Source
  15. Regroupant lézards et serpents, les squamates représentent parmi les familles d'êtres vivants l'une de celle qui possède la biodiversité la plus riche : 7000 espèces environ, dont la taille varie du centimètre à plusieurs mètres. Toutes ces espèces aux caractéristiques si différentes possèdent cependant un ancêtre commun. Les processus des mutations à l'origine de cette diversité viennent d'être mis en évidence dans une étude dirigée par le professeur Denis Duboule de l'Université de Genève et de l'EPFL. Le rôle primordial des gènes Hox, déterminant la spécification des structures selon l'axe antérieur-postérieur du corps, a été mis en évidence. Ceux-ci contrôlent le nombre, la position et la forme des vertèbres. Chez les squamates, les chercheurs ont constaté une accumulation inhabituelle de transposons, segments d'ADN mobiles qui peuvent se déplacer d'un endroit à un autre sur un même brin d'ADN ou sur un autre brin, au sein même des séquences contenant les gènes Hox, résultant ainsi en un réarrangement génomique des segments régulateurs codants et non-codants. Ainsi, la mutation chez les serpents des gènes régulant la formation des côtes ''a abouti à une expansion sans précédent de la région thoracique, par manque d'un signal d'arrêt'', explique le professeur Duboule. Le serpent du maïs et le lézard à queue en fouet présentent des différences majeures au niveau des expressions des gènes Hox10 et Hox13 lors de la somitogénèse, concordant avec les expansions des régions caudales et thoraciques chez le serpent. Ces travaux de recherche, publiés dans la revue Nature [1], se déroulent dans le cadre du Pôle de recherche national (PRN) "Frontier in Genetics" que dirige le professeur Duboule. Créé en 2001 et financé annuellement à hauteur de 9 millions d'euros environ, ce PRN a pour objectif de déterminer les liens exacts entre les trois niveaux que sont les gènes au niveau moléculaire, les noyaux cellulaires au niveau cellulaire et le développement d'embryons au niveau organique. Source
  16. Héhé c'est toujours une belle expérience à vivre. Personnellement, je l'ai vécu une seule fois avec mon premier scorpion à vie lorsque j'étais ado. J'avais réussis à amener que deux bébés au stade adulte à l'époque. Il faudrait bien que je retrouve une femelle gestante pour retenter l'expérience un jour. Pour te répondre Eros, les scorpions ne pondent pas d'oeufs mais je ne suis pas assez expert pour te dire s'ils sont ovovivipare ou tout simplement vivipare. Je vous montre un petit vidéo tiré de www.tele-animaux.com
  17. Denain/Insolite: Un lézard à 100 000 euros! C'est l'histoire d'une petite bête, découverte sur le trajet du contournement de Denain. Un petit reptile long d'à peine quinze centimètres et qui a chamboulé un projet de près de 10 millions d'euros. Podarcis muralis. Wall lizzard. Lézard des murailles. Peu importe son nom, le reptile, qui a fait frémir les responsables du projet de la RD 955, une route qui doit permettre d'entrer à Denain plus facilement, est aujourd'hui bien connu dans les locaux de la mairie de la ville. S'il ne mesure, au plus, qu'une bonne quinzaine de centimètres de long, le petit animal a, en effet, donné quelques sueurs froides aux responsables du projet du contournement de Denain. Un projet de près de 10 millions d'euros, chamboulé par une toute petite bête. Le lézard des murailles est arrivé comme un cheveu sur la soupe. Au printemps 2008, le cabinet d'étude de la métropole lilloise, Egis aménagement, réalise un inventaire de la faune et de la flore sur le territoire du projet de la RD 955. C'est obligatoire dans tout projet d'une telle envergure. Là, parmi les renoncules rampantes et géraniums colombins apparaît le reptile. Si aucun amphibien n'a été repéré dans la zone, le nom du lézard des murailles, lui, ressort bel et bien du lot. Le bureau d'études lui réserve même un paragraphe complet. Et pour cause... D'après les conclusions rendues, le désormais fameux podarcis muralis a été observé «à proximité de la voie ferrée TER ainsi que sur l'ancienne gare ferroviaire, depuis la RD 40 jusqu'à la ligne de tramway» mais aussi «sur des bâtiments et le mur d'enceinte de l'association CEF Nord, le long de la rue de Turenne où les failles lui sont particulièrement favorables.» Jusque-là, l'histoire pourrait prêter à sourire. Ce fut d'ailleurs le cas, pendant un moment. Sauf que derrière le petit reptile se cache un vrai lézard pour le projet. Le Podarcis muralis est en effet protégé au niveau national mais aussi par l'article 2 de la convention de Berne ainsi que par l'article 4 de la directive européenne habitat. Et c'est là que les choses se compliquent. L'impact de la RD 955 est trop important. La voirie doit donc être modifiée... Résultat, des terrains rachetés et réaménagés, pour un coût, estimé aux environs de 100 000 euros par un responsable du projet en mairie. Un surcoût nécessaire, pris en charge par le Département, qui détient la compétence pour la voirie et les espaces naturels sensibles. http://www.lobservateurduvalenciennois.fr/actualite/Denain/Insolite:-Un-lezard-a-100-000-euros!--2029.html
  18. Parce que les noms communs ne sont jamais une réalité Et la tortue peinte du Québec est une Chrysemys picta.
  19. C'est que le nom commun anglais de cette espèce est la black wood turtle. Nous avons aussi une tortue des bois ici aussi.
  20. Bonjour grenouilles, tritons et crapauds Au nom de tous les amphibiens Barré d'un « Wanted » digne des westerns, le flyer attire l'œil. Forcément, son lecteur est tout de suite intrigué par cet étrange avis de recherche lancé par le Centre permanent d'initiatives pour l'environnement des Pays de l'Aisne (CPIE). « Un dragon ! Dans mon jardin ? Les amphibiens disparaissent. Vous pouvez participer activement à leur sauvegarde » peut-on lire en dessous. Alors, kesako ? Pour la troisième année consécutive, cette association propose aux particuliers et aux mairies volontaires qu'un de leurs spécialistes des batraciens vienne, de manière bénévole, explorer le fond de leur mare, étang et autre zone humide. Seize espèces dans l'Aisne Histoire de détecter l'éventuelle présence de tritons, salamandres, crapauds grenouilles et consorts, ainsi que l'attitude citoyenne et écologique à tenir. En moyenne, depuis le lancement de cette opération, ce sont une vingtaine d'interventions qui sont réalisées. « Par cette démarche, l'objectif est de faire prendre conscience de la richesse biologique existant dans son propre jardin, sous ses yeux en quelque sorte, de la valoriser afin que chacun puisse se l'approprier, s'en sentir responsable et s'engager dans sa préservation », indique Camille Gosse, chargé de mission au CPIE, basé à Merlieux. Et de poursuivre : « L'Aisne, comme le reste de la Picardie, héberge seize espèces d'amphibiens sur les trente et une continentales autochtones en France. Dans les contrées du Chaunois, on rencontre essentiellement des crapauds communs, des grenouilles vertes, des tritons palmés… Il faut savoir qu'en dehors de la grenouille verte et de la grenouille rousse, toutes ces espèces sont protégées par la loi car elles sont menacées. Notre campagne sur les amphibiens est menée de février à juin car nous sommes, alors, en pleine phase aquatiques et qu'on a le plus de chance de les apercevoir. » Outre ce travail de sensibilisation sur ce type d'animaux et les conseils de gestion prodigués aux propriétaires de ces points d'eau, cette action en direction du grand public se révèle être aussi un outil de connaissance scientifique original et pertinent. En effet, les « inventaires classiques » sont réalisés dans des zones naturelles ou d'accès libre. Or, dans le fond des jardins privatifs ou sur les terrains communaux, où aucun scientifique ne va, il existe de nombreux milieux naturels ou artificiels qui peuvent abriter une biodiversité fragile, elle aussi, à préserver. « Cette opération permet effectivement de recueillir des données inédites qui contribuent à la cartographie des amphibiens grâce à la transmission des données à l'association Picardie Nature », souligne notre interlocuteur. En somme, chacun y trouve son compte… Ludovic BARBAROSSA Contact : CPIE des Pays de l'Aisne au 03.23.80.03.03 ou c.gosse@cpie-aisne.com Source
  21. 123 nouvelles espèces découvertes à Bornéo ces trois dernières années ENVIRONNEMENT - Ce qui démontre la richesse de la biodiversité de l'île... Une grenouille sans poumon et l'insecte «brindille» le plus long du monde font partie des 123 nouvelles espèces découvertes au cours des trois dernières années dans les forêts tropicales de l'île de Bornéo, a annoncé jeudi le Fonds mondial pour la nature (WWF). Ces nouvelles espèces ont été répertoriées dans une zone de 220.000 km2 de denses forêts, surnommée «le Coeur de Bornéo», que protègent depuis 2007 la Malaisie, l'Indonésie et le sultanat de Brunei, les trois pays qui se partagent Bornéo, précise le WWF dans un rapport récapitulatif. «Nous avons découvert trois nouvelles espèces par mois en moyenne, 123 au cours des trois dernières années et au moins 600 depuis quinze ans», s'est félicité Adam Tomasek, responsable du programme «Coeur de Bornéo» du WWF. Espoir de nouvelles découvertes «Les nouvelles découvertes démontrent la richesse de la biodiversité sur Bornéo et laissent espérer de nouvelles découvertes, dont certaines pourraient être susceptibles de contribuer à guérir des maladies comme le cancer ou le sida». Le «Coeur de Bornéo» abrite dix espèces de primates, plus de 350 d'oiseaux, 150 de reptiles et amphibiens ainsi que quelque 10.000 plantes qui ne se trouvent pas ailleurs dans le monde, indique le rapport de WWF. Parmi les nouvelles espèces mises à jour en 2008, figure une grenouille de 7 cm à tête plate, la «Barbourula kalimantanensis», qui respire par la peau, ne possédant pas de poumons. Spécimens rares Les chercheurs ont découvert la même année le «Phobaeticus chani», un phasme considéré comme le plus long insecte du monde avec un corps de près de 36 cm (sans les antennes). Sa forme de brindille lui permet de se dissimuler dans les branchages. Seuls trois spécimens de cette espèce ont été découverts. Autre animal insolite, la limace découverte sur le Mont Kinabalu qui lance des «fléchettes d'amour» qui injectent des hormones à son partenaire afin d'accroître les capacités de reproduction. Les scientifiques appellent les trois pays à agir avec détermination pour garantir la protection de la biodiversité dans le «Coeur de Bornéo». «Nous savons qu'il est impossible, pour les trois gouvernements, de ne pas y développer des activités minières, forestières ou de plantation de palmiers à huile», indique Adam Tomasek. «Ce que nous demandons est qu'un équilibre soit établi entre la préservation et un développement durable afin de protéger cette zone unique pour les générations futures». Déforestation liée à la production d’huile de palme L'Indonésie et la Malaisie sont les deux premiers producteurs d'huile de palme, avec 85% de la production mondiale. Cette exploitation est dénoncée par des organisations écologistes comme l'une des principales causes de la déforestation, notamment sur Bornéo. Pour Adam Tomasek, la protection du «Coeur de Bornéo» est essentielle pour la sauvegarde d'espèces menacées comme l'éléphant pygmée, le rhinocéros de Sumatra, le léopard tâcheté ou les orang-outans. «C'est la dernière place forte pour la sauvegarde à long terme de ces espèces», souligne-t-il. Source
  22. On peut essayer avec des gerbilles en fds si tu veux?
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