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Des petites bêtes qui ne s'adoptent pas à la légère...
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Des petites bêtes qui ne s'adoptent pas à la légère... Envie d'adopter une mygale ou un python ? Le sujet mérite réflexion. L'expo organisée par l'association le Peuple de l'Ombre a réuni hier 2 O00 personnes. Avec des messages pédagogiques très clairs. DELPHINE TONNERRE > delphine.tonnerre@nordeclair.fr Ne comptez pas sur eux pour vous inciter à adopter des phasmes ou des iguanes (si toutefois cette idée saugrenue vous avait effleurée). Franck Delannoy et Olivier Vuillemot, les fondateurs de l'association le Peuple de l'Ombre aiment les animaux, surtout les insectes. Ils apprécient le calme, l'apaisement même que leur apportent ces petites ou grosses bêtes. Ils sont fiers lorsque la reproduction réussit. // Et justement, ils tiennent à ce qu'ils soient bien soignés, encadrés, nourris et protégés. « On parle de nouveaux animaux de compagnie mais le terme n'est pas approprié. En fait ça reste des animaux sauvages. Il ne faut en attendre aucune contrepartie affective. Il faut les manipuler le moins possible. Et avant de s'engager, il faut bien mesurer les risques... », expliquent-ils. Au stand de l'association Recup'iguane vert, on ne vous dit pas autre chose : « Les gens achètent un animal, le plus souvent dans une animalerie en Belgique. Au début ça va, ça se passe bien, on leur a même dit que s'il restait dans son aquarium, il n'allait pas grandir... » Mais voilà, un mâle de belle dimension peut atteindre 1,50m et 7 kilos. Une bête vorace pas facile à maîtriser. « Chaque moi, on récupère en moyenne trois iguanes, qu'on doit parfois soigner pour cause de négligences. On les place ensuite sous contrat chez des particuliers », explique le responsable. De nouveaux adoptants qui sont ensuite conseillés et accompagnés. Mêmes contraintes pour les pythons : « Ils mangent des lapins et des rats, et les gens n'aiment pas toujours avoir ces bêtes-là dans leurs congélateurs... », nous explique-t-on. Quant aux mygales, là encore, il faut mieux réfléchir à deux fois : « Sur internet, vous trouvez des "mygales dociles" à vendre, c'est un non-sens ! », souligne Olivier Vuillemin. Moins voraces, les papillons sont très prisés des collectionneurs. Ils aiment les voir piqués dans des cadres mais surtout les regarder voler au-dessus des massifs. « Ne tondez pas le gazon trop court : c'est très mauvais pour la faune qui ne peut plus s'y développer », nous glisse notre interlocuteur. Il défend le retour d'une nature respectueuse en ville, où dans les haies et les massifs fleuris, un petit bout de Microcosmos peut s'ébattre gaiement. Et regarder les fourmis porter des brindilles plus grosses qu'elles, c'est quand même moins risqué que se faire emporter le doigt par un varan affamé.w Source -
Les joies des boas des sables
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Max|mum-leterrarium dans Boidés
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Quiz lézard 21 février 2010 (résolu)
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Max|mum-leterrarium dans Quiz
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Quiz insectes 21 février 2010 (résolu)
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Max|mum-leterrarium dans Quiz
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Tégu d'Argentine
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Les joies des boas des sables
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Petite femelle BCI de presque un an
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Max|mum-leterrarium dans Boidés
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Tégu d'Argentine
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Max|mum-leterrarium dans Autres sauriens
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Thamnophis marcianus marcianus
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Max|mum-leterrarium dans Colubridés
Eh oui, j'ai toujours cette petite bête. Il est toujours aussi stressé donc il musk lors de chaque manipulation! Il est en pleine santé et il mange très bien mais bon, j'aimerais pouvoir le prendre et le trainer dans les expos! POur une fois, j'ai réussis des photos pas pire de lui donc profitez en! -
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Voici des nouvelles de mon petit caractériel difficile. Tout ce que l'ancien propriétaire disait que le varan mangeait, il refuse. Tout ce qu'il accepte d'avaler, c'est des rongeurs... ou des doigts... C'est comme on veut mais je préfère quand même les rongeurs que les doigts. Le voici dévorant son bébé rat. Maintenant pourquoi pas le montrer la bouche vide et le ventre plein!
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Petite femelle BCI de presque un an
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Max|mum-leterrarium dans Boidés
Je me suis rendu compte que je ne donnais pas grand nouvelles de mes bêtes. Quelqu'un m'a demandé des nouvelles de cette merveilleuse petite boa ainsi que des photos donc je me suis dis aussi bien les mettre ici et tout le monde pourra en profiter. Elle a grandit depuis un an mais elle a embellit je trouve. C'est vraiment une beauté divine! -
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21 février 2010 (Thamnophis marcianus)
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans L'espèce de la semaine
Nom scientifique : Thamnophis marcianaus Nom français : Serpent-jarretière à damiers Nom anglais : Checkered garter snake Origine : Amérique du Nord et Amérique Centrale Biotope : Semi-humide Température : 28 à 32°C Hygrométrie : 50 à 60% Moeurs : Terrestre, aime bien nager et crépusculaire Taille adulte : 70 cm Longévité : 7 à 10 ans Nourriture : Poissons, vers de terre et parfois des souriceaux C'est l'un des Thamnophis les plus populaires en captivité. On trouve au premier rang fort probablement les ribbons snakes (Thamnophis sauritus et Thamnophis proximus). C'est un bon choix de serpent pour ceux que ça écoeurent de donner des rongeurs à un serpent. Quoi que s'ils sont mal parti, ils peuvent manger que ça. J'ai un serpent de cette espèce actuellement que l'ancien propriétaire le nourrissait que de rongeurs donc maintenant il accepte que du rongeur. Il s'agit d'un serpent de petite taille qui rend plus facile la maintenance en captivité. Côté manipulation, ils sont généralement nerveux mais manipulables. Pour tout ceux qui trippent sur les couleuvres rayées du Québec, laissez les dont dans la nature puisque ce serpent lui ressemble beaucoup et il est très abordable. -
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Le reptilarium, l'exotisme au pied du Larzac En juillet 2005, Chrystèle et Fabien Catala ont ouvert le reptilarium du Larzac à Sainte-Eulalie- de-Cernon. Ce parc accueille aujourd'hui plus de cent espèces parmi les plus belles et mythiques de la planète. Dépaysement garanti au pays des Templiers avec deux passionnés. GROS PLAN A Sainte-Eulalie-de-Cernon, on peut voyager dans le temps. Revivre l'époque des Templiers à travers les nombreux témoignages historiques et patrimoniaux. Le village était en effet le siège de la Commanderie templière. On peut aussi voyager aux quatre coins de la planète en franchissant le seuil du reptilarium du Larzac. C'est en effet là, à quelques dizaines de mètres de l'enceinte fortifiée du village, que Chrystèle et Fabien Catala, et leurs quatre enfants, ont posé leurs valises et leurs reptiles il y a quelques années. Passionné de ces animaux et de nature depuis son plus jeune âge - il a acheté son premier boa à 14 ans ! -, Fabien souhaitait monter son propre parc spécialisé pour faire partager sa passion au grand public. Comme un aboutissement à son parcours professionnel. Lui qui, après avoir travaillé dans plusieurs parcs zoologiques et en animalerie, avait, juste auparavant, créé un élevage de reptiles près de Montauban. Et c'est le hasard - qui parfois fait bien les choses - qui a conduit la famille à Sainte-Eulalie-de-Cernon. « On cherchait un lieu sur internet et on est tombé sur cette ancienne laiterie. C'était incroyable, il y avait tout », se souvient Chrystèle, qui a épousé l'homme et sa passion. Le coup de foudre a été immédiat. Pour le lieu, le village, son environnement. Certes, le challenge n'était pas évident. Les Catala ont dû se bagarrer. Il a fallu rénover et aménager. « On est tombé sur un banquier qui a cru en nous et qui nous a fait confiance », précise Chrystèle. Après deux ans de travaux réalisés par leurs soins, le reptilarium du Larzac a ouvert ses portes le 1 er juillet 2005. Et a de suite trouvé un public avec 5 000 entrées dès la première année. Depuis, sa réputation est allée grandissante. L'an dernier, la petite entreprise familiale a attiré 15 000 visiteurs. Il faut dire que l'endroit a de quoi séduire. Les petits et les grands. Les amateurs de reptiles ou les néophytes. On y trouve plus de cent espèces : serpents, tortues, caïmans, alligators, varans, geckos, iguanes, caméléons, etc. Parmi les plus beaux et les plus emblématiques de la planète. A commencer par des serpents mythiques : l'anaconda vert (le plus gros serpent du monde, qui peut atteindre 200 kg), le python réticulé (le plus long du monde, celui du reptilarium fait 6,30 m), un boa constricteur. Mais aussi plusieurs pythons d'Afrique ou d'Australie, un boa de Madagascar (une espèce très menacée) ou un boa des sables qui ne dépasse pas 60 cm. De ces reptiles, Fabien connaît tout. Leurs caractéristiques (et leur caractère), leurs habitudes. Beaucoup sont nés dans son ancien élevage ou à la nurserie du reptilarium. Régulièrement, le public peut aussi assister au moment magique de la naissance. Comme quand, chose rare en parc, les bébés caïmans viennent au monde. Les autres, quasiment tous nés en captivité, sont arrivés au parc très jeunes. A l'image de l'alligator du Mississipi qui a débarqué à 5 mois. Il faisait alors 25 cm. Il a aujourd'hui 4 ans et mesure 1,80 m pour 55 kg. Sur ces reptiles, le maître des lieux est intarissable. De l'alligator. « C'es t un animal qui n'a quasiment pas évolué depuis 65 millions d'années. Il a connu les dinos aures. » De ses caméléons, un "casqué du Yémen", un "panthère de Madagascar". « C'est une espèce fantastique. » Sa passion est communicative et instructive. Un véritable cours de sciences naturelles. On y apprend mieux que dans n'importe quelle classe la différence entre un reptile vivipare, ovipare ou ovovivipare. « On ne veut pas faire du sensationnel, mais mieux faire connaître ces animaux », commente sobrement Fabien. Ah, on allait oublier les emblèmes du parc : l'iguane vert âgé de 19 ans, Poumba le varan à gorge noire qui se met debout sur les pattes arrières pour manger, Charlotte et Caroline, les deux jeunes tortues d'Afrique de 27 et 25 ans, qui, le printemps venu, prennent leurs aises dans les enclos extérieurs avec leurs congénères de 60 kg. Source