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Max|mum-leterrarium

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Tout ce qui a été posté par Max|mum-leterrarium

  1. Bonjour à tous, Je voulais avoir votre opinion sur un sujet un peu délicat. Lors d'une conversation avec une certaine personne que je ne nommerai pas puisqu'il s'agit d'un nom connu, cette personne m'a fait part de son avis du pourquoi un passionné de reptiles est un passionné de reptiles. Selon cette personne, ce sont des personnes qui ont eu des problèmes de comportements un jour ou l'autre dans le genre délinquance, problème avec l'autorité, etc... Sa théorie serait que les passionnés de reptiles se sont intéressé à ces animaux méprisés des autres tout simplement pour déranger ou se démarquer des autres en quelque sorte. J'avoue que les passionnés de reptiles, on est en général des personnes marginales. Les personnes marginales sont des gens qui ont un besoin de se démarquer des autres aussi. Sa théorie ne serait pas totalement fausse selon moi mais je voulais savoir votre opinion là dessus. Je trouve que cette théorie fait réfléchir. Ne faîtes pas seulement répondre au sondage svp! Il est intéressant d'élaborer sur un sujet comme celui ci. À votre tour!
  2. Un scorpion pour sauver l’agriculture? Le Professeur Gurevitz passe le plus clair de son temps en compagnie de scorpions jaunes, des bestioles parmi les plus venimeuses au monde. Si le chercheur de l’Université de Tel Aviv a de drôles de fréquentations, c’est parce qu’il travaille à la mise au point d’un insecticide cent pour cent naturel, à base de venin de scorpion. Les neurotoxines contenues dans la précieuse substance sont en effet particulièrement nocives pour un certain nombre d’insectes, comme le scarabée, la sauterelle ou la mouche. A lire sur le site Green Prophet. Source
  3. Voici un joli petit Callisaurus draconoides acheté hier. Je l'ai offert à une jeune demoiselle qui avait peur des reptiles mais qui est tombé en amour avec lui en le voyant. Elle a le terrarium, le lézard et tout. Elle m'a promit en prendre grand soin. J'espère que tout ira bien entre ces deux là! Maintenant voici le pourquoi de son nom commun qui est le Zebra tail lizard. Si vous avez des questions sur ce lézard, n'hésitez pas. Je peux même vous dire où en trouver un autre en ce moment.
  4. Du venin de serpent dans ma crème : mystérieux repulpant de Garancia Je suis tombée nez à nez il y a quelques semaines avec le sérum anti-âge de Garancia lors d’une virée shopping avec Alice. Devant le packaging avec la tête de serpent, 2 réactions : - Intriguée, je regarde ce que c’est exactement, le produit m’attire - Apeurée, Alice ne s’en approche pas et me dit « Mais tu vas pas te mettre du venin de serpent sur le visage quand même, tu te rends compte ?! Tu vas mourir ! » Raisonnables, nous tournons les talons et reganons nos pénates. Sauf que, quelques jours après, on me propose de tester ce produit. Je saute évidemment sur l’occasion ! J’ai donc plus d’infos sur ce produit original et mystérieux … Garancia a collaboré avec des chercheurs Suisses spécialisées depuis plus de 30 ans dans la fourniture d’actifs issus de venins de serpents pour l’industrie pharmaceutique (chirurgie à cœur ouvert). 5 brevets sont déposés et le soins est garanti sans paraben, sans phénoxyéthanol et agit sur les poches, les cernes et les rides . Beau programme ! Ce produit m’intriguait de plus en plus et je me demandais si, vraiment, le venin de serpent pouvoir avoir des effets sur ma peau. J’avais déjà entendu parler des bienfaits de la bave de crapaud, alors le venin de serpent, pourquoi pas ?! Première impression : une sorte de gel épais, transparent, la texture est très onctueuse, veloutée, j’avais peur que cela fasse des peluches tellement la texture était épaisse, mais non, et même en ajoutant une couche de fond de teint par dessus. Il suffit de bien l’étaler et c’est même devenue un plaisir d’appliquer le soin, tout doux sous les doigts, il fait l’effet d’une gomme et unifie la texture de la peau. Et en plus, il sent très bon, bonne surprise ! ;-) L’effet n’est pas immédiat, mais sur plusieurs jours d’utilisation je trouve effectivement que ma peau est plus rebondie, j’ai meilleure mine. Je suis donc devenue adepte du venin de serpent, qui l’eut crû ?! Les produits Garancia sont disponibles en pharmacies, parapharmacies et chez Sephora. Le Mystérieux Repulpant est en vente aux alentours de 54 Euros. Je vous reparle très vite des produits Garancia, je suis sous le charme de cette marque et les produits sont vraiment originaux. Et si vous voulez en savoir plus sur cette belle marque, je vous conseille l’interview sur le blog (dé)maquillage (un blog rédigé par une vraie pro, passionant ! ) : par là ! A suivre, donc ! Source
  5. En se développant, le Béthunarium gagne de nouveaux pensionnaires Dimanche, l'association terrariophile et aquariophile Flandres-Artois ... se réunissait à La Charité pour sa 34e assemblée générale. À cette occasion, Didier Loiseau, président et premier des passionnés, a fait le point sur les activités. OAS_AD('Position1'); tOù en sont les travaux du Béthunarium ? « C'est notre pain quotidien depuis des années. L'an dernier, j'avais émis le voeu de proposer un outil de travail et de loisir associatif. Histoire d'intéresser de nouveaux membres à nos activités terrariophiles et aquariophiles. Je pense qu'on est sur la bonne voie compte tenu de la continuation des travaux d'embellissement et de rénovation du Béthunarium. Des travaux réalisés bénévolement par les membres actifs. » tEn quoi consistent-ils ? « Nous avons changé la filtration du gros bac, qui le rend plus efficace, et installé des pompes doseuses. Un faux plafond avec une guirlande de spots lumineux orne le couloir. De nouveaux décors sont plantés dans le bac des tortues. Un bac de 1 700 l a été mis en service avec des poissons arc-en-ciel, ainsi qu'un "jardin japonais" avec lac suspendu et décors faits à la main. Cela permet d'avoir de nouvelles espèces. » tDe nouveaux pensionnaires ? « Un couple d'élaphes, deux scinques à langue bleue, une tortue alligator, 7 poissons marins ainsi que des poissons originaires du Mexique. La petite famille s'agrandit. Les adhérents sont de plus en plus nombreux (78) et le succès croissant de notre bourse d'août (3 190 entrées) prouve l'intérêt grandissant pour nos activités. » tQuels projets pour 2010 ? « Nous comptons terminer nos travaux d'aménagement du Béthunarium et préparer ainsi Béthune, capitale régionale de la culture en 2011. On souhaite aussi ouvrir plus largement au public, et créer une bourse aux poissons. • Source
  6. Vous ne reverrez plus jamais cette petite bête. Il est décédé hier soir. Il aura mené sa vie jusqu'au bout et même plus puisque l'espérance de vie est de 5 à 7 ans et il s'est rendu à 7 ans et demi. Dommage puisque c'était une bête fantastique.
  7. Espèce flavimaculatus! Bon maintenant que j'ai découvert tout ça, je ne vous enmerderai pas avec le reste.
  8. Désolé, je me laisse des indices de mes recherches ici pour retrouver l'information. C'est dans le genre Trapelus.
  9. Dur, dur d'être une tortue marine En dépit des progrès réalisés dans la lutte contre le braconnage et de la mise en place de parcs marins, la survie de la tortue marine est encore menacée. Aujourd'hui la menace s'appelle pollution, grands filets dérivants ou hameçons utilisés notamment pour la pêche à la palangre du thon. Demain, elle s'appelera... réchauffement climatique. La pollution est aussi un grave problème Les déchets couvrent parfois de longues distances et s'accumulent en certains endroits Les tortues "confondent les plastiques ou les polystyrènes avec leurs proies habituelles" relève Jacques Fretey, qui codirige le groupe d'experts sur les tortues marines à l'Union internationale pour la conservation de la nature. Ces proies, par exemple les méduses, dérivent et s'accumulent parfois aux mêmes endroits que les déchets, comme au large de Saint-Pierre-et-Miquelon. Au lieu de se nourrir, les tortues avalent des sacs, des emballages ou des préservatifs et meurent d'occlusion intestinale. "Les tortues marines sont un bon bio-indicateur de la santé du milieu marin » précise-t-il. Les mâles, les premières victimes Il y a donc la pêche, la pollution mais aussi le réchauffement du climat qui sera une nouvelle menace pour cette espèce dans un futur plus lointain. Et les mâles pourraient en payer les conséquences. Le sexe des tortues marines, comme celui de nombreux reptiles, n'est pas déterminé génétiquement à la conception mais dépend de la température d'incubation des œufs durant une période bien précise, correspondant au deuxième tiers du développement de l'embryon. " Au-dessus de 29°C, cela donne des femelles, et au-dessous, des mâles" a expliqué Jacques Fretey. Les sites de ponte bientôt inondés ? "Avec le réchauffement climatique, on risque à coup sûr de se retrouver avec une féminisation des populations mondiales de tortues marines. Cela veut dire que les mâles vont disparaître" et avec eux les huit espèces encore présentes à la surface du globe, prédit l'expert. L'élévation du niveau des mers provoquera aussi l'inondation d'un grand nombre de plages qui servent de sites de ponte. Les tortues marines sont plus difficiles à observer et donc moins bien connues que les terrestres, notamment en ce qui concerne leur longévité. On sait néanmoins qu'une espèce comme la tortue verte n'arrive à maturité sexuelle qu'à 50 ans. "Cela veut dire qu'il faut des milliers d'œufs pour arriver à une tortue femelle qui va arriver à se reproduire" explique Jacques Fretey. Source
  10. Max|mum-leterrarium

    Super Tiger!

    Tiens de la visite rare. Me semble que ça faisait un bout qu'on n'avait plus de tes nouvelles. C'est un nouveau ça?
  11. Possible projet de résurrection d'une tortue disparue Avant même que Darwin ne pose le pied sur la terre des Galapagos, une espèce de tortue avait déjà disparu. Le processus de croisements pourrait bien prendre plus d'un siècle, mais on peut espérer faire revivre cette tortue éteinte. Des chercheurs ont en effet analysé les données génétiques de 156 tortues des Galapagos (en captivité) et ont découvert que neuf d'entre elles sont des descendantes de l'espèce Chelonoidis elephantopus. On dispose déjà des ossements de cette espèce dans les musées comme repère. On suppose par ailleurs que les neuf descendants trouvés font partie des tortues qui n'ont pas été exterminées et qui se sont réfugiées sur d'autres îles avant de s'accoupler avec d'autres espèces. Certes, il y a donc eu « dilution » du patrimoine génétique, mais la base génétique de départ est encore assez bien conservée pour espérer y arriver. Il faudra toutefois du temps, car les tortues ont une très longue espérance de vie et peu d'empressement à se reproduire... Source
  12. Nom scientifique : Ambystoma tigrinum Nom français : Salamandre tigrée Nom anglais : Tiger salamander Origine : Canada, États-Unis, Mexique Biotope : Humide Température : 15 à 26°C Hygrométrie : 70 à 80% Moeurs : Terrestre mais une partie aquatique est nécessaire! Taille adulte : 20 à 25 cm Longévité : Jusqu'à 20 ans Nourriture : Insectes Photo d'un Ambystoma tigrinum tigrinum prise sur google image. Voici une belle petite salamandre forte intéressante. Ce que j'aime des Ambystoma, c'est leur style relaxe qui te regarde la plupart du temps voulant dire hey là, qu'est-ce que tu me veux?
  13. Non aucune, c'était dans un animalerie à Granby. Ce n'était même pas prévue que je passe là mais bon.
  14. Salut à tous, Hier, j'ai vu dans un animalerie un pearl agama. Ce petit lézard me fait drôlement penser à un checkerboard agama ou un toad headed agama. Le hic, c'est que le commis pouvait me dire que le nom commun rien d'autre. J'ai tenté de faire une petite recherche sur google et ce nom commun ne me donne rien du tout, comme si ça n'existait pas. Si j'avais au moins pu savoir le nom scientifique ou son milieu d'origine, ça m'aurait amené au reste de l'information à savoir. Est-ce que ce nom pearl agama dit quelque chose à quelqu'un ici? C'est peut-être qu'un petit lézard à 30$ mais j'aime bien savoir ce que je ramènerais à la maison.
  15. Pour les amoureux des tortues, Carapassion va assurer des formations Cette année, Carapassion va organiser des formations pour l'obtention ... du certificat de capacité, nécessaire pour la détention de plus de six tortues terrestres adultes. « La plupart des espèces de tortues sont, en effet, menacées d'extinction, souligne le président de cette association peu ordinaire, Michel Louchart, Elles sont donc protégées et leur commerce est régi par des lois et des règlements. Avec des intervenants diplômés et expérimentés, nous allons donc organiser des cours sur les méthodes d'élevage, les soins de base, la manipulation des tortues, la réglementation... dans divers lieux et en fonction des demandes. » Carapassion regroupe 160 adhérents, répartis sur le Nord, le Pas-de-Calais, la Picardie, le Nord-Est, l'Île de France et la Belgique. L'association est affiliée à la Fédération francophone pour l'élevage et la protection des tortues qui va tenir son 2e congrès fédéral en juin, dans l'Hérault. Michel Louchart en est, d'ailleurs, le secrétaire-adjoint. OAS_AD('Position1'); Pas un jouet de gosse Le président tient aussi à rappeler que « Carapassion n'est pas une association de recueil de tortues. On nous confond trop souvent avec la SPA. Prendre une tortue ne doit pas être une passade. Quand on adopte une tortue, on s'engage à l'élever toute sa vie. Et la durée de vie d'une tortue aquatique est de 35 ans. Pour les tortues terrestres, elle est de 80 ans ! Une tortue n'est pas non plus un jouet de gosse. C'est un animal sauvage. Notre rôle est d'aider les particuliers. » Pour faire mieux connaître les tortues, Carapassion va organiser sa 3e exposition à Lambersart, le 28 mars. Ce sera salle Eugène-Duthoit. Il y avait eu 1 500 visiteurs lors des deux premiers rende-vous. Dimanche, la salle de la Raquette était ouverte au public pour faire admirer quelques beaux spécimens de tortues, et présenter du matériel d'élevage et des livres sur les reptiles et les tortues. Au cours de la dernière assemblée générale, le bureau a été renouvelé avec la nomination de Aude Bedkowski au poste de trésorière et de Maryline Delsol à celui de secrétaire. Junnes Chauvin a été nommé délégué aux manifestations du club. • A. V. (CLP) Contact : Tél : 06 12 21 63 52. Source
  16. Les tortues marines menacées par la pêche, la pollution et le réchauffement PARIS — Victimes des filets de pêche, des hameçons et de la pollution des océans, les tortues marines sont menacées à long terme par le réchauffement climatique, qui pourrait provoquer l'extinction des mâles. Le sexe des tortues marines, comme celui de nombreux reptiles, n'est pas déterminé génétiquement à la conception mais dépend de la température d'incubation des oeufs durant une période bien précise, correspondant au deuxième tiers du développement de l'embryon. "Au-dessus de 29 degrés, cela donne des femelles, et au-dessous, des mâles", a expliqué à l'AFP Jacques Fretey, qui codirige le groupe d'experts sur les tortues marines à l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN). "Avec le réchauffement climatique, on risque à coup sûr de se retrouver avec une féminisation des populations mondiales de tortues marines. Cela veut dire que les mâles vont disparaître", et avec eux les huit espèces encore présentes à la surface du globe, prédit l'expert. L'élévation du niveau des mers provoquera aussi l'inondation d'un grand nombre de plages qui servent de sites de ponte. A plus court terme, les tortues marines sont menacées par les grands filets dérivants et les hameçons utilisés notamment pour la pêche à la palangre du thon. Pour cette dernière technique, l'usage de hameçons rond permet toutefois de réduire les prises accidentelles. Une meilleure connaissance des routes migratoires de tortues, grâce notamment au suivi satellite des balises Argos implantées sur certains individus, pourrait aussi permettre la mise en place de zones protégées. "Ce sont tous les pays d'une région qui doivent s'impliquer, car ce sont des animaux migrateurs", souligne Douglas Hykle, qui dirige à Bangkok le secrétariat du Protocole d'accord pour la protection des tortues marines dans l'océan Indien (IOSEA), signé par 30 pays. Un problème tout aussi grave est celui de la pollution des océans par des déchets qui peuvent être transportés sur de très longues distances par les courants marins et s'accumuler en certains endroits. Les tortues "confondent les plastiques ou les polystyrènes avec leurs proies habituelles", relève M. Fretey. Ces proies, par exemple les méduses, dérivent et s'accumulent parfois aux mêmes endroits que les déchets, comme au large de Saint-Pierre-et-Miquelon. Au lieu de se nourrir, les tortues avalent des sacs, des emballages ou des préservatifs et meurent d'occlusion intestinale. A cause de leur vulnérabilité, "les tortues marines sont un bon bio-indicateur de la santé du milieu marin", souligne M. Fretey. Tous ces problèmes étaient abordés dans le cadre d'un colloque organisé de mercredi à vendredi au Muséum d'histoire naturelle à Paris, la France disposant grâce à ses dépendances ultramarines du deuxième espace maritime mondial et de l'un des plus grands espaces pour la reproduction de ces espèces menacées. Les tortues marines sont plus difficiles à observer et donc moins bien connues que leurs cousines terrestres, notamment en ce qui concerne leur longévité. On sait néanmoins qu'une espèce comme la tortue verte n'arrive à maturité sexuelle qu'à 50 ans. "Cela veut dire qu'il faut des milliers d'oeufs pour arriver à une tortue femelle qui va arriver à se reproduire", explique encore l'expert de l'UICN. Aussi, malgré des progrès très significatifs dans la lutte contre le braconnage et la mise en place de parcs marins, comme prochainement à Mayotte, la survie des tortues marines est loin d'être assurée. "On fait tout pour que ne soit pas un combat perdu d'avance, mais ce n'est pas facile", reconnaît M. Fretey. Source
  17. Pesticide à base de venin de scorpion On le sait, tous les scorpions sont venimeux. La plupart des espèces, toutefois, ont un venin inoffensif pour l'homme. Or certains scientifiques s'intéressent de près à la composition de ces venins. Il y a quelques mois de cela, une équipe de chercheurs chinois découvrait neuf peptides inconnus dans le venin des Euscorpiidae ; aujourd'hui, une équipe scientifique israélienne tente de cloner les gènes responsables de la production des toxines du venin. Leur recherche a donné des résultats plutôt probants : ils sont parvenus à produire et à manipuler les toxines en question dans des cultures de bactéries et ont découvert comment la structure moléculaire des toxines leur permet de se lier au système nerveux des arthropodes. Cette découverte pourrait, à terme, permettre à d'autres scientifiques de produire des pesticides capables de cibler et d'éliminer certains insectes nuisibles sans pour autant avoir d'impact négatif sur l'homme, sur l'environnement ou sur les autres animaux. Les chercheurs s'intéressent en particulier aux toxines de venin de scorpion biodégradables, afin de ne pas contaminer les sols, l'eau ou les végétaux eux-mêmes, comme le font les pesticides chimiques actuels. En effet, la plupart des scorpions possèdent un venin permettant de cibler quelques insectes en particulier et n'ayant aucun effet négatif sur les mammifères (humains compris) ou sur les insectes non-nuisibles, tels que les abeilles, par exemple. Source
  18. Ou c'est le photographe qui a de la misère? Il n'a pas l'air vieux du tout. Il fait quelle longueur déjà?
  19. La tortue marine, sentinelle tout-terrain de la biodiversité Les tortues marines sont des espèces capitales pour étudier la biodiversité : la variété de leurs conditions de vie, de leurs régimes alimentaires, de leurs types de reproduction en font de très bons indicateurs naturels de l'état des écosystèmes. Ces migratrices sont elles-mêmes menacées de disparition à plus ou moins long terme : même si leurs effectifs sont mal connus, elles paient un lourd tribut aux prélèvements sur les plages et par les filets de pêche, et leurs populations n'ont pas le temps de se reconstituer. De nouvelles techniques permettant d'étudier in situ ces animaux ont été présentées, jeudi 21 janvier, par Jean-Yves Georges, chercheur à l'Institut pluridisciplinaire Hubert-Curien de Strasbourg, lors du colloque organisé au Muséum national d'histoire naturelle et consacré aux tortues marines de France métropolitaine et d'outre-mer : on dénombre actuellement sept espèces de tortues marines sur les terres et mers sous juridiction française. "Bidouillage" Depuis les années 1990, les chercheurs utilisent les balises Argos pour suivre les mouvements de ces animaux. Mais de plus en plus se développent des techniques reliées au GPS. Le suivi des tortues caouannes a ainsi permis de définir des zones où la pêche devait être interdite, par exemple la baie de Laganas, en Méditerranée. Plus récemment, on a commencé à utiliser à grande échelle des systèmes de géopositionnement par la lumière : un petit appareil fixé à la tortue mesure la lumière à intervalles réguliers ; en connaissant les intensités lumineuses en chaque point du globe à chaque instant, on peut ainsi déterminer la position de l'animal. S'il est intéressant de décrire les voyages de l'animal, l'étude de son comportement l'est également, en particulier en relation avec les conditions du milieu. On utilise alors des capteurs de pression, qui montrent les mouvements de l'animal en plongée. Une technique plus surprenante consiste à fixer un aimant sur la peau, et un magnétomètre, qui mesure le champ magnétique de l'aimant, sur la carapace. On peut alors en déduire quand l'animal ouvre le bec, pour se nourrir : "Un travail de bidouillage", s'amuse Jean-Yves Georges. Plus perfectionnée, la "station inertielle 3D" compile un certain nombre de techniques : un capteur d'accélération trois axes, un gyroscope mesurant les rotations, et un magnétomètre qui, en donnant la position du Nord, permet d'orienter le trajet. Au total, on obtient la trajectoire complète de l'animal, grâce à un système déjà utilisé en médecine pour mesurer les efforts des athlètes. En prenant en compte les données issues des différentes méthodes - dont Jean-Yves Georges souligne qu'elles restent onéreuses -, on peut construire des modèles d'habitats, de migrations, de comportements des différentes espèces de tortues. Et, ainsi, effectuer des simulations de ce que seront leurs habitats dans cinquante ans, avec le réchauffement climatique. "S'il en reste", ponctue le chercheur. Agathe Chaigne Source
  20. J'ai reçu ça par email et je me suis dis que si tout ça est vrai, ça peut aider certains d'entre vous! Voici quelques petits trucs pouvant vous rendre service. 1- Mettez une guimauve miniature au fond d'un cornet pointu pour éviter les dégâts de crème glacée dégoulinante. 2- Placez une pomme dans un sac de pommes de terre pour éviter la pourriture. 3- Pour éviter que les coquilles d'œuf ne craquent, ajoutez une pincée de sel à votre eau bouillante.. 4- Avant de presser vos carrés de Rice Krispies dans le plat, mouillez vos mains à l'eau froide et les guimauves ne vous colleront pas aux mains. 5- Pour extraire tout le jus d'un citron, laissez-le à la température de la pièce et roulez-le fermement sur le comptoir avant de le presser. 6- Pour enlever aisément le brûlé au fond des casseroles, mettez une à deux gouttes de savon à vaisselle et assez d'eau pour couvrir le fond du chaudron. Ensuite, amenez-le tout à ébullition sur la cuisinière. 7- Enduisez vos Tupperware de «Spray» à cuisson antiadhésif avant d'y mettre vos sauces aux tomates ou à spaghetti, et ils ne resteront pas tachés. 8- Lorsqu'une recette vous demande d'enfariner un moule, mettez-y le mélange d'ingrédients secs de votre gâteau [au lieu de la farine]. Votre gâteau, une fois cuit, ne sera pas enduit d'une poudre blanche à l'extérieur. 9- Si vous avez accidentellement trop salé un plat, lorsqu'il est presque prêt, jetez-y une pomme de terre pelée et elle absorbera l'excédent de sel. 10- Emballez votre céleri dans un papier d'aluminium avant de le réfrigérer et il se conservera plus longtemps. 11- Placez une tranche de pomme dans la cassonade durcie et la cassonade ramollira. 12- Lorsque vous faites cuire votre maïs, mettez-y une pincée de sucre pour l'aider à extraire toutes ses saveurs naturellement douces et sucrées. 13- Pour savoir si un oeuf est encore frais, immergez-le dans l'eau tiède salée. S'il coule, il est frais. S'il demeure à la surface, il n'est plus bon. 14- Cure de maux de tête : couper une limette en deux et frottez-la sur votre front. Les élancements partiront. 15- Ne jetez pas vos restes de vin. Congelez-les dans des bacs à glaçons pour utilisation future dans vos recettes. 16- Si vous avez de la difficulté à ouvrir vos pots, mettez des gants de latex pour laver la vaisselle. Ça donne une prise moins glissante qui aide à ouvrir les couvercles. 17- Si vous êtes embêtés par les piqûres de moustiques, essayez d'appliquer du savon sur la piqûre. Cela vous soulagera instantanément. 18- Vous êtes envahis par les fourmis. On dit de ne jamais franchir une ligne tracée à la craie. Alors, dessinez sur votre plancher une ligne de craie où les fourmis ont tendance à marcher. Vous constaterez le résultat par vous-mêmes.. 19- Utilisez du désodorisant à salle de bains en aérosol pour laver vos miroirs. Ça fait un excellent travail et ça laisse une odeur agréable.
  21. Rien de mieux que le Reptile show pour vaincre son herpétophobie Pour vaincre la peur des serpents et connaître les dangers, Uschi Kallus, après un baccalauréat en biologie, a quitté son village de Krefeld, en Allemagne, pour créer avec Dieter Zorn un duo de présentateurs de reptiles et de crocodiles, allant de villes en villages, pour démystifier le monde fascinant dit "terrifiant" de serpents. Dieter, depuis plus de 25 ans, manipule ses animaux et les présente, l'un après l'autre, aux enfants et aux adultes. C'est ainsi que ce dimanche 17 janvier, à 16 h, au centre culturel de Lignan-sur- Orb, boa, pythons, couleuvres et un magnifique caïman appelé "Bango" ont été présentés aux Lignanais. Dieter a montré leur anatomie, leurs particularités, leur comportement et leurs réactions en cas de danger... mais aussi leur mode de vie. Au départ, les spectateurs juraient leurs grands dieux de ne pas les toucher mais, vers la fin du programme, certains enfants et adultes avaient de drôles de foulards autour du cou ! Et profitaient de contacts sympathiques avec ces animaux, afin d'éliminer certaines idées reçues à leur sujet. Un spectacle vraiment fascinant qui a enthousiasmé grands et petits. Source
  22. Nom scientifique : Ameiva ameiva Nom français : Ameiva commun Nom anglais : Forest runner lizard Origine : Nord de l'Amérique du sud Biotope : Semi-humide à humide Température : 29 à 32°C Hygrométrie : 60 à 80% Moeurs : Terrestre et diurne Taille adulte : 40 cm dont le 2/3 pour la queue Nourriture : Insectes J'ai décidé de vous présenter ce petit lézard à cause d'un fournisseur d'animalerie qui a causé de l'interrogation durant les deux dernières années. On m'a souvent demandé ce qu'était un forest runner lizard. Je répondais à ces mêmes personnes s'ils savaient ce qu'était un Ameiva. On me disait alors que oui. Je n'ai jamais compris le pourquoi de la question puisque souvent, ils avaient le lézard dans la face. Eh oui, il s'agit de la même chose. Un lézard facile de maintien mais fort rapide. À ne pas échapper dans la maison!
  23. Gabon : Une conférence sur les tortues marines s’ouvre jeudi à Port-Gentil LIBREVILLE, 20 janvier (Infosplusgabon) - Une conférence sur les tortues marines s’ouvre jeudi à l’Alliance Franco-Gabonaise de Port-Gentil et à l’initiative de l’Association H2O Gabon. Les tortues marines appartiennent à la famille des Chelonioidea. Elles sont présentes dans tous les océans du monde à l’exception de l’océan Arctique. Les plages gabonaises restent leur lieu prévilégié de reproduction. Les membres du Partenariat Tortues Marines du Gabon sont : Aventures Sans Frontières (ASF), Ibonga, Wildlife Conservation Society (WCS) et World Wildlife Fund (WWF). Ces associations collaborent avec les collectivités locales et des interlocuteurs du gouvernement, afin de quantifier leurs efforts afin qu’ils soient intégrés au sein des communautés et soutenus par les autorités pour être couronnés de succès. Ainsi, ce partenariat représente les efforts conjoints, d’expertise et d’initiative de la part de nombreux groupes et individus. Mais le résultat est plus que la somme de ses parties. La force de H2O Gabon et de ses partenaires repose sur la synergie entre coopération et collaboration pour un objectif commun et sur des bases d’une bonne communication et une transparence tout le long du processus. En 2002, le gouvernement gabonais a délimité 13 parcs nationaux, dont 2 destinés à préserver les plages importantes de nidification. Dans l’ensemble, il y a 5 parcs qui participent à la protection des habitats des tortues marines, à savoir : le Parc National de Pongara, le Parc National d’Akanda, le Parc National de Loango, le Complexe d’Aires Protégées de Gamba (comprenant le Parc National de Moukalaba-Doudou) et le Parc National Marin de Mayumba (bordant le Parc National congolais de Conkouati-Douli). Avec l’Agence Nationale des Parcs Nationaux (ANPN), s’est dévelopée une synergie encourageante mais aussi une adhésion avec les autres organismes gouvernementaux compétents dans le but de renforcer la protection des habitats des tortues marines et la législation. La Tortue Luth, une espèce légendaire La tortue luth est la plus grande, mesurant 2 m de long, de 1 m à 1,5 m de large et pesant 600 kg. La taille moyenne des autres espèces va de 50 cm à 1 m et est proportionnellement moins large. Ces espèces sont toutes vulnérables ou menacées. Elles font localement l’objet de protection ou de plan de restauration, mais la pollution, le braconnage et les prises accidentelles par engins de pêche restent des causes préoccupantes de recul de populations. Le Gabon abrite la population la plus importante de tortues luth au monde. Ce pays abrite également la plus grande densité de nidification en Afrique, et probablement, jusqu’à 30 % de la population totale de cette espèce en danger critique d’extinction. La tortue luth, ainsi que les autres espèces de tortues marines présentes au Gabon (tortues vertes, tortues imbriquées, tortues olivâtres) subissent continuellement des menaces. Les facteurs responsables sont : le braconnage des œufs et des individus adultes, la pêche intentionnelle ou accidentelle et la modification ou la dégradation des habitats (pollution, développement, érosion, lumières artificielles, débris et grumes). En 2005, nous avons créé le Partenariat Tortues Marines du Gabon, c’est-à-dire un réseau de tous les projets de protection des tortues marines au Gabon. Jusqu’alors, les efforts de conservation étaient isolés et entravés par le manque de coordination et de financements. À présent, grâce au partenariat, il a été possible d’identifier et d’aborder les principales priorités tant en recherche qu’en conservation au niveau national. H2O Gabon ambitionne de protéger ces reptiles menacés au Gabon et est déterminée à préserver le patrimoine naturel mondial. Un bel exemple qui mérite le soutien de la communauté internationale. FIN/IPG/ALN/2010 Copyright Infosplusgabon Association pour la Protection de la Nature et de l’Environnement B.P. 1991 Port-Gentil Tél. : 00 241 06 26 25 66 Courriel : h2ogabon@yahoo.fr Source
  24. Un colloque national pour la préservation des tortues marines Paris, France - Du 20 au 22 janvier, le Jardin des Plantes accueillera un colloque réunissant une centaine de spécialistes des tortues marines et d'acteurs engagés dans leur protection. Une première pour ces animaux classés par l’UICN sur la liste rouge des espèces menacées d’extinction. Les tortues marines comptent actuellement parmi les espèces les plus menacées du patrimoine naturel marin français. En effet, six des sept espèces sillonnant les océans de notre planète fréquentent les eaux territoriales françaises. Ces reptiles voient leur survie compromise, notamment en raison des captures accidentelles occasionnées par la pêche. Le colloque "Tortues marines en France métropolitaine et d’outre-mer" a pour but de développer une réflexion autour de cette problématique et des autres menaces qui pèsent sur la survie des tortues marines, afin d’engager de nouvelles mesures de conservation et de renforcer la coordination des actions menées. Malgré la protection dont les tortues marines font l’objet sur le territoire national, leur survie n’est pourtant pas assurée, notamment en raison des activités humaines. Aussi, dans le cadre de l’Année mondiale de la Biodiversité, ce colloque cherchera à harmoniser les méthodes actuelles de recueil et d’analyse de données, tout en définissant de nouveaux thèmes prioritaires d’action et de recherche pour la conservation de ces espèces. A noter également, l’organisation d’une journée thématique consacrée aux tortues marines le samedi 23 janvier 2010, dans l’auditorium de la Grande Galerie de l’Evolution. Ouverte au grand public sur réservation préalable, elle permettra d’en apprendre plus sur la diversité des tortues, leur cycle de vie, de préciser les menaces qui pèsent actuellement sur elles, tout en détaillant les mesures de sauvegarde déjà en place. La journée sera ponctuée par diverses interventions, et se clôturera par un film-débat en présence de l’ensemble des intervenants. Source
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