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Max|mum-leterrarium

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Tout ce qui a été posté par Max|mum-leterrarium

  1. Chasser les humains pour sauver les tortues géantes Face à la croissance des villes aux Galápagos, les autorités locales veulent limiter le nombre de résidents. De Puerto Ayora (îles Galápagos) Les monceaux d’ordures qu’on voit aux abords de cette ville des Galápagos, à 1 000 kilomètres au large de l’Equateur, en sont la preuve éclatante. S’il y a une espèce qui prolifère sur ce fragile archipel du Pacifique, c’est l’homme. Les minuscules pinsons des Galápagos, qui ont joué un si grand rôle dans l’élaboration par Darwin de la théorie de l’évolution, volettent autour de la décharge. Celle-ci est alimentée par une ville en pleine croissance, où viennent s’entasser des Equatoriens venus travailler dans le tourisme, secteur florissant dans l’archipel. La population humaine des Galápagos a doublé au cours de la dernière décennie, atteignant aujourd’hui 30 000 habitants, au grand dam des écologistes. Ceux-ci mettent en avant les dégâts déjà causés à un écosystème qui a permis aux plus célèbres habitants de ces îles – notamment les tortues géantes et les fous à pieds bleus – d’évoluer dans l’isolement avant que les continentaux ne commencent à les coloniser, il y a plus d’un siècle. Cette hausse de la population humaine représente une telle menace pour l’environnement que les autorités, pourtant attachées à la croissance du secteur touristique, ont expulsé plus de 1 000 Equatoriens pauvres dans l’année écoulée et s’apprêtent à en expulser encore bien davantage. Ces gens sont pourtant convaincus, à juste titre, d’être chez eux dans cette province équatorienne. En limitant la population, les pouvoirs publics espèrent préserver les merveilles naturelles dont dépend l’un des secteurs les plus rentables de l’Equateur : le tourisme. Mais ces mesures provoquent un tollé parmi des immigrés peu qualifiés, qui se disent pénalisés tandis que le pays continue de récolter les millions de dollars que les touristes apportent en Equateur, l’un des pays les plus pauvres d’Amérique du Sud. “Une tortue qu’un riche étranger va photographier vaut plus qu’un citoyen équatorien, voilà le message”, s’insurge María Mariana de Reina Bustos, une immigrante d’Ambato, dans la vallée andine centrale de l’Equateur, dont la fille de 22 ans, Olga, a été récemment prise dans une rafle de la police, près du bidonville de La Cascada dans les Galápagos, et renvoyée en avion sur le continent. Les premiers colons équatoriens sont venus sur l’archipel pour vivre de la pêche, de l’élevage et de l’agriculture. Aujourd’hui, la plupart de ceux qui font le saut de puce en avion depuis Quito, la capitale de l’Equateur, ou qui viennent clandestinement sur l’île en bateau, sont attirés par les salaires relativement élevés qu’ils peuvent gagner comme chauffeurs de taxi, femmes de chambre dans les hôtels ou employés dans l’administration des îles. La police multiplie les contrôles d’identité Pendant plusieurs décennies, les dirigeants du pays n’ont guère empêché les gens de se rendre sur l’archipel, à la fois pour développer le tourisme et pour s’assurer que l’Etat équatorien avait une présence parmi les pionniers. Il semblait y avoir une limite naturelle à la croissance démographique : le pays avait fait en sorte que 97 % du territoire de l’archipel soient classés comme parc naturel. Mais, ces dernières années, à mesure que le tourisme et l’immigration ont pris de l’ampleur, les milieux scientifiques et écologistes, tant sur l’archipel qu’à l’étranger, ont commencé à tirer la sonnette d’alarme. En 2007, les Nations unies ont inscrit les îles Galápagos sur la liste du patrimoine mondial en péril. Des scientifiques locaux ont af­firmé que la population avait déjà fait des dégâts importants : marées noires, braconnage de tortues géantes et de requins, introduction d’espèces invasives – notamment rats, bétail et fourmis rouges. Même le fait, apparemment bénin, de posséder un animal domestique peut avoir ici d’énormes conséquences. “Les gens amènent leurs chats, qui représentent une menace pour des espèces qu’on ne trouve nulle part ailleurs dans le monde”, note Fernando Ortiz, coordinateur du programme Galápagos pour Conservation International. Le conflit est inscrit dans les règles mêmes qui ont permis aux Galápagos d’être colonisées, malgré un manque d’eau douce dans l’archipel. En principe, la résidence n’est accordée qu’à un nombre limité de personnes : les personnes nées là et leurs conjoints, celles arrivées avant 1998 et les titulaires de permis de travail. La police, appelée en argot local la migra, à cause de son rôle dans la poursuite des immigrants illégaux, multiplie les contrôles d’identité à travers les îles. Mais le même gouvernement qui procède aux expulsions octroie aussi des subventions aux habitants de l’archipel. Ainsi, l’essence coûte à peu près le même prix que sur le continent. Une autre subvention permet aux résidents de voyager en avion entre les îles ou vers Quito pour moins cher que ce qu’il en coûte aux étrangers. Et il y a de nombreuses façons de détourner la loi. Par exemple, il existe aujourd’hui un marché noir florissant du droit de résidence – par le biais de mariages blancs entre migrants et résidents légalement installés. Dans les rues de Puerto Ayora, des discothèques, des étals de nourriture, des boutiques de souvenirs attirent le chaland. A la périphérie, un panneau publicitaire affiche un portrait de Leopoldo Bucheli, maire fa­vorable au développement, vantant un projet nommé El Mirador, qui déblaie une zone des abords de la ville afin d’y construire 1 000 nouveaux logements. “Tout ce que nous voulons, comme tout le monde sur cette planète, c’est vivre décemment”, affirme Yonni Mantuano. Il a acheté un terrain pour y faire construire un logement à El Mirador. Il est à la tête du syndicat des enseignants des Galápagos, dont les 600 membres ont protesté contre une nouvelle tentative du gouvernement de limiter les subventions : une réduction de leur prime sur le coût de la vie, mesure décidée cette année. La conception assez schizophrène qu’a le gouvernement de la vie sur l’archipel se reflète dans les sentiments de la population. Margarita Masaquiza, 45 ans, une Indienne des hauts plateaux d’Equateur, est arrivée ici à l’âge de 14 ans. Elle est excédée par les expulsions. “Nous avons construit cette province de nos mains, fait-elle valoir. Alors, évidemment, ça nous fait de la peine de voir nos concitoyens expulsés comme des animaux. Après tout, nous sommes des Indiens équatoriens. Comment peut-on être des clandestins dans notre propre pays ?” Mais, quand on lui demande comment ses quatre enfants et ses quatre petits-enfants vivent la présence des nouveaux migrants, Margarita Masaquiza change de discours. “Nous devons préserver les débouchés pour nos familles”, lance-t-elle. L’homme a déjà perturbé la vie sur ces îles La plupart des habitants des Galápagos vivent à San Cristóbal et à Santa Cruz, dont Puerto Ayora est la ville principale. D’autres zones de l’archipel sont également en cours d’aménagement. Isabela, la plus grande île, offre un aperçu du “Far West” des Galápagos. Puerto Villamil en est le chef-lieu. Des manœuvres travaillent fiévreusement à la cons­truction de deux cents nouveaux logements en parpaings, à la périphérie de la ville. Seules quelque deux mille personnes vivent dans l’agglomération, mais celle-ci compte l’un des taux de croissance démographique les plus élevés des îles Galápagos : environ 9 % par an. “Je gagne 1 200 dollars par mois ici, alors que je n’en gagnerais pas plus de 500 sur le continent”, assure Bolívar Buri, 26 ans. Cet ouvrier du bâtiment né à Puerto Villamil a gagné une petite fortune cette année en revendant 8 000 dollars [5 358 euros] une parcelle qu’il avait acquise pour 600 dollars il y a six ans. Mais, même dans les zones les moins défigurées de l’archipel, il ne fait guère de doute que l’intrusion de l’homme a perturbé la vie sur ces îles qui charmèrent Darwin. Sur la route qui relie Puerto Villamil au cratère noyé de brume du volcan Sierra Negra, des chasseurs fouillent la forêt à la recherche de cochons sauvages, une espèce introduite par des marins il y a plus d’un siècle. Dans le ciel volent des hérons garde-bœufs, une autre espèce introduite. Manuel López, un éleveur de 36 ans émigré du continent et qui élève son troupeau au pied du volcan, émerge d’une épaisse forêt de goyaviers. Après un silence, plissant les yeux sous le soleil équatorial, il lance : “Si Dieu le veut, je suis sur cette île pour y rester.” Puis il ajoute : “Si nous sommes aux Galápagos, c’est qu’il y a une raison”, et prend le visiteur à témoin : “Oui ou non ?” Source
  2. Oui c'est sur. Je lui en ai déjà même parlé pour l'avoir dans des expositions. On m'avait contacté pour m'amené un iguane abandonné dernièrement mais je n'en ai jamais eu de nouvelles par la suite. J'étais déçu mais je peux en voir un chaque semaine pareil. J'aimerais bien m'en acheter un mais si je regarde l'espace qui me reste chez moi... c'est mon lit. Et en passant, tu me contacteras pour en fds kryzee. J'ai scrapé mon cellulaire dernièrement donc je n'ai plus le numéro de personne. J'ai cependant acheté un nouveau cellulaire donc si tu préfères m'appeller. Je n'étais plus certain d'aller au show de reptiles à Pointe-Claire mais si je veux voir certaines personnes, je n'ai pas le choix d'y aller.
  3. Le python de Montech trainé devant la justice civile Le python de Montech qui, durant cet été, a semé la discorde dans un appartement rénové de Montech n'arrive pas à se faire oublier. Le 12 novembre prochain son propriétaire comparaitra devant le tribunal civil de Montauban. Au début de l'été, alors qu'il nettoyait son vivarium, ce jeune homme, installé dans un appartement situé au cœur d'une demeure entièrement rénovée de Montech, a vu son serpent prendre la tangente. Ce python femelle a profité d'un trou dans un faux mur pour se faire la belle. Depuis, plus de nouvelle. Mais un beau jour, le voisin de palier s'est trouvé nez à nez avec la bête alors qu'il allait prendre sa douche. De quoi le chagriner, puisque serpent du matin, chagrin. Très vite pompiers, services de la ville, vétérinaires , gendarmes et autres spécialistes se sont rendus dans l'appartement pour mettre la main sur l'indésirable. En vain. Préven us les services de la justice s'en sont également mélés...Sans pour autant faire réapparaitre cet animal qui ne figure pas sur la liste des animaux classés dangereux. Le 12 novembre, le tribunal civil examinera la responsabilité du jeune propriétaire dans ce lâcher involontaire de serpent. Un python qui, pendant ce temps, devrait dormir tranquillement niché dans la laine de verre. S'il est toujours en vie. Source
  4. Python Royal, le Dieu Serpent Kossivi s'est entièrement rasé la tête et le corps. Il a acheté un coq et une bouteille d'huile de palme. Drapé dans son pagne, il entame une cérémonie de purification. Ce rite vaudou, il le réalise en l'honneur d'un dieu très particulier : le python royal. En Afrique de l'Ouest, du Bénin au Ghana, le Python Royal (python régius) est sacré pour certaines ethnies. Il est interdit de le chasser car sa mort est considérée comme le vecteur de nombreux malheurs. Si on tue accidentellement un Python Royal ou si on croise son cadavre dans la brousse, on doit le recouvrir et procéder à d'importantes cérémonies. Au Bénin, dans la ville de Ouidah, un temple lui est entièrement dédié et un grand prêtre y officie. Une fois l'an une fête lui est consacrée. Sa présence dans les maisons est une bénédiction. Animaux peu populaires dans le monde occidental, les serpents sont aussi les plus méconnus des reptiles. Tous les serpents sont quasiment sourds, mais perçoivent les vibrations du sol. Ils n'ont pas de paupière mais leur oeil est toutefois recouvert d'une écaille transparente. Exclusivement carnivores, avec un métabolisme lent, ils ont des besoins alimentaires faibles. Le python royal fait partie des boïdés. Les plus grands serpents sont issus de cette famille (boïdés). Les dangers liés aux grands pythons (Seba) sont largement exagérés. L'homme n'est pas une proie pour ces animaux. Comment ce petit serpent est-il devenu un quasi dieu dans cette région de l'Afrique ? Personne ne le sait vraiment. Pour certains il est celui qui a mené ce groupe ethnique vers sa résidence actuelle (malmenée depuis par le découpage frontalier de la colonisation), pour d'autres il est la réincarnation des ancêtres, pour d'autres encore il doit ce respect à sa capacité d'éradiquer les rongeurs dans les champs. Python royal, malgré son nom est un serpent de petite taille (150cm à 180cm) et semble presque nain comparé au Python de seba qui, lui, peut atteindre les 7 métres de longueur. Il a un corps massif et très musclé. Il est reconnaissable à sa livrée brun-chocolat marquée de larges tâches beige. Python royal est nocturne. Le jour il se camoufle dans des cavités naturelles, des troncs pourrissants, sous de vieilles souches ou encore à l'intérieur de termitières. La nuit tombée, il hante la brousse et les champs à la recherche de petits rongeurs. Python Royal est très polyvalent, il sait nager et grimper aux arbres. Il apprécie la proximité de l'homme et notamment de ses activités agricoles. En cas de danger, il se met immédiatement en boule, protégeant sa tête. Cette attitude de défense lui a valu le nom de serpent boule ou ball python (en anglais). Python Royal est ovipare, la femelle pond une fois l'an entre 6 et 15 oeufs. Contrairement à la plupart des serpents, elle n'abandonne pas sa ponte. Elle va se lover autour et par micro ondulations maintenir la température des oeufs. Python Royal est également l'un de ces Nouveaux Animaux de Compagnie ( NAC ) très apprécié des terrariophiles. Ceux que l'on trouve dans les animaleries proviennent d'élevages en captivité ou en ranching. Le ranching est une méthode d'élevage qui permet de faire participer la population rurale aux bénéfices du commerce des animaux vivants. L'état octroi aux fermes d'élevages une vaste zone qu'elles vont co-gérer avec la population et les gardes forestiers. Après l'accouplement ou la ponte, la ferme responsable de sa zone va y prélever suivant un cahier des charges très stricte le nombre de femelles gravides ou de tailles de pontes nécessaire à ses besoins. Après la ponte ou l'éclosion, toutes les femelles ainsi que 20% des jeunes sont relâchés sur la zone afin de péréniser l'espèce. Une partie des bénéfices de la vente revient à la population sous forme d'aides directes : construction ou rénovation d'écoles, création de puits, écolages pour les enfants etc... EF. Source
  5. Le 11 octobre a été la sortie qu'on a fait au cinézoo même si pas grand monde du forum est venu. Je voulais juste montrer des photos qui m'ont impressionné. Tout le monde sait que Majesty a peur de presque tout, elle a prit des animaux. Regardez moi ça! Tout d'abord, une grosse tortue Et le plus impressionnant, c'est qu'elle a même prit un oiseau! Je suis fier de toi! Dire que quand je t'ai connu, il n'aurait même pas été question de même les toucher!
  6. Eh non, n'allez pas croire que c'est de ma faute si elle a maintenant un iguane. C'est le cinézoo qui l'a reçu en don et comme elle habite sur place, elle en a hérité dans sa chambre. C'est un gros mâle d'un an à peine donc le monsieur va encore grossir pas mal. Il était nerveux mais je le manipule, j'ai les preuves sur les bras et les mains. Voici quelques photos d'Émile le reptile comme dirait Sabrina!
  7. C'est le grand retour du reptile expo de Pointe-Claire cette fin de semaine.
  8. Centre de Foires de Québec (ExpoCité), 250 boulevard Wilfrid-Hamel Samedi 24 octobre 2009 : 10 h à 22 h Dimanche 25 octobre 2009 : 10 h à 17 h PRIX D’ENTRÉE : Adultes : 10.00 $ Âge d’or et étudiants : 8.00 $ Enfants de 5 à 11 ans : 7.00 $ Enfants de moins de 5 ans : Gratuit En exclusivité à Québec : Une compétition canine comportant plus de 400 chiens et organisée par le « Mouvement Canin Québécois » permettra de voir quelques-uns des plus beaux chiens en Amérique compétitionner autant en obéissance qu’en conformation ! À ne pas manquer ! Il y aura aussi une exposition féline en conformation, avec plus de 100 chats sur place. Des milliers d'animaux (lapins, rongeurs, poissons, oiseaux) Enfin, vous pourrez assister à une compétition nationale d’agilité organisée à l’intérieur ! http://www.snac.ca/
  9. Lille : une mygale au marché de Wazemmes Dimanche matin, sur le marché de Wazemmes, à Lille, un maraîcher a eu la désagréable surprise de découvrir une mygale dans un carton de bananes importées du Pérou. Un témoin évoque une araignée "grosse comme le poing, avec des pattes velues aussi grosses que des doigts". "Quand j'étais petit, et que j'aidais mon père sur les marchés, j'avais entendu une histoire de Pierre Bellemare qui parlait d'une mygale qu'on trouve dans un carton de bananes, raconte ce Lillois, habitué du marché de Wazemmes. Ça m'a fait peur pendant des années, et là, l'histoire est devenue réalité..." Lors du déballage de ses produits, dimanche dernier, son oncle, qui vend des fruits et légumes chaque semaine sur le marché de Wazemmes, a en effet trouvé rien de moins qu'une mygale au milieu d'un carton contenant des bananes importées du Pérou. « Elle était énorme, plus grosse que mon poing. Ses pattes étaient velues et de la taille de mes doigts... On se demande bien comment elle a pu survivre jusqu'ici." La frayeur initiale passée, le maraîcher a confiné l'araignée dans un carton. De nombreux passants ont pu admirer la bête, mi-affolés, mi-curieux de voir à quoi ressemblent ces fameux insectes poilus qui nous font frissonner de peur. Finalement, c'est un habitant du quartier, passionné et collectionneur d'animaux exotiques, qui a récupéré la mygale. La police et les pompiers n'ont donc pas été alertés. B.R. Source
  10. Un python royal dans la cuvette des toilettes à Richterswil Un policier a découvert un python royal dans la cuvette des toilettes de son appartement à Richterswil (ZH). Le serpent non venimeux, qui appartient au voisin du policier, s'est glissé dans l'appartement du fonctionnaire en passant par les tuyaux d'aération. Lorsqu'il a découvert l'animal, le policier a pris une photographie et l'a envoyée à un collègue de la police cantonale spécialiste des serpents. Celui-ci a pu déterminer qu'il s'agissait d'un python royal non venimeux. (ats / 16 octobre 2009 11:34) Source
  11. Vers la réglementation de la collecte de scorpions destinée à la préparation du sérum anti-venin Une série de dispositions devra être mise en place pour réglementer la collecte des scorpions destinée à la préparation du sérum anti-venin, a indiqué jeudi à El-Oued le directeur de la prévention au ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière. Des textes réglementaires pour organiser l'activité sont en préparation, en coordination avec les ministères des Finances et de l'Intérieur et des collectivités locales, a précisé M. Mohamed Ouahdi lors de la clôture du second colloque sur l'envenimation due aux piqûres de scorpions. Ces textes consistent en des instructions émanant des trois ministères (Santé/ intérieur/ finances) et liées aux modalités de collecte, moyennant paiement, de l'insecte pour l'extraction de son venin aux fins de préparation du sérum et à la fixation des frais d'achat de l'insecte, et ce en prévision de la généralisation de l'opération de collecte dans les wilayas concernées par le fléau de l'envenimation scorpionique, a expliqué le même responsable. Les travaux de la rencontre scientifique de deux jours a été marquée par la présentation de communications afférentes aux voies et moyens de prévention contre le scorpion, à la prise en charge des victimes, au développement du sérum anti-venin. Initiée par le centre national de toxicologie avec le concours de l'association algérienne de toxicologie, la rencontre a vu la participation de près de 200 experts, praticiens et réanimateurs algériens, tunisiens et marocains. Source
  12. Sinon, il y a toujours la compagnie Zoomed qui vend un produit du nom de Mite off.
  13. La tortue Vétyver entame son périple Dans le cadre d'un programme associant Kélonia, l'Ifremer et les pêcheurs de la Réunion, une tortue caouanne surnommé Vétyver a été relâchée hier matin sous l'oeil bienveillant de ses parrains et marraines, les enfants de l'école primaire de Stella à Piton Saint-Leu. Elle est équipée d'une balise Argos, les informations récoltées sur son trajet migratoire et son profil de plongée seront analysées et comparées à celles d'autres tortues relâchées précédemment. Pour le moment, le comportement est conforme aux prévisions. Vétyver part vers le large (stage pélagique) et se trouvait hier à 9h00 sur des fonds de plus de 1000m. Source
  14. Le trafic de tortues s’accentue Alerte au parc national de la baie de Baly, dans le district de Soalala. Les tortues à éperons, ou angonoky, sont en voie de disparition. Non seulement à cause des feux de brousse mais surtout en raison de trafics au niveau national et même international. Une tortue est écoulée à 10 000 euros la pièce à l’étranger, si elle est achetée à 30 000 ariary sur place. Ce qui favorise le trafic de cette espèce endémique rare à Madagascar. Lors de la 3è édition du festival culturel Angonoky, les 26 et 27 Septembre à Soalala, le chef de la région Boeny, Jean Christophe Noël Rasoloniaina, a rappelé que l’existence de l’angonoky fait la fierté du région Boeny et de tout Madagascar. «Les trafiquants sont déjà plus ou moins identifiés, parmi lesquels des noms d’élus locaux sont mentionnés. Des sanctions sévères et des opérations d’envergure, telles que la mise en place d’un task force analogue à celui qui lutte contre le trafic de bois précieux dans la SAVA, seront bientôt mises en œuvre», a averti le chef de région. Source
  15. Tu choisis entre le crocodile et moi coco! Une Australienne, Vicki Lowing, raconte dans le Telegraph qu'elle a divorcé de son mari, après que ce dernier lui a demandé de renoncer à son crocodile, animal de compagnie. Johnie, c'est le nom du reptile, est "comme un enfant" pour elle... Mme Lowing, 52 ans, qui a élevé à la main son croco depuis 13 ans, déclare qu'il dort même dans le lit de leur fils. En 2005, son mari, Greg, estime qu'elle passe trop de temps avec l'animal et lui demande d'y renoncer dans le but de sauver leur mariage, mais elle refuse et le couple divorce. Et puis c'est tout! Oui je sais la fin n'est pas super, il n'y a pas de sang, ou le mari qui se bat contre le croco, perd une main, mais je n'ai pas le droit d'inventer une meilleure fin quand on relate des faits authentiques. (Source: Telegraph) Source
  16. Un nouveau reptile volant découvert Une nouvelle espèce de reptiles volants a été découverte en Chine par une équipe américano-chinoise de paléontologues. Ce ptérosaure a été nommé Darwinopterus en l'honneur de l'évolutionniste Charles Darwin, né il y a 200 ans, qui avait publié il y a 150 ans son oeuvre majeure, L'Origine des espèces. Lien manquant? Les ptérosaures vivaient il y a 65 à 220 millions d'années. À ce jour, les paléontologues avaient décrit uniquement deux types distincts de ces animaux: les plus primitifs et les plus évolués. Il manquait toutefois une période évolutive pour laquelle les chercheurs ne possédaient pas de fossiles. Pas moins de 20 squelettes fossilisés d'une nouvelle espèce ont été découverts dans des roches vieilles de quelque 160 millions d'années dans le nord-est de la Chine. Les ossements présentent des similarités avec les deux types de ptérosaures connus. Le Darwinopterus pourrait ainsi être un lien intermédiaire entre les ptérosaures à longue queue, appelés ptérodactyles, et leurs descendants, dont la queue était plus courte et qui avaient des capacités de vol plus sophistiquées tout en pouvant atteindre des tailles parfois gigantesques. Les chercheurs sont toutefois surpris par les caractéristiques physiques de ce chaînon manquant. Ils pensaient qu'il présenterait des traits intermédiaires, tels qu'une queue modérément allongée. Ce qui est étrange avec le Darwinopterus, c'est qu'il a une tête et un cou comme ceux des ptérosaures évolués, alors que le reste de son squelette, y compris sa très longue queue, est identique à ceux des formes primitives. — David Unwin, Université de Leicester À ce jour, les chercheurs pensaient que, lors de l'évolution des ptérosaures, la tête et le cou changeaient d'abord, et le corps, la queue, les ailes et les pattes ensuite. Le détail de ces travaux est publié dans les Proceedings of the Royal Society B. En septembre dernier, un deuxième fossile du Anchiornis huxleyi avait été mis au jour dans la formation jurassique de Tiaojishan, dans le nord-est de la Chine. Le Darwinopterus a vécu au moins 10 millions d'années avant l'Archaeopteryx, considéré comme le premier oiseau. Source
  17. Pourquoi les tortues ont-elles des carapaces ? Elles sont le seul exemple, passé ou présent, d'animal entièrement enfermé dans une carapace osseuse extérieure. Cher Jean de La Fontaine et cher Charles Darwin, vous avez eu bien raison de vous intéresser, chacun à votre manière, aux tortues. Jean de La Fontaine pour lui avoir opposé le lièvre, et avoir donné la victoire à (prétendument) la plus lente. Charles Darwin pour les avoir chevauchées, mangées et jeté leurs carcasses à la mer (et plus tard de l'avoir amèrement regretté) lors de son mythique voyage, en 1835, sur le Beagle aux îles Galapagos. Les tortues sont vraiment à la croisée de tous les chemins de l'évolution et présentent des caractéristiques proprement renversantes. Et elles sont le seul exemple, passé ou présent, d'animal entièrement enfermé dans une carapace osseuse extérieure. 300 millions d'années Au temps des dinosaures se déplaçaient déjà les ancêtres des tortues : on estime qu'elles sont apparues il y a 300 millions d'années. Ce sont les plus anciens reptiles vivants. Certaines sont terrestres, d'au­tres marines, en mer ou en eau douce. Il y a aujourd'hui 300 espèces de tortues qui peuvent être herbivores, carnivores ou omnivores. Elles s'appellent «plate », «franche», «boîte», «olivâtre», «har­­­gneuse», «alligator»… Elles peuvent être toutes petites, quelques centimètres (une quinzaine pour la tortue d'Hermann, seule tortue terrestre indigène en France) jusqu'à plus de 2 mètres et presque une tonne pour la tortue luth qui elle est marine. Et elles sont réputées vivre des dizaines d'années, quelques cas documentés ayant même dépassé les 100 ans. Les tortues sont des vertébrés tétrapodes : elles ont un squelette osseux et quatre membres. Au stade d'embryon, une tortue ressemble comme deux gouttes d'eau à un embryon d'oiseau, de souris ou même d'humain : grosse tête, petits membres, longue colonne vertébrale… C'est après que tout va changer. L'embryon de tortue va subir plusieurs repliements, comme dans un origami. Ainsi, la carapace dorsale est en fait l'équivalent de notre cage thoracique mais dont les côtes se seraient déployées vers l'arrière avant de fusionner entre elles. Mais d'autres mo­difications sont né­cessaires pour que dame tortue soit à l'aise dans sa maison protectrice. Ainsi de l'é­paule qui a dû être transférée à l'in­térieur des côtes alors que chez les autres vertébrés, l'omoplate est à l'extérieur. De même pour le bassin qui bascule vers l'avant, et constituera l'une des pièces du plastron, protection, un peu moins épaisse que la carapace, du ventre de la tortue. Et il faut qu'elle puisse se cacher complètement dans sa maison. D'où des modifications dans la longueur et la forme des os, dans les articulations et dans les attaches musculaires afin qu'elle puisse se déplacer et, surtout, rétracter complètement ses pattes et sa tête à l'intérieur de sa forteresse. Il y a quelques exceptions, comme la tortue luth qui ne peut le faire : c'est le prix à payer pour avoir développé d'exceptionnelles qualités de nageuse. Et elle, dans l'eau, peut se mettre sur le dos. Source
  18. Nouvelle espèce de serpent Des scientifiques russes et vietnamiens viennent de découvrir une nouvelle espèce de serpent dans la forêt de Lôc Bac, province de Lâm Dông (hauts plateaux du Centre). Portant le nom latin de Coluberoelaps, ce reptile ressemble à la fois à un mocassin et à une couleuvre : tête et yeux très petits, absence de crochets comme de venin mais 14 dents sur la mâchoire supérieure. Source
  19. C,est vrai que c'est des belles bêtes!
  20. Une trace fossile vieille de 500 millions d'années Le Complexe archéologique de Pointe-du-Buisson inaugure un nouvel espace paléontologique mettant en vedette une trace fossile vieille de 500 millions d'années, qui a été trouvée récemment dans la région de Beauharnois. Il s'agit de la plus importante trace d'invertébré au monde. Exposée dans une verrière à l'entrée du centre d'interprétation, la trace fossile large de 35 cm est l'empreinte d'une limace d'une longueur estimée à 80 cm. Elle a été découverte par le paléontologue Pierre Groulx, un collaborateur régulier de Pointe-du-Buisson, dans une carrière des environs.Les scientifiques pensent que les invertébrés comme celui-ci furent la première forme de vie à coloniser la terre ferme. «Il faut rappeler qu'à l'époque du cambrien, avant l'arrivée des dinosaures, la terre était désertique et sans vie. On pense que les invertébrés furent les premiers animaux à s'aventurer hors de l'eau», explique Alessandro Cassa, directeur général du complexe. Servant à protéger cette pierre exceptionnelle, le nouvel espace paléontologique renferme également un autre bloc de pierre pesant trois tonnes contenant les fossiles d'une trentaine d'arthropodes primitifs, des espèces ressemblant à des scorpions. «C'est la plus grande concentration de fossiles de cette époque au monde», dit M. Cassa. Neuf panneaux explicatifs permettent de comprendre l'importance et l'intérêt de ces découvertes. L'idéal est cependant de profiter des capsules d'information fournies par les guides-animateurs. De la paléontologie à l'archéologie Cette nouvelle exposition s'ajoute à l'offre muséologique du parc de la Pointe-du-Buisson, l'un des sites archéologiques les plus importants du nord-est de l'Amérique du Nord. Réalisées depuis 1965, les fouilles archéologiques à cet endroit ont permis de mettre à jour plus de 2 millions d'artefacts. «Située à la jonction de la rivière des Outaouais et du fleuve Saint-Laurent, la Pointe-du-Buisson est un havre naturel occupé de façon continue depuis plus de 5000 ans», affirme Amélie Sénécal, responsable de l'archéologie et des expositions. Même le sieur de Frontenac y aurait séjourné. Un laboratoire, où l'on met à la disposition du public plus de 4000 artefacts, un pavillon d'interprétation sur la pêche et des sentiers pédestres permettent d'en apprendre davantage sur les premiers occupants du territoire. En été, les familles peuvent même participer à des fouilles archéologiques. Les visiteurs ont jusqu'au 25 octobre pour voir en primeur l'exposition paléontologique Des empreintes plus grandes que nature. Ensuite, le Complexe archéologique de la Pointe-du-Buisson fermera ses portes jusqu'au printemps prochain. www.pointedubuisson.com Source
  21. Yannick aussi voudrait te souhaiter bonne fête dans ton lit, il t'a cherché partout pour te donner tes becs déjà! Bonne fête!
  22. Des tortues de Floride « nichent » à Deville Jocelyne et Jean-Claude Veiler n'en sont pas encore revenus. Récemment, alors qu'ils effectuaient une balade à vélo sur la Voie verte, ils ont été surpris de voir quatre grosses tortues dans un marécage sur un tronc d'arbre immergé situé dans un bras d'eau à droite du chemin de halage. «ON roulait tranquillement entre l'écluse de Deville et la Petite Commune et on était arrivés entre les points 53 et 54. Les quatre tortues avaient la taille d'une grosse assiette. Elles étaient environ à une quinzaine de mètres du bord. Au départ, j'ai cru que je rêvais mais ma femme m'a confirmé cette vision. Etant observateur de nature, j'ai sorti les jumelles et l'appareil photo qui étaient enfouis dans mon sac à dos. C'est comme ça que j'ai vu qu'elles étaient de couleur jaune et noir avec, pour une d'elles, une tâche rougeâtre sur la tempe ». Pas du tout apeurées par une présence humaine, les tortues semblaient se dorer au soleil. « Bien que méfiantes, elles n'ont pas bougé d'un pouce ». Après avoir effectué quelques zooms pour garder quelques traces de ce moment rare, Jean-Claude et son épouse, tous deux retraités, vont mener des recherches pour en connaître plus sur cette espèce et savoir comment elles avaient pu parvenir dans la Vallée de la Meuse. De retour à Ville-sur-Lumes, ils planchent sur Internet. « Un réel danger pour l'écosystème » « Au départ, je pensais qu'il s'agissait de tortues de Californie mais en fait c'était une erreur. Après plusieurs recoupements, j'ai découvert qu'il s'agissait de tortues de Floride. La ressemblance était, cette fois, frappante. Et je me suis alors rappelé en avoir vu, étant jeune, mises en vente dans des jardineries alors qu'elles étaient grosses comme des pièces de monnaie ». Le problème c'est que ces petites bêtes, minuscules à l'origine, grossissent très vite au point de pouvoir atteindre un poids de 1 à 2 kg et une taille de 15 à 20 centimètres. Certains spécimens pouvant aller jusqu'à 40 centimètres. Ils n'ont plus alors l'aquarium adapté. C'est le moment où elles deviennent hargneuses. Autant de raisons qui obligent les acheteurs à les rejeter dans des milieux naturels où elles arrivent à s'adapter et vivre en trouvant de la nourriture. En s'enterrant dans la vase, l'hiver. Le problème, c'est qu'elles présentent un réel danger pour l'écosystème, là où elles s'installent. Confirmation donnée par Benoît Stroemeyt. : « Si en Floride, cette tortue aquatique et omnivore a trouvé dans l'alligator son prédateur naturel, en France, où il est maintenant assez fréquent d'en rencontrer ce n'est pas le cas. Et comme elle est réputée vorace et agressive, elle consomme beaucoup de batraciens (grenouilles, poissons, alevins voire même des canetons. Elle font une grosse prédation. Et les biologistes craignent la disparition de certaines de ses espèces indigènes au profit d'espèces importées. Il y a, par exemple, une grande inquiétude à ce sujet dans le Sud-Ouest ». Cet animal invasif prolifère déjà à la ballastière des Ayvelles, dans des étangs de Donchery mais aussi dans le Vouzinois. Comme au lac de Bairon et Dans quelques étangs situés en milieu forestier comme celui de la Linette situé en forêt domaniale de la Croix-aux-Bois. Si les importations de tortues exotiques sont désormais interdites, le commerce n'en continue pas moins sur Internet où les prix oscillent entre 35 et 200 euros. Pascal REMY Source
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