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Tout ce qui a été posté par Max|mum-leterrarium
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Info sur un python reticule tiger
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de le cariboux1 dans Boidés
Oui, c'est possible d'en trouver. Le tiger est seulement une mutation génétique de la coloration sur le python réticulé. Il y avait quelqu'un sur le forum qui en avait avant mais je crois qu'on ne le voit plus passer. C'était quoi déjà son nick? Quelqu'un s'en rappelle? Tu pourrais voir les photo au moins si on le retrouve. -
Mimine, 1,75 m, iguane mâle friand de macédoine surgelée
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Mimine, 1,75 m, iguane mâle friand de macédoine surgelée Alexis Blanc a pour animal de compagnie un iguane originaire de Guyane. Ce reptile vit dans un vivarium chauffé et installé dans la chambre du jeune homme, à Saint-Martin-du-Mont Le vivarium est installé dans la chambre d'Alexis, 21 ans. À l'intérieur, serein sous ses écailles vertes, bleues et jaunes trône Mimine, des pupilles jaune foncé, de longues griffes et une crête longiligne qui part du front et sillonne toute son épine dorsale. Un petit nom un peu féminin pour ce gros iguane mâle d'un mètre soixante-quinze et huit kilos. « Mais on l'a toujours appelé comme ça dans la famille ! » assure Alexis Blanc en souriant. Comme une marque d'affection portée envers la bête. Le reptile, allongé sur une planche de bois, lézarde sous une lampe rouge teintée. « C'est une ampoule chauffante » explique Alexis, visiblement passionné par sa bestiole. Et comme Saint-Martin-du-Mont n'a rien d'un climat tropical, un chauffage au sol est nécessaire pour maintenir l'animal dans une température de 20 degrés au minimum. « Avoir un animal exotique est un investissement, surtout en électricité. » Le budget nourriture reste raisonnable, Mimine reçoit la ration d'un bol de macédoine surgelée par jour. Une plaque triangulaire plus claire est curieusement placée sur le front de l'animal. « C'est un troisième œil qui lui permet de visualiser les oiseaux ». Un animal fascinant et étrangement immobile. « Les iguanes aiment se percher au plus haut niveau. Mais ce sont d'excellents coureurs qui peuvent sauter très loin », assure-t-il. Sous les caresses que lui donne son maître, Mimine ferme les yeux, signe apparent de satisfaction. « Lui est différent des autres iguanes, il me reconnaît ». Les vitres du vivarium sont recouvertes de traces de selles, émises par le lézard pour « marquer son territoire ». Alexis a eu Mimine à dix ans. « Petit, j'aimais les dinosaures. Les iguanes ont un peu de ça en eux. » À la demande de ses parents, le jeune homme avait dû à l'époque signer une charte qui l'engageait à prendre soin de l'animal. Lequel n'a jamais contracté de maladies. Sauf une constipation passagère il y a quelques années, qui a valu à son propriétaire un voyage chez le vétérinaire : « Je n'ai vu aucunes crottes pendant quelques jours. J'avais pour habitude de le mettre au sol et de passer l'aspirateur : le bruit le faisait stresser et il faisait ses besoins immédiatement. Mais même cela ne marchait pas. Je l'ai donc emmené chez le vétérinaire, et c'est une fois sur la table là-bas qu'il s'est lâché », se souvient Alexis. L'iguane a aujourd'hui une dizaine d'années. Un âge respectable pour cette espèce qui vit entre 10 et 20 ans. Camille Roux Source -
Menace sur le triton crêté Le triton crêté est un amphibien à queue (un urodèle) d'assez grande taille (13 à 17 cm de long). De couleur brune ou grisâtre, la face ventrale est jaune d'or ou orangée maculée de grandes taches noires. Au printemps, saison qui correspond à la période nuptiale, la crête dorsale du triton est particulièrement développée. En phase terrestre, c'est-à-dire pendant l'été, la peau est alors très foncée et humide. La femelle se distingue du mâle par l'absence de crête dorsale. Celle-ci n'effectue qu'une seule ponte par an. Les œufs (200 à 300) sont déposés un à un et cachés sous les feuilles des plantes aquatiques. Après le développement embryonnaire, l'animal perd peu à peu ses branchies. Les jeunes quittent ainsi le milieu aquatique pour devenir terrestre. La phase aquatique du triton adulte se limite ainsi aux phases de reproduction. Il passe alors la journée en eau profonde, caché parmi les plantes aquatiques. L'espèce est nocturne et se rapproche des berges des plans d'eau pendant la nuit. Les vastes étendues de mares, aux berges en pentes douces, constituent ainsi son habitat de prédilection. Protéger son milieu naturel La durée de vie de cet amphibien est de 10 ans voire plus lorsque celui-ci évolue en altitude. On les rencontre principalement dans les zones bocagères avec prairies ou parfois dans des carrières abandonnées, des zones marécageuses, des mares dunaires ou même en milieu forestier. Le triton est une espèce septentrionale. Son aire de répartition atteint le nord de la Scandinavie. On le trouve du centre de la Russie à la Grande-Bretagne. En France, il est inconnu dans la plupart des départements du sud. L'espèce est considérée comme vulnérable au niveau national. La principale menace qui pèse sur le triton est la disparition des habitats aquatiques dans lesquels il se reproduit. Cette disparition est souvent liée au remembrement des terres agricoles. Il est donc essentiel pour la survie du triton à crête que son milieu naturel soit protégé. Marlène Quintard (avec J.-B. Rougemont) Source
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2 août 2009 (Hyla cinerea)
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Max|mum-leterrarium dans L'espèce de la semaine
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Des navigatrices qui ne perdent pas le nord Comment une tortue verte, 20 ans après sa naissance et des périgrinations de plusieurs milliers de kilomètres dans l’océan Indien pour se nourrir, parvient-elle à retrouver la plage qui l’a vu naître pour, à son tour, donner naissance à plusieurs dizaines de bébés tortues ? C’est le système de navigation exceptionnel de ces grandes migratrices que tente de décortiquer la composante tortue du programme SWIOFP (South West Indian Ocean Fishery Project) mis en route l’année dernière. Une centaine de tortues marines en phase de ponte et d’alimentation sur le secteur du canal du Mozambique vont être équipées de balises Argos afin d’étudier leurs trajets, et les phases de “homing” ou “post-homing” (retour sur la plage de naissance pour la ponte, puis long déplacement pour l’alimentation). “Il est communément admis que les tortues utilisent les champs magnétiques pour se diriger, mais pas seulement”, explique Jérôme Bourjea d’Ifremer. Les scientifiques du CNRS ont en effet pu constater, sur des tortues suivies par satellite, qu’en perturbant les champs magnétiques en période de homing, elles étaient dans leur quasi totalité capables néanmoins de retrouver leur chemin, même au prix de quelques petits détours, en shuntant leur système de navigation. “Il est très probable que les tortues utilisent un sens de l’odorat très développé. Ce qui expliquerait que dans la région elles se dirigent toujours vers des côtes sous le vent, et migrent systématiquement vers l’est en phase de post-homing. Dans le même ordre d’idée, une activité humaine trop forte sur un lieu induirait un changement de ces odeurs et donc une baisse des pontes en cet endroit”, poursuit le scientifique. Quid alors de ces tortues “colonisatrices”, c’est-à-dire celles qui font exception à la règle en allant pondre sur des plages où elles ne sont pas nées. Une perturbation, un épisode cyclonique ou un bouleversement de la gamme des odeurs pourraient expliquer ces déménagements. Mais ce ne sont que quelques-unes des hypothèses évoquées au sujet de ces reptiles jamais avares de surprises... Source
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La couleuvre, une bonne nageuse inoffensive Il n'est pas si rare de croiser un serpent quand on nage dans les lacs suisses. Si une telle rencontre peut sembler effrayante, elle est cependant sans danger, car seules les couleuvres s'aventurent dans l'eau. Explications sur les rives du Léman avec le spécialiste des reptiles Jean-Marc Fivat Avez-vous déjà imaginé, lorsque vous faites quelques brasses dans un lac suisse, vous retrouver face à un serpent d'environ un mètre de long? Pourtant, de telles rencontres ne sont pas rares, comme l'explique le naturaliste Jean-Marc Fivat, membre du KARCH, le Centre de coordination pour la protection des amphibiens et des reptiles de Suisse: «Certains serpents partent au large dans l'espoir d'attraper les petits poissons dont ils se nourrissent. Mais quand ils croisent un nageur, ils plongent aussitôt dans les profondeurs pour l'éviter, sans jamais chercher à l'attaquer!» Effrayant donc, mais sans danger. En effet, si vous croisez un serpent, ce n'est pas une vipère - aucune des deux espèces suisses ne s'aventure jamais sur les eaux de nos lacs - mais l'une des trois espèces de couleuvres lacustres helvétiques (vipérine, tessellée ou à collier). Espèces protégées Les nageurs comme les propriétaires de bateaux sont ainsi rassurés, car les couleuvres montent aussi à bord! «Elles trouvent des logis de rêve sous les bâches ou près des moteurs, avec en plus un accès direct à l'eau», explique Jean-Marc Fivat, qui reçoit régulièrement des appels afin d'en déloger. «La personne qui en trouve une sur son embarcation peut, soit en informer le gardien du port, soit la police, qui contactera un spécialiste. Elle peut aussi - en enfilant des gants si ça la rassure - remettre elle-même la couleuvre à l'eau à l'écart du port.» Toutefois, certains navigateurs, portés par une peur maladive, n'hésitent pas à tuer l'inoffensive squatteuse à coups de bâton, se mettant de ce fait hors la loi, tous les serpents suisses étant protégés. Et la situation est particulièrement problématique sur la Riviera vaudoise qui abrite, en plus de la très répandue couleuvre à collier - que l'on trouve à proximité de tous les lacs de Suisse à moins de 1100 mètres d'altitude -, la couleuvre vipérine, le serpent helvétique le plus menacé. Seulement mille individus subsistent en Suisse, réparties en trois colonies: entre Villeneuve et Lausanne, le long du Rhône à Genève et sur les canaux proches de Martigny. Elle partage son territoire lémanique avec une autre couleuvre: la tessellée, que l'on ne trouve qu'autour du Léman et au Tessin, d'où elle a été importée. «Elles se ressemblent énormément, bien que la couleuvre tessellée soit un peu plus grande (1,20 m, contre 80 cm pour la vipérine, ndlr). La tessellée apprécie aussi les rochers et les anfractuosités des murs de pierre proches de l'eau. Elle est d'ailleurs en train de prendre naturellement le dessus sur la vipérine», précise Jean-Marc Fivat en soulevant les pierres qui bordent une petite plage de galets très fréquentée de Corseaux (VD) où il découvre un jeune spécimen d'une quarantaine de centimètres. Une couleuvre tessellée, affirme-t-il après avoir examiné les écailles de sa tête... à la loupe! «Leur similitude, avec ce dos brun verdâtre surmonté d'un motif foncé en zigzag, nous oblige à compter les écailles sous la bouche et autour des yeux, plus nombreuses chez la couleuvre tessellée.» Mesures d'intimidation Peu ravi d'être dérangé, l'animal souffle, se débat, gonfle la tête, à la manière d'une vipère, mais ne mord pas (la couleuvre n'a ni crochet ni venin). En revanche, il nous gratifie, comme chaque couleuvre qui se sent en danger, d'une odeur nauséabonde de poisson pourri, que même un bon savon aura du mal à faire disparaître. Sa présence à cet endroit apparaît comme une évidence pour notre guide. «Durant les journées ensoleillées de la mi-mars à la mi-octobre, période où les couleuvres n'hibernent pas, elles commencent par un bain de soleil sur les pierres et poursuivent par une partie de chasse. Ensuite, elles se préservent du soleil en se cachant sous un rocher ou dans une cavité, avant de s'exposer à nouveau aux rayons solaires et de repartir à la pêche en fin d'après-midi.» Non loin de là, une petite fille nous observe depuis son jardin. Elle nous raconte que les couleuvres viennent régulièrement dans sa maison. Mais chez elle, l'émerveillement a depuis longtemps pris le pas sur la crainte... Source
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Épisode 1 Une communauté tranquille de Washington fait appel à Tom Brown afin de maîtriser des ratons laveurs agressifs qui ont tué trois chats. Les agents Rick Kramer et Gino Pysher doivent intervenir auprès d'un prédateur menaçant : un alligator de 9 pieds! Un ours noir à la recherche de nourriture rode près d'un complexe résidentiel du lac Tahoe, et Kelvin Voeller est l'homme de la situation avant que l'animal ne blesse quelqu'un. Enfin, un propriétaire de chiens demande à l'expert Marc Hammond d'éliminer un dangereux lézard. Diffusions de cet épisode : Mardi 4 août 2009 à 13h00 Canal D
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allo allo allo allo la nouvelle gang
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de corn_&_python dans Général
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Nom scientifique : Hyla cinerea Nom français : Rainette verte Nom anglais : Green tree frog Origine : Sud-est des États-Unis Biotope : Semi-humide Température : 25 à 28°C Humidité : 60 à 70% Moeurs : Arboricole et nocturne Taille adulte : 5 à 7 cm Nourriture : Insectes Voici une belle petite grenouille qui est parfaite pour tout débutant. C'est l'une des premières grenouilles que j'ai possèdé. Par contre, c'est l'une des premières grenouilles à avoir fait enragé mon ex avec son chant! Ça beau être petit, mais ça se fait entendre de loin!
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Boa d'un jour, maintenant à Le cariboux
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Max|mum-leterrarium dans Boidés
Les couleurs peuvent varié un peu, tu vas le voir au fil du temps. Le stress, les températures, etc... peuvent faire varié la coloration. C'est le même principe que quand nous nous fâchons ou que nous avons trop chaud, nous sommes plus rouge. C'est que la peau se contracte ou décontracte selon plusieurs facteurs ce qui peut faire varié l'intensité. -
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Exposition agricole de St-Hyacinthe
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Max|mum-leterrarium dans Général
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Boa d'un jour, maintenant à Le cariboux
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Max|mum-leterrarium dans Boidés
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Boa d'un jour, maintenant à Le cariboux
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Max|mum-leterrarium dans Boidés
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Exposition agricole de St-Hyacinthe
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Max|mum-leterrarium dans Général
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Boa d'un jour, maintenant à Le cariboux
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Max|mum-leterrarium dans Boidés
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Montech. Un python sème la panique dans un immeuble
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Max|mum-leterrarium dans Nouvelle
Montech. « Ce python m'empêche de louer ma maison » Le propriétaire d'une demeure où un serpent erre en liberté subit une lourde perte financière. Le python qui, depuis plusieurs mois, erre dans les faux murs du 2 rue des Fontaines à Montech a largement assombri l'avenir de Raymond Saint-Pé, propriétaire des lieux. C'est pour s'assurer un revenu régulier lors de sa retraite que cet ancien commercial, grièvement blessé lors de l'explosion de l'usine AZF, a investi dans cette toulousaine. En quelques semaines, ses quatre appartements, qu'il avait fait entièrement rénover comme s'il « devait y habiter » sont devenus inlouables. Quand avez-vous appris l'existence de ce python royal ? Je l'ignorais jusqu'à très récemment que le locataire du studio avait des serpents. Quand bien même je l'aurais su, ce n'est pas un motif pour lui refuser la location. Si cet animal avait été considéré comme dangereux j'aurais pu lui demander les attestations de déclaration. Mais, le python royal n'est pas sur cette fameuse liste. J'ai donc découvert que cette bestiole se promenait dans les murs par un coup de fil du locataire qui l'a vu dans sa salle de bain. Et encore… À ce moment-là, je crois que c'était une couleuvre qui était passée par le toit. Qu'avez-vous fait alors ? J'ai très vite autorisé les pompiers à casser une partie du faux plafond, mais aussi une partie du plancher du studio pour qu'ils essayent de le retrouver… Cela n'a rien donné, je me suis même dit qu'il avait disparu qu'on en entendrait plus parler. Ce n'est que plus tard dans la soirée que le locataire m'a rappelé. Il m'a expliqué que le serpent était un python royal appartenant à son propre voisin de pallier. Quelles en sont les conséquences ? Deux locataires m'ont rapidement donné leur préavis et sont partis dans les jours suivant. Une personne était intéressée pour louer un troisième appartement. Il s'est désisté. Mon agence de location ne veut plus présenter ces biens à ses clients. Moi non plus. Ce python, m'empêche de les louer. Imaginez, si quelqu'un croise le serpent et a une attaque… je serais le responsable Et puis moralement, je n'en suis pas capable. Pendant ce temps, je continue à payer les traites de ce projet immobilier. Vous comprenez la réaction de ces gens ? Tout à fait. Une de mes locataires était pétrifiée. Elle m'a même demandé de l'accompagner dans son appartement pour récupérer des affaires. Je n'ai pas peur des serpents, mais je n'irais pas jusqu'à dormir à côté d'un terrarium. Et le propriétaire du serpent ? Je lui ai adressé un courrier avec accusé de réception dans lequel je lui rappelais qu'il était à l'origine d'une nuisance qu'il devait résoudre dans les plus brefs délais. Ces troubles lui incombent à 100 %. Il n'est même pas allé chercher cette lettre. La première fois que je l'ai croisé c'était lorsque les pompiers, la DSV, la mairie et les gendarmes sont venus inspecter les appartements. Là, il m'a dit que j'étais responsable de la situation parce qu'il y a un trou dans le faux mur. Un trou par lequel son python serait parti… Source -
Le serpent, menacé plus que menaçant David Sautet et Marie Moreau, à Belin-Béliet, sur un des sites choisis pour l'inventaire au sein du PNR. (Photo Franck Perrogon) Attention, le danger n'est pas toujours là où l'on croit. Malgré les légendes noires, les animaux rampants ne s'attaquent pas aux hommes dans nos contrées. C'est plutôt l'inverse bien qu'ils soient protégés depuis 1976. « On risque entre 91 et 915 euros d'amende si on leur fait du mal », rappelle Marie Moreau, chargée de mission au Parc naturel régional des Landes de Gascogne (PNR). Depuis mars, elle mène un inventaire pour repérer toutes les espèces présentes sur le parc. « La connaissance des serpents est assez faible », déplore-t-elle. L'objectif de l'inventaire, le premier de cette ampleur, est à terme la préservation de l'animal, bien utile pour réguler la population des rongeurs. 90 % sont inoffensifs Alors en cette période estivale, quelques vérités sont bonnes à répéter. 90 % des serpents sont des couleuvres, toutes inoffensives. Pour le moment, cinq espèces ont été repérées sur le parc, la couleuvre verte et jaune, à collier, d'Esculape, la coronelle girondine et la couleuvre vipérine. Entre 1,50 et 2 mètres, elles se nourrissent d'amphibiens ou de petits mammifères, et leur territoire est limité à 200 mètres maximum. La vipère aspic, plus petite, a aussi élu domicile sur le parc. Seule la morsure de cette dernière peut être dangereuse mais elle ne s'en prend à l'homme que s'il lui marche dessus. « Il n'y a que deux ou trois cas mortels par an en France, sur des sujets fragiles », tempère Marie Moreau. Et une fois sur deux, la vipère n'injecte pas son venin. Pour les couleuvres, il suffit juste de désinfecter la plaie. Habitat fragmenté Le parc va bientôt publier sur son site Internet des informations pour sensibiliser le public. Mais l'inventaire a un autre but. « Après l'expertise, nous allons mettre en place des aménagements », annonce David Sautet, du PNR. Le réseau routier, l'agriculture intensive, les pesticides, autant de facteurs qui contribuent à détruire le milieu de vie des reptiles et à fragmenter leur habitat. Les 20 sites d'observation retenus sont gérés par des associations de chasseurs ou le Conseil général de Gironde. L'idée est d'encourager de bonnes pratiques, par exemple amasser une pile de bois pour un refuge. Quant aux moins téméraires, si vous en rencontrez une, passez votre chemin. Auteur : Marc Chazal Source
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Exposition agricole de St-Hyacinthe
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Max|mum-leterrarium dans Général
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Bonjour à tous, Certains le savent, d'autres non, pour la première fois cette année, l'exposition agricole de St-Hyacinthe présentait une exposition de reptiles sous le chapiteau du Pavillon de la Jeunesse. Il y avait deux kiosques, un tenu par Little Ray's zoo et un autre tenu par Magazoo et Reptiles en captivité. J'ai été étonné de l'absence de Michel Le Blanc par contre. Il a prêté ses animaux mais il est parti en vacance aux îles de la Madeleine. J'ai vu d'autres animaux qui m'ont étonné par contre. Je parle de ce gros boeuf de plus de 3000 lbs. Je ne savais pas non plus qu'un faisan était aussi joli! Au kiosque de Little Ray's zoo, il n'y avait pas que deux belles demoiselles qui représentaient l'endroit. Il y avait aussi des belles bêtes. Il y avait un couple de Python de Sebae, python réticulé, BCC, Anaconda jaune, Blood Python et Python de Birmanie si je me rappelle bien. Au fait, vous verrez bien sur les photos qui ne sont pas super à cause des vitres. Ensuite, au kiosque de Magazoo, c'était surtout des animaux de Michel qu'il y avait. Bien sûr, Wally était fidèle au poste pour des photos! J'ai surtout jasé à ce kiosque là donc je n'ai pas trop porté attention. Si quelqu'un d'autre y est allé, il pourra me corriger si je fais erreur. Par mémiore, je me rappelle d'avoir vu dragon barbu, python royal, Grammostola rosea, Pandinus imperator, corn snake, tégu rouge et alligator. Je crois que la liste est complète mais comme j'ai dis, j'ai surtout jasé à ce kiosque donc.
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Eh oui, j'ai commandé un BCI pour Le cariboux, je l'ai eu pour la journée, le temps qu'il puisse venir le chercher. C'était petit cette bête là et ça m'a donné envie de m'en racheter un autre bébé. Je l'ai sexé et ça semble être une femelle. Je me suis amusé à prendre quelques photos. Ça va rappeller des souvenirs à Majesty et Conte Grischnack ça. Le cariboux, si tu ne veux pas que je laisse les photos, tu me le feras savoir, je les enlèverai.