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Max|mum-leterrarium

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Tout ce qui a été posté par Max|mum-leterrarium

  1. Pour distraire les touristes, un guide leur a offert un spectacle inédit. Un guide touristique joue avec un crocodile ! par Gentside Voyage Voilà une rencontre dont les touristes se souviendront longtemps. Au Costa Rica, ce guide touristique n'a pas hésité à prendre des risques pour rendre la visite mémorable. Alors que le groupe voguait sur les eaux, l'homme est descendu de l'embarcation, a empoigné des poissons et a commencé à les frapper à la surface. Objectif : attirer un crocodile ! Et la tactique a parfaitement fonctionné. Après quelques minutes, un crocodile imposant s'est approché, attiré par le poisson. Le guide lui a reculé, faisant complètement sortir le reptile de l'eau. Puis il a continué de jouer avec lui, allant jusqu'à lui donner à manger avec sa bouche. Un face-à-face poignant qui s'est heureusement bien terminé. Source
  2. Extraordinaire diaporama de portraits d'araignées qu'un photographe espagnol a dénichées sur les rives d'une rivière, près de chez lui, à La Corogne. BOUGEOTTE. Difficile de les regarder dans les yeux... tant elles en ont ! Voilà les portraits de tarentules et d'araignées sauteuses que l'Espagnol Jorge Farfan est allé "cueillir" sur les berges d'une rivière, près de son domicile de La Corogne. Ce qui a été le plus difficile dans la prise de vue ? Non pas un quelconque sentiment de répulsion face à ces trognes droites sorties d'Alien. Mais avoir suffisamment de patience et de suite dans les idées pour attendre que ces dames arachnéennes, du genre sautillant, restent tranquilles devant l'objectif de l'appareil photo. Une cousine de la tarentule, rosée et aux contours gélatineux, évoquant un bonbon Haribo. Mais avec des poils. Jorge Fardels/Solent News/SIPA Le photographe espagnol Jorge Farfan a photographier des araignées qu'il a attrapées sur les rives d'une rivières près de chez lui, à La Corogne, en Espagne. Ici, les mirettes d'une araignée sauteuse (Salticidae). Jorge Fardels/Solent News/SIPA Le photographe de 33 ans a dû faire preuve de trésor de patience pour obtenir des images si proches et si précises de ces sautillants animaux. Jorge Fardels/Solent News/SIPA Jorge Farfan a surtout photographié des araignées sauteuses (comme ici) et des tarentules. Jorge Fardels/Solent News/SIPA Gros plan sur les yeux et les crochets d'une araignée de la famille des tarentules. Jorge Fardels/Solent News/SIPA Les photos de Farfan révèlent l'incroyable diversité de couleurs de ces arachnides espagnoles. Jorge Fardels/Solent News/SIPA Source
  3. La côte Nord de la Colombie recèle une biodiversité particulièrement riche, selon des experts du WWF. Pour preuve: un enfant de six ans a découvert une nouvelle espèce de grenouille dans une piscine. Mais la région est menacée par les plantations. Camilo, 6 ans, a découvert une nouvelle grenouille dans le Nord Est de la Colombie. Le garçon l’a attrapée dans la piscine de ses parents. Une expédition du WWF était par hasard présente dans la ferme. Les chercheurs effectuaient des relevés zoologiques et botaniques dans la région du bassin de l’Orénoque. Ils se renseignaient sur la présence de certains animaux et plantes dans des zones agricoles et d’autres laissées à l’état naturel. Les biologistes du WWF ont hésité face à la petite grenouille qui mesure deux centimètres. Un examen plus poussé a montré qu’il s’agissait d’une espèce jusque-là inconnue. «Les piscines ne constituent certainement pas l’habitat typique de cet amphibien», plaisante le spécialiste Daniel Cuentas, qui a procédé à la classification scientifique de cet animal. Les grenouilles microhylidae vivent à proximité des savanes et des forêts, la plupart du temps tout près des termitières. Cette découverte devrait permettre de mieux comprendre l’évolution de cette famille. «Malheureusement, la destruction de la nature est si rapide dans la région que de nombreuses espèces disparaissent avant même d’avoir été découvertes», déplore Daniel Cuentas. Pour le WWF, l’apparition de la grenouille constitue un indice de la valeur biologique de la région. Mais elle est menacée: les savanes et les zones humides sont transformées en plantations et asséchées. Les palmiers à huile sont encore davantage cultivés et l’élevage bovin avec ses troupeaux toujours plus grands prennent le pas sur les savanes et les forêts préservées jusqu’ici. La grenouille de la piscine n’a pas encore de nom officiel. Mais elle fait partie de la famille des microhylidae. Elles ne vivent pas seulement en Amérique latine, mais aussi en Afrique, en Asie et en Australie. Un test génétique doit encore confirmer qu’il s’agit bien d’un nouveau membre de cette famille riche de plus de 400 espèces. Pour l’heure, les chercheurs du WWF l’ont baptisé du nom de celui qui l’a découverte: Camilo IV. Un prénom que le père et le grand-père de l’enfant portent aussi. L’expédition du WWF fait partie du projet Sulu, soutenue par l’Initiative internationale pour le Climat (ICI) du ministère allemand de l’environnement (www.globallandusechange.org). Source
  4. Le Conservatoire des espaces Naturels de Savoie relaie l’opération nationale « Fréquence Grenouille », une campagne de sensibilisation aux milieux humides et aux amphibiens. L'opération Fréquence Grenouille qui se déroule dans toute la France depuis le Ier mars, donne l’occasion de sensibiliser la population à la nécessité de préserver les zones humides. Les zones humides sont de plus en plus rares et avec elles disparaissent de nombreuses plantes et animaux sauvages dont les emblématiques amphibiens. Depuis le début du XXe siècle, les deux tiers des zones humides ont disparu en France. On estime qu’elles continuent actuellement à disparaître au rythme d’environ 10 000 hectares par an, avec un cortège extraordinaire d’animaux et de plantes qui y sont associés. L’opération permet de découvrir les animaux des zones humides Salamandre tachetée, Triton palmé, Crapaud commun ou accoucheur, Rainette ou Grenouilles vertes, lors de sorties, visites sur les espaces naturels protégés accompagnés d’animateurs avertis. Elle permet de comprendre le cycle de la vie de ces amphibiens et les écosystèmes des zones humides : mares, tourbières, cours d’eau lors de diaporamas ou conférences. Elle permet de réaliser Les menaces qui pèsent sur ces animaux et sur leur milieu de vie, ainsi que les actions de préservation possible lors de sauvetages sur les routes ou d’installations de crapauducs. L'opération, soutenue par la Réserves Naturelles de France, par les Conservatoires régionaux des Espaces Naturels, par les Agences de l'Eau, permettra en Savoie de participer à une quinzaine d’animations gratuites proposées à tous. Une demi-journée d’animation du samedi 8 mars organisée à Chambéry- le-Vieux, salle des trois sources, en présence des partenaires et au cours de laquelle sera faite une présentation de la campagne Fréquence Grenouille. Cet évènement est gratuit et ouvert à tous ! Programme du 8 mars : • 15h : Accueil et début de l’atelier enfant «BD Nature» ainsi que des stands associatifs • 15h15 - 16h30 : Visite sur le site du «lac Tampon» - Nombre de places limitées - inscription conseillée auprès de f.biamino@cen-savoie.org • 16h30 : Projection du film «Grenouilles et crapauds» (documentaire de Jean-Philippe Macchioni) - Echanges avec la salle • 17h30 : Gôuter/ Apéritif offert aux participants • 18h : Présentation de l’action Fréquence Grenouille départemental par les associations naturalistes • 18h30 : Projection du film «Triton et salamandre» (documentaire de Jean-Philippe Macchioni) - Echanges avec la salle • 19h15 - 20h30 : Visite nocturne sur le site du «lac tampon» - Nombre de places limitées - inscription Du 1er mars au 31 mai, près de 500 animations sont proposées ! Consultez la carte des animations géolocalisées sur : http://www.reseau Source
  5. Elodie Gossuin a fait une rencontre dans Touche pas à poste qu'elle ne va pas oublier de si tôt ! Ce soir, dans l'émission de D8, elle a dû chanter un python albinos sur les épaules. Courageuse Elodie ! C'est tombé sur elle ! Elodie Gossuin, présente sur le plateau de Touche pas à mon poste, a été contrainte de chanter, un python sur les épaules le temps d'un jeu organisé pendant l'émission. Totalement paniquée en voyant arriver la bête (elle redoutait qu'un serpent n'arrive sur le plateau), Elodie Gossuin ne s'est pas défilée. Et pourtant, Cyril Hanouna lui a proposé que ce soit Enora Malagré qui fasse le gage à sa place. Sympa pour Enora ! Certes pas très à l'aise (et on la comprend !), Elodie Gossuin a chanté du Richard Cocciante jusqu'au bout ,ce serpent dans la nuque. Chapeau ! Pas sûr que tous les garçons autour de la table aient eu le même courage. Une chose est sûre, elle ne va pas regretter d'avoir fait son retour dans l'émission de Cyril Hanouna. La jeune maman, qui a accouché en octobre de faux jumeaux, s'était dite très "émue" d'être de retour auprès de ses anciens collègues. Il faudrait lui demander ce qu'elle en pense ce soir. Source
  6. Plusieurs lieux en France proposent des criquets à croquer et autres petites bestioles charmantes. L'entomophagie est en marche. Vendredi soir, apéro entre trentenaires parisiens, les boîtes de molitors (vers) au soja impérial et de criquets au curry fruité côtoient les chips et le houmous maison à la betterave. On commence par une poignée de vers : à part l'impression étrange de manger des appâts de pêche, c'est plutôt bon, assez croquant et bien assaisonné. C'est un peu plus délicat avec le criquet, où l'on sent vraiment en bouche les morceaux de l'insecte (notamment les ailes). Une fois cette sensation passée, ce n'est ni plus ni moins qu'une grosse chips au curry... avec des yeux. Les criquets concurrents des Knacki Ball ? David Faure, un chef étoilé de Nice, sert dans son menu Alternative food "un crémeux de maïs, foie gras poêlé, croustillant de grillons au sarrasin...". Le restaurant parisien Le Festin Nu propose des burgers, des faux-filets et des punaises d'eau géantes. Micronutris, usine d'élevage d'insectes local et responsable, tablait sur une production de 15 tonnes en 2013. Cédric Auriol, le créateur de cette société, vise les 120 tonnes pour 2014. Une jeune société, Jimini's, vend ses insectes assaisonnés dans des épiceries fines françaises. Clément Scellier et Bastien Rabastens ont eu l'idée de créer Jimini's il y a deux ans, en voyant les candidats d'une émission de télé-réalité manger des araignées poilues et des blattes géantes. "Quand on a commencé, on n'en trouvait que sur le net. Seuls les écolos et les aventuriers en mangeaient. En France, les insectes étaient dépréciés. Etait-ce si mauvais que ça en avait l'air ?", se souvient Clément. Ils commandent une vingtaine d'insectes lyophilisés via des sites thaïlandais puis les font mariner. Leurs premiers "apéros insectes" remportent un vif succès. Deux milliards de personnes mangeraient des insectes en Asie et dans une partie de l'Amérique du Sud et de l'Afrique (source FAO). La consommation européenne est encore anecdotique. Le dégoût surmonté, il existe des arguments pour convaincre le consommateur occidental de manger des insectes : ils sont riches en protéines et leur production est moins polluante que l'industrie de la viande. Reste à voir si, une fois l'effet de mode exotique passé, on se familiarisera avec cet aliment loin de nos traditions culinaires. Tolérée, la vente d'insectes n'est toujours pas réglementée en Europe. Source
  7. La tortue Caouanne trouvée mardi matin dans le port de Capbreton souffrait d'un traumatisme crânien. La tortue Caouanne trouvée mardi matin dans le port de Capbreton souffrait d'un traumatisme crânien. C'est le glacier du port de Capbreton qui l'avait trouvée mardi matin, un oeil crevé et le bec fissuré. La tortue Caouanne a été ensuite transportée au centre Alca Torda, de Pouydesseaux, où elle est morte peu après son arrivée. Selon la vétérinaire sur place, elle souffrait d'un traumatisme crânien consécutif probablement à un choc avec une hélice de bateau. Les spécialistes du Centre de recherche sur les mammifères marins de La Rochelle devraient pratiquer une autopsie pour en savoir davantage. La tortue Caouanne est un espèce en forte voie de régression qui fréquente habituellement les eaux tempérées. Elle est la tortue la plus commune dans l'ouest Atlantique mais on la trouve aussi au large des côtes d'Europe de l'Ouest et d'Afrique. Source
  8. Quarante-neuf tortues, des serpents et des caméléons, ont été découverts sur une ressortissante russe, à l’aéroport d’Ivato, hier. Ce coup de théâtre est survenu à l’embarquement d’un vol pour Nairobi. Belle prise des douaniers et de la police de l’air et des frontières, à l’aéroport international d’Ivato. Hier après-midi, aux alentours de 15 heures, une ressortissante russe a été épinglée avec 49 tortues, des serpents et des caméléons. Cette présumée trafiquante de reptiles allait embarquer à bord d’un vol, à destination de Nairobi, lorsque les autorités ont découvert le pot-aux-roses. Sa destination finale est, par ailleurs, floue. De source policière, la suspecte aurait également planifié un voyage à Maurice. Cette double destination fausse du coup la piste des enquêteurs, du fait que la plupart des trafics de reptile s’effectue surtout entre Madagascar et la Malaisie, plaque tournante du trafic d’animaux de compagnie, dans l’Asie du Sud-est. Les informations recueillies à Ivato révèlent que, ces animaux à sang froid ont été dissimulés dans un bagage qui allait être envoyé en soute. Le trafic a été débusqué in extremis, lorsque les éléments de la police de l’air et des frontières, et ceux de l’air et des douanes, ont flairé au dernier moment, quelque-chose de suspect. Informations opaques À ce moment-là, la propriétaire du bagage avait avait presque réussi à tromper le système de contrôle. Portant sur elle un bagage à main, dans lequel il n’y avait rien de compromettant, la Russe a traversé le portique sans problème. C’est seulement au terme d’une fouille de son bagage qu’elle a été interpellée. Les animaux saisis ont été apportés au bureau des douanes avec la suspecte, où une enquête a été ouverte. Dans la soirée aux alentours de 18h30, la ressortissante russe était encore soumise à toutes sortes de questions. Aucune information n’a filtré derrière la porte numéro 1 du service des douanes, où se sont déroulées les auditions. « Il n’y a encore rien à déclarer, nous sommes en pleine enquête. Même la prise de photo n’est pas encore possible », a signifié un douanier. Depuis le parking en face du bureau, on apercevait par ailleurs, la silhouette de quatre enquêteurs, en train de tirer les vers du nez de la femme incriminée. Les régions d’origine de ces reptiles tombés dans les mailles des filets, n’ont pas encore été indiquées. Ces animaux, probablement braconnés, ont été, aux dernières nouvelles, placées au bon soin du service des eaux et forêts. Source
  9. Cette espèce est nommée en l'honneur de Edward W. Nelson qui a travaillé pour la Commission biologique des États-Unis à partir de 1890, devenant chef en 1916. Lampropeltis triangulum nelsoni est plus communément appelé serpent faux corail de Nelson, une sous-espèce de Lampropeltis triangulum et apparenté aux serpent rois . Ces deux serpents appartient au genre Lampropeltis avec quatre autres espèces , comprenant 45 sous-espèces . Les serpents de roi peuvent être trouvés sur les continents nord et sud américains, et habitent toutes sortes d'environnements du déserts aux marécages, des terres agricoles, dans les forêts et les prairies, les contreforts rocheux de la Cordillère des Andes. Les serpents faux-corail sont un choix très populaire comme animal de compagnie pour leurs belles colorations, un comportement calme et tolérant, nature robuste faisant appel à la fois le débutant et l'herpétologiste expérimenté . Largement disponible dans le monde entier grâce à votre magasin local d'animaux de compagnie, de grandes reproductions sélectives ont produit une multitude de couleurs et de motifs donc il ne devrait jamais être une raison d'acheter un spécimen sauvages capturés. Le serpent a 13 à 18 anneaux rouges et a souvent un museau sombre moucheté (dans de rares cas, le museau est surtout noir). Bien que les bandes rouges sont assez larges, les noirs sont nettement plus mince, et le blanc est très mince. L'albinisme et aberrations sont des morphes établis. La forme albinos est l’une des plus remarquables !! C’est l’une des premières formes albinos reproduites en captivité avec le Lampropeltis Triangulum Ruthveni. Il a 19 à 23 rangées d'écailles lisses et une plaque anale unique. Il ressemble beaucoup au L. t. silanoae, mais avec des bandes noires plus larges, et un rouge un peu plus foncé. La tête est quasi identique, la queue est plus noire. Il est légèrement plus grand que les autres faux coraux mexicains, mais de même tempérament. Environs 25cm pour les juvéniles et 90 à 140 cm pour les adultes, les femelles étant souvent les spécimens les plus grands. Il existe beaucoup de mutation génétique au niveau de la coloration, tous différents dans les motifs et les couleurs. La plupart reste des imitations du dangereux serpent corail. Les deux serpents ont des bandes rouges, noires et jaunes. Cependant, le serpent faux corail a ses bandes noires touchant les bandes rouges tandis que le serpent corail a les bandes jaunes touchant le rouge. Les juvéniles sont très souvent nerveux et n'hésitent pas à se mettre en position de défense. Les semaines passants et les manipulations se succèdent, ils deviennent assez vite très docile ne montrant quasiment plus jamais le moindre signe d'agressivité lors de les manipulations. L’espérance de vie est d’environ 10 ans. Les contrôles de santé pour tout serpent : Le corps devrait être arrondi. Les yeux clairs (peut-être un peu trouble si sur le point de muer). Il devrait y avoir aucun signe de rejet. Aucune trace d’acariens , vérifier en particulier autour de la tête et des yeux, vérifier les taches pâles sur le corps et vérifier vos mains après avoir manipulé le serpent. Le serpent ne devrait pas avoir à ouvrir la bouche pour respirer et ne doit pas être comme s’il est à bout de souffle. L'intérieur de la bouche doit être un rose uniforme. Les rougeurs ou les substances présentes peuvent indiquer pourriture bouche. La peau est lisse et brillante, sans croûtes ni plaies. Le cloaque est propre sans gonflement dans la zone. Le serpent doit se déplacer en douceur et sans secousses. Des visites régulières chez un vétérinaire reptile spécialiste est essentiel, surtout pour les nouveau-nés et jeunes spécimens. Un échantillon de selles devrait être prise et scellé dans un récipient approprié, a noté avec des détails tels que la date et l'heure. Le vétérinaire sera ensuite filtrer la matière pour les parasites et les signes d'infestation et infections qui peuvent se révéler fatal pour votre animal de compagnie. Cette pratique n'est pas seulement pour le bien de votre serpent, la plupart des parasites qui peuvent infester les serpents et les reptiles sont facilement transmissible à l'homme et peut s'avérer tout aussi, sinon plus dévastateur. Lorsque vous manipulez votre serpent, ne soyez pas trop confiant, étant donné l `occasion de votre serpent fera une course pour elle! Toujours être doux, et essayer d'éviter les mouvements brusques. Si le serpent s'enroule autour de votre bras ou du cou, vous pourrez vous détendre, il en saisissant doucement par la queue et le déballer de autour de vous. Si vous commencez à la tête, vous verrez que votre serpent peut être plus fort que vous pensez et pouvez payer de vos efforts avec une morsure d'avertissement ... Donc, commencer par la queue! Il ya généralement deux types de morsures: une grève et d'une morsure d'alimentation. Une morsure défensive est un avertissement que vous avez dépassé les limites de ce que le serpent peut tolérer. Il jailli, la bouche ouverte, puis se rétracte tout aussi rapidement, vous laissant avec une série de marques de dents. Une morsure d'alimentation est juste que: ils pensent qu'ils ont une proie, et ne vont pas se laisser aller, plus vous vous déplacez, plus ils essaient de "tuer" votre main. Le moyen le plus simple et le plus rapide pour dégager la bouche d'un serpent de votre corps est avec du Listerine ou, si aucun n'est disponible, isopropylique (alcool à friction). Ce dernier peut être toxique, vous devez donc vous assurer que la bouche du serpent n'est pas inondée avec elle. Incliner toujours la tête du serpent vers le bas afin que le liquide ne coule pas dans son nez, à partir de là, il peut entrer dans son respiratoire voies, provoquant des infections. L'air comprimé peut également être un moyen efficace pour amadouer un serpent en libérant leur morsure. Laver la morsure à l'eau et au savon. Appliquer povidone-iode (Bétadine) ou le peroxyde d'hydrogène, et laisser sécher. Ensuite, appliquez une pommade antibiotique à large spectre d'actualité. Ne pas bander. Il convient de noter que le serpent signalera toujours quand il va mordre, vous avez juste besoin d'apprendre un nouveau langage du corps. Une fois que vous voyez le serpent se raidir et lentement se rétracter, la tête légèrement au-dessus du sol ou de l'organisme, être alerte et prêt à se déplacer. Lampropeltis triangulum nelsoni est une sous-espèce de serpent de roi que l'on trouve au Mexique du sud de Guanajuato et le centre de Jalisco de la côte du Pacifique . On le trouve aussi dans les plaines étroites du nord-ouest Michoacán et sur les îles Marias Tres . Il s'agit d'une sous-espèce de la couleuvre tachetée, Lampropeltis triangulum . Il est assez discret et se dissimule dans les infractuosités rocheuses ou sous les pierres, les zones herbeuses sèches et plaines côtières. Les températures seront de 22 à 24°C au point froid allant de à 28 à 30°C au point chaud, le jour et environs 20°C la nuit. Les conditions de température à l'intérieur de l'enceinte doivent être surveillés à tout moment avec l'utilisation de plusieurs thermomètres . Placez un à chaque zone de température, donc on au niveau du substrat, un à n'importe quel endroit où il sera perché et un à un niveau plus élevé parmi toutes les branches d'arbres ou d'autres obstacles d'escalade que vous avez fournies. Pour réussir à préserver les souhaitées humidité conditions pour votre lait serpent que vous allez avoir besoin d'un hygromètre . Un hygromètre est un dispositif utilisé pour mesurer l'humidité relative dans l'enceinte. L’humidité requise pour l’espèce est d’environ 50%. On peut obtenir ces températures avec l’aide d’un tapis chauffant et d’une lampe. Les lumières incandescentes ne sont pas pratiques comme seules sources de chaleurs. Lorsqu’elles sont éteintes durant la nuit, elles permettent une trop grande chutes de températures. C’est le pourquoi on met toujours un tapis chauffant. Ce dernier couvrira environ la moitié de l’habitat sous le terrarium. Les Lampropeltis sont ophiophages, ils mangent d'autres serpents! Il est vivement conseillé de maintenir chaque individu dans des terrariums individuels. Les serpents faux-corail aiment grimper, il faut donc tenir compte d’une certaine hauteur. Il vous suffit d’installer quelques branches et d’autres obstacles, ce qui permettra de garder votre animal actif. Il reste quand même un animal terrestre à la base donc ne négligez pas l’espace au sol afin de favoriser la hauteur. Ils ont besoin de suffisamment d’espace pour s’allonger entièrement le corps. Ils font cela pour réduire le risque d’infections pulmonaires à qui ce genre est particulièrement vulnérable en raison de son agencement d’un poumon. Quel que soit la taille de votre serpent, une cachette de taille adaptée est une nécessité absolue. La fourniture d’une cachette aidera le serpent à se sentir en sécurité et est essentielle pour prévenir le stress. Une cachette ne devrait pas être trop grande, et évidemment, pas trop petite. Le serpent doit être logé confortablement dans l’espace de la liberté de mouvement. Cependant, l’espace doit être assez petit pour créer un sentiment de sécurité. Par conséquence, la taille de la cachette devra être ajustée en permanence. Une bonne couche de substrat doit être déposée dans le fond du terrarium où le serpent aimera s’enfouir. Tout d’abord, le cèdre n’est pas une option et doit être évité à tout prix. Le papier journal peut être une option selon plusieurs, par contre, beaucoup de propriétaires fiers de leur albinos vous diront que l’encre va vite déteindre sur votre serpent. Personnellement, j’utilise le coco husk vendu par Exo-terra qui est très économique, en plus de donner un look naturel. Comme la plupart des serpents, les faux coraux aiment tremper leurs corps dans l'eau, de sorte que le plat doit être assez grand pour accueillir son corps tout entier. Les serpents défèquent fréquemment dans l'eau, il est donc très important que le plat soit nettoyé et remplit quotidiennement. Comme les serpents faux corail ne sont pas trop pointilleux quand il s'agit de trop d'humidité, il est plus sûr de rester un peu sur le côté sec, car l'humidité excessive offrira des conditions optimales pour les moisissures et les bactéries. Il peut être nécessaire d'augmenter l'humidité légèrement au cours du processus de mue de vos serpents surtout si votre animal semble être en difficulté. Cela peut être fait simplement en faisant une zone humide en mettant la mousse humide ou un chiffon humide dans une cachette. Les serpents faux-corail sont réputés pour leur habileté à échapper à leurs terrariums et trouvé incroyablement bien chaque petite lacune. Par conséquent, une grande qualité de maintient est une nécessité. L es serpents savent profiter de toute faiblesse dans la structure de leur habitat, et si il ya une faiblesse, vous pouvez être sûr que votre serpent va le trouver. Ce sont de bons mangeurs dont la base alimentaire est constituée de souris. Les jeunes ne posent que rarement de problèmes lors des premiers repas. Dans la nature, ils sont des opportunistes. Ils mangent des oiseaux, des petits rongeurs , lézards , amphibiens , serpents et autres, y compris les espèces venimeuses . Il a une tolérance naturelle aux venins de nombreux serpents indigènes. Il faut les nourrir à raison de 1 ou 2 souris par repas. Offrir des proies de taille similaire au diamètre du centre du corps du serpent. Les jeunes spécimens peuvent être nourris tous les 3 jours et ceux excédant 50cm une fois par semaine. Il est fortement recommandé que vous nourrissez votre serpent au pré-tué pour réduire le risque d'exposer votre serpent à des blessures causées par sa proie. Les nouveau-nés peuvent être nourris de vieux 1-2 jours souris rosée. Il est recommandé de geler tous les proies pour aider à tuer les bactéries et les contaminations, alors assurez-vous de décongeler complètement. Les juvéniles peuvent être alimentés souris adapté à sa taille une ou plusieurs fois par semaine. Les serpents faux coraux peuvent être tentés par de la nourriture qui est jusqu'à le diamètre de la plus grande partie du corps de serpents. Vous verrez qu'ils ont un appétit grandissant au printemps et en été, et diminue au cours de l'automne / hiver. Beaucoup seront cesser de se nourrir tout au cours des mois d'hiver, même si elles peuvent être encore un peu actif. Beaucoup de gardiens expérimentés utilisent une enceinte séparée au moment de l'alimentation pour séparer les émotions associées à la nourriture et à réduire le risque d'être mordu à l'approche du serpent dans son environnement habituel. Cette méthode a aussi ses avantages pour la santé que les restes de nourriture ne sont pas laissés à l'intérieur de l'enceinte primaire. La reproduction est très facile. Les candidats reproducteurs doivent avoir au moins 18 mois et la femelle doit mesurer au minimum 80 cm. Pour que la reproduction ait lieu, il faudra tout d’abord leur faire observer une période d’hibernation "artificielle". Mais avant cela, il sera absolument nécessaire de faire engraisser les reproducteurs, pour qu’ils aient les forces suffisantes tout au long des différents stades. Pendant cette période, les animaux sont toujours séparés, la température oscillant entre 26 et 28°C. Entre fin octobre et début novembre (pour suivre l’évolution naturelle), opérer un jeûne de trois semaines, ce qui va leur permettre d’éliminer leurs selles. Ils sont alors prêts à entrer en hibernation : il faut alors abaisser la température de 2 degrés et la luminosité de 2 heures tous les 3 jours. Au bout de 3 semaines, on arrive donc à 14°C et une absence de lumière. Côté humidité, il sera bien d’utiliser un goutte à goutte ou un brumisateur, ou encore des abreuvoirs supplémentaires, pour augmenter le taux d’hygrométrie du terrarium. A la troisième semaine d’hibernation, vous pouvez abaisser l’humidité assez rapidement. Vers la mi-mars, le processus inverse doit être observé : il s’agit de remonter lentement la température et la luminosité. Au bout de 3 semaines, on donne à chaque reproducteur un léger repas, et cela deux ou trois fois. Après une période de repos hivernal, la femelle peut être placée dans le terrarium du mâle pour une période de 24 heures. Cette opération peut être répétée 2 ou 3 fois le lendemain des repas pour éviter que ces animaux ophiophages ne se dévorent. ATTENTION à ce que l’un ne dévore pas l’autre ! Il faudra alors nourrir la femelle tant qu’elle a faim, et lorsqu’elle cessera de s’alimenter, c’est qu’elle pondra environ 3 semaines plus tard. Les femelles pondent le plus souvent de 6 à 12 œufs. Placez un petit bac en plastique avec une petite ouverture de quelques centimètres, dans lequel vous mettrez un sol léger composé de vermiculite, ou de la mousse de sphaigne... Les oeufs devront incuber à une t° d’environ 27 à 30°C et une hygrométrie de 80%, pendant 58 à 70 jours environ. Il faut s'attendre à avoir de 1 à 3 pontes par an. Après la première ponte et afin d'augmenter les chances de fécondation des oeufs à venir, il est préférable d'à nouveau présenter la femelle au mâle 2 ou 3 semaines après la première ponte. Standard Le corps présente de larges bandes d'un rouge intense et brillant. Chacune de ses bandes est séparée par un anneaux blanc cassé, tirant parfois sur le jaune, entouré de part et autre d'anneaux noir de taille similaire. La tête est noire et la région des narines est souvent mouchetée de blanc. Un anneau blanc apparait au niveau du cou. Il est parfois difficile de différencier les nombreuses sous-espèces de Lampropeltis triangulum mais les Nelsoni ont la particularité d'avoir les bandes rouges deux fois plus grandes que le groupement d'anneaux blanc entouré d'anneaux noir. Albinos à fond jaune Chez les spécimens Albinos que l'on appelle aussi amélanique, la totalité des pigments de mélanine (pigments noirs) sont absents. Ces animaux préservent donc leurs larges bandes rouge, leurs anneaux blancs cassé mais le noir à laisser sa place à du jaune. Comme chez tous les animaux albinos, les yeux sont toujours rouges. Il existe deux lignées sanguines de nelsoni Albinos. Celle-ci est la première à avoir été découverte, C'est la lignée de Gary Slippery de San Diego. L'animal ayant introduit le gène de l'albinisme était un animal prélevé dans la nature. Albinos à fond blanc C'est la même mutation que la précédente sauf que du blanc remplace le jaune dans les zones où le noir devrait être présent si le gène mutant n'existait pas. Cette seconde lignée d'albinos à été produite pour la première fois en 1998 par Roger Bull. Albinos juvénile Les juvéniles apparaissent presque toujours roses dans les zones où le noir devrait être présent si le gène mutant n'existait pas. Il est donc difficile de distinguer un spécimen juvénile albinos blanc d'un albinos jaune. Les couleurs définitives apparaitrons au fur et à mesure des mues et donc avec l'âge. Albinos Bullseye Cette mutation des motifs est due à un gène récessif qui soude les bandes rouge de la zone ventrale de l'animal. Ce qui était auparavant des anneaux blancs ou jaunes apparaissent maintenant comme des zones circulaires barrés en leurs centres par un trait blanc cassé: un oeil de boeuf (Bullseye). Cette mutation existe chez les albinos blanc et les jaunes. (Aberrant ou stripped) Ces animaux présentent les couleurs standards mais les motifs sont totalement anarchiques, tantôt ligné, espacés, mélangés.... Patternless A part la tête qui reste noire avec un anneau blanc cassé au niveau du cou, la grande majorité du corps de l'animal est rouge et ne présente plus, ou quasiment plus, de motifs.
  10. Après avoir été attaqué par des rongeurs, Septimus – c’est le prénom de cette tortue – a subi une intervention chirurgicale relativement hors normes. Cette tortue s’est en effet vue greffer des roulettes pour remplacer ses deux pattes avant, qui avaient semble-t-il été mordues par des rats. A 23 ans, cette tortue semblait pourtant avoir tout vu, arpenté tous les terrains. C’était sans compter cette rencontre fortuite avec des rongeurs qui, en l’attaquant, lui ont fait perdre l’usage de ses membres, après une infection. C’est vers un vétérinaire chevronné que la famille s’est tournée, qui a utilisé du mastic pour rattacher ces mini-roulettes au corps de la tortue et à sa carapace. Après avoir bien évidemment confirmé que les attaques de rongeurs sur les tortues étaient vraisemblablement assez rares. Même si la famille est ravie, elle voit tout de même quelques défauts à ce nouveau moyen de locomotion pour Septimus, car même si la petite tortue a gagné en vitesse sur gazon, elle bataille un peu plus lorsque les herbes sont hautes. Source
  11. L'animal est vivant mais a un oeil crevé et son bec est fissuré Ce mardi matin, alors que Kevin Martin, glacier du port de Capbreton, "faisait le tour de la capitainerie pour voir si il y avait des dégâts causés par la tempête d'hier", il est "tombé sur une tortue Caouanne de 35 centimètres environ". "Elle est vivante, fait-il savoir. Mais présente un œil crevé et son bec est fissuré". L'homme a alors pris l'initiative d'appeler le centre Alca Torda pour sa prise en charge. Ce dernier a contacté un vétérinaire, afin de procéder à une opération du bec. Source
  12. Un homme de 30 ans comparaissait lundi au tribunal correctionnel de Perpignan pour avoir accueilli et abrité un caïman à lunettes, une espèce protégée et jugée dangereuse, dans un appartement à Canet dans les Pyrénées-Orientales. "Il m'avait demandé si je pouvais héberger son caïman. C'est un collègue d'enfance. Il devait me le laisser un mois, le temps de déménager. Mais il n'est jamais venu le récupérer et aujourd'hui il est introuvable. Ça a duré huit mois. Il le donnait à garder à droite et à gauche chez les amis. Je mérite d'être ici. Je suis le dernier". Presque victime dans cette affaire, un homme de 30 ans est venu s'expliquer lundi sur une histoire peu ordinaire pour l'audience à juge unique du tribunal correctionnel de Perpignan. Le prévenu comparaissait pour avoir recueilli et abrité un caïman à lunettes, espèce reconnue très dangereuse, dans un appartement vide à Canet. Sans autorisation, sans formation préalable, et en infligeant des mauvais traitements au reptile, enfermé dans un aquarium à poissons bien trop petit pour ses 1 m et pataugeant sans arrêt dans l'eau sans pouvoir bouger. "J'avais de la peine pour cette bestiole" "C'est vrai, c'était restreint. Apparemment, il était vieux en plus. Mais j'avais pris les devants, on avait fait plein de démarches pour le donner auprès de Sigean, du parc de Castelnaudary ou à un gars du Nord. Mais on n'avait pas de papiers. Je sais que je n'avais pas le droit. Moi aussi, j'avais de la peine pour cette bestiole. J'ai changé l'eau 1 ou 2 fois. Je lui donnais de la viande crue 2 fois par mois. On avait regardé sur internet. Je l'ai montré aux enfants, mais ils ne se sont jamais occupés de lui. Aujourd'hui, il coule des jours heureux au zoo de Sigean." "Moi, j'avais dit "non", explique son épouse. On ne le cachait à personne mais on ne savait pas quoi faire." "Il a dû en verser des larmes ce pauvre crocodile, c'est de la cruauté. Et puis c'est une espèce protégée. C'est fâcheux que vous n'ayez eu aucune réactivité. Vous irez le voir là-bas ?" interroge le président. "Oui c'est sûr." "Il a été dépassé par la situation, tempère finalement le procureur adjoint M. Laflaquière. Le tribunal saura faire preuve d'indulgence. On a suffisamment de petits caïmans tous les jours face à nous". 500 euros à payer Il a été condamné à 4 000 euros d'amende avec sursis, comme requis, 100 euros pour la contravention, 300 euros de dommages et intérêts pour l'association pour la protection des animaux sauvages en partie civile, et 100 euros de remboursement des frais de justice. La confiscation de l'animal a été confirmée ainsi que son placement dans une structure en mesure de le recevoir. Et le juge de conclure : "Bon allez, en tout, cela vous fait donc 500 euros à payer. Ça fait à peu près deux polos crocodile..." Source
  13. SAMEDI ET DIMANCHE LES 22 ET 23 MARS 2014 DE 10H À 16H Soyez des nôtres pour ce salon tant attendu. NOUVEAU CETTE ANNÉE: UNE COLLABORATION DU MINISTÈRE DES RESSOURCES NATURELLES ET DE LA FAUNE DU QUÉBEC VOUS PRÉSENTERONT: UNE GRANDE COLLECTION DE MUSÉE D'ENTOMOLOGIE (INSECTES) ET DE PATHOLOGIE (MALADIES DES ARBRES) ILS SERONT SITUÉ DANS LE LOCAL VOISIN DE LA CAISSE POPULAIRE. AUTRES ACTIVITÉS À CE SALON: Plus d'une quarantaine d'espèces variées dont: serpents, lézards, alligators et plusieurs bestioles. Vous pourrez vous faire prendre en photo avec "MONGO" un serpent python de Birmanie de plus de 4 mètres. ET des tours de poney dans le stationnement!!! L'Association herpétologique de Québec sera des nôtres avec une des plus grosse espèce de tortue au Québec. L'équipe de M. Reptile sera sur place pour vous faire partager leur passion.ET BEAUCOUP PLUS... Aux galeries du vieux fort de Lévis 7777 Rive Boul S, Lévis, QC
  14. C'est parti pour la saison des grenouilles en Franche-Comté. Le syndicat des ranaculteurs a publié le ban d'ouverture mercredi 26 Février. La Franche Comté compte une centaine de producteurs. La spécialité des ranaculteurs en Franche Comté c'est la grenouille rousse. Le syndicat est une sorte de label, c'est lui qui garantit l'origine des grenouilles que vous trouvez dans les restaurants. Ranaculteur à Boussières près de Besançon, Serge Valladont 69 ans élève des grenouilles depuis 45 ans dans les étangs qu'il a creusés lui même. Le reportage sur l'eau de Dimitri Imbert : "C'est de la grenouille naturelle, elle a un goût de noisette ..." Serge Valladont élève des grenouilles depuis 45 ans . Durant un mois que dure la saison en Franche Comté il en sort 50.000. Contrairement aux idées recues l'élevage des grenouilles ne se fait pas tout seul il faut de la technique et de l'expérience. Serge Valladont : "on pèse les grenouilles, on pèse les oeufs on nourrit les têtards avec de la protéine..." Une grenouille se vend environ 40 centimes pièce aux restaurateurs. Source
  15. Le Plan National d'Actions en faveur de la Tortue d'Hermann a été lancé en 2009. Réunissant plusieurs partenaires, il vise à protéger l'une des espèces les plus menacées du monde Le Plan National d'Actions en faveur de la Tortue d'Hermann est piloté en Corse par la DREAL et l'Office de l'Environnement de la Corse, en lien avec le Conservatoire des Espaces Naturels de Corse. D'autres organismes s'y investissent également : le Conservatoire du Littoral, les CG 2A et 2B, l'ONF, l'ONCFS, le parc A Cuppulata, le PNRC (le village des tortues de Moltifao) et le CRPF. La réalisation d'un Plan National d'Actions doit permettre d'améliorer l'état de conservation de l'espèce par des actions volontaires et partenariales pour restaurer les populations et leurs habitats. Fruit d'un travail collectif, il synthétise les connaissances biologiques disponibles sur cette espèce, décrit les principales menaces qui pèsent sur son avenir, fait un bilan des actions menées et propose une politique générale en faveur de sa protection. Celle-ci s'articule autour d'un suivi cohérent des populations, de la mise en œuvre d'actions coordonnées, d'une information des acteurs concernés et de l'intégration de la protection de la tortue d'Hermann dans les activités humaines et les politiques publiques. La réussite de ce plan d'action est conditionnée par une prise de conscience de tous, décideurs, techniciens ou citoyens, de l'urgence d'agir pour la sauvegarde de cette espèce. La tortue d'Hermann est aujourd'hui un des reptiles les plus menacés au monde Présente depuis 1,8 million d'années sur notre territoire, la tortue d'Hermann est une espèce en fort déclin, principalement en Italie, en France et en Espagne. Ses derniers refuges en France se limitent à deux noyaux de populations le Var et la Corse. Les mesures mises en œuvre pour préserver l'espèce depuis une vingtaine d'années n'ont pas permis d'enrayer le processus de déclin. Urbanisation et aménagement du littoral méditerranéen, incendies de forêts, travaux forestiers, collectes illicites d'individus, abandon des pratiques agropastorales traditionnelles en sont les principaux responsables. Répartition de la tortue d'Hermann en Corse En Corse, la tortue d'Hermann n'est pas présente de façon homogène sur toute l'île : les populations les plus importantes se trouvent au sein de 4 noyaux principaux pour lesquels les enjeux de préservation sont forts. En dehors de ces derniers, la présence de l'espèce est possible mais avec des densités moins élevées. La tortue d'Hermann est protégée au niveau français, européen et international. Il est interdit de ramasser une tortue d'Hermann sauvage, de la vendre, de lui porter atteinte, de la déplacer… Sa détention est strictement réglementée. La détention illégale (sans certificat CITES) ou le prélèvement dans la nature sont passibles d'une amende pouvant aller jusqu'à 15 000 euros et 1 an d'emprisonnement. La tortue d'Hermann, une espèce sauvage qui doit le rester Trop souvent considérées, à tort, comme des animaux domestiques, les tortues d'Hermann sont prélevées dans la nature pour être élevées dans des jardins. Ces prélèvements, totalement illégaux et interdits, sont l'une des causes les plus insidieuses de la disparition des tortues. Il faut savoir que le prélèvement d'une tortue d'Hermann dans le milieu naturel affaiblit ces populations. La captivité entraîne l'apparition de maladies, de pollution génétique (croisement entre individus locaux et exogènes) et de malformations liées à de mauvaises conditions zootechniques. Relâcher des tortues élevées en captivité engendre donc des risques génétiques et sanitaires pour les populations sauvages. Un dépliant est disponible chez tous les partenaires du Plan National d'Actions, les offices de tourisme de Corse, il est aussi téléchargeable sur le site de l'Office de l'Environnement de la Corse. Quelques règles simples Chacun d'entre nous peut contribuer à la sauvegarde de la Tortue d'Hermann : - Je respecte la réglementation et je ne ramasse pas de tortues dans la nature. - Si je vois une tortue sur la route, je peux éventuellement l'aider à traverser en la posant juste de l'autre côté. - Je tiens mon chien en laisse ou sous contrôle lors de mes promenades dans la nature. - Avant de tondre ou de débroussailler, je fais une prospection rapide et je mets en sécurité les tortues présentes sur mon terrain. - Je ne relâche pas mes tortues d'Hermann ou mes autres tortues exotiques dans la nature. Je ne tente pas de reproduire des tortues en captivité pour « sauver » l'espèce. Ces programmes de sauvegarde de populations doivent être faits par des structures spécialisées avec des autorisations spéciales et un suivi scientifique. Source
  16. Ils élèvent des boas, des pythons, des couleuvres dans leur salon, s’échangent et vendent leurs animaux en toute simplicité. n Incursion dans le monde un peu particulier de ceux que les serpents ont charmés. Isis vend ses rats un euro sur Le Bon Coin. Samuel cherche à y placer un boa mâle de 3 ans et Maxime y cède quelques couleuvres américaines. À Angoulême, Jahnny veut se débarrasser de ses deux pythons. Ils sont des dizaines, comme eux, qui publient sur le net la fiche technique de leurs reptiles comme leur voisin met en ligne les caractéristiques de sa Peugeot à la rubrique occasion. Pas la peine de brandir la convention de Washington. Ceux-là ne sont ni braconniers de brousse ni trafiquants d’exotisme. Juste passionnés. Ceux qui font de l’élevage le savent. "Il existe une vraie demande", confirme Maxime. Des amateurs qui courent les annonces du net et peuplent les forums spécialisés. Eleveur de rats Il s’appelle Isis 2603 sur le net, vit en Charente et préfère l’anonymat. Mais il affiche la couleur sur Le Bon Coin. Un euro. À ce tarif-là, pas de serpents, mais leur nourriture. Des rats de son élevage garantis 150 grammes minimum. Tout comme il fait de la reproduction de serpents pour diminuer les coûts, il fait aussi élevage de rongeurs pour réduire les frais. "De 5 à 8 euros pour un rat vivant en animalerie ou 3 euros congelé, l’élevage s’est vite imposé", explique-t-il. À Angoulême, Maxime a dédié deux pièces à ses protégés. "Une pour les reptiles. Une pour la cinquantaine de rats, mais aussi des blattes et des criquets." Un élevage qui dépanne quand un boa avale un gros rat de 300 grammes par semaine. Et encore. Celui de Nico, 28 ans, le pote de Samuel et Maxime, qui approche les 3 mètres, il engloutit un lapin. Chaque éleveur a ses standards. "Il y a plusieurs écoles", explique Nico, qui a longtemps travaillé avec les reptiles en animalerie. Ceux qui optent pour le mort congelé et ceux qui préfèrent le vivant. Si les animaleries se sont mises au goût du jour, les particuliers ont trouvé là un moyen de financer leur passion. "Du moment que c’est né chez moi et que ce n’est pas venimeux..." Charmeuse d'iguane Son petit ami a dû s’adapter. Depuis mai 2004, Émilie vit avec un iguane (Photo Majid Bouzzit). Un mâle d’1,50 mètre des dents à la pointe de la queue qu’elle prend pour une fille, "parce qu’au départ, on ne sait pas leur sexe". "J’ai eu Godzilla toute petite", se souvient la jeune femme en feuilletant les albums photo. Tout ça parce qu’un ami lui avait montré le sien. Deux ans de réflexion pour franchir le pas. Au début, c’était 20 centimètres. Puis, le reptile a grandi. Émilie y a bien gagné quelques cicatrices, des coups de griffes particulièrement acérées, mais tant pis. Godzilla reste un animal sauvage, mais l’iguane est végétarien, ne se fait que des ventrées de raisin, de salade ou de fraises. Dans la nouvelle maison de Soyaux, Godzilla a vite pris ses marques. "Si on fait abstraction de la queue, c’est comme un chat." Alors Émilie le considère comme un animal domestique qui, de temps à autre, se dandine dans le salon, sait remonter seul jusqu’à la tiède torpeur du terrarium. "C’est un vrai coup de coeur. Je crois qu’elle me reconnaît." Source
  17. Pris au piège d’un gigantesque boa constrictor, ce chat aurait pu perdre la vie si cet homme n’était pas venu à temps à sa rescousse. Ignorant la peur face au redoutable serpent, cet individu est en effet venu porter secours au chat, qui sans son intervention, aurait fini quelques minutes plus tard dans l’estomac du reptile. Ce chat a failli se faire avaler par un boa constrictor par Gentside C’est un véritable miracle que ce chat soit encore en vie après que celui-ci soit tombé entre "les griffes" d’un énorme boa qui comptait visiblement n’en faire qu’une bouchée. Pris au piège de ce serpent de plusieurs mètres qui le tenait fermement contre lui pour le dévorer, ce chat a heureusement échappé au pire grâce à l’intervention de cet homme qui n’a pas hésité à mettre sa propre vie en danger pour sauver le pauvre félin. Ce chat a bien failli lui servir de repas C’est au beau milieu de la jungle au Costa Rica qu’un drame a failli se nouer pour ce chat qui a eu ce jour-là le malheur de croiser la route d’un boa constrictor. Visiblement plus rapide que le félin sur ce coup-là, ce serpent avait en effet réussi à capturer le chat et s’apprêtait à l’engloutir lorsqu’un dénommé Andres Gonzalez et son ami en entendant ses cris désespérés sont venus le sauver. Fermement maintenu par le reptile qui tentait de l’étouffer et qui avait déjà planté ses crocs dans sa chair, ce chat était sur le point de servir de quatre heures au serpent avant que n’arrivent les deux hommes. Avec un courage inouï, l’ami d’Andres Gonzalez s’est alors précipité sur le boa afin de libérer le chat de sa puissante emprise. Après quelques minutes de lutte avec le serpent pour que celui-ci lâche sa proie, l’homme a finalement réussi à délivrer le chat de son bourreau. Acclamé ensuite comme un héros pour être venu à bout de ce serpent à mains nues, cet individu a assuré quelques jours plus tard que le chat avait été revu dans les parages et que celui-ci se portait désormais comme un charme. Une chance qu’il n’ait pas fini comme ce singe Lors d’une expédition au Brésil, des scientifiques ont pu assister à une scène aussi rare que terrible entre un boa et un singe hurleur rouge. Victime d’une attaque de la part du serpent, ce primate a malheureusement pour lui fini dans l’estomac de celui-ci comme l’attestent ces photographies qui nous dévoilent toute la cruauté que revête parfois la Nature. Source
  18. Victimes des activités humaines mettant en péril leur habitat ou chassées pour leurs prétendues vertus médicinales, de nombreuses espèces de tortues de par le monde sont désormais menacées. Une situation qui menace l'équilibre de nombreux écosystèmes... Plus de 40.000 tortues de mer sont tuées chaque année Il existe 7 espèces différentes de tortues marines et toutes sont aujourd’hui en danger d’extinction. La faute, notamment, à une absence de législation en la matière dans de nombreux pays. Les 7 espèces de tortues marines qui peuplent nos mers et océans figurent sur la tristement célèbre liste rouge de l’Union Internationale pour la Conservation de la Nature (UICN). Si le commerce international de ces tortues et de produits réalisés à partir de ces dernières est banni, il est en revanche de la responsabilité de chaque pays de légiférer à l’intérieur de ses propres frontières. Et il se trouve que les pays qui n’ont pas légiféré en la matière sont au nombre de 42, permettant ainsi à leur ressortissant de chasser et de vendre en toute légalité des tortues marines sur leur territoire. Plus de 40.000 tortues seraient ainsi tuées de cette manière chaque année, en toute légalité. Ce chiffre vient s’ajouter à la pêche illégale qui sévit dans les eaux internationales, laissant craindre pour une population qui s’amoindrit. Cette pêche est certes en fort déclin depuis plusieurs décennies, mais les espèces n’en restent pas moins menacées. Il suffirait pourtant que les pays concernés légifèrent pour que les tortues puissent évoluer librement, sans courir le risque de disparaître à jamais. Lire la suite sur Zegreenweb Massacre de tortues luth en Amérique du Sud Espèce en voie de disparition essentiellement à cause des activités d’origine anthropique, la tortue luth a payé un très lourd tribut à une incroyable négligence sur une plage de l’île de Trinité, dans la République de Trinidad-et-Tobago, en Amérique du Sud. Dépêchée par le gouvernement, une équipe de travaux publics qui avait pour mission de détourner le cours de l’embouchure de la Grand rivière, laquelle se jette dans la mer sur la plage précitée – considérée comme l’une des aires de nidification des tortues luth les plus étendues au monde – et risquait d’attenter aux fondations d’un hôtel voisin, a commis une erreur d’appréciation très lourde de conséquences. En voulant ériger une digue de sable, elle a en effet écrasé des dizaines de milliers d’œufs. D’autres nids, également en quantités phénoménales, ont été dévorés par des chiens errants et des vautours qui n’en demandaient pas tant… En tout, quelque deux cent mille œufs auraient été victimes de cette défaillance aux conséquences évidemment catastrophiques pour la biodiversité locale, a indiqué Sherwin Reyz, membre de l’ONG de protection de l’environnement de la Grand rivière, interrogé par nos confrères de l’Associated Press et qui a confié avoir été « au bord des larmes ». Et d’évoquer un « gâchis dégoûtant » résultant d’un travail bâclé, encore hanté par le douloureux souvenir du sauvetage des rares nouveau-nés qui ont miraculeusement échappé au carnage. Lire la suite sur Zegreenweb 10% des tortues de Madagascar découvertes dans un sac Un homme de 38 ans a été arrêté alors qu’il tentait de prendre possession d’un sac contenant 54 tortues de Madagascar, soit l’équivalent de 10% de la population de cette espèce en voie de disparition. La scène, surréaliste, s’est déroulé à l’aéroport de Suvarnabhumi, en Thaïlande. L’homme était déjà connu des services de police Thaïlandais pour trafic d’espèces animales. La jeune femme à qui appartenait le sac, et qui voyageait de Madagascar à Bangkok, a également été arrêtée. La tortue de Madagascar a été découverte par le zoologiste français Léon Vaillant en 1885. Sa carapace, en forme de dôme très prononcé, est de couleur marron clair. Les mâles, plus grands que les femelles, peuvent mesurer jusqu’à 43cm. Cette espèce est aujourd’hui en voie de disparition et moins de 500 tortues de Madagascar peupleraient aujourd’hui encore l’île. La forte diminution ces dernières années du nombre de ces tortues est due à la dégradation de leur habitat naturel ainsi qu’au trafic. Par chance, les 54 tortues découvertes étaient encore en vie lorsque la police les a confisquées. Pour une raison simple : elles n’étaient pas destinées à êtres mangées, mais à être revendues vivantes. Nous espérons vivement que les autorités thaïlandaises feront un exemple en condamnant largement les deux personnes interpellées, ainsi que les autres éventuels responsables de ce trafic pour le moins scandaleux. Et que les tortues pourront rapidement regagner leur île. Source
  19. Animaux – Insolite : Une petite fille de neuf ans, Krista Guarino, aime les reptiles et notamment un serpent tout blanc… Source
  20. Le public était au rendez-vous du premier salon des Nouveaux animaux de compagnie (NAC), qui s’est tenu ce week-end à Saint-Aquilin-de-Pacy (Eure). Une rencontre organisée à l’initiative de l’association L'Oeil du Croco. Plus de 1000 personnes sont venues admirer les reptiles lors de ce premier salon consacré aux Nouveaux animaux de compagnie. Un événement qui était doublé d’une bourse d’échanges. La loi respectée scrupuleusement Les membres de l’association organisatrice (l’Oeil du Croco) n’ont rien de charmeurs de serpents. La loi très stricte en la matière a été scrupuleusement respectée. En accord avec les services vétérinaires, aucun reptile venimeux, aucune espèce en voie de disparition, n’ont été présentés au public. Source
  21. Un enfant de 8 ans a été mordu par une araignée mortelle après avoir confondu l'arachnide avec un jouet en plastique. Brayden Martz, un garçon de 8 ans qui réside à de Saratoga en Nouvelle-Galles du Sud en Australie, voulait faire peur à son grand frère Ryan, 11 ans. Il a donc ramassé ce qu'il a pris pour une araignée en plastique pour la lui montrer. Mais l'araignée était tout ce qu'il y a de plus réelle et elle était dangereuse qui plus est puisqu'il s'agissait d'une espèce appelée Atrax robustus, une mygale mortelle également surnommée "sydney funnel web spider". La mygale lui a mordu le doigt et ne voulait plus le lâcher. "J'ai essayé de le secouer mais elle ne se détachait pas", confie-t-il au Central Coast Gosford Express Advocate. En entendant les hurlements de son fils, Anne, la mère de Brayden et sa fille Ally âgée de 15 ans se sont précipitées vers lui. Ally lui a fait un bandage de compression pendant que sa mère appelait les secours, qui sont arrivés sur les lieux moins de dix minutes plus tard. L'enfant a donc pu recevoir l'anti-venin à temps. Pour la mère de Brayden, il est indispensable que tous les parents soient au courant des gestes à faire en cas de morsure d'araignée potentiellement mortelle à savoir rassurer la victime, l'allonger et immobiliser le membre mordu avec un bandage compressif. Source
  22. Le 15 février dernier, à Middelsboro, dans le Kentucky, Jamie Coots, un prédicateur pentecôtiste américain est mort des suites de la morsure du serpent qu'il manipulait au cours d'un culte. Adepte d'une pratique appelée le "snake salvation" (le salut du serpent), impliquant la manipulation publique de serpents dangereux, le pasteur se référait à un passage de la Bible pour tenter de prouver que toute personne "ointe par le Saint-Esprit" pouvait résister à la morsure d'un de ces reptiles. Cette histoire a fait le tour des USA, et a été très médiatisée: le pasteur Coots était le héros d'une émission de télé réalité diffusée sur la chaîne National Geographic Channel. Cette pratique est interdite dans plusieurs états américains, mais est devenue une tradition depuis un siècle dans quelques églises de certains comtés ruraux. Le site TMZ, d'ordinaire plutôt en pointe sur les péripéties des people, a néanmoins enquêté sur le sujet. En retournant à Middelsboro, il a découvert que le crotale tueur était, lui, toujours en vie. Au lieu de Jamie Coots, c'est son fils, Cody, qui le manipulait, dans cette étrange cérémonie de danse avec des reptiles et de jeu avec le feu (voir la vidéo plus bas). Cody Coots a affirmé au site d'information qu'en cas de morsure, il s'opposerait à tout traitement, comme son père l'a fait avant lui. Et comme le fondateur de ces rituels, George Hensley, mort en 1955 après avoir été mordu par un serpent qu'il manipulait. Source
  23. Le terrarium de Plouagat compte depuis peu un nouvel arrivant, un mamba noir. Ce serpent d'1,80 m est arrivé en France illégalement. Le terrarium de Kerdanet à Plouagat compte un nouveau serpent : un mamba noir. « Actuellement, il est âgé de 2 à 3 ans environ et il mesure 1,80 mètre et peut atteindre 4 m, il est très venimeux, très rapide dans ses déplacements, très agile dans les arbres ou sur les moindres supports ou points d’appuis », précise Pierre Quistinic, qui dirige le terrarium. L’animal a une histoire rocambolesque : il a été introduit illégalement en France par un particulier suivi par un journaliste télé. Lors de la projection du reportage, les techniciens de l’environnement (ONCFS) ont pu reconnaître l’environnement du particulier et intervenir pour verbaliser. Les animaux ont été saisis et placés en garde. Source
  24. Un géant crocodile de quatre mètres de long a été repéré aux alentours de midi à Broome, en Australie. Le 22 février dernier, le reptile s'est accordé une session "surf" sur la Cable beach avant de reprendre la route sept heures plus tard vers un nouveau spot. Source
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