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Max|mum-leterrarium

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Tout ce qui a été posté par Max|mum-leterrarium

  1. La commune d'Avenches participe à une opération de ProNatura visant le retour d'espèces d'amphibiens en déclin. Les ornières remplies d'eau font des mares idéales pour les sonneurs à ventre jaune. Les tas de bois au bord leur servent également d'abri. Image: Jean-Paul Guinnard Dans le cadre de sa campagne «Des gouilles pour les grenouilles», ProNatura a lancé une opération qui vise à recréer des biotopes pour les amphibiens en mal d'abri, comme le sonneur à ventre jaune ou la rainette verte. Avenches a répondu positivement à l'appel de l'association de protection de la nature, comme une vingtaine d'autres communes de Suisse romande. Avec les drainages et les canalisations des cours d'eau, les biotopes naturels sont devenus rares et certaines espèces de grenouilles ont quasiment disparu. Environnement adapté au sonneur à ventre jaune, le bois de Pâquis devrait accueillir de nouveau ce type de grenouille bientôt. En tout cas, tout a été fait pour encourager ce retour. Cette espèce a besoin de «mares en chapelets», sorte d'alignement de petites gouilles. Après avoir effectué des travaux, le service forestier a donc laissé de grosses ornières dans le sol meuble, ornières qui formeront des étangs temporaires idéales pour les sonneurs. «Les promeneurs peuvent être interpellés par le "chenis" de ce bout de forêt, sourit Jean-Louis Scherz, municipal d'Avenches. Mais ce désordre est utile à l'équilibre de la nature.» Découvrez l'intégralité de cet article dans l'édition de 24heures du 1e avril. (24 heures) Source
  2. Une vipère venimeuse a été capturé samedi soir dans une baignoire d’un appartement résidentiel situé au premier étage de la rue Dan, dans le nord de Tel Aviv. C’est un miracle que personne n’ait été blessé. L’incident s’est produit dans la nuit, alors que parents et enfants dormaient profondément . Soudain, ils ont entendu des bruit. Après une fouille minutieuse de l’appartement pour trouver l’intrus, ils ont ouvert la porte de la salle de bain et ont decouvert une vipère de 1,30 mètres de long, lovee dans la baignoire. Ils ont fermé la porte et ont immédiatement appelé les secours. Amit Cohen, spécialiste dans la capture de serpents, s’est rendu sur place et il a pu attraper l’animal. Selon lui, le serpent a trouvé son chemin vers la maison en passant par la cour puis par le jardin. Amit Cohen a déclaré : » Une morsure de ce type de serpent peut provoquer la mort « . Au Final, le serpent a été donné à un parc zoologique… par Lez Benayoun pour Tel Avivre - Source
  3. Ce chat n'a peur de rien et surtout pas d'un alligator qu'il va défier. Source
  4. NAMUR - Ce jeune couplede la région namuroise a volé pour financer sa toxicomanie. Un peu de tout, et même… un caméléon. Ils faisaient ménage à trois. Elle, née en 1984. Lui, né en 1990. Et puis l’héroïne. Ils vivaient à la marge, en squat, en rue parfois. Il leur fallait de l’argent, absolument, pour financer leur consommation. Alors ils se sont lancés dans la cambriole. Devant le tribunal correctionnel de Namur, ils sont poursuivis pour trois faits perpétrés en région namuroise. Juin 2012. Le prévenu fouille une maison et dérobe notamment des bijoux. Le fils de la maison, 14 ans, rentre chez lui et tombe nez à nez avec le cambrioleur. «Salut mon pote, je me suis trompé de maison», dit ce dernier en quittant les lieux. Le jeune garçon a été traumatisé par cet épisode. C’est la prévenue qui avait renseigné la maison, dont elle connaît les propriétaires. Août 2012. Le jeune couple s’introduit dans une habitation et dérobe un… caméléon dont il sait qu’une connaissance sera intéressée. Valeur de l’animal: 300€. C’est la jeune femme qui a emporté la bête, son compagnon étant rebuté par son aspect. Septembre 2012. Le prévenu cambriole la maison d’une dame âgée alors que celle-ci vit en maison de repos. Pas de chance pour lui, les fils de la dame débarquent justement. La prévenue, qui faisait le guet dans sa voiture, démarre en klaxonnant pour prévenir son compagnon. Une bagarre éclate avec les fils, qui seront blessés. Relation toxique Le parquet réclame une peine de deux ans pour le prévenu, dont le casier est lourd d’antécédents spécifiques, et une peine d’un an avec sursis pour la prévenue. Le jeune homme se défend sans avocat. Il explique que la prison, où il est détenu pour d’autres faits, l’a bien fait réfléchir. «J’ai compris beaucoup de choses», assure-t-il. La jeune femme est défendue par Me Leloup. Celui-ci explique que sa cliente, mère de deux enfants, a agi sous la coupe de son ex-compagnon, qui était très violent avec elle. La jeune femme est aujourd’hui sortie de cette relation toxique et se reconstruit avec un autre homme. Elle espère une peine de travail. Jugement le 25 avril.A. Deb. Source
  5. L'installation d'un couple de varans, depuis mercredi, annonce l'extension de la Ferme aux crocodiles avec mangrove et fosse aux reptiles dès 2015 Devant les photographes en embuscade, l'équipe de soigneurs de la Ferme aux crocodiles procède au lâcher des varans dans le terrarium. Le mâle a rapidement pris place sur une branche de bois mort tandis que la femelle, très apeurée, s'est terrée au fond de l'habitacle. PHOTO ANGE ESPOSITO En début de semaine, Samuel Martin, médecin vétérinaire directeur de la Ferme aux crocodiles, a accueilli les tout premiers lézards de l'histoire du site, un couple de varans crocodiles. PHOTO ANGE ESPOSITO Devant les photographes en embuscade, l'équipe de soigneurs de la Ferme aux crocodiles procède au lâcher des varans dans le terrarium. Le mâle a rapidement pris place sur une branche de bois mort tandis que la femelle, très apeurée, s'est terrée au fond de l'habitacle. PHOTO ANGE ESPOSITO Petite révolution, mercredi, à la Ferme aux Crocodiles de Pierrelatte qui accueillait les tout premiers varans de son histoire."C'est un crocodile qui grimpe dans les arbres !" lançait avec une joie enfantine aux mômes médusés devant le terrarium, Samuel Martin, médecin vétérinaire à la direction du parc animalier depuis 2005. Sauf que si ces deux nouveaux locataires, provenant d'un élevage espagnol, appartiennent à la famille des varans- crocodiles, ils ont comme leurs "cousins éloignés" à longues mâchoires la particularité de croître toute leur vie, ce sont d'authentiques lézards. Et les plus gros du monde ! Âgés de 3 ans, ce couple destinés à se reproduire (une seconde femelle du zoo de Chester doit arriver en renfort d'ici la fin du mois) mesurent déjà 1,20 m pour la femelle et 2 m pour le mâle qui atteindra les 3 m de long. Impressionnants ? Plutôt impressionnés voire en grand stress à l'heure de la présentation au public et aux photographes. Mais impressionnants de beauté car dotés de cette peau comme mouchetée à la feuille d'or convoitée, entre autre, dans leur pays d'origine, la Nouvelle Guinée, pour la confection de tambours traditionnels. Des dragons du Komodo attendus en avril Pour la Ferme aux Crocodiles qui, depuis sa création, s'inscrit au delà de l'entreprise touristique, dans une démarche de protection des espèces menacées, c'est l'occasion de participer à leur survie. Mais l'arrivée des varans préfigure aussi la future mue du site en exotarium avec à terme 10 000m2 couverts au lieu des 8500m2 existants. "Je concrétise des rêves de gosse" glisse Samuel Martin qui, adolescent, venait déjà nourrir les serpent, crocodile et singe d'Eric et Luc Fougeirol, fondateurs de la Ferme, quand ces derniers n'étaient encore que des amateurs passionnés. "C'est le lancement visible de projets de diversification qu'on avait dans les cartons depuis longtemps mais qui, dans un contexte de réglementation internationale complexe, a demandé trois ans d'études et d'instruction de dossiers". Des travaux vont en effet commencer d'un montant glogal de 5M€ pour accueillir d'autres espèces. "Nous envisageons des paliers d'extension de 1500m2 par an" poursuit le directeur qui prévoit d'aménager, dans une seconde serre de 4 000m2, d'autres aquariums, une savane pour lézards désertiques, un vivarium vertical pour reconstituer les différents étages d'une forêt tropicale. Il annonce déjà une fosse aux reptiles pour 2015 et une mangrove aux varans de 200m2 d'ici 2016. Un autre événement se prépare pour le 15 avril. L'arrivée à Pierrelatte d'une pouponnière de jeunes dragons du Komodo d'un an et demi qui devraient devenir la nouvelle attraction animalière du sud Drôme. Lézards, oiseaux, poissons et une majorité de reptiles viendront enrichir dans les années futures la faune de la Ferme qui ne sera d'ailleurs plus à proprement parler aux crocodiles.Loin de verser une larme, Samuel Martin confie réfléchir à un nouveau nom. "De nouvelles perspectives scientifiques" Pari fou d'amoureux du genre reptilien, la Ferme a tout de suite acquis la caution scientifique du Museum d'histoire naturelle avec lequel, en 2007, elle réalisa la reconstitution d'un squelette de Sarcosuchus Imperator, crocodile géant du crétacé. Son laboratoire et son écloserie in situ attirent des chercheurs d'universités françaises et européennes. "Le varan nous permet de diversifier notre collection. L'espèce se reproduit bien en captivité et nous tablons sur des oeufs dès 2015" indique Adrien Tomas, responsable zoologique. "Ce qui nous ouvre de nouvelles perspectives en terme d'études scientifiques pour la connaissance et la préservation des espèces."Avec d'autres partenaires, la Ferme a par ailleurs acquis des forêts tropicales à Sumatra en vue d'y réintroduire un jour des faux gavials et des gibbons. 1994 Lâcher des crocodiles et ouverture au public par Luc et Eric Fougeirol de la première serre chauffée alors par les rejets thermiques d'Eurodif. 1998 1re extension, création d'un laboratoire, d'une écloserie et d'une nurserie visibles par le public. 2000 Arrivée de gavias du Gange. 2002 Arrivée de tortues géantes (Seychelles et Galapagos). 2005 Arrivée de Samuel Martin à la direction de la Ferme. 2007 Reprise du site par le groupe Montparnasse 56. 2009 Arivée de tortues géantes aquatiques (Amazonie) 2010Arrivée d'un couple d'alligators albinos. Nouvelle extension extérieure de 4000m2. Mars 2014 Arrivée des varans crocodiles. Source
  6. Comme chaque matin, Olivier Marquis, gestionnaire de la collection reptiles, amphibiens et invertébrés, fait le tour de ses pièces d’élevage pour vérifier ses terrariums et l'état de santé des individus de la collection. Dans la pièce des reptiles méditerranéens, il nous présente les nouveaux arrivants : les caméléons communs (Chamaeleo Chamaeleon). Le caméléon commun (Chamaeleo Chamaeleon) est une espèce de sauriens de la famille des Chamaeleonidae qui vit sur le pourtour méditerranéen (Sud de l’Espagne et Afrique du Nord). C'est un reptile diurne et arboricole, qui chasse divers insectes et arthropodes. Les caméléons retirés d'une détention illégale Fait peu commun, ces caméléons-ci sont nés en captivité, chez un particulier, et lui ont été retirés avant d’être confiés au Parc zoologique de Paris. En effet, l’espèce est protégée en Europe par la Convention de Berne et sa détention fait l’objet d’autorisations particulières. Or l'espèce est très facilement commercialisée aux touristes dans les pays d’Afrique du Nord. Au quotidien, Olivier Marquis s’assure du bon fonctionnement des équipements nécessaires à la représentation du milieu naturel dans les terrariums, qu'ils s'agissent du climat, de l'éclairage, de la végétation ou encore de l'approvisionnement en nourriture. Pour les caméléons communs, l'approvisionnement en eau se fait donc par un système de goutte à goutte provenant du dessus du vivarium pour reproduire les conditions de vie en milieu naturel. Comme l'explique le curateur : " Instinctivement ils ne boivent que l'eau de pluie qui leur tombent dessus. Un caméléon dans un terrarium où il y a juste une gamelle d'eau au sol peut très bien mourir de soif car pour lui, descendre au sol pour aller boire est source de danger, ce n'est pas un comportement naturel ". Les caméléons communs seront présents dans les vivariums de la biozone Europe, abrités sous le Grand Rocher. Pour plus d'informations, rendez-vous sur le site du Parc zoologique de Paris Source
  7. Caroline a eu la peur de sa vie quand elle a découvert un serpent dans son lit prêt à la mordre. L’animal lui a finalement sauté à la poitrine et lui a mordu… le sein. Heureusement, le serpent n’était pas venimeux. Caroline Griffin, 49 ans, a cru à une mauvaise blague de ses enfants. Elle a finalement remarqué qu’il y avait bien un serpent en train de se balader sur son corps, sous ses draps de lit. « J’ai eu la peur de ma vie quand je l’ai vu bouger », explique Caroline au Daily Mirror, qui conte l’histoire. « J’ai commencé à crier et il m’a tout de suite sauté à la poitrine pour me mordre au sein », continue-t-elle. Elle a alors sauté de son lit, avec fracas, mais ses enfants ont d’abord eu comme premier réflexe de… prendre des photos du serpent pour les montrer à leurs amis. « Le serpent a laissé deux morsures douloureuses, et on peut voir encore la marque des crocs », affirme Caroline, pas du tout amusée par l’histoire. Le serpent venait en fait de son voisin, Gareth Niven, qui a de suite été interpellé par les cris. Il est rapidement venu dire à sa voisine que le serpent n’était pas du tout venimeux. « Il n’avait jamais mordu quelqu’un avant et a probablement réagi aux cris de Caroline », explique le jeune propriétaire de 21 ans. Finalement, Caroline ne subira d’aucune blessure, si ce n’est la morsure encore marquée dans sa chair. Mais rien de bien grave… Source
  8. CHRONIQUE - Cinq étudiants ingénieurs viennent de recevoir le prix Art Science. Pokiwa - c'est le nom de leur projet - prévoit de produire de l'énergie grâce aux insectes. Des étudiants ont été récompensés pour leur projet intitulé Pokiwa, qui permet de créer de l'électricité grâce aux insectes. Grâce à un système de capteurs, ils utilisent à la fois les sons produits par les bêtes et leurs déplacements. Le tout sans jamais ni les capturer, ni même les toucher. Le principe consiste à installer des rangées de fleurs artificielles, sur lesquelles seront fixés deux types de capteurs. Une ressource inépuisable Tout d'abord des capteurs sonores, qui transformeront en énergie les ondes émises par les bourdonnements et les chants des insectes. Par exemple celui d'un grillon, qui peut monter jusqu'à 100 décibels. Or il est possible à l'heure actuelle de produire de l'énergie à partir d'un bruit de seulement 60 décibels. Il suffira donc que l'insecte vole à moins de 50 cm des fleurs pour que les micros enregistrent le son. Les autres capteurs, eux, transformeront en énergie les vibrations émises par les insectes lors de leurs déplacements. Quand ils volent, par exemple. La ressource est pratiquement inépuisable, puisqu'on estime qu'il y a sur Terre 137 millions d'insectes pour un être humain. Ensuite, l'énergie ainsi produite servira à alimenter des batteries, qui permettront de produire de l'électricité à petite échelle. Il sera ainsi possible d'alimenter une lampe par exemple. Les cinq étudiants à l'origine de ce projet vont tester leur invention en vrai pendant l'année, dans le Sud de la France. D'ici deux ans, ils espèrent pouvoir fournir de l'électricité aux populations des bidonvilles de Manaus, en Amazonie. Car c'est une région où il y a beaucoup d'insectes - des gros spécimens, de plus. Source
  9. ROME, 19 mars - RIA Novosti Le fossile d'un mésosaure vieux de 75 millions d'années a été découvert dans la région italienne de Romagne (centre), rapporte mercredi le journal Corriere della Sera. Des fragments d'os du reptile ont été retrouvés en 2010 dans une grotte se trouvant à proximité de la ville de Novafeltria. Par la suite, les chercheurs sont parvenus à déterrer le fossile du dinosaure long de 11 mètres. La découverte a été rendue publique après la réalisation d'une série d'analyses à l'Université de Bologne. Il s'agit du plus gros fossile d'un mésosaure jamais découvert sur le territoire italien. Le mésosaure est un genre éteint de reptiles, considéré comme l'ancêtre des serpents et des lézards modernes. Source
  10. Un serpent au salon de beauté Il était 20 h 30 lundi soir quand les pompiers de la Plaine-des-Cafres ont débarqué dans un institut de beauté. L’objet de leur intervention : un serpent en balade. En l’occurrence une vipère selon les sapeurs-pompiers. Seul hic : il n’y a pas (en principe…) de vipères à la Réunion, seulement des couleuvres. Quoi qu’il en soit, l’animal a été neutralisé par les secours. Source
  11. Trois braconniers à la grenouille ont été interpellés à Landeyrat dans le Cantal. La pêche de la grenouille est en partie protégée et surtout interdite en période de fraie. Ce trafic était probablement destiné à alimenter une clientèle de particuliers et de professionnels. C'est sur les plateaux du Cézallier cantalien que les braconniers opéraient. Habitants du territoire, ils savaient que dès les premiers redoux de l'hiver, la concentration de grenouilles étaient sur ce secteur très forte. Les agents de l'office nationale de la chasse et de la faune sauvage et les gendarmes ont mis leur forces en commun pour déjouer le braconnage. Les trois hommes interpellés en fin de journée samedi dernier ont à l'aide de nasses métalliques, posées la veille, ramassé plus d'un millier d'amphibiens. Sans être inquiétés, ils auraient ainsi pu faire un véritable carnage sur une espèce fragile. Après chaque levée de nasse, les trois braconniers passaient à la deuxième phase de leur méfait, pendant que l'un des trois tranchaient les grenouilles vivantes sur un billot de bois, les autres épluchaient les pattes arrières. Capture illicite, transport, mutilation et probablement mise en vente, les trois braconniers auront à répondre de fautes graves. S'ils savent que les zones de pontes se raréfient et qu'ils ont peu de temps pour prélever les grenouilles, les braconniers doivent savoir que les autorités redoublent de vigilance car il y a deux ans dans le Cantal, pour des infractions similaires, les contrevenants avaient été condamnés à de lourdes peines. Source
  12. Les pompiers de Liège ont été appelés au magasin Aldi de Bressoux, vers 15h30 ce jeudi, pour venir récupérer… un serpent d’environ 70 centimètres qui se baladait sur le parking de la grande surface. La bestiole a été emmenée à l’administration communale de Liège et y restera le temps qu’un propriétaire se manifeste. Un élaphe d’une vingtaine de centimètres. Le serpent récupéré par les pompiers liégeois est un élaphe d’environ 70 centimètres. Ce type de couleuvre que l’on rencontre en Eurasie, en Autriche et en Croatie jusqu’en Chine et au Japon, peut mesurer jusqu’à deux mètres à l’âge adulte, pour les plus gros spécimens. Le reptile sera conservé à l’administration communale durant maximum 45 jours. Source
  13. Un jeune chinois a appris à ses dépens qu’il vaut mieux ne pas jouer avec les espèces dangereuses. Et la tortue serpentine en fait partie… Il y a des cas exceptionnels où l’homme parvient à créer une complicité avec un animal dangereux. Nous vous avions présenté récemment l’incroyable histoire de Kevin Richardson qui fait des câlins aux lions. Ce Chinois de la province de Fujian n’a malheureusement pas les mêmes facultés… Il prend fièrement la pause avec sa belle tortue. La tortue serpentine a une mâchoire coupante comme un rasoir. Il approche malgré tout l’animal de sa bouche pour l’embrasser. L’animal n’avait pas envie de faire des bisous… L’homme a dû être emmené à l’hôpital pour faire soigner sa blessure. Attention donc à cette espèce de tortue. Elles deviennent féroces quand on les dérange… Source
  14. Alors que débute la saison de ponte, le réseau tortues multiplie les actions de sauvetage. Au cours des dernières semaines, trois tortues marines d'espèces différentes ont été rendues à la mer après leur passage au centre de soin de l'association Igrec Mer, hébergée à l'Aquarium de Guadeloupe. Le 4 février, une jeune tortue verte a été remise à l'eau à partir de la plage à Fifi, à La Désirade. Affaiblie, elle avait été récupérée deux mois auparavant par des Désiradiens sur la plage de l'anse de l'Échelle. Elle avait ingéré un bas de ligne muni de plusieurs hameçons qu'il était impossible d'enlever sans intervention chirurgicale. Elle avait été transférée via la vedette maritime vers la Grande-Terre, pour être acheminée au centre de soin des tortues marines. Le 14 février, c'est une jeune tortue imbriquée qui regagne la mer. Âgée d'environ 2 ans avait été trouvée en difficulté le 11 février, par un club de plongée de Saint-François. Transféré au centre de soins par des éco-volontaires du RTMG et jugé en bonne santé après quelques jours d'observation, l'animal a pu rapidement regagner son milieu naturel. HUIT MOIS DE CONVALESCENCE Le plus bel exploit du réseau concerne une tortue olivâtre. Cette tortue rarissime dans les eaux de l'archipel guadeloupéen - 3 observations réalisées ces 12 dernières années concernant exclusivement des tortues blessées-était présente au centre de soin depuis le 16 juin. Recueillie à Sainte-Anne, la tortue n'avait plus de patte avant gauche, très probablement suite à un emmêlement du membre dans une ligne de pêche de surface. Par ailleurs, sa patte avant droit était cassée. Enfin, de l'air s'était accumulée dans sa carapace, l'empêchant de plonger pour se nourrir. Dès la fin juin, une opération avait permis d'intervenir sur la luxation du membre antérieur droit et de positionner en plus une petite plaque en inox sur le plastron pour colmater une fêlure et empêcher ainsi l'air de pénétrer. Après avoir grossi de 6 kg pendant son séjour au centre, la tortue olivâtre a retrouvé toute sa vitalité et ses facultés à plonger. Après 8 mois de convalescence, elle a rejoint les eaux bleues à plus de 2 milles au large de Saint-François. En savoir plus : www.tortuesmarines-guadeloupe.org Dépouillée de sa carapace Un cadavre de tortue verte a été découvert récemment, échoué sur la plage des Galbas (Sainte-Anne). La longueur de la carapace-en parfait état - de cette femelle tortue verte adulte était de 110 cm. La tortue ne présentait pas de blessures apparentes. Le lendemain matin, un agent de l'office de la chasse (ONCFS) s'est rendu sur la plage des Galbas pour constater l'échouage, et a découvert que la tortue avait été dépouillée de sa carapace. Ce prélèvement est un acte rare, assimilé à du braconnage au regard de l'arrêté du 15 octobre 2005. Les carapaces de tortues sont principalement utilisées dans un but décoratif. Le service mixte de la police de l'environnement réalise chaque année plusieurs saisies de carapaces de tortues marines, principalement chez des restaurateurs. Un plan de restauration Depuis 1991, un arrêté préfectoral protège intégralement toutes les espèces de tortues marines, ainsi que leurs oeufs, sur l'ensemble de l'archipel guadeloupéen. Il a été renforcé en 2005 par un arrêté ministériel incluant notamment la protection des habitats des tortues marines. En 1999, à l'initiative de la direction régionale de l'environnement et de l'association AEVA, un programme de conservation des tortues marines est lancé sur l'ensemble de la Guadeloupe. Ce programme prend la forme d'un plan de restauration d'espèces qui s'intitule Plan de restauration des tortues marines des Antilles françaises. Ce document compte tenu du constat de chute importante des effectifs, propose une stratégie déclinée en différents objectifs, afin de permettre une hausse des effectifs. Le plan est en cours d'application par le Réseau tortues marines Guadeloupe animé de 2004 à 2008 par l'association Kap'Natirel qui a coordonné la mise en place d'actions de conservation. Ces missions sont assurées depuis le 1er février 2009 par l'Office national de la chasse et de la faune sauvage. Aujourd'hui, plusieurs programmes européens permettent le financement des actions, et une réflexion s'opère autour de la mise en place d'un projet interrégional Martinique-Dominique-Guadeloupe. Source
  15. L'utilisation de graisses animales pourraient donner un coup de pouce "environnemental et économique" à l'industrie des biocarburants, selon des chercheurs de l'Université de Louisiane (USA), qui ont conçu un nouveau process pour la production de biocarburants. "La conversion des graisses animales en biodiesel existe depuis un certain temps, mais la production de ce biodiesel traditionnel génère des quantités importantes de déchets solides", a déclaré Thomas Junk de l'UL. "Notre nouvelle méthode génère moins de résidus." La nouvelle étude indique que l'utilisation de graisses provenant d'animaux communs tels que le poulet, le porc et le boeuf s'avérerait être beaucoup plus pratique dans sa mise en œuvre commerciale et pourrait être tout aussi efficace une fois transformée en biodiesel. Le Pr. Junk a expliqué avoir utilisé non pas un réacteur à fonctionnement discontinu, mais à la place, un réacteur à écoulement pour traiter les graisses. "Après avoir paramétré le réacteur, le processus de conversion de graisses - d'alligator - en biodiesel s'est déroulé en quelques minutes (...) c'est important car lors d'une fabrication commerciale, vous voulez produire plus de carburant, le plus rapidement possible." Avec des réacteurs à fonctionnement discontinu, les réactions se produisent l'une après l'autre, en lots séparés, alors que dans un réacteur à écoulement, elles se font à flux constant. Il a indiqué également que le carburant produit à partir de diverses graisses d'origine animale était très similaire à du biodiesel fabriqué selon des méthodes traditionnelles et bien établies, comme la production d'éthanol. "Donc, même si cette approche ne créée pas vraiment un nouveau carburant, il s'agit ici de produire du biodiesel en utilisant un processus plus efficace, avec moins de gaspillage et qui élimine en grande partie les déchets solides", a t-il ajouté. Cette méthode ne nécessite pas de catalyseur. Ils ont utilisé un "méthanol supercritique", qui chauffé à des pressions et à des températures suffisamment élevées prennent des états liquides ou gazeux. Un autre avantage de la méthode supercritique reste qu'il est possible de ne pas extraire préalablement la graisse pour que le processus fonctionne. Elle peut être utilisée sous sa forme brute. Les graisses brutes et le méthanol sont ainsi homogénéisés dans une suspension (mélange semi-liquide), puis introduit dans le système. Cela peut être un processus simple pour un fabricant. Dans une étude précédente, l'équipe du Pr. Junk a établi que la plupart des 700 millions de gallons (ou 26,5 hl) de biodiesel produites aux États-Unis (données 2008) provenaient de l'huile de soja. Toutefois, l'utilisation du soja ainsi que d'autres cultures vivrières demeure une préoccupation importante, car elle a aussi pour conséquence directe d'augmenter les prix des denrées alimentaires. Dans la recherche de carburants alternatifs (biodiesel), les scientifiques ont découvert que la graisse provenant des déchets d'alligator, qui représentent quantité de tonnes jetés chaque année, pourraient également fonctionner. Leur expérience a montré que l'huile extraite de la graisse d'alligator pouvait facilement être convertie en biodiesel. Et maintenant, ils envisagent donc de tester d'autres graisses animales comme celles des poulets et des vaches. Ils prévoient que ces graisses peuvent également être facilement converties en biodiesel avec le système de réacteur à écoulement. Source
  16. FOREST - Plus écolo que la bidoche, l’insecte atterrit dans nos assiettes. Mais comment le mitonner? Conseils d’expert avec la pizza Jiminy (comme le criquet dans Pinocchio), spécialité des entomophages de Bugs in Mugs. Et réactions de ceux qui s'y sont risqués... «Si vous les grignotez comme ça, arrachez les ailes. C’est pas agréable sous la dent». Ce n’est pas un poulet qu’on croque vite fait au marché durable de Forest, mais un grillon. Séché. Au goût, l’insecte zébré de 2 cm rappelle la crevette. «Le poisson. C’est ce qu’on me dit parfois», acquiesce Gaëlle, aux fourneaux de Bugs In Mugs. «Je le rapproche plutôt des noix, des fruits secs. Il est pas mal dans les pizzas. C’est surtout un goût inconnu. Alors on essaye d’y déceler des saveurs plus familières». Créé il y a un peu moins d’un an, le food-truck bleu coléoptère de Gaëlle Brée et Olivier Botman mitonne les insectes à toutes les sauces, de festivals en marchés bio. Car on commence à le savoir: ces bestioles sont bourrées de protéines. Elles remplacement donc steak et œufs. Leur élevage est surtout nettement moins gourmand en eau et CO2 que celui de la viande. «Les insectes, c’est écolo. Mais on n’insiste pas assez sur leur saveur. Pour dépasser le dégoût, cette image grouillante, il faut tester». Pizza aux grillons, cookies aux sauterelles, tapenades de ténébrions… On a butiné les recettes de Bugs in Mugs. Mais qu'en pensent les aventureux clients de Bugs in Mugs...? Source
  17. Une nouvelle étude met en évidence le sens de l’orientation inné chez les pythons birmans. Selon les chercheurs, le serpent qui envahit depuis quelques temps le parc des Everglades, en Floride, serait capable de retourner chez lui et ce, même après avoir été déplacé sur des dizaines de kilomètres. Le python birman est doté d'un exceptionnel sens de l'orientation par Gentside Découverte Lorsqu’il s’agit de retourner chez lui, le python birman (Python bivittatus), fait preuve d’étonnantes facultés d’orientation. Une nouvelle étude suggère que ce redoutable reptile est capable d’effectuer un parcours sans faute pour retourner à son domicile et ce, même après avoir été déplacé sur des dizaines de kilomètres. 

Pour en arriver à de telles conclusions, les chercheurs ont capturé six spécimens dans les marais du parc national des Everglades, situé en Floride, aux Etats-Unis. Pour les besoins de l’expérience, les serpents ont tous été équipés d’émetteurs radio puis enfermés dans des boites en plastique afin de pouvoir être transportés sans encombre. Les créatures ont été ainsi déplacées du point de leur capture sur des distances variant entre 21 et 36 kilomètres. 

 A l’arrivée, les reptiles ont été relâchés. Grâce à leur équipement électronique, les chercheurs sont parvenus à suivre les déplacements, trajectoires et vitesses des pythons durant les jours suivants leur remise en liberté. Les résultats de ces observations, publiés par la revue Biology Letters de l'Académie des sciences britannique, indiquent qu’après avoir été déplacés les serpents ont tous pris la direction du lieu sur lequel ils ont été capturés. Arrivés à bon port Sur les six spécimens faisant l’objet de l’étude, cinq d’entre eux sont finalement arrivés à bon port avec une marge d’erreur de cinq kilomètres. Le sixième quant à lui a changé sa trajectoire peu avant l’arrivée. Les raisons de ce virement de bord restent pour l’heure inconnues. Entre 94 et 296 jours ont été nécessaires aux pythons pour réaliser cet exploit. Selon les auteurs de l’étude, ces résultats témoignent d'"une nette détermination à rentrer chez eux", et d’un sens inné de l’orientation. "Cette étude démontre que les pythons birmans ont une boussole interne et une carte de navigation", indiquent-ils dans leur publication. Une grande première. Jusqu’à présent, aucune faculté de ce genre n’a été mise au jour chez d’autres espèces de serpents. Selon les chercheurs, cette capacité à s’orienter reflète avant tout la notion de territorialité très présente chez ces reptiles. Cette découverte pourrait d’ailleurs permettre de développer des stratégies de lutte contre cette espèce invasive en conjecturant les régions qu’elle risque de coloniser en priorité. Une espèce envahissante Avec une envergure pouvant atteindre plus de cinq mètres de long, le python birman, représente un des plus grands serpents au monde. Originaire d’Asie, il a commencé à coloniser les Everglades après y avoir été introduit probablement par des propriétaires déraisonnables.Ces dernières années, de nombreuses spécimens montrant des tailles impressionnantes y ont été capturés (vidéo ci-dessus). 

Au sommet de la chaine alimentaire, ce super-prédateur se nourrit d’un large panel de spécimen allant même jusqu’à attaquer des coyotes ou des alligators qu’il avale entièrement après les avoir étouffées. Actuellement, sa présence menace de faire disparaître un certain nombre d’espèces locales. Source
  18. www.ledauphine.com/images/0EA4FC74-D4D7-49AD-B6C5-913AD755DDF2/LDL_V0_06/photo-le-dl.jpg" border="0" alt="" /> Josie, une habitante de La Tour-du-Pin vient de retrouver Sophie, sa tortue, trônant avec cinq œufs dans un bac à fleurs. Le problème ? Ce n’est pas du tout la saison de la ponte pour ces espèces terrestres, encore moins en Nord-Isère, sans compter que Sophie ne vit qu’avec Caroline, une congénère qui, comme son nom l’indique, est une femelle et que d’après sa propriétaire, l’animal transmis dans sa famille depuis trois générations est aujourd’hui âgé de 114 ans. Un énoncé qui laisse « très dubitatif » le directeur du Village des tortues de Gonfaron (Var), structure qui fait référence en la matière : « Je ne vois pas d’explication biologique cohérente. » Source
  19. Pour évaluer leur capital génétique en milieu urbain Évaluer l'impact de l'environnement citadin sur la faune et la flore locales, tel est le défit que se sont lancés des chercheurs de l'EPFL, dans le cadre du projet UrbanGene. Pour ce faire, les scientifiques ont jeté leur dévolu sur quatre espèces présentes en très grand nombre dans la région genevoise : le crapaud commun, le Myrtil et la Piéride - deux papillons - ainsi que le grand plantain, une plante herbacée. Pour les soutenir dans leurs tâches, les professeurs invitent les particuliers à leur communiquer les lieux d'habitation des crapauds communs dans l'espace du Grand Genève, sur la page web urbangene. Les chercheurs se rendront ensuite sur place afin de récolter l'ADN des batraciens. L'idée est d'évaluer dans quelle mesure le regroupement des animaux, en raison de zones d'habitat toujours plus cloisonnées sous l'effet du développement urbain, altère la variété génétique des invertébrés. Les mêmes analyses génétiques seront effectuées sur les papillons et la plante herbacée. «L'ADN des plantes se dissémine par le vent, les abeilles et les autres insectes pollinisateurs. Celui des crapauds se transmet par le sol, au gré des déplacements de l'animal d'étang en étang. Enfin, celui des papillons prend la voie du ciel. L'impact du développement urbain sera donc certainement très différent d'une espèce à l'autre», indique le site internet de l'EPFL. Dans un second temps, les biologistes identifieront les différentes représentations que se font les gens de la présence d'animaux en milieu urbain. Enfin, ils mesureront l'influence de la faune et de la flore sur la santé et le bien-être des citadins. «Ce projet se déroule, en parallèle, à GreenTrace, une initiative de chercheurs issus de l'EPFL, de l'Université de Lausanne, de l'Université de Genève et des HUG destinée à étudier le rôle et l'importance de la biodiversité en milieu urbain», conclut la page web de l'EPFL. Source
  20. Yanik Maufras ramasse les crapauds pour les mettre en sécurité mais ne veut pas aller contre le phénomène naturel : « S'ils ne sont pas sur la route, je les laisse. Ils vivent leur vie ». - (Photo NR, Éric Pollet) Alerté par le nombre d’amphibiens écrasés sur le quai Métayer, Yanik Maufras vient tous les soirs les faire traverser en sécurité pour éviter l’hécatombe. Encore un qu'on n'a pas pu sauver ! lance Yanik Maufras en pointant du doigt un crapaud écrasé sur la route le long du quai Métayer. Tous les soirs depuis le début de la semaine, ce retraité, trésorier de l'association Deux-Sèvres Nature Environnement (DSNE), passe une heure à ramasser les crapauds qu'il trouve sur la voie pour les faire traverser en toute sécurité. Entre février et avril, la période de l'année est critique. Avec l'arrivée du printemps, c'est la reproduction qui commence. Le temps des transports amoureux… « A la tombée de la nuit, quand il fait doux et humide, ils quittent les jardins et les prés pour aller se reproduire dans l'eau », explique le retraité. Entre les prés et la Sèvre, une route peu fréquentée, mais les quelques automobilistes qui passent peinent à voir les crapauds dits épineux. L'espèce protégée depuis 2007 est reconnaissable à sa couleur beige, marron, voire noire, et à ses yeux rouges cuivre repérables dans la nuit. En quatre soirs il en a sauvé 45 ! Yanik avait déjà remarqué l'hécatombe en mars 2013. « Cette année, j'interviens », lance-t-il. Vêtu d'un gilet fluo, il dépose délicatement les crapauds qu'il trouve dans un sceau, à l'aide d'une petite pelle en plastique, et les remet dans un pré voisin. Sur un tableau, il recense le nombre de crapauds sauvés et revient sur les lieux le lendemain pour compter ceux qui n'ont pu échapper aux roues des voitures. « Parfois, on les trouve en double quand ils se font écraser en pleine reproduction, raconte-t-il, ça fait deux crapauds et une reproduction en moins d'un coup ». Une illustration funèbre de la petite mort. En quatre soirs, il en a sauvé 45 ! Un vrai travail de fourmi qui ne le décourage pas. Les riverains, eux, sont souvent surpris. Mais Yanik prend le temps de leur expliquer et espère que progressivement ils seront plus vigilants. D'autant plus que l'espèce est une de leurs alliées car les crapauds se nourrissent d'insectes qui nuisent aux potagers. L'association Deux-Sèvres Nature Environnement a également alerté la mairie en novembre dernier. « Creuser un crapauduc – tunnel pour crapauds – semble compliqué ici, reconnaît Florian Doré, chargé de mission amphibiens et insectes de DSNE, par contre il pourrait y avoir des ralentisseurs ou une signalisation temporaire ». Sur l'un des panneaux triangulaires proposés, une voiture avec des taches de sang sous les roues est représentée. Inscrit en dessous : « Sprotch ». Le bruit du choc macabre. Stagiaire NR, Angèle Guicharnaud Source
  21. Une fois par mois, le mardi de 14 heures à 16 heures, le club Connaître et protéger la nature (CPN) l’Héron dans l’eau propose au public une sortie gratuite pour observer la faune et la flore des parcs et sous-bois de la ville. Mardi, la balade s’est dirigée vers les mares de la colline des Marchenelles. « Autour du 15 mars, c’est la période des amours pour les batraciens, précise Anne, l’animatrice, et les crapauds comme les grenouilles migrent vers les mares, pour se reproduire. » Les participants, équipés d’une épuisette, ont été invités à entrer dans l’eau afin d’y pêcher des œufs des batraciens mais également des insectes. Puis, sous forme de jeu, chacun a dû trouver le nom de l’habitant aquatique et déterminer s’il s’agissait d’œufs de grenouilles ou de crapauds. Contrairement aux idées reçues, le crapaud n’est pas le mari de la grenouille et les femelles pondent des œufs contenus dans un chapelet gélatineux. Ils sont un véritable poison pour celui qui voudrait les gober ! Au bout de dix jours, l’œuf devient têtard ! P.B.(CLP) La prochaine sortie est prévue le 8 avril pour découvrir les fleurs des sous-bois. Inscription au 03 20 67 04 24. Source
  22. Des scientifiques d'une équipe internationale et pluridisciplinaire, dont Olivier Béthoux du Centre de recherche sur la paléobiodiversité et les paléoenvironnements (Muséum national d'Histoire naturelle/CNRS/UPMC), ont déterminé que des phasmes avaient développé dès le Crétacé inférieur la capacité d'imiter des plantes de leur environnement. Cette découverte, fondée sur l'étude d'une nouvelle espèce d'insecte fossile trouvée en Chine, est publiée aujourd'hui dans PLOS ONE. Phasme, insecte bâton - Illustration: Wikimedia Commons/HydroSnowFul Les insectes phasmes sont connus pour leurs extraordinaires capacités mimétiques : leur morphologie et leur comportement leur permettent de duper les prédateurs en imitant des branches, des feuilles ou des écorces, essentiellement de plantes à fleurs. Dans le registre fossile, les espèces attribuables avec certitude au groupe des phasmes sont très rares ; jusqu'à présent, celles identifiées comme telles et datant d'avant la diversification des plantes à fleurs ne présentaient aucune adaptation mimétique. À gauche Cretophasmomima melanogramma mâle dont les ailes présentent les bandes sombres caractéristiques, à droite Membranifolia admirabilis. - Illustratons: CNRS MNHN/ O.Béthoux.et F. Jacques Trois spécimens appartenant à une nouvelle espèce fossile dénommée Cretophasmomima melanogramma ont été découverts dans le célèbre gisement de Jehol (Mongolie intérieure, Chine ; Crétacé inférieur, 126±4 millions d'années). Les chercheurs ont démontré avec certitude que cette espèce appartient au groupe des phasmes, grâce à l'identification sur ces spécimens d' " épaulettes " qui recouvrent la base des ailes postérieures au repos. En outre, ils ont également établi que C. melanogramma présente un patron de coloration particulier des ailes, composé d'étroites bandes longitudinales sombres. Ce caractère, propre à l'espèce, suggère que la feuille de Membranifolia admirabilis[1], provenant du même gisement et présentant des bandes sombres similaires, devait être utilisée par C. melanogramma comme modèle pour se dissimuler. Cretophasmomima melanogramma reconstitué dans son environnement. Combien voyez-vous de phasmes ? (l'insecte mangé par le mammifère est une sauterelle) (5) – Illustration CNRS MNHN / Sophie Fernandez Cette découverte démontre que l'imitation de parties de plantes a débuté très tôt chez les phasmes, bien avant la diversification des plantes à fleurs. La diversification d'oiseaux et de mammifères arboricoles insectivores à cette période a pu déclencher l'acquisition de ce type de défense primaire. Source
  23. L'émission Gator Boys est un show télévisé dans lequel deux spécialistes de la chasse au crocodile viennent capturer des alligators retrouvés chez des particuliers. Dans cette scène, les deux hommes interviennent pour déloger un intrus qui se ballade dans une piscine. À mains nues, ils attrapent donc le reptile sans la moindre peur avant de le maîtriser en toute tranquillité. Cet homme attrape un crocodile à mains nues dans une piscine ! par Gentside Si vous vous êtes déjà demandé comment sortir un crocodile d'une piscine, cette vidéo est faite pour vous ! Bien sûr, l'idée peut sembler plutôt absurde par chez nous mais pourtant, c'est quelque chose qui arrive très fréquemment dans certaines régions des Etats-Unis. Notamment en Floride, aux Everglades, où la zone marécageuse favorise la prolifération de crocodiles et où les habitants font régulièrement face à d'immenses alligators dans leur jardin. À tel point qu'il existe des organismes chargés de traquer les crocodiles pour les attraper avant de les remettre dans leur milieu naturel. C'est le cas des Gator Boys, Paul Bedard et Jimmy Riffle, qui ont même depuis peu un programme télévisé qui leur est dédié sur la chaîne américaine American Planet. Un combat acharné Cette vidéo met en scène l'une de leurs interventions après qu'une famille a appelé les deux Gator Boys suite à un alligator retrouvé dans leur piscine. Sans se poser de questions, l'un des deux enfile alors sa combinaison et plonge dans le bassin. Après plusieurs minutes d'une lutte acharnée où il tente de fatiguer le reptile, l'homme arrive finalement à maîtriser l'animal et lui ferme la gueule à l'aide de scotch. Une fois de plus, c'est une intervention réussie pour les deux Gator Boys qui n'ont alors plus qu'à dire au revoir à la famille et ramener le crocodile au sein de son habitat naturel. Il s'est tourné vers les crocodiles à cause du mal de mer Mais si, aujourd'hui, les alligators semblent ne plus avoir de secret pour les deux hommes, cela n'a pour autant pas toujours été le cas. "J'ai commencé dans les Keys, où je travaillais avec des requins. Mes amis balisaient des requins avant de les relâcher. Si je n'étais pas malade en mer, je travaillerais probablement avec des requins aujourd'hui", se confie Paul Bedard au site The Expressionist. Actuellement, c'est pourtant lui le spécialiste des sauvetages dans l'eau. Un exercice qu'il dit apprécier particulièrement. "Mes sauvetages les plus mémorables sont ceux que j'ai effectués dans des piscines. Ce sont les plus amusants car l'alligator ne peut aller nulle part et l'eau est plus claire que n'importe quelle rivière. J'ai juste à y aller et à jouer avec l'alligator jusqu'à ce qu'il se fatigue suffisamment pour que je puisse l'attraper" raconte Paul Bedard. Source
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