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Max|mum-leterrarium

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Tout ce qui a été posté par Max|mum-leterrarium

  1. La Grenouille goliath peut mesurer jusqu’à 300 mm de long et peser plus de 3 kg. À ce titre elle est considérée comme la plus grande grenouille de la planète. Cameroun: La plus grande grenouille du monde par Nzwamba Source
  2. Au cœur du bourg, une belle propriété se cache derrière d’épais murs de pierre. Quelques pas suffisent pour arriver jusqu’à la maison. Deux chiens apparaissent, gambadent joyeusement autour de leur maîtresse. Grande, élancée, Patricia Boitière invite à découvrir ses nouveaux animaux de compagnie, plus généralement nommés par l’acronyme NAC. Ils appartiennent à des espèces autres que celles soumises à la législation sur les carnivores domestiques (chiens, chats et furets). Source
  3. Les joueurs du Standard ont reçu des invités très... spéciaux, jeudi matin, à l'Académie Robert-Louis Dreyfus. L'ASBL Crusoé a présenté ses reptiles aux hommes de Guy Luzon, nous rapportent nos confrères de SudPresse. Si Dino Arslanagic et Ibrahima Cissé se sont montrés courageux face à une couleuvre noire, un python, un varan et un petit crocodile, Michy Batshuayi et Paul-José Mpoku ont préférés prendre la poudre d'escampette! Les joueurs du Standard face aux reptiles (1) par sudpresse Source
  4. Tandis que les équipes de la Planète des crocodiles rafraîchissent le site avant le début de la forte saison, de gros travaux ont démarré cette semaine à l'Ile aux serpent, à La Trimouille, l'autre « zoo » de la société les Reptiles de la Vienne, fermé au public depuis septembre. « Nous sommes en train de refaire les vivariums pour y intégrer des plantes naturelles, indique Fabrice Thête, qui est allé chercher lundi deux nouvelles pensionnaires : deux tortues géantes d'Aldabra. Elles ont quatre ans et ne pèsent encore que 4,5 kg. Mais les adultes peuvent atteindre 300 ou 350 kg. » Pour sa réouverture le 5 avril, l'Ile aux serpents présentera également des serpents sans écailles. Un troisième salarié renforcera l'équipe actuelle à partir de la mi-mars. Source
  5. Mercredi à la Planète des crocodiles à Civaux. Pour le plus grand plaisir des visiteurs présents ce jour-là, les soigneurs ont capturé sept crocodiles sélectionnés pour " la visite médicale ". - (Photo Patrick Lavaud) Un programme d’élevage européen réclame les empreintes génétiques de sept crocodiles de Civaux. La prise de sang, mercredi, n’a pas été de tout repos. Une corde, deux pelles, une serpillère, un rouleau de chatterton, de la poigne et du sang froid : mercredi après-midi, les soigneurs de la Planète des crocodiles étaient mobilisés dans une opération inhabituelle auprès de leurs animaux : il s'agissait d'en capturer sept, sur les 200 du vivarium, afin d'effectuer des prises de sang, destinées à un programme d'élevage européen basé à Leipzig, visant la conservation du crocodile nain d'Afrique de l'ouest. Des specimens de 1,40 m et 35 kg pour les femelles, deux fois plus pour les mâles. La conservation est une des missions « Il s'agit de déterminer leur empreinte génétique pour savoir si nos animaux n'ont pas de problème de consanguinité et permettre au coordinateur de l'espèce de faire des échanges entre zoos d'Europe pour préserver la diversité génétique, explique Fabrice Thête, gérant des Reptiles de la Vienne depuis début janvier avec son associé Luc Fougeirol. Nous sommes volontaires pour ce programme, la conservation est une de nos missions. » Les prises de sang ont été réalisées par Florence Olivet-Courtois, vétérinaire spécialiste de la faune sauvage, en présence d'une équipe de tournage de TF1 qui réalise actuellement avec elle un futur épisode de l'émission Appels d'urgences (1). Familière des ours, fauves et autres prédateurs, elle n'est pas spécialement impressionnée par les crocos : « On utilise la même aiguille que pour les bovins, explique-t-elle en préparant une seringue, l'animal a la peau dure. » La piqure se fait entre deux écailles, sous la queue, pendant que deux soigneurs immobilisent fermement le crocodile peu coopérant. Pour lui, l'expérience est nouvelle. « Ils sont habitués à notre présence, mais pas à être manipulés, explique Fabrice Thête On ne va sans doute plus capturer ceux-là avant au moins un an. » La vétérinaire a donc profité d'avoir les reptiles sous la main pour contrôler leur état de santé. Dans les bassins, les coups de griffes et de dents entre congénères ne sont pas rares. Heureusement, « l'animal a un système immunitaire hors du commun » précise un soigneur, tandis que Florence Olivet-Courtois plonge deux doigts dans une balafre entre deux écailles : « La plaie est en train de cicatriser, c'est propre » annonce-t-elle en y mettant une bonne rasade de désinfectant, avant de rendre la bête à son élément. ipt>kitd.html5loader("flash_kplayer_c1e5b30718as","http://api.kewego.com/video/getHTML5Thumbnail/?playerKey=3beefcf0f76e&sig=c1e5b30718as");ipt> Source
  6. Susan Soares, designer d’origine portugaise compte sur l’impression 3D pour encourager la consommation d’insectes en leur donnant un aspect plus attrayant. Préparez-vous à écouter les cigales chanter dans vos cuisines... Dans quelques dizaines d’années, les insectes constitueront peut être une partie de notre alimentation. L’ONU estime que, vu l’évolution croissante de la population mondiale, il deviendra nécessaire de trouver de nouvelles sources d’alimentations. Hors, la consommation d’insectes possède de nombreux avantages. Riches en apports nutritionnels, ils sont présents sur tous les continents depuis la nuit des temps, supportent tous types de climats ou presque, et représentent déjà un régime alimentaire pour de nombreuses cultures. L’élevage, facilement réalisable et économique, est bien moins polluant qu’un élevage de bétails pour un rendement bien plus élevé. Fort de ces nombreux avantages, la pratique de l’entomophagie ( la consommation d’insectes par les humains) se confronte à un problème de taille. Les consommateurs potentiels ne sont pas encore prêts à franchir le pas. Beaucoup ont en horreur leur seule présence, et les manger dépasse l’entendement. C’est pourquoi Soares a eu l’idée de concevoir une pâte comestible à base de crickets et de bousiers, destinée à être modelée par impression 3D, histoire de donner un aspect plus séduisant que leur aspect original. Toutes sortes de formes et de motifs seraient alors envisageables. Soares pourrait amorcer ce virage culinaire inéluctable pour certains spécialistes, et jouer un rôle majeur dans notre futur mode de consommation. Bonne appétit bien sûr ! Source
  7. Les 12 reptiles qui ont survécu à un vol en provenance des Bahamas sont maintenant sous la garde d'un vétérinaire spécialisé. Les San Salvador Rock iguanas sont une espèce contrôlées en vertu de la Convention sur le commerce international des espèces menacées d'extinction (CITES). Les policiers ont découvert les reptiles dans un cas lors de contrôles douaniers au Terminal 5 le lundi. Chacun a été enveloppé dans une chaussette individuelle - 12 ont survécu leur voyage, l'un est mort. Les iguanes sont arrivés sur un vol en provenance des Bahamas prises par deux femmes roumaines âgées de 24 et 26, qui ont été arrêtés sur des soupçons de délits d'importation. Les femmes devaient voler à Düsseldorf en Allemagne. Grant Miller, de la Force frontalière, a déclaré: "Cette espèce particulière d'iguane est incroyablement rare - seulement quelques centaines sont soupçonnés d'être dans la nature - donc c'était une saisie remarquable et très important. "Etant donné les circonstances, nous les avons trouvés dans il semble incroyable que tous sauf un ont survécu un si long vol. "Les animaux survivants ont été déshydratés et sont maintenant sous la supervision d'un vétérinaire spécialisé. "Nous travaillons également avec des experts pour trouver la meilleure façon de protéger et de sauvegarder ces créatures en voie de disparition à long terme." Des agents de la police des frontières de commandement de l'Agence nationale de la criminalité étudient maintenant. Officiers de l'armée des frontières de l'année 2012/13 ont effectué plus de 690 saisies Cite en vertu des règlements, contre 516 l'année précédente. Parmi eux, 326 objets en ivoire et 93 animaux vivants. Toute personne ayant des doutes sur la contrebande est prié de revenu de téléphone et confidentiel des douanes au 0800 59 5000. Source
  8. (Chicoutimi) «C'est juste une tortue! Quand ça ne fera plus, on la jettera dans les toilettes ou on la mettra dehors.» Voilà ce que se disent trop souvent les humains devant ces bêtes qu'ils prennent pour de vulgaires jouets. D'abord, il faut être totalement sans coeur pour faire du mal à un animal vulnérable. De plus, bien qu'on retrouve huit espèces de tortues au Québec, les laisser à elles-mêmes dans la nature, c'est introduire une espèce qui n'a pas sa place dans notre région. L'introduction d'une espèce est une forme de pollution qui peut déséquilibrer la flore et la faune. «Même si elles ne survivent pas à nos hivers, les tortues sont très dévastatrices», explique Maryse Verreault. Sans oublier qu'elles peuvent transmettre des maladies aux autres animaux. Quand elle était petite, vers l'âge de huit ans, Maryse se souvient d'avoir eu une minuscule tortue dans un petit bac orné d'un palmier en plastique. Elle devait changer l'eau régulièrement, sinon l'odeur était insupportable. Elle nourrissait de crevettes séchées son petit animal. «Cette nourriture, en plus de sentir très mauvais, est toxique pour les tortues, elle n'est pas nutritive et elle peut être porteuse de parasites», précise Maryse qui a appris plus tard qu'il était très inapproprié de maintenir une tortue ainsi. Aujourd'hui, elle possède six tortues d'eau douce provenant de l'Amérique du Nord. Parmi ses tortues, elle a fait de gros sauvetages alors que des bêtes étaient maintenues dans des conditions inimaginables. «J'ai sauvé une tortue si mal en point qu'elle ne pouvait même plus nager tellement elle était ankylosée», explique la sauveuse. Elle s'affaire présentement à transformer une pièce de la maison qui deviendra la chambre des tortues. «Je confectionne toutes les installations moi-même pour répondre le mieux possible aux besoins des tortues, selon leur espèce», ajoute-t-elle. Fascinée par ses sujets, Maryse n'en finit pas d'apprendre. Depuis environ six ans, la dame a sauvé une douzaine de tortues vivant dans de mauvaises conditions. Elle en a gardé quelques-unes et replacé certaines. Sur son petit terrain, situé à Chicoutimi-Nord, elle a aménagé un bassin afin de faire vivre ses tortues dans leur habitat naturel pendant la période estivale, prenant soin d'installer des clôtures, car les tortues sont des grimpeuses. Sur les sites de petites annonces, elle en voit passer de toutes les couleurs. Des tortues déformées, vivant dans de l'eau stagnante, et nourries avec n'importe quoi. «La pire chose qui peut arriver à un animal est de devenir populaire», souligne Maryse en faisant référence aux films. Source
  9. Ses chorales annonçaient le printemps, mais les rainettes faux-grillon de l’ouest, une petite grenouille d’environ 2,5 cm et pesant 1 g, ne se font plus beaucoup entendre sur la Rive-Sud. « On s’attend à court et moyen terme que, si on ne fait rien, l’espèce va disparaître », lance Lyne Bouthillier, agente de recherche au ministère des Ressources naturelles, direction de l’expertise à la grande région de Montréal. Pourtant, au début des années 1950, le zoologiste, Sherman Bleakney, du Musée national du Canada à Ottawa racontait qu’il pouvait entendre ses choeurs depuis le pont Jacques-Cartier. En fait, l’espèce a perdu près de 90 % de son aire de répartition historique en Montérégie, l’une des deux régions où elle subsiste encore. Comme la situation de la rainette faux-grillon ne cesse de s’aggraver en raison des pressions qui s’exercent sur ses habitats, Québec devrait accorder à la grenouille le statut d’espèce menacée d’ici la fin 2013. Des mesures visant à protéger les habitats utilisés par la rainette sont en cours. Il existe même une équipe de rétablissement, composée de personnes du ministère du Développement durable, de l’Environnement, de la Faune et des Parcs, des membres d’organismes de conservation, des universitaires… Des plans de conservation pour une dizaine de municipalités ont été élaborés. Ils servent à aider à la prise de décision pour planifier le développement sur le territoire tout en tenant compte du développement de la problématique de conservation de l’espèce. Si à Longueuil, dans le boisé du Tremblay, la rainette peut chanter tranquille, à La Prairie, sa survie est en jeu, et ce, même si la ville prévoit de garder 50 % du boisé pour conserver l’espèce. Comment concilier développement urbain et conservation de la nature? Que penser de l’exemple du boisé du Tremblay à Longueuil? Source
  10. C’est la découverte que nous avons faite dans une clinique chinoise de Koumassi. Le propriétaire, un vietnamien, nous explique que la liqueur de serpent est une boisson alcoolisée produite en Asie du sud. Elle est composée d’un ensemble de serpents venimeux entiers qu’on laisse macérer dans de l’alcool de riz. On y ajoute certaines herbes et on laisse fermenter le tout pendant plusieurs mois. L’ effet dénaturant de l’éthanol produit par le riz va rendre inactif le poison que contient le venin de cobra . La liqueur de serpent, selon notre interlocuteur, a de nombreux effets thérapeutiques. Il est donc généralement utilisé comme un remède traditionnel dans de nombreux pays asiatiques. Il est ainsi utilisé par les vietnamiens et les chinois pour traiter le mal de dos et les rhumatismes, lumbago, sans oublier qu’il est toujours considéré comme un aphrodisiaque puissant et naturel dans toute l’Asie. Certaines versions sont même faites directement à partir du sang et de la bile des serpents pour obtenir un effet plus rapide. Tu veux goûter ? Source
  11. La crème anti rides au venin de vipère est un soin anti âge, revitalisante et régénérante. Ce soin est éclaircissant et il unifie le teint. Il hydrate profondément votre peau. Ce soin anti ride peut être employée comme crème de jour ou de nuit. C'est une crème pour les peaux matures (femmes ou hommes). SNAKEACTIVE est basée sur un polypeptide présent dans le venin du serpent du temple wagleri Tropidolaemus . Les essais cliniques ont prouvé qu'il est capable de diminuer les rides d'expression. Car cela paralyse les muscles qui provoquent les rides d'expression. Cet actif a été utilisé in vivo et in vitro (Étude de 28 jours avec une utilisation de 2 fois par jour) avec une diminution spectaculaire des ridules et des rides les plus importantes. D'autres principes actifs aux propriétés anti âge comme l'acide hyaluronique, rétinol, dipalmitoyl hydroxyproline, le Q10, le collagène, l'élastine, sont présents pour la régénération des peaux exigeantes. Dans cette crème au venin de vipère le tocophérol est présent. Les huiles d'églantier, de beurre de karité et de squalane permettent à ce soin de régénérer votre peau en profondeur. Des principes actifs performants protègent votre peau tout le long de la journée. Appliquez tous les jours le matin sur le visage et le cou, et le soir avant de dormir : dans les deux cas la peau doit être démaquillée et libérée de toutes impuretés. Faites de doux massages circulaires pour que la crème pénètre plus rapidement. Cette crème ne laisse aucune brillance sur la peau. C'est une crème non testée sur les animaux, exempt de parabens. Le parfum ne contient pas d'allergènes. Crème anti rides Diet Esthetic d'une contenance de 50 ml. Source
  12. L’association Robin des Bois publie le n°3 de A la Trace, son bulletin trimestriel d’information et d’analyses sur le braconnage et la contrebande d’animaux menacés d’extinction. Il couvre les événements du 1er octobre au 31 décembre 2013. Saisies de venin de serpent, de viande de dauphins, de cornes de rhinocéros, de tortues et de pangolins… Natura Sciences vous propose une sélection des événements les plus marquants. Pendant les fêtes de Divali (Fête des lumières), la Saint Valentin et les fêtes de fin d’année, la consommation de drogue explose en Inde. C’est le cas aussi d’un trafic émergent : celui du venin de serpent utilisé comme stupéfiant. « Le venin de serpent, en particulier celui de cobra, est utilisé après avoir été séché, sous forme de dos en poudre, comme drogue euphorisante ou pour résister à la fatigue » note Charlotte Nithart, Directrice de Robin des Bois. Noms de code : K752 et K76. Ce trafic se développe notamment dans la jeunesse des grandes villes indiennes, du Nord au Sud. Les braconniers capturent les serpents et les trafiquants les forcent à cracher leur venin. La dose se vend ensuite entre 400 et 500 dollars. « Le venin de cobra royal ou de cobra indien se vend au minimum 200 000 dollars le litre et Il faut faire cracher environ 200 fois un cobra pour obtenir un litre » affirme Jacquy Bonnemains, Président de Robin des Bois. Ces animaux étaient déjà braconnés pour leur cuir et leur viande, pour les charmeurs et les collectionneurs. Ce nouveau phénomène ajoute une pression supplémentaire sur les cobras. Voici quelques exemples de saisies opérées en Inde durant le dernier trimestre de 2013 : 600 mL de venin le 22 octobre, 1,7 L, le 31 octobre, 3L le 16 novembre, 500 mL le 29 novembre et 500g le 8 décembre. Narvals, dauphins et strombes géants De la viande de dauphins a été saisie au Pérou. Il y a eu deux saisies de suite en octobre : 1,4 kg de viande de dauphin a été saisi dans un marché, et 1,5 kg de viande séchée dans un restaurant. Mais, notons aussi l’ouverture d’une enquête pour un trafic de viande de dauphins entre Rome et Civitavecchia (Italie). Certains restaurants y proposent des plats à base de viande de dauphins pour 100 euros par personne, alors qu’il est interdit de capturer intentionnellement un dauphin et d’en commercialisation la viande dans toute l’Europe ! Durant le dernier trimestre de 2013, un trafic important de strombes géants entre la République Dominicaine et l’Asie (Chine, Vietnam) est à noter. 9 tonnes de strombes géants ont été saisies en Octobre et 26 tonnes de strombes géants et combattants en décembre. Lors de cette dernière saisie, notons la présence de 6 sacs d’ailerons de requins et de 4 sacs de concombres de mers. Les strombes géants se nourrissent principalement de déchets organiques : leur disparition mers entraîne l’eutrophisation des fonds. Au Canada, un homme a été condamné à une amende de 385 000 dollars pour le trafic de 250 défenses de narvals. A noter que chez les narvals, seuls les mâles ont une défense et que celle-ci peut atteindre 3 m de long. Les tortues vont devoir pondre Il y a eu à peu près 400 saisies de tortues marines entières et 42 000 œufs au dernier trimestre 2013. Ces tortues sont notamment vendues dans des restaurants, en tant que nouvel animal de compagnie ou pour fabriquer des souvenirs. Un important trafic d’œufs fait rage en Amérique latine, alors qu’en Asie, ce sont plus des tortues entières congelées, fraîches ou encore vivantes dont la viande est consommée. La contrebande de la viande de tortues est un phénomène mondial : il y a eu des saisies au Mexique, au Costa Rica, aux Philippines, au Vietnam et en Océanie. Pour les tortues terrestres, les saisies sont importantes : 8 133 tortues et 8930 œufs au dernier trimestre 2013. Notons un important trafic de tortues Hamilton et de tortues du Gange en Asie. Il y a eu d’importantes saisies : 338 tortues de Hamilton en Chine en octobre (dont « environ » 330 vivantes), 470 tortues de Hamilton en novembre en Thaïlande…. La plus grande saisie est celle de 2400 tortues du Gange vivantes à bord d’un camion en Inde fin novembre. Cela ne s’arrête pas là ! Notons une importante saisie de 644 caïmans à l’aéroport d’Amsterdam entre fin novembre et mi-décembre. Les animaux étaient entassés à 50 dans des boîtes supposées n’en contenir que trois. 318 caïmans étaient déjà morts de froid et d’asphyxie. D’autres saisies sont à noter : 9326 pangolins, 18 peaux de jaguar, léopard et tigre. Les saisies d’ivoire du trimestre représentent environ 1890 éléphants tués. Sur toute l’année 2013, 1 004 rhinocéros ont été tués en Afrique du Sud. Selon Interpol, seulement 10 % du trafic est décelé et fait l’objet de procédures. Si les chiffres des saisies sont déjà importants, pour avoir une idée du trafic réel, il faudrait donc multiplier tous ces chiffres par dix… Source
  13. La tortue Ariti, qui avait été relâchée le 24 mai dernier, à la presqu’île de Tahiti, n’en finit plus de rajouter des kilomètres à son compteur. Le mois dernier, la tortue caouanne avait déjà marqué les esprits en franchissant, pour la première fois depuis son départ en mai dernier, la ligne ô combien symbolique de l’équateur. Un passage de l’hémisphère sud à l’hémisphère nord qui s’est fait au niveau de l’île de Nauru. Actuellement aux îles Marshall, Ariti a déjà parcouru une distance impressionnante. Après 249 jours d’odyssée, elle a ainsi à son actif précisément 8 407 Kms parcourus. Les émetteurs par satellite dont est équipée la tortue indiquent aussi clairement que celle-ci passe le plus clair de son temps en plongée - contre seulement 10 à 15% de son temps en surface - ce qui est un mode de déplacement normal pour une tortue marine. L’équipement qu’elle transporte ne permet hélas pas de savoir jusqu’à quelle profondeur Ariti a été capable d’aller. Source
  14. Deux touristes américains qui réalisaient un safari dans le parc national Kruger en Afrique du Sud se sont retrouvés nez à nez avec un python peu accueillant. Le reptile leur a tout simplement bloqué la route. Un python attaque des touristes en visite dans le parc Kruger par Gentside Découverte Le parc national Kruger est la plus grande réserve animalière d'Afrique du Sud. Chaque année, plus d'un million de touristes s'y rendent pour observer les lions, les girafes, les éléphants ou encore les rhinocéros. Mais c'est un tout autre animal sur lequel sont tombés trois touristes américains alors qu'ils visitaient le parc. Embarqués dans leur jeep, ils se sont retrouvés nez à nez avec un python pour le moins imposant. Une rencontre inattendue qu'ils ont réussi à filmer. Le reptile se trouvait enroulé en plein milieu de la route à côté d'un passage boueux et n'était pas facile à identifier au premier regard. Mais il comptait bien signaler sa présence ! A peine, la voiture a t-elle avancé que le python a relevé sa tête et fait siffler sa langue. Les touristes ont alors rapidement compris à qui ils avaient à faire. Seul problème : le reptile bloquait la route et impossible de s'éloigner sans passer près de lui. Pour s'écarter, les touristes ont donc été contraints de reculer leur voiture mais visiblement, ils hésitaient encore à fuir totalement. Sur la vidéo, on les voit observer pendant de longues secondes l'animal avant de retenter de s'approcher. Mais le python est apparemment bien décidé à ne pas laisser faire. A peine quelques centimètres d'avance, il émet un nouvel avertissement, les crocs en avant. Une bataille gagnée "Nous voulions passer à côté de lui et il a dit 'pas question'", a raconté l'un des touristes venus de New York. L'animal est vif, visiblement décidé. Les trois Américains ont beau sourire sur la vidéo, ils n'approcheront pas plus et le python remportera la bataille ! "Nous avons trouvé une autre route pour rentrer", a poursuivi Tim Clarke cité par le Kruger National Park. "C'était vraiment une expérience hallucinante. Je ne me souviens pas spécifiquement où la vidéo a été filmée, mais c'était assurément un grand moment du voyage. C'est la première chose que j'ai montré à tout le monde en rentrant chez moi", a précisé le New-yorkais. Mais l'Américain n'est pas le seul à avoir fait une rencontre aussi inattendue au parc Kruger. En 2012, un couple britannique a eu une belle frayeur lorsqu'un python de Seba a établi momentanément domicile dans le capot de son véhicule. Heureusement, le reptile a pu être délogé toute en douceur... après que le couple a roulé cinq kilomètres pour trouver de l'aide. En décembre 2013, un autre couple britannique a lui été violemment attaqué par un éléphant. Source
  15. Des chercheurs britanniques ont découvert les qualités électrostatiques des toiles d'araignées, qui se revèlent être à la fois des capteurs de pollution efficaces et un baromètre de la qualité de l'air. Une étude de l'Université d'Oxford va faire changer d'avis bon nombre d'arachnophobes. Non seulement les araignées sont un insecticide naturel par leur régime alimentaire, mais de plus leurs toiles seraient un filtre à pollution efficace et un instrument de mesure de la qualité de l'air. La colle utilisée par les arachnides est en fait électrostatique, ce qui génère un champ magnétique empêchant le petit insecte d'éviter le piège tendu, et surtout d'attirer les microparticules en suspension. D'après les chercheurs, « les propriétés physiques de ces toiles font de parfaits filtres actifs d'aérosols et pesticides », et le tissage des fils de soie devient un dispositif mesurant la qualité de l'air. Le directeur de l'étude Fritz Vollrath explique que « l'on peut prélever et tester des toiles d’araignées pour mesurer les niveaux de pollution, par exemple pour vérifier la présence de pesticides néfastes pour les abeilles. L’efficacité est comparable à celle des capteurs industriels. » Pour étudier ce nouveau baromètre, pas besoin de laboratoire, seul un œil expert suffira puisque l' architecture de la toile d'araignée est régie par ce qu'absorbe l'animal : « l'araignée tisse en fonction de ce qu'elle mange ; elle crée des toiles magnifiques quand elle est sous LSD, des toiles atroces sous l’effet de la caféine. » Et comme l'araignée recycle sa toile en la mangeant, les polluants ingérés provoqueront une géométrie particulière. En ce qui concerne la qualité de l'air, l'avenir ne se lit plus dans le marc de café, mais dans les toiles d'araignées. Source
  16. C’est la première fois que l’on rencontre le spécimen à l’est des États-Unis. L’automne dernier, un apiculteur du Vermont a en effet découvert des abeilles zombies dans sa ruche. C’est en 2008 que John Hafernik, un professeur de l’université d’État de San Francisco, a découvert les premières abeilles zombies aux États-Unis. Il a ainsi découvert qu’une mouche appelée Apocephalus borealis s’accrochait à l’abeille et injectait ses œufs à l’intérieur de l’hôte. Les scientifiques pensent que c’est ce qui est à l’origine des troubles du système nerveux qui provoquent des mouvements saccadés, erratiques et une activité nocturne chez l’insecte infesté. Celui-ci acquiert dès lors tout d’un zombie, mis à part le fait qu’il meurt quelques heures seulement après l’apparition des symptômes. Heureusement, il semble jusqu’ici impossible pour les œufs de continuer à se développer en dehors de l’insecte, après sa mort. Depuis la découverte de 2008, le professeur et son équipe traquent les colonies d’abeilles infestées à travers les États-Unis, et c’est la première fois qu’ils en observent à l’est du pays. De plus, contrairement à ses habitudes, le parasite s’attaque cette fois-ci à des abeilles mellifères. Leif Richardson, un doctorant du Dartmouth College, étudie les interactions entre les plantes, les pollinisateurs et les parasites. Il n’écarte pas l’hypothèse que les mouches parasites puissent, en s’attaquant aux abeilles mellifères, transmettre des virus et des agents pathogènes. D’après lui, ce qui n’est peut-être qu’un cas isolé, ne doit cependant pas être pris à la légère. Ceci dit, les apiculteurs de la région semblent davantage se préoccuper des mites, des virus, des pesticides, des brusques changements de température, sans parler du manque de nectar et de pollen causé par une agriculture de plus en plus tournée vers le maïs et le soja. Ils constituent, selon eux, une menace bien plus grande pour les abeilles mellifères. Source
  17. Vers 6 h 30 ce matin, l'alerte est donnée au centre de tri de Redon : un boa serait dans un colis. Fausse alerte ! Centre de tri de Bruz, tôt ce jeudi matin. Un agent postal repère quelque chose de brillant dans un colis entrouvert. Il pense à un boa. Mais, déjà chargé dans un camion, la caisse arrivera finalement à Redon vers 6 h 30 sans avoir été contrôlée. L'alerte est donnée. Les gendarmes arrivent sur place. L'équipe animalière des pompiers également. Plus de peur de mal : le colis contient des lampes spéciales à destination d'une entreprise de la région... Source
  18. Grenouilles rousses, grenouilles agiles, crapauds communs, tritons… la commune de Tourtouse dans le Volvestre ariégeois constitue une réserve naturelle pour ces espèces d’amphibiens observées depuis une vingtaine d’années par l’ANA (association des Naturalistes de l’Ariège). L’association ariégeoise a été sensibilisée par les riverains de la route départementale qui observaient chaque année (de janvier à avril) en période des migrations prénuptiales, l’écrasement de centaines de grenouilles sur la chaussée. Aussi depuis quatre ans, l’association des naturalistes ariégeois qui milita à l’instar de tous les conservatoires naturels en France en faveur des zones humides, organise l’opération Fréquence Grenouille à Tourtouse, une manière de sensibiliser le grand public sur l’importance de ces milieux fragiles regroupant une extraordinaire diversité d’habitats naturels entre terre et eau. Un dispositif particulièrement efficace Ce matin quelques bénévoles du cru assistés cette année encore par les lycéens de la classe Bac Pro Gestion des Milieux Naturels et de la Faune (GMNF) du Lycée agricole de Pamiers ont installé une barrière anti-écrasement qui mène à un crapauduc, une buse permettant aux grenouilles de traverser la route sans danger. Après avoir creusé des rigoles, planté des pieux, ils ont déroulé une barrière temporaire de protection sur plus de 200 mètres. Grâce à ce matériel léger facile à installer et à enlever, les batraciens se heurtent à la barrière qu’ils sont obligés de longer et empruntent une buse pour traverser la route. Les panneaux de signalisation indiquant le passage des grenouilles ont été réalisés par les enfants des écoles de Fabas, également impliqués dans cette démarche environnementale. Les mares font l’objet de toutes les attentions «Ces milieux fragiles regroupent une extraordinaire diversité d’habitats naturels explique Carole Herscovici animatrice à l’ANA. Elles constituent des milieux originaux qui jouent un rôle fondamental dans l'équilibre de notre planète. Les zones humides se font de plus en plus rares et avec elles disparaissent de nombreuses plantes et animaux sauvages dont les emblématiques amphibiens. L’ANA travaille sur les zones humides depuis 20 ans et notamment dans la préservation des mares, des points d’eau qui regorgent de vie» Des soirées régulières d’observation et de suivi sont organisés par l’ANA dans le cadre du réseau Fréquence Grenouille. Contact à l’ANA: Carole Herscovici au 05 61 65 80 54 Source
  19. Grâce à leur capacité à changer de forme, cinq espèces de serpents d’Asie sont capables de voler de branche en branche. Cet exploit a été étudié et modélisé par une équipe de chercheurs américains. 
 Le secret des serpents volants enfin élucidé par Gentside Découverte Il existe dans les forêts tropicales d’Asie du sud-est cinq espèces de serpents tout à fait particulières. Appartenant au genre Chrysopelea, elles sont tout simplement capables... de voler. Pour ce faire, les reptiles décollent du haut d’une branche et glissent avec élégance dans les airs. D'étonnants déplacements aériens dont une équipe menée par Jake Socha, biologiste à l’université Virginia Tech vient de percer les secrets. Selon l'étude publiée dans la revue Journal of Experimental Biology, ces déplacements aériens sont régis par des changements radicaux de la forme du corps du serpent dans les airs. En adoptant une conformation particulière, l’animal génère les forces aérodynamiques nécessaires à la réalisation de l’exploit. 

"Le serpent n'est certainement pas un planeur intuitif. Lorsque vous le regardez, vous vous dites que cette chose ne devrait pas être en mesure de planer" a indiqué l’auteur de l’étude. Effectivement, dans une configuration physique normale, le serpent est incapable de voler. Mais "quand il pénètre dans l'air, quand il décolle et saute d'une branche à l’autre, son corps se transforme complètement", a poursuivi le chercheur repris par BBC Nature. Un corps aplati Au cours de ses observations, Jake Socha a constaté que les serpents en vol aplatissent la partie postérieure de leur corps, juste derrière la tête. En écartant leurs côtes, ces reptiles doublent de largeur et adopte une forme unique. Avec ses collègues, le biologiste est parvenu à réaliser plusieurs modélisations du vol des serpents et à les tester physiquement. L’expérience a consisté à placer une copie en plastique d’une section du corps du serpent dans un tunnel d’eau, aux caractéristiques similaires à celles de l’écoulement de l’air. "Grâce à l’écoulement de l’eau sur la section, nous avons pu mesurer les forces aérodynamiques que cette forme altérée générerait sur le modèle. Nous avons également pu visualiser le mouvement de l'eau en utilisant des lasers et des caméras à haute vitesse", a expliqué le chercheur. Des contorsions et ondulations Les résultats obtenus indiquent que les forces aérodynamiques générées sont équivalentes à celles créées par une aile d’avion à échelle réduite. 
Selon les chercheurs, les serpents combinent cette transformation physique avec des mouvements de contorsions et d’ondulations pour voler dans les airs. Ils offrent alors un spectacle assez impressionnant d'un animal ondulant tout en douceur, comme suspendu dans les airs. Ces conclusions permettre de mieux comprendre les capacités des serpents volants mais pourraient aussi inspirer de nouveaux modèles robotiques aboutissant à la création de machines capables à la fois de ramper, grimper et voler. Source
  20. L'ambroisie peut causer de sévères allergies. [Sibyl Rometsch - Info Flora] Des scientifiques fribourgeois ont identifié au Tessin un coléoptère capable d'éradiquer l'ambroisie, une plante pouvant causer des allergies. Pour la première fois en Europe, des chercheurs de l'Université de Fribourg ont découvert au Tessin un coléoptère capable d'éradiquer l'ambroisie, une plante nuisible pouvant provoquer de sévères allergies. L'insecte de seulement 4 millimètres, baptisé "chrysomèle de l'ambroisie", a été découvert par le biologiste Heinz Müller-Schärer l'été dernier près de la frontière italienne, a communiqué l'Université de Fribourg vendredi. Arme biologique la plus efficace Depuis, plus de 150 localités du Tessin, d'Italie et de France où pousse l'ambroisie ont été observées pour savoir si le petit coléoptère s'y était installé. Le résultat de l'étude, publié dans la revue scientifique Weed Research, est prometteur: l'insecte est présent dans 80% des lieux, où il a parfois complètement éliminé l'ambroisie. Ce coléoptère a aussi été formellement identifié comme étant l'Ophraella communa, reconnue depuis longtemps en Chine comme l'arme biologique la plus efficace dans l'éradication de la plante nuisible. ats/ptur Source
  21. Si grenouilles et alligators figurent depuis longtemps sur les menus des restaurants en Floride, un nouveau mets sauvage et quelque peu inhabituel a fait son apparition sur la carte d'une pizzeria du sud de l'État: le python birman. La pizza spéciale agrémentée de la viande de ce gros serpent a été rebaptisée «Pizza Everglades», en référence au célèbre parc national de Floride. «On a lancé ça au départ juste pour faire parler du restaurant et essayer d'être créatif, puis ça a carrément fait un malheur. Les gens en parlent tout le temps, et que ce soit en bien ou en mal, ça n'a pas d'importance parce que le fait est que l'on peut le faire et que c'est délicieux!», s'enthousiasme Evan Daniell, propriétaire de l'établissement Evan's Neighborhood Pizza, à Fort Myers. «C'est bon mais c'est un peu élastique», commente Mike, un touriste du Minnesota, après avoir tenté la première bouchée de sa vie de python birman. «Ca a le goût de poulet mais en plus difficile à mâcher», renchérit sa femme Becky. Le chef essaie d'attendrir la viande en la faisant mariner pendant plusieurs heures. Il la coupe ensuite en tranches fines qu'il précuit dans le four quelques minutes avant de les déposer sur la pizza. Mais tout a un prix, même le python birman, et pour avoir dans leur assiette la célèbre «Pizza Everglades» les clients doivent débourser 45 dollars. Malgré tout, cette spécialité au goût sauvage fait succès. «Les gens n'arrêtent pas de la commander. Je vends plusieurs "Pizza Everglades" chaque semaine», assure Evan Daniell. C'est son ami Mike Gookin qui en a eu l'idée, «après avoir vu un reportage sur le problème des pythons dans les Everglades». Les pythons birmans se sont en effet multipliés dans la région après avoir été relâchés par leurs propriétaires et ils sont devenus les nouveaux prédateurs de la Floride, figurant tout en haut de la chaîne alimentaire. Et les experts craignent que leur présence ne vienne affecter la biodiversité des Everglades. «Il y a peut-être des milliers ou des dizaines de milliers de pythons birmans dans la nature ici», explique Roberto Torres, responsable chez The Nature Conservancy. «C'est un habitat parfait pour eux (...) Ils mangent tout ce qu'ils peuvent attraper, oiseaux, poissons, mammifères, chats, chiens». Reste que la viande de python qu'Evan Daniell propose n'est pas locale: «Je l'achète surgelée chez un grossiste qui importe des pythons d'élevage venus du Vietnam». Source
  22. quelques encablures de l'Aquarium de La Rochelle, on croirait une carapace de tortue géante. Surtout au milieu de la brume, comme c'était le cas hier matin. Aucun mystère là-dessous : les structures métalliques qui soutiendront les futurs pavillons du Musée maritime sont en cours d'installation. Un chantier de huit à dix semaines au bout desquelles les spis - les fameuses « chips » - colorés pourront être posés. D'ici là, le public est convié à découvrir de plus près les travaux du Musée maritime, ainsi que le blockhaus du slipway, lors des portes ouvertes qui seront organisées samedi 15 février. À partir du mardi 1er avril, la frégate météorologique « France 1 » accueillera à nouveau les visiteurs. PHOTO ROMUALD AUGÉ Source
  23. La pizza spéciale agrémentée de la viande de ce gros serpent a été rebaptisée: «Pizza Everglades», en référence au célèbre parc national de Floride. «On a lancé ça au départ juste pour faire parler du restaurant et essayer d'être créatif, puis ça a carrément fait un carton. Les gens en parlent tout le temps, et que ce soit en bien ou en mal, ça n'a pas d'importance parce que le fait est que l'on peut le faire et que c'est délicieux!» s'enthousiasme Evan Daniell, propriétaire de l'établissement Evan's Neighborhood Pizza, dans la ville de Fort Myers. Source
  24. Les scientifiques ont trouvé un surnom évocateur au fossile d’une minuscule bestiole de 2cm, sans yeux mais avec des centaines de pattes fines comme des cheveux : « La mère de toutes les araignées. » Car ce fossile d’Enalikter aphson, découvert en Angleterre dans le Herefordshire, serait la toute première espèce d’araignée connue, malgré son apparence de petit sapin de Noël. Elle vivait en un temps dépourvu d’arachnophobes, près de 425 millions d’années avant notre ère. « C’est incroyable que ce fossile soit parvenu jusqu’à nous intact » s’extasie Derek Siveter,de l’université d’Oxford. Source
  25. Quelque 1.600 reptiles et amphibiens de Madagascar, dont plusieurs centaines étaient déjà morts, ont été retrouvés déshydratés dans deux caisses en transit à l'aéroport de Johannesburg, a indiqué vendredi la Fédération sud-africaine des sociétés protectrices des animaux (NSPCA). "La cargaison, en partance pour les Etats-Unis d'Amérique depuis Madagascar, avait été laissée sans surveillance dans la zone de fret lorsque les vols vers les USA ont été annulés (en raison des intempéries). La mauvaise odeur provenant des caisses plombées indiquait que la plupart des reptiles étaient morts ou mourants et avaient besoin d'une aide urgente", a souligné la NSPCA qui a précisé que la cargaison était légale. Les services vétérinaires ont découvert des geckos, lézards, caméléons, grenouilles, crapauds et scinques, dont beaucoup appartiennent à des espèces en danger, et qui devaient être revendus aux Etats-Unis. Ils étaient entassés sans eau dans deux caisses de 53 cm de côté. Plus de 360 des animaux sont morts de déshydratation, d'insuffisance rénale, de cannibalisme ou d'infections, a précisé à l'agence le directeur du zoo de Johannesburg où ont été secourus les rescapés. "Les gens qui ont des animaux exotiques comme animaux de compagnie doivent se rendre compte qu'ils sont à l'origine de cette cruauté. Sans la demande pour ces animaux (...), il n'y aurait pas de marché et ces animaux ne seraient pas volés dans la nature", a commenté Ainsley Hay, responsable de la protection des espèces sauvages à la NSPCA. Source
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