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Max|mum-leterrarium

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Tout ce qui a été posté par Max|mum-leterrarium

  1. Des chercheurs américains ont constaté que la capacité du caméléon à changer de couleur pouvait servir à prédire l'issue d'un duel entre deux rivaux. PIGMENTS. Des animaux comme le caméléon ou certains céphalopodes peuvent changer de couleur très rapidement, grâce à des pigments dans la peau, qui s'activent sous l'action d'hormones. Mais le signal de communication véhiculé par ce véritable feu d'artifice à fleur de peau était jusqu'à présent relativement mal connu. Deux chercheurs américains de l'École des Sciences de la vie en Arizona ont voulu vérifier s'il était possible de prédire le comportement des caméléons (agression, fuite...) voire l'issue d'un duel, simplement en étudiant les variations de couleur de l'épiderme de deux animaux rivaux cherchant à s'intimider. Une espèce agressive Les deux chercheurs ont donc commencé par étudier précisément quelles zones de l'épiderme présentaient des variations rapides de couleur pour chacun de leurs sujets d'étude. Celle-ci a été menée sur des caméléons casqués (Chamaeleo calyptratus), une espèce connue pour son comportement agressif entre mâles. L'équipe a étudié 28 zones du corps de l'animal qui changent de couleur. Elle a observé les nombreuses interactions agressives sur une dizaine d'animaux. Extrait de la publication de Biology Letters. Il existe une variabilité entre les différents individus, tous ne faisant pas varier les mêmes zones de leur épiderme. Les chercheurs se sont donc intéressés en priorité à celles communes à tous leurs sujets d'étude. Un combat coloré au ralenti Puis, sous l'oeil d'une caméra, ils ont ensuite mis les gladiateurs face à face. Comme vous pourrez le constater dans cette vidéo à l'action aussi haletante et trépidante que dans un épisode de l'inspecteur Derrick, les chercheurs ont fait en sorte que les deux caméléons qui se défient n'aient pas la possibilité de véritablement s'affronter. En effet, les animaux sont placés sur deux branches séparées. La vidéo fournie par les chercheurs. Notez la mention "la vidéo ne se déroule pas au ralenti, elle est juste en vitesse caméléon" qui défile à 1min 05. D'après les résultats de ces travaux publiés en décembre dernier dans la revue Biology Letters, il est effectivement possible de prédire un comportement agressif de la part des caméléons. Lorsque les mâles se défient, celui qui affiche les couleurs les plus vives est celui qui est le plus susceptible de passer à l'attaque. "Et celui qui montre la coloration la plus intense au niveau de la tête est généralement celui qui gagne le combat" assurent les chercheurs dans leur publication. "La vitesse importante de changement de coloration au niveau de la tête est aussi un bon indice pour prédire la victoire d'un des mâles" précisent les biologistes. VIGUEUR. Les chercheurs notent également que le combat se déroule en plusieurs phases durant lesquelles les caméléons utilisent tour à tour différentes parties de leurs corps. Le reptile commence par une exhibition des bandes latérales du corps (que l'animal gonfle pour se faire le plus gros possible) puis, lorsque les adversaires s'approchent, ce sont les taches au niveau de la tête qui portent l'information la plus importante. Les chercheurs supposent que ces indications colorées transmettent tour à tour des informations sur la motivation de l'animal puis sur ses capacités combattives. En effet, la capacité à changer de couleur rapidement et de manière intense pourrait être la marque de la vigueur de l'animal. Source
  2. Des chercheurs chinois publient mardi dans la revue Nature Communications une ébauche de séquençage du génome du criquet qui pourrait ouvrir de nouvelles pistes pour lutter contre cet insecte ravageur. L'équipe de Le Kang, de l'Institut de Zoologie de l'Académie Chinoise des Sciences (Pékin) a séquencé plus précisément le génome du criquet migrateur (Locusta migratoria), qui fait partie de la tribu des locustes, des espèces qui peuvent se multiplier rapidement et se déplacer sur de longues distances sous forme d'essaims, ravageant végétaux et cultures. Les résultats présentés ne constituent qu'une première ébauche de la séquence du génome du criquet migrateur, mais ils représentent 6,5 gigaoctets, soit le plus grand génome animal séquencé jusqu'ici. Les chercheurs ont montré de nombreux éléments répétitifs (au moins 60%) dans le génome du Locusta migratoria, qui expliquent en partie sa grande taille. «Nous avons trouvé une expansion significative de familles de gènes associées à la consommation d'énergie et la détoxification, cohérentes avec la capacité à voler sur de longues distances et la phytophagie», ont déclaré les scientifiques. Ils ont également identifié «des centaines de gènes cibles potentielles pour des insecticides». Les criquets peuvent voler sur des centaines de kilomètres chaque jour. Lorsqu'un essaim de milliards d'individus s'abat de manière totalement imprévisible sur une région, il peut causer des dégâts considérables aux cultures. Un seul insecte consomme en effet son propre poids de nourriture en une journée, ce qui représente, proportionnellement, 60 à 100 fois la consommation quotidienne de l'homme. Depuis la naissance de l'agriculture, les invasions de criquets sont considérées comme l'une des catastrophes naturelles les plus dévastatrices, décrites comme un fléau source de famine et de conflits dans la Bible ou le Coran. Aujourd'hui encore, elles continuent à semer la destruction et la pauvreté. À l'heure actuelle, seul le traitement par pulvérisation intensive de pesticides chimiques est efficace, mais son utilisation est controversée, en raison de son impact négatif sur la santé humaine, l'environnement et la biodiversité. Source
  3. Une tortue a battu un lapin dans une compétition de ski ouverte aux animaux domestiques accompagnés de leur maître dans le centre de la Chine, a rapporté la presse mardi. Parmi les concurrents de cette ménagerie sportive figuraient également des chiens, des chats, un canard jaune et un coq, a précisé l'agence Nouvelles de Chine. Pour cette compétition, organisée sur une pente enneigée de la province du Henan, les maîtres avaient le droit de placer leur animal familier sur des skis ou sur une luge, et de les guider à l'aide d'une laisse. «Comme le lapin a surtout montré son goût pour les sauts, sans suivre les instructions de son maître, il s'est fait dépasser par la tortue», a relaté Nouvelles de Chine. Le ski séduit de plus en plus la classe moyenne chinoise, et la Chine a ces dernières années investi dans la construction de plusieurs stations de sports d'hiver. Pékin est officiellement candidate à l'organisation des JO d'hiver en 2022, en formant un tandem avec la ville-préfecture de Zhangjiakou, située dans la province septentrionale du Hebei. Source
  4. D'après les biologistes, le reptile utiliserait les changements de couleur comme moyen de communication, notamment en cas de conflit avec ses congénères. Quand le caméléon change de couleur, ce n'est pas seulement pour se cacher. Bien sûr, ce fabuleux talent, qui lui permet de passer en instant de la teinte la plus intense au marron le plus terne, est fort utile pour échapper au prédateur : "Je ne suis pas une proie, non ! Je suis une branche..." Il l'est encore quand il s'agit de trouver discrètement de quoi se nourrir, car, pour chasser la mouche ou le moustique, être capable de se fondre dans le paysage est un atout certain : "Hop, trop tard !" Mais, si l'animal parvient aussi à se parer de couleurs chatoyantes, ce pourrait être pour de tout autres raisons. Les scientifiques avaient déjà l'intuition que les changements d'apparence de l'animal pouvaient lui tenir lieu de langage. Une hypothèse que les résultats des travaux d'une équipe de biologistes américains de l'université de l'Arizona, récemment publiés dans la revue spécialisée Biology Letters, tendraient à confirmer. C'est en se concentrant sur les combats entre mâles, que ce soit pour obtenir les faveurs de femelles ou tout simplement dans le cadre d'un conflit territorial, que les chercheurs sont parvenus à conforter cette thèse. Dans leur laboratoire, les biologistes Russell A. Ligon et Kevin J. McGraw ont organisé des combats de caméléons casqués (Chamaeleo calyptratus), une espèce particulièrement belliqueuse. Des altercations qu'ils ont pris soin de filmer à l'aide de deux caméras très haute définition. Dans un second temps, en s'armant des dernières technologies de traitement de l'image, ils ont observé très attentivement les changements de couleur opérés par les deux combattants, modifications qu'ils ont finalement mises en relation avec l'issue des duels. Résultat : des surprises multiples ! Du bluff, mais pas que ! Déjà il est évident que, dans cette situation sociale donnée, les caméléons usent et abusent de leur talent de transformiste. Ensuite, ces démonstrations visuelles, accompagnées de sifflements et de roulements de mécaniques, suivent une progression bien précise. En début d'affrontement, à distance, les caméléons jouent des couleurs des rayures présentes sur leurs flancs, les faisant varier à grande vitesse vers les effets les plus voyants. Plus près, au coeur du face-à-face, les changements de teinte s'opèrent essentiellement au niveau de la face. Toujours sur la zone la plus visible de l'adversaire. Les chercheurs pensent donc que ces manifestations auraient pour objectif de faire part à celui-ci de sa forme physique ou encore de sa motivation à combattre. Mais le plus étonnant est que le caméléon vainqueur, par forfait comme par K.-O., est généralement celui étant parvenu aux changements de couleur les plus rapides et aux teintes les plus intenses. Étrange, non ? Pas tant que ça. Outre les conséquences évidentes d'une forte motivation à gagner la bagarre, les biologistes soulignent que les variations de la couleur de la peau des caméléons (qui reposent sur plusieurs populations de cellules sous-cutanées spécifiques) impliquent des processus physiologiques et sont notamment étroitement liées à l'état hormonal et au niveau de réserves énergétiques de l'individu. Autrement dit, se montrer capable de changer de couleur rapidement, en produisant des teintes intenses et lumineuses, serait le signe d'une santé flamboyante. Rien de surprenant alors à ce que le gagnant de la joute colorée soit aussi vainqueur dans le corps-à-corps. Regardez les caméléons jouer de leurs couleurs au combat : Source
  5. Les gendarmes sont intervenus non sans une certaine appréhension... Grosse frayeur vendredi soir, autour de minuit, pour des habitants du Cailar qui ont croisé un serpent énorme au bord de la route. Apeurés par la présence d’un tel spécimen au pays des taureaux de Camargue, ils alertent les gendarmes : un reptile dangereux rampe à quelques encablures de la manade Jean Lafont. Plus vraie que nature Arrivés sur les lieux, les gendarmes tentent, non sans une petite appréhension, une approche et, voyant que le monstre ne bouge pas, s’avancent encore plus près, assez pour constater qu’il s’agit... d’un jouet. Une reproduction plus vraie que nature tirée avec un fil de pêche que des esprits facétieux avaient décidé de mettre en scène pour épater - effrayer, c’est réussi - la galerie. Mascotte de la brigade L’objet a été confisqué et pourrait devenir la mascotte de la brigade où l’on rigole encore de ce canular typiquement cailaren. Franchement drôle. Source
  6. Goniurosaurus lichtenfelderi est une espèce de geckos de la famille des Eublepharidae. La sous-espèce Goniurosaurus lichtenfelderi hainanensis a été élevée au rang d'espèce. Goniurosaurus murphyi décrite en 1999 a été placé en synonymie avec Goniurosaurus lichtenfelderi par Grismer, 2000. Cette espèce est nommée en l'honneur de Charles Lichtenfelder. Cette espèce est très semblable à Goniurosaurus hainanensis. Seulement éleveurs très expérimentés sont en mesure de dire à ces deux espèces à part. Une différence entre les deux est de leur taille. Goniurosaurus lichtenfelderi est un peu plus petit que Goniurosaurus hainanensis. Il arrive à environ 14 cm de long et sa couleur de base est brun, même un peu gris. Bien sûr, chaque individu a les lignes typiques sur son corps. Elles sont jaunes comme ceux de Goniurosaurus hainanensis mais ils sont un peu plus mince et pas aussi intenses en couleur. Cette espèce a ainsi une queue noire avec anneaux blancs. Le sommet de la tête de ce gecko est brun. Une nette différence entre Goniurosaurus lichtenfelderi et Goniurosaurus hainanensis est visible lorsque l'on compare les geckos récemment éclos. Goniurosaurus hainanensis a une ligne clairement visible sur son cou qui va d'un coin de sa bouche, le long de l'arrière de sa tête à l'autre coin de sa bouche. Goniurosaurus lichtenfelderi a la même ligne, mais il est plus mince et juste à l'arrière de sa tête. La progéniture est noire avec des lignes blanches. Leur queue est noire aussi bien avec anneaux blancs, trop. Après un mois, les jeunes animaux changent de couleur. Le corps tout entier tourne lentement brun et les lignes blanches deviennent jaune ou orange clair. Le gecko obtient alors de minuscules points noirs sur tout le corps et les anneaux blancs autour de sa queue se fanent lentement. Goniurosaurus hainanensis passe par la même transformation, mais 4-6 mois plus tard quand ils sont presque entièrement grandi. 6-7 mois plus tard, les lignes jaunes disparaissent ainsi, ils sont encore visibles, mais pas tant que ça. La forme du corps de cette espèce est très semblable à celle du gecko léopard . Ce gecko est d'une nature placide quand celui-ci est né en captivité. Il est possible de tomber sur des geckos agressifs et mordeurs lorsqu'il s'agit d'individus capturés dans la nature. Quand celui-ci se sent menacé il dresse sa queue en l'air, et la fait bouger de droite à gauche (et inversement) d'un mouvement décrivant un S. Cette espèce se rencontre au Viêt Nam et au Guangxi et à Hainan en Chine. Il est endémique à la province de Hainan de Chine. Goniurosaurus lichtenfelderi vit dans la forêt vierge dense, mais pas directement à l'eau comme tous les autres Goniurosaurus japonais. Goniurosaurus lichtenfelderi est nocturne. Comme tous les geckos, il se cache pendant la journée, généralement dans des crevasses ou entre les racines des arbres et des buissons. Là, il est toujours humide. Ce Goniurosaurus est un habitant des grottes et cavernes. Un terrarium de 60x40x45 est un minimum pour un couple et 45x25x30 pour un seul. Cependant je me dois de vous dire que cette espèce très menacée donc si on possède des spécimens cela devrait être dans un but de reproduction (avis personnelle). Vous devez a l’intérieur du terra reproduire une zone sèche et une humide avec caverne (cachette). Pour la zone sèche on peut utiliser de la tourbe de sphaigne et pour le coin humide de la mousse. La mousse devra être humidifiée au besoin environ deux fois par jour l’après-midi et avant le coucher. Une température de 25 degrés Celcius sera apprécié vous pouvez mettre une lampe uv ou un tapis chauffant sur le coté du terra et non en dessous. Il faut également éviter de donner une lumière trop forte dans le terrarium. Le gecko ira de toute façon se cacher durant la journée. Mais étant cavernicole dans son pays d’origine, je ne me risquerais pas à tenter de leur fournir une lumière forte sur le long terme. Une hygrométrie de 80% est adéquate du côté humide, vaporiser qu’un côté du terra. N'hésitez pas lui donner des endroits pour grimper car il s'avère que ce gecko est un sacré acrobate ! Il faut garder à l’esprit qu’il s’agit d’un gecko cavernicole, des cachettes lui sont indispensable afin de pouvoir se tenir à l’abri de la lumière, ainsi que de ce qu’il pourrait considérer comme des prédateurs. Le Goniurosaurus insectivore vous pouvez le nourrir de grillons de vers de farine de teignes etc.… les proies doivent cependant êtres adaptes à la tête du spécimen car de trop grandes proies ont tendance a le faire paniquer. Nourrir avec 5 grillons 2 a 3 fois par semaine sou poudres de calcium et varier le menu avec des vers ou autre. Il n’est pas un bon chasseur il attend ses proies dans sa cachette et manque souvent sont but. C’est un opportuniste!!! Un bon moyen de démarrer des jeunes geckos réticents à la prise de nourriture (à cause du stress lors de leur arrivage) est de leur proposé de petits vers de farine. Une fois démarrés comme cela, les geckos n’hésiteront pas à attaquer des petits grillons. Il faut faire attention à éviter les carences calciques. Pour se faire, on veillera à bien supplémenter les proies en carbonate de calcium ou à l’aide d’os de seiche réduit en poudre. Un autre aspect du comportement du "gecko léopard chinois", et sa manière de chasser. Celui-ci est un véritable fainéant. En effet, quand vient l'heure du repas et une fois qu'il a compris qu'il peut rester tranquillement dans sa cachette à attendre que la nourriture lui passe sous le nez, il ne se privera pas d'attendre à l'entrée de sa cachette. Pour une reproduction réussite vous devez simuler l’hiver durant deux mois entre novembre et février. Baisser la température à 18 degrés Celcius et ne pas nourrir. Ensuite remonter graduellement la température et quand ils se réveillent présenter le mâle a la femelle durant 2 semaines et ensuite 2 semaine de repos et ainsi de suite. Environ une semaine plus tard apparition de deux cercles rouges sur la femelle (embryons) et quand ils seront blanchâtres ce seras la couche de calcium. Quatre à six semaines plus tard une fois les œufs retirés il faut les mettre en incubateur de 50 à 80 jours entre 20 et 25 degrés celcius avec une humidité entre 60 et 80%. Nourrir les petits avec micro grillons 4 fois semaine. Les spécimens nés en captivité ne sont normalement pas sujets aux parasites.
  7. Dénombrement des oeufs Lorsque nous arrivons sur la plage au moment où une tortue est en train de pondre, nous relevons avec précision son comportement. Le timing de chacune des étapes : la préparation de la zone de ponte, la ponte, le recouvrement du nid, le camouflage... mais nous dénombrons aussi les oeufs pondu par celle-ci en nous plaçant derrière elle pour ne pas la déranger. Connaitre le nombre d'oeufs pondu nous permet de comparer au nombre d'oeufs éclos lorsque nous revenons sur les lieux 65j plus tard. 150 à 200 oeufs sont pondus à chaque fois, il s'agit d'une fécondité importante, cherchant à compenser la survie très faible des juvéniles. Seul un sur cent survivra et sera à même de venir pondre à son tour 35 ans plus tard. Le samedi 11 janvier 2014 l Mise à jour le samedi 11 janvier 2014 La tortue imbriquée est une espèce inscrite sur la liste rouge de l'UICN, actuellement en danger d'extinction. Les Seychelles sont l'une des cinq zones les plus importantes de pontes de cette espèce. La particularité des Seychelles est qu'il s'agit du seul endroit où elles viennent pondre durant la journée, rendant l'étude de leur comportement possible. Aujourd'hui le braconnage est toujours important, que ce soit pour la carapace ou pour la viande de tortue considérée comme un met de luxe localement, c'est pourquoi il est essentiel d'oeuvrer pour la préservation de la tortue imbriquée. Source
  8. Un serpent orange a été découvert ce matin dans la cour de l’école primaire de Cindré. Tapie le long d’un mur, cette couleuvre inoffensive, appelée serpent des blés, ne pouvait pas passer inaperçue car, outre sa couleur vive, elle mesurait 90 cm de long. Capturé par un employé communal, le reptile a été amené à la gendarmerie de Lapalisse. Source
  9. L’Aquarium des lagons organise demain une soirée dédiée aux tortues. Venez découvrir ces contemporains des dinosaures grâce aux bénévoles, qui vous présenteront les trois espèces du lagon : la tortue verte, la tortue grosse tête et la tortue bonne écaille. Des animations feront également comprendre les menaces qui pèsent sur ces espèces tout au long de leur cycle de vie. Pour les petits, coloriages et câlins avec la nouvelle mascotte, Kelonia. Ce soir, de 18 heures à 21 heures. Pour éviter la file d’attente, achat des tickets possible toute la journée du 10 janvier, de 10 heures à 17 heures. Fermeture de la billetterie à 20h. Tarifs : adultes 1 000 francs, enfants 500 francs. Tél. : 26 27 31. Source
  10. De la viande d’alligator, de grenouille et de python est proposée sur la carte de la pizzeria Evan's Neighborhood Pizza en Floride. Nous vous décryptons ce fait insolite. meltyFood n’en croit pas ses oreilles, de la viande d’ alligator est servie dans le restaurant italien Evan's Neighborhood Pizza à Fort Myers, en Floride. Cette nouvelle insolite va faire de la concurrence au gâteau en forme d’excrément. Si la carte du restaurant comporte de nombreux plats qui nous font saliver, lorsqu’on y trouve une pizza nommée "Alligator", la rédac de meltyFood tombe des nues. De la viande d’alligator dans nos pizzas ? C’est exactement ça et le restaurant n’a pas l’air de trouver la chose embarrassante puisqu’il ne s’arrête pas là. Un autre pizza nommée "The Everglades" est composée de 3 viandes particulières : la grenouille, le python et l’alligator. Elle tient son nom du parc national des Everglades de Floride, dans lequel on trouve des pythons sauvages. Pour information, une moyenne pizza Everglades vous coûtera 45 $. Pourquoi pas vous mettre l’eau à la bouche tout de suite avec les photos ci-dessous. Source
  11. Fatigué d'entendre les guides raconter tous les jours le même baratin un crocodile va attaquer l'un d'eux sur un bateau rempli de touristes. Un crocodile attaque un bateau de touriste - NoKenny Source
  12. Pour la première fois, une équipe de paléontologues a identifié des restes fossilisés de dinosaures imposants en Arabie Saoudite, dans une région du monde où on n’avait encore retrouvé que quelques fragments de ces reptiles géants du passé. Signification : Lézard aux dents de requin Ce terrifiant Théropode était l'un des plus grands de ce groupe de dinosaures. En effet, celui-ci mesurait 12 à 13 mètres de long pour 6 mètres de haut. Il doit son nom "Carcharodontosaurus", signifiant "lézard à dents de requin", à la forme de ses dents... Il y a environ 75 millions d’années, des dinosaures géants (et probablement des plus petits) vivaient sur la péninsule arabique. À priori rien de surprenant quand on sait que ces reptiles disparus ont été retrouvés sur tous les continents. Pourtant, le golfe Persique s’était jusqu’alors montré très pauvre en squelettes de dinosaures, l’environnement de l’époque n’étant que peu propice aux processus de fossilisation. À lire : notre dossier sur la disparition des dinosaures Pourtant, une équipe internationale de paléontologues, dirigée par Benjamin Kear, de l’université d’Uppsala (Suède), vient de révéler dans la revue Plos One les premiers restes de ces géants identifiables dans cette région du monde. Jusqu’alors, seuls quelques fragments indéterminés avaient été exhumés de la péninsule aujourd’hui désertique, mais autrefois jouissant d’un climat équatorial, bien qu’en grande partie plongée sous les océans. Des restes de titanosaures et d’abélisauridés Ces fouilles, réalisées dans le nord-ouest de l’Arabie Saoudite, au bord de la mer Rouge, ont permis d’extraire de roches datées du Campanien-Maastrichtien (entre 83 et 65 millions d’années) des vertèbres de sauropodes géants (les dinosaures au long cou) appartenant à des titanosaures d’une vingtaine de mètres de long, ainsi que des dents de théropodes prédateurs d’une longueur estimée de 6 mètres, apparentés à la famille des abélisaures. Les auteurs sont même parvenus à dater ces fossiles plus précisément : ceux-ci seraient vieux d'environ 75 millions d’années. Comme l’explique Thomas Rich, co-auteur de ce travail et affilié au Muséum Victoria (Melbourne, Australie), à travers un communiqué, « le plus difficile est de trouver le premier fossile. Sachant qu’ils se forment dans une région particulière et sous certaines conditions, trouver de nouveaux fossiles est une tâche moins ardue ». Des propos optimistes qui laissent présager de nouvelles découvertes. Des restes d'un dinosaure proche de l'abélisaure, ici représenté, ont été retrouvés au nord-oeust de l'Arabie Saoudite, en compagnie de vertèbres d'un titanosaure, géant de 20 m de long. Theropod1, deviantart.com, cc by nc nd 3.0 Source
  13. Le chef de Projet Montréal Richard Bergeron demande la création d’un fonds d’urgence de 10 M$ pour contrer le plus rapidement les effets de l’agrile du frêne sur les arbres. Le chef de l’opposition officielle estime qu’il faut agir rapidement pour limiter les dégâts que pourrait créer la propagation de l’agrile du frêne, un insecte ravageur originaire d’Asie qui a fait son apparition dans la métropole en 2011. Selon M. Bergeron, le parc du mont Royal compterait 26 000 frênes, et d’après les échos qu’il a reçus, plusieurs arbres seraient touchés. Une situation qu’il juge alarmante puisque déjà deux grands parcs de la métropole, les parcs Lafontaine et Maisonneuve, seraient aux prises avec l’insecte. Stratégie commune De son côté, le responsable du dossier à la Ville, Réal Ménard, estime qu’il faut plutôt se doter d’un cadre d’intervention mieux coordonné entre Montréal et les villes liées. M. Ménard reconnaît que l’agrile du frêne est un dossier prioritaire et urgent. Il estime toutefois qu’avant de parler de finances, il faut d’abord prendre le temps de s’assoir avec les 19 maires d’arrondissements ainsi que ceux des 15 villes liées pour établir un plan d’action. 400 000 frênes menacés La Ville de Montréal évalue que 400 000 frênes sont menacés par l’insecte. Au cours de la dernière année, 140 arbres ont été abattus après avoir été contaminés et 6500 arbres ont été dépistés. Réal Ménard a annoncé la tenue d’un Sommet sur l’agrile du frêne à la fin du mois de février. L’événement se divisera en deux rencontres, une première permettra d’établir une coordination avec les maires des arrondissements et des villes liées de Montréal, et une deuxième portera sur la mobilisation de la société civile et de la communauté scientifique. Source
  14. Après avoir tenté d'enlever l'insecte avec un aspirateur, un Australien a dû se rendre à l'hôpital. Un cafard de 2 cm a été extrait de l'oreille d'un Australien, le 8 janvier 2014. (MICHEL GUNTHER / BIOSPHOTO / AFP) Cet Australien se demandait quel genre d'intrus pouvait lui faire aussi mal à l'oreille. Hendrik Helmer, qui habite près de Darwin (nord), a été pris mercredi matin de violentes douleurs à l'oreille droite. "J'espérais que ce n'était pas une araignée venimeuse (…). J'espérais qu'elle n'allait pas me piquer", a-t-il raconté à ABC (en anglais) vendredi 10 janvier. "Je ne savais pas ce qui s'était fichu dans mon oreille mais cette dernière n'aimait pas ça du tout", a déclaré Hendrik Helmer. Alors que la douleur devenait insoutenable, il a tenté d'aspirer l'insecte avec un aspirateur, en vain. Son colocataire l'a ensuite amené à l'hôpital, où un médecin a injecté de l'huile dans le conduit auditif. L'insecte s'est encore enfoncé… avant de rendre l'âme. Le médecin a alors pris des pinces pour extraire la bestiole : un cafard de 2 cm de long. Le patient a indiqué qu'il ne prendrait pas de précautions particulières pour dormir. Mais ses amis, traumatisés par sa mésaventure, s'endorment désormais avec un casque sur les oreilles, a-t-il raconté. Source
  15. Une information sur la capture d'un crocodile à Hariss, dans le caza de Tyr, s'est révélée être une mauvaise blague. À l'origine de cette nouvelle qui a fait le tour des médias, Hassan Mohsen, un habitant de la ville, qui avait affirmé avoir capturé un crocodile de 1,5 mètre. Selon son récit relayé par l'Agence nationale d'information, il était sorti chasser lorsqu'il était tombé nez à nez avec un crocodile vivant près d'une décharge d'ordures dans une vallée entre les villes de Hariss et de Tebnine. Il aurait alors tiré sur le jeune reptile, le tuant sur le coup. Le « chasseur », selon l'agence, avait émis l'hypothèse que le crocodile s'était peut-être enfui du jardin privé d'un résident de la région, expatrié en Afrique. Ce n'est que plus tard que le canular a été tiré au clair. Il s'est avéré, toujours selon l'ANI, que le crocodile se trouvait dans la villa d'un certain Nazem Ahmad à Hariss, et qu'il y est mort de cause naturelle. Le propriétaire a demandé à Hassan Mohsen, qui est son concierge, de le jeter dans la décharge. Celui-ci, une fois arrivé sur le site, s'est fait prendre en photo avec le crocodile mort. Ce n'est que par la suite que le fanfaron a été piégé. Source
  16. Par La Voix de la Russie | Les chercheurs russes ont découvert un moyen de freiner le processus de vieillissement de la peau. Les chercheurs de l'Institut de chimie biologique organique ont découvert que les toxines contenues dans le venin de la vipère de Birmanie vivant au Vietnam possèdent des propriétés uniques. Ces toxines sont capables de détendre les muscles, permettant de ralentir ainsi sensiblement l'apparition des rides. « Lors de recherches sur le venin de la vipère de Birmanie, nous avons décelé un composé, un peptide, ou une toxine », explique Iouri Outkine, directeur du laboratoire de l'Institut de chimie biologique organique sous l’égide de l’Académie des sciences de Russie. « C’est un serpent rare que les collègues vietnamiens nous ont présenté. Le venin du serpent bloque sélectivement la transmission du flux nerveux - du nerf au muscle.» Pour tester l'efficacité de la découverte, les chercheurs russes ont effectué des tests sur les grenouilles africaines. Des récepteurs étaient implantés dans les œufs de ces amphibiens, et ensuite on observait leur réaction aux composantes du venin. Il s’est avéré lors de ces tests, que ce peptide détend les muscles. Un autre test, cette fois-ci avec des souris de laboratoire, a confirmé cette hypothèse. Selon les scientifiques, ce peptide pourrait être utilisé comme un moyen de lutte contre le vieillissement. Ce sont les muscles faciaux qui provoquent l’apparition des rides. Si ces muscles se détendent, les rides apparaîtront plus tard. Par ailleurs, les chercheurs ont trouvé un moyen d’acheminer la substance dans l’organisme. « Nous ajoutons la poudre dans la concentration nécessaire dans la base de la crème. C’est donc une crème active permettant de lutter contre les rides qui est créée », explique Igor Kocheverov, chargé d’études au laboratoire de l’Institut de chimie organique biologique à l’Académie des sciences de Russie. L’institut a déjà commencé des tests sur des bénévoles. Si la formule donne des résultats positifs, cette crème sera fournie non seulement aux salons de beauté, mais aussi aux laboratoires pharmaceutiques, qui créeront sur la base du venin de serpent des médicaments antidouleur. Source
  17. Vous êtes fatigués ou peut-être stressés ? C’est dans un Spa israélien que vous trouverez le réconfort. Ce Spa propose une séance de massage par des serpents. Vous avez bien lu. Ces charmants reptiles rampants vont se charger, par leurs mouvements sur votre corps, de vous détendre. Une nouvelle manière de se détendre pour faire sortir le « venin » Si les massages relaxants se limitaient jusqu’ici au massage au chocolat, aux pépins de raisin, à l’utilisation de galets chaud, d’algues et autres, ils s’étendent aujourd’hui à l’utilisation des animaux. Les adeptes du massage à travers le monde ont fait la découverte d’une nouvelle technique de massage : le massage aux serpents vivants. Proposée pour la première fois et uniquement par un institut de beauté israélien, cette nouvelle façon de relaxer et de se détendre attire aujourd’hui de plus en plus d’adeptes. L’expérience a fait parler d’elle à travers le monde en raison de son originalité et surtout de l’utilisation du serpent. Comment se pratique le massage aux serpents Qualifiés de snakes massages par son initiateur, le propriétaire de l’institut de beauté israélien, lesmassages aux serpents vivants se pratiquent avec un procédé très facile qui ne nécessite aucune compétence particulière. Pour ce faire, le masseur place six serpents de taille variable sur la partie du corps à masser. Cette technique peut en fait être utilisée sur le dos et aussi sur le visage. Les serpents déambulent et s’agitent ensuite sur le corps afin de détendre l’organisme. Selon l’initiateur, les massages aux serpents vivants peuvent faire beaucoup de bien pour la santé tout en étant relaxants, voire calmants. à condition que l’angoisse ne s’empare pas de vous ! Le massage aux serpents, sans risque d’envenimement Avant de faire l’essai de cette expérience, il faut vous assurer qu’elle ne comporte aucun risque d’envenimement. En provenance des Etats-Unis, les serpents utilisés pour cet exercice ont été dûment contrôlés pour s’assurer de l’absence de venin. A l’heure actuelle, trois espèces de serpentsfont le bonheur des centaines de clients à la recherche de la relaxation en Israël. Parmi ces espèces, on compte les serpents rois de Californie et de Floride, les serpents des blés et les serpents du lait. Selon leur taille, ces bestiaux peuvent avoir des effets différents sur l’organisme. En fait, les serpents de plus grosse taille détendent les tensions musculaires profondes alors que ceux plus petits apportent détente et relaxation. Je suis certain que vous aimez les massages tout comme moi ! J’ai peut-être un avantage sur vous, j’aime aussi les serpents ! Quand même, je trouve que les massage et les serpents font un drôle de mariage ! Pour la plupart d’entre vous, en règle générale, la seul idée de passer sous des mains expérimentées pour une séance de massage vous fait rêver. Je reprend la même phrase: Pour la plupart d’entre vous, en règle générale, la seul idée de passer vos mains sur un serpent vous fait frémir. Qui à eu l’idée de mélanger les deux émotions, pourtant à l’opposé l’une de l’aute. Si un jour je passe en Israël, il est certain que je me propose pour l’expérience et vous ? Source
  18. «C'est une sensation unique en son genre», explique Feri Tilukay, le visage fendu d'un large sourire tandis que trois pythons de près de deux mètres parcourent son corps. «Ca donne une poussée d'adrénaline», raconte à l'AFP le comptable de 31 ans, les yeux clos de plaisir sur la table de massage du Spa et réflexologie traditionnels de Bali qui, en dépit de son nom, se trouve dans la capitale indonésienne Jakarta. Avec un short pour toute protection, l'habitué, qui en est déjà à son troisième massage du genre, semble totalement détendu tandis que Jasmine, Muscle et Brown serpentent sur son corps. Les pythons, dont le plus grand atteint 1,8 mètre, se roulent sur son estomac, caressent son cou, tout en redressant de temps à autre la tête en faisant ressortir leur langue fourchue dans un sifflement aigu. S'ils trouvent leur nouveau terrain de jeu trop confortable et qu'ils commencent à s'endormir sur le ventre de leur partenaire, deux assistantes qui surveillent leurs agissements se chargent de rappeler les pythons à leur devoir de masseurs. Feri Tilukay est l'un des rares Indonésiens à oser le massage de serpents. La plupart des clients, encore rares, sont des touristes étrangers en mal de sensations fortes. «J'avais la phobie des serpents, explique le comptable. Mais après avoir reçu ce traitement à plusieurs reprises, la phobie a commencé à disparaître. Maintenant, j'aime les serpents», dit-il, ne semblant éprouver aucune gêne à mesure que les peaux froides et écailleuses glissent sur son corps. Le massage de 90 minutes, qui coûte 480.000 roupies indonésiennes 45 $, ne représente aucun risque, assure le gérant du spa, Paulus Abraham. Les animaux sont nettoyés à l'antiseptique avant d'être posés sur le corps du client, et leur gueule est scellée par du ruban adhésif, ne pouvant que laisser passer leur langue fourchue. Le massage de serpents n'est pas le seul traitement insolite offert par le spa. Parmi les classiques enveloppements au chocolat, café ou mangue, le centre propose à ses clients de se faire masser à la glace à la fraise, aux escargots, au fromage, au beurre ou à la mayonnaise, voire avec des boules de golf ou de billard et même... avec des gants de boxe. Le massage corporel par un singe de la forêt, autrement appelé le spa de la guérilla, propose une palpation effectuée par une masseuse revêtue d'un costume de gorille. Le spa promet que ce retour à la nature facilite la circulation du sang et la stimulation corporelle. Le massage de serpents est offert depuis un an et attire un nombre régulier de clients, assure le gérant. Mais le traitement n'est pas du goût des défenseurs des animaux, le Réseau d'aide aux animaux de Jakarta dénonçant une "exploitation". «Nous ne considérons pas les serpents comme des employés. Nous les traitons comme des amis ou des membres de la famille, assure cependant le gérant du spa. Nous les embrassons, nous les prenons dans nos bras, nous les traitons comme il faut». Source
  19. Tortues, lézards ou serpents sont de nouveaux animaux de compagnie qui font courir des risques d'infection aux enfants. Le principal risque est celui de contracter une salmonellose, selon une étude publiée dans le Bulletin épidémiologique hebdomadaire. Morsures de puces, parasites intestinaux, maladie des griffes du chat… nos animaux domestiques sont parfois porteurs de maladies qui peuvent se transmettre aux enfants. Fort heureusement, la majorité de ces zoonoses se soigne facilement. Mais ce qui inquiète aujourd'hui les autorités sanitaires, c'est l'apparition dans les foyers de nouveaux animaux de compagnie (NAC). En 2003, 3% des foyers français possédaient un reptile. Un chiffre qui a vraisemblablement augmenté en dix ans, étant donné l'engouement pour ces animaux. Or, comme le soulignent les médecins dans une étude publiée dans le Bulletin épidémiologique hebdomadaire, les reptiles sont des réservoirs connus de Salmonella (une variété de bactéries qui peut provoquer de la fièvre et des infections toxiques) et représentent une source de contamination potentielle pour l'homme. Une contamination sans contact direct Afin de découvrir les cas de salmonellose de jeunes enfants transmises par des reptiles en France métropolitaine, une investigation a été conduite en 2013 par l'Institut de veille sanitaire (InVS) et le Centre national de référence des Salmonella à l'Institut Pasteur (CNR). La sélection des patients de l'étude a été réalisée à partir de la liste des patients pour lesquels une souche de Salmonella avait été reçue au CNR en 2012 : les chercheurs ont ensuite affiné leur sélection en gardant les cas de salmonelle chez les enfants de moins de 5 ans, ayant un reptile à domicile, et n'ayant pas effectué de voyage récent à l'étranger (afin d'exclure les cas de salmonellose importée), soit 41 patients au total. « Parmi les 41 cas, 38 (93%) ont présenté une gastro-entérite fébrile. Deux autres cas ont présenté une méningite. Ces 2 patients avaient tous les deux été exposés à un reptile. » Les tortues aquatiques les lézards Pogona sont les reptiles les plus fréquemment rencontrés. Suivis des serpents et des iguanes. « Les reptiles n'étaient jamais laissés en liberté dans le domicile et lors du nettoyage de l'habitat de l'animal, les souillures étaient jetées à l'extérieur. Mais un seul parent avait connaissance des risques transmission de la salmonelle au jeune enfant » insistent les chercheurs. Aux États-Unis, les Centers for Disease Control and Prevention ont publié des recommandations d'hygiène pour les propriétaires de reptiles, et les vendeurs doivent informer leurs clients des risques de transmission de salmonelle. L'acquisition d'un reptile dans les foyers comportant un enfant de moins de 5 ans est déconseillée, et si un reptile est déjà présent au domicile, son éviction est recommandée lors de l'arrivée d'un nourrisson à la maison . Mais à ce jour, il n'existe pas de telles recommandations pour les propriétaires de reptiles en France. « Or, il faut savoir que l'habitat et les vêtements des propriétaires de reptiles peuvent être contaminés et ce, même après l'éviction des reptiles, car les salmonella survivent longtemps dans l'environnement. Et les très jeunes enfants ont un risque élevé de développer une salmonellose ». Source
  20. Samedi, la police est intervenue dans une habitation d’Orp-Jauche. Les propriétaires du logement ont découvert quatre tortues, un varan et un boa constrictor visiblement abandonnés par le locataire. Peu banale cette découverte réalisée par les propriétaires d’un logement de la rue de Folx-les-Caves, à Orp-Jauche. Alors que le locataire avait quitté les lieux pour le 31 décembre, comme il avait été convenu, ils sont tombés sur des NAC (Nouveaux Animaux de Compagnie). L’homme les a visiblement abandonnés. La police de la zone Est Brabant wallon est donc intervenue au domicile samedi après-midi. Le parquet a confirmé la saisie et c’est l’Arche de Bousval, un refuge pour animaux sauvages et exotiques, qui a été chargé de récupérer les bêtes. Six au total : quatre tortues, deux terrestres et deux aquatiques, ainsi qu’un varan du Nil et un boa constrictor ! Une couleuvre américaine a, elle, été retrouvée morte. « Le boa est très amoché. Ma vétérinaire doit venir cet après-midi ou demain (NDLR : lisez aujourd’hui) pour s’en occuper. Malheureusement, nous ne sommes pas certains de pouvoir le sauver », raconte Bernard Daune, le président de l’Arche. Pour l’heure, les animaux resteront chez lui. En attendant une décision de la justice au sujet de la saisie définitive, ce qui ne semble pas faire de doutes. « Le locataire a vraisemblablement abandonné ses animaux. D’ailleurs, nous ne savons même pas où il est parti ! On suppose qu’ils étaient de trop… », commente Jacques Vandenbosch, chef de corps au sein de la zone de police Est Brabant wallon. Il ajoute : « Dans ce genre de cas, c’est le parquet qui décide de la saisie et du placement. Même si ce sont des NAC, au même titre qu’un chien ou un cheval, il doit s’assurer que le bien-être de l’animal est garanti. C’est à lui que revient ensuite le choix de poursuivre ou non le propriétaire. Les frais de procédure et de prise en charge pourraient lui être imputés. » Ce lundi, on a appris que le propriétaire des animaux sera poursuivi pour infraction à la loi relative au bien-être animal. Source
  21. Plus de la moitié des foyers français possèdent un animal de compagnie. Mais certains ont choisi des espèces non conventionnelles qui peuvent être dangereuses pour la santé des enfants. Méfiance... Des études réalisées par l'Institut de veille sanitaire de l'Institut Pasteur et par l'Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail mettent en garde les parents qui ont offert à leur enfant un NAC, ou nouvel animal de compagnie comme une tortue, un lézard, un iguane... De gros risques d'infections graves Plus de la moitié de ces petits animaux de compagnie sont porteurs de salmonelles, des bactéries qui peuvent entraîner chez les enfants, dont le système immunitaire est plus fragile, une gastro-entérite avec diarrhée, douleurs abdominales, nausées, vomissements, fièvre entre 38 et 40 °C, mais parfois aussi des infections plus graves comme une septicémie. Ces infections se contractent pas seulement au contact direct de l'enfant avec l'animal, mais aussi par l'intermédiaire des mains des parents, ou tout simplement de l'environnement. D'où l'importance de se laver les mains après avoir touché son animal et de respecter des conditions d'hygiène parfaites. A lire aussi : Animaux domestiques et hygiène, êtes-vous au point ? (quiz) De leur côté, les reptiles peuvent transmettre des méningites pouvant entraîner le décès de l'enfant. Animal de compagnie : l'ami des enfants Bien souvent, l'enfant désire un animal de compagnie pour jouer avec lui, s'en faire un compagnon. L'animal de compagnie peut aussi être un confident, procurer un certain apaisement ou un sentiment de sécurité. Les parents pensent-ils vraiment qu'un enfant peut avoir de vrais échanges avec une tortue d'eau ou un iguane ? Restez simple, et offrez à votre enfant un chat, un chien, un hamster ou un lapin. De “douces peluches” vaccinées et affectives. Source
  22. Des adolescents qui n’ont pas froid aux yeux se sont filmés en train de faire du skateboard avec... un crocodile ! L’adrénaline du skateboard n’est visiblement pas suffisante à cette bande de jeunes fougueux. Dans la vidéo ci-dessous, on voit deux jeunes hommes exécuter un ollie, soit un saut, au-dessus d’un crocodile. Un de leurs amis se permet même une petite caresse à l’attention de la grosse bête qui s’agite. La scène aurait été filmée au Yemen. L’animal est-il muselé ? On l’espère ! Source
  23. DARWIN, dimanche 5 janvier 2014 (Flash d’Océanie) – Les autorités de l’État australien du territoire du Nord ont annoncé fin décembre le nombre de crocodiles capturés en 2013. Avec un total de 225 sauriens, le chiffre est en baisse par rapport aux années précédentes. En 2010, le nombre de captures de ces reptiles d’eau douce dans cet État avaient connu un record : 305, dont le plus long mesurait quatre mètres soixante. Ce chiffre battait déjà un précédent record établi en 2004 avec 274 sauriens capturés dans les rivières de cet État. Pour 2013, le plus gros crocodile capturé, en février, mesurait 4,25 mètres. Les services de parcs et réserves de cet État ont par ailleurs souligné que même si le nombre de crocodiles était en baisse par rapport aux années précédentes, les habitants de la région devaient rester vigilants et ne pas se mettre en danger, en particulier aux abords des zones signalées par des panneaux. Attaques mortelles en série Ces derniers mois, en Australie, plusieurs incidents, dont un mortel, se sont produits dans le Nord-ouest de l’Australie. Samedi 31 août 2013, un touriste Néo-zélandais a dû être secouru par les autorités locales, sur la petite île Governor, dans la région de Kalumburu. Il s’y était rendu en canoë kayak, en mode exploration et n’osait plus la quitter, de peur d’être attaqué par un crocodile de six mètres qui, selon lui, le suivait depuis plusieurs jours. Ces affirmations ont été corroborées par plusieurs résidents de la région, qui affirment aussi avoir aperçu un reptile de taille similaire à plusieurs occasions. Le touriste a survécu sur cette île inhabitée grâce aux réserve en nourriture qu’il avait embarquées et, depuis, tentait d’attirer l’attention au moyen de signaux lumineux. C’est un habitant de la localité la plus proche, Don MacLeod, qui a remarqué ces signaux et s’est porté au secours du réfugié. Le lendemain, dimanche 1er septembre 2013, il a aussi porté se cours à une autre personne, qui se trouvait dans la même zone à bord de son voilier. À bord de son dinghy, pour se réapprovisionner en eau potable, il a alors été attaqué par un crocodile. « Le crocodile a attrapé le canot gonflable, il a commencé à le secouer et à le percer », a déclaré M. MacLeod. Le passager miraculé s’en est sorti sans encombre. Le 29 août 2013, c’est dans le Nord de l’État du Queensland (Nord-est du pays) qu’un autre crocodile mesurant quelque 4,50 mètres a été capturé dans la rivière Herbert, au Nord de la ville de Townsville (une centaine de kilomètres au Nord de Sydney). C’est un groupe d’une douzaine d’hommes qui a été nécessaire, pendant une bonne moitié de la journée, pour maîtriser le saurien de près de quatre cents kilogrammes, dont le comportement récent avait été jugé menaçant, lui valant même le surnom de « Bully ». Il s’agissait du plus gros crocodile capturé dans cet État pour 2013. Il a depuis été transféré à Townsville, plus au Sud. Happé sous les yeux de ses amis Mais une autre de ces récentes attaques, le 26 août 2013, dans le Territoire du Nord australien (extrême Nord du pays), a fait une victime : un jeune informaticien de 26 ans, Sean Cole, de Darwin, happé par un crocodile de cinq mètres dans la rivière Mary et dont le corps n’a été retrouvé que quelques jours après l’accident, après le déploiement d’importants moyens. Le jeune participait à une fête d’anniversaire d’un de ses amis, le 24 août, dans un hôtel sur cette rivière, située à mi-chemin entre Darwin et le parc national de Kakadu. Lui et un autre jeune homme avaient entrepris de se baigner dans la rivière. Selon les témoins, ainsi que la police, qui soutient la même thèse, la consommation d’alcool au cours de cette fête a pu jouer un rôle dans le manque de discernement des deux hommes ayant mené à leur décision de se baigner dans cette rivière réputée pour sa dangereuse faune. Des panneaux, dans cet hôtel, indiquent clairement qu’il est dangereux de s’approcher de l’eau. Sur la rive, le groupe d’une quinzaine d’invité a pu voir Sean Cole happé par le crocodile, qui l’a ensuite, selon sa méthode favorite, entraîné sous l’eau. L’autre homme, épargné, a pu regagner la rive, en état de choc. « À tous ceux qui viennent chez nous, on dit qu’il y a des crocodiles, que la rivière en est infestée, qu’il ne faut surtout pas se baigner et se tenir au moins à cinq mètres de distance du rivage. Tant que les gens respectent ces consignes, ils sont en parfaite sécurité », a rappelé Erin Bayard, gérante de l’hôtel où a eu lieu le drame. Au cours des opérations de recherche, par précaution, les rangers ont abattu quatre crocodiles, dont un pourrait être responsable de l’accident. Selon la police locale, cette rivière Mary, fortement sujette aux marées, détient un record mondial : celui de la densité de crocodiles d’eau de mer. Mi-septembre 2010, encore une fois dans la région de Darwin, les passagères d’une pirogue participant à un concours local de pêche, dans la petite localité de Corroboree (une centaine de kilomètres à l’Est de Darwin, extrême Nord de l’Australie) ont eu la peur de leur vie lorsqu’elles ont été attaquées par un crocodile qui s’est littéralement jeté sur la barque dans le but apparent de la faire chavirer. L’une des rescapées, Toni Flouse, encore choquée, a ensuite déclaré que les femmes avaient eu la mauvaise idée de tenter de récupérer ce qui semblait être un vieux leurre, qui flottait au milieu du plan d’eau douce, au milieu d’une surface recouverte de nénuphars. « Moi j’ai dit tout de suite avant que ce n’était pas une bonne idée, il y a Monsieur le crocodile qui pourrait bien sortir d’un seul coup. Mais je pensais faire une plaisanterie », avait-elle déclaré. Quelques secondes après, les pêcheuses effarées ont ensuite vu surgir de l’eau un crocodile de trois mètres qui s’est rué sur l’une des extrémités du canot. Les passagères ont alors été suffisamment rapides pour se regrouper de l’autre côté de la barque, juste avant l’impact. Toutes accroupies, aucune d’entre elles n’a perdu l’équilibre et personne n’a donc été précipité dans l’eau. Entre-temps le saurien semblait avoir renoncé à l’idée d’un second assaut. Personne n’a été blessé. En Australie, les crocodiles sont les plus répandus dans les régions tropicales du pays, à commencer par le Nord. Le Nord infesté de crocodiles Lors des énormes inondations de décembre 2010, dans l’État voisin du Queensland, les autorités avaient là aussi lancé une alerte aux crocodiles, qui profitent de la montée du niveau des rivières pour pénétrer plus en avant vers l’intérieur des terres. Une étude, publiée juin 2010 par le département de l’environnement de cet État, a été menée entre septembre 2009 et février 2010 sur une zone côtière s’étendant sur une bande de plus de sept cent kilomètres de cette région, et incluant quarante huit rivières et leurs estuaires. Pendant la durée de cette enquête, 293 reptiles marins ont été observés, dont la grande majorité (258) appartient à la famille des crocodiles d’estuaires (d’eau de mer), le reste (35) étant des crocodiles d’eau de rivières. La taille des spécimens trouvés variait de trente centimètres à près de quatre mètres de long. Cette étude a été menée dans le cadre d’un processus de surveillance des effets de l’interdiction de la chasse au crocodile, imposée dans cet État il y a plus de trente cinq ans pour empêcher une extinction annoncée de ces reptiles. Crocodiles surfeurs Un éventuel lien entre une montée du niveau des océans et donc des marées plus fortes, voire des inondations, autant de facteurs permettant une remontée plus facile à l’intérieur des estuaires, a tout récemment été appuyée par une enquête menée sur une vingtaine de ces crocodiles de mer, qui ont été appareillés de balises émettrices. Il est alors ressorti de cette étude, en substance, que les crocodiles d’eau de mer, pourtant réputés pour être de modestes nageurs, avaient la faculté de tirer le maximum de profit des courants et donc de « surfer », en économisant leur énergie et en pouvant de cette manière parcourir sans peine des milliers de kilomètres. Outre le Nord de l’Australie, les attaques de crocodiles ne sont pas rares dans toute la région mélanésienne toute proche, avec en tête des pays concernés la Papouasie-Nouvelle-Guinée et les îles Salomon. Mi-novembre 2013, un Salomonais de 32 ans, Silas Posa, a été évacué d’urgence par hélicoptère vers la capitale Honiara, après avoir été attaqué et sérieusement blessé par un crocodile. Cet homme a été mordu au niveau des genoux par le saurien, alors qu’il se baignait dans une rivière en compagnie de quelques amis, dans la localité de Kolotubi (district d’Hograno, province d’Isabel). Au moins deux précédentes attaques ont eu lieu ces dernières années dans la même région. Sur l’île principale de Guadalcanal, ces dernières semaines, les moyens de la mission régionale d’assistance RAMSI, force militaro-policière chargée, depuis 2003, de stabiliser ce pays après des années de guerre civile, ont été régulièrement mis à contribution en rapport direct avec la menace des crocodiles. Récemment, au moins trois de ces reptiles ont ainsi pu être capturés à l’aide de pièges, non loin du village de Tasi, sur la côte Ouest de l’île. Les pièges, des boîtes d’aluminium contenant un appât, sont spécialement conçus pour la capture des sauriens. Outre les attaques sur les humains, ils s’en prennent aussi régulièrement au bétail et aux cochons des clans locaux. À la demande des populations excédées par la recrudescence de ces agressions, la force régionale a décidé d’apporter sa contribution et a même entrepris de former à cet effet une brigade spécialisée dans ce genre d’interventions. Fin juillet 2011, aux îles Salomon, dans la rivière Mbokokimbo (Nord-est de l’île de Guadalcanal, l’île principale des Salomon), un homme avait été emporté par l’un de ces reptiles alors qu’il venait de le détourner de sa proie initiale, l’épouse de la victime. La jeune femme se baignait alors dans la rivière toute proche. Son mari s’était alors jeté à l’eau et était parvenu à détourner l’attention de la bête, qui s’apprêtait à happer sa première cible. La jeune femme sauvée a depuis été hospitalisée, où son état est jugé stable, malgré de profondes morsures. Son mari aurait été entraîné sous l’eau par le crocodile. Les opérations de recherches menées depuis par la police n’ont jusqu’ici pas permis de retrouver la trace ni du crocodile, ni de la victime présumée. Quelques jours auparavant, le ministère salomonais des pêches s’inquiétait de la prolifération des crocodiles dans cette région et annonçait son intention d’en discuter avec le ministère de l’environnement. Les autorités attribuent cette recrudescence à deux facteurs : l’interdiction du commerce de peaux de reptiles, au cours des années 1980, puis la mission de pacification menée depuis 2003 par la force d’intervention régionale RAMSI (sous commandement australien), avec pour objectif initial de mettre un terme à la guerre civile entre communautés de Guadalcanal et de Malaïta, entre 1998 et 2003. Cette intervention a aussi permis de réduire de manière significative le nombre d’armes à feu en circulation. En Papouasie-Nouvelle-Guinée toute proche, en février 2012, une femme de la province de Madang n’avais jamais été retrouvée après qu’elle ait été attaquée et emportée par un crocodile alors qu’elle se baignait ans une rivière, non loin de son village d’Awar. Selon les témoins, la villageoise, épouse d’un des dirigeants des services provinciaux de santé, avait été aperçue pour la dernière alors qu’elle se dirigeait vers ce cours d’eau pour y prendre un bain, au petit matin. D’autres témoins déclarent avoir vu à peu près au même moment, sur les berges de la même rivière, un crocodile d’eau douce. Fin juillet 2011, dans la province de Morobé, non loin de la ville de Lae (seconde ville du pays), deux jeunes frères, Ericson et Jeremiah Kime, âgés respectivement de 10 et 16 ans, avaient fait sensation en décidant de se séparer de ce qu’il décrivaient alors comme leur animal de compagnie : un crocodile de quatre ans, qu’ils déclaraient avoir domestiqué après l’avoir recueilli tout jeune. La bête avait déjà atteint une taille plus que respectable et était donc devenu par trop encombrant. Les deux frères ont décidé de vendre l’animal à une ferme spécialisée dans l’élevage de ce genre de reptiles. pad Source
  24. Une éducatrice dans un CPE de Greenfield Park a eu la mauvaise surprise de trouver une araignée vivante dans les raisins qu'elle s'apprêtait à donner aux enfants cet après-midi... Source
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