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oui si je les ai... Le plus souvent je n'ai pas les jaquettes en couleur, et je n'ai pas de scanner non plus... une petite recherche sur ALapage, amazon, Fnac permet avec le nr ISBN de retrouver la parution correspondante sans risque d'erreur. Une petite précision lexicologique le scriptorium, à l'origine, est un objet, la table d'écriture, utilisée par les moines copistes dans les monastères, le pendant pour la lecture étant le lutrin. Par extension le scriptorium a désigné l'atelier des moines copistes. comme je me limite au recopiage des références le scriptorium me convient, mais j'aimerais aussi que d'autres illustres participants à ce forum partagent leurs ressources, qu'ils en soient remerciés d'avance.

Falconry : Art & Practise Emma Ford ATTENTION prendre la nouvelle révision : 200 pages Publisher: Sterling Publishing; Revised edition (June 30, 1998) ISBN: 0713725885 L'autre version est un opuscile d'une vingtaine de page. En un anglais très fluide et clair, illustré de très nombreux dessins et photos, la fauconnerie avec buses et faucons dans les moors d'écosse. Comporte aussi une partie soins élémentaires, préventif et d'urgence ainsi qu'une ttablature des médicaments et leurs doses maximales administrablesrapporté au poids du rapace.

Merci Michel j'espère que Saint Bavon tolerera aussi les ouvrages d'autres origines que celles de région d'obédience catholique... je mets certains "incontournables" en ligne, mais j'éspère que d'autres vont compléter les rayons... je suggère que dans la mesure du possible on cite le titre, l'auteur, l'éditeur, l'année et le nr ISBN Ceci permet à un bon libraire de commander l'ouvrage sans risque d'erreur, certains ouvrages ayant connus des éditions variables suivant les tirages et les années de parution, ou types de couvertures.

Understanding the Bird of Prey By: Fox, Dr. Nicholas Hancock House Publisher ISBN: 0-88839-317-2 150 illustrations et 368 pages : un must en anglais quatrième de couverture à laquelle je souscris entièrement ...

traité de Fauconnerie H Schlegel A.H. Verster de Wulverhorst Le traité rédigé à la fin du Royal Loo Halwking Club, en Gueldre Neerlandais, publié à Leiden et Dusseldorf en 1844 et 1853 ouvrage en édition originale en français, Dédicataire , le Roi Guillaume d'Orange Nassau, dont la passion ainsi que celle de sa famille a maintenu un équipage fastueux et cosmopolite au Loo. Très interressant car il décrit par le détail, les oiseaux, leur affaitage et les chasses dont les chasses au héron. Les planches aquarellées en couleurs valent à elles seules le détour. Des éditions plus récentes existent aussi qui ont élagué certaines longueurs du texte original et couvert l'evolution de la fauconnerie depuis lors.

Greifvöogel : krankheiten haltung zucht par Manfred Heidenreich Blackwell wissenchaft, 1995 ISBN3-8263-3090-0 les maladies et accidents des oiseaux de proies, 295 pages bien tassées, 334 illustrations, 32 tableaux explicatifs, un très bon ouvrage pour comprendre les maladies et soins à donner, sous la conduite d'un vétérinaire compétent bien entendu... Je possède une version allemande mais Blackwell publie aussi en français, anglais, et espagnol

Un très bon dictionnaire à consulter LEXIQUE DE LA CHASSE AU VOL Terminologie française eu XVIe au XXe siècle Par Hubert BEAUFRERE bibliothèque Cynegetica Librairie des Arts et Métiers 2004 isbn 2-85497-075-6 J'adore l'entête

De Arte Venandi Cum Avibus. Empereur Federick II Hohenstaufen & son fils le roi Manfred Le premier traité occidental en trois gros tomes qui nous soit parvenu. Le premier ouvrage scientifique aussi ou chaque hypothèse et chaque récit ancien a été soumis à vérification. L'ouvrage existe en traduction anglaise par les presses de Stanford, ISBN 0-8047-0374-4 et en traduction française dans la bibliothèque Cynegetica, Librairie des Arts et Métiers, 2000, avec des commantaires de Anne Paulus et Baudouin Van den Abeele ISBN 2-85497-068-3 J'ai la version anglaise, 650 pages de lecture passionnante et très bien commantée avec des comparaisons entre les différentes versions qui sont parvenues jusqu'à nous.

http://www.bbc.co.uk/radio4/science/flyingfalcons.shtml mais la national bird of prey center reste ouvert en uk et continue son travail dont les stages.. http://www.nbpc.co.uk/home.htm

Puis-je suggérer une rubrique "la bibliothèque de l'honnête homme" avec les différents ouvrages "incontournables" , leurs références, les sujets traités ?

je le recommande aussi c'est un ouvrage très instructif et qui traite de tous les aspects à travers les siècles, chaque article est mis en situation par une citation d'auteur les rédacteurs offrent ainsi un apperçu sur plusieurs siècles et diverses écoles.

et les liens vers les dictionnaires sont ici : /viewtopic.forum?t=438&

la discussion sur le nom à conférer est ici : /viewtopic.forum?t=387

Oups aie ouille... Par les Mânes de mes ancêtres! cette fois je tords le cou à ce vilain canard là aussi.... Les premières lois sur les oiseaux de chasse sont chinoises et datent de 1000 avant notre ère... Les persans et babyloniens revendicants eux le bénéfice mythologique de l'antériorité avec des lois datant D'Uhr et d'Hamourabi En Europe les premières lois sont franques concernent autours et éperviers et datent de +/- 400 450 ap JC, l'empire romain achevant de se désintégrer... donc bien antérieures au croisades, et les croisades n'ont pas introduit de modifications fondamentales, à part certains modèles de chaperons aux deux grandes écoles qu'étaient la fauconnerie bourgino-flamande sur l'usage de faucons pélerins, et la fauconnerie écossaise plus centrée sur des "eyases" ou niais.. Les croissades furent avec l'apparitions des royaumes Francs et Normands en midditérannée l'occasion d'échanges et de synthèse des pratiques. Je te signale que plusieurs Grands étaient d'éminents fauconniers, Charlemagne, Théodose, Frederic II l'emperreur, le roi Manfred, Philippe le Bel, Louis XIII, François duc de Gandie, Marie de Bourgogne, the Duke of St Albans, Lord Newcombes, les princes Guillaume et Alexandre d'Orange Nassau, etc... pour n'en citer que quelsques uns. Les charges de grand fauconnier et grand veneurs étaient concédées aux plus compétents, quitte parfois à les anoblir par la suite, et l'éducation à la fauconnerie était considérée comme indispensable prérequis avant d'aborder l'usage des armes. Quand à la pratique cynégétique actuelle eurpopéenne, la chasse est le moyen privilégié pour réduire les nuissances causées par le gibier aux cultures, et de compenser par une gestion des peuplements l'éradication presque complète des grands prédateurs. Suivant les orientations de communication vis à vis du public on la qualifie de chasse ou d'effarouchement, mais le but est toujours le même : réduire les nuissances endessous du seuil acceptable économiquement par les calculs actuariaux des compagnies d'assurance. Le savoir en cette matière de gestion cynégétique ne s'apprend pas dans les livres mais se transmet par la fréquentation de praticiens rompus à toutes les techniques. Le "bon oiseau" est un oiseau affaité avec lequel un novice peut apprendre sous les conseil d'un plus expérimenté. Je pense qu'il y a eu un sujet spécifique sur ce sujet et après recherche voici la référence : /viewtopic.forum?t=507&highlight=

si j'en crois mon dictionnaire cynégétique et le français est une langue précise, il existe des fauconniers, (chasseur au vol avec des faucons nobles,) des autoursiers (chasseur au vol avec des autours,) des espervetriers (chasseur au vol avec des éperviers,) des butéoniers (chasseur au vol avec des buses ,) des aigliers (chasseur au vol avec des aigles,) des portes Duc et tendeurs de Duc. (utilisateurs de grands duc comme appat) à la rigueur dans le domaine ichtologique on trouve les cormorantiers ou utilisateurs de cormorants... Hélàs sont disparus les vols comme celui du papillon par le mouchet, le vol de la chauve souris par la crécerellette, le vol de capture du Milan royal par le Duc en filière muni d'une queue de renard et suivi à cheval par le tendeur de Duc.... Peut être que dans la conférence des Fauconniers ou les lettres de philohierax à philofalco Arcusia mentionnerait il d'autres vols curieux, mais ils ne sont je pense en usage aujourd'hui A ma connaissance il n'y a pas d'autres utilisations courrantes dans le domaine cynégétique d'oiseaux de proies. Peut être serait utile de relancer la discussion lancée sur le nom à donner aux autres finalités et autres espèces que les espèces de chasse /viewtopic.forum?p=3304#3304

la chasse avec un mode d'éclairage est strictement interdite en Belgique. utiliser des lampes, des dispositifs d'amplification de lumière est du braconnage qualifié. je déconseille à quiconque de le tenter car les gardes seront intraitables et très chatouilleux de la gachette, les braconniers "professionnels" n'hésitant en aucune façon à tirer les premiers,, tendre un poing pourrait failement être confondu avec brandir une arme de poing.

Nocturnes et fauconnerie En fauconnerie (activité de chasse, n'est ce pas Claude), il est parfois fait usage du Grand Duc La personne chargée de porter le grand duc est apellée "Porteur de Duc" Le grand Duc est utilisé essentiellement comme APPAT soit pour attirer un gibier exemple : corneilles Il n'est pas traditionnelllement fait usage du grand Duc comme oiseau de chasse, mais de bien de faucons. Il est interressant de noter que cet usage est passé aussi dans la chasse avec armes à feu, et que plusieurs firmes produisant des leurres ont plusieurs modèles de grand ducs. Soit pour capturer un autre oiseau de proie au moyen de filets. Dans ce cas la personne responsable du grand duc est dénommée "Tendeur de Duc". malgré mes lectures je n'ai jamais trouvé d'autres chasses avec d'autres nocturnes en fauconnerie traditionnelle.

Petite précision utile.. Après plusieurs contacts au niveau des ministères et agences fédérales, j'ai obtenu confirmation qu'il n'existe aucune norme pour l'hébergement de rapaces chez des particuliers POUR AUTANT QUE LEURS INSTALLATIONS NE SOIENT PAS OUVERTES AU PUBLIC. Si les installations sont ouvertes au public, ne fut-ce qu'à l'occasion d'une journée "porte ouverte", à l'occasion de stages ouverts au "grand public" etc, alors il faut introduire une demande d'agréation. Si ce sont des amis ou des personnes qui viennent après RDV et en petit nombre ce n'est pas le cas. Il faut juste se conformer à la loi de 1986 sur le bien être animal et lui assurer un hébergement qui convienne à ces besoins physiologiques et ethologiques. Le mieux est d'avoir une volière avec une partie entièrement fermée et adjointe à un sas ou salle de travail. Il se peut que la taille de l'abri qu'un particulier souhaite construire soit sujette à une demande d'urbanisme simplifiée si l'abris dépasse 9 ou 12m² suivant les régions et type de construction. Le mieux est de contacter le service urbanisme de sa commune.

Comme toi Accipiter nissus pour la composition de ce charnier et la taille relative par rapport aux aiguilles de mélèze si celles ci sont tout autour du nid et non en écran pour dissimuler la photographe..

C'est une aire occupée dans un vieux mélèze... Mais où cette foto a t elle été prise ? A moins d'avoir les parents et le biotope c'est dur à déterminer... Quelle taille ? quels cris ? Si c'est une aire d'autour, la forme devait être loin, car elle défend très fort le territoire près de son aire

Saint Bavon Sint Bavo te gent http://www.valkeniers.be/modules.php?name=coppermine&file=displayimage&album=3&pos=68

Salut Enrique, je suggère comme premier ouvrage de référence le dictionnaire et comme premier travail un nettoyage des touches du clavier... il y a déjà eu un post sur les dictionnaires et lexiques relatifs à la fauconnerie ici : /viewtopic.forum?t=438 le vocabulaire précis n'est là que pour préciser les questions et rendre les réponses précises, non ambigues et intelligibles. Souvent la réponse se trouve dans l'explication du terme technique. j'ajouterais que pour les non francophonnes d'entre nous sur le forum, et dont je suis comme toi, un langage phonétique ou parsemé d'abbréviation est totallement abscon, et n'aide en rien.

Jump : Oiseau à terre devant sauter jusqu'à ton poing ? si c'est cà cela muscle bien l'oiseau.

En complément pourquoi commencer par le bas vol ? Est - ce une étape obligatoire ? Un faucon gentil ou un émérillon n'est il pas conseillé par le roi Modus et la reine Ratio ou par l'empereur Frédéric ? La question ne devrait elle pas être retournée entierement ? A quelle fin est destiné cet oiseau en fonction du biotope dant je dispose, et des maîtres qui peuvent me conseiller dans ma pratique pour me faire progresser? En équitation il y a deux proverbes qui pourrait s'appliquer : monter en fonconnier pour signifier monter aussi bien à droite qu'à gauche et monter à une main, en autres mots pour être polyvalent et capable de s'adapter. Et jeune cavavalier vielle monture, et jeune cheval vielles jambes. pour rapeller que la maîtrise de la pratique ne peut se transmettre que par l'expérience et le compagnonage. Un épervier pourrait tout aussi bien être un excellent oiseau d'apprentissage sous la guidance d'un maître. - moins impressionnant et lourd qu'un autour - plus facile à affaiter - permettant de faire de nombreuses prises sur du petit gibier - pouvant aussi bien travailler en bocage, qu'un sous bois.

Si mon Littré est correct le faucon des dames chanté par les trouvères était soit un faucon éléonore, soit un émérillon qui rapportait la prise au poing... Souvent idéalisé et rarement obtenu.