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taperon

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Tout ce qui a été posté par taperon

  1. taperon

    vendredi 12 JUILLET

    Toutes mes pensées Ito
  2. taperon

    vendredi 12 JUILLET

    Avec grand plaisir Pascal ! En revanche, par chez moi, les promenades habituelles sont actuellement impraticables, en raison de la moisson qui commence. Je ne veux pas embêter Monsieur le Maire avec mes chiens en liberté, il a assez de boulot comme ça sans devoir m'avoir dans les pattes (ou plutôt dans les roues). Et le souci, c'est que plus tôt que les Courageux Moissonneurs, ce sont les Bêtes de la Forêt qui profitent des sentiers et principalement sangliers (j'en ai croisé 4 ce matin en allant déposer Léo à l'atelier) et chevreuils. Bisoux
  3. Nouvel entraînement le 7 juillet, à Luzy sur Marne. J'ai participé au montage du terrain. J'aime beaucoup ce travail en amont, où hormis la conception même du parcours, l'étude du milieu environnant est primordiale pour assurer la sécurité de nos lévriers (Règle n°1). Bref, nous avions le choix entre deux terrains, avec chacun des avantages et des inconvénients qu'il fallait mettre en balance pour trouver le meilleur compromis possible. Premier terrain, au bout de 800m de chemin carrossable, pas de route à proximité. Bordé d'un côté par la Marne, avec accès en douceur pour baignade et rafraîchissement des athlètes, de l'autre par le canal latéral à la Marne (surélevé, donc pas possible de tomber dedans), puis un chemin de halage, puis la voie ferrée : nickel niveau sécurité ! Même si un chien s'avère difficile à rattraper, aucun risque de traverser la route ou de se faire bouler par le train. Une bonne dizaine d'hectares, fauché il y a une semaine ou deux, sol souple, sans pierre (les champs de silex qui scalpent les coussinets, je connais, merci...), sans trous visibles de taupes ou de ragondins, plat, avec suffisamment d'espace pour compenser le manque de relief par une longue ligne droite. Mais... son défaut principal est son orientation est/ouest et le manque d'ombre pour parquer les voitures et abriter les chiens. En mi-saison, il aurait été l'idéal, mais ce jour-là, avec la chaleur (30°C prévus) - et malgré la présence de la rivière - il aurait été dangereux d'y faire courir les chiens. Second terrain donc. En sortie du village, 5 à 6 hectares (largement suffisant pour un entraînement cool), disposé en L, bordé sur son côté haut par la route (bon, une départementale... mais avec la Grande Braderie Emmaüs, on prévoit un peu de circulation), en bas par la Marne et de part et d'autres par d'autres champs clôturés. Il y a une pente à l'entrée, quelques déclivités. Idem, fauché, terrain souple. Et de l'ombre. C'est surtout ce point là qui a poussé notre choix. La présence de la route a été compensée par la construction du parcours et nous avons fait évoluer les lévriers de manière à les emmener sur la partie centrale du L, en exploitant tout de même la pente en ligne droite de force. Alors le parcours... Il faut penser, lors de la construction, aux deux manches : il doit être praticable aussi bien dans un sens, que dans l'autre. Il fait chaud, on ne va pas faire la misère aux chiens. Des angles relativement ouverts, deux belles lignes droites, et une sorte de figure en "trèfle" permettant à un chien moins rapide que son binôme de se rattraper sur l'anticipation. Le tout sur une longueur de 700mètres. Je n'ai pas conduit le premier galop, puisque je mettais mes propres chiens au départ. Ethna est quasi mûr pour le brevet, même s'il a un peu calé sur la ligne droite en grimpette. Il faut dire qu'avec Lulu, ils ont passé la matinée détachés, avec nous sur le terrain, et qu'ils s'y sont donné à coeur joie. N'empêche que la motivation est là. En revanche, la Lulubelle... un dragster... Bien sûr il lui manque de la bouteille, mais ce premier entraînement est extrêmement prometteur. A suivre donc. J'ai choisi de ne pas doubler le galop pour Ethna. Il était très dérangé par les taons (le pauvre, il s'est fait dévorer au sang par ces sales bêtes !), la chaleur, etc. J'ai juste vu le parcours de Lulubelle avant de grimper sur la machine, prendre les commandes en mains (et au pied) et conduire le reste de l'entraînement. Bon, je me suis rapidement adaptée à la machine que j'avais maniée pour la dernière fois début mai... Bon, j'ai un peu perdu le leurre à un moment, calculé pour savoir où il allait ressortir pour finalement me rendre compte que merde, le parcours était bouclé et qu'il fallait que je négocie une arrivée en douceur pour les lévriers. Et puis, même si je n'ai pas encore beaucoup d'heures de vol, tout revient très rapidement dans les mains, le pied, la tête. C'est comme quand tu apprends à conduire un véhicule, ce moment où la technique pure s'efface (j'utilise quel pied pour freiner, etc.) pour devenir un automatisme et où tout ton esprit est alors focalisé sur la conduite (j'allais dire l'art de conduire...) sans être parasité par des éléments mineurs. C'est ce que j'ai ressenti hier. Je ne sais pas trop comment l'expliquer, mais je voyais les chiens (parce que je me rends compte que c'était aussi la première fois que je conduisais des duos), j'essayais de conduire mon leurre sans accélérations trop linéaires, de négocier en douceur les poulies sans faire l'avion, de ne pas le laisser se faire rattraper par les chiens ni jouer les TGV à 50m devant... Et surtout, de ne pas désavantager un chien par rapport à l'autre. Voilà. Rendez-vous le 20 juillet, au prochain entraînement !
  4. J'ai conduit mes premiers duos la semaine dernière Je vais mettre à jour le post !
  5. taperon

    vendredi 12 JUILLET

    Hello groupe ! Me voici de retour ! Je suis désolée de vous avoir abandonnés pendant quelques semaines, mais j'ai plein de choses à vous raconter ! Deux mauvaises nouvelles tout d'abord (mais que du bon après). Voltène nous a quittés en février dernier, j'ai été très choquée et j'ai mis beaucoup de temps avant de pouvoir en parler. Et Maggie l'a suivie au mois de mai, elle était au bout, son organisme a lâché. La maison est très vide avec seulement deux Greyhounds... Passons maintenant aux bonnes nouvelles... Mon fils Léo passe en classe de première, dans son cursus de BAC Professionnel "Travaux Paysagers" et le directeur m'a dit qu'il avait largement les capacités pour continuer avec un BTS après son BAC. Quant à moi, j'ai réussi l'admission à la Sorbonne pour la Licence Professionnelle "Conseil en Écriture Professionnelle et Privée & Écrivain Public", je retourne donc user mes fonds de culotte sur les bancs de l'école dès octobre. La formation comprend 400h de stages pratiques, j'ai déjà trouvé un quota d'environ 250 à 300h : un premier stage chez une consoeur à Dijon, sur la restranscription la biographie d'une grande maison de négoce viticole à Chablis, sur la mise en forme d'interviews de vignerons de Côte d'Or et sur la biographie d'une personne privée. Puis deux autres stages en milieu associatif, plutôt tournés vers l'aspect social du métier. Va falloir que je trouve une organisation quasi militaire pour la rentrée, puisque j'ai deux jours de cours par semaine à Paris (jeudi et vendredi), puis du lundi au mercredi, je suis à Dijon. Vouala Plein de bizoux à toutes zé à tous Et des tonnes de pensées positives à tous ceux qui sont dans le chagrin
  6. Pétoulet apprécie toujours autant les bains de boue, surtout par grande chaleur, où il trempe d'abord le compotier... histoire de se rafraîchir les idées. Voltène nous a malheureusement quittés en février 2013 et Maggie est partie la rejoindre en mai.
  7. voui, désolée, je vous ai un peu délaissés, les amis... Lulubelle a fêté son premier anniversaire, elle est championne junior du Luxembourg et a réussi son premier entraînement PVL avec brio la semaine dernière... Donc voilà, Ljuba, BIS Junior, CACL, championne junior Luxembourg, BOB Et côté jardin, à Luzy sur Marne... Je crois qu'elle passera son brevet sans trop de problèmes... Merci à Marie-Lise Robert pour ce superbe cliché
  8. taperon

    Lui faire perdre 3 kg

    oui, tu les fais à la vapeur et tu gardes l'eau résiduelle, soit pour mouiller les croquettes soit pour donner à boire une fois rafraîchie, car pleine de minéraux
  9. taperon

    Lui faire perdre 3 kg

    détail qui a son importance, quelle est sa race ?
  10. taperon

    Lui faire perdre 3 kg

    Risquer une anesthésie sur un chien de 10 ans en prévention d'un éventuel cancer... perso, je ne tenterai pas. Le choc opératoire risque de fragiliser le chien et la potion d'être ainsi plus nocive que le mal. Perdre du poids, conserver une bonne hygiène de vie, soulager des articulations, me semblent plus importants pour préserver ton compagnon. Si tu connais un vétérinaire ostéopathe, peut-être pourra-t-il aider efficacement. Attention également, à cet âge, on assiste à la fonte musculaire du vieux chien, très localisée sur les cuisses chez les lévriers. Conserver alors suffisamment de glucides dans la ration (pain, riz, pâtes) pour maintenir le carburant musculaire.
  11. Nous avons tous respecté une minute de silence en hommage à la mémoire d'Adrien Ferry lors de l'Exposition Nationale d'Elevage du Greyhound, à la Roche Posay, samedi 18 mai
  12. Les greys ont couru le dimanche ou le samedi ? Parce que dimanche, j'ai croisé Epona et Félix à l'expo de Louhans...
  13. taperon

    samedi 11 mai

    Un rayon de soleil dans l'Yonne ! Alleluia !
  14. Bien, j'ai pu un peu récupérer, nettoyer la maison, ranger ce qui devait être rangé, etc. etc. Donc, pour cette seconde expérience de conducteur technique... Je vous rappelle que le terrain est en Champagne-Ardennes, et que les intempéries ont fait déborder l'Amance, petite rivière qui longe le club, le cyno et les terrains habituels. Il y avait près de 50cm d'eau sur les terrains. Et même si l'eau s'était retirée, le sol restait plus que détrempé et de toutes façons, impraticable. Plan B : "trouver" un autre terrain suffisamment vaste pour accueillir une PVL (minimum 2ha), et surtout, trouver un terrain d'entente avec son propriétaire, souvent agriculteur (donc outil de travail), pour qu'en pleine saison il accepte de faucher sa récolte et faire une croix dessus... Je me permets cette digression, parce que parfois on peut entendre de la part de certains participants "oui, le terrain tati, le terrain tata; on aurait préféré ceci plutôt que ça" et patin couffin... mais l'organisation d'une telle manifestation, en veillant au confort des propriétaires et à la sécurité des chiens, tout en subissant les aléas climatiques ; c'est quand même un sacré boulot (fait par des bénévoles de moins en moins nombreux dans les clubs, mais c'est une autre histoire)... Bref, revenons aux courses... Même si le terrain est situé en hauteur, il reste quand même "gras", lourd, collant, spongieux, boueux, saturé d'eau. Oui mais, le quota des chiens atteint pour cette spéciale ayant valeur de championnat de France, c'est volontairement que l'équipe technique a fait le choix de ne pas leur offrir une simple promenade de santé. Malgré la difficulté du terrain et la technicité du parcours, permettant aux chiens de d'exprimer leur puissance et leur détermination, aucun accident n'est à déplorer. Bien... et moi, là-dedans... Toute la journée au paddock, avec Hélène et notre jeune recrue Marius, hyper efficace au "micro de campagne" (bah, un simple cône de chantier retourné) pour lancer les courses. Après les courses, Philippe m'emmène à la technique. Il fait un premier tour à vide pour que je voie le parcours... Aargh... En moins de deux minutes, je dois mémoriser les poulies (facile, avec les cônes de chantier), les angles et la vitesse à laquelle les négocier, imaginer la progression du leurre dans les herbes et en même temps prévoir comment y emmener les chiens et comment récupérer un chien ayant perdu le leurre de vue... Waaaah. Un maximum d'informations à intégrer, mémoriser, interpréter, analyser... Bon, je me prépare pour un tour à vide... Non, non, me répond Philippe, tu vas tirer un chien, là... Glups... OK... Bah, on va le faire. Je prends donc le manche en main, je me remets le comportement du moteur en mémoire, donne deux trois coups d'accélérateur pour me rappeler l'inertie de la machine... Et puis, à la guerre comme à la guerre, on y va ! Philippe reste bien sûr à mes côtés et me guide durant le parcours. M'indique le comportement du chien (c'est le sien, il le connaît bien) et me permet d'anticiper sans trop me planter... Dans les herbes, alors là, je merde complet ! Je perds le leurre, le chien aussi, on le cherche ensemble... je garde le moteur alors que j'aurais dû stopper la progression du pinpin... bref, je suis un peu dépassée par le parcours et mon manque d'expérience... Le leurre réapparait à l'opposé d'où je regardais, le chien cherche toujours, repère finalement le leurre, et je le conduis gentiment à l'arrivée. Ouf... Second galop. Je me débrouille un poil mieux, j'ai déjà moins à réfléchir sur le maniement de la machine, ça me permet d'avoir l'esprit un peu plus libre pour penser à la course et comment essayer de la gérer au mieux.
  15. Pas de problème, dès que j'ai sa réponse, je te tiens au courant
  16. j'ai un ami à Istres, qui a des barzois et qui pourrait peut-être le prendre en accueil provisoire, le temps que l'éleveuse vienne le récupérer. je lui demande
  17. Plus sérieusement, les gars, jeudi matin, on peut arriver jusque chez vous ? On peut se garer ?
  18. ya quoi à Beaune ? non, moi après, je reprends le programme expo des greyhounds
  19. En trotting, ça fait un bon échauffement ! Bon, faut que je me pointe vers quelle heure jeudi ? 8h ? ou plus tard ?
  20. Pour le saint-bernard, il suffit de passer une serviette éponge avant que la boue soit sèche. Pour le greyhound, un coup de brosse une fois que c'est sec Et hop, comme neuf !
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