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Marine-perruche

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Tout ce qui a été posté par Marine-perruche

  1. Valy j'ai crée ton post ici : http://www.perruches.org/t631-madar-et-son-comportement#12334
  2. Bonjour lulubec Dis toi que se sont les même règles pour les rats, et comme je m'occupe de cas difficiles j'ai dû le faire sur 13 rats en même temps.Et les dents du brat ne sont pas la ridicule morsure de conure que je connais, la morsure du rat c'est en sang obligatoirement surtout pour les cas difficiles. Je l'a fais pour 13, tu peux tout à fait te faire rigueur pour 1. Je sais que c'est douloureux, je sais que ça fait super mal au mieux de faire des bons mais y'a pas d'autres solutions. Mon programme est très chargé aujourd'hui, je te réponds ce soir (en début d'aprem pour toi). Il va falloir retravailler la base de l'apprentissage de la main, lui faire comprend qu'il ne doit pas la craindre, c'est de la rigueur et du courage mais c'est tout à fait possible. Je te donnerai des conseils ce soit pour désacraliser cette main. Pour la technique du pousser quand il mord, tant qu'il a peur de la main ça ne marchera pas terrible. S'il ne joue pas, c'est parce que son seuil d'émotivité (comportements exploratoires, affection) est bas. Dans sa tête, il est incompris et malheureux. On va voir pour des astuces, l'apprentissage, si Keiko est apte à avoir des comportements adaptatifs, est rapide et en deux jours tu est sensé voir une amélioration, quand on s'y prend bien. Mais dans son cas il faudra être patient je pense. A ce soir.
  3. En effet, les perroquets de "seconde main" le sont rarement pour rien, dans le sens où les anciens propriétaires n'ont pas su comprendre les codes de communication de leurs perroquets, se sont vu ne plus pouvoir cohabiter avec la chose qui bouffait leur salon, criait et mordait. 1 - Un perroquet opte pour un comportement car il s'avère efficace, car il apporte la réponse (le résultat) recherché (apaisement, besoin). Si tu rentres et que ton perroquet t'appelles gentiment mais que tu l'ignore et va à tes affaires, il va parler plus fort, chanter plus fort, puis d'un coup il criera, et là, croyant à un drame tu va accourir. Tu va lui apporter la réponse que crier lui permet d'avoir de l'attention et de ta présence, donc la prochaine fois, au lieu de gentiment t'appeler, il criera, car c'est efficace, tu fais involontairement du renforcement. Avec les morsures c'est pareil. Si tu dépasse sa zone sécuritaire (zone dans laquelle il se sent en sécurité, apaisé), et qu'il est EAM, il a les réflexes biaisés, surtout s'il a les ailes coupés, car il ne peut pas fuir (même non coupé, dans nos habitats la fuite est souvent trop peu apaisante) dons son dernier recours, sa seule armre, son bec, il mordra. Si tu réagis en criant, hurlant, en le "fâchant" et en partant, il a la réponse qu'il veut, tu sors de sa zone de sécurité que tu as violé contre sa volonté (souvent inconsciemment, ne détectant pas ses codes de communication, ébouriffement des pattes, s'accroche à son perchoir, regarde tes doigts au lieu de tes yeux, semble regarder à droit et à gauche, agité, cri etc.). En partant après une morsure tu renforce son action et dans ses comportements adaptatifs (liés à l'apprentissage) il recommencera. Première erreur, être méfiant et avoir donc peur de son oiseau (erreur que je ferais face à un bec de conure potentiellement mordeur). Le perroquet communique et apprend à travers le para-verbal et le non-verbal, si tu as peur et que tu semble hésiter il va automatiquement le ressentir et se dira : « Pourquoi a-t-elle peur ? Si elle a peur, c’est qu’il y a une raison d’avoir peur, donc je dois moi aussi avoir peur, et donc je dois me défendre », ainsi sa peur par mimétisme (ou panurgisme) se retournera contre toi, et la seule réponse qu’il aura pour atteindre un apaisement immédiat sera la MORSURE. Et si tu fuis, te protège, cri, t’éloigne, il a sa réponse recherché, son apaisement, le « danger » s’est éloigné, et ainsi il sera renforcé à réitérer. Dis toi que SI tu as peur, presque obligatoirement il attaquera. Il va falloir doucement, mais surement, reprendre confiance. Avec un perroquet, tu dois toujours être sûr de toi. Travailles avec lui les bons jours, où tu te sens pleine d’énergie, reboosté, et vraiment boosté d’assurance. La j’ai une solution directe !! Quand tu es sur ton ordi et qu’il est sur toi : - Quand il est tranquillement sur ton épaule, félicite le, ais de l’attention agréable envers lui, c’est la clé, complimentes le, càaline le s’il aime, donne lui une petite récompense (gourmandise qu’il aime), n’hésites pas à exagérer dans l’attention et les compliments, les gratouilles etc, parce que en fait, c’est ce qu’il recherche. Car qu’est ce qui se passe, dis moi si je me trompes. Il est sur ton épaule et tu es occupé à ton ordi. Il veut de l’attention, il chante, appelles, fais des mimiques mais comme tu es concentré tu ne peux voir qu’il essayes d’attirer ton attention pour avoir des tendresses ou des jeux, alors il sait que cette fameuse main, dès qu’il « l’attaque » il a une réponse, là tu semble réagir, aie, tu fais mal, tu es désespérant, mais pourquoi, qu’ai-je fais, il ne faut pas » et là, bizarrement, quand il va vers cette main la pince ou même la mordre, maman chérie réagit, alors pourquoi s’en priver, alors que rester sage sur l’épaule n’apporte rien. Un perroquet agit toujours par intérêt, et va toujours ce qui lui apporte le mieux ‘intensité d’évocation). - Quand il fonce sur ta main l’attaquer, tu ne cries pas, et surtout tu ne le regarde pas, tu le pousse rapidement sur le coté de l’ordi (en le faisant glisser sur le support ta main la tranche contre la table, le pouce vers le haut) comme un coup de balayette, vouuuh tu le pousse et tu l’IGNORE. Il va recommencer, tu réitère, il va recommencer, tu réitère. Une fois qu’il semble réfléchir, prends le sur ton épaule, s’il est sage, très rapidement récompense le, renforce cet instant ou il est agréable pour toi. Ou même avant que tu le prennes, si sur la table il opte pour un comportement agréable, renforce le. Et la tu vas observer comme il va alterner entre morsure et comportement positif, comme un enfant qui pousse les limites il va te tester, par essai-erreur. Quelles sont les dimensions de la cage ? Les comportements agressifs, territoriaux et blessants sont typique de la vie en captivité et d’une promiscuité trop importante. S’il est agressif c’est que sa zone de sécurité est agressé par l’environnement (la promiscuité), il est donc submergé par les émotions de panique, d’angoisse et d’insécurité, et la seule façon d’atteindre sa phase d’apaisement va être l’élimination du « probème », qui sera reporté ou canalisé sur le congénère. La seule solution est d’agrandit l’espace de vie, et pas seulement pendant les sorties malheureusement, mais TOUT LE TEMPS. Car c’est tout le temps qu’il a besoin de se sentir en sécurité et apaisé, les deux émotions primaires du perroquet. Ce n’est pas sa mauvaise foi le souci, mais bien l’espace. Je pense que la meilleur solution est que tu potes pour des moustiquaires à toutes tes fenêtres et portes du salon, et qu’ils y vivent. Tu gardes bien évidemment leur cage pour « le dodo ». Tu instaure un parc assez vaste pour éviter le sentiment de térritorialité. Ce sera la meilleure façon d’apaiser Keiko, qu’il se sente bien et en sécurité, et ça tu vois, tu vas déjà pourvoir avoir un perroquet plus stable, car heureux (sécurité et apaisement), de bonne humeur, et prêt à travailler mieux avec sa maman. Imagine toi 1 an en chambre étudiante de 9 mètres carrés à sortir que deux heures par jours, le pétage de câbles, imagine maintenant le bonheur d’avoir un appartement de 60 mètres carrés, c’est la méga fête, la bonne humeur, et là tu es prêt à beaucoup plus de choses. Cela n’existe pas dans le patrimoine génétique du perroquet, c’est typique encore une fois de la vie en captivité. Il voit son congénère qui est apaisé, se sent en sécurité, qui atteint son intensité d’évocation, et lui, beau Keiko, ils se sent incompris, angoissé, prostré, donc il essaye de vous communiquer ce dont il a besoin et ce qu’il aimerai de vous de toutes les façon qu’il puisse, jusqu’à trouver ce qui fonctionne : la morsure apparemment, car s’il réitère, c’est que cela fonctionne. Là il va me falloir plus de détails. Ou se pique-t-il ? Qu’est-ce qui se passe quand il le fait ? Réagis-tu et comment ? Depuis combien de temps ? Combien de fois par jours, à quel endroit, à quel moment de la journée, qui est présent dans la pièce, oiseau comme humain, il me faut l’historique du avant pendant et après le picage. Pour comprendre et opter pour une solution. Le picage est souvent lié à une pathologie (maladie sous-jacentes où le picage va permettre en partie d’atteindre un apaisement). On parle d’un trouble du comportement une fois que le vétérinaire a écarté toute cause pathologique. Puis beaucoup de cas sont liés à l’environnement et/ou au dysfonctionnement de la communication. Une fois tout revu ‘environnement en codes de communications) il reste 30% de perroquets qui se piqueront à vie. Le picage dans les cas de troubles du comportement révèle un gros malaise chez le perroquet, qui se sent incompris, désespéré, comme en dépression, qui à un seuil d’émotivité bas, qui a abandonné l’apprentissage, les comportements adaptatifs (essais-erreurs), qui se sent tellement angoissé et insécurisé qu’il n’atteindra jamais sa phase d’apaisement. Mais on en est pas là. Il faut travailler point par point. Je te suggère ces prochaines lectures et le rapport du séminaire de Johanne, vraiment, cela va énormément t’aider, avant de faire appel à ses services. Elle est excellente, et aucun de mes conseils ne remplacera l’efficacité et des compétences d’un comportementaliste en perroquets. j'espère avoir pu aider un peu Lectures pour mieux comprendre vos rapports avec keiko : - http://www.perruches.org/t610-dysfonctionnement-de-communication-et-trouble-du-comportement - http://www.perruches.org/t592-le-comportement-du-perroquet-valeur-adaptative-et-experience-subjective - http://www.perruches.org/t630-hierarchie-dominance-territorialite-et-punition-chez-le-perroquet-et-la-perruche - http://www.perruches.org/t502-syndrome-d-arrachage-des-plumes-picage-ou-pica
  4. Hiérarchie, dominance, et territorialité chez le perroquet et la perruche Aucune de ces notions de hiérarchie, de dominance ou de territorialité ne servent à expliquer certains comportements des perruches et des perroquets, contrairement à ce que certains aiment à répéter, faute de trouver une explication logique à certaines réactions de leurs oiseaux. LA DOMINANCE ET LA HIÉRARCHIE Il n’existe aucune hiérarchie linéaire de dominance, ni aucune hiérarchie par agression (pecking order) chez les grandes perruches tout comme chez les perroquets, y compris chez la perruche ondulée. Vous observerez certains comportements qui vous feront croire que si, mais ce sera votre propre interprétation de la situation qui vous emmènera à croire cela; cependant, il n’en n’est rien. Ce ne sont pas la hiérarchie par la dominance ou par le pecking order qui provoquent les cas d’agressions chez les perruches, celles-ci sont le fruit soit, du pur rejet d’un individu, qui semble non conforme à la norme du groupe (une perruche malade ou un individu d’une autre espèce qui s’est infiltré dans le groupe) soit, lors de la reproduction, alors que les couples se défendent et défendent leur progéniture. La perruche ne règle pas les conflits par la violence et les contacts physiques, uniquement par des tentatives d’intimidation (postures, hérissement du plumage, cris). Ainsi, le conflit ou la dispute se règle sans contacts physiques violents entre deux individus, sauf bien sûr dans le cas d’exclure un intrus, mais il ne s’agit pas de dominance dans ces cas là, mais bien de protéger le groupe. Les perruches peuvent également être assez agressives en période de mue et en période de montée hormonale. N'y voyez pas là de la dominance, c’est une interprétation typiquement humaine de l’observation de ces comportements. On pourra également observer dans les groupes de perruches, un couple, ou quelques individus privilégiés, qui arrivent en premier aux mangeoires, aux abreuvoirs, à l’aire de jeux pour s’emparer des jouets, au bain, reçoivent en premier les câlins de l'humain; on a alors l’impression qu’ils « dominent » le groupe. Encore une fois, notre interprétation cache la réalité des faits. Nous sommes en présence de forts caractères, plus vifs et intéressés quand il s'agit d'aller aux endroits favoris. Multipliez les bains, mangeoires, perchoirs et jouets, agrandissez l'espace (réduisez la promiscuité, l’espace est la clé de l’harmonie) et pas d’un mètre, mais de dix mètres s’il le faut : rien n’égal la nature, et ces comportements agressifs et de fausse « dominance » disparaîtront. Les perruches sont des oiseaux de proie, il y a ni mâle dominant ni femelle dominante, il n'y a pas de combats physiques et agressifs dans le but d'affirmer cette dominance et encore moins de système de « caste » qui définirait par avance la hiérarchie d’un oiseau ou d’une fratrie en raison de droits acquis par la naissance. Si vous observez vos perruches se battre violemment, ce n’est pas pour se dominer les unes les autres, la cause en sera environnementale ou comportementale : Intrus dans le groupe : autre espèce, perruche malade, quarantaine et acclimatation non suivies. Période de reproduction : nécessité d’espace afin que le couple soit seul, isolé de la colonie, pour être rassuré et entièrement disponible pour la nichée. Excès de territorialité : renforcé par la cohabitation, la promiscuité avec les autres, la reproduction. Le manque d’espace provoquant une promiscuité trop importante. Le manque de stimulations : de jeux, d’accessoires, d’espace de vol. La frustration : sexuelle, manque de présence de son humain, un objet déplaisant ou inspirant la crainte, l’espace étroit. Les carences alimentaires ou une insuffisance alimentaire. Les montées hormonales : énervent et perturbent le système immunitaire et psychologique. LA DOMINANCE RELATIVE La dominance relative se situe entre deux individus, d’un individu à un autre et cela est lié aux conditions de vie en captivité. Cela n’existe pas dans la nature puisque les individus peuvent appliquer le principe d’évitement : un individu impressionne par l’aspect physique du plumage gonflé et par les cris, l’autre laisse sa place et s’envole plus loin, il n’y a jamais de « combat ». En captivité, la promiscuité et les restrictions sont élevées : diminution des accès (perchoirs, chemins de vol, supports où se poser) et des ressources (alimentation, eau). C’est cette promiscuité et ce sentiment de peu de ressources qui va engendrer cette dominance relative, typique de la vie en captivité. Il y aura le plus fort caractère, souvent celui qui est EAM et donc imprégné de l’humain, qui fera preuve d’intimidation et parfois de comportements agressifs (morsures), mais ce sera ponctuel et relatif à la situation particulière. Souvent, la dominance relative arrive en situation d’intra-espèces (entre deux individus d’une même espèce). S’il y a des blessés ou des morts, repensez donc vos aménagements, rajoutez des supports où se percher et des jouets identiques, à même hauteur, car un perroquet veut l’objet qui répond à une intensité d’évocation la plus forte : tous voudront l’objet le plus intéressant pour eux (haut, gros, brillant, qui fait du bruit). Et surtout rajoutez de l’espace, il n’y en aura jamais assez. Et pas seulement quelques dizaines de centimètres ou un mètre, s’il y a ce genre de problèmes, ce sont parfois des mètres et des mètres d’espace qu’il faut rajouter. Qui oserait rivaliser avec l’espace qu’offre la nature? LA TERRITORIALITÉ La territorialité spatiale est une notion typique de la vie en captivité, elle ne se rencontre que chez les individus vivant en captivité. À l’instar de la territorialité en nature, qui se fait autour des sources d’alimentation ou des aires de reproduction alors qu’elle concerne tous les individus d’une colonie, en captivité, les individus vont défendre, un à un, le peu d’espace dont ils disposent. Vous croyez peut-être offrir assez d’espace, selon ce que vous avez pu lire comme information ici et là, ou encore en fonction des renseignements donnés en animalerie, mais chaque individu de l’espèce est différent et il faut tenir compte de cette différence dans l’attribution de l’espace dont il dispose. Si vos perroquets et perruches semblent territoriales, il et inutile d’user de stratagèmes; seul leur offrir de l’espace supplémentaire réglera efficacement et de façon permanente les problèmes d’agressivité, de blessures et de territorialité. Les oiseaux vivent, tout comme nous, dans une « bulle », leur assurant une certaine distance avec autrui. Ils ont une première bulle, puis une seconde qui s’ajoute, un peu plus grande, qui englobe la première, puis une troisième qui englobe les deux autres et qui est plus grande, et ainsi de suite… Voici, par ordre, du petit espace personnel au domaine de vie de l’oiseau, les bulles dont il s’entoure : Espace personnel. Espace social : copains intra-spécifiques. Zone sécuritaire de confiance : zone forte en émotions, c’est LA zone à ne pas franchir de force chez un oiseau craintif. Territoire : défendu contre un congénère, distance sécuritaire. Aire vitale : lieu partagé par tous, quotidiennement. Domaine : lieu où les individus passent souvent. Espace secondaire : lieu où les individus passent occasionnellement. Une perruche ou un perroquet territorial est un perroquet qui a le sentiment qu’on franchit sa zone de territoire voire sa zone de sécurité. C’est une perruche qui a le sentiment qu’elle n’a pas assez d’espace pour s’enfuir, s’apaiser et se sentir en confiance. Ce sont cette promiscuité et ces restrictions qui vont la rendre territoriale. COMBATS ET MISE À MORT Encore une fois, ce phénomène est typique de la vie en captivité, il est surtout observé chez les EAM (oiseaux élevés à la main) mal socialisés, mais également chez les EPP (oiseaux élevés par les parents) qui subissent une promiscuité telle, que les signes d’alerte (territorialité), ne suffisent plus à leur faire atteindre une phase d’apaisement. Ce sont des oiseaux constamment angoissés à l’idée de se nourrir, s’abreuver et atteindre leur intensité d’évocation (l’assouvissement des besoins). Ils vont donc aller jusqu’à opter pour des comportements aberrants (blessures mortelles ou graves, combats qui durent et persistent, voire à plusieurs contre un, jusqu’à la mise à mort). Ces individus auront tenté de communiquer leur stress et leur territorialité liés aux conditions de détention inappropriées, mais comme leurs actes ne sont pas compris, ils sont poussés par l’angoisse à transmettre le message différemment, et les résultats peuvent être catastrophiques. Sachez être à l’écoute de vos perroquets et perruches, apprenez leurs codes de communication, ils sauront vous alerter de potentielles insuffisances environnementales. La mise à mort n’est absolument pas normale, elle ne fait pas partie de leur patrimoine génétique, elle ne doit pas être minimisée et normalisée. Si vous êtes témoin de ces comportements aberrants, remettez votre environnement en question c’est urgent, vos perruches en souffrent. Les naturalistes et les ornithologues qui ont observé les comportements des perruches ondulées dans la nature n’ont observé ni mise à mort, ni hiérarchie de type pecking order ou de dominance. Sources : - Lorenz Konrad - I.C. Quemin dans « le comportement des psittacidés et ses troubles » - Compte-rendu du séminaire de Johanne Vaillancourt sur l'éthologie du perroquet, les 4 et 5 juin 2011, Fontainebleau, France
  5. Je finie mon article Lulubec et je vais te répondre Ca va te faire de la lecture car ça va être très long et explicatifPrépares toi également à répondre à quelques questions, nous allons pouvoir résoudre un maximum de ces soucis de comportements, qui viennent surement de dysfonctionnement de communication entre vous J'ai étais à un séminaire de Johanne, si tu as l'occasion de faire appel à elle (elle est overbooké) tu ne seras pas déçue et tu auras à 99% des réponses à tes questions et surtout une résolution de tes problème. Je te suggère fortement de lire le compte-rendu de son séminaire qui était justement dédié au comportement du perroquet, aux dysfonctionnement de communication et aux troubles du comportement. http://www.perruches.org/t623-ethologie-du-perroquet-par-j-vaillancourt-compte-rendu-du-seminaire-2011
  6. Tu as bien raison, tu peux je t'y aide Félicitation, tu vas devenir une superbe maman pour tes belles Oui les perruches comme les perroquets subissent une mauvaise image, de mauvaises infirmations véhiculés, si seulement elles n'avaient pas un si beau plumage elles pâtiraient mois de l'égoïsme et la crédulité des gens. J'espère (un peu) malgré toutes les horreurs aqu'on peut voir, que les mentalités changeront et que globalement leurs qualités de vie s'amélioreront. Y'a du boulot à faire d'idi là. Moi la première, quand j'ai eu mon premier couple, je n'y connaissais rien. Heureusement que nous sommes des curieux. Cela leur a surement sauvé la vie.
  7. Lucky Mon p'tit kiki Mon plus beau sauvetage, mon premier toui catherine, mon premier gueulard capricieux, tu es partie, et par mon unique faute, car j'ai fais preuve l'espace de quelques secondes d'irresponsabilité et d’insouciance. Tu as été prit trop vite et j'en suis tellement désolé, pardonne pour la souffrance que je t'ai infligée. Ma culpabilité est si forte et si douloureuse que j'ai mis des mois avant de pouvoir enfin écrire ces mots... Eden t'a prit et jamais je ne pourrais me pardonner d'avoir été si irresponsable et inconsciente dans la situation de danger dans laquelle je t'ai mis. Tu étais mon petit protégé handicapé, tu étais sensé être en sécurité, chez toi, au parc, avec ta chère et tendre Ladie. Elle t'a appelé durant des semaines, elle a été triste et à arrêté de manger. Puis maman a dpû aider un peu à remonter la pente, elle a remangé, elle s'est rapproché des belles pour continuer d'avoir une vie sociale, elle cherchait désespérément son Lucky, qu'elle appelait et cherchait, durant des jours entiers. Maman a dû prendre soleil pour ta belle, qui ne méritait pas de vivre seule... Pardonne moi pour mes erreurs, Je suis tant désolé de ne pas avoir été à la hauteur, Tu as été un amour de perroquet, Unique et aimé, Malgré les cris et les caprices auprès de ta belle, Un amour inconditionnel que tu as connu, Des copines luluches que tu aimais taquiner, Et un môman humaine après qui tu étais mi-ange- mi-démon Un amour pour toujours, Dans nos souvenirs..... Au revoir mon Kiki ... ... Photos de 2009 à 2010 ...
  8. Pour le moment RAS depuis hier, mais je continue de surveiller et je vais tout de même faire une visite de contrôle chez le véto demain matin, j'emmène les deux qui ont eu des symptômes pour contrôler les orifices, le poids, le plumage etc. Et les rats au passage, gros RDV de contrôle !
  9. Coucou valy Comment vas tu ? Pas évident avec ces perruches méfiantes qui mettent dix ans à gouter un un ridicule morceau de carottes, mais la récompense en vaut la chandelle. y'a pas de mystère, avec les fruits et légumes, il faut perséver. Utilise les différentes astuces de l'article, le mieux étant de mélanger aux graines un peu de carottes râpées dans ton cas, ou de salade, pour commencer elle verra bien ta maman si elles y ont goutés à la couleur de leur bec
  10. Une alimentation qui comporte uniquement des graines est en effet mauvaise pour leur santé, c'est pourquoi il faut quotidiennement une base important de fruits et légumes frais, crus, verts et orangés principalement, ainsi que des germinations plus que possibles (meilleurs car plus riche que les graines en vitamines et minéraux). Nous elles ont également tous les jours leurs graines, mais surtout tous les jours des légumes variés et souvent des germinations. Ce post permet que chacun donne ses idées aux autres en énumérant ce qu'il a pu donner aujourd'hui inspire en toi. Pour le brocoli, tout est bon Ca met du temps de leur en donner et de leur apprendre que c'est sain, je te mets quelques liens utiles et des astuces pour leur faire manger, bonne journée L'alimentation de la perruche ondulée : en résumé Les fruits et les légumes frais sont indispensables Faire manger des légumes : astuces Les germinations et graines germées
  11. Super tes photos Vanina Ici carottes, poivrons et salade !
  12. Gautier, tes animaux ne sont pas les tiens mais à tes parents. Hé bien sûr que si par la même occasion ils sont aussi TES amours. Pour cécé c'est pareil ! Et puis nos animaux ne sont pas A NOUS, ce sont simplement nos amours, et on a vraiment de chance de les avoir auprès de nous
  13. Ha contente de constater l'arrivée de la nouvelle Après la quarantaine, ça va être génial pour elles de se découvrir et de vivre en communauté. L'apprivoisement est très long ett doit faire preuve de régularité, de patience et d'écoute, ce n'est pas aisé. La nouvelle arrivée pourra déconcentrer le fugitif comme lui montrer l'exemple et t'aider. Travailles avec elle dès les premiers jours en apportant le millet puis en suivant le processus du 1er article sur l’apprivoisement. Ensuite seulement tu verras l'entrainement. En tout cas hâte de voir leurs frimousses c'est ici : http://www.perruches.org/t24-apprivoiser-sa-perruche-ondulee-la-base
  14. Oh en effet ils sont mignons, je ne les avais pas vu. Des bouilles de coquins
  15. Elle est magnifique ta rosette !! Ca fait plaisir de la voir sortie, quelle beauté.
  16. Félicitation, excellent investissement, ça donne très bien ta volière, elles doivent apprécier l'espace et le changement, merci de nous faire partager
  17. Vraiment trop belles tes photos ! C'est quelles plantes que tu leur donne ? Que ça me donne des idées
  18. Merci Monique pour tes conseils, je vais donc attendre un bon mois avant de leur remettre, oufff si je mettais douté d'une potentielle toxicité... Même si ce n'est pas ce qu'à Tit fripe c'est toujours bon à prendre pour la suite, je saurais qu'il faut attendre 3 semaines un mois avant d'intégrer un végétal acheté en animalerie. Merci Seb également, oui il faut impérativement éviter les résineux, surtout chez les crochus qui grugent le bois en profondeur et sont sujet à s'accidenter avec la résine. Bizarrement ce matin pas de symptômes pour Tit fripe donc je vais continuer la surveillance en gardant espoir que ce puisse être une intolérance au bambou. A suivre.
  19. Merci les gars, vous me réconfortez Ce soir les symptômes sont absents, depuis le retrait du bambou, mais je ne me réjouis pas trop vite.
  20. Ils sont mignons !! Merci Alain d'avoir partagé ces quelques photos
  21. Je l'ai retiré du coup. Pourquoi Monique ? C'est qu'il y a des traitement chimiques dessus ? Je lui ai fait prendre deux bains (et douche) avant de le mettre, je leur redonnerai dans 3 semaines!! ceci expliquerait cela !
  22. Il a réitéré ses symptômes, je prends RDV pour mardi matin... Le souci majeur c'est que Puce avait exactement les même symptômes il y a un an avant de mourir. Elle a été suivi par le vétérinaire House qui avait réussit à la soigner, mais elle avait rechuté des mois après, on avait essayé un traitement plus important, et elle est morte pendant les soins. Un matin au réveil elle n'était plus. Il pensait à la chlamydia. Donc on va commencer par écarter la chlamydia et se centrer sur le diagnostique. A suivre.
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