Marine-perruche

De toute façon on en a déjà parlé, une fois fait, on ne peut pas regretter les magnifiques rencontres et échanges avec ces formidables personnes

C'est superbe comme volière, j'adore !

Signé !!

Elle est magnifique ! Voilà, c'est exactement de ça que je parlais dans le post "encore une histoire de cacatoès", bien que je comprenne ta faiblesse, qui est humaine, en faisant cet achat en animalerie (à prix réduit ou non), tu as certes sauvé cet individu, mais tu as laissé la place à 10 autres derrière, tu as cautionné un système maltraitant et ses immondes pratiques, et tu es tombés dans le piège qu'il ne fallait pas. Des oiseaux en détresse, il y en a des milliers qui t'attendent, dans ce genre de business, et tu ne peux assurément pas les sauver par la méthode de l'achat. Il faut savoir éviter de tels endroits si on n'a pas la capacité de s'abstenir de craquer. Ne jamais payer ! Ca fait tout la différence... C'est rassurant de se dire qu'on a fait un sauvetage, bien qu'au fond de soi on sait que ce n'est pas cohérent, dans le sens où en faisant cet achat on favorise bien plus ce système d'exploitation qu'on ne le contre. Tu n'aurai jamais dut faire cet achat et tu le sais. Il faut vraiment que tu apprenne à ne plus tomber dans ce genre de piège Margaux. Je ne dis pas ça pour ça pour être vexante, mais seulement pour te faire prendre conscience d'une réalité que tu connais déjà, pour le bien-être de tes oiseaux présents. Tu as déjà bien assez de travail avec tes Gris, tes Insé et les calo, et tu devrais t'y consacrer, plutôt que d'acquérir encore une nouvelle espèce, auquel il faudra plusieurs congénères, et une volière au moins comme celle de tes insés ou comme la mienne. Et bien qu'ils puissent cohabiter avec tes titous, l'idéal est quand même un environnement à eux. Yu as déjà énormément de travail avec tes études, avec les interventions que tu fais au domicile des gens, avec tes propres oiseaux, et tes parents ont déjà énormément de travail avec eux en ton absence, tu ne prends même pas le temps pour ton propre bien-être, ça n'a rien de raisonnable pour l'épanouissement futur de chacun. L'idéal serait de la replacer au sein d'un foyer qui a une grande volière avec des congénères et un cadre adapté à ses besoins. Il fallait que je te le dise ma belle, parce que dans 10 ans je vais te retrouver complètement dépassée par les événements, et je ne suis pas sûr que le bien-être de chacun sera idéal auquel cas. EN tout cas je lui souhaite de rapidement reprendre des forces, ce dont je ne doute pas, et elle va vite découvrir ce que c'est d'être un oiseau

Je parlais de nous, qui sauvons, réhabilitons et replaçons des oiseaux. Ces oiseaux, que nous sauvons, nous ne devrions jamais les payer, parce que dans ce cas; cela serait permettre à celui qui reçoit l'argent de continuer ces maltraitances, ces abus, tout en lui faisant comprendre qu'en un sens nous cautionnons. Il est indispensable qu'en sauvant ces individus, nous ne donnions aucune somme d'argent. Autrement, ça n'a pas de sens dans l'intérêt des oiseaux, et cela n'est pas un comportement viable sur long terme,

Bonne nouvelle pour Clovis j'espère qu'il va totalement se réhabiliter à une vie en groupe social. J'insiste à dire qu'acheter un oiseau à son prix d'origine pour le sauver, revient à cautionner ces pratiques barbares (de détention et de maltraitance des perroquets), et à laisser la place à 10 autres derrière. Je sais que c'est difficile, surtout quand on a l'individu sensible devant soi, mais c'est une question de cohérence et de conviction.

Oui j'avais bien compris d'ailleurs si on s'attaquait au problème en profondeur il faudrait des permis de détention pour les petites espèces, quand on voit l'incompétence de la majorité des détenteurs d'oiseaux, c'en est désespérant.

Ce matin, le bain sous la pluie : Et puis un autre jour, quelques rayons de soleil attrapés au vol :

Pour le moment cela leur fait d'autres espaces d'enrichissement, ils doivent adorer y aller !

Adorables photos ! ça donne envie de distribuer des bisous !

Je suis désolé pour la perruche... Pauvre titi... En dehors des petites espèces qui s'adaptent plutôt bien (ou comme elles peuvent) à la captivité, perruches ondulées, calopsittes, inséparables, touis, calo, conures, les autres espèces ne devraient jamais être autorisées à la vente, comme oiseaux de compagnie. Cela devrait être aberrant et rejeté par la communauté d'acquérir de tels animaux.

Bonne nouvelle, je suis contente pour toi et ta calo Richard !

On est heureux, on a mis le bordel sur la table, et c'est pas nous qui allons ramasser Platine de désaltère : Et se régale Gourmandise de Guismo : C'est bon les graminées :

Construire un jouet destructible en matériaux naturels pour perruches et perroquets Matériaux : Support : corde de coton (sisal, coton, bananier, chanvre) Attache : maillon de chaînette en plastique ou mousqueton en acier inoxydable Matériaux à détruire : coque de noix de coco, os de seiche, fibres naturelles Colorants alimentaires (facultatif) Outils: pince coupante, perceuse, scie, pinceaux (pour les personnes de moins de 18 ans, faites-vous assister par un adulte lors de la fabrication si vous comptez utiliser ces outils pour découper vous-même vos morceaux de bois. Sinon, vous pouvez les acheter sur internet déjà prêts, en kit). Élaboration : Ici nous avons choisi en attache un maillon de chaînette. Pour l'attache, soit vous utilisez une pince coupante pour couper un maillon de la chaîne de plastique, soit vous utilisez un mousqueton en acier inoxydable. Faites un nœud avec la corde à l'attache, puis laissez pendre 25 cm de corde. Vous pouvez préparer les matériaux qui vont distraire vos oiseaux : morceaux de coques de coco, d'os de seiche, de fibres naturelles et autres matériaux naturels si vous le souhaitez. Ensuite, glissez les éléments destructibles, ou non, qui ont été choisis. Enfin, faites un nœud avec le fil de corde restant pour fermer le jouet. 2013 - MARINE SCIE

Je suis tellement tellement désolé pour Holly et toi je t'envoie pleins de tendresse et de bisous de réconfort ! Holly a retrouvé Marmelade et que tous les trois ils sont réunis, heureux et en paix pour toujours.

Lis ceci tu auras tes réponses : Les parasites - acariose (gale), poux, vers La gale (acariose)

L'importance des congénères chez nos oiseaux grégaires L'isolement et ses conséquences Les perruches et les perroquets sont des individus grégaires et coloniaux. En zoologie, on parle de socialité pour les animaux qui vivent en groupe sociaux (en colonie). Le besoin de congénères Il existe plusieurs niveaux de socialité chez les animaux, et nos oiseaux font parties du stade grégaire (premier degré), et également du stade colonial (degré de socialité plus élevé). En plus de se regrouper pour boire, manger et se reposer, le stade colonial inclut des comportements parentaux de soins aux jeunes réalisés sur un site de nidification commun aux couples reproducteurs. Nos oiseaux vivent donc à l'année en groupe, beaucoup d'espèces sont d'ailleurs monogames et restent en couple. Ce mode de vie répond à des besoins sociaux et affectifs multiples et complexes, qui ne peuvent être comblés que pas les congénères de leur espèce. C'est pourquoi en captivité, nos oiseaux, de quelque espèce à laquelle ils appartiennent, doivent pouvoir bénéficier d'au moins un congénère de leur espèce. L'idéal pour ces espèces vivant en groupes est de pouvoir bénéficier de plusieurs congénères, d'autant plus que c'est facile avec les petites espèces comme les Perruches ondulées, les Calopsittes, les inséparables, les touis et les conures. L'absence de congénères et ses conséquences Il est courant de voir des familles détenir un seul oiseau, voir un seul oiseau de plusieurs espèces. Même si l'oiseau bénéficie de soins adaptés et de beaucoup d'attention de la part des humains du foyer, cela ne peut pas remplacer ou combler le besoin de congénères. Les oiseaux ont des codes de communications précis et adaptés à leur espèce. Il est préférable d'avoir plusieurs oiseaux se côtoyant, même s'ils ne sont pas de la même espèce plutôt qu'un seul oiseau isolé. Cependant, il reste préférable d'offrir au moins un congénère de la même espèce à votre oiseau, s'il est seul. L'absence de congénères a des conséquences délétères qui agissent sur la psychobiologie (perception, motricité, mémoire, raisonnement, émotions, etc.) de nos oiseaux, et pas seulement sur leur moral. Conséquences néfastes psychologiques Beaucoup d'oiseaux en captivité subissent malheureusement trop souvent l'isolement, qu'il soit environnemental (espace de vie trop réduit sans possibilité de se dépenser physiquement) ou social (ne pas avoir accès aux autres congénères ou à d’autres espèces, ne pas pouvoir avoir de relations sociales en général). Sur moyen à long terme cela engendre de l'anxiété et de l’inactivité, puis de la léthargie. Cette inactivité est une importante source de troubles du comportement, comme le surlissage ou le picage. Également, il peut causer des psychoses (paniques, obsessions, et stéréotypes). De plus, elle peut engendrer des troubles alimentaires (boulémie, anorexie). Enfin, cela peut générer l'une apathie et peut éventuellement conduire à une dépression. Conséquences néfastes physiques Sur le plan physique, l'isolement sur long terme peut engendrer divers changements potentiellement néfastes dans le système cardiovasculaire, immunitaire et nerveux des oiseaux continuellement seuls, causant infections, maladie cardiaque ou dépression. Les performances motrices et intellectuelles peuvent être retardées, les oiseaux se montrant moins curieux, moins enjoués et plus sujets aux infections. En outre, l’isolement augmente le risque de décès à peu près autant et plus que l’inactivité physique ou l’obésité. Les individus isolés ont un durcissement artériel qui élève la tension. Cela oblige le cœur à travailler plus dur et peut contribuer à l’usure prématurée des vaisseaux. Finalement, la solitude peut nuire à la qualité du sommeil, et rendre l'oiseau plus nerveux et fatigué la journée. Enfin, l'isolation chez l'oiseau juvénile ou l'oiseau pubère engendre des absences durables de recherche et d'interactions sociales avec les congénères à l'âge adulte, ne jouant pas ni ne montrant aucun intérêt sexuel. Tandis qu'à l'âge adulte, même si l'isolement a des conséquences délétères multiples, l'oiseau est plus facilement apte à retrouver des comportements socio-affectifs sains une fois de nouveau en présence de congénères. Les besoins de nos oiseaux à combler Quel que soit l'espace alloué aux oiseaux (c'est un critère indispensable à leur épanouissement mais il n'est pas le seul), cela ne change pas leurs besoins : être stimulés, pouvoir rechercher, agir, jouer, et interagir avec des congénères. Les oiseaux étant des individus sentients, ils sont capables d'avoir des perceptions, des émotions, une volonté propre, et donc des désirs, des buts, des pensées et une vie mentale subjective. Ainsi, l'isolement peut vraiment les impacter sur le plan psychologique, au plus d'avoir des incidents sur leurs aptitudes cognitives. L'enfermement dans un espace réduit avec peu de stimulations sensorielles entraîne une réduction de la production de neurones et de cellules qui permettent leurs connexions (moins de capacités cognitives sur long terme) et une diminution de la capacité à assimiler de nouveaux apprentissages ou de nouvelles expériences. Il est donc indispensable de respecter les multiples besoins de vos oiseaux. Pour cela, il faut connaître leur éthogramme, c’est à dire leur comportement naturel en liberté. Nos oiseaux consacrent près de la moitié de leur temps à la recherche alimentaire en compagnie de leurs congénères, et le reste du temps à remplir leurs besoins socio-affectifs (cris de contact, toilettage, jeux, papouilles, becqué, reproduction, etc.), le tout dans un environnement riche et libre. Chacun de ces points doivent être respectés et comblés pour le bonheur de vos oiseaux et le votre. Les perruches et perroquets ont une grande capacité d’adaptation qui leur permet de vivre et en partie de s'épanouir malgré la captivité, mais cette dernière peut s'avérer trop anxiogène pour les oiseaux si elle ne répond pas à minimum à leurs besoins environnementaux et socio-affectifs. Le seuil de tolérance varie selon les espèces et les individus, selon leurs expériences passées et leur cadre de vie. Pour répondre au mieux à leurs besoins, en plus de leur permettre d'avoir un ou des congénères, veuillez lire nos articles complémentaires : L'enrichissement de l'environnement Idées de recherche alimentaire (foraging) pour vos perruches et perroquets Alimentation des grandes perruches et des perroquets Notre guide de construction de jouets : comment faire son premier jouet

Bonjour, cet article t'aidera beaucoup :Tout savoir sur la reproduction des perruches et perroquets en captivité

Les cacatoès sont bien originaires d'Australie, et je suis sûr que ton amie Pauline a dû faire de magnifiques photos !

Alerte et conseils : L'utilisation de jouets de bois pour enfants proposés à nos perruches et perroquets perroquets (kit de construction sécuritaire de jouets pour oiseaux) Dans les jouets en bois pour enfants, que nous proposons parfois à nos oiseaux, nous retrouvons plusieurs substances toxiques rattachées aux colorants (la peinture, ou teinture) : du formaldéhyde : formol, classé substance cancérigène, irritant pour les voies respiratoires et les yeux, favorisant asthmes et allergies. des métaux lourds : baryum, antimoine, plomb, sélénium, mercure, arsenic, chrome ; sa toxicité pour les oiseaux est grave à mortelle. Pour plus de sécurité pour vos perruches et perroquets, si vous utilisez des pièces de bois originaires de jeux pour enfants, assurez-vous qu'ils aient bien été fabriqués en France, ou dans l'Union Européenne, et qu'ils aient bien évidemment la norme CE et NF. Assurez-vous qu'ils soient exempts de traitements chimiques, conservateurs ou de teintes aux métaux lourds. Tous les jouets « made in China » sont à proscrire. Que les jouets soient estampillés du label CE (conformité européenne), ou NF (norme française) ne signifie pas qu'ils soient exempts de formaldéhyde ou de métaux lourds, malheureusement. Vos jouets, pour enfants comme pour oiseaux, ne doivent pas provenir des pays Asiatiques, ces derniers n'ayant pas les mêmes restrictions de santé et de sécurité que l'Europe. Sur des études publiées testant la toxicité des jouets de bois, une majorité ont été classés dangereux car ces jouets de bois renferment soit du formaldéhyde (formol), soit des métaux lourds dans la peinture [très toxique pour nos oiseaux], soit les deux à la fois. Les jouets contiennent certains produits douteux comme les phtalates, le formaldéhyde ou encore les métaux lourds. Le plus préoccupant est la forte concentration de ces substances dans des jouets destinés à des enfants de moins de 3 ans. Le formaldéhyde, plus connu sous le nom de formol, est classé «substance cancérigène» par le centre international de recherche sur le cancer (Circ). Ce composé présent dans le vernis et la peinture des jouets de bois engendre des irritations oculaires et des voies respiratoires. Il accroît, à long terme, le risque de développer des pathologies asthmatiques et des sensibilisations allergiques. Enfin, ces substances peuvent être responsables d'encéphalopathies graves et de cancers. « 180 millions de jouets se sont vendus en France, en 2008, et 85% sont «made in China». L'es enquêtes mettent en exergue le manque réel de contrôles de la qualité des jouets commercialisés sur le sol européen. Comment des substances interdites par la directive européenne du 27 décembre 2005 se retrouvent encore aujourd'hui dans des articles de puériculture? Chaque semaine, une trentaine de produits dangereux sont retirés du marché européen, bien qu'ils soient estampillés du logo CE » Acheter des jouets pour enfants sécuritaires : Jeujouethique.com : vente de jeux et jouets en bois, jouets bio Jeux et jouets naturels et écologiques, Jouet en Bois Jouets en Bois - Jouets écologiques JEUX et JOUETS EN BOIS - Jouets en bois - Jouets éthiques Jouets pour enfants sécuritaires Jouets fabriqués en France Pour construire vos jouets solides pour les plus grandes espèces, à moindre cout : Des pièces de bois et autres matériaux existent au détail, adapté à nos oiseaux Sources : Jouets toxiques pour enfants sur le marché : http://www.slate.fr/story/14875/mefiez-vous-des-jouets-dangereux Analyse des produits toxiques dans les jouets en bois : http://www.60millions-mag.com/web_plus/(webPlusCode)/44420 Substances toxiques dans les jouets : http://www.asef-asso.fr/mon-enfant/nos-syntheses/1337-pas-de-hors-jeu-pour-les-substances-toxiques-la-synthese-de-l-asef

Quelle horreur, pauvre oiseau qui doit terriblement souffrir à ce stade. 1. L'aide, avec des conseils précis et éclairés, vous les avez obtenu, après qu'ils ne vous plaisent pas c'est un autre problème. 2. Les réponses n'ont pas à être gentilles, ou tout autre implication émotionnelle, mais seulement à être véridiques et pertinentes, ce qui est le cas. Nous ne jugeons pas, nous constatons en toute objectivité et sans difficulté l'état de santé de l'oiseau. Son visage est dévoré par la gale, avec une présence de croutes, autour et sur le bec, sur la cire, autour des yeux, et sur le front. C'est un stade tellement avancé, visible et douloureux pour l'oiseau que nous nous demandons comment, vous, son propriétaire, qui plus est détenant des oiseaux depuis votre enfance, n'avez pas observé cela plus tôt ? Nous ne faisons que parler des faits, votre passivité face à l'état de santé de votre oiseau. Maintenant vous savez quoi faire et comment pour que votre oiseau guérisse, alors plutôt que de vous plaindre du forum qui a pourtant fait son travail de conseil et d'information, allez emmener votre oiseau auprès d'un vétérinaire spécialisé dans les pathologies chez les oiseaux exotiques, et soignez cet oiseau.

La mue (renouvellement du plumage) chez l'oiseau Vous entendrez souvent parler de la mue de saison, pour qualifier la perte régulière du plumage et duvet de vos perruches et perroquets. La mue est le renouvellement périodique du plumage de nos oiseaux. C'est un phénomène physiologique et naturel. Globalement, le phénomène se traduit par le détachement du calamus (la base, l'axe creux et rigide) de la plume de la gaine, par conséquent la plume tombe. La papille (excroissance charnue de peau) crée une nouvelle plume. Cela se produit sur tout le plumage. Une fois la période de mue passée, les papilles rentrent dans une période d’inactivité, jusqu'à la prochaine mue. Les plumes tombent au fur et à mesure que de nouvelles poussent, enveloppées de leur tube de kératine, que les oiseaux ouvriront avec leur bec pour libérer la plume et soulager la douleur irritante lors de la pousse. Si une plume tombe accidentellement, la papille peut générer une nouvelle plume et, si besoin est, elle peut le faire deux à trois fois, mais pas plus. Après il faudra attendre la prochaine période de mue. Sur certaines parties du plumage comme, les régimes, la capacité de régénération est plus importante (au vu de la nécessité de pouvoir voler); de plus, elles développent une certaine résistance lors de la mue, c'est pourquoi elles ne tombent pas systématiquement. La mue se produit deux fois par an normalement, par exemple, tous les 6 mois chez la perruche ondulée. Elle dure 6 semaines à deux mois. Elle peut être plus ou moins douloureuse et intense. Certaines mues déplument tellement rapidement l'oiseau qu'il peut éprouver quelques difficultés à voler pendant quelques jours. On repère un oiseau en mue grâce aux picots (tubes à la pointe noire) sur la tête, à une fatigue plus présente et surtout un duvet dense et des plumes qui volent et que l'on retrouve partout. La mue est très épuisante physiquement et psychologiquement. Elle peut faire puiser nos oiseaux jusqu'à un tiers de leurs réserves personnelles en calcium et en vitamines A. C'est pourquoi il est important en période de mue d'enrichir l'alimentation en vitamines A, B, D calcium et en protéines. Comment enrichir idéalement l'alimentation : - De la pâtée aux œufs maison de préférence ou du commerce (Orlux, Hagen, Versele-Laga) - De l'œuf cuit dur émietté (avec ou sans la coquille, riche en calcium) - Du germe de blé (riche en calcium, en paillettes rayon diététique) - Du calcium (os de seiche, calcium en poudre ou liquide) - Un supplément vitaminé ( Hagen , Nekton S) - Des germinations : les graines germées ont une valeur nutritive plus élevée que les graines sèches - Des légumes verts et orangés riches en bêta-carotène - Des légumineuses et céréales cuites Photo : Driyden (Marine) Christiane Gervais, Petit-Bleu en mue 2012 - MARINE SCIE

Chez moi aussi cette année elles ont été très prononcées et fatigantes. (la photo est là, merci : http://www.perruches.org/t175-la-mue-des-perruches)

Bonjour et bienvenue Avant toute chose, merci de vous présenter dans la session appropriée : Présentations Si vous avez besoin d'aide pour votre premier post : Comment écrire (poster) son premier message sur le forum Je vous conseille de consulter notre article :Tout savoir sur la reproduction des perruches et perroquets en captivité

Trop mignons !