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Margaux02

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Tout ce qui a été posté par Margaux02

  1. Patience, patience! Il te faut l'apprivoiser cette petite! Pour la déplacer simplement, tu peux essayer avec un perchoir qu'elle connait, en général ça ne pose pas trop de soucis. Tu l'attires avec une récompense et la félicite bien quand elle grimpe dessus! En l'entraînant à monter et descendre depuis ce support, un jour tu pourras le remplacer par ton bras ou ta main. En général le bras pose moins de problèmes aux perroquets que la main. Pour les fientes, il faut se contenter de passer derrière eux!^^ Il est possible de leur apprendre, mais comme ils ne sont pas conçus pour se retenir, cela peut poser de graves soucis de santé.
  2. Exact Martin, il n'a pas encore vu la volière des gris! J'ai hâte!^^ Et ou Nelly je suis bien d'accord! Avant mes parents eux même n'assumaient pas ma passion, ils avaient même honte auprès des proches qui n'en pensaient pas moins! Mais je m'en fiche, qu'ils me prennent pour ce qu'ils veulent, ils ne savent pas ce qu'ils perdent!
  3. Merci Martin et Christiane pour ces gentils compliments, ça me touche beaucoup ce que vous dites! Je passe énormément de temps dans leur environnement dès que je le peux. Tous les week-end, j'y passe des heures, statique à simplement les regarder. Mon voisin qui peut voir ma volière depuis son premier étage me prend pour une attardée!^^ Peu importe, les oiseaux sont les meilleurs professeurs d'éthologie, de respect et de vie! Chaque petite minute passée avec eux est riche d'enseignement.
  4. Je m'excuse, je ne voulais pas vexer Seven. Pour continuer dans les conseils je pense que l'arrivée d'un congénère, quelque soit l'âge, l'origine ou le vécu d'un oiseau n'est jamais une mauvaise chose. L'acceptation peut être difficile au début, mais la présence à elle seule est un plus considérable (même si les oiseaux ne se tolèrent pas au début, l'inné aidant beaucoup, ils apprennent à communiquer, interagir, ils ne sont plus seuls). Plus le congénère est proposé tôt (avant maturité sexuelle), plus il est facile de le faire accepter. A l'inverse les adultes qui ont grandi seuls sont souvent moins tolérants. Mais il ne faut pas exagérer non plus, 2 perroquets qui se détestent, c'est possible, mais ce n'est pas représentatif de la majorité! Cela s'observe évidemment surtout chez les EAM, entre EAM. Avec une perruche royale, je ne pense pas qu'il y aura de problèmes. Il faut mettre toutes les chances de ton côté en respecter ses critères: -prendre un oiseau EPP (qui cherchera préférentiellement la présence d'un -congénère et qui aidera l'EAM à communiquer normalement) -il faut prendre des oiseaux d'âge équivalents (jeunes et adultes n'ont pas les même attentes ni les même comportements) -de la même espèce. -de sexe opposé (pas obligatoire, mais chez certaines espèces, les mâles ou les femelles sont plus agressifs, plus exclusifs en période hormonale, donc ça peut aider)
  5. Je suis du même avis que Christiane en ce qui concerne les animaleries. L'éclectus est un perroquet indépendant certes, mais cela ne dispense pas de la présence de congénères, toute aussi indispensables que pour les autres! La vendeuse est peut-être attentive à ces oiseaux, il n'empêche qu'il y a quelques temps tu disais pouvoir caresser cette même perruches royales, et qu'aujourd'hui elle n'est plus aussi confiante. ça c'est un point commun à toutes les animaleries, le contact avec les perroquets n'est pas maintenu, ils sont délaissés. Ils ne sont là que pour être vendus. Ils ne sont là que pour que cette même vendeuse puisse gagner son salaire mensuel. Comme l'a si bien dit la Pie Bavarde, s'ils n'avaient, ne serait-ce qu'une once de respect où de connaissance sur ces animaux, ils ne vendraient pas d'EAM, et n'en vendraient d'ailleurs pas du tout.
  6. ça chauffe par ici! Seven, sache qu'il n'y a aucune agressivité dans mon message et je ne vois pas pourquoi tu t'es sentie visée quand je parlais de cadre inadapté. Je mentionnais une situation générale. Un cadre inadapté, c'est la captivité tout d'abord, ensuite c'est l'inhibition de comportements naturels: le vol, l'interaction avec des congénères, la recherche de nourriture, le jeu, la reproduction... Très peu de propriétaires répondent entièrement aux besoins de leurs oiseaux malgré toute la bonne volonté du monde. Pour acquérir de l'expérience il arrive de commettre des erreurs. Et le partage de ces expériences permet à d'autres d'éviter de faire ces même erreurs. Et non, aucun oiseau, animal, être vivant, individu ne vaut mieux qu'un autre à mes yeux.
  7. Keiko est superbe! Ses plumes ont bien repoussé dis donc!
  8. Les psittacidés dont fait partie la perruche royale ont tous les même besoins d'espace, de congénères et d'occupation! Ce n'est pas en étudiant un seul individu isolé dans un cadre inadapté et captif qui plus est que l'on apprend à connaître ses véritables besoins, qui sont aussi ceux de l'espèce! Même EAM, même apprivoisé, très imprégné, un perroquet est un animal sauvage. Cela signifie que ses besoins, ses attitudes et comportements ne diffèrent en rien de ceux des congénères qui vivent en ce moment même à l'état sauvage. Je crois avoir déjà eu suffisamment de perroquets, et surtout, je crois avoir déjà suffisamment observé les oiseaux dans leur environnement naturel pour être à même de donner des conseils judicieux pour mieux les épanouir dans un cadre contre-nature! Donc en effet, la vérité est dans ce que l'on vit. L'expérience est la clé de l'apprentissage. Toutes les personnes qui ont essayé de te donner des conseils ici sur ce forum parle en connaissance de cause. Il y a beaucoup d'expérience derrière leurs réponses.
  9. Les véritables passionnés font passer leurs oiseaux avant leurs propres désirs. Pour qu'un perroquet soit heureux il faut lui fournir un certain mode de vie, qui n'est pas forcément dans les attentes d'un propriétaire qui recherche avant tout l'animal complice (de compagnie, ce que les perroquets ne sont pas vraiment)! Un grand espace permanent, des congénères, des occupations... il faut cela pour rendre un oiseau heureux tel qu'une perruche royale! Un tout autre mode de vie, s'il ne répond pas à ces quelques critères, n'est pas adapté ni épanouissant pour un perroquet. Ce n'est pas une critique, mais simplement un fait. Si les propriétaires ne sont pas capables de comprendre cela, c'est qu'ils ne comprendront jamais leur oiseau. Comment peut-on rendre heureux un être que l'on ne comprend pas?
  10. Superbe! J'adore ces oiseaux, malheureusement pas très courants chez les particuliers! Enfin, de plus en plus cela dit!
  11. Ohhh triste nouvelle Vanina, je suis désolée pour toi et ta belle! Courage!
  12. Julie, les perroquets apprennent beaucoup, énormément par imitation. Si ta petite perruche observe un congénère s'alimenter normalement, il est très probable qu'elle s'y mette plus facilement!
  13. Je me pose une question. Je ne sais pas si c'est le cas chez les ondulées mais avec les inséparables, qui sont sevrés "officiellement" (selon les éleveurs) vers 8 semaines, j'ai très souvent observé les parents (surtout le mâle) les nourrir plusieurs semaines, voire plusieurs mois après cet âge. Et très longtemps ils entretiennent un rapport étroit avec leurs jeunes, même s'ils font plusieurs nichées. Surtout quand elles sont moins conséquentes. Cette année, la petite EPP qui est née en avril dernier se fait toujours cajoler par ses parents, et il arrive que le mâle lui offre une petite gâterie. Les éleveurs négligent beaucoup trop cette phase de développement post-sevrage alimentaire! Chez les ondulées observe t-on ces même comportements entre les jeunes et les adultes? Où les oiseaux sont-ils indépendants plus tôt?
  14. C'est un vrai plaisir pour moi de vous la faire partager! Je précise que Harvey sait très bien communiquer avec les inséparables, il s'entend d'ailleurs à merveille avec sa demi-soeur Petite jaune, qui est EPP. Je les ai vu s'accoupler la semaine dernière. Mais je crois qu'il a acquis beaucoup du caractère des calos, et par là je veux dire qu'il est un petit insé particulièrement sociable et tolérant. C'est un partageur, comme les calopsittes! L'exclusivité est un trait de caractère propre aux perroquets africains, mais c'est quelque chose que ce petit bout d'oiseau ne connait pas. Aujourd'hui il vit en volière auprès des jeunes qu'il a élevé, de ses congénères inséparables et de sa belle Capsule qui ne s'est jamais détachée de lui. Le voici avec sa demi-soeur Petite Jaune, qui est EPP:
  15. Il faut que je vous parle de mon couple insolite constitué d'une calopsitte et d'un inséparable! Pour la petite histoire, Harvey, l'inséparable est né le 2 mars 2011 au sein d'une grande fratrie, choyé par ses 2 parents, tout se passait bien jusqu'à ses 2 semaines de vie. Par ma faute 2 inséparables adultes sont décédés cause intoxication ce qui provoqua l'abandon des nids par les femelles et la mort de 10 oisillons au total. Harvey fut le seul survivant. Quand je l'ai récupéré, il était tétanisé, paralysé par le froid! Il a fallu le réchauffer en urgence et l'EAM par la suite. Tout ceci s'est passé en quelques heures seulement. Je n'ai rien pu faire d'autre que d'assister impuissante à l'hécatombe, ce fut un vrai choc et encore aujourd'hui j'ai du mal à m'en remettre. J'ai EAM Harvey en présence de mon couple de calopsittes, Capsule (EAM) et Mango (EPP), faute d'avoir des congénères inséparables à lui proposer (et qui daignent l'accepter). Dès les premiers instants, les calopsittes se sont montrées très curieuses et sont restées des heures chaque jour à lui tenir compagnie. Quand il fut sevré, je le laissa avec les calopsittes dont il ne semblait plus pouvoir se passer. Ces dernières entamaient leur période de reproduction (peut-être la présence de cet oisillon avait-elle éveillée en elles l'instinct de reproduction?), très vite 5 oeufs furent pondus et couvés assidûment pendant 20 jours. Durant cette période, j'avais longuement hésité à retirer Harvey, de peur qu'il ne représente une gêne au sein du couple, durant la couvaison et durant l'élevage. 20 jours plus tard donc, les premiers jeunes naquirent. Puis, un jour, je fut prise de panique en constatant Harvey sortir du nid des 2 calopsittes! Heureusement tous les jeunes allaient bien et les 2 parents s'en occupaient comme si de rien était. J'ai laissé faire, et de jour en jour Harvey s'impliquait dans l'élevage des jeunes! Au début il lissait seulement le duvet des oisillons, puis, petit à petit je l'observais effectuer ses premiers nourrissages! A 4 mois (donc immature), pour un inséparables (mâle qui plus est), j'étais fascinée! Malheureusement, 15 jours après l'éclosion du premier jeune, le mâle calo Mango décéda brutalement. Je n'ai même pas eu le temps de l'emmener chez le vétérinaire. Ce dernier m'expliqua qu'il s'agissait d'un AVC. Le sort s'acharnait encore, j'étais effondrée... Capsule la femelle ne cessait d'appeler son mâle, elle abandonna ses 5 jeunes. Je dû donc intervenir en EAM. Je gardais Harvey à leurs côtés, qui se montrait toujours plus impliqué dans leur élevage! Puis, il se rapprocha soudainement de Capsule qui retrouva alors la joie de vivre et manifesta à nouveau de l'intérêt pour ses 5 oisillons! Ensemble, Harvey et Capsule élevèrent les 5 bébés calos sous ma supervision jusqu'au sevrage complet! Preuves en photos: Le couple: Au moment du nourrissage: Il les a choyé ses bébés calos! Depuis ce temps, Harvey est un inséparable adulte, et plutôt équilibré pour un EAM! Il est particulièrement sociable pour un inséparable, il s'entend avec tout le monde! Il protège encore ses petites calos, même s'il n'entretient un rapport fusionnel qu'avec Capsule! Encore aujourd'hui, ils se régurgitent de la nourriture (preuve d'amour inconnue des calopsittes et que Capsule a appris à interpréter comme tel) et s'accouplent même! Voici des photos de leur "déclaration d'amour"! Je précise que Mango, bien que EPP avait aussi, comme Capsule, parfaitement intégré Harvey dans le couple, il étaient 3 dans le nid à s'occuper des bébés. Je crois que l'histoire aurait été la même si Mango avait survécu. Les perroquets sont décidément des animaux exceptionnels! Harvey est spécial à mes yeux, c'est toujours avec beaucoup d'émotion que j'évoque son histoire. En espérant qu'elle vous touche vous aussi!
  16. Wow, pauvre petit canari! Je connais quelqu'un qui sortait ses calopsittes, l'une s'est posée sur la cage du gris du Gabon et PAF, 2 doigts sectionnés! Chez moi je fais cohabiter 2 espèces non compatibles: calopsittes et inséparables depuis 4 ans. Mais je dirais qu'il s'agit de circonstances particulières, l'une et l'autre de ces espèces étant habituées à leur présence mutuelle dès la naissance. Je n'ai jamais eu le moindre petit incident! Et j'ai même un couple insé/calo. Je ne recommande pas ce genre de cohabitation, il faut vraiment savoir ce qu'on fait, et assumer les accidents quand il y en a. Pour le moment je touche du bois, je ne suis pas du tout inquiète mais peut-être que je devrais? J'ai aussi fait cohabiter, plus dangereusement calo et gris du Gabon dans une pièce de 20m2. Aucun soucis tant que chacun garde ses distances et apprend à se méfier de l'autre. Mais je ne tenterai plus l'aventure en y repensant, j'ai pris des risques! L'un des gris du Gabon étant particulièrement agressif à son arrivée. Avec des animaux sauvages tels que le sont les perroquets, on ne sait jamais à quoi s'attendre, il y aura toujours une part d'incertitude. Avec des becs droits en revanche, c'est quelque chose que je ne tenterai jamais.
  17. Pour la cohabitation, Lucie va beaucoup apprendre en t'observant, mais elle risque d'être très jalouse aussi! Avant d'introduire un nouvel individu dans un groupe je procède toujours à un remaniment de l'espace, afin de ne pas avoir des conflits liés à la protection du territoire. Je met aussi beaucoup plus de mangeoires et d'abreuvoir pour éviter la compétition liée à la nourriture. Il faut bannir les nids où tout objet susceptible d'être pris comme tel. Proposer un maximum de perchoir et d'amusement pour que chacun y trouve son compte. C'est ainsi qu'en volière inséparables et calopsittes cohabitent sans le moindre problème! Par contre, quand je suis présente, c'est autre chose, puis que les EAM de la volière sont particulièrement jaloux et possessifs, ils n'apprécient pas de partager un bras ou une épaule avec un autre oiseau! Enfin, cela s'améliore avec l'indépendance qu'ils apprennent à acquérir! Tu dois laisser Lucie dans l'espace de tes perruches quelques minutes au début, et l'occuper pour détourner son attention des autres oiseaux. Je pense qu'il faut éviter de t'occuper de tes perruches en sa présence dans un premier temps. Observe bien ses attitudes, les perroquets ne mentent pas quant à leurs intentions, ils préviennent avant de passer à l'attaque (sauf cas perturbés) et dans ce cas tu peux réagir avant confrontation. La punition est inutile, mais là je n'apprend rien!^^ Il faut sans cesse l'occuper quand tu es avec tes luluches!
  18. Il faut y aller très très progressivement comme tu t'en doutes!^^ Ce que j'ai fait avec les miens, c'est: -d'abord leur montrer que les jouets dans la cage c'est pas que de la déco!^^ Il a fallu les tripoter pendant des minutes et des minutes, voire des heures en leur présence pour leur montrer qu'il fallait jouer avec (les sortir de la cages, les avoir toujours sur soi, ce n'est pas un hasard si les perroquets préfèrent jouer avec les objets qu'on utilise, ben oui, ils apprennent en imitant). -ensuite les faire participer au jeu, les inciter à toucher le jouet. Dès qu'ils le font je les félicite (récompenses verbales seulement). -ensuite il y a les vrais moments de jeu, ils jouent réellement plus qu'ils ne touchent. Je continue à participer à ces instants. -Je m'efface petit à petit. Je participe verbalement, mais je touche plus ou très peu au jouet. -Puis je n'y touche plus du tout, je me contente de l'observer jouer et prendre du plaisir. Je m'exclame avec l'oiseau quand il prend son pied!^^ - Enfin je ne suis plus que présente physiquement, je regarde l'oiseau de temps en temps, je lui parle. - Puis l'oiseau a tendance à jouer ensuite seulement en ma présence, sans que je n'ai à intervenir. - A partir de là, dès qu'il commence à jouer (et seulement là, mais après quelques instants pour éviter qu'il ne fasse un lien entre le jeu et la solitude) je m’éclipse de la pièce discrètement et de très courts instants. Si l'oiseau pousse un léger cri d'appel je lui répond et rapplique, puis repart discrètement dès qu'il se remet à jouer (toujours après quelques instants). - Après l'oiseau n'a plus nécessairement besoin que je sois là pour prendre l'initiative de jouer et de bien s'amuser. J'ai fais ça avec ma grise en particulier, elle refusait de vivre tant que je n'étais pas rentrée. Et par là je veux dire qu'elle ne s'alimentait plus, ne s'abreuvait plus, ne déféquait plus... bref, de gros gros soucis! Heureusement c'est fini! Aussi, dès que je l'entendais jouer depuis une autre pièce (les clochettes sur les jeux c'est bien pratique^^), je la félicitais je m'exclamais avec elle "C'est bien Indie!!!" et elle reprenait de plus belle son jeu!^^ Autre détail qui aide énormément. La présence d'un congénère qui sait jouer seul facilite grandement les choses (les EPP apprennent plus vite à s'occuper seuls évidemment)! Avec Indie ça a beaucoup aidé, même si le problème était résolu avant l'arrivée du congénère, ça évite des phases de "régression".
  19. Pour la relation fusionnelle, ce n'est pas un reproche mais un conseil, juste au cas où!^^ Je me doute bien que ça prend du temps tout ça, ce sont mes expériences que je partage là! Après je ne sais pas comment tu procèdes!^^ Pour le jeu, rien de plus dur avec les EAM! J'ai mis des années à apprendre à certains à jouer! C'est vraiment pas gagner!^^
  20. Marine, avec les EAM il faut éviter d'avoir une relation trop fusionnelle, c'est ce qui amène bien des soucis, en particulier au moment de la maturité sexuelle et en périodes hormonales.
  21. Pour avoir vécu l'expérience, je suis parfaitement d'accord avec Raf! Si Lucie avait le choix, elle serait plus épanouie à vivre une vie d'oiseau avec des congénères qu'une vie de perroquet de compagnie solitaire. Ce ne sont pas des bisoux et des câlins qui rendent des perroquets heureux, loin de là! J'ai commis la plus grosse erreur en imposant une vie "d'oiseau de compagnie" à mes plus apprivoisés en pensant qu'ils étaient trop imprégnés pour mener une vie normale et que finalement elle leur serait préjudiciable. Et même si parfois, la "réhabilitation" à une vie d'oiseau est difficile à introduire (pour les célibataires endurcis!), au bout du compte il y a toujours de nets changements positifs dans le comportement des animaux. Ce que j'essaie d'offrir à chacun de mes perroquets c'est: un espace de vol intérieur/extérieur, le plus de congénères possible et une présence, des interactions humaines autant que possible. Ce sont des perroquets, qui même très dépendants au départ, deviennent plus autonomes, plus épanouis, apprennent les rudiments de la communication avec des congénères, satisfont pleinement leurs besoins d'interaction (énormes et qu'aucun humain ne peut combler) et qui restent pour autant des oiseaux très proches de l'homme, et je dirais même des oiseaux plus apte à intégrer l'humain dans leur vie que tout autre perroquet dont on inhibe les comportements naturels et impose une vie monotone!!! Ce n'est d'ailleurs qu'en proposant ce mode de vie plus naturel que j'ai réussi à régler la majorité des troubles du comportement dont souffraient mes EAM et secondes mains en particulier! Il n'y a pas de secret. Ils ont beau être très proches de nous, il ne faut jamais oublier qu'ils ne sont pas conçus pour cette vie d'oiseau de compagnie, et que donc ne peuvent s'y épanouir sans avoir la possibilité de répondre à tous leurs besoins naturels innés. Il faut y aller progressivement, mais cette transition n'est jamais une mauvaise solution quelque soit le perroquet. Comme l'a dit Raf, avec les conures, se sera rapide!
  22. ça me fait pensé au polyoma virus, ou anciennement appelé "mue française". Bien que ces jeunes oiseaux meurent souvent plus précocement... j'espère qu'il ne s'agit pas de PBFD!!!
  23. Ah tant mieux! Je suis contente pour toi! Mais c'est quand même fréquent ce genre de problèmes, les EAM ont tendance à rechercher la formation de couple avec un humain, ce qui explique cette exclusivité. Il faut lui apprendre à accepter le contact avec tout le monde, la féliciter quand elle coopère, surtout qu'elle est encore très jeune, c'est maintenant ou jamais! De manière générale, il faut éviter d'avoir des comportements qui l'inciterait à former un couple, comme les chatouilles sur le bec, ou sur le dos, le croupion, la queue.
  24. Ne t'excuse pas Gautier!^^ Voilà à quoi je faisais référence!
  25. Superbe! ça s'est arrangé les soucis à ton retour du Portugal?
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