Margaux02

Pâtée aux oeufs à 37°C à la pipette, tu peux acheter des insectes sur internet, de la pâtée pour insectivores aussi. Prépare lui une couveuse bien chaude (sous lampe). Nourrir dès qu'il réclame sauf la nuit. Je n'ai pas le temps d'aller plus loin dans mes explications, courage!!!

Je comprend Richard, je crois que tu prends une sage décision. Si nous organisons une rencontre à la maison cet été, j'espère que tu pourras venir. Je suis prête à te montrer en live les bases d'un bon entraînement. Je ne pense pas qu'on puisse s'essayer au vol libre sans avoir profondément étudié la chose, et l'idéal est d'être en contact de personnes expérimentées. Je ne prétend pas l'être, mais je pense aujourd'hui suffisamment maîtriser le sujet pour pouvoir apporter quelques conseils

Alors si tu l'aimes trop, c'est que tu n'es pas prêt à accepter de la perdre. Et malheureusement leur offrir la liberté c'est devoir accepter les risques de perte. Ils sont minimes quand l'entraînement est bien fait, mais ils ne disparaissent jamais. Un rappel parfait n'est pas gage de retour. Un oiseau qui fuit un danger ne fait appel qu'à son instinct de survie, laissant momentanément de côté tous ses acquis, aussi solides soient-ils. Crois moi sur parole, des comportements de fuite, j'en ai connu pas mal avec mes inséparables. La grande difficulté avec les calos, c'est qu'elles sont très endurantes, et le temps qu'il leur faut pour se calmer après un instant de panique, peut être amplement suffisant pour les perdre de vue. Si Lucy ne sait pas où elle habite, elle sera incapable de rentrer, malgré le rappel. Je tiens juste à te mettre en garde Richard, ne le prend pas mal surtout. Mais des calos en vol libre qui connaissaient le rappel sur le bout des plumes, j'en ai connu plusieurs, et toutes ont fini dans la nature, sans jamais êtres retrouvées. J'avais pourtant mis en garde leurs propriétaires... Tu peux sortir n'importe quel perroquet non entraîné dehors, il y a toujours une chance pour qu'il revienne, et une chance pour qu'il se perde. Est-ce par ce qu'il est revenu une fois qu'il reviendra les fois suivantes? Rien de moins sûr...

Elle est magnifique Richard. J'avoue que le vol libre avec les calos... ce n'est pas ce qui me semble le plus facile! Les premières sorties se passent toujours très bien, mais avec l'assurance tu vas te confronter à des petites difficultés qui doivent rester petites. Le rappel, même parfait n'est pas suffisant. Malheureusement si un jour elle prend peur, elle panique (cela peut arriver puisque le milieu extérieur est imprévisible), ce n'est pas vers toi qu'elle se réfugiera, elle répondra à son premier comportement inné de fuite et les calopsittes sont endurantes. Je ne veux pas te freiner Richard, mais je pense que tu prends trop de risques en procédant de cette façon.

Vous savez pourquoi ils paraissent heureux et apaisés sur ces photos? C'est par ce que je suis avec eux, dans leur univers. Mais je vous assure que dès que je les quitte... c'est le concert de larmes version perroquet. Cris d'appel, cris de détresse, anxiété, agressivité (entre eux), troubles du comportement... Les savoir si dépendants et me savoir indisponible me crève le coeur. Il faut qu'ils soient indépendants, affectivement, socialement, sexuellement. Ils DOIVENT être indépendants, c'est la première étape vers le bien-être.

Wow, je crois que 11 d'un coup je ne saurais plus où donner de la tête! Cela reste possible, mais bonjour le travail!^^ Je crois que je vais y aller en douceur, mais je garde l'idée dans un coin de ma tête c'est une certitude!

Holly poursuit ses petites escapades dehors. Aujourd'hui il a entrepris sont premier vol exploratoire, assez précoce le monsieur, mais je n'en attendais pas moins de la part d'un individu aussi sûr de lui et curieux! Il se repère tellement vite, rien à voir avec mes autres inséparables, qui sont pourtant d'excellents voiliers. Holly se repère avec une facilité déconcertante, et jamais il ne panique. Je me suis même risquée à l'emmener de l'autre côté de la maison, où il a très peu de points de repère. Aucun problème pour Holly, il s'est bien défoulé! J'ai hâte d'avoir plus de temps pour les sortir plus souvent et faire pleins de photos! J'envisage de poursuivre l'aventure avec d'autres inséparables de la volière, ça me démange au plus haut point! Mais encore une fois, l'entraînement suggère disponibilité.

Heureusement que mes inséparables et mes calopsittes sont là pour me remonter le moral, sinon je vous assure que je ne tiendrais pas de vivre avec mes gris, malheureux et incompris qu'ils sont. Je suis certaine d'une chose, mes p'tits piafs sont épanouis. Et c'est d'ailleurs ce qui me permet d'affirmer que mes gris ne le sont pas.

Merci pour eux Merci Christiane, tes mots me touchent et me peinent à la fois, car c'est aussi ce que je ressens quand je les vois "que font-ils encagés"? "Que font-ils dans cet endroit?" J'ai aujourd'hui énormément de difficultés à voire des oiseaux encagés et frustrés de cette vie captive. Mes gris me peinent, et leur mal être n'a d'autre origine que leur simple captivité. La conséquence pure et simple est que je souffre avec eux. Je suis malade, littéralement malade de les avoir avec moi dans cet état... J'aimerais, dans le meilleur des monde pouvoir les faire évoluer comme je fais évoluer mes inséparables et mes calopsittes. Ils seraient plus heureux, donc moi aussi. La confiance qu'ils daignent m'accorder me poignarde le coeur. Pourquoi me l'offrent-ils alors que je suis leur geôlier? Pourquoi tant d'amour alors que je les maintiens dans un espace aussi restreint? Si seulement je pouvais faire quelque chose pour les soulager, les satisfaire pleinement. Si seulement... Je ferais n'importe quoi pour les voir, ne serait-ce qu'une journée, pleinement épanouis, je ferais vraiment n'importe quoi. Je suis faible face à tant de pureté. La pureté et l'innocence d'un oiseau, à mes yeux il n'y a rien de plus beau qu'un oiseau libre et entier.

Comme c'est agréable de passer du temps avec les pioux quand il fait beau. Difficile de rester assise à réviser sur un bureau par un temps pareil! Les gris qui me prennent tant la tête, mais que j'adore par dessus tout. Momo, gros pâté gris qui se toilette les bourrelets.^^ Regardez moi cette boule! Indie la belle, se sèche les plumettes au soleil. Momo toujours se toilette. Il s'en met plein le bec le poudreux! 2 grisous qui se prélassent. Indie, ce regard... Momo fait son pelucheux. Gros pépère qu'il est. Je leur ai installé une caisse en bois avec des débris végétaux, et bien en hauteur. De toute évidence le nid bûche ne convenait pas. Advienne que pourra... J'espère que cela ne va pas encourager Momo à embêter Indie. A suivre...

C'est une question que m'a posée Marine.^^ Le souci c'est qu'il est un mâle, et les mâles ne cohabitent pas entre eux sans heurt. Il pourrait très bien cohabiter avec un femelle, mais on sait à quoi cela aboutirait... L'idéal serait donc de le faire cohabiter avec un autre lapin stérile. Les lapins sont des animaux sociaux, donc ils ont besoin de compagnie et d'interactions avec les congénères. Mais ils sont aussi très territoriaux... J'ai déjà eu un lapin (une lapine plus exactement), et je l'avais mise avec un cochon d'Inde. Ce genre de cohabitation est à éviter, mais dans un grand espace il n'y a pas de raison pour que cela se passe mal. Les cochons d'Inde sont très pacifiques. Peut-être est-ce une alternative à la castration? Je n'en sais trop rien... En tous cas, avec ma lapine et mon cochon d'Inde, ça s'était toujours très bien passé.

Oui c'est bien lui. La voisine s'en occupe très bien tout compte fait, il vit en total liberté dans son appartement. Monsieur est d'ailleurs très propre et ne fait aucune bêtise... ou presque! Il est toujours très affectueux et très pot de colle, il a tendance à me suivre dans toute la maison. ^^ C'est un lapin très sûr de lui, pas peureux pour un sou comme on peut le voir! Un super compagnon en somme. Il est passé très furtivement dans l'herbe, pour suivre le chat, mais ça lui faisait tout drôle!

Il fait beau, place aux photos! Timothé (le lapin que je garde pendant les vacances) et Nana (le chat de ma soeur) en balade dans le jardin. Apparemment, l'amitié lapin-chat est possible! Timothé s'en va explorer le monde du dehors, sans doute pour la première fois! Il appréhende d'aller sur l'herbe fraîche. Timothé aime bien jouer avec le chat! Il arrive d'abord en douce... ... et Bouh! Course poursuite! Ce lapin n'est pas un lapin dans sa p'tite tête! Timothé dans toute sa splendeur.^^

Oui c'est terrible Marie. Ils n'ont beau mesurer que quelques centimètres et peser quelques grammes, ils prennent tellement de place dans nos vies, dans nos coeurs... chaque perte est une véritable épreuve. Je comprend ce que tu ressens, je suis de tout coeur avec toi.

Quelle triste nouvelle... je suis vraiment désolée pour toi et Darwin. Tu as pris une lourde décision, Marie, la preuve d'amour ultime comme tu dis. Je te souhaite beaucoup de courage pour surmonter ta peine. Tu as fait ce qu'il fallait. Je t'embrasse. Darwin repose en paix, il ne souffre plus.

Coucou Depuis quelques jours les gris ont démarré un picage. Du côté d'Indie, il s'agit de la première récidive, depuis un an. Du côté de Momo, c'est plutôt nouveau, quand je l'ai adopté il ne se piquait pas du tout. Le picage reste très léger, et localisé à la base des cuisses et sous les ailes, pour les deux. Je suppose qu'il peut y avoir un phénomène d'entraînement derrière tout ça. Indie exprime son picage dans les mêmes circonstances qu'en octobre 2009, quand elle avait exprimé ce trouble pour la toute première fois. Elle ne se pique que la nuit. Je n'ai encore jamais vu Momo se piquer, et je soupçonne qu'il le fasse dans les mêmes circonstances. Je retrouve le lendemain matin des plumes sous le perchoir sur lequel ils ont dormi. Ces plumes sont caractéristiques, elles sont encore dans leur gaine de kératine. Indie a recommencé depuis 2 jours, j'ai retrouvé 2 plumes suspectes. Pour Indie, nous avons établi le diagnostic il y a plus de 3 ans avec le véto, il s'agit de picage d'origine hormonale. J'ai pu constater que le seul moyen d'y remédier est de lui offrir un nid. Ce qui est difficilement possible actuellement puisque Momo est amené à l'agresser lorsque je met le nid bûche dans la volière. J'ai aussi l'impression que ce type de nid ne convient pas à Indie. Elle a tendance à préférer les recoins plus "artificiels" comme les tiroirs et autres meubles. Pour les apaiser, l'astuce que j'ai trouvé est de les faire dormir dans leur grande cage la nuit, dans laquelle il y a le nid bûche. J'envisage de le remplacer ou d'ajouter en plus un autre nid, qui conviendra peut-être plus à Indie. Paradoxalement, Momo ne l'agresse pas du tout quand il est en cage... malgré la différence d'espace! Et Indie est apaisée par la présence du nid. Conclusion la nuit dernière ils ne se sont pas piqués, ni agressés. Et aujourd'hui je les trouve plus sereins. Serait-ce la solution? Serait-ce également un moyen de réduire la territorialité de Momo et de progresser dans la transition vers la volière? Est-ce épanouissant sur le long terme? J'ai des doutes, mais en attendant c'est ainsi que je vais procéder dans les semaines à venir. Hier je les ai sorti dans la maison, ils sont tout ce qu'il y a de plus adorable. Je n'en reviens pas de tous les progrès de Momo, après toutes ces années sont seuil de tolérance est tellement plus élevé. Hier j'ai procédé un petit entraînement éthologique sans récompense alimentaire, j'ai pu lui caresser le bec, lui gratter la tête, les ailes et les pattes. Il ne cherche absolument pas à me mordre, il a appris à exprimer en douceur son désaccord, il a compris que j'étais à son écoute et que je ne lui ferais aucun mal. Après tout ce temps je vois bien que Momo a pris goût à ces petites interactions. C'est une véritable épreuve de me dire que je ne peux pas les maintenir ensemble sans que cela ne pose des problèmes pour chacun d'eux. J'ai hâte de faire un essai chez Christine, pour voir comment ils évoluent alors qu'ils sont séparés. Bien sûre nous prendrons une décision en fonction d'eux. C'est une très belle opportunité. J'espère que ces histoires de mal être vont se régler par la suite. Je déteste ce p*tain de picage, mais j'apprend à relativiser. Ils ne se piquent pas à un stade sévère et son expression est cohérente avec leur état physiologique. Mais je vous assure que les plumes en moins, je les compte, je ne néglige rien. Tout ceci pour voir l'évolution, voir si certains changements ont des effets. Cela peut paraître fou, mais le picage est un sujet qui m'intéresse particulièrement, je l'ai longtemps étudié chez les inséparables, je connais très bien les processus d'évolution et de rémission. Indie s'est arrachée 2 plumes en 3 jours (après 1 an d'abstinence), cela ne paraît rien mais il s'agit pourtant de picage. Momo ne s'attaque qu'à son duvet pour le moment, donc encore plus insidieux. Tant de perroquets se piquent à l'insu de leurs propriétaires!

Je les aime et à la fois je les déteste... si vous saviez à quel point entendre leurs plaintes me fait souffrir. Aujourd'hui ils s'entendent super bien tous les deux, je ne comprend pas pourquoi tant de revirement. Quand je les vois interagir entre eux, se câliner et se bécoter, je me dis "quelle erreur de les séparer"! Et l'instant d'après ils se chicanent, Momo pourchasse violemment Indie, et là je me dis "Vivement qu'ils ne se côtoient plus". J'ai l'impression qu'à force d'avoir retourné la situation dans tous les sens, j'en perd mon objectivité et un certain recul. Je ne sais plus ce que je dois faire et ce que je ne dois pas faire. Je suis un peu perdue. Je veux ce qu'il y a de mieux pour eux... Je me rend compte aussi que ce qui importe le plus ce n'est pas le couple, mais bien le groupe! Qu'importe le célibat, le perroquet doit se sentir entouré, et c'est un point commun à mes 2 affreux.

Oh quelle triste nouvelle Marie! Il ne faut pas le laisser dans cet état, même s'il ne semble pas souffrir, de toute évidence il ne s'en remettra pas. Il ne vaut mieux pas attendre que son état empire, il ne vaut mieux pas attendre que la souffrance s'installe. Je peux paraître un peu crue dans mes propos, mais je pense que le mieux serait de le laisser partir sereinement tant qu'il est encore temps. Je te souhaite tout le courage nécessaire pour surmonter cette épreuve avec Darwin, et je souhaite que tu prennes la décision qui lui soit la plus favorable. Je t'embrasse très fort.

C'est d'autant plus vrai Christiane, que les inséparables sont loin d'être aussi fidèle que semble le dire leur réputation. En tous cas mes Catherines l'ont toujours été, alors que mes inséparables sont des chauds lapins, volages et opportunistes...

Je suis de l'avis de Christiane, et je te l'ai d'ailleurs déjà dit Marie, les oiseaux ne détestent pas les cages autant que nous. Regarde mon Momo qui ne se fait pas à la vie en volière, toute son ancienne vie il l'a passé dans une cage ronde en laiton sans perchoir ni jouet! Et aujourd'hui Momo est un oiseau qui ne se sent bien qu'en cage, malgré tous mes efforts pour l'encourager à aimer la liberté. Momo aime les sorties, mais il aime aussi et surtout se savoir près de son refuge. D'ailleurs, tous les oiseaux qu'ils soient libres ou captifs se sentent perdus en dehors de tout repère familier. Il s'avère qu'en captivité, leur repère c'est la cage. En les éloignant brutalement on peut générer un stress énorme, voire un traumatisme, à l'égard du perroquet d'importation arraché à sa forêt... Il faut sortir cette omnicolore de là Marie. Et si tu ne supportes pas de la voir en cage, et bien je suis prête à venir la chercher. Courage, je t'embrasse.

Hier je suis donc allée chez Christine. Elle est vraiment adorable, et j'ai pu me rendre compte à quel point son coeur est grand. Sa maison est splendide, son terrain aussi. Elle recueille de nombreux animaux, chats, chiens, poules, canards, lagomorphes et autres... quasiment tous issus de sauvetage et voués à un destin tragique. Elle est totalement dévouée à chacun de ses animaux. Ce qui m'a frappé c'est que tout ce petit monde cohabite en totale harmonie. Ses perroquets sont libres d'aller où ils veulent dans la maison, et dehors pour l'un d'entre eux qui a le privilège de connaître la totale liberté (il s'agit d'une amazone à nuque d'or, nommé Elvis). Ils disposent de quelques installations pour jouer ou s'alimenter, mais sont en permanence inclus à la vie de famille. Je suis certaine que mes 2 gris y seraient très heureux, mais j'imagine bien Indie mettre en pièce tous ses meubles! De toutes façons, il est d'abord question de Momo. Nous l'intégrerons chez elle probablement fin mai. Cela nous laisse du temps pour nous préparer et Christine cherche à consacrer plus d'occupations pour ses perroquets. Je suis sûre que c'est ce qu'il lui faut. Momo a besoin de se sentir entouré et intégré dans une maison, ce qu'il avait toujours connu. Nous verrons bien comment il évolue, et nous prendrons une décision en fonction. Hier soir j'ai dû séparer Indie et Momo par ce qu'il l'empêchait d'accéder aux mangeoires. Je n'ai pas attendu qu'il se montre violent. Je l'ai donc placé en cage, hors de la vue d'Indie et j'ai observé. Momo était bien plus calme, il n'a pas appelé Indie. Et elle aussi était bien plus sereine, elle n'a pas appelé Momo... Je les ai ensuite remis ensemble pour la nuit. Ce matin j'ai constaté qu'Indie s'était piquée, il ne s'agit que d'une plume, mais il s'agit tout de même de picage. Je ne laisse rien au hasard avec eux! Puis, c'était à ne plus rien comprendre, je les ai surpris se faire des becs et Momo régurgiter de la nourriture à Indie, elle accepte toujours... Cette relation dénuée de cohérence est plutôt stressante pour tout le monde, donc de toutes façons il faut faire quelque chose. Pour Indie il faudra que je lui trouve un ou des compagnons, et j'ai bien réalisé maintenant qu'il ne devra pas s'agir d'un gris du Gabon... trop sensibles, trop névrosés, trop dépendants, trop prédisposés... Je reprend un peu espoir, car des solutions s'offrent à moi, et je me fais à l'idée de devoir me séparer de l'un.

Marie, il va falloir te faire une raison, il ne faut pas la laisser comme ça! Personnellement je ne réfléchirai pas 2 fois, je la sortirais de là! Mais comme Marine, ce serait juste le temps de trouver quelqu'un qui a d'autres compagnons de son espèce à lui proposer. La mettre en ce moment avec tes perruches n'est pas une bonne idée. Mais la cage est préférable temporairement, même si tu ne supportes pas il faut parfois prendre sur soi pour faire au mieux pour les oiseaux en souffrance. Courage Marie.

Ils sont trop choux!!!

Il ne peut être mieux entouré, auprès de ses congénères, dans son environnement familier et sécurisant. Auprès des humains qu'il a appris à connaître et en lesquels il a confiance. Tu as très bien fait de ne pas lui infliger le stress du vétérinaire. Je l'ai souvent dit dans mes posts, mais parfois le stress infligé par le transport, le nouvel environnement, les manipulations et traitements peuvent réduire à néants toutes les chances de rétablissement. Il faut savoir agir en conséquence de la situation. Ne pas consulter un vétérinaire pour cause de stress trop important n'est pas une excuse, mais ce sont des décisions qui ne viennent qu'avec l'expérience et la bonne connaissance de ses oiseaux. Je te souhaite encore beaucoup de courage à toi Marie et à Darwin. Pourvu qu'il continue à se remettre. C'est l'enfer comme situation, les troubles neuro chez les oiseaux, c'est l'enfer.

Quelle horreur! Marie je suis désolée de ce qui t'arrive à toi et à Darwin, j'aimerais qu'il se rétablisse. Je suis de tout coeur avec toi. Je t'embrasse