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Tout ce qui a été posté par Blaise
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Et le jour suivant, après de nouvelles chutes de neige, nous avons droit à même un peu de soleil, en compagnie de la belle chienne Patou: le Grand Muveran, 3051m, qui va vite disparaître dans le brouillard: et d'autres sommets des Préalpes: les Dents du Midi, visibles encore quelques minutes: plus c'est haut, plus c'est beau: et pénible de faire la trace dans cette neige de plus en plus profonde: je fais le chien de tête: lors de la descente, on aperçoit le lac servant à alimenter les canons à neige de cette partie du domaine de Gryon-Villars: et le tapis roulant pour remonter les skieurs débutants: hélas, le brouillard s'épaissit encore et la neige s'humidifie; après 4h30' de marche dans 30 à 50 cm de neige fraîche, c'est le retour pour un repos bien mérité!
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Curieux printemps! Le même scénario s'est produit 4 jours après: hier, il faisait entre 25° et 30°C à basse altitude, et il a suffi d'une nuit de grosse pluie pour que thermomètre s'abaisse entre 6° et 8° le lendemain matin; une aubaine pour Saskia et Jiro, le paradis à moins d'une demie heure de route! vers 1400m d'altitude, la neige sur les arbres en feuilles surprend: plus haut, c'est le jour blanc, mais sans danger ici: ce qu'on aurait aimé voir à Noël:
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Encore une neige tardive jusqu'à 1400m d'altitude et une tempête qui m'a causé pas mal de problèmes... La nuit passée, il est tombé environ 30 litres d'eau par m2 à Vevey, et tôt ce matin, en voyant les montagnes d'en face bien blanchies, j'ai couru à la voiture pour emmener mes petits loups à la neige... comme le ciel se découvre, je me suis dit qu'il ne faudra pas faire une grande balade, afin de ne pas se faire brûler par le soleil, et avant que la neige fonde: il est bientôt 10 heures et Jiro s'impatiente également de continuer: l'éclaircie se referme et c'est bientôt le jour blanc: un voile de neige soufflée annonce une tempête: je me suit dit que peut-être on pourrait se mettre à l'abri ici: mais tout est bloqué par la neige: ici, il est tombé entre 60 et 80 cm de neige soufflée depuis hier: sans trouver d'abri, je décide de continuer en direction du col des Andérets, le lieu où Jiro a fait son unique fugue: http://chiens-de-traineau.forumactif.com/t3137p225-saskia-et-jiro-partie-1 mais un coup de tonnerre retentit et c'est le moment de s'arrêter un instant pour sortir du sac dorsal le bonnet, les gants et l'écharpe, avant d'approcher le col où la tempête doit être puissante, à entendre les rafales "défoncer" les rochers au-dessus de nous: en une minute, nous avons été enveloppés dans un nuage de neige soufflée, si bien que je ne voyais plus que mes chiens: Jiro commence à creuser un petit abri pour se protéger la tête dans la neige, alors que Saskia a l'air de se moquer de lui, (elle qui en a vu bien d'autres depuis qu'elle vit avec moi): profitant d'une accalmie, nous continuons la montée au col, mais nous sommes vite bloqués devant un mur de neige d'une dizaine de mètres, totalement infranchissable, une gigantesque corniche qui pourrait nous emporter si elle cédait: j'essaie de la contourner par la gauche et nous montons une pente interminable, où j'enfonce jusqu'à la ceinture, craignant de déclencher une avalanche de plaque de neige; même mes chiens peinent, et, sentant le danger, me dirigent vers une crête herbeuse où la tempête commençait heureusement à diminuer d'intensité: c'était ma dernière photo, mon appareil m'ayant échappé des mains, il a gelé et je n'ai pas pu le faire fonctionner jusqu'au retour, après séchage. Nous étions arrivés 50m plus haut que le col, trop au sud, et il aurait suffi de longer la pente, plus bas sous la corniche, sur une centaine de mètres, pour le trouver; c'est là que passe l'unique route d'accès au Chalet Vieux: j'étais loin d'imaginer que cette route était encore totalement invisible, cachée sous des mètres de neige! Bilan de la journée: presque 6 heures à brasser la neige parfois jusqu'à la ceinture, et heureusement que je connais parfaitement la région, car, ayant manqué le col, un promeneur pris dans cette tempête se serait probablement perdu. J'étais en danger aujourd'hui, déjà avec cet orage imprévu et un petit risque de foudre, mais aussi en risquant de glisser dans des trous recouverts de neige et sur des plaques de neige soufflée qui sont instables sur les pentes raides et invisibles dans ces conditions; mes chiens m'ont bien aidé, même si on n'a pas passé au bon endroit pendant une petite partie de la course! La descente s'est faite sous les câbles du téléski d'Isenau, dans le brouillard, alors que d'habitude, je préfère la route, également introuvable de ce côté du col... Je ne sais pas si on retournera à la neige avant l'ouverture de la route du col du Grand Saint-Bernard, mais c'est une obligation pour les 10 ans de Saskia, le 20 juin prochain! L'année dernière, le fameux 21 mai, nous avons vécu également une tempête mémorable au même endroit: dans cette vidéo, on voit ma casquette s'envoler et Saskia devait s'accrocher pour ne pas être emportée par les rafales... Après cet épisode polaire brutal, la canicule l'était tout aussi, c'est inquiétant pour l'été à venir...
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Saskia et Jiro aiment aussi les torrents de montagne! mais rien ne remplace un bon névé: je les appelle sans succès pour continuer la balade: et rebelote: mais la neige est rare ici: pas question de traverser le torrent en se mouillant plus haut que les pattes: c'est vraiment le printemps au fond de la vallée: mais les sommets avoisinant 3000m d'altitude sont encore bien blancs: malgré les importantes précipitations de la semaine passée, les morilles sont bien petites: c'est que la phase lunaire actuelle ne favorise pas la croissance des champignons; pendant le week-end de l'Ascension, les mêmes conditions d'humidité auraient fait pousser des bien plus belles morilles; la prochaine période favorable est au début juin, mais la végétation sera trop envahissante et ce sont plutôt les bolets cèpes qui feront probablement leur apparition sur les pentes herbeuses ensoleillées situées au bord des forêts et pas encore piétinées par le bétail... Finalement, peu importe la récolte représentant 45g, l'essentiel étant la balade, le bonheur des petits loups en pleine nature pendant plus de 5 heures, dont deux sur les rares névés trouvés, pendant que je cherchais les morilles!
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Cette fois, c'est le compagnon idéal pour Saskia qui se présente: c'est un Husky de 19 mois qui est à l'Eden Valley depuis peu de temps: http://edenvalley.forumactif.com/t2841-whisky-ne-le-25-septembre-2014?highlight=Whisky mais Jiro le voit au début comme une menace pour sa Saskia: et, comme s'habitude, s'interpose entre les deux nouveaux "amoureux": et fait aussi comprendre aux autres que s'est sa copine: Comme Jiro ne laisse pas assez jouer Saskia avec les autres, je pars avec Saskia et Whisky pour qu'ils puissent jouer plus librement: et pour faire une petite balade: les deux mâles concurrents pour jouer avec Saskia se toisent: Saskia et Whisky se ressemblent et je n'ai pas besoin d'une canne pour les promener les deux, alors que Jiro est d'une telle puissance que je dois parfois me retenir à l'aide d'une canne pour éviter d'être projeté au sol: Lorsque Jiro a retrouvé Saskia, Whisky a essayé de grimper sur Saskia, une tentative qu'elle n'a pas trop apprécié: elle l'a repoussé énergiquement en ronchonnant. Et alors Jiro a senti que Whisky ne représentait plus une menace pour son couple; on a aimé son geste envers son "rival", il lui a fait un "bisou", montrant aussi que c'est lui le chef; ensuite les trois chiens se sont retrouvés pour boire ensemble dans le même seau d'eau. Après la fête à l'Eden Valley, j'ai emmené mes petits loups à un autre Eden, le lac de Chalain...
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L'anniversaire des 8 ans de l'EDEN VALLEY l'arrivée de Saskia et Jiro: à cette grande occasion, un musher a mis à disposition un attelage pour faire découvrir aux visiteurs la joie de se faire balader en traîneau à chiens: une autre activité proposée était consacrée aux accidents graves qui peuvent arriver à nos chiens, un cours résumé sur la réanimation d'un chien victime d'un arrêt cardiaque ou en état de détresse vitale: http://www.humanimal-formation.com/ tél. 06 84 48 17 11 M David Roussin, Président de la Formation Prévention Premiers secours, montre à l'aide du matériel adéquat comment et où sentir les pulsations de son chien, ce qui n'est pas aussi évident que ça le paraît: et démontre le massage cardiaque, au rythme de 120 pressions pendant 2 minutes: puis le bouche à nez, en se protégeant contre les contaminations par des rejets de salive: il y avait assez de cobayes à proximité pour prendre leur pouls: Saskia trouve un jeune Malamute à son goût pour jouer: Encore un nouveau mâle Husky magnifique pour jouer avec Saskia: à suivre...
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La neige cède sa place aux morilles au bord du torrent, à quelques mètres des Huskies qui jouent sur le névé: la récolte de la journée: au centre, c'est l'unique pézize veinée, excellente après avoir dégagé une forte odeur d'eau de Javel au début de la cuisson: http://www.francini-mycologie.fr/LA_PAGE_DU_DEBUTANT/Disciotis_venosa.html https://www.ecosia.org/images?q=pezize+vein%C3%A9e tous ces champignons doivent être dégustés bien cuits, si possible sur des médaillons de veau...
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Lötschental Une marche de 4 heures au fond une vallée encore enneigée: il y a deux Blatten, c'est bien sûr celui à notre gauche qui nous intéresse: Des risques de coulées de neige comme celle-là: retardent l'ouverture de la route jusqu'au grand parc estival. Mes Huskies vont découvrir une nouvelle balade en partant de Blatten. au-dessus de la tête de Jiro, on aperçoit le sommet du Bietschhorn (3934m), qui nous domine de plus de 2000m: le dernier village n'est accessible par la route qu'en été: nous continuons de monter le long du versant exposé au soleil où la neige est déjà un peu ramollie dans la forêt: toujours ce Bietschhorn, réservé aux très bons alpinistes: après une descente sur de la neige pourrie, nous rejoignons la piste de ski de fond: et traversons le dernier pont afin de redescendre sur la rive gauche de la Lonza: le fond de la vallée se termine par un col, Lötschenlücke (3158m), d'où on verrait de près l'imposant Aletschhorn (4193m), hélas caché par le Schinhorn (3797m): nous continuons la descente sur la trace des skieurs en provenance de ce col: la Lonza est connue pour ses crues: la voici en octobre: un joli contraste de lumière entre la verdure du versant exposé au sud et les champs de neige s'étendant jusqu'à 3200m d'altitude: le retour à Blatten: la pause pendant que j'ai ouvert toutes les portes et le coffre de la voiture, déjà surchauffée à midi: Ce but de course étant à 2heures de route de Vevey, je ne pense pas y retourner souvent, peut-être une fois en octobre, après une chute de neige, et pour faire découvrir le fond de la vallée à mes petits loups dans un paysage automnal.
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Alpinichiens Oui, c'était bien de l'alpinisme aujourd'hui et il aurait fallu des crampons pour escalader la pente raide de neige archi-dure où seuls mes Huskies se sont "baladés": une photo de la propriétaire de la chienne Patou montre la pente choisie pour arriver au col, pas la moins raide, mais la moins exposée au soleil, qui permettait de tracer des petites marches en enfonçant un peu dans de la neige plus tendre et sans plaques verglacées: le précipice ne les effraie pas: seul Jiro hésite à s'assoir: enfin de la neige douce pour jouer:
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Mon frère est ornithologue et possède ces ouvrages; il fait des photos d'oiseaux avec du matériel professionnel... Après deux jours vraiment printaniers et un jour pluvieux, voici la Neige du 1er mai 2016: nous brassons 40 à 50cm de bonne neige fraîche ce matin: il est tombé entre 1m20 et 1m50 ici, vers 1600m d'altitude, depuis le 24 avril: Jiro fausse compagnie à Saskia: mais Saskia n'est pas jalouse de sa vieille amie: il n'y a pas de quoi l'envier avec ces boules de neige qu'elle traîne avec elle: suite à une stérilisation, la fourrure des chiennes perd sa capacité de résister à certaines neiges collantes, comme pour Saskia il y a quelques jours: nous rentrons par cette route d'alpage, en enfonçant jusqu'aux genoux dans une neige qui s'humidifie rapidement:
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Comme prévu, le soleil ardent de fin avril a complètement transformé la belle neige d'hier. de nouveau, la vue sur le Teysachaux: et le massif formé par le Molard et le Folly, dont nous avons fait le tour hier: la réserve de piquets pour la clôture va bientôt être utilisée: l'arrivée du skilift le plus raide de la petite station des Paccots, le Pralet: le Moléson apparaît derrière le Teysachaux: nous arrivons au sommet du Pralet: la descente raide du Molard, à gauche, vers la Grande Bonnavau: j'essaie de dénicher un coin de belle poudreuse au retour: ce ne sera pas ici, le soleil d'hier après-midi a réussi à atteindre cet endroit... la neige est meilleure sur cette pente (la Dent de Lys est derrière les petits loups): enfin de la bonne neige: mais la voiture approche et ils ne veulent plus avancer: deux pétasites revoient le jour: et deux fleurs de tussilage commence à s'ouvrir près des pétasites déjà bien étalées: c'est le retour dans de la neige qui craque encore sous les pieds: pas étonnant, avec les fortes gelées de la nuit passée sous un ciel étoilé: je viens de voir que le thermomètre est descendu jusqu'à -23°C dans les Alpes suisses, au-dessous de 2000m d'altitude, car ça se réchauffe en haute altitude.
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Une marche de 6 heures pour faire une belle boucle! La neige est arrivée assez bas pour une fin avril: après 20 minutes de route: après un petit col, on bascule du côté sud: un lichen parasite forme cette "barbe" jaune verdâtre heureusement enneigée et givrée: le point le plus élevé est à 1700m d'altitude: ici, avec un bon vent d'ouest, le froid ressenti doit avoisiner les -15°, au départ de la course, j'avais déjà -6°C au thermomètre de la voiture; on aperçoit le Teysachaux au fond: la plaine jusqu'au Jura: avec le lac Léman à gauche car nous avons contourné le Folly et le Molard sans passer par ces sommets dans le brouillard: c'est le passage délicat de la course, une descente très raide: avec le froid, cette pente est stable et le seul risque est de glisser en emportant la couche de 20cm de poudreuse, ce que les Huskies auraient fait sans laisse; ça les amusait beaucoup de se laisser glisser sur ce tapis de neige douce... si seulement j'avais des skis pour ce passage: c'était quand même agréable de descendre ces 200m de dénivellation face à la pente en plantant les talons dans de la neige compacte sans trop enfoncer; j'avais pensé faire la boucle dans l'autre sens, mais je crois que pour monter ici, il fallait absolument être équipé de skis avec peaux de phoque... Mes petits loups arrivent maintenant en terrain connu: et nous terminons notre grande marche dans seulement 15cm de neige fraîche, la route d'alpage ayant été déneigée avant l'épisode hivernal: Quelle fatigue après avoir brassé la neige de 8h à 14h; c'est aussi la première fois que mes Huskies ont traîné avec eux des boules de neige solidement accrochées à leur fourrure, la faute au soleil très efficace à cette saison! dommage que cette neige n'est pas venue en décembre... En postant ce reportage, je pense déjà à ce que nous ferons demain, une petite marche ne dépassant pas les 2 heures dans la région; comme la neige sera croûtée le matin, ce sera moins beau et il faudra rentrer vers 10 heures pour éviter que le soleil brûle les yeux de Jiro! à moins que des nuages viennent nous protéger!!
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Depuis hier et pour plusieurs jours encore, nous profitons d'une belle neige poudreuse; ce qui nous a manqué en décembre dernier nous est restitué mais avec un soleil d'août! L'ancienne couche a totalement disparu jusqu'à 1100m d'altitude et il y a quelques bons restes à 1500m: quel bonheur de retrouver de la neige fraîche sur la vieille couche!
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5 chiots et peut-être d'autres, combien? l'évènement mérite des photos! Ici, j'ai relevé -5° au thermomètre de ma voiture ce matin et une dizaine de cm de belle poudreuse à 1200m d'altitude. J'espère un nouveau service de neige pour mercredi, plus copieux... c'est ce qu'il est annoncé. Un certain 9 mai, on avait eu 40cm à cette altitude.
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D'après Météo France, tu vas avoir droit à quelques giboulées de neige ces prochains jours, j'espère pas de gelée à basse altitude qui causerait des gros dégâts à la végétation! les "saints de glace" ont peut-être de l'avance, mais il y a presque toujours un coup de froid à cette époque, parfois même un mois plus tard et jusqu'en plaine. Les abricotiers en fleurs ont connu une nuit de fort gel en 2014 et le seul moyen de protéger les fleurs est de les arroser pour que la glace forme un manchon isolant autour: Certains ont installé même des chaufferettes au pied de chaque arbre, mais aux endroits où c'est descendu à -11°C, toutes les récoltes ont été perdues.
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Au bord du lac Léman, c'est le printemps avec les cerisiers en fleurs, les primevères de toutes les couleurs en fleurs, les pissenlits et les jonquilles aussi. Les feuilles apparaissent aussi. Mais il suffit de 20 minutes de route pour retrouver l'hiver et un nouvel épisode neigeux est annoncé dans quelques jours, pour le grand bonheur de mes chiens de neige. Je garde en général mes pneus d'hiver jusqu'en juin, c'est bien 3 mois de plus que toi!
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Hier matin, la pluie s'est transformée en neige, et nous avons marché deux fois deux heures dans le brouillard et la nouvelle neige humide. Aujourd'hui, il fallait se lever tôt pour profiter de la nouvelle couche de poudreuse en surface et rentrer avant 10 heures: les pétasites sont les premières plantes qui remplacent la neige dans les forêts: alors que ce sont les crocus dans les prairies de moyenne altitude et aussi les tussilages de préférence au bord des chemins; il n'y a pas de perce-neige ici!
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Le Molard Après les orages, la neige, de quoi s'offrir encore une belle journée, et en enfonçant très peu le matin sur l'ancienne couche compacte! C'est une grande classique de ma région, pour les randonneurs à ski, les raquetteurs et les marcheurs: en partant tôt, on avait droit à de la neige sur les sapins: après environ 2h de marche, nous arrivons déjà au sommet: la gamelle de l'Armée suisse contient un carnet pour y inscrire éventuellement son passage, contrairement au livre des enregistrements obligatoires des alpinistes dans les cabanes: la seule fenêtre sur le lac Léman a la forme d'un coeur: sur le toit de Chessy: la descente sur la route est bien humide avec la neige qui coule des sapins: la dernière neige vraiment blanche: il n'y a presque plus de neige à la fin de la descente: et c'est seulement depuis ici que la vue sur le lac Léman est presque dégagée: le rapace sculpté veille sur le pâturage:
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C'est fréquent en Valais, Giette veut dire gîte en patois; il y a aussi les Giettes. On trouve aussi des Mayens un peu partout, parfois très proches. Dans les régions alémaniques, c'est pire, quand on voit le nombre de Weisshorn, de Schwarzhorn, de Rothorn pour des montagnes et les Freiburg, Neudorf etc. Je pense que les Français sont plus imaginatifs pour les noms, bien qu'on trouve pas mal de St-Léger, St-Légier, Ste-Marie, Froideville, Bellecombe, Bellevaux etc.
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Les Haudères, Arolla... Très probablement la plus belle journée de ce printemps 2016: le plus haut sommet du val d'Hérens est la Dent Blanche (4357m) le hameau de La Giette: un yak se frotte contre la clôture pour se débarrasser de sa toison d'hiver: cette fourrure devient insupportable en été: le troupeau dispose d'un immense parc bien en pente: on se croirait dans l'Himalaya! voici Sherkan, le magnifique Samoyède de 3 ans: un peu plus tard, nous montons devant le Pigne d'Arolla, tout en haut de la station de ski: ici, les derniers arbres arrivent à plus de 2300m d'altitude: la Dent de Perroc, à gauche, et l'aiguille de la Tsa: le Mont Collon: en redescendant vers Sion, nous retrouvons les célèbres Pyramides d'Euseigne, au soleil: il y a 3 ans, nous étions sur la piste de fond d'Arolla: http://chiens-de-traineau.forumactif.com/t3137p125-saskia-et-jiro-partie-1