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Tout ce qui a été posté par Blaise
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Ce n'est pas facile de trouver une bonne solution pour que l'on ne s'encouble pas sur une attache qui traîne au sol… Soit le chien tire constamment et il n'y a pas de problème. Soit le chien s'arrête de temps en temps pour renifler et s'emmêle les pattes dans la ligne de trait, quand ce n'est pas le musher qui skie sur la laisse, est c'est la cata… Je n'ai plus ces difficultés avec le ressort de l'enrouleur qui maintient une certaine tension, mais il reste le poids de l'enrouleur que je supporte en le fixant autour du cou, ce n'est pas très lourd, 500g, à la hauteur de la poitrine! L'essentiel de la traction du chien agit sur la ceinture comme la perche d'un ski-lift à assiettes.
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C'est pour cette raison que j'utilise une laisse à enrouleur, qui reste en tension, donc n'oscille pas et ne traîne pas au sol. Aucun mousqueton ne vient alourdir le système. Avec un seul chien, c'est plus facile que ce que j'ai décrit dans la vidéo: Il n'y a plus besoin de ligne de trait, on peut alors la remplacer par un amortisseur élastique.
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Sale temps! Alors que la brume crasseuse recouvre à nouveau la plaine, la neige pourrie et les températures hors de saison (+5°C à 2000m d'altitude et +10°C à basse altitude) ne conviennent vraiment pas au ski-joering ces jours. Pas de chance pour le début de la Grande Odyssée! Au moins il ne pleut pas comme au Québec, après la fameuse vague de froid, comme à La Baie, où le thermomètre a passé de -43°C à +2°C en quelques jours! Plutôt que de rester dans la pollution, je préfère monter tous les jours à la neige, seule surface de jeu intéressante pour mes petits loups maintenant: Jiro prend goût au "roule-neige": après avoir bien piétiné cette surface: nous continuons la balade: sous la neige, les taupes sentent le printemps: les pentes exposées au soleil sont comme au mois d'avril: le Jura, à l'arrière-plan, a triste mine: chaque replat est une place de jeu: c'est la ferme qu'on pouvait escalader l'année passée: même au mois de mars:
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Il ne faut pas le critiquer, il n'a pas l'habitude de la neige profonde… Les miens aussi, dès qu'ils rencontrent une trace de raquettes à neige un peu damée, ils veulent la suivre. Quand j'ai envie de sortir de la trace, ils me suivent d'abord pour profiter de ma trace, puis, dès qu'il y a une trace d'animal sauvage, ils la suivent en enfonçant jusqu'au ventre, fournissent un effort considérable, mais avec une grande motivation. C'est cette motivation qui les pousse à aller dans la neige profonde, comme pour les loups sauvages. En plus, ils sentent que je suis aussi motivé qu'eux à aller dans cette si belle neige, à l'écart du tourisme. Mais pas question de déranger les animaux sauvages, je ne veux pas suivre les traces et les fais passer dans la neige totalement vierge! 1km de marche dans la neige jusqu'au ventre, ça les muscle plus que 10km sur de la neige damée, pour moi aussi, c'est un effort considérable de sortir les skis de la neige à chaque pas. Mon record de vitesse minimale (plutôt de lenteur!) est de 2km en 3heures… avec des chiens épuisés au retour, mais heureux!
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J'ai aussi un problème avec Saskia (bientôt 8 ans…), qui ne tire pratiquement plus et se fait tirer par Jiro (bientôt 3 ans), le seul qui doit avoir un harnais de trait. Saskia n'a jamais pu être vraiment efficace en traction, vu sa petite taille (16kg) et mes 90kg; la venue de Jiro l'a surtout motivée au jeu, chaque arrêt étant une occasion de se rouler dans la neige et de jouer avec lui. En légère descente, sur de la neige damée, nous allons quand même à une bonne vitesse, mais à la montée, pas plus de 5km/h. Peu importe, nous sommes heureux dans la neige et ils rentrent assez fatigués pour dormir jusqu'à la balade du soir! Tant pis si nous ne parcourons que 10km en moyenne par jour, c'est toujours mieux que de ne rien faire pendant 5 jours, puis parcourir 70km en 2 jours (seul Jiro y arriverait, mais il ne supporterait pas un seul jour d'inactivité!). Pour moi, le plus grand bonheur, c'est ça: avec Saskia (au meilleur de sa forme), quand je n'avais pas encore Jiro:
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Chez moi, pas de pluie, mais un vent chaud du sud-ouest en altitude pour pourrir la neige! J'ai pu faire environ 7km de ski-joering dans les Préalpes ce matin. Ici, pas de vastes étendues blanches comme dans le Jura, permettant de varier à l'infini les boucles et de choisir les meilleures traces, juste un aller et retour sur une piste bien damée par les raquetteurs et les skieurs: la neige devient collante dès l'apparition du soleil et je préfère retrouver la partie ombragée de la piste: le moment de la pause pour mes louloups est l'occasion d'observer le paysage printanier autour du lac Léman, avec la chaîne du Jura à l'arrière-plan: ce n'est pas au bord du lac qu'il faut espérer parcourir, les skis aux pieds, les quais de Vevey ou de Lausanne... la dernière fois date de 1985, où le 17 février, des attelages de chiens se baladaient dans les rues de Lausanne et un slalom avait été organisé dans la rue la plus pentue de la ville... au moins, ces jours, les trottoirs ne sont pas salés et la douceur économise le chauffage! profitons encore de ce passage parfait:
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Il y a des bien plus belles images de parhélies: et pour plus d'infos: http://fr.wikipedia.org/wiki/Parh%C3%A9lie ce phénomène se produit le plus souvent dans un amas de cirrus, ces nuages élevés en forme de plumes d'oiseaux, de filaments ou de voiles. J'en ai revu un aujourd'hui, mais trop peu marqué pour une photo. Un autre phénomène intéressant est celui du spectre de Brocken, qui se produit à l'opposé du soleil, comme l'arc-en-ciel, mais avec un diamètre apparent très petit: bien sûr, il existe de meilleures images de ce phénomène:
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Les grandes retrouvailles! Il y a un peu moins d'une année, plus précisément le 9 mars 2013, Bouboule le jeune bouvier bernois était devenu un grand copain de jeu de Jiro, lors de la montée au Niremont, dans les Préalpes fribourgeoises. Détaché, il nous avait suivi pendant toute la promenade et j'avais fini par détacher aussi mes huskies. Aujourd'hui, ils se sont retrouvés à la fin de notre promenade classique dans la région: Saskia, qui l'avait rencontré déjà il y a plus d'une année et avait bien joué avec lui, semble se désintéresser du jeu: cette fois, elle en a assez et veut aller se reposer dans sa petite maison, la Vari-kennel installée dans la voiture: j'en ai profité pour enlever le harnais à Jiro: Bouboule porte bien son nom: j'adore ces regards du coin de l'oeil: la marque du harnais de promenade noir est encore visible sur le ventre de Jiro: pour éviter d'abîmer la fourrure de Jiro, j'utilise aussi souvent que possible le harnais de trait, alors que pour Saskia, le harnais de promenade est le plus confortable.
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Magnifique après-midi de ski-joering... Dans le Jura, cette piste est préparée pour tous les promeneurs, avec ou sans chiens: il y a très peu de neige, ces murs de pierre sont normalement invisibles à cette saison: je ne me lasse jamais de contempler ce grand espace nordique: Saskia vit un super moment d'euphorie: mais Jiro veut aller toujours plus loin: il est coupé dans son élan par les incessants "roule-neige" de Saskia: Saskia, plus légère, enfonce moins que Jiro et en profite pour mener le jeu: lorsqu'il s'agit de suivre une trace, Jiro revient en tête: la brume de cristaux de glace se forme, alors que le froid fait déjà grincer les bâtons qui s'enfoncent dans la neige et les fixations de marche: pendant la nuit la température va s'abaisser ici vers -25°C, voire -30°C si le ciel est clair et si le vent ne se lève pas: il ne manque que les aurores boréales pour remplacer ces nuages élevés: de retour à la voiture, le thermomètre indique -12°C, ce n'est pas bien froid pour cette région, mais quand même plus sympa que les +5°C relevés en passant une heure après à Lausanne...
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Pour finir l'année 2013 en beauté... cette fois, nous montons directement la crête exposée au soleil qui mène au Petit Niremont, dans une neige bien regelée: au fond, le lac Léman et Vevey, devant les Préalpes de Haute Savoie: et la chaîne du Jura: qui continue après le Chasseral: une vue plongeante sur Chatel-St-Denis: d'innombrables bains de neige et jeux ponctuent notre balade: mais il faut suivre la trace pour éviter d'enfoncer jusqu'aux genoux: FIN
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La belle neige attire quelques promeneurs sympas dans cette région, choisie pour éviter la foule sur les pistes et les files d'attente aux remontées mécaniques: cela ne me rajeunit pas: Saskia et Jiro ont beaucoup de succès: un parhélie fait une courte apparition dans le ciel: un dernier regard sur cette neige magnifique avant de rejoindre la route du Marchairuz:
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La neige est bien arrivée dans le Jura! 60 à 90 cm de neige maintenant, toutes les pistes sont enfin ouvertes, nous suivons donc les traces de raquettes: pour que les petits loups dépensent un peu plus d'énergie que sur la trace, je choisis de parcourir 1km dans la neige profonde: dans ce paysage, il ne manque plus que les rennes: même dans une descente raide, nous n'avançons presque pas, mes skis se plantent et j'ai de la neige jusqu'aux genoux; Saskia et Jiro nagent dans la neige ou font des petits sauts: après avoir brassé la neige pendant une heure, nous faisons demi-tour pour revenir sur la trace: que c'est pénible... mais le paysage vaut bien cet effort: à suivre...
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Maintenant que la neige est pourrie et que mes skis sont rangés, il faut chercher les rares endroits protégés du vent chaud: au moins, le lac Léman n'est plus sous la mer de brouillard pollué: Jiro a un plus grand besoin de se dépenser et heureusement qu'il profite de cette occasion: sans s'enfuir: la belle huskie de son âge, Driva (nom d'une rivière en Norvège), est à son goût: alors que Saskia pleure dans sa vari-kennel…
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Encore une belle randonnée en ski-joering aujourd'hui, certainement la dernière avant Noël, puisqu'un vent chaud s'est mis à souffler depuis le sud-ouest, nous forçant à raccourcir le trajet... Nous sommes partis d'un petit parc à côté de la route du Marchairuz, à une centaine de mètres du refuge: ici, dans 40 à 60 cm de neige, dont la moitié bien tassée, Saskia et Jiro en ont eu par moments jusqu'au ventre: Jiro, plus lourd que Saskia, enfonce irrégulièrement et peine parfois à extraire ses pattes de la couche durcie: on observe la brume signalant encore la présence d'un lac d'air froid dans la combe des Amburnex, la plus froide du Jura: il suffit de monter sur une petite colline pour sentir ce souffle chaud qui ne va pas tarder à rendre la neige collante: deux heures plus tard, c'est printanier avec le soleil en plus: au retour, dans la forêt, nous profitons encore de bonnes conditions: vers midi, c'est la désolation, la neige des sapins pleure: comme d'habitude, il n'y aura plus de neige poudreuse avant Noël au moins: l'hiver passé, la seule période de sale temps coïncidait exactement avec celle des fêtes, pas de chance pour les vacanciers qui comptent sur l'or blanc... pour nous, il restera quand même assez de neige pour les balades journalières plus proches de la maison, mais Saskia aura moins de plaisir à se rouler dans la neige... peut-être que de la neige fraîche arrivera le 26 décembre...
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Après plusieurs jours pendant lesquels nous nous sommes contentés des combes froides recouvertes d'une vingtaine de centimètres de neige poudreuse, j'ai pu enfin remettre mes skis pour parcourir environ 15 km de neige vierge; quel bonheur de tracer pendant plus de 4 heures, même si la neige un peu humide collait et qu'il fallait farter sur les écailles! Les petits loups dorment depuis le retour, sans que leur estomac crie famine, au moment où je poste ce petit reportage. Après 15 heures de neige, le paysage a bien retrouvé son manteau d'hiver: ici, à 1500m d'altitude, il y a bien 50cm de neige:
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Sans skis ni raquettes, il est rare de pouvoir se rendre en hiver dans ce petit paradis: le contraste est saisissant, entre le fond du vallon, glacial toute la journée et givré, et les pentes exposées au soleil: le soleil du matin réchauffe vite l'air sec, alors qu'une fine couche d'air très froid préserve la neige: j'ai froid aux pieds tout en transpirant, alors que les louloups s'en donnent à coeur joie: les feuilles de givre, qui ressemblent à des bricelets, font un petit bruit très sympa quand les pattes des huskies les foulent: après une demie heure de marche dans la forêt, nous retrouvons une grande prairie de neige poudreuse non givrée cette fois: un regard en arrière: puis nous poursuivons la marche dans une trentaine de centimètres de poudreuse: il n'y a aucune trace non plus sur le chemin du col, vers la France: et pourtant la couche de neige date bientôt d'un mois: le chemin du col est encore long et pénible avec les cailloux sous la mince couche de neige poudreuse; j'ai préféré redescendre par le bon chemin, sur le côté le plus exposé au soleil de la vallée; c'est ce qui nous a conduit au chalet de l'alpage, une buvette accueillante où nous avons été chaleureusement accueillis les trois; c'est ici que j'ai fait la première partie du reportage! sur le chemin du retour, le soleil de l'après-midi est presque printanier: quelle chance de voir depuis ici l'un des géants des Alpes, le Grand Combin (4314m): nous retrouvons le paradis du givre, sous le soleil déclinant de l'après-midi: la neige est restée poudreuse, malgré l'incroyable chaleur pour une mi-décembre (il a fait +13°C à Leysin et +5° à 3000m d'altitude): nous nous attardons un bon moment sur ce plateau: il faut encore jouir du dernier bain de neige: avant de retrouver la vallée du Rhône, et en face, les pentes privées de neige jusqu'à plus de 2000m d'altitude: lors du dernier reportage, nous étions derrière la falaise rocheuse de la Tour d'Aï (2331m), qui domine Leysin, où se cache le petit lac gelé recouvert de belle poudre...
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Le vallon de Savalène En décembre et janvier, le soleil n'arrive plus que quelques minutes par jour sur la ferme d'alpage, alors qu'il brille juste en-dessus: pourtant, le berger y habite à l'année depuis plus de 20 ans: avec Calypso, son berger australien: qui rassemble le bétail en été et l'accompagne lors de ses randonnées dans la région: dans le vallon, il y a de nombreuses possibilités de balades pour le skieur expérimenté qui aime la poudreuse vierge, et la traversée sur le lac d'Arvouin, de l'autre côté de la frontière (j'y ai fait une tournée avec un reportage il y a une dizaine de jours, depuis Abondance); les deux derniers hivers, déjà en décembre, il y avait 2m de neige ici et l'accès à la ferme n'était possible qu'à ski avec peaux de phoque et en dehors des périodes avalancheuses; aucun musher n'est venu en traîneau à Savalène (ou Savalenne, Savalénaz ou encore Savalennaz), à cause d'un passage trop dangereux en dévers. Jiro a sauté sur Calypso pour jouer, maintenant Saskia en retrait: attention aux âmes sensibles: puis il se jette sur Saskia pour l'éloigner de Calypso: elle arrive quand même à se rapprocher du berger australien avec qui elle aurait tant aimé jouer: et c'est reparti pour une nouvelle partie de jeu: enfin, maintenant que Jiro a montré sa vitalité, il se met à plat ventre devant son nouveau copain: les photos de la balade viendront à la suite...
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dernières courses terre et début de la saison traineau
Blaise a répondu à un(e) sujet de Kinya-passioncanicross dans photos
Pour moi, qui ai presque tout essayé, je préfère les skis de fond avec écailles et carres métalliques, genre J'ai commandé un modèle presque identique, de la marque Fischer, pour remplacer mes vieux skis de presque 20 ans... eh oui, c'est du solide! ils ont parcouru peut-être 20°000km! Ces skis ont au moins 1cm de plus de largeur que des skis de fond et sont longs (205 cm pour moi), car les skis plus courts ne conduisent pas bien dans les schuss et "flottent" sur la neige damée. Les souliers ont moins bien résisté dans la neige croûtée! mais les chaussures à "coque" en plastique ne sont pas confortables pour la marche et comme il m'arrive de marcher lors des montées raides, puis de choisir pour la descente des longs "faux-plats", je choisis des chaussures en cuir assez difficiles à trouver sur le marché! Avec mes deux huskies, dont Saskia qui ne tire pratiquement pas, pas question d'utiliser un traîneau! et je trouve que le traîneau ne convient pas à certains endroits en dévers, contrairement aux skis de fond de randonnée, ainsi qu'aux montées où il faut marcher en enfonçant bien! Le traîneau, c'est génial avec au moins 4 chiens qui tirent sans trop enfoncer.