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Tout ce qui a été posté par kti
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Pardon Katy, mais c'était très très fatigant !!! Deux jours de suite, j'ai eu la télé dans ma tête !!! Des petits flashs, comme des infos, qui me surprenaient quand j'étais sur le web à t'écrire. Et TOUJOURS quand je t'écrivais à TOI !!!! Or, visiblement, je parlais d'un autre Gris... Et quant au harnais, je l'ai pas bcp vu, car je voyais très peu l'oiseau. L'oiseau, très peu, mais le mec oui......... Alors lui OUI !!! Dès qu'il est intervenu ! Il a pris TOUT l'espace !
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ET UN PEU PLUS......... LE DRAME !
kti a répondu à un(e) sujet de kti dans Discussions sur la santé des perroquets:
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Hello Katy ! Ben moi je suis désolée mais...... Ce n'était pas ton oiseau que j'ai «vu» !!!! Je viens de lire le topic de Domi qui a retrouvé Didou. Nicole nous l'annonce le 18 mai, or le 17, je t'ai recommandé d'aller dans une animalerie, qu'un mec avait choppé l'oiseau, qu'il voulait le garder. Bon, j'ai mal vu.... J'ai cru qu'il s'agissait de Titeuf, mais non. C'était Didou ! C'est tout de même étonnant, tout ça, car Domi a retrouvé son oiseau, dans les mêmes délais, car un homme est entré dans une animalerie pour s'informer et acheter.... sans doute.... Comme je l'ai vu au moment où j'ai dit : vas-y fonce !!!! Un mec qui voulait garder Didou !!!! Pourtant j'étais clairement branchée sur toi, mais j'avoue que l'histoire de Domi me préoccupait aussi.
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Depuis combien de temps les avez-vous ?
kti a répondu à un(e) sujet de kti dans Discussions sur la santé des perroquets:
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Les deux époux se sont réconciliés. Victoire est fragile en ce moment, elle se ménage, et Phil est amoureux du corps de sa femme, tient huit jours maximum, puis revient pantelant supplier le rapport. Victoire fait la putain. Pour ses enfants et pour son œuvre. Ses enfants sont heureux d’une vie familiale environ stable et Vic a besoin du mari pour finir son nouveau bouquin. D’autant qu’il est touchant, l’adolescent qui ne mûrit pas, l’étalon qui ne se lasse pas, le baratineur qui parvient à la convaincre qu’elle manque d’«humour». Il n’aurait pas besoin de ces périodes que Vic jugent trop longues, chacun chez soi à ruminer, elle se satisferait du reste. Elle s’est habituée aux insultes, aux abandons nocturnes et quant à la corvée dominicale, ils sont parvenus à un arrangement : Phil n’impose plus les beaux-parents qu’un week-end sur deux et tâche de rester à Paris un week-end sur deux. Vic se persuade comblée : le mariage n’est-il pas affaire de concessions ? Son Soleil Rose reste crépusculaire, Kundera silencieux, elle change donc d’espoir, décide de s’attaquer aux «petites maisons». Un jour, elle pousse jusqu’au fin fond de Nanterre. Dans une rue inconnue, sous un porche minable et au bout d’un couloir sans fin, elle s’arrête devant une porte en préfabriqué sur laquelle se détache une affichette peinte à la main : «Furia». Du dehors, elle flaire une animation intense sur fond de tabac blond : — Oui mais vois-tu, explique une voix mâle, en ce moment, avec la guerre… Elle aurait bien écouté davantage mais sa main frappe et une autre voix la prie d’entrer. Derrière la porte, une pièce de neuf mètres carré donne peut-être sur une autre, ou sur un placard. Dedans la pièce, une bibliothèque croule sous les livres, un bureau d’architecte croule aussi, occupant un bon tiers de l’espace. Derrière le bureau, un homme d’une quarantaine d’années, avec double menton (et double ventre s’imagine Vic) fume derrière ses lunettes de myope et lui envoie donc avec une volute : — C’est à quel sujet ? — J’ai téléphoné tout-à-l’heure. C’est sur vous que je suis tombée ? — Tout-à-l’heure ? répond-il avec la même surprise qu’il aurait répété : «Michel Jonas ?…» ou : «La guerre ?… Quelle guerre ?» ou «Tu le penses vraiment, vieux ?…» Bref, avec une nonchalance de ruminant qui ne comprend pas pourquoi le direct Paris-Calais de 17 heures 12 n’est toujours pas passé. L’étonnement maximal que puisse ressentir ce mec, autrement dit, le bouquin ne lui haussera même pas le sourcil. Une fille sort soudain du placard pour intervenir : — Non, vous n’êtes pas tombée sur lui. Il tardait à répondre, c’est vrai, mais Vic se demande de quoi se mêle cette petite madame. C’est la seule à bouger ici, et elle rompt le charme. Les deux autres en face du myope et le myope réfléchissent, Vic croit percevoir qu’à l’odeur du tabac, se mêle celle du cerveau surchauffé. Elles fouettent, elles dépaysent, c’est bon. Avec un petit côté cliché non négligeable : le boss, mégot aux lèvres, les pieds sur le bureau, l’adjoint assis en face et le troisième, indifférent, celui qui est de dos au cinéma. Vic ferait bien durer le plaisir, d’autant qu’en face du boss, l’adjoint est tout à fait son genre. Instant magique que son regard sur elle. Quarante ans, cheveux poivre et sel, front dégarni mais nuque buissonnante, blouson de cuir négligemment ouvert sur un lambswool bouteille, classe mais relax, il s’avachit sur son transat. Surtout, il a le regard qui la plante : vaguement blasé mais intéressé tout de même, histoire de voir, qu’est-ce qu’il risque ? En une seconde, il la déshabille, revient à ses yeux, elle lit dans les siens : «Toi, je ne serais pas étonné que tu aimes ça…» Stoïque, Victoire présente son livre : — Je suis venue déposer un manuscrit. Elle gagne du temps, rester, rester, le plus longtemps possible sous le regard de cet homme, interrompre sa conversation, le déranger, et qu’il en éprouve du plaisir… Elle feuillette son exemplaire : la fille est encore debout dans la pièce et s’impatiente : — Je vérifie qu’il y a bien mes coordonnées… Le titre… Le nom… — L’adresse, continue l’autre. — Il n’y a pas de mots doux ? fait Vic imperturbable (elle se souvient trop bien de sa frayeur lorsqu’elle a cru avoir oublié la seconde lettre de refus de Tallendier dans son exemplaire Kundera…) Et à cet instant, en prononçant ces mots devant son livre en éventail, elle le regarde lui, le créatif lubrique, droit dans les yeux : — Enfin, des mots doux… il y en a… Je veux dire… Et elle perd le contrôle. Elle voulait dire quoi ?… manuscrit ?… Elle voulait dire : «Il n’y a pas de mots manuscrits cachés dans mon… manuscrit ?…» Non, ça ne va pas, il vaut mieux qu’elle ne poursuive pas. Dommage, son esprit la trahit. Il lui reste ses yeux et ses lèvres (fardées du rouge ensorcelant de Paloma), elle en profite, esquisse une révérence, avec œillade généreuse à la cantonnade et magnifique sourire au séducteur. Dehors, elle se sent belle. Belle comme elle ne l’est plus depuis longtemps. Le lendemain, Vic dépose l’exemplaire chez MAS-TU-VU. MAS-TU-VU ? Inconnu au bataillon… Elle ne se souvient pas de l’adresse exacte et pense : «la rue Lincoln est si petite… Il y aura certainement un panneau en cuivre à l’entrée.» Elle commence à regretter le trajet lorsque de panonceau point, et surtout, le Bottin 1990 ne mentionne aucune maison d’édition à ce nom. Elle va abandonner lorsqu’elle tente les renseignements qui, par bonheur, répondent : au cinq. Au cinq, seule la check-list de la gardienne fait état de l’existence de la maison et s’il y a six plaques en cuivre à l’entrée de l’immeuble, aucune ne porte le nom MAS-TU-VU. Et les bureaux du rez-de-chaussée sont incapables de la renseigner : — Les éditions MAS-TU-VU ?… Il faut demander à la concierge, vous êtes sûre que c’est ici ? Au second, il s’agit plus d’un appartement bourgeois que d’une «Maison d’édition». La jeune fille qui ouvre la porte à Vic, très jeune, est familière. Douce, elle frôle l’amateurisme et la prévient : — Nous avons beaucoup de retard. Nous recevons des floppées de manuscrits qui attendent, et nous ne sommes que deux… Elle semble sincèrement désolée, lui propose de prendre le sien mais conseille la patience. Qu’est-ce que Vic a à perdre ? Les exemplaires reviennent vite et il en circule sept. Elle rassure : — Ne vous inquiétez pas, je ne suis pas aux pièces… J’ai TOUT mon temps, je n’ai pas besoin de mon livre pour vivre. Et elle case l’internat, pour épater un peu. La jeune fille va répondre au téléphone. Décroche, raccroche et revient. Vic la sent à la bourre et s’étonne de sa politesse : — Sur onze livres édités cette année, il y a eu trois romans et huit essais. Nous publions de plus en plus d’essais. Vic répond qu’elle préfère aussi écrire des essais et d’ailleurs, dans son Soleil Rose, si la première partie est de «pur style romanesque», la seconde —c’est un journal intime— est plus proche de l’essai (au fait, qu’est ce qu’un essai ?) Elle poursuit : — Il s'agit de mon premier roman, et je pense que dans une petite maison, il aura plus de chances d’être accepté tel quel. Pour vous dire franchement (elle raconte tout en écrivant son nom, c’est sa tactique), j’ai été envoyée chez vous par Bellefontaine, avec lequel j’ai corrigé la première partie, mais j’ai coincé pour la seconde, parce qu’ils sont vraiment trop rigoureux, dans cette maison, ils cassent toute originalité. D’ailleurs, la maison Bellefontaine n’existe plus… La fille s’étonne. — Vous ne le saviez pas ? conspire Vic avec délice… Si, si, elle a été vendue !... A des Japonais !… — Ah bon ? — Oui, et ces corrections, c’est grave, tout de même, d’imposer à des écrivains des diktats de marketing, pour respecter «l’esprit de la maison»… C’est gravissime, n’est-ce pas ? Entre nous, voyez vous, Tallandier me propose de travailler avec Kundera. Dans quinze jours, nous reprenons le texte, alors évidemment, je suis tentée, pensez ! Le Grand Milan Kundera ! Ca ne se refuse pas !… Mais qu’ils me mangent le nez, non. — Mais vous savez, lui répond la jeune fille, les corrections sont indispensables… Même les petites maisons les exigent. — Ah bon. Cette fois, c’est Vic qui reste pantoise.
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Madame, Nous avons étudié avec attention votre manuscrit intitulé Le Soleil Rose (deuxième version). Il ne nous a malheureusement pas paru possible de le retenir pour publication. En effet, nous avons été sensibles à la qualité d’émotion de ce récit attachant. Mais il nous a en même temps semblé que votre style restait d’une originalité inégale et manquait trop souvent de la force expressive qui aurait pu assurer sa pleine efficacité. Nous vous prions de croire, Madame, à nos regrets, ainsi qu’à l’assurance de nos sentiments les meilleurs. Christophe Manufacture pour Lavil. Victoire se jetterait volontiers sous le métro. Après sa désastreuse soirée d’hier, elle n’avait pas besoin d’un tel cadeau ce matin dans sa boîte aux lettre. Lavil, elle y croyait, savait qu’ils la liraient attentivement et elle est maintenant désespérée. Ne comprennent-ils pas, ces imbéciles, que c’est la maladresse du style qui permet «la qualité d’émotion de ce récit attachant» ? Si sa Lola se met à penser comme Kundera, sa naïveté et son inexpérience ne seront plus crédibles… Comme elle souffre ! Son mari qui s’éloigne, la biologie qui ne lui apporte plus rien, elle s’étonne de son acharnement. Ce livre est un fléau qui lui bouffe peu à peu la vie. La littérature est un engrenage maléfique dans lequel elle n’aurait jamais dû glisser le doigt. Mais il est à présent trop tard pour faire machine arrière. Le virus l’a piquée, se multiplie dans ses globules, et chaque vague de reproduction la pousse à son stylo, irrésistiblement. Elle ne veut plus vivre que pour ça : écrire, raconter des histoires, approfondir les sentiments, dénuder les âmes. Elle le sait comme jamais elle n’a su quoique ce soit. Et elle les trouve bien sévères, ces grands éditeurs. Bien sévères et peu clairvoyants. Elle va apprendre à écrire. La chance inespérée, elle finit par le croire, est cette rencontre avec Milan. Il va lui apprendre à écrire. Elle va s’acharner, cent fois sur le métier remettre son ouvrage, et elle y arrivera, devra-t-elle y perdre mari, carrière médicale et sommeil. Devra-t-elle y perdre la raison. Elle y arrivera. Personne ne l’en empêchera. Elle n’est pas si désespérée. Patience, travail, sang-froid. Et ils verront bien ces Lavil, Tallendier, Bellefontaine et pense-petits, ils s’y feront, au succès de l’illustre inconnue à laquelle ils n’ont pas donné la moindre chance. Et sa revanche sera belle. Elle se jure de pulvériser les records de vente, elle se le jure même si l’objectif initial n’était pas celui-là. Elle n’a RIEN à perdre, elle vit du rab, elle est morte depuis très longtemps déjà. Et ça, Lavil ne peut le savoir. Elle a fait un pacte avec le diable, et ça, son mari lui-même l’ignore. Victoire est increvable.
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Je suis spécialiste (médecin biologiste). Je n'exerce plus depuis 1993 car je suis devenue journaliste scientifique. J'écris des articles de médecine pour de nombreuses revues (sur abonnement, pas en kiosque). J'ai été publiée en kiosque un an (pour «Univers Santé») mais le canard a fait faillite. Jules Renard, je crois, était médecin. Et pis y'a le mec de «la maladie de Sachs», best-seller et adapatation ciné. Oui, dans pas mal de mes livres, sans en parler vraiment, on voit le milieu hospitalier. Dans «le Soleil Rose», notamment... Ma mère, ça lui plaisait à donf, les passages sur la vie à l'hôpital. Dans «La malédiction» aussi, je raconte bien l'ambiance... Mais je n'ai jamais tapé «La malédiction»... J'ai pas eu le temps, c'est un manuscrit de quatre tomes !!! J'attends je sais pas quoi ...... Si, aujourd'hui, j'ai fait un truc TERRIBLE : J'ai envoyé sur Internet (emule) les pages que je vous ai postées à vous, sur le forum. De «La Nuit de la Honte». Je sais que je sacrifie ce roman on l'offrant sans le vendre, mais j'ai envie de savoir s'il est bien, si le lectorat suit. J'en ai tellement, encore, de titres.... Y'en a au moins cinq qui végètent faute de temps (en plus des treize peaufinés et brochés). J'aimerais bien qu'on finisse par me payer ce boulot-là, car en ce moment, depuis six mois, je ne parviens plus à rien faire d'autre qu'écrire. Je suis devenue allergique à toute autre forme de travail. (PS je vais ajouter un détail sur la gitane croisée dans la rue..... C'est véridique : elle m'a donné les initiales de mon ennemi : JG...... Or ce sont les initiales de mon ex-mari !!!!!)
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Un nouveau copain de Fidjy
kti a répondu à un(e) sujet de Fidjy dans Discussions sur les perroquets:
Ah Fidjy !!!! Cette bonne nouvelle me comble d'aise !!! Enfin une compagnie pour Fidjy !!!! Je me demandais ce que tu attendais... Depuis le temps que tu la voulais, ta petite femelle blanche aux joues oranges !!!!! Là tu vas voir, Deux oiseaux, c'est vachement mieux (même s'il faut être deux fois plus vigilant !) Youpee !!! Et même si c'est un mâle, s'il n'est pas blanc avec des joues oranges.... -
Depuis combien de temps les avez-vous ?
kti a posté un sujet dans Discussions sur la santé des perroquets:
J'ai eu peur hier de perdre mon oiseau Calypso, qui a profité de la porte ouverte (une seconde) pour s'échapper dans la cage d'escalier. Il voulait me rejoindre (il ne m'avait pas vue depuis sept minutes), il m'a bondi dessus au retour des courses, a manqué mon épaule, et je l'ai finalement récupéré au troisième étage. Mes deux oiseaux sont en liberté dans l'appartement 12 heures sur 24. Je voudrais savoir depuis combien de temps vous avez vos oiseaux en liberté chez vous ???? Se sont-ils échappés à un moment ou à un autre et les avez-vous récupérés ou non ???? -
ET UN PEU PLUS......... LE DRAME !
kti a répondu à un(e) sujet de kti dans Discussions sur la santé des perroquets:
Ca va les potes, j'ai retrouvé mon calme. Val m'a dit qu'il a eu peur, qu'il s'est cogné et que c'est pourquoi il a refusé ma main. Vrai qu'il ne faisait pas son fier, ni au second, ni au troisième... Il était tout destabilisé, le pov chou ! Peut-être qu'il reviendrait s'il s'envolait par mégarde. J'ai déjà raconté l'histoire d'un petit moineau tombé du nid que ma maman avait eam (j'avais onze ans). Les fenêtres ouvertes, il restait dans l'appart. Presque un an nous l'avons eu en liberté chez nous et il a fini par s'enfuir en mars... Les laisser en liberté est un risque permanent. Je me demande comment les possesseurs d'eam (Gris, Youyou, amazone, calopsitte....) parviennent à les garder longtemps ... si leur instinct est tel ??? Je vais ouvrir un topic sur «depuis combien de temps sont-ils avec vous ???» Moi, je deviens fataliste. Mais de lire que certains membres ont encore leurs oiseaux eam (en liberté chez eux) depuis 5, 8, 12 ans... voire davantage, me rassurera. Lol Fidjy !!! Je me vois bien agiter ma branche de millet au pied de l'arbre centenaire !!! Avec le Calypso au sommet !!! Cinq étages plus haut !!! Quelqu'un peut-il me renseigner sur le point suivant : si mon Calypso se plante sur l'arbre, je ne peux pas l'atteindre... Ai-je le droit d'appeler les pompiers pour qu'ils m'aident ???? -
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Je finis sur la voyance car ils disent des trucs incroyables ! Bon, c'était un premier juillet, je m'étais pris une claque et j'étais vétue d'un blouson qui ne m'appartenait pas. Ma copine Hélène m'avait hebergée pour la nut. Vétue de son blouson, je trainais dans son quartier quand une bonne femme m'a accostée : —Donne moi ta main... Donne moi ! —Non — Si — Non, j'ai pas envie de parler avec toi ! —T'es obligée, t'y vas — Non —Si, je te dis, gratuit, y'a un homme qui te veut du mal — ...... Lachez ma main !!! — Tu peux rien dire, il est en train de te trahir, immédiatement ! — Lol! Fabulations !!! —Non....... Là tout de suite, ne rentre pas chez toi ! — C'es quoi ce bordel !!!!
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