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sylvain951

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Tout ce qui a été posté par sylvain951

  1. sylvain951

    coca

    tres jolie photo de coca
  2. sylvain951

    sortie de ma draggo

    ha oui momo de jouy le moutier, il est trop sympa ce mec !
  3. sylvain951

    sortie de ma draggo

    bravo draggo mais c qui donc sur la derniere photo?
  4. sylvain951

    pirate ( Pyrrhura )

    aller melnou c petit un pyrrhura ! et puis jamais 5 sans 6 :evil:
  5. sylvain951

    pirate ( Pyrrhura )

    ils sont vraiment super ses oiseaux, si tous les eleveurs pouvait etre comme draggo il n'y aurait plus de probleme
  6. voici pirate jeune pyrrhura venant de chez Draggonnia que j'ai en garde quelque jours pour une fin de sociabilisation. il doit bientot partir dans sa nouvelle famille
  7. sylvain951

    Laisse harnais

    moi j'utilise la laisse depuis maintenant 1 ans et demie sens soucie, maintenant si elle accepte le harnais même avec un peut de résistance il faut mieux utiliser celui ci plutôt qu'une laisse. la laisse et a utiliser avec précaution car effectivement il y a des risques de luxation de patte mais il y a aussi des risques avec le harnais, c un choix a faire, mais je pense un choix a faire en dernier recours quand vraiment l'oiseau ne supporte pas du tout le harnais
  8. oui biensur mais ca ne sera pas fini avant un moment car pas de bricolage pendant l'hivert par contre je vais en profiter pour faire tout ce que je doit faire en inox pendant ce temps comme mes mangeoire pivotante, ma porte, des equerres, ......
  9. bien l'admin !!!!!! ouuuuuuuuuuuuuuuu la honte !!!!!!! effectivement ca fait loing . pense a faire une partie couverte qu'il puisse se mettre a l'ombre. car chez vous quand ca tappe ca ne pas !
  10. je ne vais pas utiliser leur agraffes pour fixer le grillage mais de la visserie inox et de la grosse rondelles inox egalement. car je suis en location et ca sera plus facile pour moi lors du demontage lors d'un eventuel demenagement. tu est de belgique si je me trompe pas c ca?
  11. c pas si chere que ca, ca va me couter moins de 300 euro pour une voliere de 3 metres x 1 x 2 de haut
  12. bon pour le motoculteur c mort aujourd'hui, il est tombé en panne au bout d 1 m² je vais la faire en tube d'aluminium de 25*25 que j'ai trouver chez PEVN
  13. aujourd'hui debut de la fabrication de la voliere exterieur. pour commancer : coup de motoculteur sur l'ensemble du jardin pour egalisé le niveau puis ca sera semage de la pelouse.
  14. Traitement des troubles des psittacidés Préambule Il est bien évident qu'il ne s'agit en aucune manière à se substituer au savoir d'un vétérinaire. Ce qui suit est destiné à vous sensibiliser aux différents problèmes rencontrés avec vos perroquets. Avant d’envisager un traitement des troubles du comportement, il est indispensable d’établir un bilan clinique, le plus complet possible, afin que toute origine organique puisse être éliminée, à savoir les maladies d’origine, bactérienne, virale, fongique, parasitaire, allergique, alimentaire (carences) (André 2004). Ceci fait, l’approche thérapeutique va être guidée par le recueil détaillé des commémoratifs et par l’identification du ou des facteurs déclenchants des troubles observés. Ces éléments sont collectés à la faveur d’une conversation approfondie avec le propriétaire. Plus le trouble est installé, plus il sera difficile d’obtenir des résultats tangibles. Les traitements s’inscrivent sur le long terme et exigent beaucoup de compréhension et de patience, de la part du maître. Il faut, avant tout, s’assurer que l’oiseau bénéficie d’un vrai sommeil réparateur d’au moins 10 heures, respectueux du nycthémère, loin de tout bruit et lumière. Thérapie comportementale chez les psittacidés On incitera le propriétaire à renforcer positivement (encouragements, jeux, caresses, friandises…) les attitudes ou comportements souhaités chez son oiseau. Cette façon de faire s’inspire des techniques de conditionnement opérant. Dans le même temps, il sera nécessaire de renforcer négativement les attitudes ou comportements à éliminer. Plutôt que de les sanctionner, il sera toujours préférable d’éviter les conditions d’apparition des comportements non souhaités. Dans tous les cas, il est essentiel d’éviter la surenchère, la répétition des conflits, sous peine de déclencher l’apparition de comportements stéréotypés. Agressivité des perroquets Elle est très souvent liée à la peur. Dans ce cas, il est nécessaire de sécuriser l’environnement de l’oiseau, de faire preuve de beaucoup de douceur et de patience. Une autre source possible d’agression relève de manifestations hiérarchiques. On évitera, en particulier, que le perroquet prenne place, en position dominante, sur l’épaule de son maître, sauf autorisation de ce dernier. Il faut éluder toute confrontation et, en cas d’agressivité, ignorer l’oiseau, déplacer sa cage, momentanément, en « zone neutre », c'est-à-dire dans une pièce où il n’a plus ses repères territoriaux habituels. Dans le cas d’une imprégnation excessive vis-à-vis d’une personne, associée à des manifestations agressives à l’encontre des autres membres de la famille, il est utile de pratiquer régulièrement, une « thérapie de groupe » dans une pièce neutre. Au cours de cette séance, l’oiseau est manipulé par chaque membre de la famille et amené à répondre positivement à quelques ordres simples, récompenses à l’appui. Tous les participants devraient, en théorie, arriver à s’occuper de manière similaire de l’oiseau et établir une interactivité (jeux, toilettage mutuel sur le crâne, attitudes, friandises, brumisations…), de façon à éviter le phénomène d’imprégnation exagérée vis-à-vis d’une personne. Cris chez les perroquets Il faut éviter de répondre à la sollicitation du perroquet, qui cherche à attirer l’homme par ses vocalisations plus ou moins puissantes et surtout, éviter de répondre, à l’unisson, par des cris, sous peine de renforcer l’attitude de l’oiseau. Pour interrompre ces vocalisations excessives, on peut le surprendre, à distance, par l’envoi d’un jet d’eau. Il est encore possible de le tranquilliser, en le plaçant à l’obscurité, pendant quelque temps, puis de revenir ensuite s’occuper de lui. Il est constructif de l’apaiser, par la parole, à distance, d’une pièce à l’autre et également, d’anticiper le déclenchement de vocalisations par trop puissantes, en détournant son attention. Troubles du comportement à connotation sexuelle Dans l’hypothèse où le perroquet régurgite exagérément ou se masturbe en présence d’une personne, celle-ci doit rompre aussitôt le contact et doit chercher à réduire l’imprégnation qui la lie à cet oiseau. Des caresses trop prolongées, particulièrement en région cloacale, sont à éviter. Mouvements stéréotypés chez les perroquets Il faut essayer de détecter quel est le facteur conflictuel déclenchant, pour ensuite tenter de l’éliminer. Picage des psittacidés Comme cela a été dit plus haut, ce trouble nécessite de longs développements qui n’ont pas leur place ici. La seule chose qu’il est possible de dire avec certitude, quant au traitement, c’est qu’il n’existe pas de « pilule miracle» ! Thérapie médicamenteuse chez les perroquets Il peut être utile, dans certains cas, de conforter la thérapie comportementale par l’apport de psychotropes. Il faut cependant bien avoir conscience qu’il ne s’agit pas là d’une panacée, que ces substances ne règlent en aucun cas le problème de fond et peuvent, au mieux, apporter une amélioration temporaire. Elles doivent être employées suffisamment longtemps, au minimum pendant deux mois, pour qu’un éventuel effet positif puisse être observé. Source : http://veterinaire-conseils.blogspot.com/2011/03/traitement-des-troubles-des-psittacides.html
  15. la psychologie chez les perroquets Ornithopsychologie Les perroquets sont des êtres dotés d’une grande intelligence, d’une grande sensibilité et… nous avons souvent tendance à l’oublier, d’une gamme de comportements naturels, conçus spécifiquement pour le milieu dans lequel ils ont évolué, un habitat de perroquet; celui de leurs ancêtres. L’intervention comportementale avec les perroquets doit tenir compte de ces attitudes innées qui viennent de série avec nos charmants volatiles… Faire de la "psychologie" avec un perroquet vivant en captivité est en tout point semblable à l’ethnopsychologie ; cette discipline qui relève de l’anthropologie, de la sociologie et de la psychologie. Dans le cas de notre perroquet, le terme ornithopsychologie, malgré sa consonance un peu inusitée… serait certes plus approprié. Dans cette discipline inusuelle, nous tiendrons compte de la condition de l’oiseau (l’animal proie), de son environnement sociologique (en captivité; nos familles et maisons), et nous recourrons à un réjouissant touillage d’éthologie et de psychologie. L’ornithopsychologie s’obligerait donc à l’interdisciplinarité en considérant les concepts-clés de l’ornithologie (éthologie) et de la psychologie, de façon à pouvoir intervenir dans des situations de dysfonction de la communication ou désordre comportemental que l’on peut repérer chez nos perroquets de compagnie. Si nous ignorons les comportements innés de nos oiseaux, la moindre tentative d’intervention sera inévitablement vouée à l’échec. Nous pouvons tout au plus influer sur les attitudes naturelles de notre perroquet en tentant d’aider l’oiseau à s’adapter (du mieux possible) aux contraintes sociales de la vie "domestique", mais nous ne saurions les invalider complètement. Il nous faudra donc composer avec, et ce, pour le bien-être psychologique de Coco (et accessoirement du vôtre). Comme je l’ai souvent spécifié, nos perroquets ne sont ni des chiens, ni des chats et encore moins des humains! Ce sont des perroquets qui vivent en compagnie des humains et qui doivent être socialisés à ce milieu on ne peut plus étrange pour eux. De plus, toutes tentatives de dressage qu’on utilise (souvent à tort) avec nos chiens seront vouées à autant de cuisants échecs si utilisées avec notre perroquet et risquent de lui causer des torts considérables, et ce, à plusieurs niveaux. Le perroquet pour sa part, doit, en quelque sorte, s’essayer à l’ethnopsychologie pour tenter de nous comprendre, nous humains, et notre étrange milieu. Nous avons nos codes, nos modes d’expression et nos règles qui doivent souvent lui sembler bien insolites. Vivre avec des perroquets, c’est en quelque sorte le choc des cultures, autant pour eux que pour nous. Coco en thérapie? Les « thérapies » cognitives et comportementales utilisées avec les perroquets (et leurs humains) suivent sensiblement les mêmes schèmes que les celles du même ordre chez l’humain avec l’humain: •Analyse fonctionnelle •Définition des objectifs •Mise en œuvre d’un programme •Évaluation des résultats Il est important de comprendre que l’humain désirant prendre la voie d’une « thérapie » comportementale avec son perroquet se doit d’acquérir l’ouverture d’esprit ainsi que la cohérence et la constance prérequises pour l’aventure. L’analyse fonctionnelle permet de déterminer une intervention différente selon son milieu, le tempérament du perroquet, en incluant les caractéristiques de son espèce, en fonction de la problématique qui lui est propre. Elle vise à définir les problèmes-clés, leurs fondements, ainsi que leurs corollaires. Les problèmes-clés sont, dans une visée pragmatique, ceux sur lesquels on pense qu’une action positive est possible et dont la solution permettra d’influer ou rééquilibrer l’environnement et subséquemment, les vilains comportements de Coco. L’action modificatrice à entreprendre porte la plupart du temps (et même, presque tout le temps) sur les facteurs de maintien du comportement/problème. En effet, dans la plupart des cas, si le comportement perturbé est l’écho résiduel d’événements traumatiques anciens (imprégnation hétérospécifique à l’humain, sevrage inadéquat ou trop rapide, absence de socialisation, dysfonction de la communication, abus physiques ou psychologiques), il aura, au fil du temps, acquis d’autres sens, d’autres fonctions dans la structure organisationnelle de l’oiseau. Ce sont souvent ces vestiges qui font perdurer le comportement. De plus, dans plusieurs cas de réels troubles du comportement chez les perroquets, les problèmes-clés sont aussi très souvent associés à des troubles environnementaux et il en découle des difficultés psychologiques et relationnelles qui favorisent de façon dramatique les excès (picage, automutilation, anxiété, stéréotypies, agression, etc.). D’un point de vue empirique, l’analyse fonctionnelle se pratique au moyen d’entretiens avec les humains (propriétaires) de l’oiseau, de recherches auprès des humains (propriétaires) précédents, incluant l’animalerie ou l’éleveur, et, idéalement - quoique pas toujours possible - d’analyses sur le terrain: observation de l’oiseau dans son environnement (chez lui, dans sa maison, les interactions avec son groupe social (humain)), en plus de l’historique de l’oiseau, les méthodes précédemment utilisées et l’examen détaillé des échecs précédents. Tout cela permet de définir les objectifs ainsi que les obstacles principaux. Il est essentiel d'obtenir la plus totale coopération de l’humain pour bien noter le comportement-problème: variations, pertes de contrôle, compulsions, fréquence et durée des épisodes de crise, etc. De plus, il est important de prendre en compte les troubles psychopathologiques qui sont associés au comportement: troubles anxieux, phobies/panique, perturbations émotionnelles et affectives, etc. et les dérèglements tels: le picage, l’automutilation, les stéréotypies, etc. En ce qui concerne l’agression et l’hypervocalisation, ce sont plus souvent qu’autrement des réponses apprises, associées à des situations spécifiques et relève plus de la dysfonction de la communication (facilement rectifiable avec de la bonne volonté de la part de l’humain) que d’un réel problème de comportement. Il est entendu que les carences, les interruptions ou la discontinuité dans les soins parentaux chez les EAM (perroquet élevé à la main) durant la première année de vie de l’oiseau, contribuent plus que significativement au développement de réels problèmes de comportements - non seulement précoces, mais aussi tardifs. À ce point, l’intervenant dispose ici de différentes actions possibles qui seront à discuter avec le client, entre autres : Une approche cognitive - apprentissage permettant la modification ou la maîtrise du comportement. Elle a une finalité d’adaptabilité ; apprendre à l’oiseau à modifier un comportement. L’activité cognitive affecte le comportement et elle peut être modifiée. Une approche comportementale - série d’actions/réactions ayant pour but de faire réagir le perroquet face à un comportement de façon progressive. Il s’agit d’un stimulus (évènement) qui agit sur l’oiseau et qui entraîne une réponse qui, elle, entraîne une conséquence positive ou négative (renforcement). Il ne s’agit pas ici d’appliquer une suite de recettes prédéterminées, chaque cas étant différent, mais d'établir une stratégie individuelle pour chaque perroquet en fonction de son tempérament, de ses antécédents et de sa problématique propre. La suite de l’aventure dépend de la volonté des humains responsable à s’investir avec constance et cohérence et, règle générale, on risque fort d’obtenir rapidement des résultats très encourageants. Un perroquet irrécupérable… je n’en ai jamais rencontré! "Une fois résolu, un problème est d’une étonnante simplicité." Paulo Coelho Source : http://veterinaire-conseils.blogspot.com/2011/03/la-psychologie-chez-les-perroquets.html
  16. Nourriture pour Perroquets Les perroquets de différentes espèces peuvent être de tailles très différentes, mais ils ont néanmoins tous une chose en commun: les perroquets qui recevront une alimentation saine vivront plus longtemps et auront une meilleure qualité de vie. À l’heure actuelle, il n’y a pas eu de recherches scientifiques assez poussées qui auraient pu permettre de connaître précisément le régime alimentaire des perroquets à l’état sauvage. Les avis d’experts diffèrent en ce qui concerne le régime alimentaire parfait à fournir aux perroquets en captivité. Mais ils sont néanmoins d’accord pour dire qu’un régime composé exclusivement de graines n’est pas très sain pour la grande majorité des perroquets. Le fait que certains perroquets vivent bien avec une alimentation composée de graines est davantage une preuve de leur résistance que de l’équilibre d’un tel régime. Les graines manquent de nombreux nutriments, comme la vitamine A et le calcium. Elles contiennent également trop de graisses. Les graines ne devraient idéalement représenter que dix pour cent du régime alimentaire des perroquets. Les “mangeurs de graines” à l’état sauvage, comme les perruches ou les calopsittes, peuvent tolérer une alimentation composée à vingt-cinq pour cent de graines. Ara chloroptère mangeant une noix Les boules de graisse sont fabriquées à partir d’un certain nombre d’aliments: des graines, des céréales, des légumes, des fruits et également des vitamines et des minéraux. Elles fournissent une alimentation équilibrée et saine. Il peut cependant arriver que les perroquets se lassent de manger toujours la même chose. Ces oiseaux ont un grand besoin de stimulation. Les boules de graisse peuvent être la base et composer jusqu’entre 50 et 60 % du régime alimentaire des perroquets. Un Gris du Gabon affamé ! Les propriétaires de perroquets devraient également leur donner des fruits et des légumes frais. Il est possible de leur donner de gros morceaux qu’ils pourront tenir et dans lesquels ils pourront mordre. Pour stimuler un perroquet, il est possible de suspendre des morceaux de fruits sur les côtés de sa cage. Il est toujours préférable d’offrir à un perroquet une alimentation aussi variée que possible. Il sera ainsi habitué à manger de tout. Parmi les légumes que vous pouvez donner à votre perroquet, vous trouverez les carottes, les aubergines, les concombres, les patates douces, les haricots verts, le maïs, le chou-fleur, les poivrons, etc. Les perroquets adorent les fruits, et il est d’ailleurs bon de privilégier les fruits tropicaux qu’ils auraient pu rencontrer dans la nature. Vous pouvez leur donner des mangues, des kiwis, de l’ananas, des papayes ou des grenades. Les perroquets apprécient également les pêches, les cerises, les raisins, les pommes, les oranges ou les bananes. Lorsque l’on donne ce type de fruits à un perroquet, il faut faire attention à ce qu’il ne mange ni les noyaux ni les pépins, ils peuvent être toxiques. Certains autres aliments sont toxiques pour les perroquets, comme l’avocat, le guacamole, le chocolat ou le cacao, l’alcool, la caféine et les champignons. Il ne faut pas non plus donner aux perroquets des aliments qui contiennent de grandes quantités de sel, de sucre, de graisses, de conservateurs ou de colorants alimentaires. Les céréales, comme le riz brun cuit, l’avoine, l’orge, le blé et les pâtes, peuvent aussi constituer une bonne source de nutriments pour les perroquets. Certains propriétaires donnent également à leurs perroquets du pain complet ou des céréales complètes non sucrées. Le fait que les perroquets soient des oiseaux si sensibles doit amener leurs propriétaires à prêter une attention toute particulière à l’alimentation qu’ils leur proposent. La plupart des problèmes chez les perroquets proviennent d’une mauvaise nutrition. Les propriétaires responsables comprendront l’importance de l’alimentation chez les perroquets et mettront tout en œuvre pour subvenir à leurs besoins nutritionnels. Source : http://elevagedeperroquets.com/nourriture-pour-perroquets.html
  17. Les éleveurs de Perroquets Les éleveurs de perroquets jouent un rôle primordial dans la vie des oiseaux qu’ils produisent. Ils occupent à la fois le rôle de parent et celui de sergent instructeur. La façon dont un perroquet est élevé et manipulé lorsqu’il est enfant affectera directement sa personnalité une fois adulte. Lorsque vous chercherez un éleveur de perroquet, faites attention à en trouver un qui ait une bonne réputation. Les refuges et les animaleries peuvent être de bons endroits pour acheter des perroquets, mais, lorsque vous avez affaire à un éleveur, celui-ci pourra vous communiquer l’histoire d’un oiseau dans son intégralité, et vous pourrez ainsi comprendre comment il a été élevé. La bonne santé d’un perroquet dépend pour beaucoup des méthodes qu’aura employées son éleveur. L’alimentation des perroquets tient une part très importante dans les devoirs d’un éleveur. Différentes espèces de perroquets nécessiteront une alimentation différente. Les éleveurs ont la responsabilité de fournir à leurs perroquets une alimentation nutritive et sans danger. Ils sont également responsables du sevrage des bébés perroquets avant leur vente. Les jeunes perroquets doivent manger des produits frais, des nourritures molles et tièdes, des boules de graisses et des graines. Un autre aspect important de la vie d’un oiseau est sa capacité à voler. La plupart des propriétaires préfèrent que l’on coupe les ailes de leurs oiseaux. Ils n’aiment pas l’idée de voir leurs oiseaux voler n’importe où dans leurs maisons, à cause des dégâts dont ils pourraient être à l’origine. Mais les bébés perroquets ont besoin d’apprendre à voler avant qu’on ne leur coupe les ailes. Il en va de l’intérêt de votre oiseau de trouver un éleveur qui permette à ses bébés d’apprendre à voler. Il leur faut également apprendre à se poser et à manœuvrer en vol. Le niveau de socialisation et la santé émotionnelle d’un perroquet dépendent en grande partie des soins qu’il aura reçus dans son enfance de la part de son éleveur. Il est possible pour les acheteurs potentiels de demander aux éleveurs quelles sont les méthodes qui ont été employées quant à la socialisation des oiseaux qu’ils vendent. La plupart des éleveurs de perroquets sont des personnes affectueuses et responsables qui aiment l’espèce qu’ils élèvent, ainsi que le fait de faire partie de la vie d’un perroquet durant une période si cruciale de sa vie. Certains éleveurs, cependant, ne font ce métier que pour l’argent qu’il rapporte. En tant qu’acheteur, c’est à vous de déterminer avec qui vous pouvez faire affaire et de qui il vaudrait mieux vous méfier. Le transport et l’envoi d’oiseaux par certaines méthodes et par certaines entreprises est illégal. Il est également important pour un éleveur d’introduire la toilette chez ses oiseaux à un jeune âge. Le meilleur moment pour réaliser ceci est lorsque le bébé perroquet ne possède encore qu’un plumage partiel. Les acheteurs potentiels se doivent de poser ces questions aux éleveurs. Les éleveurs devraient, de leurs côtés, permettre aux acheteurs de voir leurs volières. Un contrat est essentiel lors d’une si importante transaction. Les bons éleveurs resteront à la disposition des acheteurs après la vente pour les guider et répondre à leurs questions. Certaines espèces de perroquets peuvent vivre entre 60 et 100 ans. Il s’agit d’un engagement énorme qui justifie tous les efforts que vous consacrerez au fait de trouver le bon éleveur. Certains éleveurs de perroquets connaissent davantage de choses sur les perroquets que la plupart des directeurs d’animalerie et ils les élèvent par pour ces oiseaux. Si vous choisissez d’acheter votre perroquet auprès d’un éleveur, vous augmenterez vos chances d’obtenir un perroquet équilibré et heureux, et surtout, un oiseau en bonne santé qui vous suivra toute votre vie. Source : http://elevagedeperroquets.com/eleveurs-de-perroquets.html
  18. l'apprentissage des Perroquets Les perroquets sont des oiseaux étonnamment intelligents. Des tests ont prouvé qu’ils avaient le même niveau d’intelligence qu’un petit enfant. Pour certains, un des grands intérêts du fait de posséder un perroquet est celui de lui enseigner des tours. Cependant, le fait d’apprendre des tours à un perroquet peut ne pas avoir pour unique but de divertir son propriétaire. Dresser un perroquet le rendra plus sage et plus sociable et pourra également résoudre certains problèmes de comportement. Lorsque l’on dresse un perroquet, il est important que les sessions d’entraînement restent de courte durée. Il ne faut pas que le perroquet se fatigue et qu’il garde un souvenir négatif de cette expérience. Il faut également que cette expérience soit positive pour le propriétaire qui ne devra pas s’y lancer avant que lui-même et son oiseau ne soient prêts. Le fait de pratiquer cet entraînement dans une pièce calme et libre de toutes distractions ne fera qu’en améliorer les résultats. Une autre astuce consiste à faire bien attention à ce que la pièce soit assez éclairée et que le perroquet s’y sente à l’aise. Les propriétaires ne devront absolument pas se sentir stressés lorsqu’ils commenceront le dressage d’un perroquet. Le fait de ne pas faire preuve de patience avec un perroquet affectera également son apprentissage. Un tour simple pour commencer à dresser un perroquet est celui de lui apprendre à "monter". Il s’agit d’un tour extrêmement utile que l’on pourra effectuer très souvent et tout au long de la vie de l’oiseau. Il s’agit tout simplement de demander au perroquet de monter sur l’objet situé devant lui. On peut réaliser ce tour en plaçant un doigt devant l’oiseau et en lui demandant d’une voix douce de "monter". On utilisera l’avant-bras pour les oiseaux plus lourds. On pourra proposer quelque chose à manger à l’oiseau pour l’encourager à avancer. Lorsqu’il sera monté, l’aliment sera donné en récompense. Un autre tour populaire que l’on peut apprendre aux perroquets est de "tourner". Alors que le perroquet se tient sur son perchoir, on lui propose quelque chose à manger. Lorsqu’il essaiera de l’attraper, il suffira alors de venir lentement placer la main dans son dos pour qu’il lui faille tourner la tête pour voir la récompense. Il faudra persuader certains oiseaux de se retourner complètement, alors que d’autres feront immédiatement demi-tour sur leur perchoir. Une fois que l’oiseau aura effectué ce demi-tour, l’aliment sera donné en récompense. Le fait d’apprendre à un perroquet à parler peut résoudre le problème d’un oiseau qui crierait trop fréquemment. Certains oiseaux le font parfois pour attirer l’attention. Le fait d’apprendre des mots à un perroquet permettra au propriétaire d’apprécier les vocalises de son oiseau. Il faudra commencer avec un mot simple ne contenant qu’une ou deux syllabes. La plupart des gens débutent par le mot "bonjour". Il faut lentement répéter le mot, jusqu’à ce que le perroquet émette un son en réponse. Une fois que le perroquet aura répondu, son maître lui donnera une récompense. Le premier son qui sortira de son bec ne sera peut-être pas le mot que son maître voulait lui apprendre. Mais, le but ici est d’amener l’oiseau à répondre à une voix humaine. Il faudra répéter cet exercice jusqu’à ce que le perroquet commence à imiter le mot recherché. Source : http://elevagedeperroquets.com/dressage-de-perroquets.html
  19. Mon perroquet est-il malade? ? Quand devez-vous vous inquiéter pour la santé de votre perroquet? Quels sont les signes alarmants qui doivent vous faire penser que votre perroquet est malade? Nous constatons souvent que beaucoup de propriétaires ne savent pas percevoir les signes avant-coureurs qui annoncent une maladie chez leur perroquet. C'est pourquoi nous reprenons les principaux signes inquiétants ci-dessous. Comportement. S'il devient de plus en plus apathique. S'il joue de moins en moins avec ses jouets. S'il ébouriffe continuellement ses plumes. S'il dort continuellement la tête reversée sur son dos, dans son aisselle. S'il semble être faible : en titubant sur son perchoir ou en dodelinant de la tête. Si cette faiblesse l'oblige à se servir de son bec comme troisième point d'appui. S'il présente une paralysie d'un membre. S'il relève continuellement une patte. S'il dépose ses ailes sur son perchoir pour maintenir son équilibre. S'il reste installé dans le fond de sa cage. Symptômes. S'il présente une perte d'appétit soudaine ou progressive. S'il vomit plusieurs fois. Si sa respiration semble difficile. S'il présente une perte de poids. Si son ventre parait fortement gonflé. S'il vient de faire une crise « épileptiforme ». S'il tousse, éternue ou respire bruyamment. S'il a des déjections liquides jaunâtres ou verdâtres. Si son plumage est terne. S'il arrête subitement de perdre du duvet, des pellicules ou de la poussière. S'il émet des bruits respiratoires. Si vous constatez que ses plumes rouges de queue montent et descendent quand il respire. Source : http://www.vetebrasseur.be/rubriques/rub14/440.html
  20. Généralités S'il n'est pas toujours aisé de classer un oiseau dans l'ordre qui lui correspond, il faut reconnaître que les perroquets sont suffisamment caractéristiques que pour être reconnus par la plupart des mortels. Un perroquet, quelle que soit son espèce, se caractérise avant tout par son bec fort, court, émoussé et arrondi, une véritable tenaille en matière cornée. La mandibule supérieure ou rhinothèque se recourbe et s'évase vers le bas pour venir couvrir la mandibule inférieure ou gnathothèque. Le bec d'un Ara m'a toujours fait penser aux mâchoires d'une mini pelleteuse que l'on voit travailler sur la voie publique. Il est redoutablement fort au point de casser les noyaux des fruits les plus durs dans la nature ou de briser les barreaux de sa cage ; il est d'une extraordinaire précision au point de pouvoir dénouer les noeuds d'un fils d'acier avec rapidité et enfin, il est, avec la complicité de sa langue, d'une remarquable subtilité pour manipuler les objets les plus divers. Les perroquets sont des zygodactyles, un nom barbare qui signifie que deux doigts de ses pattes sont dirigés vers l'avant et deux autres vers l'arrière. Ils fabriquent énormément de poussière quand ils sont en bonne santé et cette spécificité que l'on retrouve aussi chez les pigeons est à l'origine de bien des inquiétudes pour les propriétaires qui considèrent cela comme une maladie. Ils ont aussi une diversité de formes et de couleurs qui ne peut qu'attirer les regards et forcer l'admiration des amateurs et des éleveurs d'oiseaux. Cependant, à toute règle générale, il y a des exceptions et c'est ainsi qu'il existe à Madagascar un magnifique perroquet sans aucune couleur particulière et d'un brun-noir uniforme le Coracopsis vasa du genre Coracopsis et de la subfamille des Psittacinae (és) Il y en a aussi de toutes les tailles allant des tous petits perroquets de la subfamille des Micropsittinae (és), genre Micropsitta de moins de 10 cm de long au Ara hyacinthe de prêt d'un mètre de long et nanti d'une très longue queue. Le Ara hyacinthe ou Anodorhynchus hyacinthinus appartient à la subfamille des Psittacinae (és), genre Anodorhynchus. Les plumes de queue peuvent être très longues pour se terminer en pointe comme chez le Psittacula longicauda appartenant au genre Psittacula ou au contraire courtes et formant un carré comme chez le Graydidascalus brachyurus du genre Graydidascalus. Enfin, certains ont des queues fantaisistes comme le Charmosyna papou appartenant au genre Charmosyna. Les ailes peuvent être pointues et étroites comme chez le Lathamus discolor appartenant au genre Lathamus ou encore chez notre Nymphicus hollandicus (calopsitte) ou au contraire larges et arrondies comme celles des amazones (Amazona spp). Enfin, vous connaissez tous les cacatoès avec leur magnifique huppe sur la tête qui se dresse pour vous impressionner comme chez le Cacatua galerita appartenant au genre Cacatua. Vous n'êtes pas sans savoir que les oiseaux, tout comme tous les autres êtres vivants sur cette planète, sont classés, répertoriés pas des systématiciens qui essayent de regrouper les oiseaux en diverses catégories qui présentent des similitudes. Cette classification, déjà entreprise par Linné, est mouvante et donc sujette à modifications continuelles selon des critères considérés comme importants par tel ou tel systématicien. L'étude de l'ADN a encore modifié cette classification depuis quelques années mais cela n'est pas spécialement important pour ceux qui les aiment, les reproduisent en captivité comme oiseaux d'agrément ou les soignent. Plus nous les étudions et plus nous remarquons qu'ils sont différents. Ainsi, à simple titre d'exemple, la cavité orbitaire du Ara hyacinthe -Anodorhynchus hyacinthinus- est incomplète sur le plan osseux alors que cette même cavité est fermée chez le Ara ararauna. Un spécialiste des Aras pourra d'ailleurs vous identifier un de ces magnifiques oiseaux rien qu'en voyant le squelette de son crâne sur une table. Ces petits détails qui différencient les espèces sont évidemment très importants pour nous, vétérinaires, qui devons repairer tous les diverticules, tous les culs-de-sac et les infundibulums des sinus se trouvant dans la tête puisque ces sacs se contaminent et s'infectent rapidement et peuvent donc, par extension de proche en proche, contaminer tous les autres sacs aériens répartis dans tout l'organisme de l'oiseau. Nous devons donc connaître très précisément tous les repaires anatomiques afin de pouvoir les pénétrer avec une aiguille sans endommager les organes voisins et ainsi les nettoyer quand cela s'avère nécessaire. Encore un exemple très simple pour vous faire comprendre toutes ces petites différences anatomiques visibles entre oiseaux très proches dans la systématique. Regardez le bec de votre ara et comparez-le attentivement avec le bec du ara appartenant à une autre espèce détenu par votre ami. Vous constaterez que toutes les espèces ont un bec différent. Ainsi, le Ara chloroptera, le Ara ararauna et le Ara macao, trois aras bien représentés en Belgique et dont le volume corporel est plus ou moins identique ont chacun un bec différent. Pourquoi ? Parce que dans leur habitat naturel, l'alimentation de chacun d'entre eux est quelque peu différente et leur bec s'est donc, au fil du temps, parfaitement adapté à la préhension de graines particulières. L'avenir nous réserve encore de merveilleuses surprises car, depuis quelques années déjà, les perroquets sont de plus en plus étudiés comme d'ailleurs le sont tous les oiseaux appartenant à aux autres ordres aviaires. Chaque année donc des découvertes importantes sur le plan anatomique, physiologique ou comportemental nous permettent de mieux connaître ces merveilleux oiseaux et donc de mieux les soigner. Une heureuse conséquence de toutes ces avancées est évidemment la progression de la médecine aviaire. Ses moyens d'investigation deviennent, d'année en année, de plus en plus performants et, en retour, nos armes thérapeutiques et nos techniques chirurgicales ne cessent de se peaufiner. La conséquence ultime étant la possibilité de sauver aujourd'hui des oiseaux qui, hier encore, étaient irrémédiablement condamnés. A titre d'exemple, voici où se situe notre perroquet gris dans une nomenclature acceptée. Règne: Animalia : Animal Phylum: Chordata/Chordé. Subphylum : Vertebra/Vertébré. Classe : Aves. Ordre : des psittaciformes Famille : des psittacidae (és). Sous-famille : des psittacinae(és). Genre : Psittacus. Espèce : Psittacus erithacus. Sous-espèce : Psittacus erithacus erithacus. Source :http://www.vetebrasseur.be/rubriques/rub14/440.html
  21. Est-ce que les oiseaux voient les couleurs? Il est prouvé que les oiseaux peuvent voir les couleurs, pas en noir et blanc comme les autres animaux. Eux voient mieux que quiconque, même mieux que les humains. Une recherche démontre que les perroquets peuvent voir un certain spectre de rayon d'ultraviolet. Pourrait-il actuellement percevoir au-delà des couleurs que les humains peuvent voir ? Très jeunes les perroquets sont capable de définir les différences de couleurs de plumage entre les sexes. Toutefois, la perception des couleurs peut varier dune espèce d'oiseaux à une autre. Certains scientifiques croient que probablement les oiseaux nocturnes : comme les hiboux, peuvent avoir une vision limitée des couleurs. Par contre, ceux qui vivent de jour, comme le perroquet ont une excellente vision des couleurs. En ce qui concerne la préférence des couleurs. Souvent certains oiseaux préfère, une couleur d'une autre. Tout comme certaines personnes préfèrent certaines couleurs d'une autre. Georges Burkett, vétérinaire et propriétaire d'une oisellerie en Caroline du Nord, a vu un bon nombre d'oiseaux qui ont démontré clairement leur préférence particulière concernant les couleurs. « Quand on donne l'opportunité de choisir la couleur de ses jouets à notre gris d'Afrique. Il préfère choisir les jouets orange et les jouets jaunes. Si le jouet est multicolore, elle regarde pour voir si, elle voit sa couleur préférée avant de prendre ce jouet. » On a aussi observé des oiseaux qui refusent de manger dans de la vaisselle d'une certaine couleur, ou qui vont choisir de manger seulement des graines d'une certaine couleur, parmi leur nourriture. « Souvent, les perroquets développent une peur ou une aversion à propos de certaines couleurs. » Julie Burge, vétérinaire du Missouri. « Il y a des propriétaires qui me dissent que leurs oiseaux a peur de certaines couleurs de vêtements ou de serviettes et vont même par exemple, jusqu'à demander la journée où leur animal va aller à la clinique de ne pas porter de vêtements rouges. D'ailleurs, beaucoup de perroquets haïssent le rouge ! Il pourrait ne pas aimer le vernis à ongles rouge, les chandails rouges, les casquettes rouges, etc. » Les couleurs préférées vont aider à prédire le comportement de l'oiseau. Les perroquets qui ont appris à aimer les carottes vont probablement vite apprécier la nourriture de couleur orange. Mais, un oiseau qui a eu une traumatisante expérience avec une serviette bleue claire chez le vétérinaire, peut avoir une peur du bleu, pour un bon bout de temps. Cela veut dire que si votre couleur préférer est le mauve et vous avez beaucoup de linges mauves, c'est probablement pas une bonne idée d'envelopper votre perroquet dans une serviette mauve, quand vous lui couper les griffes. Du moins, si vous voulez rester amis avec votre perroquet quand vous allez porter votre chandail mauve ! Extrait traduit de la revue, Bird talk, août 2003.
  22. sylvain951

    mes loulous

    ils sont toujours aussi beau tes loulous
  23. sylvain951

    besoin de conseil

    je ne pense pas que le faite qu'elle ai été élever par les parents aille quelque chose a voir avec ca, mais bon je ne suis pas comportementaliste
  24. sylvain951

    besoin de conseil

    bonjour, je suis pas un pro ni un comportementaliste des perroquets mais spyrou me fait la meme chose depuis tout petit, je pense qu'il aime bien "tété" cette partie du corp car c une partie "tendre". je pense que c une marque d'affection envers nous et un moyen pour lui de se relaxer un peut comme un bébé qui tété sont pouce. maintenant je suis peut etre completement a l'ouest et c peut etre completement autre chose.
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