sylvain951

réve: jerry lee c celui avec le bec au niveau des narines blanc et le plus fin

derniere photos de pirate a la maison

et voila jerry lee est arrivé a la maison, voici les premieres photos

et moi je vais l'avoir a la maison presque 4 jours a partir de demain :x attention réve si je craque je le garde :twisted:

et voila derniere soirée avec pirate a la maison, demain depart vers sa nouvelle maison pour une belle aventure.

ils sont trop fort tes loulou

elle parle bien, quesque j'aimerais que sushi en face de meme

mais de rien

tu trouvera des info ici : /t350-apprendre-a-faire-parler-sa-perruche-ou-son-perroquet#912

Apprendre à faire PARLER sa perruche ou son perroquet Comprendre comment et pourquoi nos perruches et perroquets nous parlent La perruche et le perroquet font partie des rares espèces capable de faire preuve de "parole", c'est-à-dire de vocalisation adaptable au dialecte local, y compris à celui des humains. De plus, perruches et perroquets ne font pas que répéter, ou ce qui ressemble à des vocalisations répétées proches des mots humains, elles se réapproprient nos propres mots, pour les réutiliser afin de nous faire comprendre un message ou une émotion. Nos perruches et perroquets ne vont pas utiliser ce qu'elles vont apprendre pour "discuter, dialoguer, faire du cancan", elles l'utiliseront pour un but précis, nous faire passer un message ou nous communiquer un état émotif. Nos perruches vont adopter un langage (paroles, dialecte, cris, mouvements de corps) propre à leur groupe et aux membres qui le compose, langage influencé par celui-ci ainsi que par son environnement. C'est ainsi que l'on constate que les gris du Gabon de Cote d'Ivoire n'auront pas exactement le même dialecte que les Gris du Gabon de Ghana, ou de Togo, et pourtant, ce sont les mêmes espèces. Les perruches, perroquets et en général, les oiseaux, contrairement aux mammifères, ne possèdent pas de cordes vocales. Ils sont pourvus d'un organe de phonation spécialisé, situé à la base de la trachée, le syrinx. Celui-ci comporte deux cavités, que nos perruches utilisent simultanément pour produire des sons d'une extrême complexité, des cris, et donc des "mots". Comprendre de langage, et les mots de nos perruches et perroquets Nos perruches ont donc la faculté de répéter des mots, intonations et même des phrases complètes (mais simples). Seulement il faut comprendre leur façon de parler. Quand votre perruche vous dis "donne moi un bec", il n'y a ni mots, ni syllabes, mais seulement un amas d'intonations précises : "donne-moi-un-bec". Et ce bloc, cette intonations précise est sensé apporter un message précis avec une émotion précise. C'est-à-dire que cela dépend de vous et de votre perruche, du dialecte et des échanges mis en place. Si tous les matins, au lieu de dire "bonjour", vous dites "donne moi un bec" alors votre perruche vous dira surement le matin "donne-moi-un-bec" non pas pour vous réclamer un bisou mais pour vous dire bonjour. Si vous dites Bonjour le matin, la réponse sera de même et surtout elle sera comprise immédiatement par vous. D'où l'intérêt d'utiliser les bons mots au bon moment, et de retenir leur utilisation. je m'explique. Si, quand vous donnez une gourmandise à votre perruche vous lui dites "tu veux du millet", et que vous lui en donnez systématiquement, avec cette phrase, votre perruche pourra vous dire spontanément dans la journée "tu-veux-du-millet". La, c'est à vous de bien comprendre le message que VOUS lui avez inculquez. Ne faites pas l'erreur de parler humain en répondant "non merci". Répondez en perruche en lui apportant sa gourmandise, qu'il attend, en vous demandant cela. Sinon, cela le frustrera et il pourra perdre confiance, et donc, l'envie de dialoguer en dialecte "humain" avec vous. S'il n'est pas compris, cela pourra le frustrer et il se renfermera sur ses instincts, comportements qui eux sont sûr d'être compris (crier pour avoir à manger par exemple). Il est donc essentiel d'assimiler chaque phrase à un message et/ou une émotion. Quand vous êtes énervé et que vous dites à heure voix "ZUT", votre perruche assimilera bien cette expression, et quand elle sera énervée contre un jouet ou vous-même, vous l'observerez vous dire "ZUT". Instaurez les mots ou phrases simples pour chaque action/émotion. Améliorer les échanges et la parole de sa perruche (si elle parle déjà d'elle même) L'apprentissage de ma perruche à la parole Vous avez déjà pu constater la faculté de votre perruche à imiter des mots, des phrases, etc. Nous allons voir ensemble comment développer cet aspect, comment l'aider à employer plus de mots pour se faire comprendre, et ainsi interagir et se rapprocher de vous. Pour commencer, c'est en enrichissant l'environnement de votre perruche que vous allez favoriser son aptitude à la parole. Il faut que vous apportez à votre perruche beaucoup d'interactions et de stimulations, sociales et intellectuelles. Une perruche qui développe ses facultés sociales et intellectuelles sera plus facilement influencé à opter pour un dialecte humain, efficace et récompensant. Les récompenses, face à des tentatives d'élocutions et des réussites de prise de paroles sont des moments privilégiés et satisfaisants qui incitent la perruche à recommencer. il est donc essentiel de veiller aux effort de votre compagnon, même s'ils ne sont pas toujours réussis, il faut tout de même les inciter en les récompensant, par des gourmandises et des compliments. L'apprentissage est un processus long et fastidieux. Les conseils ci-dessous peuvent également être suivis. Il faut que vous instaurez des phrases ou mots précis pour des actions précises, afin que les paroles soient clairement compris de l'un et de l'autre, pour améliorer les échanges et renforcer la confiance. un message incompris de l'humain qui n'apporte pas à la perruche ce qu'elle attendait va la frustrer. La faute est à l'humain qui n'a pas su inculquer correctement la parole. D'où l'importance des termes employés, aux actions assimilées. Une fois tout cela bien compris et mis en place, après c'est que du bonheur avec votre compagnon de vie. Ma perruche ne parle pas mais je veux qu'elle apprenne à le faire, comment ? Votre perruche, votre perroquet ne parle pas? Que vous ayez choisi une espèce particulièrement apte à la parole ou non, qu'elle soit en âge de parler (dès sa période juvénile) ou pas, et que tous ces copains le font mais pas elle ou non, jamais vous ne pourrez la forcer à opter pour le dialecte humain. En résumé, jamais vous ne pourrez forcer, inciter ou apporter la parole chez votre perruche ou votre perroquet. C'est un mécanisme et un comportement inhérent à votre perruche. Elle optera pour la parole et donc le dialecte humain grâce à plusieurs facteurs comportementaux et environnementaux (ainsi que physiologiques) que vous ne pouvez contrôler. Vous pouvez seulement améliorer plusieurs facteurs, pour l'aider et favoriser votre perruche dans ce sens. Mais n'adoptez jamais une perruche sur le seul critère que vous souhaitez avoir cette envie égoïste qu'il parle. Vous risquerez d'être déçu, à moins de choisir l'individu quand il parle déjà. mais également vous serez déçu, parce que si vous ne lui apportez pas ce qu'il faut et ne faites pas ce qu'il faut, soit il arrêtera rapidement, soit il deviendra invivable et "caractériel" (par votre unique faute de manque d'éducation correcte). Je vais vous citer plusieurs idées de facteurs influençant à la parole, qu'il faut ajouter ensemble et améliorer pour parvenir un un minimum de résultat positif, non garantie. L'espèce choisie : Les gris du Gabon, les perruches à collier, les amazones à front bleu ou nuque jaune, l'Eclectus ou encore la perruche ondulée, sont des espèces plus facilement aptes à la parole que d'autres, tout particulièrement populaire pour leur bonne élocution et imitations. C'est d'ailleurs le triste sort de beaucoup de ces individus, adoptés pour leur parole, et abandonné peu de temps après par manque de soins et de connaissances sur leur sujet. Prendre le temps de l'apprentissage : apprendre un nouveau dialecte pour de nouveaux échanges est difficile et fastidieux, il faut donc faire preuve de patience, d' et récompenser chaque effort (se référer à "l'apprentissage de la parole", ci-dessus). Il n'y a pas de secret ou de méthode miracle, il faut pour commencer que vous ayez le privilège d'être en bon terme avec votre perruche, voir même d'être son humain, cela facilitera bien ses envies d'élocution humaine, si c'est pour être avec son partenaire de vie. Récompenser de manière intelligente et efficace : Comme expliquer ci-dessus, il faut prendre le temps de récompenser chaque effort, chaque tentative de parole, et de récompenser efficacement votre perruche, par des compliments, et des friandises choisies spécialement pour l'occasion, qui sont particulièrement appréciées. Beaucoup de stimulations, de contacts et de paroles : Plus vous sevrez prêts effectivement de votre perruche, plus vous aurez créée un lien, plus elle sera stimulé de jeux sociaux et intellectuels, plus vous lui parlerez humains, en assimilant des phrases précises et simples à des actions qui récompensent et des émotions, plus vous l'inciterez à faire de même, c'est-à-dire vous parler, vous obtenir quelque chose. Ne passez pas à coté de ses premières tentatives !! Soyez à l'écoutez, patient, et passionné. Et veillez aux mots que vous employez, qu'ils soient simples, et chaque mot ou phrase a son message. Revoir tout l'environnement, l'alimentation et le bien être : L'environnement et le bien être de votre perruche est essentielle pour l'inciter à parler. Lisez cet article qui résume ses besoins et ajoutés aux autres conseils, peut-être vous obtiendrez de meilleurs résultats : http://www.perruches.org/t430-en-resume-ce-dont-a-besoin-votre-perruche-environnement-et-alimentation Malgré tous ces conseils, ma perruche ne parle pas Si malgré toutes vos tentatives pour que votre perruche ou votre perroquet parle, ce dernier ne parle toujours pas, vous devrez vous contenter de sa personne et de ces autres capacités intellectuelles. Parce que vous ne pourrez rien faire de plus. le forcer pourrait être plus frustrant qu'autre chose, pour chacun de vous, et envenimer une situation qui deviendrez vite invivable. les perruches ont de multitudes de ressources, ce sont des êtres aimants et intelligents. Ne les laissez pas devenir ce stéréotype que "Coco doit parler ou il sera enchainé". Aprenez à redécouvrir votre perruche ou votre perroquet d'une autre façon tout aussi intéressante. Bonne continuation avec votre compagnon de vie . 2012 - MARINE SCIE N° SIRET : 53820304300012 Tel: 09.82.39.79.31 Mail : perruche.perroquet@hotmail.fr Source : http://perroquets.jimdo.com/la-perruche-ondul%C3%A9e/apprendre-%C3%A0-faire-parler-sa-perruche/

oui les perruches peuvents parler, je te fait un post a se sujet de suite.

perroquet 2011-09-10 par Argold1978 et si je vous dit que sergeil et EPP !!! elle est pas trop forte ma melnou?

LISTE DES PSITTACIFORMES DU MONDE Amazones : psittacidés de taille moyenne à petite largement répandus dans les zones forestières du nord de l’Amérique du Sud, d’Amérique Centrale et de certaines îles des Caraïbes amazone à couronne lilas amazone à épaulettes jaunes amazone à face jaune amazone à front blanc amazone à joues bleues amazone à front bleu amazone amazone à joues vertes amazone à nuque d’or amazone à sourcils rouges amazone à tête jaune amazone aourou amazone d’Hispaniola amazone de Bouquet amazone de Cuba amazone de Dufresne amazone de Kawall amazone de Porto Rico amazone de Prêtre amazone de Saint-Vincent amazone de Sainte-Lucie amazone de Tucuman amazone diadème amazone du Yucatan amazone impériale amazone mercenaire amazone poudrée amazone sasabé amazone tavoua amazone verte amazone vineuse Aras : psittacidés de grande taille, parmi lesquels on trouve quelques-unes des plus grandes espèces de la famille largement répandus dans les régions forestières du nord de l’Amérique du Sud et d’Amérique Centrale ara à collier jaune ara bleu ara canindé ara chloroptère ara d’Hispaniola ara d’Illiger ara de Buffon ara de Coulon ara de Cuba ara de Lafresnaye ara de Lear ara de Spix ara glauque ara hyacinthe ara macavouanne ara militaire ara noble ara rouge ara vert Cacatoès : psittacidés généralement de grande taille largement répandus dans la région tropicale australienne (Australie, Nouvelle-Guinée, îles du Pacifique, etc.) cacatoès à huppe jaune cacatoès à huppe rouge cacatoès à rectrices blanches cacatoès à tête rouge cacatoès aux yeux bleus cacatoès de Banks cacatoès blanc cacatoès corella cacatoès de Baudin cacatoès de Ducorps cacatoès de Goffin cacatoès de Latham cacatoès de Leadbeater cacatoès des Philippines cacatoès funèbre cacatoès laboureur cacatoès nasique cacatoès noir cacatoès rosalbin cacatoès soufré Caïques : psittacidés de taille moyenne à petite, répandus dans les régions forestières et ouvertes du nord de l’Amérique du Sud caïque à ailes noires caïque à capuchon caïque à face rouge caïque à joues roses caïque à queue courte caïque à tête noire caïque à ventre blanc caïque de Barraband caïque de Bonaparte caïque de Fuertes caïque de Salvin caïque maïpourri caïque mitré caïque Calopsitte : psittacidé de petite taille, assez semblable aux perruches répandue dans la région australienne calopsitte élégante Nymphicus hollandicus Conures : psittacidés de petite taille largement répandus sur le continent américain, depuis le Mexique jusqu’en Patagonie, ainsi que sur les îles des Caraïbes conure à cape noire conure à col blanc conure à front brun conure à front rouge conure à gorge rouge conure à gros bec conure à joues d’or conure à long bec conure à oreillons conure à pinceaux d’or conure à poitrine brune conure à tête bleue conure à tête d’or conure à tête rouge conure à ventre rouge conure aile-de-feu conure aztèque conure couronnée conure cuivrée conure d’Orcès conure de Berlepsch conure de Californie conure de Cuba conure de Deville conure de Finsch conure de Hoffmann conure de Molina conure de Patagonie conure de Ridgway conure de Socorro conure de Souancé conure de Vieillot conure de Wagler conure de Weddell conure des cactus conure des Santa Marta conure dorée conure emma conure jandaya conure magellanique conure maîtresse conure mitrée conure nanday conure pavouane conure perlée conure soleil conure tête-de-feu conure tiriba conure versicolore conure verte conure veuve Coryllis : psittacidés de taille moyenne largement répandus en Asie tropicale coryllis à front orange coryllis à gorge jaune coryllis à tête bleue coryllis de Ceylan coryllis de Wallace coryllis des Bismarck coryllis des Célèbes coryllis des Moluques coryllis des Philipppines coryllis des Sangi coryllis vernal coryllis vert crick à ventre bleu Eclectus : une seule espèce, apparentée aux amazones psittacidé de taille moyenne originaire des îles du nord de l’Australie grand éclectus Eclectus roratus Inséparables : Psittacidés de petite taille largement répandus sur une grande partie de l’Afrique au sud du Sahara, ainsi qu’à Madagascar inséparable à collier noir inséparable à joues noires inséparable à tête grise inséparable à tête rouge inséparable d’Abyssinie inséparable de Fischer inséparable de Lilian inséparable masqué inséparable rosegorge Loris : psittacidés de taille généralement moyenne largement répandus en Asie du Sud-est et dans la région tropicale australienne lori à bandeau rouge lori à collier jaune lori à couronne pourpre lori à diadème lori à front rouge lori à gorge rouge lori à joues bleues lori à masque rouge lori à menton rouge lori à nuque blanche lori à ventre violet lori arlequin lori bridé lori cardinal lori coquet lori de Buru lori de Duyvenbode lori de Joséphine lori de Kuhl lori de Margaret lori de Meek lori de Musschenbroek lori de Stephen lori de Wilhelmina lori des dames lori des Fidji lori des palmiers lori écaillé lori écarlate lori émeraude lori féerique lori flamméché lori fringillaire lori masqué lori noir lori noira lori nonnette lori papou lori réticulé lori sombre lori strié lori tricolore lori ultramarin Loriquets : psittacidés étroitement apparentés aux loris, mais de taille plus petite (la distinction entre les deux groupes reste vague et floue…) loriquet à col rouge loriquet à tête bleue loriquet de Goldie loriquet de Johnstone loriquet de Ponapé loriquet eutèle loriquet iris loriquet jaune et vert loriquet orné loriquet versicolore loriquet vert mascarin de la Réunion Micropsittes : psittacidés de petite taille répandus dans la région australienne micropsitte à tête fauve micropsitte de Bruijn micropsitte de Finsch micropsitte de Geelvink micropsitte de Meek micropsitte pygmée Nestors : psittacidés très particuliers, de taille moyenne à grande, endémiques à la Nouvelle-Zélande nestor de Norfolk nestor kéa nestor superbe (kaka) Palettes : psittacidés de taille moyenne à petite répandus en Asie du sud-est palette à couronne bleue palette à manteau d’or palette de Buru palette de Cassin palette de Mindanao palette de Palawan palette des Sulu palette momot palette verte Papegeai : une seule espèce psittacidé d’assez grande taille habitant les régions forestières d’Amérique du Sud papegeai maillé Perroquets : sous le terme général de «perroquet», le français désigne toute une série de psittacidés généralement forestiers, de taille moyenne à grande, appartenant à plusieurs genres scientifiques et répandus dans les régions tropicales perroquet à calotte rouge perroquet à face jaune perroquet à tête brune perroquet à ventre rouge perroquet de Meyer perroquet de Rüppell perroquet des niam-niam perroquet jaco ou du Gabon perroquet noir perroquet robuste perroquet vaza perroquet youyou ou du Sénégal Perruches : sous le terme général de «perruche», le français désigne une importante série d’espèces (plus de 70 au total) de psittacidés de petite (ou parfois moyenne) taille appartenant à des genres scientifiques différents et largement distribués dans plusieurs régions tropicales du monde perruche à ailes d’or perruche à ailes vertes perruche à bec de sang perruche à bonnet bleu perruche à capuchon noir perruche à col bleu perruche à collier perruche à collier jaune perruche à croupion bleu perruche à croupion rouge perruche à longs brins perruche à moustaches perruche à oreilles jaunes perruche à tête d’or perruche à tête pâle perruche à tête pourpre perruche à tête prune perruche à tête rose perruche à ventre jaune perruche à ventre orange perruche alexandre perruche cornue perruche d’Alexandra perruche de Barnard perruche de Barraband perruche de Bourke perruche de Brehm perruche de Buru perruche de Derby perruche de Finsch perruche de Geoffroy perruche de l’Himalaya perruche de Latham perruche de Layard perruche de Luçon perruche de Madarasz perruche de Malabar perruche de Maurice perruche de Müller perruche de Newton perruche de Norfolk perruche de paradis perruche de Pennant perruche de Raiatea perruche de Sparrman perruche de Tahiti perruche des antipodes perruche des Nicobar perruche des rochers perruche des Seychelles perruche écarlate perruche élégante perruche flavéole perruche gracieuse perruche hétéroclite perruche intermédiaire perruche jonquille perruche lunulée perruche masquée perruche mélanure perruche modeste perruche multicolore perruche nocturne perruche omnicolore perruche ondulée perruche peinte perruche pompadour perruche royale perruche splendide perruche terrestre perruche tricolore perruche turquoisine Piones : psittacidés de taille moyenne principalement répandus en Amérique Centrale pione à bec rouge pione à couronne blanche pione à tête bleue pione de Maximilien pione givrée pione noire pione pailletée pione violette Psittacules : les plus petits des psittacidés, répandus sur une énorme zone géographique depuis l’Asie du sud-est jusqu’à certains archipels du Pacifique psittacule à poitrine orange psittacule d’Edwards psittacule de Desmarest psittacule de Salvatori psittacule double-œil Strigops : une seule espèce psittacidé d’assez grande taille, endémique à la Nouvelle-Zélande strigops kakapo Touis : psittacidés de très petite taille (parfois connus sous le nom de «perruches-moineaux») répandus dans les régions forestières d’Amérique du Sud toui à ailes jaunes toui à ailes variées toui à bandeau jaune toui à dos noir toui à front bleu toui à front d’or toui à front roux toui à lunettes toui à menton d’or toui à queue d’ortoui à queue pourprée toui à sept couleurs toui à tête jaune toui aymara toui catherine toui céleste toui d’Orbigny toui de D’Achille toui de Deville toui de Huet toui de Sclater toui de Spix toui des tépuis toui du Costa Rica toui du Mexique toui été toui flamboyant toui para toui tacheté toui tirica

LES OISEAUX PARLEURS : UNE «ELITE» DANS LE VASTE MONDE DES OISEAUX Le vaste monde des oiseaux Les scientifiques ont identifié plus de 10.000 espèces d’oiseaux dans le monde, elles-mêmes subdivisées en plusieurs dizaines de milliers de sous-espèces ou races géographiques. Les oiseaux fréquentent pour ainsi dire toutes les régions de la Terre et tous les habitats naturels ou aménagés par l’homme, depuis les régions polaires jusqu’aux régions équatoriales. On trouve des oiseaux en forêt, en savane, dans les steppes et les déserts, en montage, sur la banquise, dans les zones humides, les mers et les océans et sur les îles océaniques isolées, dans les campagnes et même au cœur des plus grandes métropoles humaines. Ce succès, la gent ailée le doit principalement aux remarquables facultés d’adaptation de nombreux oiseaux et à leur extraordinaire capacité de se déplacer dans les airs, se jouant ainsi des obstacles terrestres pour parcourir des distances parfois impressionnantes (la sterne arctique migre d’un bout à l’autre de la Terre -de l’Arctique vers l’Antarctique et vice-versa- chaque année !). Les manchots empereurs de l’Antarctique élèvent leur unique poussin en plein milieu du terrible hiver austral ; des oies des neiges asiatiques traversant en vol la chaîne de l’Himalaya ont été observées à près de 8.000 m d’altitude ; des pétrels, des albatros et d’autres oiseaux marins se rencontrent parfois en plein océan à des milliers de kilomètres des côtes les plus proches ; des gangas nichent en plein milieu du désert et peuvent parcourir en vol jusqu’à 100 kilomètres chaque jour vers un point d’eau pour s’abreuver… La répartition des oiseaux sur notre planète est cependant fort inégale, les régions chaudes abritant un nombre d’espèces nettement supérieur à celui des régions tempérées et froides : l’avifaune du Kenya compte à elle seule plus d’espèces que l’avifaune de l’Europe toute entière ! Qu’est-ce qu’un oiseau parleur? Dans le vaste monde des oiseaux, combien peuvent être réellement qualifiés de «parleurs»? Il est difficile de donner une réponse précise à cette question, le nombre exact d’espèces d’oiseaux parleurs n’ayant jamais été défini clairement. Il faut d’abord s’entendre sur le concept même d’«oiseau parleur» : la grosse majorité des oiseaux peut pousser un ou plusieurs cris différents, de très nombreuses espèces ont un chant plus ou moins élaboré. Le chant de certains oiseaux présente des «dialectes» locaux ou régionaux tellement définis que les spécialistes expérimentés parviennent à connaître l’origine exacte d’un individu d’une même espèce rien qu’en l’entendant chanter ! Un certain nombre d’espèces est capable d’imiter les cris ou les chants d’autres oiseaux, parfois des bruits qui sont communs dans leur environnement immédiat, mais leurs capacités à «parler» se limitent là : c’est le cas de diverses espèces de la famille des mésanges, du merle noir de nos jardins (connu pour imiter des bruits urbains artificiels comme une sirène d’ambulance), etc. Combien d’oiseaux parleurs? Le nombre d’espèces d’oiseaux pouvant répéter des sons du langage humain (simples mots ou phrases entières) est nettement moins élevé. Deux groupes d’oiseaux se spécialisent vraiment dans cette performance : il s’agit de certains psittacidés et de certains mainates, ensemble quelques dizaines d’espèces tout au plus. D’autres espèces ont apparemment le potentiel d’en faire de même, mais de manière nettement moins fréquente et en tout cas moins «professionnelle» : c’est le cas de nombreux corvidés de nos régions (comme les corneilles, les corbeaux, les pies et les geais). Dans leur cas, les aptitudes particulières à «parler humain» sont plus le fait d’individus isolés particulièrement doués que d’une constante chez la majorité des oiseaux de l’espèce. Imiter ou parler? Les spécialistes qui ont étudié les oiseaux imitant le langage des hommes sont arrivés à la conclusion qu’en général, ces oiseaux ne comprennent en fait pas ce qu’ils disent, se contentant d’utiliser leurs capacités vocales pour reproduire des sons (des sons humains dans le cas d’individus vivant en compagnie proche d’humains) : souvent, ils imitent aussi d’autres bruits familiers (comme des bruits de la maison tels que la sonnerie du téléphone, etc.). Seules quelques rares espèces semblent capables d’associer tel son humain (mot ou phrase) avec telle situation, tel autre avec un sentiment qu’ils éprouvent (désir d’être choyé, envie d’une friandise), tel autre encore avec une commande ou un souhait de leur maître. Il est certain que les facultés cérébrales des oiseaux jouent un rôle prépondérant dans leur capacité à associer des sons humains particuliers avec des situations précises, mais les scientifiques ignorent encore pourquoi seule une «élite» des oiseaux y arrive et ce qui fait que certaines espèces d’un même ordre, genre ou famille (chez les psittacidés surtout) se montrent nettement plus performantes que d’autres… Source : http://www.oiseauxparleurs.org/site.php?page=especes&sub=1&lang=fr

Comment un perroquet parle t-il ? Les perroquets sont capables d’imiter notre voix mais ont également prouvé qu’ils comprenaient le sens des mots appris. Un perroquet peut mémoriser et reproduire jusqu’à 300 mots. Il sait les associer aux objets pour exprimer une demande ou un refus. Par exemple, un perroquet gris disait toujours quand son maître quittait la pièce : »Dieu vous garde ! ». Mais, quand le maître sortait accompagné de quelqu’un « Dieu vous garde tous ! ». Il y a plusieurs années, alors que j’étais dans un restaurant, un perroquet gris était installé dans la salle à manger. Les toilettes donnaient dans la même salle. Chaque fois qu’un client allait aux toilettes et ne refermait pas la porte, on entendait : »Fermes ta porte, hé con ! ». Mais, il ne le disait jamais à ceux qui fermaient la porte ce que j’ai fait bien évidemment. A poids égal, le cerveau d’un ara est huit fois plus lourd que celui d’une poule. Les perroquets n’ont pas de cordes vocales. C’est grâce à leur syrinx qu’ils peuvent émettre des sons si parfaits. Caisse de résonance située à l’embranchement des bronches, cet organe est présent chez tous les oiseaux. Mais, les modulations produites sur l’air y transitent de manière différente selon la conformation osseuse, musculaire et membraneuse du syrinx. Les sons diffèrent également en fonction de la taille du larynx et de la langue. Dans le cadre d’études sur les capacités d’apprentissage des perroquets, des oiseaux ont été dressés à effectuer des soustractions. Les résultats ont prouvé que les performances du perroquet peuvent se comparer à celles d’un enfant de 4 à 6 ans. L’usage de la parole n’est jamais utilisé dans leur environnement naturel. Les Psittacidae partagent cette faculté avec les Passériformes (pies, corbeaux) et les sturnidés, notamment le mainate. En réalité, seule une vingtaine d’oiseaux manifestent une réelle propension au langage humain. source: http://www.dinosoria.com/perroquet.htm

Les 10 commandements de votre perroquet 1- Renseignez vous sur les perroquets avant de m'adopter. Un perroquet n'est pas un oiseau de compagnie domestiqué comme un chat ou un chien peuvent l'être. Son instinct de la jungle est encore bien présent en lui. Les besoins du perroquet peuvent être difficiles à combler pour certains, c'est pourquoi il faut adopter un perroquet en connaissance de cause, pour pouvoir veiller à son bien-être. 2-Donnez moi une grande maison où m'épanouir. Un perroquet a besoin d'exercice, et ce faisant, d'une cage assez grande pour pouvoir déployer ses ailes et voler. Offrez lui un cage assez grande pour répondre à ce besoin, et ajoutez y des jouets et morceaux de bois à mâcher. Faites de sa cage une petite jungle, pour son plus grand plaisir! 3- Donnez moi un menu équilibré. Un perroquet a besoin d'une variété de nourriture nutritive et fraîche, et ce, même si c'est plus long à préparer que de juste mettre de la moulée! Prenez le temps d'apprendre mes besoins nutritionnels et mes goûts. 4- Permettez moi d'avoir une vie sociale. Le perroquet est un animal vivant naturellement en troupe. Pour bien vivre avec sa famille d'humain, il doit avoir beaucoup de socialisation pour apprendre à se comporter correctement. Il doit donc avoir du temps de qualité avec sa famille tous les jours pour socialiser et avoir confiance en vous, et ce, indépendamment de la vie quotidienne chargée du métro-boulot-dodo. 5- Laissez moi me tenir propre. Le perroquet a besoin de douches fréquentes pour garder un beau plumage en santé. Offrez lui l'occasion de faire sa toilette dans un bol d'eau différent que celui où il s'abreuve, car ce dernier peut se salir pendant la toilette. Un perroquet peut être malade s'il boit une eau non fraîche. Prenez l'occasion pour faire de la toilette une activité avec votre perroquet, en l'amenant au lavabo par exemple. Une toilette 2 à 3 fois par semaine suffit à garder un beau plumage. Il se peut tout de même que votre perroquet ressente le besoin de faire sa toilette plus souvent. 6- Permettez moi d'avoir mon propre docteur. Un perroquet a souvent tendance à cacher qu'il est malade. Pourquoi? Il a encore la jungle d'encré dans ses gênes, et selon la oi de la jungle, les faibles ne survivent pas aux prédateurs... Ainsi, votre perroquet aura tendance à vous cacher s'il ne se sent pas bien, et quand vous le découvrirez, il sera trop souvent trop tard. Soyez attentif à mes changements de comportements, et n'hésitez pas à consulter un vétérinaire aviaire qualifié en cas de doute. 7- Ne me punissez pas. Le perroquet ne comprend pas toutes les particularités de la vie avec des humains. Si le perroquet crie, ne lui criez pas après, ou ne le frappez pas physiquement, car il pourrait ne plus avoir confiance en vous par la suite. Les mains humaines sont un concept souvent effrayant pour le perroquet, et de toute façon, les perroquets apprennent davantage par les récompenses que par les punitions. Patience, et encouragement sont de meilleurs atouts pour l'apprentissage des perroquets. Le renforcement positif est la clé! 8- Parlez mon langage. Un perroquet peut avoir différents comportements qui ont le don de nous exaspérer, comme cogner sur le bol d'eau, jeter de la nourriture par terre, crier, s'arracher les plumes, etc. Par contre, il faut savoir qu'il ne fait pas ces comportements pour vous embêter, mais pour communiquer avec vous. Apprenez le langage corporel du perroquet. Après tout, nous leur devons bien, car n'est ce pas la seule espèce qui apprend notre langage? 9- Voyez moi comme un individu à part entière. Le perroquet est un individu à part entière, avec sa propre personnalité. Ne vous attendez pas à ce qu'il apprennent tous les trucs et mots que le perroquet de votre voisine fait. Chacun a son mode d'apprentissage différent, et ses propres limites. Laissez lui la chance de vous montrer sa propre personnalité. 10- Partagez votre avec moi. Votre perroquet a besoin de ressentir votre respect et votre . Il s'attachera beaucoup à vous, et s'attend à ce que vous fassiez de même avec lui. Ceci est important pour qu'il puisse bâtir une relation de confiance avec vous. Comme les perroquets ont l'habitude d'être monogame, ne partez pas pour de longues périodes sans votre oiseau, il pourrait développer de l'anxiété. L'arrivée d'un enfant, le changement de travail, ne sont que quelques unes des raisons qui pourraient vous pousser à prendre moins soin de votre perroquet. Même si pour vous ça semble être une bonne raison, il ne le verra pas ainsi. C'est pourquoi il faut y penser avant d'adopter un perroquet. Il s'agit d'un engagement à long terme, pour vous deux.

Mon perroquet mord, que faire? Plusieurs causes peuvent expliquer que le perroquet morde. Certaines d’entre elles sont plus faciles à résoudre, mais il est possible de toutes les résoudre, ou du moins, les prévenir. Le bec est utilisé par le perroquet pour explorer son environnement, pour saisir et tenir des objets, pour grimper, etc. Le bec est très puissant, pensez-y, il peut ouvrir des noix sans difficulté! Les jeunes oiseaux passent par une période où ils explorent leur environnement et sont en plein apprentissage. Au cours de ce stade, ils apprennent également à utiliser leur bec et ne réalisent pas toujours la force qu’ils possèdent. Il est important d’enseigner pendant cette période à votre perroquet de ne pas mordre. Pendant cette période, ne le laissez pas grignotter vos doigts, oreilles, ou autre parties du corps. Les jeunes oiseaux nourris à la main ont souvent encore un réflexe de penser que les doigts sont des aliments. Ils sont assez jeunes, et donc doux quand ils mordilleront vos doigts, mais les laisser faire est une erreur, car en grandissant, ils seront moins doux! Il faut être constant durant cette période, et toujours interdire de grignotter, et ce, peu importe qui. Donnez leur une alternative quand ils tentent de vous mordiller. Un morceau de carotte, un bloc de bois, un morceau de cuir, etc peuvent leur être offert. Oiseau malade Un oiseau malade peut vous mordre pour vous faire savoir que quelque chose cloche avec sa santé (douleur, infection bactérienne, etc.) Dans ce cas, une consultation chez le vétérinaire peut vous éclairer. Oiseau en mue ou période hormonale Un oiseau peut avoir tendance à mordre pendant une période de mue difficile. Le système immunitaire du perroquet est en baisse durant cette période, et il ne se sent pas à son meilleur. La situation peut durer quelques semaines. Les changements hormonals peuvent amener le perroquet à mordre. Réduire les graisses de son alimentation peut aider à minimiser cet impact. Changement dans l’environnement de l’oiseau L’ajout de nouvel élément dans son environnement peut provoquer sa frustration (jouet, nouvel objet, nouveau parfum ou produit nettoyant, nouvel animal, nouvelle personne dans la maison, etc.). Il est important bien présenter les nouveautés dans la maison qui peuvent influencer votre perroquet (jouet, animal, personne) et de lui laisser le temps de s’adapter. Une nouvelle nourriture qui ne lui convient pas peut amener le perroquet à mordre. Tenter un retour vers l’ancienne nourriture et voir si le comportement de morsure s’atténue ou arrête. Si c’est le cas, on peut réessayer la nouvelle nourriture, mais en faisant une bonne transition entre les deux. Si le comportement de morsure revient malgré tout, cette nourriture n’est pas appropriée. Morsures liés à l’état physique ou émotionnel de l’oiseau Le perroquet fatigué peut avoir tendance à mordre. La cage devrait être dans un endroit tranquille et sombre pendant la nuit. Si tel ne peut être le cas, vous pouvez mettre une couverture sur la cage afin de lui fournir la noirceur nécessaire à un sommeil récupérateur. Si le perroquet veut dormir, mais que vous voulez jouer avec lui, il se peut qu’il vous morde pour vous faire comprendre son mécontentement, ou pour vous signifier qu’il ne désire pas jouer en ce moment. Voir la section Language corporel afin de repérer les signes de fatigue du perroquet. La peur est également un facteur qui peut amener un perroquet à mordre. Encore une fois, la section Language corporel peut être consultée pour en déceler les indices. En effet, lorsque le perroquet se sent menacé, qu’il sent que son territoire est envahi, qu’il manque d econfiance envers des étrangers, qu’il est surpris par des bruits inattendus, des mouvements brusques, le perroquet peut être amené à mordre. Il est donc important d’en identifier la source pour pouvoir mieux réagir. Le perroquet peut également mordre pour protèger son compagnon. Ainsi, si votre oiseau vous a choisit comme compagnon, et qu’il perçoit un danger imminent, il peut vous mordre pour essayer de vous éloigner de ce dit danger. Il peut estimer que des étrangers, d’autres animaux de compagnie, etc, constituent une menace pour votre sécurité. Dans ces situations, il vaut mieux introduire doucement votre perroquet à ces étrangers, animaux, etc. en donnant suffisamment de temps pour votre oiseau à accepter et à s’adapter à ce changement. Le perroquet qui manque d’attention, qui est ignoré et laissé dans la cage par de longues périodes peut développer de la frustration qui se traduira par des morsures envers leur propriétaire. Il faut donc réviser son attitude envers son perroquet pour faire cesser ce mauvais comportement. Morsures liées par une mauvaise habitude chez l’oiseau, ou un manque de socialisation Le renforcement négatif, c'est-à-dire d’avoir eu une réaction face aux précédentes morsures, amène un perroquet à mordre par habitude. Crier, hurler, les «Ouch», «Ayoye» peuvent être intéressant pour l’oiseau, et l’amener à mordre à nouveau pour obtenir la même réaction. Vous pouvez souffler dans le visage de l’oiseau en disant fermement NON quand votre perroquet mord. Si le comportement ne s’arrête pas après quelques semaines, vous pouvez alors essayer la méthode du coin de punition. Celle-ci consiste à, tout de suite après avoir été mordu, dire fermement NON, et de mettre l’oiseau dans sa cage, ou tout autre endroit désigné dans la maison. La constance est de mise dans cette méthode, choisissez toujours le même endroit. Pendant le temps de la punition, ignorez complètement l’oiseau et n’interragissez pas avec lui verbalement ou visuellement. Toute interraction sera mal interprétée par l’oiseau, qui n’apprendra pas la leçon. Quand la période de punition est terminée, sortez-le du coin de punition, et interragissez avec lui. Vous pouvez aussi couvrir la cage de votre oiseau pendant le temps de la punition. Ceci pourrait aider l’oiseau à se calmer s’il est agité, agressif ou effrayé. Ne jamais frapper un oiseau qui a mordu. Il le percevra comme un abus, et ça nuira à la confiance qu’il a envers vous, en plus de lui nuire physiquement et émotionnellement. Un oiseau qui n’est pas habitué d’être pris par plusieurs personnes peut avoir tendance à mordre ceux-ci. Pour travailler ce point, vous pouvez réunir un groupe de personne, et vous installer, par exemple, en assis en cercle sur le sol. Chaque personne se verra enseigner la manière de tenir et de parler l’oiseau par le propriétaire de celui-ci. Puis, ce dernier tend le perroquet vers son voisin, qui lui parlera gentiment, et lui donnera la commande «hop» (ou toute autre commande connue de l’oiseau) en lui tendant son doigt pour se percher. Le perroquet doit alors être choyé et rassuré, afin d’en retenir une expérience qui soit positive. Quand c’est fait, cette personne répète l’étape vers son voisin. Au fil du temps, et après quelques séances, l’oiseau devrait s’habituer et être plus convivial face à d’autres personnes. Attention aux bisous Plusieurs personnes veulent donner des bisous à leur oiseau. C’est un des trucs qui leur est appris le plus fréquemment. Par contre, celle-ci comporte des risques, car s’il y a morsure, celles-ci se localisent au niveau du visage, et par ce fait, sont d’autant moins souhaitable. Il est déconseillé de vouloir jouer à donner des bisous avec un perroquet que vous ne connaissez pas, et dont vous n’êtes pas le propriétaire. Même chose pour les enfants, qui peuvent parfois agir brusquement, ce qui pourrait effrayer l’oiseau et le porter à mordre. De même qu’il n’est pas conseillé de laisser un perroquer se percher sur l’épaule, et ce même de son propriétaire. Un perroquet, pour éviter certains problèmes de domination, ne derait jamais être perché au-dessus des yeux de son propriétaire. D’autre part, c’est également dangereux pour les morsures au visage. Si l’on veut bécotter son perroquet, il est préférable de le faire en tassant gentiment avec ses doigts son bec, de manière à lui tourner le cou, et ainsi, bécotter l’oiseau loin de son bec.Il ne faut le faire cependant que lorsque l’oiseau est calme, car dans le cas contraire, il pourrait le percevoir comme une agression

Mon perroquet crie, que faire? Le perroquet peut crier quand vous êtes à la maison, quand vous quittez la pièce ou quand vous quittez la maison. Pourquoi? Voyons un peu d’où ce comportement provient. Il faut se rappeler que, bien que votre perroquet aie été nourrit à la main et sociabilisé par l’homme, il n’en reste pas moins qu’ils ont conservés certains comportements instinctifs. L’un de ceux-ci est entre autres d’être une proie dans le reigne animal. Ainsi, dans la nature, lorsqu’un perroquet se retrouvre loin du groupe, il appelle pour localiser le groupe. Un autre oiseau de ce groupe répondra alors à l’appel, afin que le perroquet puisse les localiser. Dans nos maisons, le principe demeure le même. Le perroquet crie pour vous appeler, savoir où vous êtes par rapport à lui. On appelle ça l’appel de contact. Si vous ne répondez pas, il ne fera quevous appeler plus fort, jusqu’à ce qu’il crie à tue tête pour vous localiser. C’est alors que la plupart des propriétaires de perroquets réagissent mal. Ils suivent souvent la croyance populaire disant qu’il faut ignorer le perroquet quand il appelle, parce qu’il recherche de l’attention. Ce faisant, quand le crie devient de plus en plus fort, ils ne sont plus en mesure de l’ignorer, et crient eux aussi à tue tête quelque chose comme «Tais-toi!». Quel lien le perroquet en fera-t-il? Que s’il crie suffisamment fort, vous répondrez à son appel. Quand on ignore le perroquet qui crie, ceci ne règle en rien les insécurités sur l’endroit où vous étiez, ce qui l’amènera à crier d’autant plus fort. Maintenant, que faire pour prévenir ces comportements? Prenez l’habitude de reconnaître les signes de l’appel de contact. Vous pouvez simplement lui dire «je reviens tout de suite» ou «je suis à la cuisine» quand il vous appelle la première fois. De même que quand vous quittez la pièce ou que vous quittez la maison, vous pouvez prendre l’habitude de lui dire «on se voit ce soir». Et quand vous revenez dans la pièce ou à la maison, lui dire «je suis de retour». Quand vous lui dites cela, soyez focussés sur lui, en établissant un contact visuel lorsque possible. Il saura que vous vous adressez à lui, et ça le rassurera. Il peut sembler anodin d’avoir à lui dire où l’on est et qu’on sera de retour, mais quand on comprend davantage la raison de son appel, le tout prend enfin un sens. Si votre perroquet est déjà en train de crier, faites les mêmes étapes que s’il vous faisait un simple appel de contact. Continuez de lui dire que vous serez de retour et de lui indiquer quand vous êtes effectivement de retour. Ensuite, ne récompensez pas le comportement de crier en criant aussi, en vous dirigeant vers la cage brusquement, ou tout autre comportement pouvant indiquer à votre perroquet que vous l’avez entendu crier. De même, ne quittez pas la pièce, parce que ça ne fera que nourrir son sentiment d’insécurité. Certes, cet exercice demandera de la patience, mais il ne faut pas lâcher, ce qui équivaudrait à recommencer à zéro. Vous devez plutôt attendre patiemment et attendre jusqu’à ce qu’il fasse autre chose, comme parler ou jouer avec un de ses jouets. Ensuite, récompensez ce comportement en allant le voir et en lui parlant gentiment. Soyez constants, en récompensant toujours le bon comportement et en ne faisant rien pour le mauvais comportement et l’oiseau commencera rapidement à ne faire que le bon comportement, de façon à avoir la récompense qui y est rattachée. Quand votre perroquet aura arrêté de crier, et aura adopté le bon comportement, n’oubliez pas que vous devez encore le rassurer quand vous quittez la pièce, et quand vous revenez. Encore une fois, si vous n’êtes pas constant, le perroquet retournera à ses appels de contacts, qui redeviendront les mêmes vieilles habitudes.

c la saison, penser a faire le pleint de chataigne pour vos boulle de plumes, ils les adore griller ou a l'eau, donc comme nous. allez zoup tous en balade en foret

Le plan d'urgence du propriétaire de perroquet Soyez prêt à toute éventualité en établissant un plan d'urgence. Ceci inclus le matériel requis pour vous et vos animaux dans l'éventualité où vous devriez évacuer votre maison. Les items suivants devraient être dans votre trousse et celle-ci devrait être placée dans un contenant à l'épreuve de l'eau, et laissée dans un endroit facile d'accès comme dans le garage ou dans votre voiture. 1- L'équivalent d'une semaine de nourriture pour vos animaux (chien, chat, oiseau, etc.) 2- L'équivalent d'une semaine d'eau embouteillée (le changement drastique d'eau peut être mauvais pour votre oiseau, il est donc préférable d'avoir de l'eau embouteillée) 3- Une cage de transport pour chaque animal de compagnie 4- Couvertures ou serviettes pour garder vos animaux de compagnie au chaud 5- Gants (peuvent être utiles pour manipuler un oiseau en panique) 6- Une trousse de premiers soins 7- Quelques jouets Pour transporter votre oiseau en cas d'urgence: 1- Préparez une cage de transport pour votre oiseau: Vous pouvez utiliser un transporteur pour chat, et y ajouter un perchoir. Vous devez également ajouter un bol de nourriture. Donnez des fruits et légumes riches en eau (céleri, raisins, melons, tomates, etc.) au lieu de mettre un bol d'eau qui pourrait se renverser durant le transport. 2- Placez votre oiseau dans le transporteur. Si votre oiseau panique, prenez le avec une serviette et mettez le dans le transporteur. 3- S'il fait froid, couvrez le transporteur d'une grande serviette ou d'une couverture. 4- Gardez l'oiseau dans un endroit au chaud, sécuritaire et tranquille. Ne le laissez pas sortir du transporteur dans un endroit inconnu.

Stimulez votre perroquet Votre perroquet en jeune âge vit une période de découverte importante. Il est donc primordial pour son bien-être qu'il soit stimulé à différents niveaux. Voici donc quelques façons d'amener votre nouveau compagnon dans un monde de découvertes. •La cage, multiples possibilités La cage est un endroit important pour votre nouvel animal, car il y passera plusieurs heures lorsque vous quitterez la maison pour aller au travail. Ainsi, pour éviter l'ennui et des problèmes comportementaux (ex: le picage ou la mutilation) celle-ci doit être amusante aux yeux de votre compagnon. En fonction de la grandeur de la cage, donner lui accès à différents perchoirs, de différentes tailles, ou encore à une balançoire. Vous pouvez également utiliser des branches d'arbres pour lui fabriquer vous-même un perchoir. Votre cage devrait également contenir 2 à 3 jouets différents. Il est important pour stimuler votre perroquet de varier les jouets. Vous pouvez donc, 2 fois par semaine, changer ses jouets d'endroit et en enlever certains pour en ajouter de nouveaux. Vous pouvez également en votre absence lui laisser de la musique, il adorera! Et surtout, n'oubliez pas de toujours lui donner accès à de l'eau fraîche et de la nourriture dans sa cage. •Des jouets, des jouets et encore des jouets Afin de garder votre oiseau stimulé, offrez lui la possibilité d'avoir accès à différents jouets. Les jouets avec des clochettes, des jouets en bois, des jouets à corde, etc. Pour les jouets à corde, on suggère de laisser un perroquet jouer avec ceux-ci seulement sous votre surveillance, car il peut arriver que celui-ci reste pris dans la corde. Votre surveillance est donc requise. Une multitude de jouets existent sur le marché pour votre perroquet, et vous pouvez même les fabriquer vous même. Si tel est votre désir, n'oubliez pas d'ajouter de la couleur à vos jouets de bois. Vous pouvez les teindre à l'aide de colorant alimentaire. N'utilisez jamais de peinture, car c'est toxique pour votre animal. Jouez avec votre perroquet, apprenez lui à faire des pirouettes, à donner des bisous, à donner la patte (et oui, eux aussi peuvent le faire!) Tous ces petits tours le rendront si fier et stimulé. Et surtout, récompensez le quand il aura accomplit votre demande avec un de ses aliment préféré. Vous pouvez lui garder un aliment comme récompense pour les tours. Il associera cet aliment à sa réussite du tour et ceci facilitera l'apprentissage. •L'apprentissage de la parole, ou l'art de répéter des sons Votre oiseau peut répéter des mots ou des sons si vous le lui apprenez. Vous pouvez commencer par des mots simples et par des mini-séances ne devant pas dépasser 20 minutes. Évitez de travailler plus d'un mot par séance. N'oubliez pas d'y mettre de l'intonation, afin de favoriser son apprentissage du mot. Quand vous aurez dénoté un progrès (ex: Cou au lieu de ) récompensez votre perroquet en lui donnant son aliment préféré. Vous pouvez lui garder un aliment comme récompense pour les tours. Il associera cet aliment à sa réussite du tour et ceci facilitera l'apprentissage.•L'heure du bain Les perroquets aiment bien prendre leur bain. Vous pouvez donner accès à votre compagnon à un grand plat en plastique dans lequel vous aurez versé de l'eau à moitié. Il est important d'utiliser de l'eau tiède, c'est à dire à température pièce. Votre compagnon ira de lui même jouer dans l'eau. Si tel n'est pas le cas, montrer lui en jouant un peu avec des gouttelettes. Surtout, ne forcez jamais votre perroquet à prendre son bain. Il pourrait en résulter une peur du bain. Comme pour le langage, faites de courtes séances au début. Aussi, encouragez le de Bravo! avec une intonation chaleureuse. Votre compagnon veut vous plaire, et n'en sera que plus motivé de voir que vous êtes content. Pour garder un plumage brillant et en santé, 1 à 2 séances hebdomadaires sont nécessaires à votre compagnon. Et qui sait, quand il saura habitué, peut-être que certains d'entre vous voudront l'amener avec vous sous la douche! •La découverte du monde des aliments Comme nous, les perroquets apprécient la nourriture. Si manger est un besoin physique primaire, il n'en reste pas moins que comme nous, ils veulent apprécier les aliments. Offrez à votre perroquet, en plus de son alimentation de base, offrez lui une variété de fruits, légumes, noix et pâtes alimentaires (cuites). Faites de la collation un moment privilégié entre vous et votre compagnon. Permettez lui d'explorer et de faire des découvertes alimentaires. L'heure du repas est un moment de partage, et ce moment est important pour la stimulation de votre perroquet. Commencez par couper en petits morceaux les aliments, et plus il vieillira, plus vous pourrez lui donner de plus gros morceaux. Suivez les saisons, variez les aliments selon ce que vous trouverez au marché. Les fruits et légumes doivent être lavés comme il faut et essuyés avant d'être donnés à votre compagnon. Ici, pommes, carottes, chou, maïs, pois et melons font fureur parmi tant d'autres. Consultez également notre section Aliments nocifs. •Suivre son maître partout, c'est génial Votre compagnon peut vous accompagner dans vos déplacements, et il n'en saura que des plus stimulants pour lui. Évidemment, évitez de sortir votre compagnon en période froide. Par contre, l'été, vous pouvez l'amener marcher avec vous, faire du vélo, ou du patin à roues alignées. Comment? Il existe en animalerie des harnais conçus pour cela. Au même titre que la laisse pour un chien, le harnais permettra à votre oiseau de vous accompagner dans vos sorties, et est sécuritaire car il peut ouvrir ses ailes. Avant de quitter votre éleveur, votre compagnon aura été habitué d'être manipulé par différentes personnes afin de veiller à une bonne socialisation. Par la suite, vous devez continuer de lui faire rencontrer plusieurs personnes de votre entourage. C'est également stimulant pour lui. Faites preuve d'imagination pour stimuler votre perroquet, et surtout, AMUSEZ-VOUS! source : http://www.oisellerietb.com/stimulez-votre-perroquet.php

Le Langage corporel du perroquet Langage corporel qu'il est heureux et joue Se tient sur deux pieds : Je vais bien Se tient sur un pied : Je relaxe Se tient sur un pied, les plumes ébouriffées : Je relaxe vraiment Se secoue la queue : Je suis prêt à faire quelque chose de nouveau / je suis heureux Un pied tremblant pour battre les griffes rapidement : J'ai une démangeaison sur le côté de la tête La tête en bas, l'aile droite en pleine extension : Je m'étire La tête en bas, l'aile gauche en pleine extension : Je m'étire encore La tête en bas, les deux ailes en demi-extension : Je m'étire encore, j'ai presque fini La bouche ouverte, la tête étirée le plus haut possible : Étirement/Baillement S'étire le cou en faisant des «oui» très rapides, et vomit sur vous : Je t'aime! Se tient sur le dessus de la cage, avec le bec et les deux pieds : Je m'en vais quelque part Suspendu depuis le haut de la cage, avec les deux pieds : Je joue Suspendu depuis le haut de la cage, avec un pied : Je joue encore Suspendu depuis le haut de la cage, avec le bec seulement : Je joue encore, mais veut te faire croire que je vais tomber… Suspendu depuis le haut de la cage et tombe en bas : Oups, mon bec n'est pas aussi fiable que je le pensais Mets son bec sur votre doigt avant de se percher : Je voulais vérifier si c'était un endroit sur pour se percher / Cherche son équilibre Langage corporel de nettoyage et d'hygiène corporelle Se frotte le bec d'avant en arrière contre le perchoir : Je nettoie mon visage Ailes un peu déployées et se frotte le bec à l'arrière : Se prépare pour un lissage de plumes Se tient sur un pied, la tête enfouie sous l'aile : Je nettoie quelques plumes Deux pas en arrière, les fesses se penchant vers le bas : Je vais faire mes besoins Langage corporel de demande d'attention Se tient droit, vous regarde directement : Je suis prêt à être pris dans ta main Fait des allées et venues sur le perchoir : J'ai dit «Je suis prêt à être pris dans ta main» Se tient sur un pied, en agitant l'autre : Prends-moi dans ta main MAINTENANT La tête basse, les ailes à demi soulevées, les plumes ébouriffées, se penche en avant ou se tient droit : Je vois quelque chose que je veux, et si tu ne me prends pas maintenant pour l'avoir, je vais faire une crise de nerfs. Taper du pied sur le sol : Je veux que tu me prennes dans ta main et suis impatient Se tient debout sur votre pied : Ok, je suis désolé d'avoir tapé sur le sol, prends moi maintenant SVP Bec sur le sol, les plumes du cou ébouriffées : Je veux me faire gratter le cou Cogne la cage avec le bec, et tape du pied : Sort moi de là! Se tient droit, vous regarde directement : J'attends que tu regardes ailleurs pour faire un mauvais tour Bec sur le sol, les plumes du cou ébouriffées : Je veux que tu viennes me gratter le cou, afin que je puisse te mordre! Ouvre la partie supérieur de son bec et commence à lapper avec sa langue : Je veux boire ce que tu bois Debout sur votre avant-bas, mordillant votre chandail et plantant les griffes dans votre avan-bas : Je veux monter sur ton épaule Suspendu à votre collet de chemise, les deux pieds dans les airs : Je veux descendre de ton épaule S'étire le cou en faisant des «oui» très rapides : Vous demande de la nourriture ou de l'attention Cogne son bec sur un objet : Je veux cet objet Tête baissée et tournée à 90 degrés : Je vois quelque chose au sol que je veux Langage corporel de morsure éminente Penché en avant, les ailes légèrement écartées : Je vais te mordre Penché en avant, les ailes légèrement écartées et les plumes en l'air : Je vais vraiment te mordre Mord L'oiseau est jeune et doit continuer d'explorer pour apprendre quelle pression appliquer / L'oiseau est effrayé / L'oiseau veut communiquer qu'il ne se sent pas bien / Protège son nid Langage corporel de fatigue Se tient sur un pied, se frotte le bec de l'autre patte : Je commence à être fatigué Se tient sur un pied, à moitié ébouriffé, les yeux mi-clos : J'essaie de dormir un peu La tête en arrière, cachée sous l'aile : Je dors Source : http://www.oisellerietb.com/langage-corporel-du-perroquet.php

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