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Tout ce qui a été posté par Ugatza
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Réponse à notre bien aime le professeur : Je te retourne la question, et toi tu la connais bien la nature ? Alors donne-nous en petit cour sur la souffrance, la cruauté, la bêtise, et âpres ont continuera sur les atomes etc. Je m'y intéresse en tous cas. Je te posais la question, parce que tu as écrit ceci:
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C'est ce qui s'est passé, figure toi. Il n'y a pas que ces réponses. Et tu ne peux pas faire comme s'il n'y avait que deux positions possibles par rapport à ces questions. Bien sûr. Je pense que toute violence ne peut être évitée et que la culpabilité fait partie de la condition humaine. Dans ce que tu crois, il y a des choses avec lesquelles on ne peut qu'être d'accord (mais qui ne mangent pas de pain) et des choses étranges (et dans lesquelles je ne vois aucun rapport avec la question, comme l'histoire des petites graines contenues dans les grandes, ou l'énergie de liaison des atomes)...ou la représentation de l'Univers. Tu parles en général des hommes, sans distinguer entre les cultures. Or pour certaines, la place de l'Homme dans la nature n'est pas la même et la connaissance de la nature est bien plus le fait de tous qu'en Occident. Tu la connais si bien que ça la nature, la biodiversité? De Dieu, non, mais d'une croyance religieuse oui. Tu as clairement évoqué le passage des âmes (immortelles) de corps en corps. Cette question de l'âme ne concerne que ceux qui croient à son immortalité, et cette croyance n'est pas particulièrement pertinente pour nous déterminer dans nos rapports avec les autres espèces animales. Je me répète: ceux qui croient en l'immortalité de l'âme ne se sont pas particulièrement distingués par leur respect de la vie, tout au long des Histoires des hommes. Pour moi, rien n'est immortel, pas même les atomes.
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Pour moi, il n'y avait pas de doute. Regardez la couleur jaune des flancs, des nageoires et la grosse taille des points noirs. Pas de rose... La photo a été prise du bord de la Nive, du côté de Luhuso. Cette partie du cours de la Nive est peuplée par les deux espèces (il y a quelques arc-en-ciel évadées de pisciculture)...
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Hé oui: un zeste de "ruralité" et la citrouille se transforme en carosse (ou l'inverse? On ne peut plus savoir! ). Tu vois, "ruralité" ça rime avec "authenticité"... Il y a, parait-il, un goût pour "l'authentique", le "vrai"... Ce serait de l'ancien, du traditionnel refabriqué par opposition à l'actuel, frelaté et industriel... Le problème, c'est qu'il est fabriqué...industriellement. Alors:... qu'est ce que nous voulons?
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Eduqués par qui? La question que j'ai posée, qui m'est posée tous les jours n'est pas une "petite" question. Une "autre" croissance qui ne serait pas une croissance tout en l'étant? Ou bien il y a croissance, ou bien il n'y a pas croissance. La croissance dans un monde limité doit fatalement rencontrer les limites matérielles du monde. Nous y arrivons. Certains parlent de croissance immatérielle. Bien. Deux objections. 1) Cela ne règle en rien le problème de la croissance démographique: chaque individu a des besoins matériels (espace, temps, liberté, eau, nourriture, liens sociaux) à satisfaire. 9 milliards dans quarante ans pour 6 actuellement. Quand on voit les effets ravageurs de l'augmentation (plus lente) observée entre les années 50 et nos jours... Avec des pénuries qui s'annoncent, d'autres qui sont déjà effectives... 2) Le capitalisme est très déterminé par la production de marchandises matérielles, même si ce sont des illusions, des signes qui sont réellement vendus... Aussi je crois qu'en voulant ne rien changer, nous allons droit vers l'affrontement généralisé... Les survivants seront bien heureux s'ils peuvent encore s'éclairer à la bougie et rouler en vélo... Alors de quoi ont envie les chasseurs?:lapwink: De "ruralité" ou de campagnes?
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Non, tu n'as pas bon. Tu connais comme moi des gens très éduqués qui s'en f... complètement. Chirac par exemple qui vient de parler de "concilier" le besoin de croissance de l'Humanité avec la Planète qui n'en peut plus. Besoin de croissance: besoin de marchés. Je suis bien placé pour savoir combien de temps ça prend d'éduquer une génération. Encore faut-il qu'il y ait cohérence entre ce que les jeunes entendent à l'école et ce que fait la société. Ce n'est pas le cas aujourd'hui. Ce qui est utopique, c'est de vouloir éduquer quand on n'en a pas envie. Comment veux-tu que les enfants prennent au sérieux le respect de la Planète actuellement, alors qu'on attend de la croissance, de la consommation, des signes de puissance et rien que ça? Ceci dit, il est bien tard. Mais c'est une raison supplémentaire d'agir en pensant à nous, aux autres et surtout à nos enfants... Ce n'est pas la Science qui nous pousse à puiser. C'est "nous" qui nous servons de la Science pour puiser. Nous sommes responsables. Très concrètement, ce sont des sociétés, des entreprises, pour des consommateurs. Chirac grand timonnier? Pourquoi pas Elisabeth Tessier?
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Petite sortie cet après-midi (verger, bois) Pouillot véloce (1 er entendu) Bouvreuil pivoine Pinson des arbres Mésange bleue Mésange charbonnière Mésange huppée Mésange à longue queue Accenteur mouchet Troglodyte mignon Moineau domestique Rouge-gorge Merle noir Grive musicienne Grive draine Bruant jaune Bruant zizi Tourterelle turque Pigeon ramier Pic épeiche Pic vert Faucon crécerelle Pie bavarde Corneille noire Pas encore de rouge queue, de fauvette à tête noire et d'hirondelles...
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Je ne compte pas sur la Science pour nous sortir de la voie sur laquelle nous nous sommes engagés. La Science construit des connaissances et elle nous dit d'où nous venons, où nous sommes et où nous allons. Qui écoute? Seule la technologie, au service d'un besoin démesuré (fou) de puissance nous intéresse. Et ce n'est pas elle qui va construire un monde vivable, qu'elle a en grande partie servi à détruire. Ce n'est qu'un instrument dont l'usage dépend de nos choix. Ce ne sont pas les voitures qui ont des accidents. Je ne pense pas non plus que c'est la foi et les paris qui sauveront l'Humanité. Non, la seule force sur laquelle il est possible de compter, c'est nous mêmes, notre désir d'aller là plutôt qu'ailleurs. C'est à nous de choisir et de décider. Pour avoir du confort et de la puissance nous avons sacrifié la nature. Pour retrouver assez de nature pour survivre, il faudra sacrifier du confort et de la puissance. Le problème est de savoir si nous en avons envie ou pas. Je crains que non, malgré ou plutôt à cause des contorsions du développement durable (pourvu que le développement continue d'être durable... ) et au vu du dédoublement de personnalité de nos représentants (qui reproduit le nôtre)... Je ne crois pas qu'il faille arrêter de soigner, de guérir. Mais il faut en accepter les conséquences: le vieillissement de la population. Ce n'est pas en interdisant de faire des enfants qu'on résoudra le problème de la croissance démographique (qui lui même génère des interdictions sans cesse croissantes et terriblement dangereuses), ni en désignant ceux qui doivent mourir. La seule chose qui est possible humainement, c'est de développer la solidarité et l'entr'aide, l'éducation afin que chacun sache et décide de manière responsable. Mais il faut le faire...hier. Et poser les problèmes à l'échelle de la planète. La concurrence, le chacun pour soi, est le plus court chemin vers la Barbarie qui s'avance, avec la pénurie d'espace habitable, de confort climatique, d'eau, d'énergie. Et de confiance mutuelle. Ce que je pense de Pascal Sevran? Que: -un Noir vaut un Blanc. -ce problème n'existait pas avant la colonisation. -la densité humaine est plus faible en Afrique qu'en Europe. -ce n'est pas aux autres de faire des efforts. -la prospérité dont bénéficie Sevran est la conséquence de la misère en Afrique. -ses parents auraient mieux fait de s'abstenir. -je suis bien content que lui n'ait pas eu d'enfants...
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Mon point de vue est que la nature n'est ni cruelle, ni implacable, ni bienveillante et maternelle. La trouvera-t-on cruelle après qu'une éruption du Vésuve ait tué des centaines de milliers de personnes dans la région de Naples (nous savons que cela peut très probablement arriver)? Pompéi et Herculanum ne nous ont rien appris. Nouis croissons et multiplions, envahissons et advienne que pourra. Tu caricatures, Nemrod. Nous arrivons aujourd'hui à une époque où le développement de l'Humanité est arrivé à un tel point qu'il a détruit la plus grande partie de ce qui la fait vivre. Il s'agit donc non pas d'être spectateur mais d'arrêter de détruire. Ce n'est pas du tout la même chose. Evidemment qu'il faut agir: mais d'abord sur nous. Sur la nature (ou plutôt avec elle) ensuite. Si tu poses le problème à partir de la chasse, il est évident qu'elle n'est pas en tant que telle une action qui permet de résoudre le problème de la destruction des milieux. Ce n'est ni en replantant des haies (comme quelques chasseurs), ni en créant de petites réserves (comme les protecteurs de la nature) que l'on résoudra les problèmes. Parce que le problème, c'est nous. C'est notre nombre et c'est de la folie que de croire qu'on est plus libre en étant plus nombreux : le même geste, sans conséquences quand il est fait par un petit nombre de personnes devient une catastrophe quand il est répété des milliers de fois au même endroit et au même moment. Mais c'est aussi notre mentalité anti-nature (celle qui nous fait construire un monde et une vie hors de la nature, où on a peur d'elle, où on la détruit parce qu'on refuse de la connaître). Les deux vont d'ailleurs ensemble: le nombre est le projet de la mentalité. Il faut donc savoir ce que l'on veut... Il y a quelques dizaines d'années bien peu se posaient ces questions: il y avait encore de la place et de la marge (mais on était tout de même en train d'aller vers le monde d'aujourd'hui). Ou bien on continue la croissance et tout le bazar, sans se demander comment et pourquoi on en est arrivé là et c'en sera fini de l'Humanité humaine, comme des campagnes. Il y en a à qui ça convient. Ou bien on se pose ces questions, on se demande si vraiment on a besoin de campagnes et de nature (qui ne s'opposent pas totalement) et à ce moment là, on prend les moyens nécessaires. Je ne vois cette démarche que chez certains écologistes. Les chasseurs politiques ou associatifs, ceux qui s'expriment, dès qu'ils rentrent à la maison...prennent le "progrès", le confort et la consommation et veulent les installer en "zone rurale". Sous prétexte de ne pas vouloir une "nature sous cloche"... Moi, je voudrais de la nature partout, assez forte pour résister à des conneries modérées de la part des hommes. Ca suppose de lui laisser regagner une grande partie du terrain perdu et de bouleverser notre rapport avec elle.
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Le Réchauffement climatique.
Ugatza a répondu à un(e) sujet de Alain41 dans Réchauffement Climatique