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Chentyt

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Tout ce qui a été posté par Chentyt

  1. Chentyt

    Les Fufus de l'Ouest

    Je vous invite au grand rassemblement qu'organise l'association les Fufus de l'Ouest le 23 septembre à Cesson-Cevigné (35) à côté de Rennes. Si vous voulez venir, laissez moi un message (avec votre mail ou par mp) et je vous enverrai le bulletin d'inscription. Si vous souhaitez tenir un stand pour votre association (par exemple) faites de même, nous sommes ouverts à toutes propositions ^^
  2. Chentyt

    Création du comité Noé

    quelqu'un aurait d'autres informations à propos de ce fameux comité? Je sais que déja certaines assos commencent a rebondir et ça serait bon de savoir exactement à qui on a à faire...
  3. Avez-vous entendu parlé du comité Noé? aujourd'hui une personne sur mon forum en a parlé et je n'arrivais pas à me souvenir où j'avais vu ces mots "Comité noé". En faite ma messagerie est pleine de mail en réaction de la création de ce commité. J'ai fait une recherche pour voir si vous en aviez déja parlé mais je n'ai pas trouvé et aussi je ne sais pas si je mets ce post au bon endroit donc n'hésitez pas à le déplacer. Voici le point de départ (reçu vendredi 22 juin 2007) Communiqué de presse Le Comité Noé est né Le 13 juin dernier, des représentants des organisations professionnelles agricoles du monde de l’élevage, des animaleries, de la tauromachie, du piégeage, de la vénerie, des éleveurs amateurs, de la cynophilie et des chercheurs se sont retrouvés à l’initiative de la Fédération Nationale des Chasseurs et de la fédération Pronatura pour organiser le lancement du « Comité Noé ». Ce Comité est une force de lobbying au plan national et européen qui rassemblera les principales organisations d’utilisateurs et de gestionnaires d’animaux domestiques et sauvages afin de mieux résister à la montée en puissance des lobbies de la protection animale dont l’intégrisme est de plusen plus évident. Cette coordination d’une grande souplesse de fonctionnement assurera d’une part, une veille législative et réglementaire permanente concernant la place de l’animal, d’autre part pilotera un groupe de réflexion et d’intervention médiatique dans les débats de société et enfin animera un groupe opérationnel qui coordonnera et amplifiera les campagnes d’influence des principales organisations utilisatrices d’animaux domestiques et sauvages auprès des pouvoirs publics. Face aux débats sans fin sur « le bien-être animal » chacun s’accorde à penser qu’il faut mettre en commun des moyens d’action, afin d’influencer le plus en amont possible les pouvoirs publics, à l’échelle nationale et européenne. Une volonté commune se dégage de diffuser largement un contre-courant de pensée sur « la bien traitance animale ». Certaines organisations présentes, inquiètes de la radicalisation de ces lobbies qui utilisent des commandos violents pour interpeller l’opinion publique, souhaitent que le Comité Noé devienne rapidement opérationnel. Des contacts sont déjà prévus au cours de l’été avec les membres du nouveau Gouvernement et du nouveau Parlement qui sont directement concernés par la place de l’animal dans notre société. Les participants ont étudié le financement et le fonctionnement possibles pour ce Comité, sur le modèle déjà éprouvé par les tireurs sportifs, armuriers, fabricants d’armes et chasseurs réunis au sein du Comité Guillaume Tell depuis 1999. Contact Presse Christine Mignon Tél. : 01 41 09 65 10 Fax : 01 41 09 65 18 cmignon@chasseurdefrance.com site de la fédération pronatura qui fait partie de ce comité noé : http://pronaturafrance.free.fr/
  4. non je n'ai pas encore eu le temps de m'en occuper je pense que je vais faire ça pendant les vacances d'été
  5. Les miens? non du tout. Mais je "connais" une personne qui a retrempé du putois dans ses lignées pour avoir des furets noirs. Le soucis c'est que ces furets ont un très gros problème de comportement: ils sont excessivement peureux et transmettent cette peur à leur descendance (coté femelle)... Et sinon je confirmes les furets albinos et les furets de couleur putoisé (avec toue le dégradé de couleur possibles) sont excatement de la même sous espèce (je ne sais pas comment on nomme la "section" après espèce). Une particularité du furet se trouve au niveau de la femelle: celle-ci reste en chaleur jusqu'a ce qu'elle trouve un mâle sans quoi elle meurt. Ca tu ne l'observe pas chez les putois et autres mustélidés. Je dirais même que l'abinisme est présent chez toutes les espèces.
  6. en faite on parlait de la différence morphologiques du furet et du putois d'où les photos de mon furet pour montrer. Enfin je vais venir éclaircir tout ca surtout niveau comportemental du putois car j'ai appris pas mal de chose. C'est les vacances je vais en profiter ^^
  7. Chentyt

    Conférences de Mickael

    Si on fait l'effort de lire le post depuis le début on sait tout sur tout j'ai lu rapidement désolée :ange1: Ah ca tombe bien moi je suis en vacances :furet:
  8. Chentyt

    Conférences de Mickael

    c'est quand la diffusion???
  9. Chentyt

    Les Fufus de l'Ouest

    caméléon je t'ai répondu dans la partie autres mammifères. Sinon j'ai le plaisir de vous annoncer que les Fufus de l'Ouest seront à la grande manifestation de Paris le 24 mars.
  10. alors alors miss fufu va tout t'expliquer Un furet n'est pas du tout un animal sauvage et il ne l'a jamais été. Il est incapable de survivre dans la nature (preuve scientifique) sauf tres tres tres rares exceptions et dans ces cas l'homme l'aide. Le furet c'est le putois version domestique. Les grecs et les romains avaient déja des furets qu'ils utilisaient pour la chasse, pour les rongeurs etc.. donc il n'est pas pauvre d'être domestique puisqu'il l'est dans le sang ^^ mes furets vivent en semi-liberté dans mon appart et chez mes parents, ils sont rentrés la nuit et quand je ne suis pas là pour leur sécurité (c'est les rois de la bétise et ils n'ont absolument pas conscience des dangers qui sont présents partout dans une maison). et franchement le furet est un animal qui demande énormément de contacts avec son maitre. Ils s'attachent énormément à leur propriétaire et peuvent faire des dépressions quand ils en sont séparés. Quand je vois Noé qui panique quand je disparais d'une pièce, il s'arrete immédiatement de jouer et me cherche et ne sera rassuré qu'apres avoir été dans mes bras. idem pour les promenades pour mon Whyte. il n'est bien que dans mon menteau
  11. Chentyt

    Analyse photo

    kodiak ou non cet ours n'a rien à faire mort purée il devait être magnifique
  12. Chentyt

    Les candidats et les chasseurs...

    tu n'es pas au courrant? Ségolène royal a été voir les rugbymen. Elle s'est faite huer....
  13. il s'agirait d'un hoax ce film n'ayant jamais été censuré oui j'ai mis le lien vers hoaxmachin sur la page précédente... et pour ceux qui n'auraient pas compris, je préfére avancer les choses, je suis entièrement d'accord sur le fait qu'il n'y a jamais eu de censure sur ce reportage comme le dit le lien sur hoaxmachin. Mieux vaut prévenir que guérir, ca évitera à quelqu'un de se faire mordre...par moi alors si vous avez envie de me dire que je comprends rien faites gaffe :595: :595:
  14. Chentyt

    Les candidats et les chasseurs...

    voici le discours de sarkozy Nicolas SARKOZY Président de l'Union pour un Mouvement Populaire Congrès national de la chasse Paris - Mardi 20 février 2007 Mesdames et Messieurs, Je suis très heureux de m’exprimer devant une assemblée aussi passionnée de la France, de ses campagnes et de ses forêts. Vous le savez, je ne suis pas élu d’un milieu rural. Mais je sais le lien historique, le lien affectif, le lien incontournable qui unit la France et les chasseurs. Aucun responsable politique ne peut imaginer s’adresser aux Français sans parler aux chasseurs. Nous avons tous un aîné, un cousin, un parent chasseur. Les débats, notamment portés par le Gouvernement avant 2002, sur la pertinence de la chasse n’ont aucun sens. La chasse, c’est un million et 300 000 chasseurs et leurs familles. La chasse, c’est une gestion responsable et scientifique. La chasse, c’est aussi l’identité de notre pays. Cela peut paraître un paradoxe aux non initiés : sans la chasse, la France ne serait pas aussi giboyeuse. Nous constatons que les pays européens qui n’ont pas fait le choix d’une chasse privée, ont dû faire le choix d’une chasse publique payée par l’Etat. Nous constatons que la chasse ne menace pas la survie des espèces. Bien au contraire, le grand gibier prolifère grâce à l’action concertée des chasseurs. Mon ambition est aujourd’hui de retrouver du petit gibier dans nos campagnes. Nous y réussirons, là aussi, grâce aux chasseurs. Et les exemples démontrent que cela est possible avec les agriculteurs et les forestiers. L’écologie a trop souffert des idéologies. La chasse a, elle aussi, trop souffert des idéologies. Je ne serai pas le Président des mesures vexatoires. Vous avez connu les Gouvernements du « mercredi sans chasse ». Vous avez connu les Gouvernements du dédain et de l’ignorance, au mieux de la condescendance. Ils ont tenté la pire stratégie qui consistait à ne pas régler les contentieux avec l’Union européenne, notamment sur les dates de chasse des oiseaux migrateurs. Ils n’ont eu de cesse de privilégier les idéologies sur l’écologie. Ils ont opposé les Français entre eux. Les chasseurs, les agriculteurs, les urbains, les automobilistes, chacun était coupable de la dégradation de la nature. Il est temps de rappeler certaines réalités. Première réalité : la politique écologique doit d’abord s’intéresser à nos modes de vie, à notre urbanisme, à nos modes de production. Chaque année, 60 000 hectares ruraux supplémentaires sont urbanisés. Les distances de transport ne cessent de s’allonger. Les défis de la biodiversité sont là. Deuxième réalité : Les chasseurs ont une vraie connaissance des espèces et des milieux. Ils ont été les premiers à s’intéresser à la préservation des habitats. Les chasseurs de gibiers d’eau avaient renoncé à chasser en mars, pendant la période de retour des oiseaux migrateurs. Les chasseurs sont les vigiles de la grippe aviaire. Les chasseurs défendent une éthique de responsabilité et le souhait de chasser durablement. Il est grand temps de rappeler ces vérités et de réconcilier les amoureux de la nature qui partagent la volonté de ne pas opposer des idéologies. Ma volonté est que la chasse soit une activité respectée et qu’il n’y soit pas porté d’atteintes injustifiées. Troisième réalité : la droite a un bilan positif. Elle a allégé les timbres et redevances. Elle a ouvert les possibilités de chasse grâce aux permis temporaires ou aux chasses accompagnées. Elle a abrogé le « mercredi sans chasse ».Nous avons simplifié, avec vous, la vie des chasseurs par le guichet unique pour la validation du permis de chasse. Nous avons réglé la question des armes avec vous. Nous avons enfin réglé le contentieux avec Bruxelles qui menaçait la chasse aux gibiers d’eau. Quelles doivent être nos ambitions pour ces prochaines années ? Il n’est pas question de réformer une nouvelle fois l’organisation française de la chasse. Nous avons des atouts : l’Office national de la chasse et de la faune sauvage, des fédérations structurées, une chasse bénévole et démocratique, des structures scientifiques de gestion. . Je ne veux pas d’une chasse étatique comme en Suisse. Je tiens à cette chasse qui rassemble au-delà des conditions sociales. Je tiens à une chasse rajeunie et pourquoi pas féminisée. Je suis naturellement favorable à ce que la redevance pour les premiers permis soit diminuée et que nous encouragions la chasse accompagnée. Je voudrais aborder un point essentiel : il ne faut pas confondre politique rurale et politique de biodiversité. La nature s’affadit sous nos yeux. Elle est d’abord victime de l’évolution de nos modes de vie. Naturellement, je n’accepterai aucune entorse s’agissant des espèces protégées. Pour autant, une politique de la biodiversité ne peut se limiter à la protection d’espèces exceptionnelles ou en voie de disparition. Elle doit aller bien au-delà. Elle doit partir du constat que nos paysages, notre architecture, nos oiseaux, nos petits et grands gibiers sont un patrimoine hors du commun. Je souhaite que l’on engage une politique de la biodiversité autour de deux priorités : préserver la biodiversité d’exception notamment ultramarine, recréer une biodiversité quotidienne avec le souci de repeupler nos campagnes de lièvres, de lapins, de perdrix ou encore de cailles. A l’évidence une telle politique doit prioritairement se concentrer sur la préservation des espaces où cette faune se développe. Une vraie politique de la biodiversité doit se concentrer sur l’urbanisme, sur l’artificialisation des sols ou encore sur la gestion des espaces forestiers, agricoles et des zones humides. Il faudra dans ce cadre accélérer la réorientation déjà amorcée avec la nouvelle PAC. Les anciennes règles ont incité à la suppression des éléments du paysage favorables à la faune : haies, jachères, bandes enherbées,…. Il faudra revoir ces réglementations. Ne faut-il pas revoir la réglementation qui exclut des jachères les bandes enherbées ? Ce sont des sujets qui ne peuvent être débattus sans les experts de la nature dont les chasseurs font partie. Il faudra recréer de véritables filières de formation aux sciences de la nature. Le Museum doit avoir un budget à la hauteur des enjeux. J’ai proposé la création d’un Ministère du développement durable dont les priorités seront la lutte contre le changement climatique, la préservation de la biodiversité et la santé environnementale. Dans cet ensemble, je souhaite une politique forte de l’écologie qui se donne pour priorité la préservation de la biodiversité. Pour autant, il est temps de comprendre que si la chasse dépend de la politique de biodiversité, elle ne détermine pas seule la biodiversité. La chasse est d’abord un enjeu de politique rurale. La limite à l’activité de la chasse est de ne pas porter atteinte à la survie des espèces. C’est à l’écologie scientifique de fixer cette limite. La politique de la chasse est d’abord une politique d’entretien et de gestion des espaces. Le souci des zones humides, des marais, des forêts, des jachères est un souci de chasseur. La politique de la chasse est une politique de vie rurale, de développement de filières. C’est une politique humaine qui part du constat que sans l’intervention de l’homme, la nature décline. Les chasseurs ont leur place dans la définition des politiques d’aménagement du territoire et de ruralité. Vous vous intégrez pleinement dans une structure de gestion des ressources naturelles. Je souhaite que la politique de la chasse ne se résume plus à un conflit de logiques. Nombre de nos concitoyens aspirent à quitter l’exiguïté des villes. Nous devons gérer intelligemment cette évolution. Les campagnes ne doivent pas devenir un dégradé des villes. Elles ne doivent pas non plus se vider. Il faut des services de proximité, des commerces de proximité. Il faut des activités rurales, conviviales et populaires dont la chasse fait partie, comme la pêche. C’est un enjeu majeur. La politique rurale ne peut se définir dans l’opposition et la stigmatisation. Les atteintes à la nature ne sont pas le fait des agriculteurs ou des automobilistes ou encore des chasseurs. Elles sont le fait de chacun d’entre nous et surtout de nos modes de vie. Il est temps de regarder la vérité en face. La politique rurale se définit, par conséquent, avec les chasseurs. C’est ainsi que j’ai réglé de dossier des armes ou encore du guichet unique. C’est ainsi que je conduirai cette politique. Je sais que la chasse et surtout les chasseurs souffrent des lourdeurs administratives et des incertitudes. Je peux m’engager à ce que l’Union européenne ne soit pas une source de complications. L’Europe a vocation à protéger. Elle a vocation à définir des règles pour les oiseaux migrateurs qui traversent ses frontières. Mais il appartient aux seuls Etats de déterminer les conditions de chasse sur leur territoire. Et, c’est d’abord au niveau départemental, c'est-à-dire au plus près du terrain, que la chasse doit être gérée. Tous les orateurs s’accordent à conclure qu’une chasse responsable doit être scientifique. Derrière ces déclarations communes, les intentions divergent. Dans mon esprit, une gestion scientifique notamment des espèces migratrices doit intégrer les études de l’Observatoire de la faune sauvage. S’il y a divergence de point de vue avec d’autres institutions, c’est aux experts de se mettre d’accord. Et seul compte l’état de conservation de l’espèce. Ces règles sont simples. Elles viennent d’être rappelées par le Conseil d’Etat. Je m’y conformerai. Je l’ai dit, je n’accepterai aucune entorse concernant les espèces protégées et les chasses interdites. Je ne prendrai aucune décision qui mettrait en péril la survie d’une espèce. Je souhaite, comme vous, que nous ayons une parfaite connaissance de l’état de chaque espèce pour éviter sa prolifération ou que sa reproduction ne porte atteinte à d’autres espèces. Et dans cette logique, si le Conseil d’Etat confirme les conclusions du Commissaire du Gouvernement, nous retiendrons le principe de la chasse durant les décades de recouvrement en fonction des observations scientifiques. Un dernier point sur la police de la chasse. J’ai eu l’occasion de mesurer les débats sur la réalité des contrôles. Je n’ai jamais donné de consignes de tolérance. Lorsqu’une règle existe, elle doit être respectée. Ce sont des principes que j’ai toujours appliqués. Pour autant, j’ai constaté le désordre des polices de l’environnement, comme des polices en général. Quelle politique de contrôle de la chasse pouvons-nous définir lorsque tant d’acteurs interviennent ? Toutes les polices, toutes les structures de contrôle seront regroupées au sein d’un seul et même ministère de la Sécurité. Sur le terrain, le préfet sera là pour veiller au respect de la loi et de la police de la chasse. Vous le constatez, je n’ai pas le souhait de fuir les problèmes. Il faut avoir le courage de relever le défi de la biodiversité. Il faut aussi avoir l’honnêteté de rendre aux chasseurs leur dignité. Vous n’êtes pas des femmes et des hommes coupables d’exercer une activité honteuse. La chasse a toujours fait vivre nos campagnes. La chasse s’inscrit dans l’histoire de France. La chasse est nécessaire à l’équilibre écologique. Et les chasseurs sont des amoureux de la nature qui ne craignent ni le froid, ni la pluie, ni les efforts. Je tenais à le dire. Source: http://blog.cybermilitant.com/index.php/2007/02/21/585-la-chasse-est-necessaire-a-lequilibre-ecologique
  15. entierement d'accord. Je ne faisais passer que ce que j'avais trouvé...
  16. http://www.hoaxbuster.com/hoaxliste/hoax.php?idArticle=54669[url]
  17. Chentyt

    Le hérisson

    ils sont déja bien sortit mais malheureusement c'est sur les bords de route que je vois ca
  18. Chentyt

    Renard

    jacky tes photos sont sublimes
  19. Chentyt

    Les chauves-souris

    j'ai pas su les indentifié, mais il me semble que se sont des chauves-souris assez communes et petites. C'est celle qui vivent dans les campagnes dans les greniers etc... L'été dernier la colonie était de 30 individus environ, vus tous les soirs a la tombée du jour. Au début elles nichaient au dessus de ma fenêtre je pouvais les voir c'était trop bien , mais vu que colonie s'est agrandie elles ont quitté ce petit trous pour un beaucoup plus grand. Ca fait 5 ans que je vis dans cette maison et depuis le début elles y sont. Elles sont restées environ deux ans dans le trou au dessus de ma fenêtre (c'était trop marrant parce qu'avec ma lumiere j'attirais tous les insectes et elles se régalaient ^^) avant de déménager mais ce n'est que l'année derniere qu'on les a remarqué, surement à cause du nombre.
  20. Chentyt

    Les chauves-souris

    j'en ai dans mes murs chez moi (enfin chez mes parents) une jolie petite colonie. L'été dernier ils voulaient boucher le trous pendant l'hivers mais grace a Glaurung qui nous a amené une plaquette informative ce n'est plus dans leur projet (de toute façon avec la crise que je leur ai faite lol). L'été dernier on a compté plus de trente individus. J'espère qu'elles seront plus cet année
  21. C'est pour pouvoir prendre en photo mon blaireau et tous les animaux qui viennent a la rivière qu'il y a en bas de chez moi. Donc il me faut un truc simple a faire et a défaire mais solide car ceux ne sont pas des petits sangliers qui passent là bas. Michel - J'ai déplacé ton sujet ici
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