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Si ton amie est une personne de petite taille et mesure 2 pieds 3 po. et pèse 43 lbs., moi aussi j'aurais peur à sa place ! Sinon, il n'y a pas trop de danger que ça arrive et je tiens à souligner également que le 3 quarts des membres qui postent dans Pythons et Boas se seraient déjà fait manger depuis un bout. Moi ce qui m'inquiète le plus la dedans, c'est de savoir qu'il y a encore des gens qui couchent avec leur serpent; des plans pour que ce-dernier mette les voiles et passe à 2 doigts près de faire faire une crise cardiaque à la petite dame de l'appartement d'en bas lorsqu'elle va le trouver dans sa toilette !!! En tout ca, je vais y aller avec la famille et Joyeux Noêl

Avant tout, merci pour vos commentaire ! @Simon: Oui bien entendu, je fais mes mentions à l'AARQ, j'accuse un peu de retard, mais je vais y arriver. Également, j'ai quelques projets d'écriture de documents en perspective, mais mon échantillonnage est encore trop faible. @Caro: j'étais déjà aller sur ce site avec Mathieu Ouellette en 2004 ou 2005 en hiver, mais je me rappelais ce que j'ai appris sur cette salamandre; elle se trouve principalement dans les résurgences. Ayant ''spotté'' un filet d'eau qui sortait du roc, j'ai proposé de fouiller et ce fut fructueux. Je dois dire que c'est très différent comme habitat par rapport à la salamandre sombre du nord et nous avons trouvé des individus, entre autre les pâlottes dans de minuscule filet d'eau. @Mathieu: J'ai utilisé un rebel XTI avec une bague adaptatrice pour faire ''fitter'' une 55 micro Nikor dessus. J'utilise le tout en manuel (par choix et par obligation, puisque la lentille ne peut être mise en mode auto). Mais avant tout j'aime faire de la photo et mes mises au point. Pour ton intérêt personnel, j'ai fait un document d'ordre général sur la photographie de l'herpétofaune en milieu extérieur, il faudrait juste que je trouve un moyen de le hoster. Si ça t'intéresse, on pourrait s'organiser pour en parler !

@Nelka: Mal vus, bien vus, ça reste relatif et surtout ça reste le hobby (bon ok, ça fait bizarre que j'écrive ça, surtout que j'ai tendance à lancer des pierres facilement, mais je me suis calmé un peu héhé !) Je suis aussi de ceux qui sont totalement contre les hybrides. Le point de vue que j’amène généralement est surtout situé au niveau de l'éthique, autant au niveau du respect de la nature que du hobby. Je pense que la pire crainte que j'ai (je vais parler pour moi), c'est que le serpent tombe entre les mains d'un incompétent qui va faire n'importe quoi avec ou tout simplement un gars qui va hybrider pour introduire une tare génétique (ex :albinisme), dans une espèce pour créer un nouveau morph de cette espèce. Or, si je regarde l'autre côté de la médaille, c'est hybrides existent bel et bien dans le hobby et ce depuis fort longtemps et les ''conséquences'' restent assez limitées... Je veux dire que a) ça ne cour pas à tous les coins de rue et b) c'est pas tout le monde qui les accouple pour en faire de nouveaux morphs. C'est sûr que dans ce hobby comme dans tout autre hobby, il y a des charlatans et des imposteur qui sont prêt à tout pour réaliser une vente et je pense qu'il est du devoir de l'acheteur de bien se renseigner et de ''gauger'' le sérieux du vendeur. Dans le doute, refuser d'acheter reste la meilleure solution. Pour Mathieu N. je ne le connais pas personnellement, mais j'ai entendu parler de lui assez souvent; les allégations faites à son sujet me laisse entendre qu'il est suffisamment responsable pour ne pas vendre à n'importe qui, ce que je trouve très bien !

Salut tout le monde ! Pour vous mettre dans le contexte, je n'anticipais pas avoir une grande saison cette année en dépit de problèmes personnels; mais ce que je vais vous montrer est la preuve que nous ne devons jamais vendre la peau de l'ours avant de l'avoir tué. Ces photos ne représentent pas ma saison en entier, mais les moment les plus mémorables Enjoy !!! Dans un premier temps, voici le résultat d'un herping au mois de Juillet. Habitant en Estrie et par conséquent, hors de l'aire de distribution de ces 2 espèces, je suis aller faire un petit voyage question de me rapprocher des certaines petites couleuvres rares; Ma première couleuvre tachetée (Lampropeltis triangulum triangulum) de la saison, un sub-adulte d'environ une 40 aine de cm. J'étais particulièrement heureux de la trouver en dépit du fait que nous l'avions cherché à quelques reprises auparravant et ce, sans succès. Il faut savoir que la couleuvre tachetée est rare et qui plus est, à des moeurs très discrets, donc est particulièrement difficile à observée et ce, même dans un spot ou sa présence est attestée. Je retiens votre attention sur cette couleuvre brune (Storeria dekayi); cette femelle gestante à des couleurs que j'ai rarement aperçu chez cette couleuvre et 18 ans, soit les flancs brun rouille et une bande dorsales grisâtre. Lors du tournage ''Un monde qui passe inaperçu'' d'Étienne Plasse, nous avons (Étienne, Hugo-Paul et moi) cherché l'espèce de salamandre la plus rare au Québec soit la salamandre sombre des montagnes(Desmognathus ochrophaeus). Cette salamandre est également l'une des plus rare au Canada; seul 2 populations sont connues, l'une dans le sud du Québec (découverte en 1988) et l'autre (découverte plus récemment) dans la région de Niagara Falls. Spécimens de salamandres sombres des montagnes; on voit clairement le motif de chevrons qui orne le dos de l'espèce et qui la différencie principalement de la plus commune salamandre sombre du nord (Desmognathus fuscus). Lors de cette journée, nous avons dénicher 2-3 spécimens avec une coloration extrêmement pâle. Nous ne pouvons pas conclure qu'il s'agit d'hypomélanisme surtout si on tient compte que la salamandre sombre des montagnes est extrêmement variable en coloration. Mais peu importe, il s'agit ici de magnifiques spécimens observés et aussi, de très belles mentions ! Voici maintenant une photo de groupe vous démontrant certaines des nombreuses variante de couleur de la salamandre sombre des montagnes. Il existe aussi une forme rougeâtre de l'espèce, mais il ne nous fût pas possible de la photographier. La salamandre cendrée est très commune au Québec, cependant les spécimens ayant un dos blanc sont beaucoup plus rare. C'est la deuxième fois seulement que j'observais ce type de coloration chez cette salamandre. En finissant de filmer, nous somme tombé sur cette rainette crucifère (Pseudacris crucifer) et j'en ai donc profiter pour lui tirer le portrait héhé !!! Pour le tournage, nous voulions faire une pierre 2 coups avec la salamandre sombre des montagnes et la couleuvre tachetée, compte tenu qu'il y a un spot pas trop loin de cette dernière près de celui des salamandres. Cependant, nous n'avons trouvé qu'une exuvie de couleuvre tachetée. Par contre, il a été possible de voir ces quelques couleuvres vertes et des couleuvres à collier (pas de photos, j'ai priorisé la verte). Pour un shooting plus complet des couleuvres vertes, je vous invites à regarder le post suivant: http://www.repticlic.com/t21166-couleuvres-vertes-de-nuit Quelques jours plus tard, je suis aller faire une vérification avec Hugo-Paul pour voir des couleuvres d'eau (Nerodia sipedon). Au total nous avons eu 8 spécimens (5 vivants et 3 morts), ce qui est excellent pour ce spot. Nous avons trouvé un nouveau secteur pour l'espèce, ce qui viendrait étayer une théorie que j'avais à ce sujet. Également, compte tenu de la destruction d'un habitat clé, j'en ai profité pour documenter les nouvelles infrastructures et savoir si cette espèce utilisait toujours le ''nouvel'' habitat. Tout a été extrêmement concluant !!! Ce juvénile de l'année est le premier spécimen observé dans la journée et a été trouvé dans le spot ''détruit''. Reste à savoir (en 2012) s'il y a encore des hibernacles utilisés dans ce secteur. Juste un mot : DOR ! Ce spécimen est le deuxième observé. Voici 2 mâles adultes vivant ce coup là. J'ai pu profiter de la température fraîche de fin de journée pour tirer quelques bons clichés ! Je termine maintenant avec la cerise sur le sundae, soit 2 spécimens de couleuvre tachetée. Voulant faire de la photo de cette espèce, j'ai fouillé le ''spot'' de fond en comble. Avec les années, j'ai compris qu'il n'y avait pas de recette miracle pour trouver une couleuvre tachetée et ce, même dans un lieu où elle a été observée à de multiples reprises. D'ailleurs, selon moi, c'est d'ailleurs la seule couleuvre québécoise dont c'est le cas ! Malgré tout, ce soir là j'ai mis la gomme et je suis tombé sur mon deuxième spécimen de l'année, un juvénile. La journée de mon départ pour Sherbrooke, je suis retourné documenter dans le site du précédent juvénile. Je n'avais vraiment pas beaucoup de temps devant moi, mais je me suis permis de lever quelques roches et débris; je tombe sur ce mâle adulte d'environ 2 pieds et demi. Depuis 2008, les seules couleuvres tachetées que j'ai trouvé étaient des juvéniles ou des sub-adultes. Donc, je ne vous raconte pas ma joie lorsque j'ai déniché ce gros spécimen complètement par hasard. Notez les coloration moins vive chez l'adulte que chez les plus jeunes ci-dessus. Donc en gros, pour une année qui s'annonçait catastrophique pour moi, fût probablement l'une des meilleure pour ne pas dire LA plus belle ever !!!!!!!!!!

Je trouve que c'est une très belle initiative. Il existe effectivement de nombreuses espèces fort intéressantes que l'on voit que très rarement ici !

Je vais peut-être y être, je ne peux rien garantir pour l'instant, mais j'aimerais bien !!!

T'inquiète Mathieu, elle ne m'aime pas particulièrement D'ailleurs, si Caro est ok, on va peut être lui trouver un petit mec !

Je t'appuis la dedans à 100 milles à l'heure Mathieu ! @Boa83: Je suis content de voir que tu sois capable de retracer l'origine de tes serpents; ici, principalement avec les espèces communes telles le boa constricteur, c'est pratiquement mission impossible. 2èmement, une sp, ssp ou localité peut être réputée devenir plus grande ou plus petite que la ''normale'' cependant, rien ne prouve hors de tout doute raisonnable que ce soit coulé dans le béton. Il y a tellement de facteurs qui influent sur la taille d'un serpent, donc je pense qu'on parle plus de moyenne que de fait. Pour étayer ce que je te dis, prend l'exemple des serpents-tigres australiens; la forme australienne (Notechis scutatus) est réputée pour dépasser rarement les 120 cm. Les anciennes sous-espèces insulaires (anciennement Notechis ater ssp. aujourd'hui homologuées avec N. scutatus) peuvent devenir 2 fois plus grandes en dépit de leur régime alimentaire; la diète des adultes est principalement basée sur de jeunes puffins et par conséquent, le serpent se gave durant la période de nidification pour ensuite jeûner le restant du temps. Donc il se peut fort bien qu'une raison similaire soit à l'origine des croyances sur les tailles. Ps: as-tu un document scientifique avec un échantionnage suffisant pour étayer ce que tu dis, car si non, je pense qu'il est un peut audacieux de prétendre que Mathieu à tort lorsqu'il expose des faits !

Merci beaucoup Nic pour le lien, définitivement, 2011 est une année très ''payante'' en matière de découverte de nouvelles espèces de reptiles (85 de reptiles, dont 22 de serpents, incluant cette découverte, selon le reptile database) J'vais gager avec toi Justin... Malheureusement!! hehe Au fond de moi, j'espère que s'il se retrouve de cette espèce sur ses listes... Il va couler une fois de plus! La dessus, moi je dirais que Atheris matildae est peut-être sur le marché depuis un bon bout de temps et je m'explique; cette espèce est très similaire en morphologie et en coloration à Atheris ceratophora (Usambara bush viper) et qui est aussi endémique de la Tanzanie. Donc il se peut fort bien qu'il y ait eu une ''erreur'' d'identification chez les spécimen captifs. Également, il semble que la Tanzanie exporte beaucoup de reptiles, ce qui laisse entrevoir des scénarios plus ou moins reluisants pour la conservation... En tout cas, je serais curieux de voir les propriétaires d'Atheris ceratophora de par le monde, en train de checker l'écaillure de leur spécimens pour être sûr de ce qu'ils ont... En tout cas, merci encore, cette nouvelle vipère aggrémentera à merveille mon ''venomous snake database'' héhé !!!

el sais tu moué crisse !!!! Pou hahahahahahahaha !!! Est trop bonne

Très bon débat ! Je suis de l'avis que certaines races de chien sont (en théorie) plus disposées que d'autres à être agressives que d'autres; de là à les interdire, c'est une autre histoire. Il ne faut pas oublier que le chien (toutes races confondues) est de très loin l'animal le plus dangereux d'Amérique du nord, surpassant en mortalité/morbidité et en nombre d'attaques, les serpents, crocodiliens, gros mammifères (ours, puma e.t.c.), requins et invertébrés combinés. C'est un animal à risque puisqu'il est très répandu et que certaines personnes semble oublier que toutou, même domestiqué, demeure un animal. Par contre, pour le débat des races, personnellement j'ai eu une surprise, car moi aussi je croyais que c'était les pitt, rottweilers, bergers allemands, husky e.t.c. qui attaquaient tout le temps. Or, je fus surpris de constater que certaines races dites ''affectueuses'' telles les labradors ou golden par exemple, étaient à l'origine de bien plus d'attaques que nous pouvions l'imaginer... Donc tant qu'à moi, la question revient vraiment à la resposabilité du maitre.

Le sérum utilisé au Canada pour les espèces de serpent venimeux indigènes (Massasauga de l'est Sistrurus catenatus, le crotale des prairies Crotalus viridis ainsi que le crotale du pacifique nord Crotalus oreganus) est le CroFab et est produit aux USA. À la base, le CroFab est un polyvalent anti-crotalinae et les venins utilisé pour sa constitution sont extrait des espèces suivantes; Mocassin d'eau (Agkistrodon piscivorus), le crotale diamantin de l'est (Crotalus adamanteus), le crotale diamantin de l'ouest (Crotalus atrox) et le crotale du Mojave (Crotalus scutulatus). Même si les espèces canadiennes ne figure pas dans ''la liste des ingrédients'', il est tout de même possible de traiter des morsures d'autres espèces similaires. Cependant, la banque canadienne ainsi que le Venom Unit du Miami-Dade Fire Department, possède généralement des antivenins d'espèces exotiques (ex: SAIMR polyvalent sud-africain, CSL monovalent et/ou polyvalent, Thai Red Cross polyvalent, pour ne citer que ces exemples).

Salut Matthieu, c'est une très bonne question et je vais tenter d'y répondre au mieux de ma connaissance: Je ne crois pas que l'extraction de venin ne soit faite au Canada (et je spécifie qu'elle soit faite dans un but scientifique et/ou pharmacologique). L'extraction du venin dans ces buts est beaucoup plus complexe qu'elle en à l'air; il faut une rigueur hors du commun, des mesures d'hygiène extrêmement strictes et tout ça en incluant le risque très élevé de morbidité/mortalité qui peut découler de cette profession, suite à la morsure d'un serpent venimeux (ps: 2011 est une année assez sombre en cette matière). Il y a en plus un coût important pour le matériel; entre autre il faut des congélateurs spéciaux pour entreposer le venin (procédé de ''freeze drying'' désolé pour l'anglissisme, je ne connais pas le terme français). La congélation conventionnelle peut largement endommager la qualité d'un matériel biologique d'où l'importance d'avoir le matériel en conséquence. Également, les compagnies pharmaceutiques fabricant des produits tels CroFab (anti-crotalinae nord américain) ou CSL (monovalent et polyvalent d'Australie et de Papouasie Nouvelle-Guinée) ont des critères de qualité et de sélection très rigoureux. Ils ont besoin d'un produit d'une qualité irréprochable. Dans le processus de rigueur, des compagnies ''productrices de venin'' telles Latoxan ou l'institut Butantan par exemple, ont des données très précise sur la provenance des animaux, des processus sur l'extraction du venin (ex: quantité X mg, produite telle date dans un cycle de 28 jours, produite par la femelle 2198 de l'espèce Bothrops moojeni qui a été capturée à telle latitude-longitude, de l'état Y au Brésil). Il est erroné de croire que certaines personnes ou groupe de personnes, produise du venin de ''qualité'' qui sera utilisé en pharmacologie (je fais entre autre référence au ''Rattlesnake roundup'' qui proclâme que leur extraction lors d'un ''show'' sauvera des vies, ce qui est tout à fait faux). Donc en gros, un gramme de venin sec vaut une fortune, mais sont extraction n'est pas si simple. Les compagnies qui font l'extraction ont besoin d'être légitimes, transparentes, très intègres et très rigoureuses, ce qui fait que la production est aussi très coûteuse. Petite spécification par rapport à ce que Justin a posté: Le premier lien parle de la banque d'antivenin Canadienne, c'est-à-dire qu'elle possède des sérums de par le monde, mais ce n'est pas elle qui les produit !!! Si tu as d'autres questions la dessus, n'hésite pas !! Patrice

C'est vrai qu'il est nice, cette espèce est vraiment l'une de meilleure; bon le p'tit gars est encore un peu nerveux, mais c'est juste un détail... par contre, il fait vraiment une belle bague et/ou bracelet avec ses anneaux.... Pour l'espèce, il faudra attendre une mue et par chance, si ce n'est pas un hybride, il nous sera aisé de l'identifier avec les critères diagnostiques; les fuliginosus, capensis et maculatus (voir même aussi lineatus), sont très similaires en coloration et lorsqu'une animalerie en reçoit, tous portent l'appellation ''d'African house snake'', sans distinction pour l'espèce exacte (malheureusement). Donc la possibilité d'hybride est très probable d'autant plus qu'il est très facile de les reproduire.... À suivre ! En fait si c'était un hybride, on avait pensé le faire cuire vapeur, mais on a pas trouvé de pain à hot-dog de 2 pied donc on est encore en train de méditer à la question:lol:

Je suis d'accord avec toi Mathieu, ce n'est pas impossible, cependant cela implique le revers de la médaille; c'est-à-dire que j'ai le droit d'exprimer mon opinion selon mes valeurs et dans ce cas-ci, comme je suis un puriste et qu'il y a de nombreuses choses que je n'aime pas du hobby (ps: je ne partirai pas de débat la dessus ce soir) et par conséquent, je fais valoir mon opinion et cela fait parti du vivre et laisser vivre !!! Ps: On pourra peut-être s'en reparler un de ces 4 quand je vais descendre à Mtl, après tout ce temps !

Merci pour le lien mais pour ma part...... Je trouve ça horriblement pathétique! Bon je veux bien que ce soit virtuel et que ce genre de jeu existe aussi pour d'autres catégories d'animaux, mais je continue de trouver ça horriblement pathétique quand même. ''- Soyez le parfait breeder, gagnez des ''compette'', créer de nouveaux morphs virtuels (comme si y'en avait pas assez de réel)... wow, scuser moi, j'ai de la misère à m'y faire au hobby d'aujourd'hui ! En attendant que je m'y fasse, je vais aller vomir un peu.... Ps: Rien de personnel contre toi BlackLeucistic, c'est juste que je ne m'imaginais pas ce genre de connerie existait même pour les reptiles... Go ''hobs'' go !!!

Ça fait effectivement un super beau terra, mais comme Maz à mentionné, je te suggère de faire les quelques correctifs que tous t'on spécifié; je rajouterais que sur la photo 2, on a l'impression de voir du tapis; Or, le tapis n'est pas recommandé en dépit du fait qu'il peut devenir un véritable nid de bactéries et certains d'entre elles résistent même au lavage. Maintenant, voici un autre désavantage du grillage; c'est le boa de ma blonde qui s'est rubbé le museau en l'espace d'une nuit. Son enclos possède aussi une devanture en grillage et voilà le résultat. Le python royal étant nocturne, il y a un risque qu'il en fasse de même lors d'une période d'activité potentielle la nuit.

Vraiment cool Étienne, t'a vraiment un oeil formidable pour la photographie. La passe de la snapper et du char et ensuite le contre-jour au coucher du soleil Vraiment nice. Ps: À voir la qualité du film, je comprend pourquoi ça te prend tellement de temps filmer

Je comprend ton point de vue et j'ai eu le même pendant des années jusqu'à ce que je vois quest-ce que la captivité impliquait... Je veux dire par là, ce que le monde font avec leur reptile; on pourrait aussi soulever la question du inbreeding et le ''tripotage génétique à outrance'' et de toutes les autres grossières abbérations dans le hobby que les gens font avec leurs aniamux CB. Je n'ai jamais tripper sur le WC, mais quand je vois le hobby se concentrer sur les mêmes espèces, les modifications génétiques outrancières, le inbreeding, le manque d'information sur la généalogie et tout le tra la la..... hey bien disons que j'ai un peu changer d'avis sur la question. En gros, si c'est importer pour importer et vendre (ex: comme premier serpent), c'est une chose et oui il y a en masse de CB... Mais un maniaque de diversité et/ou qui en a raz-le-bol des conneries humaines mentionnées au deuxième paragraphe a 2 options lorsqu'aucun spécimen convoité n'est disponible CB: 1- IL achète un WC 2- Il garde rien ! En gros je suis pas mal partagé sur la question étant plus un herper qu'un herpétoculturiste, mais tant qu'à moi, avoir du WC ça passe beaucoup mieux quand un terrariophile le fait pour avoir ou partir une colonie d'une espèce inexistante ou quasi inexistante sur le marché ou encore, pour ajouter du nouveau matériel génétique dans une lignée.

C'est effectivement la meilleure façon de découvrir des espèces et de les maintenir; Par exemple, connaître l'écologie d'une espèce s'avère très utile quand on connait très peu la manière de la maintenir en captivité. PS: Les espèces que je vous ai présenté sont disponible sur le marché (relatif) et même si elle représente un défi, peuvent se garder en captivité. Je pourrais faire la présentation d'autres espèces, mais comme il s'agit d'un forum de garde en captivité, je préfèrerais dans la mesure du possible vous présenter des espèces disponibles sur le marché !

Pour ce qui est de la garde en captivité, je suis aller chercher quelques photos sur google de certains colubridés qu'il est possible de voir en captivité (malheureusement certaines de ces espèces ne sont pas encore rendu jusqu'ici, pour des raisons que je n'énnumèrerai pas afin de ne pas partir une guerre). Bien entendu, cette liste n'est pas exaustive, ce n'est que quelques espèces de colubridae et lamprophiidae sur les + de 2000 existante; cependant, cela peut commencer à vous donner une petite idée sur d'autres serpents; Mole snake africain (Pseudaspis cana) L'équivalent africain des bull, pine et gopher snake (genre Pituophis). On a commencé à en voir récemment en captivité au Québec et au Canada. Facile à garder en captivité, il nécessite cependant un grand terrarium. On peut trouver des variantes (naturelles) foncée et pâle. Une espèce que l'on gagne à découvrir ! Serpent ratier mandarin (Euprephiophis mandarinus) L'un des serpent qui étaient jadis parmis les plus dûr (WC) à garder vivant en captivité en dépit de conditions de garde très particulières. Cependant, certains ont réussi l'exploit et aujourd'hui, la majorité des spécimens sont CB et moins difficile sur bien des points. Malgré cela, il faudrait que l'acquéreur d'un tel serpent soit doté d'une certaine expérience, se renseigne sur certains aspect (humidité et températures très différentes de ce que l'on voit avec les espèces plus communes, besoin de beaucoup de cachette et ne pas manipuler trop souvent). Les prix ayant largement baissés, il s'agit là d'un beau défi pour un herpétoculturiste !!! Serpent ratier des bamboos (Oreocryptophis porphyraceus ssp.) Oreocryptophis porphyraceus coxi Oreocryptophis porphyraceus laticincta Oreocryptophis porphyraceus pulchra Oreocryptophis porphyraceus vaillanti Les 4 sous-espèces illustrées sont les plus fréquentes sur le marché américain et européen. Tout comme le serpent ratier mandarin, cette espèce était jadis extrêmement difficile à maintenir avant l'arrivée des CB. Également, elle est fort jolie, mais pas conseillée à tout le monde (principalement pour les même raisont que le ratier mandarin. Un autre défi en perspective pour certains ??? Serpent ratier d'Amérique centrale (Pseudelaphe flavirufa ssp) De temps en temps nous pouvons voir ce serpent sur le marché, principalement en Europe. Ce n'est pas particulièrement difficile à maintenir, si ce n'est qu'il préfère un environnement plus humide. Cette espèce étant montagnarde (du sud du Mexique et du nord de l'Amérique centrale adjacente), il faut faire attention aux température. Serpent ratier vert (Senticolis triaspis) Ce superbe serpent ratier (ssp intermedia) est pourtant rarement aperçu sur le marché actuellement. Cette espèce vit principalement en altitude dans un habitat aride, semi aride ou dans certaines forêts de conifères que nous retrouvons dans les montagnes du nord du Mexique ainsi que dans le sud de l'Arizona. Terrestre et semi-arboricole. Peut être sensible aux manipulations. Couleuvre léopard (Zamenis situla) Ce petit serpent ratier européen commence à être aperçu plus régulièrement sur le marché, principalement européens. On les retrouve en nature dans l'est de l'Europe ainsi qu'en Asie occidentale. Elles préfèrent un habitat sec. Ces serpents peuvent stresser facilement si on les manipule et arrêter de manger. Également, au niveau de la nouriture, cette couleuvre mange principalement des rongeurs et des lézards, mais les individus NC ne semble pas capricieux sur ce point et accepte des rongeurs de petites taille (proportionnel au serpent). Un autre qui mérite amplement d'être découvert par un terrariophile à qui ça ne dérange pas de ne pas trop manipuler son serpent. Couleuvre d'eau (genre Nerodia) NB: La couleuvre d'eau du nord (Nerodia sipedon) est strictement interdite de capture et de garde en captivité au Québec puisque c'est une espèce indigène ! La couleuvre d'eau à bandes larges (Nerodia fasciata confluens), fort élégante mais moins aperçue en captivité que sa cousine de Floride, Nerodia fasciata pictiventris. La couleuvre d'eau diamantine (Nerodia rhombifer), elle aussi moins aperçue en captivité et pourtant il s'agit d'une espèce avec de très beaux motifs. Les couleuvre d'eau du genre Nerodia sont des serpents très faciles à garder; il est simple de les maintenir et de les nourrir. Principalement piscivores, il est possible de la nourrir avec une grande variété de poissons selon la taille du serpent. Par contre, il faut éviter absolument de les nourrir avec des poissons rouges (et autre poissons contenant beaucoup de thiaminase). Certaines personnes les nourrissent avec des rongeurs, mais les avis sur la question sont assez partagées puisque les enzymes digestives de la couleuvre ne sont pas conçues pour digérer ce type de proie. Cependant, ces couleuvres sont assez gloutonnes et plusieurs personnes ont réussies à leur faire manger du poisson de supermarché (ex: morceau de filet de truite). Les spécimens que nous voyons au Québec sont généralement des couleuvre d'eau de la Floride (N. fasciata pictiventris) et des couleuvres d'eau verte de Floride (Nerodia floridana). Plus rarement, nous verrons des couleuvres d'eau à ventre rouge (N. erythrogaster ssp.), des couleuvres d'eau brune (N. taxispilota) et des couleuvres d'eau diamantines (N. rhombifer). La plupart des spécimens retrouvés sur le marché au Qc sont WC et une bonne quarantaine ainsi que certains tests (ex:test de selles pour les parasites intestinaux) devraient être faits. Par contre, il est aussi possible d'en trouver des NC. En nature, les couleuvres d'eau peuvent être agressives lorsqu'elle sont capturées, mais elles se calment très rapidement. Du coup, elle deviennent très agréable à manipuler. Pour ce qui est de la taille, il y a un dimorphisme sexuel important entre les mâles et les femelles: ces-dernières peuvent devenir 2 fois plus grandes. Il faut aussi tenir compte de l'espèce, certaines d'entre elles peuvent dépasser légèrement 6 pieds (ex: N. cyclopion, floridana), vs d'autre ne dépasseront pas 5 pieds. Si vous voulez un plus petit spécimen, choisissez un mâle. Compte tenu de la diète piscivore, il est important de nettoyer le terra régulièrement. Serpent des maisons d'Afrique (Boaedon fuliginosus, capensis, maculatus et lineatus) Selon moi, le meilleur serpent pour débuter sur tous les aspects; mange très facilement, est fort agréable à manipuler, reste de petite taille, se reproduit facilement et j'en passe. Faisant parti de la famille des Lamprophiidae, ce petit serpent constricteur mange aisément les rongeurs offerts. Côté manipulation, plusieurs spécimens ont tendance à s'accrocher et à s'enrouler autour des doigts et/ou de la main-bras. Il est peu coûteux, CB, nécessite peu de place e.t.c... Son seul hic: il est moins coloré que d'autres serpents populaires tels les corns snakes et de ce fait, est largement moins en demande. Serpent des maisons aurora (Lamprophis aurora) Ce petit serpent des maisons est actuellement très rare sur le marché nord-américain, vs il est possible de retrouver quelques éleveurs répartis en divers pays d'Europe. Il est très facile à garder en captivité si ce n'est des juvéniles (très petit) qui peuvent avoir de la difficulté à se nourrir de pinkys (beaucoup d'éleveur leur donne un bout de queue par exemple ou un bout de patte). Cette espèce gagne à être connue... (Perso elle est dans mon top 3, quitte à la faire importer d'Europe). Serpent roi à bandes grises (Lampropeltis alterna) 2 spécimens montrant la diversité dans la taille des bandes rouges Ce serpent roi, de petite taille, habite naturellement dans l'ouest du Texas et au Mexique adjacent. Nocturne, il était extrêmement difficile à apercevoir (était considéré comme très rare) et il y a plusieurs années, étaient beaucoup plus rare sur le marché pour cette raison. Cependant, la technique du ''road cruising'' a permis de découvrir qu'il pouvait être localement abondant. Il est possible de le trouver en différente forme de couleur, généralement selon la localité où il a été trouvé. Les plus colorés sont les ''blair'' (gris pâle avec de large bandes oranges ou rouges). Les individus trouvés sur le marché sont principalement CB et facile à garder en captivité. Le principal hic se retrouve au niveau de juvéniles ainsi que de certains spécimens WC; ils préfèrent souvent manger des lézards, mais il existe une multitude de techniques qui ont fait leurs preuves afin de les ''switcher'' aux rongeurs. Donc en gros, le mieux est d'acheter un spécimen qui mange bien des rongeurs et bien se renseigner si on désir faire de la repro. Sinon, c'est vraiment une superbe espèce qui selon moi, devrait être plus populaire !!! Bon, c'est fini pour moi aujourd'hui, mais je ferai peut-être d'autres topos sur d'autres espèces éventuellement.

Es-tu sûr que tu veux mon opinion sur le sujet héhé ????

Perso, s'il te prend souvent l'envie de philosopher là dessus ainsi que sur d'autres question du genre, je te suggère de lire de bon livre sur l'herpétologie ainsi que de suivre la taxonomie; bon ok, c'est pas toujours facile à comprendre et/ou c'est très long et changeant, mais tout de même, tu apprends en masse. Pour ce qui est des ressemblances entre des espèces éloignées, ont pourrait en parler très longtemps. Mais n'oublie pas qu'il y a quelques milions d'années, les continents n'avaient pas la même dispositions et que certaines espèces, aujourd'hui séparées par un océan, étaient très près l'une de l'autre dans le temps.... Et finalement l'évolution et les adaptations; si nous prenons les couleuvres, il existe plus de 1700 espèces (+ les Lamprophiidae qui sont en général ''d'anciennes'' couleuvres et qui compte 200-300 espèces) et il existe une très grande diversité morphologique et de coloration au sein de ces 1700 espèces... pourtant ce sont toutes des couleuvres; il s'agit donc ici du ''miracle de l'évolution'' ainsi que de diverses adaptations.

Ouh la la.... mais c'est que hervé est rendu avec un Crotalus lepidus et une Vipera ammodytes.... NICE !!!

Officiellement, on retrouve le PR dans 19 pays d'Afrique; pour ce qui est des différents patterns et trait de coloration, c'est très variable d'un spécimen à l'autre... D'ailleurs les morphs ont été pas mal tous créé à la base avec des animaux présentant une ''anomalie'' ou un trait de coloration particulier.... Bon ok, vient ensuite les pratiques tel le inbreeding dans le tapis e.t.c e.t.c. pour créer des supers beaux morphs et combos (je suis extrêmement sarcastique la dessus). Le problème avec les PR en captivité, c'est qu'il y en a tellement, qu'il est virtuellement impossible de savoir d'où (de quel pays et/ou région) les ancêtres des spécimens actuels proviennent. Le seul moyen, ça serait de t'en faire venir un WC et encore là, il peut y avoir des erreurs. Donc il faudrait que tu ailles le chercher toi même en Afrique pour être sûre à 100%