Martine95630

Mag, laisse-toi tenter : c'est vrai qu'il y a dans le lot des trucs assez inoxydables. Si tu arrivais à les faire trépasser, il faudrait mettre un encart d'exception remarquable sur les pages correspondantes de wikipédia ! Et puis, avec les explications de Delphine, non seulement tu te découvriras beaucoup de talent en jardinage mais encore tu auras l'année prochaine un jardin surprise ! Alors... ???

Oui. Quand on passe comme ça à côté d'une vraie cata, on se dit que c'est une chance que la tronçonneuse ne soit pas à portée de leurs petites pattes... Et les chats seraient "des animaux de vieux ou de mémères" ? Je l'ai entendu. Par un bipède limité du bulbe, de sexe mâle - qu'on ne me fasse pas dire ce que je n'ai pas dit - passionné de chiens à l'exclusion de tout autre animal au point de n'avoir de "conversation" que sur ce sujet et qui avait appris au sien "assis, debout, couché, rapporte", démonstration qu'il faisait à tout bout de champ pour épater la galerie, laquelle observait surtout que le chien était une bonne pâte pour supporter un con pareil ou était un méditatif, ou blasé. Ou fumait en douce, sinon, je ne m'explique pas une telle zénitude. Moi, je lui aurais mordu le mollet au sang, pour qu'il brâme pour quelque chose et quitte son air de con satisfait de lui-même. Je vais d'ailleurs avoir le problème avec l'un de mes FA : Blue. Supérieurement intelligent, mettant en oeuvre des stragéties faites dans la nécessité de survie au milieu d'une horde de ses semblables, de voisins hostiles dont certains jouaient sur eux au paint-ball ou les brutalisaient, ayant de fortes capacités de mémoire déductive, quoique boîte à ronrons dès qu'on le prend dans les bras si on ne se fie pas à son air de beau ténébreux dédaigneux des bisous et autres papouilles. Si je ne trouve pas pour Blue un adoptant au moins aussi intelligent que lui, ça ne va pas bien se passer.

Du pavot aussi, c'est de la saloperie increvable. Je devrais peut-être proposer le bouquin à Mag ? :RIRE:

Dans la dynamique de la préparation des plantes pour les journées PO, je plante toujours en Mayenne aussi pour donner un air habité et fleuri au tout. J'avais acheté un petit bouquin sur les plantes dites sauvages, voire "mauvaises herbes". Dans le style littéraire, puisqu'en Mayenne, je ne regarde pas la télé, n'écoute pas la radio mais lis ce que je n'ai pas le temps de faire ici, j'avais commandé plusieurs romans à la F..C, dont un, dont le titre me paraissait assez intéressant pour faire un bon polar : "du canabis dans mon jardin". Un bon titre augure en général d'une écriture intéressante et d'un roman qu'on ne lâche pas de la première à la dernière page. Je compte faire un saut en Mayenne la semaine prochaine donc, hier soir, je regarde mes achats (pas encore ouvert les paquets) pour sélectionner les bouquins que j'emporte. Et je feuillette, le format du bouquin précité ressemblant plus à de la notice informative qu'à un roman. Et c'est, effectivement, l'art et la manière de cultiver du chichon dans son jardin... Je me trouve de plus en plus extraordinaire, non ? Vous me vouvoierez à partir de maintenant. Le pire est qu'il est trop tard pour que j'échange. Je vais mettre ça en vente sur internet, m'est avis que je trouverai preneur.

Hier soir, après moult aventures (c'est tous les jours, de toutes façons), j'étais en train de poupouner Piyou, que j'avais emmené chez le véto car il commençait à tousser et éternuer (il y a du coryza ces temps-ci), lumière tamisée, je tentais de comprendre quelque chose à un feuillon télé dont j'avais loupé les 3/4. Et soudain, dans l'ombre, mon regard a croisé celui de la crotoune, assise entre le bar et mes éléments de cuisine, bien posée sur son petit cul et qui me regardait. Elle file encore dès qu'on l'appelle mais mollement. Je sens que je vais apprivoiser le fauve très rapidement. Grosse peur en revanche, quand je suis rentrée de chez le véto vers 19h30, je suis allée libérer les 4 FA de la chambre de mon fils au second pour qu'ils se défoulent dans les escaliers. A peine la porte ouverte, j'ai trouvé l'atmosphère suffocante. Je doute de l'honnêteté du couvreur qui avait refait la toiture et soi-disant le doublage mais il n'avait jamais fait aussi chaud là-dedans, même en plein été. Eh bien, hier matin, pendant le gymkana, le radiateur situé derrière le clic-clac avait été décroché du mur, était donc posé sur la moquette (sans aucune aération) et le bouton ON avait été actionné. Résultat : ça aurait pu mettre le feu là-dedans à n'importe quel moment. J'ai beaucoup aéré en ouvrant le châssis de toit en grand (tout en faisant attention aux évasions car je n'ai plus la souplesse de passer par le châssis pour aller rechercher les fugitifs sur le toit) et la température est redevenue normale. Rétrospectivement, j'étais verte, quand même...

J'adore, c'est trop chou, y compris la crainte d'être "attaquée" par le fauve en pleine nuit. Je suis moqueuse (je vous ai saluée de dehors lorsque vous partiez avec Léa dans sa boîte de transport) mais c'est amical. Je comprends, si vous n'aviez jamais eu de chat. Avec Léa, vous avez adopté un parfait specimen, qui ne se laisse pas marcher sur les pattes mais est câline à souhait. Un chat, quoi. Une fifille, en plus. Les amoureux des chats apprécient justement cette indépendance d'esprit qui les rend si intéressants et si attachants. Léa ne joue pas, dites-vous. Peut-être pas eu l'habitude : tous les chatons ne sont pas sollicités en famille pour courir après un bout de ficelle et ceux qui arrivent à l'abandon ou trouvés dans la rue ont souvent eu à subvenir à leurs besoins, le jeu étant passé à l'âge tendre où ils ont dû survivre. Il y a aussi des chats joueurs et d'autres qui ne le sont pas. Vous verrez au fur et à mesure. Le jeu le plus simple et très attrayant est une simple boule de papier que vous lancez. En général, le réflexe d'attraper les sollicite et ils jouent. Plus ou moins. Pour la présentation hors cage du chinchilla et de la belle, prenez votre temps, ne précipitez pas : il faut que Léa ait intégré le fait que c'est aussi un animal de la famille et qu'à celui-là, on n'y touche pas. Mais ça se fait : j'avais plusieurs rats de labo en même temps que plusieurs chats, sans soucis. Et quand j'avais Smiley, mon cochon d'inde à longs poils, mon chat Vernon allait dormir avec lui dans sa cage. En ce qui concerne les griffures sur les épaules, c'est le syndrôme estival du chat qui fait cache-col : il a moins de prise pour s'accrocher que sur les pulls ou sweat-shirts d'hiver mais s'accroche quand même, histoire de ne pas dévisser. Donc, c'est la peau qui prend. Vous pouvez aussi ne la prendre sur les épaules que le matin au petit déj' et le soir, quand la fraîcheur demande un pull. Sinon, vous arborerez de jolies épaules grifouillées de baroudeuse. Très sexy ! (j'ai les mêmes : 11 chats à la maison, tous des pots de colle). De longues années de joie à Léa et vous ! Martine, bénévole chats.

Orianne, si tu as l'impression d'être chez moi c'est que tu as les nerfs solides ! Si t'as cinq minutes, il y a un ragondin noir à choper.

Entre décembre et maintenant, je suis passée de 4 chats à 11. Les 4 miens, mes 2 petites crottes de Mayenne que j'adopte puisque Gribouille les a adoptées, 4 chats en FA et un petit 11ème qui rôdait dans le tas de bois, attrapé samedi soir à la nuit, après la journée po. Le matin, je suis raplapla, hypertension et tout et tout. Donc minutée puisqu'à force d'aller mollement, on n'est pas loin du retard pour aller bosser. La dernière du jour, ce matin : Je prends un pull dans la salle de bains (dodo de Gribouille et de ses deux "filles), je descends avec Grib' sur l'épaule (j'avais de l'entraînement pour Nini, Léa et autres Timmy depuis 17 ans que je m'entraîne quotidiennement avec bouille-de-gris), suivie de près par Tunis, Piyou et Ma Gaufrette, la queue en l'air : mamame ! Je donne à tout le monde. Et j'ouvre la grande cage à lapin qui abrite temporairement "N° 11" pour lui renouveler l'eau et le miam. Et hop ! ce petit rat noir ravissant file se cacher sous le fauteuil. J'ai tenté de le pister quelques temps mais devant les précieuses minutes qui passaient et son affolement grandissant, j'ai laissé tomber. Il y a donc un fauve d'à peu près 20 cm en liberté au rez-de-chaussée, qu'on se le dise. Aucune idée sur la façon dont je vais le rattraper : dans le tas de bois, il était coincé entre les bûches et le mur. Là... je verrai. Et j'ai comme l'intuition que les "minou minou" vont être insuffisants... Je déjeune, je remonte avec Grib' sur l'épaule, je la mets dans la salle de bains avec ses filles que je nourris. Je ferme soigneusement la porte et monte libérer mes 4 FA et leur donner à manger. Ils cavalcadent dans l'escalier et moi, je découvre les crottes ordinaires (y'en a au moins un que ça passionne), la gamelle d'eau renversée dans le plateau à hauts rebords (ouf...) et mélangée aux croquettes, un sac de choses diverses éparpillé partout et le plastique que j'avais mis sur le clic-clac déchiré : ils ont dû s'adonner aux glissades groupées la moitié de la nuit... Je torchonne, remets un peu d'ordre, élimine les cacas, nettoie au mieux, donne à manger... Et descends me doucher. Bien avant que j'aie terminé, ça gratte derrière la porte : les FA sont AUSSI des pots de colle. D'accord, c'est moi qui les rends comme ça, j'avoue. J'ouvre la porte pendant que je me brosse les cheveux. Gold entre avec des grougrougrou d'invitation à l'attention de DeeDee, l'une de mes petites crottes. Celle qui fait le plus d'âneries sous ses airs ingénus. En effet, Gold a été stérilisé le mois dernier mais il a deux ans et se souvient de ce qu'on fait avec les fifilles aux beaux jours. Je le dissuade, mon effarouchée roulant des yeux signifiant "mais tout de même jeune homme, quelles privautés, à quoi pensez-vous donc, coquin !". Puis elle file derechef au deuxième étage, campement de mes FA. Gold, se sentant encouragé tant par le jeu que par ses idées sur la disponibilité des jeunes chatounes stérilisées, se rue à sa poursuite dans les escaliers. DeeDee lance des miaulements désespérés disant clairement qu'il faut que je vienne à son aide car un grand dégingandé blanc continue à l'importuner de manière de plus en plus insistante. Je monte donc et là, commence une course poursuite après mon petit raton-laveur qui se cache dans tous les coins. Yeux apeurés, certes mais je commence à connaître la fausse ingénuité de ces yeux-là. Gold se prenait au jeu, un coup la rabattant vers moi, un coup la faisant repartir de l'autre côté. Ca duré 10 bonnes minutes après lesquelles, en sueur et le coeur en chamade, j'ai réussi à boucler la merdeuse dans la salle de bains avec sa soeur et sa mère adoptive et faire remonter les 4 FA derrière moi dans l'escalier. J'ai réussi à partir avec SEULEMENT un quart d'heure de retard et en n'ayant pas omis de mettre mes sous-vêtements, ce qui me paraît miraculeux... Sont-ils pas mignons, autant qu'ils sont ! Rajoutez que Piyou, mon gros père tunisien de 9 ans, a une drôle de toux graillonneuse assortie d'éternuerments dont il m'a amoureusement gratifiée tout la nuit (il dort ou tousse dans mes bras) et que je file ce soir chez le véto pour en avoir le coeur net. Si c'est pas une maison de fous, je vous fiche mon billet ! Et en revenant, s'il me reste une once d'énergie après avoir changé les litières, poupouné et nourri tout le monde (et rempli ma déclaration de revenus), je chasserai le fauve sous le canapé et les meubles de cuisine parce que j'ai comme l'impression que celui (ou celle-là, pas eu le temps de regarder sous la queue) va bien être comme les autres : un tantinet prenant. Et que ce serait quand même plus commode de l'avoir à dispo dans une cage pour pouvoir l'emmener chez le véto. Quand je pense que certains tenants des chiens mais ignorant tout des chats pensent qu'on a peu de rapports avec eux, je ne sais pas ce qu'il leur faut !

flûte, zut, crotte et caca-boudin ! J'ai loupé Mag ! Chose facile dans la mesure où je ne la connais pas physiquement et que j'étais, la majeure partie du temps, à la chatterie. Mais quand même, j'ai manqué l'occasion de faire la connaissance de l'initiatrice des si jolies et sensibles affiches des enfants et de la terreur des plantes vertes, fussent-elles mauvaises herbes. Mince alors ! La prochaine fois, Mag, mets un tee-shirt fluo portant ton prénom ? Merci. Martine, bénévole chats

merci pour les bonnes nouvelles ! J'ai été heureuse d'assister au départ de Badaboum hier. Elle est encore très jeune, la belle demoiselle et parfaitement capable de quelques bêtises "pour fêter son adoption". Des caresses à elle. ET MERCI A VOUS ! Martine, bénévole chats.

Peu de monde hélas, peu d'adoptions. Comme on disait hier soir : espérons que la qualité des adoptants compensera la qualité. Côté chats, notamment Léa, pépette tigrée que j'avais eu sur l'épaule la moitié de la matinée et qui a trouvé adoptante. Et la petite blanche aux yeux bleus dont j'ai 2 frères en FA, des chats adorables, sans une once d'agressivité. Peut-être une réservation pour sa soeur. Je croise les doigts. Bons moments d'amitié et de rigolade, notamment autour de la foire aux plantes, Delphine ayant le commentaire botanique plutôt fertile et parfois plus détaillé que dans le bouquin... Belle émotion aussi quand l'adoptante de Kazy, une dame d'un certain âge, m'a fait appeler pour me montrer les photos de notre petit rescapé maigre et rafistolé de partout, devenu un bon gros chat de famille grassouillet. On s'est embrassées. Et elle est repartie avec mission de poupouner Kazy de ma part.

qui avait pris soin du petit Nico quand je l'avais rapporté, tout maigre et tremblant de peur. Très bonne journée de fête, Eric ! :CONTENT2:

Notre grosse mère Badaboum a été adoptée ce week-end ! J'ai eu la chance d'être dans le hall quand ses adoptants faisaient les papiers, je l'ai bien poupounée. Super, non ?

Avec un jour de retard, ce qui permet d'avoir un an de moins un jour de plus (oui, je sais, je me cherche une excuse), BON ANNIVERSAIRE ! :DANSE:

Merci Michèle, j'ai transmis. Je n'avais pas fait le rapport avec le refuge quand j'avais vu les affiches pour l'Ile Marante : je ne connais pas assez bien le secteur.

Aaargh ! J'ai loupé Vitamine ! En voilà un toutou sympa. Il allait bien, c'est le principal. Mais en voilà un à qui on aime bien faire un crouch crouch. A la chatterie, on ne voit pas qui arrive. Va falloir faire des annonces par haut-parleur !

bonjour et merci Nicolas. Avec un peu de bonne humeur et quelques pièces dans la machine à boissons chaudes, ça devrait aller. J'espère que les gens ne vont pas renâcler à venir à cause du temps en revanche. Wait and see...

Wouh, la petite crotte ! Elle est magnifique ! Et à l'aise dans ses patounes semble-t-il. Ton chat ressemble à mon gros Piyou, c'est marrant. superbes les photos !

les ordinateurs sont caractériels, c'est connu. Je comprends ta déception toutefois.

Je suis entièrement d'accord avec Evelyne. J'avais trouvé, en février 1992, il gelait à moins 10, un croisé berger-beauceron adulte mâle entier, mourant de faim (squelettique), pillant les poubelles qu'il pouvait trouver. Je l'ai emmené au poste de police avec ma mère. Je l'avais mis dans ma voiture avec une couverture, le temps de courir chercher une boîte au magasin voisin, de trouver une gamelle pour ça, une pour l'eau. Quand j'ai rouvert ma voiture, je me suis dit que je n'étais peut-être pas très en sécurité avec un chien adulte affamé d'une telle taille. Le commissariat l'a pris en charge (ils lui avaient refait une gamelle, je l'ai su plus tard) et l'a emporté à Plaisir le lendemain. J'en ai pris des nouvelles tous les jours. A la fin de la semaine, on m'a annoncé l'euthanasie pour le soir-même : les propriétaires avaient été contactés, avaient dit "c'est vous qui l'avez, gardez-le !", et à 8 ans et demie, dominant, pas dressé, habitué à chercher sa pitance seul quitte à se battre, il était condamné. Je n'ai pas pu le supporter. J'avais Vernon, mon chat roux adoré, qui n'aimait pas les chiens pour avoir été mordu par un berger quand il était chaton. J'ai pourtant fait l'aller et retour Mériel/Plaisir/Mériel pendant l'heure du déjeuner, pour lui éviter la piqûre. L'acclimatation avec mon chat s'est faite plus rapidement que ce que je croyais. Et quant à Gamin, il ne me quittait pas de l'oeil et aurait attaqué pour me défendre. Et je l'adorais. En décembre, je l'ai perdu d'une gastro-entérite hémorragique qui l'a emporté en deux jours. Je l'ai pleuré, c'était MON chien, celui que j'aimais et qui me le rendait ô combien. 9 mois seulement mais quand je pense à lui, c'est MON chien. Je revois encore son regard brun qui ne cillait pas quand je prenais sa tête dans mes mains, que je lui carressais le derrière des oreilles et finissais par une bise sur la truffe : du velours brun de confiance, lui qui avait été adopté à 4 mois puis rejeté 2 fois ensuite et dont personne ne s'était jamais vraiment occupé avant moi. Les vieux chiens ont dans les yeux une sagesse, un espoir, une sérénité qui devraient faire réfléchir bien des humains. Quand je dis ça, je pense au regard de mon chien Gamin mais aussi à Vaillant que j'ai eu la chance d'approcher quand il était revenu au refuge. Un regard comme le leur, ça vaut le coup d'aimer le chien qui le donne. Les bénévoles de la chatterie peuvent témoigner que j'ai aussi une préférence pour les chats adultes, ceux qui ont un vécu, une personnalité, même un peu "cassés" par la vie : Matou, Kazy, Timmy, Diego, Suke, Princesse, Charlotte, Simba, Nini, Bounty et tant d'autres. Vieillir n'est pas un défaut, c'est seulement le cours de la vie pour ceux qui ne meurent pas jeunes. Pour les chiens et les chats non plus. Et puis, même si l'extérieur est un peu amoché, le coeur, lui, plus il a souffert, plus il a envie de donner.

J'ai 65 plantules diverses et deux arbustes. Enfin, si les escargouilles et/ou leur bande de malfaiteurs sans pattes mais avec grandes mandibules voraces me laissent des oeillets d'inde : ils m'en ont bouffé deux jusqu'au trognon. Raison pour laquelle je les plante en générale dans les balconières du 1er étage : ils fatiguent du pied pour aller manger si haut, ça les décourage. Là, j'avais laissé mes pots près du bac à récupération d'eau de pluie. Pendant le w-e adoptions à la SPA, on ne peut pas abandonner quelques escargots, limaces et autres machins gluants qui bouffent tout ?

Rescue est bien pratique et on y trouve des solutions mais c'est aussi peuplé d' "intégristes" qui en tapotent plus qu'elles n'en font et n'ont pas peur de démolir les autres. Merci pour cette minette. Martine, bénévole chats.

Furminator ou pas, tv victim ou pas (pub en plus, t'as pas honte ?), puisqu'on en est aux ustensiles, celle-là vaut bien un coup de tête balayette ! Quand à celui ou celle qui voudrait me brosser, avec ma longueur de cheveux, soit ce serait le furmimachin qui y resterait, soit le brosseur se casserait le bras : toutes mes brosses à cheveux trépassent l'une après l'autre. J'attends de voir sur un chat quand même (si quelqu'un a le modèle juste en dessous du St Bernard). Pas un félin susceptible, on ne va pas risquer les yeux arrachés en tentant le coup sur Athos ou Tao par exemple. Tyson se sauverait avec le bazar et irait le cacher dans les buissons. Notre mamie est tellement collée du poil qu'elle l'aurait en décoration jusqu'à la fin de ses jours, inextricablement pris dedans... Mastard ? (il y a du poil et de la surface).

La mère les nourrit ? Ils ont quel âge approximatif ? Je vais contacter les copines des assos chats du coin, voir si quelqu'un a de la place. Si la mère les nourrit, c'est "seulement" prise en charge vétérinaire et hébergement. Si elle peine à les nourrir, il faut quelqu'un de très disponible pour nourrir les chatons. Tu me donnes quelques renseignements ?

C'est l'équivalent d'une étrille pour chevaux, votre truc ! J'ai regardé la démonstration : soit le chat a les 4 pattes coupées, soit il a fumé, d'autant plus que la démonstratrice n'y va pas de main morte. Les miens, ils sont du genre de ceux de Del : à faire du ramping sous le canapé pendant l'opération ou à filer sur l'étagère la plus haute. J'ai une sorte de gant en caoutchouc que j'utilisais pour ma boxette, je vais ressortir ça en attendant mieux : mes chats blancs en FA perdent leurs poils, je suis déguisée en ours polaire quasi en permanence. Del, soigne-toi, t'as encore eu de la chance qu'un oeil ne te tombe pas ! Mais comment fais-tu pour être infectée comme ça à tout bout de champ ? Recueillir les animaux, soit, mais les microbes ? Raisonne-toi, quand même ! En attendant, ça vérifie la citation que j'avais vue en signature d'une posteuse sur Rescue : "le seul animal qui tire profit de la fréquentation de l'humain est le microbe". Il doit ronronner aussi, le tien, tout content d'être au chaud. :RIRE: