Aller au contenu
Rechercher dans
  • Plus d’options…
Rechercher les résultats qui contiennent…
Rechercher les résultats dans…

askook

Membres
  • Compteur de contenus

    13 188
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par askook

  1. Un Anglais piqué par un scorpion caché dans un carton de bananes Colchester, Angleterre - Un marchand de fruits et légumes a été piqué par un scorpion alors qu'il ouvrait un carton de bananes. Daniel Amey pensait s'être simplement éraflé le doigt. Mais quand il a vu que celui-ci avait anormalement gonflé, il s'est précipité à l'hôpital où les médecins y ont découvert un morceau de la queue d'un scorpion. "J'ai mis ma main dans le carton de bananes et pensé que je m'étais coupé. Mais alors que je portais la caisse, mon doigt a doublé de volume et me brûlait", raconte Mr Amey. "Le médecin était un ancien de l'armée et a tout de suite compris que c'était un scorpion qui m'avait piqué. Il m'a dit que j'avais eu de la chance. Si cela avait été une autre sorte de scorpion d'Afrique, j'aurais été mort en 15 minutes. " Source: http://fr.news.yahoo.com/55/20090202/tod-un-anglais-pique-par-un-scorpion-cac-17baed7.html
  2. Pour faire parler d'elle, l'organisation PETA a l'habitude de frapper un grand coup. C'est encore le cas avec cette publicité hyper provocante vouée à vanter les mérites du végétarisme. L'association de défense des droits des animaux voulait profiter de la large audience du Superbowl 2009, dont la finale est prévue pour le 9 février prochain, pour se faire entendre. Elle n'en aura pas l'occasion puisque son spot a été jugé trop tendancieux par la chaîne de télévision NBC qui a refusé de le diffuser à une heure de grande écoute. A vous de juger...
  3. askook

    C'est qui le roi ?

    Un flegmatique lion, agacé par le ballet incessant des touristes devant sa cage, dans un zoo américain, a fait payer sa curiosité à un petit groupe, qui n'en demandait pas tant. L'animal s'est approché des bavards, ravis. Il s'est ensuite retourné, a levé sa queue et leur a uriné dessus. Histoire de rappeler que le roi de la jungle, même en cage, c'est lui.
  4. Pour ceux que cela intéresse. A taxonomic review of the Corallus hortulanus complex of neotropical tree boas http://academic.uprm.edu/publications/cjs/VOL33/P198-221.PDF
  5. Récupère une mue complète, c'est plus facile pour compter
  6. En 1951, Forcart proposa Corallus enydris avec deux sous-espèces: Corallus enydris enydris et Corallus enydris cookii. Ce n'est qu'à la fin des années 90, que fut proposé une nouvelle systématique, qui est celle, actuellement, couramment employée. - Corallus enydris cooki devenant une espèce à part entière Corallus cookii - Corallus enydris enydris devenant Corallus hortulanusavec deux sous-espèces (selon les systématiques): Corallus hortulanus hortulanus et Corallus hortulanus enydris Le manque de clarté, pendant une quarantaine d'année, dans la systématique de ces espèces, est à l'origine de la "pollution" de beaucoup de souches issues des années 80/90. Pendant des années, les éleveurs amateurs ne parlaient de leurs spécimens comme étant simplement des "Boa de Cook", sans aller plus loin dans leurs recherches. Beaucoup de croisement furent alors effectués par ignorance
  7. Pour ma part, Chance gardera surement certains spécimens. Pour les autres, leurs futurs propriétaires sont déjà désignés. Une liste est faite (elle est mise à jour, à chaque acquisition) en cas de décès de nous deux lors d'un accident.
  8. askook

    Mimétisme

    1. Définition Le mimétisme c'est l'imitation d'un modèle par un animal ou un végétal. Cette imitation permet d'augmenter les chances de survie ou de reproduction du mime. Un système mimétique met en jeu 3 acteurs : - Le modèle (vivant ou non): Emetteur de stimuli ou de signaux perceptibles par les sens, autrement dit l'espèce référence. - Le mime: Celui qui imite l'espèce référence, animal ou végétal, et qui tire avantage de sa ressemblance avec le modèle. - Le dupe: Bien souvent un prédateur, dont les sens (par exemple la vue) perçoivent de la même manière les stimuli émis par le modèle et par le mime. On l'appelle aussi "opérateur" car la pression sélective s'exerce à travers lui. C'est l'acteur de l'évolution du mimétisme. Nous distinguerons deux grandes échelles de mimétisme : - l’échelle des individus - l’échelle moléculaire A l’échelle des individus, le mime représente tous les individus semblables à lui, c’est à dire soit une certaine population de son espèce soit l’ensemble d’une catégorie d’une espèce (ex : les mâles et les femelles) ou encore l’espèce toute entière. 2. Le mimétisme à quoi ça sert ? Cette question est extrêmement finaliste. Cependant on ne peut concevoir que de telles imitations soient le fruit du hasard. Selon la théorie de l’évolution, un caractère se maintient dans une espèce s’il procure à l’individu porteur de ce caractère un avantage sélectif c’est à dire s’il augmente ses chances de survie et de reproduction. Nous y reviendront dans la partie évolution et mimétisme. Comment augmenter ses chances de survies ? : - Ne pas être mangé - Manger (attraper une proie) Pour cela, il faut : - soit ce cacher (pour ne pas être repéré par sa proie ou son prédateur) - soit faire peur à son prédateur - soit attirer ses proies Le naturaliste anglais Alfred Wallace proposa d’interpréter le mimétisme comme un moyen de défense et comme un exemple de l'efficacité de la sélection naturelle. Le mimétisme permet la conservation des variétés et des espèces les mieux adaptées à un milieu donné et pendant une période précise, éliminant les autres groupes moins bien adaptés à la concurrence vitale. Après avoir été découvert dans la zone néo-tropicale (Amérique du Sud) et en Asie du Sud-Est, le mimétisme est mis en évidence dans la zone éthiopienne par l'entomologiste anglais Roland Trimen, en 1869. En moins de dix ans, le mimétisme est observé sur les trois continents. Attention : le mimétisme n’est qu’une stratégie évolutive parmi de nombreuses autres permettant la survie de l’espèce. Exemple : pour ne pas être mangé, on peut être le plus rapide et fuir (adaptations anatomiques et physiologiques à la fuite). Pour attraper sa proie, on peut lui injecter du venin etc. 3. La découverte du mimétisme 3.1. Le mimétisme batésien ou mimétisme sensu stricto Dans le mimétisme batésien, une espèce inoffensive imite une espèce toxique. Le texte fondateur du mimétisme, Contribution à la faune des Insectes de la vallée de l’Amazone: Lepidoptera Heliconidae, a été publié en 1862 par le naturaliste anglais Henry Bates, dans les Actes de la Société linnéenne de Londres. Il créa alors le mot anglais "mimicry", un néologisme façonné sur le grec "mimos" et qui signifie "imitateur". C'est pourquoi on parle de mimétisme batésien. Bates avait passé 11 années, de 1848 à 1859, à parcourir une partie de la forêt amazonienne, afin de collecter des papillons. Après sa collecte, il découvrit dans les lots des papillons de la famille des Héliconiidés, caractérisés par des couleurs vives et contrastées, des spécimens d'une tout autre famille, celle des Piéridés, des papillons généralement blancs ou jaunes. La forme, les couleurs et le comportement des Piéridés et des Héliconiidés étaient si proches qu'ils trompaient l'entomologiste. Bates avait remarqué que les Héliconiidés volaient lentement en groupes dans des endroits souvent dégagés et qu'aucun des oiseaux de leur entourage ne les attaquait. Il conclut, d'une part, que les Héliconiidés ne sont pas comestibles et que leurs prédateurs apprennent à reconnaître et à éviter leurs couleurs voyantes d'autre part, que les Piéridés comestibles ont une forme, des couleurs et dessins identiques des Héliconiidés, et qu'en adoptant aussi leur façon de voler, ils profitent de la protection naturelle dont bénéficient les Héliconiidés. Le fait, pour un papillon comestible, d'imiter un papillon non comestible est avantageux non seulement pour l'individu, mais aussi pour la survie de l'espèce. 3.2 Le mimétisme müllérien En 1878, le naturaliste allemand Fritz Müller, qui étudiait sur le terrain les papillons du Brésil, définit un nouveau type de mimétisme, le mimétisme müllérien. Le mimétisme müllérien consiste en une imitation réciproque au sein d'un groupe d'espèces non comestibles ou simplement désagréables (vomitives par exemple), comprennent éventuellement une espèce réellement dangereuse. Ici, l'apprentissage du prédateur est accéléré par la ressemblance (il apprend à éviter les proies qui se ressemblent). C'est une forme de convergence évolutive. On trouve de nombreux exemples chez les Héliconiidés, les Ithomiidés et les Danaïdés : quand un oiseau fait une expérience désagréable sur un individu un groupe, les proies des autres groupes sont protégées, car l'oiseau a peu de modèles différents à mémoriser. 3.3 Le mimétisme Mertensien Ainsi nommée d'après l'herpétologiste allemand Robert Mertens (1894-1975), il concerne des modèles dotés de signaux spécifiques, cependant c'est l'espèce mortelle qui imite l'espèce la moins dangereuse. Mertens, en 1956 et 1957, avança que les serpents opisthoglyphes étaient les modèles, ceux-ci pouvant infliger à leurs prédateurs des morsures douloureuses mais non mortelles qui feraient office de coups de semonce. Les mimes seraient à la fois des espèces venimeuses et des espèces non venimeuses. Cette interprétation, très controversée, est aujourd'hui abandonnée. 3.4 Le mimétisme bakérien Le mimétisme bakérien dans lequel une catégorie, imite une autre catégorie de la même espèce. Ex : fleurs mâles identiques aux fleurs femelles, seule 1 sur 2 ont du nectar. 3.5 Le mimétisme vavilovien Le mimétisme vavilovien : mauvaises herbes imitent plantes cultivés. 4. Les différentes façons de mimer Il existe de nombreuses façons de mimer. 4.1 Mimétisme visuel C’est le moyen de mimer le plus répandu. Cependant il est souvent associé avec d’autres. On distingue différents types de mimétismes visuels : 4.1.1 L'homochromie a) Homochromie simple L’Homochromie est dite simple si la teinte prise par l’animal est uniforme et correspond à la couleur du milieu qu'il fréquente habituellement. Les petits criquets, qui prennent la couleur des prairies ou les perroquets dont la couleur verte concorde exactement avec celle des feuillages des arbres où ils se trouvent en sont d'excellents exemples et prouvent que, pour être homochrome, un animal n'est pas obligatoirement revêtu de couleurs ternes. L’homochromie avec le terrain est également fréquente : c'est le cas du lièvre qui, lorsqu'il est tapi au creux d'un sillon, est à peu-près complètement invisible. b) L’ombre inversée Souvent la couleur d'un animal est différente sur sa face dorsale et sur sa face ventrale, généralement blanche chez les espèces sauvages. Des chercheurs ont remarqué que l'ombre d'un objet quelconque a une grande importance dans l'appréciation de sa forme et de son volume. Si la partie située dans l'ombre est blanche, alors que la partie éclairée est colorée, la différence est moins sensible et l'objet semble plus plat et devient moins visible. On appelle ce phénomène l'ombre inversée. Cette particularité est capitale pour la dissimulation des animaux; parmi les preuves qu'ils fournissent, les plus convaincantes sont certainement données par le cas des animaux qui vivent avec le ventre en l'air et chez lesquels la partie dorsale est plus claire : cas de la chenille du sphinx du peuplier (Sphinx ocellata). c) Les dessins disruptifs Une complication plus efficace encore du camouflage est fournie par le bariolage (dessins disruptifs) dont l'effet est de rompre la forme, de dissocier en quelque sorte l'animal qui n'est plus visible dans son ensemble, mais paraît formé de plusieurs parties indépendantes. Ces dessins peuvent être formés de taches ou de bandes: ces deux procédés se combinant d'ailleurs de toutes les façons possibles. Ils s’ajoutent souvent à l’homochromie. d) L'homochromie variable Certains animaux ont la possibilité d’adapter à tout moment leur coloration à celle du milieu sur lequel ils se trouvent. Le cas célèbre du caméléon n’est pas le plus spectaculaire. On peut citer de tels exemples d’homochromie variable dans les groupes les plus divers : Batraciens (rainette verte, Reptiles (geckos). Tous ces animaux, si différents au point de vue zoologique, ont un point commun: leurs téguments possèdent des organes spéciaux, colorés et mobiles, les chromatophores, dont la rétraction ou l'épanouissement déterminent des changements de couleur. Les chromatophores, en effet, se présentent sous forme de cellules élastiques contenant des pigments; si ces pigments sont concentrés au centre du chromatophore (en contraction), ils forment une minuscule boulette presque invisible (l'animal est de teinte claire). Si au contraire ces mêmes pigments s'étalent à la surface de la peau (chromatophore en expansion), ils forment une plaque mince délicatement ramifiée mais parfaitement visible, et à ce moment l'animal prend une couleur sombre. La vitesse d'expansion et de contraction des chromatophores est extrêmement variable : très lente chez les crevettes, elle se fait au contraire chez la seiche en deux tiers de seconde. Le mécanisme de changement de couleur est également variable selon les espèces, il peut être humoral ou nerveux ou combiner ces deux mécanismes. 4.1.2 Les homotypies En plus de la couleur, l'animal a pris la forme d’un objet sur lequel il se tient habituellement. La grande majorité des exemples se rencontre chez les insectes qui sont capables d'imiter toutes sortes d'organes végétaux comme les écorces (certains papillons, certaines mantes religieuses) et aussi les feuilles (la phyllie originaire de l'Inde et de l'Australie est un cas typique); mais il existe aussi des sauterelles-feuilles et des papillons-feuilles (Kallima, Oxydia). En Europe, le Drepanopteryx phalenoides (Planipennes) imite parfaitement une feuille légèrement abîmée sur le bord. Parmi les insectes imitant les branches, les phasmes sont universellement connus, mais les chenilles arpenteuses des Géométrides (Lépidoptères) sont encore plus surprenantes et leur position habituelle ainsi que leur immobilité contribuent grandement à accroître leur ressemblance avec le rameau qui leur sert de support. Enfin, il faut signaler un cas très particulier d'imitation des bourgeons de l'épicéa par le cocon fabriqué par la larve d’une Cécidomie qui auparavant avait provoqué l'atrophie du bourgeon dont elle a pris la place. Mais des comptages effectués sur une population naturelle ont montré que le cocon ne se place en position correcte, donc presque invisible, que dans 54% des cas seulement. 4.1.3 Les déguisements Dans tous les cas précédents, c'est le corps même de l'animal qui prend une couleur ou une forme donnée et assure le camouflage. Mais il est des cas où l'animal emprunte au milieu des éléments dont il se couvre, semblant ainsi s'habiller. Il s'agit là non pas de faits d'intelligence, mais de faits de comportement. Ce cas, le moins fréquent dans la nature, bien que le plus varié, est celui qui se rapproche le plus des réalisations humaines. De tels déguisements se rencontrent parfois chez des insectes qui cachent leur corps dans un fourreau (larves des Trichoptères ou porte-bois, chenilles des Psychides). Certains Planipennes (Chrysopa prasina) recouvrent leur corps de leurs vieilles exuvies et des cadavres des pucerons dont elles se nourrissent. Les fausses chenilles de la tenthrède limace sont recouvertes d'un mucus gluant contenant leurs excréments. 4.1.4 L'auto-mimétisme L'auto-mimétisme est le cas d'animaux imitant une portion seulement du corps d'un prédateur ou de leur propre corps. Par exemple, de nombreux papillons ont "des taches simulant un œil" appelée ocelle. Ils ont pour effet de créer la surprise sur le prédateur et de donner à la proie le temps de fuir. De plus il peut, de par l'orientation du signal tromper les perceptions du prédateurs. C'est le cas des serpents dit « à deux têtes » , comme par exemple le Faux-corail Anilius scytale, qui, lorsqu'il est acculé redresse sa queue en hauteur et la balance, dissimulant sa tête. 4.2 Mimétisme chimique (olfactif, gustatif) C'est l'émission de molécules imitant le modèle (ex : champignon rouge). 4.3 Mimétismes acoustique et comportemental (pour les animaux seulement) C'est l'imitation de bruits ou d’attitudes, habitudes du modèle (ex : mouches des fruits). 4.4 Mimétisme tactile C'est l'imitation de la sensation du toucher du modèle (ex : orchidée). Chaque type de mimétisme peut exister seul chez une espèce donnée mais en général le mime imitera son modèle grâce à une combinaison de ces différentes possibilités.
  9. askook

    Mon Pogo Captain Flamm

    De bien belles photos d'un superbe Pogona
  10. askook

    Sphenodon

    Le troisième œil, dit "œil pinéal", possède un cristallin, une cornée, une rétine possédant des photorécepteurs de type bâtonnet, et une connexion nerveuse dégénérée avec le cerveau, ce qui suggère qu'il dérive d'un œil véritable. Cet œil pinéal n'est visible que chez les petits, qui présentent une partie translucide au centre du sommet du crâne. Après 4 à 6 mois, elle se couvre d'écailles opaques et de pigments. Le rôle de ce troisième œil est inconnu, mais il pourrait être utilisé pour absorber les ultraviolets dans le but de synthétiser de la vitamine D, comme pour déterminer le cycle nycthéméral et aider à la thermorégulation. De tous les tétrapodes actuels, le sphénodon est celui chez qui l'œil pinéal est le plus développé. Cet œil fait partie d'un complexe dont fait aussi partie la glande pinéale ou épiphyse, productrice de mélatonine (chez le sphénodon, cette production se fait la nuit). Autre hypothèse : il a été démontré que chez la salamandre, le complexe pinéal est utilisé pour percevoir la lumière polarisée, et détermine ainsi la position du soleil même s'il y a un couvert nuageux, aidant ainsi à la navigation.
  11. askook

    Sphenodon

    La progéniture d'Henry enfin née... Nouvelle-Zélande - Une portée de jeunes sphénodons a éclos le week-end dernier au Southland Museum. Les jeunes reptiles sont nés en captivité suite à l'accouplement d'un mâle vieux de 111 ans et d'une femelle âgée de plus de 70 ans. Le sphénodon (Sphenodon punctatus), reptile contemporain des dinosaures aujourd'hui endémique de quelques îles néo-zélandaises, se reproduit peu en captivité. Ces onze naissances, fruits de l'accouplement réussi d'un couple de sphénodons présenté au Southland Museum and Art Gallery d'Invercargill, représentent donc une aubaine pour les programmes d'élevage et la diversité génétique de l'espèce. 223 jours d'incubation auront été nécessaires pour permettre l'éclosion des oeufs, les premiers fécondés par ce vieux mâle arrivé au Southland Museum à la fin des années 60. Henry Les futurs parents Un des nouveaux-né. http://www.maxisciences.com/sph%e9nodon/un-fossile-vivant-se-reproduit-a-l-039-age-de-111-ans-les-images_art718.html
  12. askook

    Reptilia

    The European Herp Magazine http://www.reptilia.net/
  13. http://www.reptilia.net/articulos_ing/028.pdf
  14. Venomous snakes of southern China http://www.reptilia.net/articulos_ing/031.pdf
  15. http://sfs.snv.jussieu.fr/
  16. askook

    Scaleless

    Pogona vitticeps Photos pour illustration. Source: google
  17. C'est effectivement ce qu'il faut faire...
  18. askook

    Scaleless

    Naissent-ils tous avec des écailles ventrales? Les spécimens que tu connais, sont issus d'un croisement entre deux espèces et nés en captivité. Est-ce que c'est la même chose pour un spécimen sauvage?
  19. Fascinant... Une petite question. Lors du nourrissage, tu ne séparais jamais tes specimens? N'y avait-il pas de risques de blessures? Ce ne sont pas mes vidéos... Mais je peux répondre à ta question par une petite anecdote. En 1993, j'élevais 4 jeunes spécimens dans un même terrarium. Lors du nourrissage, je séparai toujours les spécimens en les installant chacun dans une boite de nourrissage. Un jour de nourrissage, où j'étais pressé, j'ai voulu gagné du temps, en ne séparant que deux spécimens et en laissant les deux plus éloignés d'un de l'autre dans le terrarium. Un était au bord du terrarium et l'autre tout au fond. J'ai ensuite présenté la souris morte au spécimen le plus proche des vitres coulissantes, en pensant que j'aurais le temps de reprendre le deuxième souris et de la présenter à l'autre spécimen. Et bien non, à peine ai-je eu le temps de présenter la première proie, que le spécimen le plus éloigné, et qui devait manger en second, s'est retrouvé, d'un seul bond, sur le bord du terrarium et en même temps sur le dos de ma main, gueule grande ouverte. Je peux t'assurer que depuis ce jour, j'ai toujours séparé mes "virus" qui doivent manger, en les mettant dans des boites de nourrissage. Je n'ai plus jamais cherché à gagner du temps lors de séance de nourrissage quelque soit la famille, le genre ou l'espèce de mes "virus".
  20. Tout est dans l'étymologie du genre: (Dino- = terrible; Don- = dent). Dinodon rufozonatum Dinodon rufozonatum a une réputation de "mordeur", cela est justifié lorsque l'on se procure des individus d'origine sauvage, qui en outre sont souvent parasités (comme la plupart des couleuvres asiatiques sauvages). Dans les premiers temps de son maintien en captivité, le serpent-loup chinois annelé a la fâcheuse habitude de se laisser prendre, puis de se retourner et de mordre quand on s'y attend le moins. Ce comportement disparaît avec le temps. Voilà après ce petit résumé sur cette espèce, je suis à la recherche d'informations sur sa dentition et tout ce qu'il va avec...
  21. askook

    Scaleless

    Dinodon rufozonatum Photo pour illustration. Source: google
  22. askook

    Naissances d'espèces ovovivipares

    Cryptelytrops albolabris Photos pour illustrations. Source: google
×
×
  • Créer...