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Tout ce qui a été posté par askook
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Concernant la taille du terrarium, j'imagine que l'on doit trouver sur les forums toutes les dimensions. Pour ma part, j'opterai pour un 100 x 50(60) x 50 (60) cm mais pourquoi pas plus, si tu as la place et si tu comptes élever un jour un couple ou un groupe de "regius". Les bourses sont toutes pareilles, du bon et du moins bon. Fais les bourses près de chez toi, histoire de te faire déjà une première idée sans trop faire de kilomètre. Il faut surtout que tu cherches un éleveur sérieux. Fais des recherches, et une fois que tu as des noms d'éleveurs, n'hésite pas à demander des infos... Pour le prix, aucune idée, je ne m'intéresse pas à cette espèce. Pour le bon moment, j'ai toujours tendance à dire d'attendre le mois de septembre avant de faire l'acquisition des juvéniles de l'année, mais là ce n'est qu'un avis tout à fait personnel...
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Pourquoi les toiles d’araignées sont-elles si résistantes ? Ne vous êtes-vous jamais demandé comment de fines toiles d’araignées parvenaient à survivre dans un environnement hostile comme celui de nos forêts ou de nos jardins ? S’il est connu que le fil dont sont faites ces toiles possède des propriétés mécaniques tout à fait exceptionnelles, c’est un autre aspect du secret qui vient d’être levé récemment. Une publication dans Nature [S. Cranford et al., Nonlinear material behaviour of spider silk yields robust webs, Nature 482 (2012) p72] démontre en quoi la structure géométrique des toiles et les propriétés de déformation des fils se combinent pour conférer cette solidité particulière. Encore un bel exemple que nous offre Dame Nature, et qui pourrait bien inspirer beaucoup de chercheurs en sciences des matériaux. La rupture en traction : Ça peut paraître une évidence, mais une des raisons pour lesquelles les toiles d’araignées sont si solides, c’est qu’on peut tirer fort sur le fil avant qu’il ne se casse ! Pour quantifier cette propriété, on fait appel à une quantité appelée résistance à la rupture en traction. Elle se calcule en mesurant la force nécessaire pour rompre un fil, et en la divisant par la section du fil (elle s’exprime donc en Pascals, pour plus de détails voir mon billet sur l’ascenseur spatial). Il se trouve que le fil de toile d’araignée est un des matériaux avec la résistance à la rupture en traction la plus élevée qu’on connaisse, environ 1000 Méga-Pascals (MPa), située quelque part entre l’acier (500 MPa) et le kevlar (3000 MPa). Pour la variété appelée araignée Darwin, découverte en 2009 à Madagascar, cette valeur monte à 1600 MPa, ce qui permet à cette petite araignée de quelques millimètres de construire des toiles géantes pouvant atteindre 3 mètres-carrés et des fils jusqu’à 25 mètres ! On en trouve par exemple au-dessus des cours d’eau malgaches, voyez les images sur le blog http://www.maxisciences.com/mrm_97565_blogallpic.html. L’exceptionnelle résistance à la rupture en traction des fils d’araignées est donc la première raison qui explique la solidité des toiles, mais ça n’est pas la seule ! Et pour comprendre cela, il faut s’intéresser à la manière dont le fil d’araignée se déforme avant de rompre. Le comportement mécanique des matériaux : Imaginez que l’on prenne un élastique, qu’on en attache une extrémité à un mur, et qu’on tire sur l’autre extrémité avec une certaine force : l’élastique s’allonge. On représente généralement cet allongement en pourcentage : si l’élastique fait initialement 10cm et qu’il s’allonge d’1cm, on a un allongement de 10%, que l’on appelle déformation. Pour caractériser complètement l’élastique, on regarde quelle force on doit appliquer pour obtenir différents niveaux de déformation. On obtient alors une courbe force/déformation, selon le principe représenté sur l'image n°1 dans la galerie. Tous les matériaux ont un comportement mécanique propre, et cela se traduit par des courbes force/déformation différentes. Avant de s’intéresser au cas du fil d’araignée, voyons tout d’abord quelles sont les grandes familles que l’on peut rencontrer. Différents types de comportements : Le premier type de comportement qu’on observe généralement sur ces courbes, c’est celui qu’on appelle justement « comportement élastique ». Il se caractérise par le fait que la courbe est une droite : l’allongement est proportionnel à la force. L’autre aspect important du comportement élastique, c’est que la déformation est réversible : si vous arrêtez de tirer sur l’élastique il reprend sa longueur initiale. Le terme « élastique » ne doit pas vous tromper : la plupart des matériaux peuvent avoir un comportement élastique (et pas seulement les élastiques !). Par exemple si vous tirez sur un fil de métal, il aura un comportement élastique. C’est très difficile à voir à l’œil nu car les déformations sont très faibles, mais on peut effectivement observer qu’elles sont réversibles et proportionnelles à la force qu’on applique. En tout cas au début…car quand on se met à tirer assez fort sur un matériau, même sur un élastique, il finit par ne plus avoir un comportement élastique ! Au-delà d’une certaine force, le matériau se déforme et se ramollit. Ce changement a deux conséquences : la courbe force/allongement s’aplatit un peu (comme sur la figure ci-dessous), mais surtout la déformation devient irréversible (image n°3). Par exemple si vous tirez fort sur un morceau de sac plastique, il s’étire mais ne reprend pas sa forme initiale quand vous arrêtez de tirer. Ce type de comportement mécanique est d’ailleurs justement appelé «comportement plastique». Là aussi ne vous laissez pas tromper, la plupart des matériaux peuvent présenter un comportement plastique, et pas seulement les plastiques ! Enfin si vous tirez vraiment fort, un matériau finit toujours par casser. C’est le point de rupture qui marque la fin de la courbe, et la valeur de la force à la rupture nous donne la résistance à la rupture en traction dont je parlais au début. La courbe image n°4 illustre les différents types de comportement pour un même matériau suivant l’intensité de la force et de la déformation : comportement élastique au début, puis plastique, et enfin la rupture. Et le fil d’araignée dans tout ça ? Nous venons de voir les 3 grands phénomènes qui se produisent dans les matériaux usuels quand on tire dessus : comportement élastique, comportement plastique et rupture. Pour le fil d’araignée, c’est différent ! La courbe force/déformation a une forme assez originale, qui est schématisée ci-contre. Comme vous le voyez, il y a plusieurs parties dans cette courbe : ça commence de manière élastique (c’est une droite), puis si on tire plus fort on observe un ramollissement plastique, la courbe s’aplatit. Jusqu’ici rien de surprenant. Et puis si on continue à tirer, le fil devient soudainement très très rigide, et la courbe remonte abruptement ! Et on finit évidemment par atteindre le point de rupture. Ce qu’il y a de remarquable, c’est la manière dont ce comportement mécanique exotique est relié à la structure microscopique du fil. Au début, les chaînes de protéines qui le composent s’étirent légèrement mais peuvent reprendre leur forme : c’est le régime élastique. Puis si on tire plus fort, les protéines se déplient de manière irréversible, c’est le régime plastique. Enfin quand les protéines deviennent complètement dépliées, elles sont comme un fil très rigide qui ne se déforme plus, et finit par casser. Pour se représenter ce comportement, on peut prendre l’analogie avec un ressort en métal: au début il est élastique, si vous tirez faiblement dessus il reprend sa forme. Puis si vous tirez fort il se déforme et se déplie de manière irréversible. Enfin quand vous avez tout déplié, vous n’avez plus qu’un fil métallique qui lui est très rigide. Et il faut tirer vraiment fort dessus pour le casser. Maintenant que nous comprenons comment fonctionne un fil d’araignée, voyons en quoi il explique les surprenantes propriétés des toiles. Des simulations numériques de toiles d’araignées. Pour comprendre en quoi la courbe force/déformation du fil d’araignée peut jouer un rôle dans la solidité des toiles, il faut s’intéresser à la manière dont ces toiles sont construites. Très souvent, elles sont faites de 2 types de fils : des fils en rayon, et un fil qui fait une spirale du centre vers l’extérieur. La spirale est par exemple très visible sur la photo n°5. Pour faire le lien entre les propriétés du fil et la solidité de la toile, les auteurs du récent papier de Nature ont réalisé des simulations numériques de solidité de toiles, en utilisant comme données d’entrée différents comportements mécaniques : celui du « vrai » fil d’araignée, un comportement purement élastique, et un comportement élastique-plastique. Un point important c’est que dans les 3 cas, les fils sont considérés avec la même résistance à la rupture en traction : ils cassent tous à la même force, mais ce qui change c’est la manière dont ils se déforment avant de casser. Ces simulations numériques permettent donc vraiment d’isoler en quoi le comportement très original du fil d’araignée est bénéfique pour la solidité de la toile. La supériorité du fil d’araignée : La figure n°6 résume donc les 3 types de courbes de déformation qui ont été comparées : en rouge la courbe du vrai fil, en bleu un fil purement élastique et en vert un fil élastique-plastique. Tout d’abord les auteurs ont simulé la solidité de toiles réalisées avec ces fils quand on les soumet à une charge globale, comme un vent uniforme. Et là, les 3 cas se valent, et les toiles cassent à des vitesses de vent d’environ 60 m/s, ce qui est déjà très élevé ! (Dans la réalité ce serait surement moins, car à 60 m/s le vent n’est pas uniforme) En revanche si on soumet la toile à une charge localisée, comme un insecte ou une branche, la toile en fil d’araignée subit en moyenne 6 fois moins de dommages qu’une toile avec un fil « purement élastique » ou « élastique-plastique ». Les auteurs ont notamment montré que le comportement du fil d’araignée permettait une meilleure répartition de la déformation sur la toile, jusqu’à un point où le rayon qui porte la charge entre dans le régime où il se raidit, puis casse : tout se passe comme si ce rayon se sacrifiait pour soulager les autres. Alors qu’avec un comportement élastique ou élastique-plastique, tous les rayons de la toile trinquent de manière plus ou moins équivalente. L'image n°7, tirée de la publication montre les dommages subit dans 3 simulations : en rouge avec le vrai fil d’araignée, on voit bien qu’un rayon a cédé mais le reste est intact; en bleu le fil élastique pour lequel la spirale est aussi endommagée, et en vert le fil élastique-plastique où la spirale et deux rayons se sont rompus. On voit donc que la solidité globale des toiles d’araignées résulte à la fois de leur géométrie, des propriétés du fil, mais aussi de la manière dont les deux se combinent ! L’homme a encore beaucoup à apprendre de la nature. Source:http://www.maxisciences.com/toile-d-araign%E9e/pourquoi-les-toiles-d-araignees-sont-elles-si-resistantes_mrm97565.html Liens: http://www.maxisciences.com/mrm_97565_blogallpic.html http://www.plosone.org/article/info:doi/10.1371/journal.pone.0011234 Article: http://www.nature.com/nature/journal/v482/n7383/full/nature10739.html
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Faits divers concernant les ophidiens
askook a répondu à un(e) sujet de Reptile-city62 dans Serpents
Un serpent exotique d’1,20 mètre découvert à leur réveil Ce jeune couple, parent d’un enfant en bas âge, n’est pas près d’oublier cette rencontre pour le moins inattendue, en plein centre-ville d’Albertville, rue de la République. Hier matin, peu avant 7 heures, ils se sont levés pour s’occuper de leur bébé. Mais leur attention a été attirée, dans un couloir, par la porte menant au compteur électrique, d’ordinaire fermée, mais là, ouverte. Le jeune homme est entré dans le réduit pour tomber nez à nez avec un gros serpent enroulé. "Quelle surprise, quelle horreur !", assure la jeune femme. "Il nous fixait, nous regardait, mais restait calme, nullement menaçant". Le couple a alerté les pompiers albertvillois, avant de prendre en photo leur visiteur. Formés pour ce type d’intervention (mais plus souvent pour des vipères ou des couleuvres), les pompiers sont intervenus avec un crochet à serpent, mettant ensuite le reptile dans un sac, avant qu’un pompier animalier de Chambéry ne le récupère. À première vue, il s’agirait d’un Nac (nouvel animal de compagnie), qui semblerait s’être échappé de chez son propriétaire et serait passé par les conduits techniques pour se retrouver dans l’entrée du couple. Dont on devine aisément la stupeur, d’autant que le reptile mesurait près d’1,20 m de long. "On voit plutôt ça à la télévision ou aux États-Unis", conclut la jeune femme. Source:http://www.ledauphine.com -
Faits divers concernant les crocodiliens
askook a répondu à un(e) sujet de askook dans Tortues - Crocodiles
Australie: entouré de crocodiles, il trouve refuge sur une table de billard Un Australien de 65 ans a attendu des secours pendant trois jours dans un contexte plutôt hostile. Terry Donovan effectuait l'entretien d'une cabine sur pilotis louée aux pêcheurs, dans le Queensland (nord), lorsque l'eau a commencé à monter, isolant la maisonnette, sans moyen pour lui de repartir, a-t-il raconté au Cairns Post. L'homme a aussi et surtout dû composer avec la présence de crocodiles, auxquels il a échappé en s'installant sur une table de billard. «Le premier (crocodile) que j'ai vu était derrière la véranda, dans une trentaine de centimètres d'eau, peut-être un peu plus», a-t-il témoigné. «Je me suis dit "il faut que je fasse attention, il y a un crocodile. S'il y en a un, il y en a forcément deux ou trois autres, voire plus"». Effectivement. Terry Donovan aperçoit ensuite par la fenêtre un deuxième crocodile, placé sous la cabine sur pilotis. C'est alors qu'il décide d'emmener toutes ses provisions sur une table de billard, où il s'installe alors que l'eau continue de monter. L'eau «ne cessait de monter et elle est arrivée au-dessus des filets où sont collectés les boules de billard sur les côtés de la table», a poursuivi Terry Donovan, qui a finalement été secouru par un pêcheur parti à sa recherche, à la demande des autorités. Les crocodiles marins (appelés «salties») sont fréquents dans les régions tropicales et sauvages du nord de l'Australie. Ils tuent en moyenne deux personnes par an. Source:http://www.leparisien.fr -
Publiant ses travaux dans la revue Zootaxa, une équipe internationale de biologistes a identifié une nouvelle espèce de scinque - une famille de lézards – dans le nord-ouest de la Nouvelle-Calédonie. C’est dans un piège à insectes placé dans une garrigue d’acacias, à 400 mètres d'altitude, dans le massif d'Ouazangou, en Nouvelle-Calédonie, que des biologistes ont découvert un lézard juvénile de la famille des Scincidae (ou scinques). Mais celui-ci s’est révélé appartenir à une nouvelle espèce qu’ils ont nommée Caledoniscincus constellatus. D’autres spécimens ont également été trouvés sur la côte, à la Pointe de Vavouto. Avec 4,6 à 5,2 centimètres de longueur, les mâles sont encore plus petits que les femelles, qui mesurent jusqu'à 5,7 centimètres. Les individus des deux sexes présentent une surface ventrale jaune vif et une surface dorsale gris-brun avec de petites tâches blanches, ornée de rayures transversales bicolores chez le mâle et de tâches sombres chez la femelle. "La conservation de l'espèce est préoccupante compte tenu de sa distribution hautement restreinte dans une région qui a été, et continuera d'être, fortement impactée par l'occupation humaine. L’espèce serait classé comme ‘en danger critique d'extinction’ selon les critères de l'UICN [Union internationale pour la conservation de la nature]", concluent les découvreurs cités par Sci-news. Source: http://www.maxisciences.com Article: http://www.mapress.com/zootaxa/2012/f/zt03229p057.pdf
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Pour les fans de colubridés(pas mal de photos...)
askook a répondu à un(e) sujet de ArsKo dans Vos P'tits Virus
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Titanoboa, le plus gros serpent de tous les temps On parle souvent du Mégalodon, ce squale géant de la préhistoire qui mangeait des grands requins blancs au petit déjeuner. En revanche, le Titanoboa, le plus gros serpent de tous les temps nous est moins familier. Il pourrait devenir mieux connu du grand public : l'an prochain, une reproduction grandeur nature du titanoboa sera mise à disposition des musées américains, et un film en images de synthèse sera diffusé à la télévision. Ce monstre pesait près de 14 mètres, alors que les plus gros pythons actuels dépassent rarement les 6 mètres, et il pesait plus d’une tonne. Au point le plus épais de son corps, le Titanoboa faisait un mètre de diamètre. Il était si gros que lorsqu’ils on trouvé le premier fossile d’un Titanoboa dans une mine colombienne, les paléontologues ont cru être tombés sur un crocodile. C’était évidemment un serpent constricteur qui étouffait ses proies et qui ne possédait probablement pas de venin. Les plus gros serpents du monde vivent dans les régions les plus chaudes du globe, alors que ceux des régions plus froides atteignent des tailles plus modestes. Aujourd’hui, en Colombie, la température moyenne est de 28 degrés. A l’époque du Tinoboa, elle était située entre 30 et 33 degrés. Le réchauffement de la planète va-t-il entraîner le retour des serpents géants ? Pas de panique, nous ne verrons pas de telles créatures de notre vivant, mais il sera possible de voir une reproduction grandeur nature du Titanoboa, à disposition de musées d’histoire naturelle américains à partir d’automne 2013. Source: http://www.sharknews.fr/societe/science/3239-titanoboa-le-plus-gros-serpent-de-tous-les-temps Article sur sa découverte: http://si-pddr.si.edu/dspace/bitstream/10088/15900/1/stri_Head_et_al_2009.pdf
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Comment les abeilles étouffent les frelons
askook a répondu à un(e) sujet de askook dans Insectes et Autres Invertébrés
Comment les abeilles tuent-elles un frelon ? L'union fait la force ; les abeilles le savent mieux que personne. Contre un frelon qui peut les tuer facilement toutes une par une, elles ont trouvé une parade efficace. C'est le cas des abeilles japonaises. Elles forment une boule autour de l'ennemi et l’asphyxient et font monter sa température en bougeant leurs muscles. Vous saviez peut-être cela, mais des chercheurs ont voulu connaître le processus en détail, au niveau du cerveau de l'abeille. Il existe une zone du cerveau de cet insecte qui s'active lorsque l'ennemi est détecté. Les chercheurs ont simulé l'introduction d'une guêpe, puis, après attaque des abeilles. Après étude du cerveau de l'abeille, ils ont alors remarqué qu'une petite région du cerveau était très activée. Il s'agit de la même région qui est active lorsqu'on expose les abeilles à une température de 46 °C en laboratoire. Cette région analyse donc l'information sur la température. Cela permet à l'abeille de contrôler précisément leur activité pour obtenir la « température de cuisson voulue ». En dessous de 46 °C, le frelon survit et l'action de défense est donc inefficace. À 46 °C, le frelon finit par décéder et pas l'abeille. Au-dessus de cette valeur, l'abeille met sa vie en péril. Source:http://www.sur-la-toile.com Lien: http://www.bbc.co.uk/nature/17381710 Article: http://www.plosone.org/article/info%3Adoi%2F10.1371%2Fjournal.pone.0032902 -
Des grenouilles insensibles à un germe mortel le transmettent à des espèces sœurs Publiant ses travaux dans PLoS ONE, un chercheur américain a récemment établi qu’une grenouille de l’ouest américain, insensible à un agent pathogène mortel pour d’autres amphibiens, est néanmoins largement infectée, risquant de transmettre la maladie à d’autres espèces. Contrairement à deux autres espèces de grenouilles de la Sierra Nevada, décimées entre 2003 et 2010 par un champignon mortel, le chytride, la rainette du Pacifique (Pseudacris regilla) est naturellement immunisée contre cet agent pathogène. Une résistance qui lui a permis de garder une population stable. Cependant, la situation n'est pas sauvée pour autant. En effet, Vance Vredenburg, de l’Université de San Francisco, vient de découvrir que les deux tiers des effectifs de cette espèce, dans la région, étaient bel et bien infectés par le champignon. Or, si cela ne leur cause aucun dommage, elles sont tout à fait à même de le transmettre. Ainsi, les naturalistes craignent que ces rainettes aggravent la propagation de la maladie à des espèces d’amphibiens moins résistantes, notamment celles faisant l’objet d’élevage à des fins de sauvegarde et de réintroduction en milieu naturel. Selon Matthew Fisher, de l'Imperial College de Londres, une solution consisterait à poursuivre ces élevages à partir des spécimens qui, au sein des espèces décimées, ont survécu. La résistance résistance naturelle individuelle au germe, mortel pour leurs congénères, pourrait alors se transmettre de génération en génération et protéger la plupart des amphibiens Source: http://www.maxisciences.com/ Article: http://www.plosone.org/article/info%3Adoi%2F10.1371%2Fjournal.pone.0033567
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« Euthanasier les iguanes verts est la seule solution... » Chloé Rodrigues, vétérinaire et éthologiste (spécialiste du comportement animal), s'occupe, au sein de son équipe, des iguanes de Martinique. Elle tire un constat dramatique. L'iguane vert, issu du continent américain, devient une véritable menace pour l'iguane Délicatissima, l'espèce endémique. L'iguane vert que l'on prend plaisir à voir au Fort Saint-Louis menacerait l'espèce endémique, le Délicatissima. La menace est-elle bien réelle ? Chloé Rodrigues, vétérinaire et éthologiste. Oui, la menace semble bien réelle pour le Délicatissima. L'iguane vert est originaire d'Amérique centrale et du Sud. Michel Breuil, spécialiste national des iguanes, qui les a largement étudiés, estime qu'ils ont été rapportés lors de voyages en Amérique du Sud. Ces iguanes ont d'abord été implantés aux Saintes où ils se sont mêlés à la population endémique, formant une espèce hybride. Ensuite, pour la Martinique, c'est le père Pinchon qui en a ramené et qui les a mis en zoo. A la fermeture du zoo, les iguanes ont été relâchés dans la nature. Cette espèce est nuisible pour l'iguane Délicatissima parce que plus prolifique et plus robuste. Les femelles sont plus grandes donc pondent plus d'oeufs que les femelles Délicatissima. Les mâles sont, eux, plus forts et lors de combats de territoire, ils gagnent à tous les coups. S'agit-il d'éradiquer purement et simplement l'espèce posant problème ? Non pas du tout! Il s'agit plutôt de réguler les populations. Ce qu'on voudrait, c'est circonscrire l'espèce au Fort Saint-Louis où elle a été relâchée au départ et éviter à tout prix que les individus aillent se promener dans le Nord, par exemple. S'ils arrivaient jusqu'au Robert, il pourrait menacer le Délicatisssima sur son territoire des îlets du Robert. On voudrait éviter aussi qu'ils aillent vers le port et qu'ils soient transportés à la Dominique. Il faut savoir qu'à la Dominique, il existe la plus grande population de Délicatissima de la région. Ce serait une catastrophe! Approximativement, cette population d'iguane est composée de combien d'individus ? On pense aujourd'hui qu'il y en a cinq ou six fois plus que ce que nous avions estimé au départ. Pour un iguane vu, il y en a au moins quatre qui restent cachés. Les chiffres ne peuvent donc pas être exacts. Et surtout, il y en a partout à Fort-de-France, qui se baladent dans les rues, qui se promènent dans les maisons. Potentiellement, ce sont ces iguanes qui vont pouvoir s'embarquer clandestinement sur les bateaux. Il faudrait 300 individus sur le Fort Saint-Louis, pas plus. Les iguanes sont très territoriaux. Une fois qu'ils ont tout ce qu'ils veulent sur leur territoire, ils ne vont pas ailleurs. Ceux du Fort Saint-Louis ne sont pas menaçants pour les autres, à partir du moment où ils ne se répandent pas partout. L'euthanasie est donc la seule solution ? Oui. Cela ne nous fait pas du tout plaisir mais nous ne pouvons pas nous permettre de les réintroduire dans leur milieu d'origine. Nous les euthanasions par le froid, anesthésiés au préalable. Ils ne souffrent pas... Source: http://www.martinique.franceantilles.fr/actualite/environnement/euthanasier-les-iguanes-verts-est-la-seule-solution-148757.php
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En faisant des recherches, je suis tombé sur cet article qui concerne cette photo. Depuis avril 2004 circule sur Internet un canular (hoax) concernant un solifuge irakien. En effet, des soldats américains avaient trouvé deux solifuges morts accrochés l'un à l'autre. Une photo a été prise et l'angle de vue ainsi que le fait qu'elle donne l'impression qu'il n'y a qu'un seul animal de grande taille. Cette fausse araignée a été baptisée « Camel Spider » (« araignée-chameau »). Tout a été dit à son sujet : - Un cri terrifiant (les arachnides ne peuvent crier). - Une rapidité ahurissante. - Une agressivité exacerbée (attaques de chameaux, voire d'hommes). - Une aptitude particulière à dévorer des morceaux de proie. Des photos de blessures gigantesques attribuées à l'arachnide ont circulé sur le Net. Cette rumeur lança une fascination collective pour les solifuges, jusqu'alors méconnus du grand public, engendrant malheureusement un grand nombre d'actes de cruauté dont la diffusion fut amplifiée par les sites de partage de vidéos (expérimentation sur les solifuges, combat contre des araignées, des scorpions, des serpents, des souris...). Source: http://fr.wikipedia.org/wiki/Solifugae
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Faits divers concernant les mygales et les araignées
askook a répondu à un(e) sujet de Reptile-city62 dans Mygales - Arachnides - Scorpions
Une morsure foudroyante Un soldat écossais est passé à un cheveu de la mort alors qu'il se trouvait en mission en Iraq. Ce n'est toutefois pas un engin explosif qui a failli lui coûter la vie, mais plutôt la morsure d'une araignée appelée «araignée du soleil». Sammy O'Gorman, 28 ans, a dû être hospitalisé trois mois selon ce que rapporte le Daily News. Originaire de Glasgow en Écosse, le caporal O'Gorman a subi pas moins de 17 opérations chirurgicales pour lui sauver la vie. Il aurait subi une infection sérieuse à la suite de la morsure. L'«araignée du soleil» est impressionnante et peut faire jusqu'à une vingtaine de centimètres de long. Elle peut atteindre une vitesse de 16 km/h. Lorsqu'elle mord, elle peut laisser une plaie béante qui s'infecte facilement. Cette araignée de grande taille mord lorsqu'elle croit que ses progénitures sont menacées. Autrement elle ne s'attaque pas à plus grand qu'elle. Même si elle n'injecte aucun venin lorsqu'elle mord, certaines bactéries peuvent être transmises causant parfois des infections foudroyantes. Source: http://fr.canoe.ca/ -
Voici la réponse de Taurrus suite à mes questions. Bonjour, Merci pour votre intérêt pour le TAURRUS, je vais essayer de vous éclairer au mieux mais n’hésitez pas à nous contacter directement par téléphone si besoin. Les TAURRUS sont des prédateurs généralistes de plusieurs espèces de parasites comme l’Ophionyssys natricis qui s´attaque au serpent principalement. La plus grande partie des essais se sont déroulés à la ferme tropicale sur Python regius et Morelia viridis et en colllaboration avec le Dr lionel Schiliger. Pour le nom des prédateurs il faut être patient une publication est en cours. Il ne s’agit pas d’Hypoaspis sp : un acarien prédateur qui a été testé et dont le nom est souvent communiqué dans les forums mais qui ne fonctionne pas bien de part sa petite taille et son biotope naturel (acarien prédateur vivant dans le sol). Vous pouvez utiliser le TAURRUS sans crainte sur vos serpents – Bien à vous L’équipe APPI, Commande sur www.taurrus.com 06 47 51 47 16
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Hypoaspis sp. c'est une dénomination de genre, qui recouvre plusieurs espèces ; en général les seules utilisées (car précédemment utilisées en jardinage contre certains parasites d'escargots et contre certains diptères) sont celles du complexe "aculeifer", c'est-à-dire H. miles et H. aculeifer ainsi que H. aculeiferoides. Or, celles-ci ont plusieurs défauts. Le premier, c'est que les deux derniers sont des hyperactifs, donc très irritants... Le deuxième, c'est que les tests sur H. miles montre que celui-ci a une efficacité maximale à 22°C, il n'y a plus que 80% d'efficacité à 26°C (enfin 82% si ma mémoire est bonne) voir ici: http://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0304401712000313... quelle efficacité à des températures supérieures ? Bien qu'il n'y ait aucune preuve scientifique de la prédation d'O. natricis par Hypoaspis sp. (pas de publication). Hypoaspis et ses petits amis sont très étudiés dans la prédation de Dermanyssus gallinae, acarien proche (improprement dénommé 'pou de la volaille") puisque O. natricis est aussi un Dermanyssoide. Or, l'idée de leur utilisation date de 1998, et l'étude avance puisque les premiers tests de terrain ont commencé en 2009 aux Pays-Bas. Donc pour moi il y a de grosses chances que ce produit soit un équivalent "intelligent" du traitement à l'huile d'olive : c'est sympa, c'est sans doute pas dangereux, c'est moins contraignant que de peindre tes serpents avec de l'huile, mais ça ne devrait pas être une grosse révolution, plutôt un moyen pour les gros élevages de diminuer leurs frais de fipronil... Extraits tirés d'un texte de Gwalchafed avec son autorisation
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Voici un article: A Better Treatment for Snake Mites by amyb@brotcke.com There are few statements more disturbing to a keeper than "You've got snake mites in your collection." Snakes mites are an arachnid ectoparasite of snakes. They suck snake blood, they annoy snakes, they are potential vectors for the transmission of serious diseases, and they can be difficult to eliminate once they are introduced to a captive snake collection. This interesting solution is adapted from a message sent to Slither, a moderated list server on the internet. The author is known to me only by her e-mail address. Mites are a serious issue that most reptile keepers will face at one time or another. Those who do not are the lucky ones. For the rest of us, we're left scrambling, trying to find the most effective and safest method to rid our collections of these predatory pests. Common methods of treating mites -- "home remedies", if you will -- often involve using dangerous chemicals and pesticides. There isn't a single "common" method in use today that I have heard is 100% safe. When Bugs Get Bugs: Invertebrate keepers, too, are plagued by mites. However, when bugs get bugs, the "standard" treatments that reptile keepers often use are not possible. One cannot treat their insects and spiders that are plagued with mites with insecticides or chemicals, as these will invariably kill both. It is a common practice among invertebrate keepers to use a particular species of predatory mite to treat mite infestations. The predatory mites prey upon the "bad" mites, then die off after their food source disappears. They are harmless to the host animal. About three months ago, I found mites on my giant centipede, Scolopendra subspinipes. I found myself going on-line to order some predatory mites (Hypoaspis sp.) to take care of the problem. "Hypoaspis sp." means that the mite is an unspecified species belonging to the genus Hypoaspis. I then began to wonder if the same treatment would be effective on reptile mites. I asked around, and could find no one who had tried this method. I sent an e-mail to the company from which I was ordering the predatory mites to ask if they would be effective against Ophionyssus natricis, the common snake mite. The biological supply company replied that yes, the Hypoaspis would indeed prey upon 0. natricis. They did not know if the predatory mites would prey upon the eggs of the snake mite. My First Experiment: I then decided to do my own experiment. Before I go into the details, I would like to preface by saying that I recognize that this was not a "proper" scientific experiment. I did not have enough animals for control groups, nor did I compare against other mite remedies, but I believe my findings are of some merit. Since I had no snakes with mites, I borrowed three ratsnakes, all with a moderate mite problem. I set each animal up in a separate cage, with paper towel substrate, and a water dish. I then introduced the predatory mites into the enclosure. The predatory mites are shipped in plastic containers filled with vermiculite. I shook the container to distribute the mites throughout, and put two tablespoons of the mixture in each cage. I checked the snakes daily, and saw both mites crawling about the paper towels. Two weeks later, I saw none of the Hypoaspis, but a considerable number of 0. natricis -- not at all what I had expected. My Second Experiment: I contacted the biological supply company, who instructed me to put the snakes on a bedding that would allow the Hypoaspis to burrow and breed. I ordered another shipment of Hypoaspis and I put the ratsnakes on bed-a-beast. When I received the mites, I again put 2 tablespoons of the mixture into the cage. Two weeks later, I again thoroughly checked the ratsnakes for snake mites, and found none. It appeared at this point as if my experiment was successful. As well as preying on the adult form, it would appear that they Hypoaspis mites either prey upon the eggs of the snake mites, or upon the juveniles shortly after hatching. Conclusions: Now, two months after the project began, there is no sign of snake mites in any of the snake enclosures. The experiment, in my opinion, was successful. It appears that predatory mites are a very safe method of treating snake mites. No chemicals are involved, and therefore no danger to the snake. The Hypoaspis mites remain in the substrate for a while, then begin to disappear, when their food source does. I have concluded that predatory mites are the best way to treat an infestation of snake mites. While they are more expensive than many of the common "home remedies", there is no risk of respiratory or neurological illness from chemicals and insecticides. My source of predatory mites was an online company found at . Source: http://webspinners.com/coloherp/cb-news/Vol-28/cbn-0101/SnakeMites.html Je ne maîtrise pas parfaitement l'anglais, mais il me semble que cet article donne un avis plutôt favorable sur l'utilisation des "prédateurs". Si je fais erreur que l'on me corrige...
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Le prédateur ferait parti du genre Hypoaspis. Ce prédateur est déjà connu des éleveurs d'arachnides. En ce qui concerne l'élevage des serpents, cette technique est déjà utilisée aux Etas-Unis. Je vais chercher de la documentation... Tu as déjà essayé ou tu connais quelqu'un qui a tenté l'expérience?
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C'est un Coluber constrictor constrictor. Voici toutes les sous-espèces. Coluber constrictor anthicus (Cope, 1862) Coluber constrictor constrictor Linné, 1758 Coluber constrictor etheridgei Wilson, 1970 Coluber constrictor flaviventris Say, 1823 Coluber constrictor foxii (Baird & Girard, 1853) Coluber constrictor helvigularis Auffenberg, 1955 Coluber constrictor latrunculus Wilson, 1970 Coluber constrictor oaxaca (Jan, 1863) Coluber constrictor paludicola Auffenberg & Babitt, 1955 Coluber constrictor priapus Dunn & Wood, 1939 Un article sur cette espèce: Burbrink, Frank T.; Frank Fontanella, R. Alexander Pyron, Timothy J. Guiher and Cynthia Jimenez 2008. Phylogeography across a continent: The evolutionary and demographic history of the North American racer (Serpentes: Colubridae: Coluber constrictor). Molecular Phylogenetics and Evolution 47 (1): 274-288 http://www.cnah.org/pdf_files/954.pdf
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Taurus, le premier anti parasitaire vivant TAURRUS est un produit vivant permettant de contrôler et d’éradiquer les parasites externes des reptiles et des oiseaux. TAURRUS contient des prédateurs naturels de différentes espèces de parasites comme les poux des serpents (Ophionyssus natricis) ou des oiseaux (Dermanyssus gallinae). Une fois libérés, les prédateurs microscopiques contenus dans le flacon s’activent pour chercher et consommer les parasites jusqu’à les éliminer. Une fois les parasites éliminés les prédateurs disparaissent naturellement. L´action des prédateurs requiert plusieurs jours. Après introduction de ces derniers il convient de surveiller la population des parasites: celle-ci commencera par se stabiliser puis diminuera progressivement. Plusieurs apports de produit TAURRUS peuvent s'avérer nécessaires pour éradiquer une très forte infestation. http://www.taurrus.fr/index.html
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... LES PARASITES EXTERNES ....
askook a répondu à un(e) sujet de Chance-reptil-virus dans Notes médicales
Taurus, le premier anti parasitaire vivant TAURRUS est un produit vivant permettant de contrôler et d’éradiquer les parasites externes des reptiles et des oiseaux. TAURRUS contient des prédateurs naturels de différentes espèces de parasites comme les poux des serpents (Ophionyssus natricis) ou des oiseaux (Dermanyssus gallinae). Une fois libérés, les prédateurs microscopiques contenus dans le flacon s’activent pour chercher et consommer les parasites jusqu’à les éliminer. Une fois les parasites éliminés les prédateurs disparaissent naturellement. L´action des prédateurs requiert plusieurs jours. Après introduction de ces derniers il convient de surveiller la population des parasites: celle-ci commencera par se stabiliser puis diminuera progressivement. Plusieurs apports de produit TAURRUS peuvent s'avérer nécessaires pour éradiquer une très forte infestation. http://www.taurrus.fr/index.html -
Ils ont juste une femelle... C'est bien dommage. La ferme aurait eu un groupe en stock, j'aurai tenté le maintien de cette espèce. Mais maintenant, je n'ai plus assez de place, pour bloquer un terrarium juste pour un spécimen sans savoir si je vais pouvoir trouver son complément un jour. Trois ans en arrière, et là, le femelle était à la maison...