-
Compteur de contenus
13 188 -
Inscription
-
Dernière visite
Type de contenu
Forums
Blogs
Boutique
Calendrier
Téléchargements
Galerie
Articles animaux
Sites
Annuaire animalier
Petites annonces
Tout ce qui a été posté par askook
-
Faits divers concernant les ophidiens
askook a répondu à un(e) sujet de Reptile-city62 dans Serpents
Seine-et-Marne : encore un python dans les égouts ! Drôle de coïncidence à Brie-Comte-Robert où un python de plus de 3 m a été retrouvé, hier midi, dans les égouts de la ville. En soi, l’événement est déjà rare mais ce qui est encore plus inhabituel, c’est qu’il survient un mois et demi après la découverte similaire d’un reptile… exactement au même endroit. « Il est encore plus gros que la dernière fois », assure Adrien Raynard, un employé de la société Prédetec. C’est au pied de cette entreprise, au cœur de la zone d’activités de la ville, à l’angle de la rue du Closeau et de la rue Tubœuf, que l’animal a été découvert. « Un collègue est sorti fumer une cigarette, reprend Adrien Raynard. Il a voulu la jeter dans la bouche d’égout du caniveau et c’est là qu’il a vu le serpent. » Le 26 janvier dernier, un serpent d’une taille similaire avait également été retrouvé par un passant dans la même bouche d’égout. Des pompiers de la caserne de Brie-Comte-Robert ont été dépêchés sur place pour sortir l’animal sans vie. La dépouille du reptile a ensuite été confiée au service pour l’assistance et le contrôle du peuplement animal (Sacpa). Reste maintenant à percer le mystère de ces serpents abandonnés dans un même lieu à quelques semaines d’intervalle. Source: http://www.leparisien.fr/ Vidéo: http://www.leparisien.fr/brie-comte-robert-77170/video-seine-et-marne-encore-un-python-dans-les-egouts-17-03-2012-1910438.php -
Pour les fans de colubridés(pas mal de photos...)
askook a répondu à un(e) sujet de ArsKo dans Vos P'tits Virus
-
Une mouche asiatique à l'attaque des fruits européens La mondialisation et les communications internationales ne sont pas l'apanage de l'espèce humaine. Les mouches, elles-aussi, sont du voyage. Depuis quelques années une mouche asiatique, Drosophila suzukii, attaque l'Europe et ses fruits, à commencer par le sud de l'Union. La première mouche de ce type a été signalée à Tarragone, Espagne, dés l'automne 2008. Depuis, l'insecte se répand à la vitesse de 1400 km par an. Sa propagation a lieu essentiellement par le transport des fruits infectés. Ses préférences vont à la cerise et aux fruits rouges. Depuis 2009, des régions de France et d'Italie signalent des attaques de cet insecte, dommageable pour la production des fruits. Dans le même temps, Drosophila suzukii s'est propagée sur toute la cote Ouest des États-Unis : de la Californie jusqu'au Canada. Ces zones géographiques n'ont pas beaucoup de point commun en terme de climat. Cette mouche serait donc capable de s'adapter à pas mal de régions et notamment aux régions riches en production de fruits. Découverte au Japon, cette mouche pond ses œufs dans les fruits sains. Les larves en se développant les détruisent. Les premiers fruits infectés sont les cerises, mais si la saison ne s'y prête pas la mouche s'adapte et pond ses œufs dans les différentes baies disponibles. Depuis 2011, la mouche commence à faire des dégâts en Espagne. A travers toute l'Europe, la mouche est devenue un ennemi potentiel des producteurs de fruits. Il convient de gérer et recenser au plus vite sa propagation pour éviter qu'elle ne se transforme en véritable plaie. Source: http://www.sur-la-toile.com/ Article: http://onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1111/j.1439-0418.2010.01583.x/pdf
-
Faits divers concernant les ophidiens
askook a répondu à un(e) sujet de Reptile-city62 dans Serpents
-
Faits divers concernant les ophidiens
askook a répondu à un(e) sujet de Reptile-city62 dans Serpents
La famille et le serpent échappent aux flammes Thouars: Un incendie s'est déclaré hier vers 17 h 30 au 65 avenue Victor-Leclerc, en plein centre de Thouars. Un couple d'une trentaine d'années et ses trois enfants, âgés de 5 mois à 8 ans, a dû appeler les pompiers et quitter précipitamment son domicile après que le sèche-linge a commencé à brûler. Il pourrait s'agir d'un court-circuit, d'une surchauffe ou d'une accumulation de poussière. Le feu s'est répandu dans toute la cuisine, mais l'intervention rapide d'une douzaine de pompiers de Thouars, sous le commandement de l'adjudant-chef Guilloteau, a permis d'empêcher la propagation au reste de la maison. Lorsque la fumée et les gaz chauds s'accumulent sous la toiture, le risque majeur est en effet que le tout s'embrase d'un seul coup. Outre la grande échelle, les pompiers s'étaient déplacés avec une grosse citerne d'eau, au cas où les travaux réalisés actuellement sur le réseau gênent l'approvisionnement. En raison des dégâts liés à la fumée, la maison va cependant rester inhabitable pendant quelques temps. Le couple et ses enfants vont donc être rélogés durant en attendant dans leurs familles. Une fois les lieux sécurisés, les pompiers ont également pu sortir sain et sauf de la maison le serpent domestique du père de famille, un magnifique elaphe guttata, connu aussi sous le nom de serpent des blés. Son vivarium s'était brisé sous l'effet de la chaleur. Source: http://www.lanouvellerepublique.fr/Deux-Sevres/Actualite/Faits-divers-justice/n/Contenus/Articles/2012/03/17/La-famille-et-le-serpent-echappent-aux-flammes -
-
Drosophilia melanogaster
askook a répondu à un(e) sujet de askook dans Insectes et Autres Invertébrés
Chez les mouches, le mâle sombre dans l’alcool par frustration sexuelle Chez les mouches drosophiles, les mâles repoussés sexuellement par les femelles sombrent dans l'alcool, comme certains homme le font pour oublier, révèle jeudi une recherche parue dans la revue américaine Science. C'est une question de baromètre interne : selon ces expériences, une substance présente dans le cerveau de la mouche drosophile augmente et diminue selon la satisfaction ou le déplaisir que l'insecte ressent. Lorsque le drosophile mâle est en mesure de copuler, son cerveau présente des taux plus élevés de cette petite molécule (un neuropeptide F) et est moins enclin à consommer des aliments comportant de l'alcool. Le drosophile mâle sexuellement frustré quant à lui, se saoule rigoureusement à la banane frelatée. Les chercheurs ont observé de bas niveaux de neuropeptide F chez ces mêmes insectes. Pour cette expérience, les chercheurs ont commencé par mettre des drosophiles mâles dans une cage de verre où se trouvaient des femelles vierges prêtes à copuler. Ils ont ensuite placé d'autres mâles avec des mouches femelles qui s'étaient déjà accouplées, les conduisant à rejeter les avances de nouveaux mâles. Après ces ébats, ou ces absences d'ébats, les différents mâles ont été mis dans des boîtes contenant deux pailles, l'une donnant accès à de la nourriture liquide normale et l'autre chargée à 15 % d'alcool. Les mouches qui avaient été repoussées sexuellement se sont jetés sur les nutriments liquides alcoolisés, en absorbant de grandes quantités. Par contre, les mâles comblés ont surtout consommé de la nourriture non alcoolisée. Et ces comportements étaient totalement prévisibles en fonction des niveaux de neuropeptide F dans le cerveau des insectes, selon les chercheurs. L'expérience pourrait ouvrir la voie à de nouveaux traitements contre la dépendance à l'alcool ou à d'autres drogues chez l'homme, selon Ulrike Heberlein, professeur d'anatomie et de neurologie à l'université de Californie à San Francisco et principal auteur de ces travaux. Car un neurotransmetteur cérébral similaire à celui de la drosophile, appelé neuropeptide Y, est présent chez les humains. Ajuster les taux de ces neuropeptides chez les humains pourrait faire disparaître cette dépendance, pensent ces scientifiques, expliquant avoir fait exactement la même observation chez la mouche drosophile, encore appelée mouche du vinaigre, un sujet de recherche utilisé par la science depuis le XIXe siècle. "Si les neuropeptides Y s'avèrent bien jouer un rôle déterminant dans l'état psychologique conduisant à abuser de l'alcool et des drogues, on pourrait alors mettre au point des thérapies neutralisant les récepteurs de cette molécule" pour en assurer un niveau suffisant constant dans le cerveau, estime Ulrike Heberlein. Elle précise que des essais cliniques sont en cours pour tester la capacité des neuropeptides Y à soulager l'anxiété et d'autres troubles psychologiques aussi bien que l'obésité. Source:http://bigbrowser.blog.lemonde.fr/2012/03/16/science-chez-les-mouches-le-male-sombre-dans-lalcool-par-frustration-sexuelle/ Liens: http://news.sciencemag.org/sciencenow/2012/03/sexually-rejected-flies-turn-to-.html http://www.nature.com/news/rejected-flies-turn-to-booze-1.10227 -
Disparition inquiétante de deux espèces de lézards communs aux îles Hawaii Les extinctions des espèces spectaculaires par leur taille, leur biologie ou leur endémisme sont largement médiatisées. Mais curieusement, bien que l'intérêt biologique et écologique soit considérable, l'extinction d'espèces communes et à très large répartition semble passer le plus souvent inaperçue. Une équipe franco-américaine composée de deux chercheurs, Ivan Ineich du Laboratoire « Origine, Structure et Evolution de la Biodiversité » (Muséum national d'Histoire naturelle/CNRS, Paris) et Robert Fisher (US Geological Survey, San Diego), a montré l'extinction aux îles Hawaii de deux espèces de petits lézards scincidés très communs et largement répartis dans le Pacifique Sud tropical. Les résultats de cette étude sont publiés cette semaine dans la revue Oryx. Présentes dans tout le Pacifique - depuis la Nouvelle-Guinée jusqu'à l'atoll de Clipperton et aux îles Hawaii, y compris en Polynésie française et à Wallis et Futuna - les deux espèces ont longtemps été confondues. Ce n'est qu'en 1987, dans ses travaux de thèse, que Ivan Ineich a montré que Emoia cyanura était, en fait, composée de deux espèces qui cohabitent le plus souvent : le « vrai » Emoia cyanura et Emoia impar . L'examen par les deux chercheurs de tous les spécimens des îles Hawaii conservés dans de nombreux muséums européens et américains, ainsi que leur analyse bibliographique et leurs prospections récentes sur les îles Hawaii, ont permis de mettre en évidence la chronologie de l'extinction des deux espèces : E. impar, pourtant commune et abondante ailleurs dans le Pacifique tropical, a disparu après 1900 aux îles Hawaii, et l'introduction très récente de la seconde espèce aux îles Hawaii, E. cyanura, juste avant 1970, a été suivie par son extinction rapide après 1990. Emoia impar Ce travail analyse les facteurs qui expliqueraient l'extinction de lézards communs aux Îles Hawaii : la cause la plus probable retenue par les auteurs est la fourmi à grosse tête, Pheidole megacephala. Sa date d'introduction concorde avec celle de l'extinction de E. impar, mais aussi de nombreuses autres espèces de vertébrés, notamment des oiseaux endémiques des îles Hawaii. Ce travail ouvre une nouvelle porte à la Biologie de la Conservation en attirant l'attention sur l'intérêt des collections historiques (qui permettent d'apprécier l'évolution temporelle des peuplements). « Les collections sont des livres dont seules quelques pages sont lisibles actuellement », souligne Ivan Ineich, également responsable des collections de reptiles au Muséum national d'Histoire naturelle depuis 1988. Ces recherches montrent la nécessité de la systématique (décrire, classer, nommer) et l'importance d'étudier les espèces communes, trop souvent jugées sans intérêt. Ce travail pointe également l'extrême sensibilité des « grosses bêtes » vis-à-vis des « petites bêtes » introduites (surtout les virus, bactéries, champignons et arthropodes), dont l'impact autrefois négligé et pourtant si destructeur pour les vertébrés doit être reconsidéré. Les extinctions de ces deux espèces communes sont une alarme et des travaux complémentaires devront les expliquer mais aussi éviter qu'elles ne se renouvellent pour d'autres espèces, s'il n'est pas déjà trop tard ! Source:http://www2.cnrs.fr/presse/communique/2527.htm Article: http://journals.cambridge.org/action/displayAbstract?fromPage=online&aid=8511239&fulltextType=RA&fileId=S0030605310001778
-
-
-
-
-
-
Une nouvelle espèce de grenouille découverte à New York Au détour d’une promenade, un biologiste a découvert sur l’île de Staten, à New York (Etats-Unis), une nouvelle espèce de grenouille Léopard. Les forêts vierges et les profondeurs marines seraient peuplées d’espèces animales encore inconnues. Mais pour découvrir de nouveaux spécimens, il n’est pas nécessaire de s’aventurer si loin. Il suffit parfois d’être un peu plus attentif à la jungle urbaine. Alors qu’il se promenait en 2009 sur l’île de Staten, l’un des cinq arrondissements de la Grosse Pomme, Jeremy A. Feinberg, alors candidat à un doctorat en Ecologie et évolution à l’Université de Rutgers (Etats-Unis), a en effet été surpris par le rythme et le timbre inhabituel de ce qu’il croyait être le coassement de la grenouille Léopard du sud, rapporte le New York Times. Mais en fait de sons courts et répétitifs, l’appel était en l’occurrence long et continu. Trois ans et de multiples études en laboratoire plus tard, M. Feinberg et quatre autres scientifiques viennent de confirmer l’existence d’une « nouvelle » espèce de grenouille, inconnue jusqu’ici, bien qu’établie dans une zone extrêmement fréquentée. Cette surprenante découverte témoigne également de la puissance et de la précision des tests génétiques, qui permettent d’identifier une espèce presque identique à une autre, mais seulement en apparence. Une riche biodiversité en zones urbaines « Voici une nouvelle espèce, et ce n’est pas une nouvelle bactérie ou un insecte à peine visible ! », s’est réjoui H. Bradley Shaffer, professeur au Département d’Ecologie et de Biologie évolutive à l’Université de Californie, cité par nos confrères du New York Times. « C’est un grand amphibien, avec lequel les enfants ont probablement joué depuis des années. Même dans un centre urbain comme New York, il peut y avoir de nouvelles découvertes. Cela montre l’importance des zones urbaines en termes de conservation et de biodiversité », a-t-il poursuivi. L’aire de répartition des grenouilles Léopard est vaste et s’étend du Canada jusqu’en Amérique centrale. De taille moyenne et de couleur vert olive, leur peau est tachetée comme celle du félin, auquel elles doivent leur nom. La nouvelle espèce découverte, très proche de la grenouille Léopard du sud donc, n’a pour l’instant été localisée que dans les environs de New York, dans l’Etat du New Jersey et dans le centre du Connecticut. Il reviendra à M. Feinberg de lui trouver un nom. L’intéressé a déjà beaucoup réfléchi à la question : « Une part de moi a toujours voulu appeler cette espèce la “grenouille Léopard de New York”, mais je pense que les habitants des autres Etats vont protester. Je dois trouver un équilibre dans la dénomination ». Un problème mineur pour une mise au jour d’autant plus appréciable dans ce contexte d’érosion de la biodiversité. Source:http://www.zegreenweb.com Lien: http://www.sciencedaily.com/releases/2012/03/120314124016.htm Article: http://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S1055790312000383
-
Cuxac-Cabardès. Le Reptiles-Show: fascinant Dieter Zorn et «Bongo» le petit crocodile. Une soixantaine de personnes ont assisté, vendredi 9 mars, au Reptiles-Show dans le foyer à Cuxac-Cabardès. Dieter Zorn, herpétologue qualifié, qui exerce depuis plus de vingt-cinq ans, montre par le biais de remarquables manipulations les caractéristiques et particularités des animaux pendant que Uschi, la présentatrice, explique qu'il n'y a guère d'animaux aussi craints, méprisés et méconnus que les serpents. Elle fournit tous les renseignements sur leurs mœurs, leur biologie, leur comportement et leurs réactions en cas de danger, de la petite couleuvre jusqu'au python de 6 m de long, sans oublier « Bongo » le crocodile ou les scorpions et la mygale. Manipulations et explications créent un parcours pédagogique, et chacun a pu ensuite, s'il le désirait, toucher et même porter les serpents pour constater qu'ils ne sont ni gluants, ni froids. Cette démarche a permis à certains de vaincre leurs peurs. Source: http://www.ladepeche.fr/article/2012/03/15/1306263-cuxac-cabardes-le-reptiles-show-fascinant.html
-
Insights into the Ecology and Evolutionary Success of Crocodilians Revealed through Bite-Force and Tooth-Pressure Experimentation PLoS ONE 7(3): e31781. G. M. Erickson, P. M. Gignac, S. J. Steppan, A. K.Lappin, K. A. Vliet, J. D. Brueggen, B. D. Inouye, D. Kledzik & G. J. W. Webb http://www.plosone.org/article/info%3Adoi%2F10.1371%2Fjournal.pone.0031781
-
Chez les crocodiles, le plus grand mord avec plus de puissance
askook a posté un sujet dans Tortues - Crocodiles
Les crocodiles sont parmi les animaux vivants aux mâchoires les plus puissantes. Cette force de morsure peut atteindre 16.000 newtons pour le crocodile marin. Une caractéristique qui serait fortement liée à la taille du corps, mais très peu à la forme du rostre ou celle des dents. C’est le crocodile marin le plus fort ! Au moins pour la force de morsure. Grâce à de nouvelles analyses, dont les résultats sont publiés dans Plos One, des chercheurs américains et australiens ont montré que ces animaux faisaient partie des plus puissants de notre époque. La palme du crocodilien le plus puissant revient à Crocodylus porosus, qui vit en Asie du Sud-Est et en Australie, plus particulièrement le long des côtes car il tolère très bien l’eau salée. Sa force de morsure peut atteindre 16.414 N (valeur maximale observée) au niveau des molaires, soit une pression de 1.200 N/mm² environ. À titre de comparaison, de récentes modélisations ont montré que la force du Tyrannosaurus rex était comprise entre 20.000 et 57.000 N. Les 23 espèces de crocodiliens vivants analysées Les 23 espèces vivantes de crocodiles, alligators, caïmans et gavials ont été passées au crible par les scientifiques. Les données sur la force de la mâchoire et la pression dentaire au niveau des molaires et des canines ont été répertoriées. Calculée en newtons (N), la force de morsure peut être évaluée en laboratoire en présentant au cobaye une proie fictive composée de capteurs. La pression quant à elle, donne une indication de la force par unité de surface, et dépend donc de la zone de la dent en contact avec la proie lors de la morsure. Mais les scientifiques cherchaient surtout à déterminer chez ces animaux les caractéristiques physiques corrélées à la puissance des mâchoires et à la pression des dents. Jusqu’à présent, il était admis que la forme du rostre – largeur en plusieurs points, longueur – était fortement liée à ces paramètres. Mais les récentes analyses montrent que ce n’est pas aussi simple que cela. La force de morsure liée à la taille du corps La caractéristique la mieux corrélée est la taille du corps de l’animal. Ainsi, des espèces dont le rostre est très différent, comme le crocodile de Johnston (Crocodylus johnsoni) qui en possède un très fin et le caïman à museau large (Caiman latirostis), sont capables d’exercer une pression similaire au niveau des dents. Selon les auteurs de l'étude, la force de la mâchoire est une caractéristique qui permet également de reconstruire l'histoire évolutive de ces reptiles. Ils auraient d’abord acquis une force exceptionnelle dans leur mâchoire, puis la taille du corps se serait sensiblement adaptée pour accéder à des proies variées. Enfin, la position et la forme des dents auraient également subi des modifications, menant là encore à une diversification du régime alimentaire. Source: http://www.futura-sciences.com Article: http://www.plosone.org/article/info%3Adoi%2F10.1371%2Fjournal.pone.0031781 -
-
-
-
-
Loi belge pour la Wallonie - Permis d'environnement
askook a répondu à un(e) sujet de snakevipera11 dans Législation
-
-
Des grenouilles costaricaines élevées dans leur container de voyage Des grenouilles trouvées au Costa-Rica et envoyées dans un zoo britannique, y sont élevées pour que l’espèce puisse, à terme, être réintroduite dans son milieu naturel, où elle est devenue rarissime. Leur home anglais : le container où elles ont voyagé, moyennant de solides aménagements. Lithobates vibicarius, une grenouille de la famille des Ranidae, était considérée comme disparue jusqu’en 2005, date à laquelle une petite population a été retrouvée au Costa-Rica par des chercheurs du Muséum de Manchester. Des têtards ont alors été prélevés et envoyés au zoo de Chester (Cheshire, Royaume-Uni), afin que les amphibiens y soient élevés, dans l’espoir d’en réintroduire dans leur habitat d’origine en Amérique centrale. Mais au lieu de leur construire un enclos bien à elle, les responsables du zoo de Chester ont choisi de convertir les containers d'expédition où ont voyagé les grenouilles en ‘mini-forêts tropicales’. "Elles sont maintenues dans une unité de biosécurité (…). Ces grandes boîtes en métal ne sont pas idéales pour le maintien d'une température stable, de sorte qu'il a fallu beaucoup travailler sur l'isolation. Les tentes ‘bio’ que nous avons créées sont de petites forêts pluviales d'environ deux mètres carrés munies d'une pataugeoire", a expliqué Ben Baker, responsable du département d’herpétologie cité par la BBC. Celui-ci a poursuivi : "ce sont des enceintes en mailles fabriquées à partir de moustiquaires, qui permettent la libre circulation de l'air - ce qui est vraiment la clé pour faire prospérer cette espèce". Reste que les grenouilles se font tirer l’oreille pour se reproduire. Après plusieurs saisons infructueuses, le personnel du zoo espère que cette année sera la bonne, afin qu’un programme de réintroduction en milieu naturel puisse voir le jour. Source: http://www.maxisciences.com
-
Une centaine d'animaux exotiques ont voyagé dans un bus avec les passagers Un passager bulgare n'a pas résisté à l'envie de ramener des animaux exotiques et a voyagé pendant près de 24h avec 127 reptiles cachés entre les sièges et dans la soute d'un bus transportant des voyageurs. Attentions, pythons à bord! Une ménagerie de reptiles, dont des pythons et des jeunes caïmans, a voyagé dans un autobus en provenance de République tchèque avant d'être saisie à la frontière bulgaro-serbe, a annoncé lundi l'agence des Douanes. Les 127 reptiles sont restés pendant plus de 24 heures dans des sacs disposés entre les banquettes de l'autobus transportant les passagers ainsi que dans le compartiment à bagages. Six varans, quatre caïmans, trois pythons et 23 grenouilles des champs se cachaient notamment entre les banquettes. Des caméléons, des tortues, un scorpion, des crabes et des escargots se trouvaient dans le compartiment à bagages avec leur nourriture -des vers et des blattes. Les reptiles étaient transportés par un Bulgare sans être déclarés. Confisqués, les animaux ont été transportés au zoo de Sofia. Source: http://www.lexpress.fr