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Un python est sur le point de subir une opération chirurgicale dans une clinique spécialisée en Australie. Le reptile a avalé deux balles de golf et risque la mort. Le calvaire de Callaway, le python, a commencé après qu'il se soit introduit dans un poulailler de la région pour voler des oeufs. Mais ceux-ci avaient été remplacés par des balles de golf afin de ne pas perturber les poules après que leurs oeufs ont été embarqués par leurs propriétaires. Callaway, lui, n'y a vu que du feu et le python a avalé deux balles de golf. Mais il lui est désormais impossible de les digérer et celles-ci bloquent son appareil digestif. Sans une intervention, le python risque la mort. Il a donc été emmené dans une clinique de Currumbin en Australie où il doit subir une opération. Les balles de golf seront ensuite revendues sur eBay. Source: http://www.7sur7.be
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Les lézards de Pod Mrcaru, preuves vivantes de l'évolution... Les acteurs d'une évolution accélérée Il est assez fréquent d'entendre dire que l'évolution des espèces est improuvable car le processus est trop long et ne peut s'observer à l'échelle humaine. Et il est vrai que la majeure partie du temps, le processus d'évolution est long et difficile à déchiffrer. C'était sans compter sur la nature (généreuse !) qui a fourni aux scientifiques un bel exemple d'évolution rapide et incontestable : les lézards d'une petite île, Pod Mrcaru. Commençons l'enquête... Le lieu du crime ! L'île croate de Pod Mrcaru (0.03km2) est située dans la mer Adriatique à proximité de l'île de Pod Kopiste (0,09 km2). De très petite taille, l'île de Pod Mecaru est isolée et sans présence humaine. La victime Sur ce petit bout de terre vivaient tranquillement une espèce de lézard dont le doux nom scientifique est Podarcis melisellensis. Comme la majorité des lézards dans le monde cet animal est insectivore et la concurrence n'étant pas très rude, l'animal était bien installé sur l'île depuis fort longtemps. On peut même dire qu'il se la coulait douce... voir qu'il passait son temps à lézarder au soleil (il fallait la faire !). Les origine du drame en 1971... En 1971 des scientifiques, sous la direction du professeur Eviatar Nevo, décident de procéder à des expériences in-vivo sur l'île en introduisant 5 couples d'une autre espèce de lézard : Podarcis siculus. Cette espèce a été prélevée sur l'île voisine de Pod Kopiste. Le but de cette expérience était d'observer la compétition qui allait s'exercer entre les deux espèces. Les scientifiques comptaient revenir régulièrement sur l'île afin de vérifier l'acclimatation de cette nouvelle espèce. Malheureusement c'est à ce moment que la guerre interne yougoslave de Croatie éclate, empêchant les scientifiques de continuer leurs expériences. Le projet tombe bien sûr dans l'oubli... et les lézards sont laissés sans surveillance. 33 ans plus tard... Entre 2004 et 2006 une nouvelle équipe dirigée par Antony Herrel retourne sur l'île à six reprises pour reprendre les travaux et découvrir si l'espèce a réussi à survivre. Les études reprennent : non seulement les lézards Podarcis siculus ont proliféré mais certaines de leurs caractéristiques physiques sont modifiées. Les nouveaux lézards sont plus gros, leurs mâchoires plus imposantes, leurs pattes plus petites, leur estomac présentent également une valve inexistante dans l'espèce d'origine... Leur mode de vie et de comportement est également modifié : ils ont perdu en vélocité, défendent moins leur territoire et surtout ils sont devenus majoritairement herbivores ! Quant aux anciens lézards autochtones de l'île (Podarcis melisellensis) ils ont été tout simplement supplantés par les lézards étrangers... La nouvelle population est estimée à 1000 individus ce qui est assez étonnant pour une île de si petite taille. Changement de régime alimentaire Les scientifiques ont comparé le régime alimentaire de Podarcis siculus sur son île d'origine avec celui de la nouvelle île. Le lézard original était insectivore à 93-96 % et végétarien à 4-7%... Le lézard "nouveau" est végétarien à 34% au printemps et à 61% en été. Autre constat, les intestins de nos lézards sont habités par des nématodes (vers inconnus jusque là chez les lézards de la région). Ces vers pourraient aider au processus de digestion de la cellulose des végétaux. Le coupable ? L'évolution ! Les lézards nouvellement introduits ont trouvé des sources différentes de nourriture que celles qu'ils consommaient sur l'île de Pod Kopiste. Entre 1971 et 2004, trente générations de lézards se sont succédées. Parmi elles, comme dans toute espèce, des variations (ou des mutations) ont été sélectionnées : possibilité de digérer des végétaux, mâchoires permettant de déchirer des plantes fibreuses... Les individus possédant de telles caractéristiques ont été largement avantagés par rapport aux autres car ils avaient des sources de nourriture à profusion. Ces individus ont pu ainsi se reproduire davantage que les autres et finir par supplanter la population d'origine qui avait moins de possibilités. L'évolution en marche... accélérée Afin de confirmer que ces lézards étaient bien issus des premiers 5 couples, les scientifique ont procédé à une étude plus approfondie. Les résultats confirment que les lézards originaux et les lézards introduits sont semblables sur le plan génétique. C'est donc en seulement trente générations (et en 36 ans) que le processus d'évolution a permis l'apparition dans une population d'individus très différents et mieux adaptés à un nouvel environnement. Charles Darwin aurait apprécié cette preuve directe du processus d'évolution en harmonie avec ses théories. Il aurait, par contre, été étonné de la rapidité de sa mise en oeuvre. Il pensait, lui, que l'évolution se faisait majoritairement très lentement, de manière graduelle. Par contre cette expérience inattendue valide la théorie des équilibres ponctués de Stephen Jay Gould et Niles Eldredge qui propose une évolution des espèces à différentes vitesses : parfois lente quand le milieu est stable et rapide dans les situations de stress dans un environnement changeant. Source:http://www.hominides.com Lien: http://www.sciencedaily.com/releases/2008/04/080417112433.htm
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Nessie, un éléphant... Cette théorie date de 2006. NEIL CLARK est un savant très réputé. Conservateur du Musée Hunterian de l'université de Glasgow de son état, le Dr Clark est célèbre pour sa découverte, en 2004, sur l'île de Skye, au nord-ouest de l'Ecosse, d'empreintes laissées par un dinosaure il y a 165 millions d'années. Quand cet éminent paléontologue s'exprime, on l'écoute. Et ce qu'il affirme, aujourd'hui, sur Nessie, l'insaisissable monstre du Loch Ness, bouleverse toutes les théories. Le monstre ne serait, selon lui, rien de moins qu'un éléphant, en effet. Une découverte monumentale pour un simple pachyderme, pas même un mammouth quaternaire. Autre chose, en tout cas, que le mythe de l'anguille surdimensionnée rescapée du crétacé, bien ancré dans la croyance populaire. Ou celui d'une sardine marseillaise du pléistocène poursuivie par un banc de maquereaux mal intentionnés, ayant trouvé refuge dans les eaux noires du loch. Pour en avoir le coeur net, le Dr Clark a décidé, il y a deux ans, d'enquêter. Comme le public, le monde scientifique était, alors, dans l'impasse. Les chercheurs les plus certifiés en étaient venus aux opinions les plus hardies jusqu'à évoquer l'hypothèse du syndrome collectif de l'Arlésienne sur la réalité de l'animal. Opinion iconoclaste rejetée par les partisans inconditionnels du monstre aquatique. L'absence d'une preuve tangible de l'existence de Nessie n'est pas la preuve de son inexistence, insistaient-ils. Mais, au terme d'une étude approfondie le Dr Clark soutient que la pérennité de Nessie dans la croyance populaire est «un magnifique exemple de marketing» abouti. Et c'est Bertram Mills, un directeur de cirque, qui serait à l'origine de cette réussite publicitaire. Résumons. Les apparitions d'une créature fantastique sur les ondes du loch Ness sont particulièrement abondantes et détaillées en 1933. A cette époque, de nombreux cirques se rendant à Inverness, dans le Nord écossais, faisaient escale sur les berges du loch pour faire reposer les animaux. Quand les éléphants, dont on sait qu'ils nagent, étaient autorisés à entrer dans l'eau «seuls la trompe, le haut de leur tête et de leur dos, étaient visibles», relève le Dr Clark. «L'impression était alors celle d'un animal avec un long cou et deux bosses et, peut-être davantage, s'il y avait plus d'un animal», ajoute-t-il. De là à croire à l'émergence d'un monstre jurassique, il n'y avait qu'un pas, allégrement franchi par des populations impressionnables. Ce n'est sûrement pas un hasard, en tout cas, précise le Dr Clark, si Bertram Mills avait offert quelque 20 000 livres – 1 million de livres d'aujourd'hui – a quiconque capturerait le monstre pour sa ménagerie. «Conscient qu'il s'agissait d'un de ses pachydermes forains, je suis sûr qu'il savait ne pas prendre de risque financier», conclut le paléontologue dans l'Open Geological Society Journal. Cette version du mythe ancré dans la banalité commerciale est empreinte de bon sens. Mais les membres du fan-club de Nessie n'en démordent pas pour autant, persuadés avec Boileau que «le vrai peut quelque fois n'être pas vraisemblable».Jacques Duplouich Source:http://www.lefigaro.fr Lien: http://news.bbc.co.uk/2/hi/uk_news/scotland/4779248.stm
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Les attaques de crocodiles sur les humains se sont multipliées ces derniers jours en Australie, notamment sur la côte Ouest de l’île-continent. Dimanche, une jeune Australienne de 23 ans, Tara Hawkes, a été la dernirèe cible de ces attaques alors qu’elle avait entrepris de se baigner dans la Baie des Dugongs (région proche de Kimberley), rapporte la radio nationale publique ABC. Dans cette baie, où était ancré le yacht sur lequel elle travaille, le True North, elle a été mordue à la cuisse par un crocodile d’environ deux mètres alors qu’elle sortait de l’eau, à un endroit où se mélangent l’eau de mer et celle, douce, d’une piscine naturelle, non loin de cascades réputées dans la région. La victime a été rapidement évacuée par hélicoptère vers le centre médical le plus proche, celui de Derby, où elle a été soignée pour des lacération profondes à la cuisse et où son état est depuis jugé stable. Selon les services officiels de l’environnement, les eaux de cette région sont connues pour être fréquentées par ces reptiles marins. Depuis, ces piscines naturelles sont fermées au public en attendant qu’une décision soit prise concernant le sort à réserver au saurien. L’une des options les plus sérieusement envisagées est de fermer définitivement ces lieux de baignade au public, en partant du principe que les crocodiles sont d’une aprt protégés et qu’ils s’y baignent depuis toujours. Lundi, par ailleurs, toujours en Australie, dans l’Etat du Queensland (Nord-est du pays), c’est un autre crocodile de deux mètre de long environ qui s’en est pris à… une voiture, rapportent les mêmes sources. Selon un témoin qui a alerté la police, l’incident a eu lieu lundi soir aux alentours de 21 heures (locales, GMT+10), dans la petite localité de Habana (banlieue de Mackay). Le véhicule et ses occupants ont alors été pris d’assaut par le reptile, sorti d’un creek tout proche de le route. Personne n’a été blessé et le crocodile a ensuite tranquillement rejoint son repaire. Début janvier 2012, les services de protection de l’environnement de l’État australien du Territoire du Nord (extrême Nord du pays, près de Darwin) ont été forcés d’intervenir pour récupérer un crocodile d’un mètre soixante dix, qui se trouvait dans le salon d’une maison d’habitation de la petite localité de Bees Creek. Les occupants de la maison avaient été réveillés par les aboiements incessants de leur chien. Ils ont ensuite découvert le saurien, un crocodile de mer, dans leur salon. Le reptile s’était échappé d’un élevage voisin (spécialisé dans la production de viande et de peaux de crocodiles), où se trouve une soixantaine de milliers de ses congénères. Les crocodiles de mer, dans cette région de l’Australie, mais aussi dans plusieurs pays de la Mélanésie (Papouasie-Nouvelle-Guinée, îles Salomon) s’aventurent parfois à l’intérieur des terres, remontant le cours des rivières, en particulier en périodes de crue. Nombre record de prises de crocodiles dans le Nord de l’Australie Dans toute la région, les crocodiles sont présents, jusqu’en Australie et ses régions les plus tropicales, comme le territoire du Nord (tout proche de la Papouasie-Nouvelle-Guinée). Les autorités de l’État australien du territoire du Nord ont ainsi enregistré en 2010 un nombre record de prises de crocodiles d’eau douce dans les rivières de la région : 305, dont le plus long mesurait quatre mètres soixante. Le chiffre de 2010 bat un précédent record établi six ans auparavant, avec 274 sauriens capturés dans les rivières de cet État, rapporte la radio nationale publique. Les des récentes et énormes inondations de décembre 2010, dans l’État voisin du Queensland, les autorités avaient là aussi lancé une alerte aux crocodiles, qui profitent de la montée du niveau des rivières pour pénétrer plus en avant vers l’intérieur des terres. Mi-septembre 2010, dans la région de Darwin, les passagères d’une pirogue participant à un concours local de pêche, dans la petite localité de Corroboree (une centaine de kilomètres à l’Est de Darwin, extrême Nord de l’Australie) ont eu la peur de leur vie lorsqu’elles ont été attaquées par un crocodile qui s’est littéralement jeté sur la barque dans le but apparent de la faire chavirer. L’une des rescapées, Toni Flouse, encore choquée, a ensuite déclaré que les femmes avaient eu la mauvaise idée de tenter de récupérer ce qui semblait être un vieux leurre, qui flottait au milieu du plan d’eau douce, au milieu d’une surface recouverte de nénuphars. « Moi j’ai dit tout de suite avant que ce n’était pas une bonne idée, il y a Monsieur le crocodile qui pourrait bien sortir d’un seul coup. Mais je pensais faire une plaisanterie », a-t-elle déclaré. Quelques secondes après, les pêcheuses effarées ont ensuite vu surgir de l’eau un crocodile de trois mètres qui s’est rué sur l’une des extrémités du canot. Les passagères ont alors été suffisamment rapides pour se regrouper de l’autre côté de la barque, juste avant l’impact. Toutes accroupies, aucune d’entre elles n’a perdu l’équilibre et personne n’a donc été précipité dans l’eau. Entre-temps le saurien semblait avoir renoncé à l’idée d’un second assaut. Personne n’a été blessé. En Australie, les crocodiles sont les plus répandus dans les régions tropicales du pays, à commencer par le Nord. Le Nord infesté de crocodiles Mais ils sont également présents dans l’État australien du Queensland (Nord-est du pays), où leur population, ces dernières années, semble toutefois ne pas avoir augmenté de manière significative, selon une étude menée récemment publiée par le département de l’environnement de cet État. Cette étude, dont les résultats ont été publiés fin juin 2010, a été menée entre septembre 2009 et février 2010 sur une zone côtière s’étendant sur une bande de plus de sept cent kilomètres de cette région, et incluant quarante huit rivières et leurs estuaires. Pendant la durée de cette enquête, 293 reptiles marins ont été observés, dont la grande majorité (258) appartient à la famille des crocodiles d’estuaires (d’eau de mer), le reste (35) étant des crocodiles d’eau de rivières. La taille des spécimens trouvés variait de trente centimètres à près de quatre mètres de long. Cette étude a été menée dans le cadre d’un processus de surveillance des effets de l’interdiction de la chasse au crocodile, imposée dans cet État il y a plus de trente cinq ans pour empêcher une extinction annoncée de ces reptiles. Crocodiles surfeurs Un éventuel lien entre un montée du niveau des océans et donc des marées plus fortes, permettant une remontée plus à l’intérieur des estuaires, a récemment été souligné par une enquête menée sur une vingtaine de ces crocodiles de mer, qui ont été appareillés de balises émettrices. Il est alors ressorti de cette étude, en substance, que les crocodiles d’eau de mer, pourtant réputés pour être de modestes nageurs, avaient la faculté de tirer le maximum de profit des courants et donc de « surfer », en économisant leur énergie et en pouvant de cette manière parcourir sans peine des milliers de kilomètres. Source: http://www.tahiti-infos.com
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Faits divers concernant les crocodiliens
askook a répondu à un(e) sujet de askook dans Tortues - Crocodiles
Dévorée par un crocodile devant ses enfants Une femme sud-africaine de 48 ans a été agrippée et tuée par un crocodile devant ses enfants, mardi, alors qu'elle était occupée à pêcher dans la province du KwaZulu-Natal (est). L'animal a jailli de l'eau et a attrapé le bras de la victime. Les deux enfants de la malheureuse, respectivement âgés de 13 et 14 ans, ont appelé à l'aide. Après une heure de lutte, les sauveteurs sont parvenus à forcer l'animal à lâcher le corps, mais la victime était déjà décédée. L'incident a eu lieu à proximité du iSimangaliso Wetland Park, un site classé au patrimoine mondial de l'humanité qui affiche l'une des plus importantes concentrations d'hippopotames et de crocodiles d'Afrique du Sud. Les avertissements à la population ont été intensifiés à la suite du drame. Source: http://www.rtl.be -
Des pesticides perturbent l'orientation des abeilles Des pesticides peuvent désorienter les abeilles et ainsi perturber le développement des ruches. Un résultat obtenu grâce à une nouvelle technologie de puce à radio-identification, collée sur le dos des abeilles. Depuis les années 1990, les néonicotinoïdes, des pesticides, sont répandus sur les champs de maïs et de colza. Une étude française, menée par Mickaël Henry de l’INRA et Axel Decourtye de l’Institut des techniques agricoles, montre que l’exposition, même non mortelle à ces pesticides perturbe la capacité des abeilles à retrouver leur ruche. Ce qui entraîne la mort de beaucoup d’entre elles. Pour cela, Mickaël Henry et ses collègues ont effectué une "expérimentation de délocalisation" en Poitou Charente et à Avignon. « Plus de 650 abeilles ont tout d’abord été capturées dans leur ruche, explique Mickaël Henry. On les a soumises en laboratoire à une dose de pesticide de 1,34 nano-grammes, soit environ cinq fois moins que la dose létale. » Certaines abeilles ont ensuite été marquées par un dispositif RFID, « des petites puces collées sur le dos de chaque insecte ». Ce système a permis de suivre les allers et venues dans la ruche grâce à un détecteur placé à l’entrée de celle-ci. C’est la première fois que les abeilles peuvent être suivies individuellement. Après les avoir ainsi marquées, les chercheurs ont relâché les 653 butineuses à un kilomètre de leur ruche, une distance normale pour des abeilles domestiques. 10% à 30% des abeilles traitées avec du pesticide ne sont pas retournées à la ruche. Conclusion : les insectes exposés à une dose de pesticides, même faible, ont deux fois plus de chance de se perdre et de mourir que ceux non exposés. La deuxième étape de l’étude des Français a été de simuler, à l’aide des données de leurs expériences, la dynamique de population des abeilles exposées au pesticide. Selon ce modèle, les populations d’insectes touchées n’arrivaient plus à se rétablir. En Angleterre, Penelope Whitehorn et Dave Goulson, sont arrivés à des conclusions similaires sur les bourdons. « À cause des néonicotinoïdes, le développement des colonies est plus lent. Il y a 85% de reines en moins » expliquent-ils. L’étape suivante de l’étude française qui a débuté en 2011 et doit encore durer deux ans est de « se pencher sur la modulation des effets d’autres facteurs couplés au pesticide tels que le manque de nourriture ou la présence de parasites » explique Axel Decourtye. Suite à la parution de ces études, le ministère de l’agriculture française a annoncé le jeudi 29 mars qu’il envisageait d’interdire l’utilisation du pesticide Cruiser OSR, un néonicotinoïde. Source:http://www.larecherche.fr Articles: http://www.sciencemag.org/content/early/2012/03/28/science.1215039 http://www.sciencemag.org/content/early/2012/03/28/science.1215025
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Nouvelle réserve pour la grenouille la plus toxique du monde Un contact direct avec une kokoï de Colombie peut tuer en quelques minutes. En fait, une seule kokoï de Colombie sauvage, dont le nom latin Phyllobates terribilis est plus évocateur que son nom commun, est capable de tuer 10 êtres humains avec sa dose de poison de 1 milligramme seulement. Pourtant la nature mortelle de cette toute petite grenouille ne l'a pas empêchée d'en arriver à un stade proche de l'extinction. Actuellement, dans une tentative de sauvegarde de cette espèce, le World Land Trust (WLT) et l'ONG colombienne ProAves travaillent en collaboration afin de créer une réserve de 50 hectares dans la forêt de Chocó. Trouvée en Colombie uniquement, cette grenouille est de nos jours en péril pour cause de déforestation et de fragmentation avec un habitat dénudé en faveur de l'agriculture, de l'exploitation forestière, de la culture de coca et de l'exploitation illégale de mines d'or. Bien que la nouvelle réserve soit de petite taille, le WLT affirme qu'une population saine de cette espèce en voie de disparition survit dans cette nouvelle aire protégée. « La réserve sera protégée dans un premier temps par un seul garde forestier de la communauté locale; puis l'équipe de gardes forestiers augmentera selon les moyens financiers. Pour le moment, la réserve ne possède aucune infrastructure, mais ProAves a l'intention de construire une cabane pour les gardes forestiers; ce qui entraînera une protection et une gestion meilleures de la réserve », a expliqué le World Land Trust à mongabay.com. L'organisation espère également agrandir cette réserve, mais ceci dépendra de la résolution des problèmes compliqués des terres dans la région. « Il existe des possibilités d'avenir dans la création d'une aire protégée plus large avec la communauté Negro Renacer, mais ceci est aussi dans sa phase initiale », a ajouté le World Land Trust. Considérée comme étant le vertébré le plus venimeux de la planète, la toute petite kokoï de Colombie se trouve être une ressource unique pour la population locale. Tout comme avec d'autres grenouilles à flèches empoisonnées, les autochtones essuient la pointe de leurs flèches sur ces amphibiens, sans leurs faire mal, pour enduire les pointes de poison. La pointe de la flèche garde sa toxicité mortelle pendant deux ans. Source: http://fr.mongabay.com
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Un iguane retrouvé dans un arbre ! Après le faux crocodile aperçu la semaine dernière à Epinay-sur-Orge, c’est au tour de Sainte-Geneviève-des-Bois de prendre des allures de jungle. Hier, un iguane de plus de 60 cm et de près de 1 an a été retrouvé rue des Siroliers. Des enfants qui jouaient en bas de leur immeuble ont vu le reptile grimper à l’arbre. Le groupe animalier des pompiers ainsi que les policiers du commissariat de Sainte-Geneviève ont été dépêchés sur place pour récupérer ce que les témoins décrivaient comme un lézard d’un mètre de long. « Notre chance, c’est qu’il faisait froid dehors et qu’il était un peu léthargique, on a pu s’approcher de lui avec l’échelle sans qu’ilbouge », indique-t-on chez les pompiers. Cet iguane provenait en fait d’un appartement voisin. Le propriétaire n’a pas pu récupérer son reptile Le propriétaire, qui laissait son animal en liberté dans son logement, venait de se rendre compte de la fugue du reptile par une fenêtre restée entrouverte. « Normalement, un iguane a besoin d’un terrarium, car il vit avec une température moyenne de 35 oC », note un éleveur spécialisé. Le propriétaire n’a pas pu récupérer son animal, car il ne possède pas de facture d’achat et aucune installation à son domicile ne prouve que le reptile est bien à lui. Il a huit jours pour apporter les pièces nécessaires. En attendant, l’iguane d’un vert magnifique a été pris en charge par les pompiers. Ils vont tenter de lui trouver un gardien provisoire, qui pourra devenir définitif si le propriétaire n’apporte aucune preuve tangible. Source: http://www.leparisien.fr
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Une nouvelle espèce de scorpion découverte dans la Vallée de la Mort Il y a quelques jours, un étudiant de l'Université du Nevada, a découvert une nouvelle espèce de scorpion aux États-Unis. Même dans le Parc National de la Vallée de la Mort, pourtant assez passant, des chercheurs peuvent mettre la main sur de nouvelles espèces. Le Wernerius inyoensis est un petit scorpion qui, à priori, vit sous terre. Mesurant moins de 1,2 centimètres de longueur, il prospère principalement dans un environnement sec et sableux. Matthew Graham, étudiant en doctorat, a découvert l'animal alors qu'il effectuait une recherche nocturne. Il a pu repérer le scorpion en utilisant un rayon ultraviolet spécial qui a rendu l'animal brillant dans le noir. En effet, tout comme ses congénères, le Wernerius inyoensis possède un exosquelette qui devient fluorescent grâce à une substance chimique, explique le Los Angeles Times. L'espèce a ainsi été découverte a l'occasion d'une étude de terrain, créée par le Service des Parcs Nationaux, afin de développer l'inventaire de tous les organismes vivant dans les parcs. Un seul individu mais déjà une nouvelle espèce "Un seul mâle a été découvert, mais son originalité physique nous a permis de l'identifier comme une nouvelle espèce", précise Michael Webber, également étudiant en doctorat et coauteur de l'étude. Néanmoins, le Wernerius inyoensis semble être relié à deux autres espèces découvertes dans le Parc National de Joshua Tree et le long du Colorado. Ce groupe de scorpions est facilement identifiable par la présence d'une épine à la base de son dard, mais dont la fonction reste encore inconnue. "Les scorpions sont souvent considérés comme des fossiles vivants. Ils existent depuis plus de 400 millions d'années et leur métabolisme a très peu évolué depuis. Ils sont présents sur une grande partie de la planète mais dans le sud-ouest de l'Amérique, ils vivent généralement dans un environnement sec et plutôt dans les déserts", explique Michael Webber au Los Angeles Times. Le Wernerius inyoensis porte le nom des montagnes Inyo dans lesquelles il a été découvert et devrait rejoindre le Museum d'Histoire Naturelle de San Diego, dans le cadre d'un prêt à long terme. Source:http://www.maxisciences.com Article: http://www.pensoft.net/J_FILES/1/articles/2562/2562-G-3-layout.pdf
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Comment capturer une mygale sans risque (vidéo)
askook a posté un sujet dans Mygales - Arachnides - Scorpions
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Un système de refroidissement en toile d'araignée Les chercheurs de l‘Université d’Iowa ont découvert que la toile de l’araignée nephila clavipes est un meilleur conducteur thermique que le silicium ou l’aluminium. Elle a l’avantage d’être très élastique et très fine (4 µm d’épaisseur) et elle pourrait être utilisée comme système de refroidissement passif. La question est maintenant de savoir comment en produire en masse et l’utiliser dans des systèmes commercialement viables. Plus efficace que le cuivre Les recherches ont été en partie financées par l’armée américaine et la fondation nationale des sciences. Les scientifiques ont publié leurs résultats dans la revue Advanced Materials. La découverte est surprenante parce que les matériaux organiques ne sont pas de bons conducteurs généralement. En l’espèce, la toile a une conductivité thermique de 416 watts par mètre Kelvin, contre 401 pour le cuivre. De plus, les propriétés de la toile s’améliorent lorsqu’elle est étirée. Il serait ainsi possible de fabriquer des couches souples conductrices capables d’être intégrées dans des composants ou des vêtements. On peut imaginer l’utilisation de puces flexibles pour aller avec les OLED flexibles de demain. Source:http://www.presence-pc.com Lien: http://www.news.iastate.edu/news/2012/mar/spidersilk Article: http://onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1002/adma.201104668/full
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Faits divers concernant les crocodiliens
askook a répondu à un(e) sujet de askook dans Tortues - Crocodiles
Essonne : les pompiers recherchent un... crocodile ! A Epinay-sur-Orge (Essonne), les pompiers sont actuellement sur les traces d'un... crocodile. Depuis ce mercredi matin, huit sapeurs tentent, pour l'heure en vain, de mettre la main sur un animal, dont la taille est estimée de 50 cm à 1 mètre. Ce sont deux habitants de la rue du Breuil, un enfant et son père, qui ont donné l'alerte ce matin en mairie, après avoir vu le reptile la veille dans un bosquet. Les pompiers recommandent à d'éventuels passants croisant l'animal de ne pas se diriger vers lui, mais de rester en "contact visuel" afin d'aider les sapeurs à le retrouver. Source: http://www.leparisien.fr -
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Une guêpe de 6 centimètres découverte en Indonésie Une entomologiste américaine a découvert une guêpe d'une taille impressionnante alors qu'elle était en expédition en Indonésie. Baptisé Megalara garuda, cet insecte mesure plus de six centimètres et le mâle est doté d'immenses mandibules. La nouvelle "reine des guêpes" a été découverte sur l'île indonésienne de Sulawesi. Observée par l'entomologiste américaine Lynn Kimsey, de l'Université de Californie Davis, cette guêpe aux immenses mandibules - plus longues que ses pattes avant quand elles sont ouvertes - peut mesurer jusqu'à six centimètres. Le mâle peut atteindre cette taille impressionnante. La femelle, elle, est plus petite. Baptisé Megalara garuda - le garuda est un oiseau mi-homme mi-aigle mythique emblématique de l’Indonésie - cet insecte appartient à la famille des guêpes fouisseuses, ainsi nommées car elles placent leurs larves dans un trou pour les nourrir. Cette famille compte plusieurs milliers d'espèces aux quatre coins du monde, expliquent dans leur étude publiée par la revue Zookeys Lynn Kimsey et son confrère Michael Ohl du Muséum d’histoire naturelle de Berlin. Un spécimen est conservé dans ce muséum depuis les années 1930. Mais il n'avait jamais été identifié. Les femelles fouisseuses chassent leurs proies en les piquant, ce qui les paralysent. La sélection des proies est souvent spécifique à l'espèce, mais celles de la Megalara garuda n'ont pas encore été identifiées. Avec sa taille inhabituelle et les immenses mâchoires du mâle, cette nouvelle espèce diffère de toutes les autres guêpes fouisseuses connues. C'est la raison pour laquelle elle a été classée dans un nouveau genre, Megalara. Les chercheurs savent encore peu de choses sur cet insecte. Mais ses grandes mandibules laissent penser que comme chez d'autres espèces ainsi pourvues, les mâles les utilisent pour maintenir la femelle pendant la copulation. Il est également possible qu'elles soient des armes de défense. Source: http://www.maxisciences.com Article: http://www.pensoft.net/journals/zookeys/article/2475/abstract/megalara-garuda-a-new-genus-and-species-of-larrine-wasps-from-indonesia-larrinae-crabronidae-hymenoptera-
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ponte euprepiophis mandarina Viétnamienne
askook a répondu à un(e) sujet de christophecot dans Vos P'tits Virus
Génial, Christophe. 10 oeufs!!! Belle ponte... Deux mâles, merci pour l'info. Le mien ne veut toujours rien savoir. Les femelles ne l'intéresse pas. Je vais le mettre en compétition. je n'ai plus qu'à chercher un deuxième mâle adulte... Une nourriture constituée d'oiseaux, c'est ce qui se dit pour éviter d'avoir des coquilles trop dures pour les espèces arboricoles. Perso, je n'ai jamais rencontré de soucis, même en ne donnant que de la souris... Impatient d'avoir ton avis... -