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Faits divers concernant les crocodiliens
askook a répondu à un(e) sujet de askook dans Tortues - Crocodiles
Un alligator sème la panique dans un hôtel Un alligator a semé une véritable panique en s'invitant dans un hôtel américain. L'incident a eu lieu ce mercredi à Port Allen, en Louisiane. Pour une raison que l'on ignore, un alligator a pénétré dans un hôtel Super 8 dans l'après-midi. Matt Marszal, le réceptionniste de l'établissement a immédiatement prévenu les autorités tandis qu'un client, courageux, a tenté d'immobiliser l'animal. Mais celui-ci s'est débattu et a attaqué l'homme, sauvé de justesse par la brigade d'intervention spéciale, qui est parvenue à capturer l'alligator en moins de cinq minutes. Le client blessé a été transporté à l'hôpital. Ses jours ne sont pas en danger. "Je n'avais jamais vu ça auparavant", a confié le réceptionniste de l'hôtel sous le choc. "J'étais terrorisé". Source: http://www.7sur7.be/7s7/fr/1504/Insolite/article/detail/1422366/2012/04/12/Un-alligator-seme-la-panique-dans-un-hotel.dhtml -
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Présentation d'espèces du genre Naja (vidéos)
askook a répondu à un(e) sujet de askook dans Serpents Venimeux
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Présentation d'espèces du genre Naja (vidéos)
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Faits divers concernant les serpents venimeux
askook a répondu à un(e) sujet de askook dans Serpents Venimeux
Un serpent géant venimeux découvert dans un bungalow du Camp Liberty Le dimanche 8 avril dans la soirée, les résidents d’un bungalow situé dans le complexe résidentiel no. 2 du Camp Liberty (Baghdad) découvraient un énorme serpent venimeux long de plus de 2.5 mètres (photo). [url=https://servimg.com/image_preview.php?i=10680&u=10021058][/url] La découverte de ce serpent géant, qui apparemment a pu pénétrer le bungalow par la voie des orifices dans le plancher, a suscité l’inquiétude des résidents. Le 28 février dernier la présence d’autres serpents venimeux avaient été signalés dans le camp. La pollution de l’enceinte du camp, la vétusté des bungalows et le manque des moyens pour désinfecter les lieux à l’approche de la saison de la chaleur, contribuent à augmenter les risques présentés par les insectes et autres bestioles dangereux dans ce camp. Source:http://www.ncr-iran.org/fr/communiques-cnri/achraf/10583-un-serpent-geant-venimeux-decouvert-dans-un-bungalow-du-camp-liberty -
Trois alligators albinos, un mâle et deux femelles débarquent à Alligator Bay pour la saison 2012 Pour le début de la saison, ALLIGATOR BAY est fier d’accueillir trois nouveaux pensionnaires d’exception : deux femelles et un mâle « alligators blancs ». Ils viennent rejoindre la grande famille de crocodiliens (près de 200) présents au parc ! ALLIGATOR BAY possède le plus grand groupe d’alligators en Europe (60). Il est le seul parc en Europe à posséder un trio reproducteur d’Alligator albinos. D’où viennent-ils ? De Louisiane. Les fermes d’élevages ont une autorisation délivrée par l’état fédéral leur permettant de prélever une certaine quantité d’œufs dans les bayous, (Zone marécageuse) avec en contrepartie l’obligation de relâcher dans la nature un pourcentage d’animaux vers l’âge de 2 ou 3 ans. Une zone de nidification repérée depuis longtemps permettait aux ramasseurs de trouver de temps en temps des œufs contenant des bébés albinos. Le couple reproducteur étant porteur hétérozygotes du gène de l’albinisme. L’ensemble des alligators albinos présents dans le monde proviennent de ce fameux nid. Malheureusement, après le cyclone Katarina, le nid a été complètement détruit et les animaux reproducteurs dispersés ou morts. Depuis, les ramasseurs ne trouvent plus d’œufs donnant naissance à des albinos, provenant du milieu naturel. Désormais les chances d’obtenir des albinos ne résident plus que dans l’élevage et la reproduction des animaux détenus en captivité. Un trio destiné à la reproduction d’ici 3 ans – Des animaux bien acclimatés - Age : 7 ans pour les femelles et 6 ans pour le mâle. Taille : 150 cm pour les femelles et 120 cm pour le mâle. Poids : environ 30 kg pour les femelles et 25 kg pour le mâle. Ils mangent tous les jours pendant la moitié de l’année, du poulet, des rongeurs ou du poisson. Pendant le reste de l’année, ils sont nourris 2 fois par semaine. Ces conditions respectent leur cycle alimentaire naturel. Ils forment un groupe homogène sans agressivité entre eux. Après les repas, ils se prélassent sur la berge cote à cote sans animosité. Il est très important que cette cohabitation se poursuive sinon, il serait nécessaire de les séparer et le but recherché ne serait pas atteint. Le parc est très optimiste pour plusieurs raisons : - Quand la cohabitation va bien au début, il est rare que les choses change après. - Ils sont de moins en moins craintifs vis à vis des soigneurs et acceptent la nourriture donnée à la pince. Les animaux seront intégrés dans un espace définitif de 70 m² composé d’une partie sèche de 35 m² et d’une partie aquatique de même dimension. Cet espace est définitif afin de ne pas perturber les alligators dans le futur. L’enclos se trouve dans une serre tropicale plantée, avec des zones ombragées et des abris reconstituant le plus fidèlement possible le milieu d’origine. Il permet aussi à ces animaux aux yeux si fragiles de s’abriter d’une lumière trop vive. DES ANIMAUX RARISSIMES A ce jour, on dénombre à peine plus d’une trentaine d’Alligators albinos dans le monde entier. Qu’est ce que l’albinisme ? Les alligators albinos sont des crocodiliens extrêmement rares car ils peuvent difficilement survivre à l'état sauvage. L’albinisme est une anomalie génétique qui se caractérise par une dépigmentation de la peau et des yeux, résultant d’un défaut de synthèse de la mélanine. Elle peut toucher tous les animaux ainsi que les êtres humains. Pour ces crocodiliens qui doivent séjourner de longues heures au soleil afin de réguler la température de leur corps, cette anomalie est un lourd handicap. Cette déficience génétique en mélanine (albinisme) leur procurant cette couleur ivoire, les empêche de s’exposer à la lumière du jour sans risquer de graves brûlures pour les yeux et la peau. De plus, dès leur naissance, elle les rend très visibles des autres prédateurs. Ces deux facteurs limitent les chances de survie de ces animaux dans la nature. C'est probablement pour cela qu'aujourd'hui, on ne connaît aucun alligator albinos sauvage ! La rareté de ces animaux relève aussi des lois de la probabilité de la génétique puisqu'il faut que chacun des deux parents soit porteur des gènes responsables de l'albinisme. Et même si cette rencontre improbable a lieu, chaque bébé alligator n'aura que 25 % de chances d'être albinos ! Une mission de conservation ALLIGATOR BAY espère, dans un futur proche, obtenir des naissances de ces individus rarissimes. Le parc est reconnu pour son expertise en matière de protection et de préservation de la faune reptilienne. C’est un centre de reproduction de nombreuses espèces de reptiles menacées dont il constitue l’une des rares réserves génétiques. A propos d’ALLIGATOR BAY ALLIGATOR BAY (ex Reptilarium du Mt St Michel) est un parc familial créé par Jean-Pierre Macé en 1994 qui accueille aujourd’hui 125 000 visiteurs par an. Sur 2500 m2 vivent près de 200 alligators et crocodiles. Dans un autre bâtiment de 1000 m² se trouve 200 sauriens et ophidiens, une des plus belles collections de lézards et serpents d’Europe, dont des groupes de varans, de boas, de pythons et d’anacondas. En extérieur, vivent 300 chéloniens dont les tortues géantes des Seychelles et d’Afrique. En moyenne chaque année, 200 naissances ont lieu sur le site. Source:http://www.zoonaute.net/alligatorbay-2012nouveaute.html
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Braconnage : 1 764 grenouilles sauvent leurs cuisses Pris en flagrant délit de pêche illicite au bord d’un étang à La Bresse, des braconniers ont été verbalisés par les services de l’office national de la chasse et de la faune sauvage. Ils avaient piégé 1 764 grenouilles dans des nasses… C’est un coup de filet exceptionnel que les gardes-pêche et les représentants de l’office national de la chasse et de la faune sauvage (ONCFS) viennent de réaliser. Sur les hauteurs de La Bresse, ces derniers ont mis un terme à un important trafic de grenouilles. En effet, le 26 mars dernier, ce ne sont pas moins de 1 764 grenouilles qui ont été relâchées dans un étang privé que les batraciens affectionnent particulièrement. « Nous sommes dans la saison des amours. Les grenouilles sortent pour frayer », explique Philippe Marotel, le président de l’association départementale des gardes-pêche particuliers des Vosges. Ce lundi 26 mars, deux personnes de l’ONCFS, deux représentants de la brigade mobile de Bar-le-Duc et le garde-pêche font le siège à 300 m de l’étang. À l’aide de leurs jumelles, ils observent le calme au bord de l’eau. Les grenouilles semblent coasser paisiblement. Mais les gardes ne tardent pas à repérer sept nasses baignant dans la frayère. Deux hommes, vêtus de waders (pantalons de pêche), sortent du chalet situé au bord de l’eau. Ils s’apprêtaient à relever leur pêche illégale. Ils ont été stoppés aussitôt par les gardes. « Pour faire un maximum de production, les gars relevaient les nasses toutes les deux heures », précise Philippe Marotel. Un à un. Tous les batraciens sont comptés. 1 764 grenouilles sont recensées, 1 500 dans les nasses, les autres sont dans des bassines. Pendant l’intervention des gardes, le propriétaire de l’étang est arrivé sur place. Ce dernier n’a pas contesté les faits et s’est défendu arguant que cette pêche était « pour sa consommation personnelle. » Le propriétaire et les deux jeunes hommes devront répondre de leurs actes devant le tribunal. Ils sont accusés de pêche par mode et moyens prohibés et en temps prohibé. « Ils nous ont dit être restés toute la nuit de peur de se faire voler leurs nasses. » La fédération de pêche des Vosges avait été destinataire d’une lettre anonyme, il y a deux ans. Un courrier dense dans lequel de nombreux documents étayaient la dénonciation de braconnage dans un étang bressaud : photos, plaques d’immatriculation… « Dans ce courrier, la personne s’étonnait que l’on puisse pêcher aussi facilement », explique Philippe Marotel. Alerté, le garde-pêche sollicite la gendarmerie de Travexin. Objectif : vérifier ce qui se passe au bord de cet étang d’altitude. De l’avis des professionnels, le braconnage de grenouilles n’est pas nouveau. D’ailleurs, alors que les gardes intervenaient, des voitures sont arrivées avec de grosses glacières en polystyrène. Certainement pour récupérer le butin. « Dix nasses saisies et 1 764 grenouilles relâchées sur place… Quand on sait que c’était le fruit d’environ 4 h de pêche, on imagine facilement le bilan sur une semaine ! C’est un site exceptionnel qui se retrouve pillé ! » Le procès-verbal est le plus important dressé dans les Vosges. Il y a une semaine, les gardes-pêche avaient relâché 1 500 grenouilles, dans le secteur de la plaine. En cette saison des amours, les grenouilles fraient dans les zones humides. Cette période coïncide avec la saison des grenouilles dans les restaurants. Les cuisses proviennent la plupart du temps de Turquie. Un kilo de grenouilles fraîches prêtes à consommer se négocie cette année chez un grossiste autour de 30 €. Le coup de filet de La Bresse représente environ 1 200 € de butin, en 4 h de pêche illégale ! Les gardes surveillent actuellement d’autres secteurs où du braconnage a été constaté. Source: http://www.vosgesmatin.fr
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Il passe ses nuits à chasser des insectes À 20 ans, alors que ses amis se passionnent pour les moteurs ou pour les jeux vidéo, Dominic Ouellette passe ses nuits à chasser les insectes. Il possède aujourd'hui une impressionnante collection de plus de 3500 espèces qu'il conserve chez ses parents…et il en fait des bijoux! Sa passion a débuté peu avant son entrée en maternelle. «Un soir, mon père est arrivé avec un papillon Cécropia. C'est le premier insecte que j'ai étalé. À la fin, il ne ressemblait plus du tout à un insecte», dit-il en riant. Alors que les enfants du quartier demandaient des vêtements ou des voitures, Dominic suppliait ses parents pour recevoir des insectes à ses anniversaires. Dominic possède maintenant des papillons et des insectes de toutes les couleurs. Faire venir des spécimens coûte entre 1$ et quelques centaines de dollars. En 2009, il a eu l'idée de plastifier l'aile d'un papillon brisé. En voyant le résultat, il s'est ensuite mis à faire des boucles d'oreilles. «Souvent les gens ne croient pas que ce sont de vrais papillons», dit-il Au fil des ans, il a accumulé des livres sur le sujet et a décidé de garder les bestioles qu'il trouvait. C'est avec un système très clair qu'il identifie ses spécimens. «Lorsque j'étale un insecte, j'inscris son nom, où et comment je l'ai capturé puis j'ajoute des informations scientifiques sur l'insecte», affirme-t-il en désignant une trentaine de coléoptères qui ont déjà subi le processus. La chasse Dominic est devenu un professionnel et a développé des tactiques pour attraper les insectes. Il se sert parfois de viande avariée, parfois d'un mélange qu'il confectionne lui-même pour étendre sur les arbres. Puisqu’il travaille 40 heures par semaine dans un restaurant, Dominic opère presque toujours de nuit. «Si je ne chasse pas, je passe la nuit devant mon ordinateur à faire des recherches sur les spécimens. En moyenne, je consacre minimum trois heures par jour à ma passion», dit-il. Dominic prétend que 80% de son salaire est consacré à son passe-temps. «J'ai la chance de vivre chez mes parents, ils m'aident beaucoup. Ils me voyagent lorsque j'ai des expositions et ils me permettent de garder les insectes à la maison», mentionne-t-il. Déjà au primaire, le jeune homme donnait des conférences à ses camardes de classe. Aujourd'hui, il participe à des événements comme l'Éco-Salon pour éduquer les gens et partager sa passion. À la fin de son secondaire, Dominic a fait un stage à l'insectarium de Montréal et il est revenu avec une nouvelle passion: les insectes tropicaux. «Il n'y a pratiquement pas un jour qui passe sans que le livreur apporte un paquet», soutient-il en regardant sa mère du coin de l'œil. Alors que ses amis sont encore sur les bancs d'école et ont un mode de vie différent, Dominic assure avoir conservé une vie sociale. «Ils ne trouvent pas ça bizarre. Certains viennent même à la chasse avec moi», déclare-t-il. Un rêve Dominic a 1001 projets. Il aimerait un jour aller à l'université pour faire un BAC en biologie. «Mon rêve serait de fonder un insectarium à Trois-Rivières, déclare-t-il les yeux brillants. J'ai déjà plein d'idées en tête.» Source:http://www.lhebdojournal.com
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Faits divers concernant les ophidiens
askook a répondu à un(e) sujet de Reptile-city62 dans Serpents
Le serpent était dans le cockpit Le pilote d'un avion de frêt australien a eu la peur de sa vie en voyant apparaitre un serpent sur le tableau de bord, alors qu'il était en plein vol, mais il est parvenu à poser son avion après avoir lancé un appel de détresse, a indiqué aujourd'hui la compagnie aérienne. Braden Blennerhassett effectuait un vol mardi pour Air Frontier entre Darwin et la bourgade isolée de Peppimenarti, dans le Territoire du Nord, lorsqu'il a aperçu le reptile. "Ma pression artérielle et mon rythme cardiaque ont un peu accéléré. C'était une expérience intéressante", a commenté sobrement le pilote à la télévision australienne. "Alors que l'avion était en train de se poser, je pouvais sentir le serpent contre ma jambe. J'avais peur". L'Australie abrite les serpents parmi les plus venimeux au monde, et le directeur de la compagnie Air Frontier, Geoffrey Hunt, a félicité le pilote pour son sang-froid. "Il a dit 'il y a un serpent à bord'", a indiqué le dirigeant aux journalistes, ajoutant que le pilote avait du mal à communiquer avec la tour de contrôle à Darwin, où il est revenu se poser. "Le serpent avait sa tête juste à côté du bouton qu'il faut presser pour parler" avec les contrôleurs aériens, a-t-il précisé. Un expert en serpents attendait le petit avion sur l'aéroport, "mais il n'a pas pu trouver le reptile", a indiqué Geoffrey Hunt. La compagnie va utiliser une souris vivante comme appât. L'avion ne redécollera pas avant que l'animal soit retrouvé. Source: http://www.lefigaro.fr -
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Voici quelques genres fossiles, mais lequel est le plus vieux. Je ne sais pas... Tous ces genres font partis de la famille des Boidae Bavarioboa Szyndlar & Schleich, 1993 Boavus Marsh, 1871 Bransateryx Hoffstetter & Rage, 1972 Calamagras Cope, 1873 Ogmophis Cope, 1885 Tallahattaophis Holman, 1988 Titanoboa Head, Bloch, Hastings, Bourque, Cadena, Herrera, Polly & Jaramillo, 2009
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Christian et ses tortues : une passion silencieuse Dans son jardin de Mont-près-Chambord (41), Christian élève une quinzaine de tortues avec beaucoup de soins et d’attention. Elles le lui rendent bien. Les férus de tortues parlent en générations, un peu comme les forestiers. La plupart disparaîtront avant leur cher reptile. Vingt ans, cinquante ans, la force de l'âge pour une tortue Hermann correctement élevée. Christian se souvient de sa première petite bête, achetée chez le poissonnier. « Je l'ai gardé vingt ans, elle est morte assez jeune. A 8 ans, mon fils avait la sienne et y veillait avec beaucoup d'attention, j'ai pris la suite au moment où il faisait ses études. » Voilà comment sans trop y croire, on devient accro à ces curieux animaux, aussi silencieux qu'une pierre, à peine plus mobiles et pourtant si attachants. " Toto ", 50 ans, un mâle très virulent Christian y trouve « le plaisir de les voir grandir. » Pour les reconnaître dans leur petit enclos soigneusement aménagé, chacune à son numéro peint sur la carapace. Certaines ont du caractère. « Toto » par exemple, « c'est un mâle très virulent ! Il m'a été donné par une personne qui ne pouvait plus la garder. Mais aucune n'est agressive. » Question soins, rien de sorcier : du pissenlit, de la salade, des fruits et un bassin d'eau. La tortue entre dans son hibernation début novembre, elle s'enterre à l'abri du gel et ressort aux premiers soleils. Le plus sérieux se passe avant, à l'achat et lors de la déclaration obligatoire auprès de la DSV (direction des services vétérinaires). La tortue est un animal protégé, « ce n'est pas un jouet, elle doit être issue d'un élevage déclaré, certifié, munie d'une puce d'identification et il est interdit de la lâcher en pleine nature. » On connaît les conséquences de ces négligences avec les dégâts provoqués par les tortues dites de Floride sur le biotope local. « C'est comme cela que l'on a retrouvé une tortue alligator en Loire. Un animal classé dangereux, capable de vous sectionner un doigt d'un seul coup. Au début, c'est petit, mignon. Avec l'âge ça prend du poids, trente kilos, le bassin est trop petit… Alors on s'en débarrasse ! » Président du Club Nature de Mont-près-Chambord, délégué départemental de l'ATC (Amis des tortues du Centre), Christian ne cesse de mettre en garde les futurs propriétaires. « Ils en prennent pour au moins trente ans, il faut le savoir ! » Source:http://www.lanouvellerepublique.fr
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Des chercheurs américains ont récemment découvert, dans le sud-ouest du Burundi, une population d’une espèce minuscule de grenouille, que personne n’avait plus observé depuis plus de 60 ans. Au-delà de cette redécouverte, les scientifiques insistent sur la richesse de la biodiversité de cette région mal connue. pas plus de 1,5 centimètres de longueur, une coloration noire et gris-bleu et, chez le mâle, un doigt de pied extra-long - dont la fonction est inconnue : Cardioglossa cyaneospila est une grenouille tellement rare que nul ne l’avait plus vue depuis 1949 ! C’est pourtant l’un des trésors que des herpétologistes de l'Académie des Sciences de Californie et de l'Université du Texas ont ramené d'une expédition de recherche dans la réserve forestière de Bururi, au Burundi, menée en décembre 2011. Le Pr David Blackburn raconte comment, ayant pour toute information le pressentiment que la grenouille devait, comme ses cousines, lancer un cri caractéristique, il a fait cette découverte : "j'ai cru entendre l'appel et je me suis dirigé vers celui-ci, puis j’ai attendu. Avec une chance extraordinaire, j’ai écarté négligemment quelques brins d'herbe, et la grenouille était juste assise là, sur un rondin. J'ai entendu plusieurs appels au cours des nuits suivantes, ce qui indique la présence d’une population saine de l'espèce, mais je n'ai pu trouver que ce seul spécimen". Situées au carrefour du bassin du Congo, du Grand Rift et du lac Tanganyika, les forêts de haute altitude du Burundi ont une faune et une flore proches de celles du Cameroun, avec lesquelles elles étaient peut-être contiguës autrefois. L’étude de l’ADN du spécimen de grenouille capturé devrait permettre de déterminer vers quelle époque C. cyaneospila a divergé de ses cousines du Cameroun, et donc quand les deux zones forestières ont été séparées. Source:http://www.maxisciences.com Liens: http://www.huffingtonpost.com/2012/03/29/bururi-long-fingered-frog-rediscovered_n_1388355.html http://www.livescience.com/19328-long-fingered-frog.html