Aller au contenu
Rechercher dans
  • Plus d’options…
Rechercher les résultats qui contiennent…
Rechercher les résultats dans…

gekreuzigt

Membres
  • Compteur de contenus

    467
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par gekreuzigt

  1. gekreuzigt

    Hydrophis donaldi

    L'article en entier: http://www.venomdoc.com/downloads/2012_Fry_Hydrophis_donaldi.pdf
  2. Enfin le printemps qui arrive, et voilà les premiers lézards qui sortent depuis maintenant plus d'une semaine. Ci-dessous quelques photos de P.muralis prises cet après-midi: Il devrait être possible de voir les premiers serpents dans quelques temps. Les premières vipères (V.berus, V.aspis, V.ammodytes) sont déjà sorties depuis quelques semaines en Angleterre, Danemark, Allemagne ou encore Slovénie...à suivre
  3. gekreuzigt

    ASIAN PIT VIPERS UPDATE

    Si quelqu'un pouvait aussi mettre en ligne le papier de David 2011 ça serait top: http://www.mapress.com/zootaxa/2011/f/z02992p051f.pdf BTW, Ugo, I cannot find this discussion on O'Shea website... could you give us a direct link?
  4. Peut-être pour qu'il n'y ait pas de bouchons à l'intersection...Avec une ingurgitation rapide et une autre plus lente le problème est peut-être évité. Mais si ça se trouve c'est juste le hasard
  5. gekreuzigt

    Reptiles-Annonces.fr

    Si un jour il y a bcp d'annonces postées, il serait pratique d'avoir un filtre animaux/matériel/nourriture pour chaque région.
  6. Je crois que ta dernière question est un peu confuse dans sa forme à cause d'un problème de vocabulaire, même si je comprends le fond. Tel que je l'ai compris, on peut faire une distinction entre une couleur "pigmentaire" (i.e qu'on voit ce qui n'est pas absorbé) et une couleur structurelle, par exemple celle que l'on observe quand il y a irisation. J'imagine que tu voulais distinguer l'irisation ayant comme origine les iridophores (qui donnent lieu à des interférences, d'où l'irisation) et celle qui vient de la structuration des écailles (qui forment des réseaux de diffraction). Si on prend le cas écailles de B.constrictor développé plus haut (réseau de diffraction 1D), on supprime l'irisation en tournant les écailles de 90°. cela ne devrait pas être le cas si on a une couleur provenant d'iridophores. Avec une structuration 2D (écailles abdominales de P.guttatus par exemple), ça se complique un peu car la réponse devrait être quasiment la même après rotation... A noter aussi qu'on peut avoir simultanément les 2 contributions (iridophores + structuration à la surface des écailles).
  7. gekreuzigt

    Psammophis orientalis

    Serpent élégant! Si un jour tu te fais mordre ça m'intéresse de connaitre l'ampleur de la réaction (ou de la non-réaction)
  8. Intéressant comme sujet mais je trouve ça un peu inapproprié pour un doctorat vétérinaire. En règle générale, ce qu'ils appellent "doctorat vétérinaire" est plutôt un mémoire sur un sujet donné qui est assez léger scientifiquement (il y a des exceptions...).
  9. Oui, c'est tout à fait exact. Certains auteurs (par exemple dans S.M Doucet, 2009) essayent de lister les différentes fonctions associées à cette iridescence chez divers animaux. Cette dernière peut parfois être mise au premier plan par exemple en tant qu'élément de communication visuelle (information sur le sexe, l'âge...) ou en participant au camouflage de l'animal (Exemple: Chlorophila obscuripennis). Néanmoins, l'iridescence peut également être un effet secondaire de la structuration (des écailles, dans le cas des serpents) qui vient s'ajouter à une fonction plus importante. Par exemple, chez les serpents fouisseurs, la structuration des écailles permet de limiter les frottements lors des déplacements dans le sol souvent humide (propriétés tribologiques) tout en minimisant le dépôt de "saletés" sur ou entre ces écailles (cela s'explique de la même manière que pour la propreté des feuilles de lotus). Dans ce cas, l'iridescence n'a pas d'effet majeur mais est bien là. Cela s'observe assez bien sur la photo ci-dessous: Xenopeltis unicolor (Photo Askook/Chance) Pour en savoir plus, voir ce lien qui reprend en détail ce dernier point: http://bmnh.org/PDFs/Gower2003.pdf
  10. Pour commencer sur ce thème qui est assez vaste et particulièrement intéressant, voici quelques documents autour du phénomène d'iridescence rencontré chez les serpents. Les articles qui vont être postés ci-dessous seront, sauf exception, rédigés en anglais mais cela n'empêche pas d'avoir des discussions, des questions ou des commentaires (en français!) autour de ces papiers. L'iridescence chez les serpents est quelque chose qui a été étudié spécifiquement (au moins) dès 1968 (Science, Monroe) chez Drymarchon corais. Ce colubridé présente de manière très marquée des reflets iridescents mais ce n'est pas un cas particulier, on retrouve ce phénomène d'iridescence chez d'autres espèces (voir par exemple les photos de B.constrictor sur ce forum etc.). Cette étude, ainsi que bien d'autres qui ont suivi, ont mis en évidence une structure particulière des écailles à de très petites échelles (on se place à des tailles comparables à la longueur d'onde de la lumière de le domaine du visible, soit typiquement à quelques centaines de nanomètres) responsable de l'irisation: On parle alors de couleurs "structurelles" (par opposition aux couleurs "pigmentaires"). Dans l'article qui suit, les auteurs montrent que cette nanostructuration est par exemple présente chez des espèces relativement communes en terrario (B.constrictor et P.guttatus) et forme des réseaux de diffraction uni ou bidimensionels.
  11. Les Japonais sont spécialistes des "bug fights" et autres trucs du genre (--> http://www.japanesebugfights.com/) ... c'est pas ce qui les honore le plus!
  12. En effet, c'est la collection d'animaux naturalisés qui a été touchée mais pas les animaux vivants qui restent relativement nombreux dans l'institut.
  13. Une vidéo en plusieurs parties de Viperkeeper sur ce centre de recherche. Il faut prendre sur soi pour supporter sa respiration et les quelques passages inutiles (e.g début partie 1) mais la vidéo reste intéressante pour ceux qui veulent voir de plus près le fonctionnement de cet établissement. Partie 1:
  14. Il essayent de créer des petits évènements Il me semble que c'est 2 nouvelles espèces pour le vivarium (en mamba, ils avaient déjà un hybride, j'imagine que c'est pas le même dans ce terarrium) et qu'il s'agit aussi d'une nouvelle pièce (il y avait des travaux les mois précédents).
  15. Dans ce cas je pense que ça passerait quand même
  16. J'imagine que la nouveauté ici est le fait que cela soit mise en évidence chez Drosophilia melanogaster car c'est quelque chose d'assez connu pour d'autres insectes comme les abeilles (dans le cas des abeilles, même quand le ciel n'est pas bleu et qu'elles n'ont donc pas accès à la lumière polarisée, elles peuvent encore s'orienter avec le champ magnétique...).
  17. Y'en a pas mal des exemples comme ça, ou avec des noms plus ou moins loufoques. En Slovénie j'avais découvert une autre espèce dans ce style, mais dans un registre bien différent! Il s'agit de Anophthalmus hitleri, littéralement l'"Hitler aveugle". Sheibel nomma cet insecte en 1937 en hommage à Hitler qui l'en remercia. A cela s'ajoute également Rochlingia hitleri. Apparemment il y a quand même certaines limites pour donner des noms. Par exemple, j'ai lu qu'il était interdit de donner des noms à connotations religieuses comme jesusi...
  18. T'aurais p'têtre du composer sur le thème "Hello Kitty" dans ce cas...
  19. gekreuzigt

    Phénol

    Le post a été ouvert par Askook et au début de son message il demandait des informations générales sur ce qu'on nomme le phénol, c'est normal d'essayer d'y répondre. D'autant plus qu'il peut y avoir des confusions pour certaines personnes si on regarde les données brutes (par exemple, on s'en fout un peu de son point d'ébullition, ça n'empêche pas qu'il peut y avoir de l'évaporation pour de plus faibles températures). Pour la seconde partie de sa question, personnellement je n'ai rien de bien précis à donner. Les études quantitatives que j'ai pu voir portaient sur des tests de toxicité sur des rongeurs, on ne peut donc pas faire de conclusions immédiates en ce qui concerne les reptiles. Néanmoins, il semble (d'après l'expérience des terrariophiles, notamment américains), que les reptiles sont particulièrement sensibles aux vapeurs de ces composés (que se soit à partir des désinfectants utilisés ou du substrat). En particulier, les ricains rapportent le problème de toxicité avec des copeaux de cèdre en première ligne, mais aussi avec du pin. A noter qu'un traitement thermique permet de diminuer cette teneur en phénol, donc si cela est mentionné c'est déjà un plus.
  20. Et le thym ça marche aussi?
  21. si, mais bon, c'est des journalistes...faut pas s'attendre à des miracles
  22. gekreuzigt

    Phénol

    En fait j'avais zappé le début de ton message avec la citation de Deenye sur les pptés de l'hydroxybenzène (qui d'ailleurs ne rend pas compte des autres phénols et est donné comme produit "pur", sans prendre en compte les impuretés). Je ne sais pas si on parle ici de phénols compris dans une solution pour désinfecter le terra ou bien compris dans les copeaux etc. mais il n'est pas inenvisageable de considérer ces composés en solution donc a priori cela peut générer des vapeurs toxiques.
  23. gekreuzigt

    Proteus anguinus

    "ll collectionne les records : record de longévité (il peut vivre plus de 100 ans), record de diète (il peut rester jusqu'à 8 ans sans manger), record d'apnée (il peut survivre trois jours sans oxygène)" Quand j'étais à Postojna en Slovénie (ville qui a d'ailleurs des Proteus en effigie sur de nombreux bâtiments) , le guide de la grotte nous a même parlé d'une diète pouvant aller jusqu'à 10 ans sur un de leur specimens... C'est vrai que quand on voit leur activité, on comprend pourquoi
  24. gekreuzigt

    Phénol

    Dans les composés phénoliques on retrouve un cycle benzénique (C6H5) + une fonction hydroxyle (-OH) (Après il peut y avoir éventuellement d'autres fonctions greffées à la molécule). Ca c'est la définition générale des phénols. Après si on parle en particulier du phénol (hydroxybenzène), c'est la forme la plus simple de ce qui est écrit au dessus, soit du C6H6O. En général, quand on travaille avec des composés aromatiques (qui portent ce cycle benzène), on aime bien travailler sous hotte car ils sont connus pour être toxiques et cancérigènes... Bref, à éviter dans un environnement clos (comme l'est un terrarium). Je pense que dans les livres ils parlent des phénols en général, avec les problèmes éventuels de vapeurs toxiques et/ou la dissolution en présence d'eau qui peut acidifier la sauce...
×
×
  • Créer...