Karoube1

Et si plusieurs personnes du milieu des refuges ne savaient pas réellement comment définir ce qu'est un éleveur éthique... (et si même dans le milieu canin, ça ne semblait pas si évident... ) Oui le bout sur la passion m'a fait frisé les cheveux...mais je m'y attendais. Sinon je crois aussi que on ne peut pas faire et dire ce qu'on veut à ce genre d'émission et que oui, il aurait fallu choisir le cheval de bataille "contre les usines, pour l'élevage éthique, contre les animaleries, pour les refuges..." même si c'est tout relié, c'est trop en si peu de temps... la présence des chiens a fait perdre du temps, mais vu la provenance de Johanne, c'est compréhensible.. mais bon je suis tout de même épatée qu'on en PARLE. Déjà d'avoir pu avoir la place à cette émission, wow. Déjà d'avoir fait une bonne entrevue, wow. C'est vrai que c'est un grand pas. Il faut être positif!! et les messages qui en sont ressortis sont même si oui on ne guide pas trop les gens vers autre chose... au moins on ouvre la porte!

Sonia je suis arrivée assez tard, vers 18h30 environ et je suis restée jusqu'à presque la fermeture. Je sais pas à quelle heure exactement je suis passée au kiosque de Sasha... mais bon c'était pas en entrant, ni à la fin..donc suremetn vers 20h!

Je n'ai jamais mis en doute que Jocelyne Bergeron soit connue...je ne la connaissais pas, car je ne connais pas les berger allemand, c'est pourquoi j'ai demandé pour me rassurer. Pour les journalistes, je comprends qu'il faut réagir lorsque c'est chaud et comme j'ai dit, je suis heureuse que l'entrevue ait été un succès... mon commentaire était général dans le sens ou je trouve que bien souvent ils ne se préparent pas et semblent bien peu s'informer avant de faire leurs entrevues. mais je veux pas partir un débat la dessus... c'est juste mon "feeling"

Zudith, tu as surement vu plein de monde du forum qui comme moi ne savait pas qui tu étais ou n'osait pas te parler! J'ai passé pas mal de temps avec mes enfants a caresser une superbe bull terrier près du kiosque de Sasha.. j'ai reconnu plein de monde en général, mais pas parlé à beaucoup... je suis plutot gênée ça m'a pris tout mon petit change (et mon mari qui me pousse dans le dos ) pour aller dire bonjour à Great je préfère nettement quand j'ai déjà rencontré la personne dans une autre occasion

Si j'en crois Clouso, l'entrevue a déjà passé en onde? ils m'épatent les journalistes... la journaliste a contacté l'UPRA pour de l'aide l'après midi en pleine semaine (tsé le monde travaille) en disant qu'elle voulait faire une entrevue..le soir même! on pensait pas que c'était vrai, mais on dirait bien... je sais bien que parfois ça peut être urgent, mais ce type d'entrevue n'aurait pas intérêt à être bien planifié et le sujet bien étudié avant? une chance, semblerait que cette fois ci ce fut positif... mais j'Ai bien de la difficulté à comprendre que l'après midi on ne sache pas une miette sur le sujet sur lequel on doit interroger quelqu'un le soir même! et qu'on ait même pas une idée des personnes à interroger... après on se demande pourquoi les médias transmettent parfois si mal l'information...

aucune idée. Je sais que c,est TVA estrie ou quelque chose du genre par contre. Makeja, tant mieux :43:

Sylhan, j'en doute pas

Tessa, tu veux dire des gens qu'ils réferent en tant qu'éleveurs éthiques? l'UPRA ne réfère que très rarement des éleveurs et quand c,est le cas ce sont des éleveurs éthiques connus personnellement...dont toi. En effet il n'y a pas de risque à prendre de ce coté. En général il est préférable de donner les outils pour se faire soit même une idée de l'éthique de l'éleveur...dans ce cas ci, la journaliste demandait une liste de noms ce qui a été donné avec grande prudence, ne t,inquiète pas ET avec des outils. Mais finalement la journalisme a trouvé par elle même.

Soleil ce n'est plus moi qui s,occupe de l'UPRA donc la personne ne s,adressait pas à moi...mais je suis bonne amie avec celle qui a pris ma relève et oui elle a envoyé tous les docs pour aider à trouver un éleveur éthique, les critères, etc!

Sylhan, tu me fais toujours sourire avec ta vision de la passion des éleveurs (hier au SNAC de Mtl, il y en avait une "couple" d'éleveurs passionnés qui faisaient du beau n'importe quoi..un dob blanc entre autre )...mais dans ce cas ci, ça semble vrai! tant que passion = éthique, moi j'ai pas de problème avec ça je suis rassurée merci!

Oui c'est Jocelyne Bergeron... tu connais?? tu me RASSURES BEAUCOUP Marie-Claude!!!!!!!!! ouf... j'avoue que lorsque j'ai vu la réponse rapide de la journaliste qui disait juste qu'elle était ok maintenant elle était allé là alors que dans son précédent message elle ne savait même pas c'était quoi l'élevage éthique, j'ai eu peur!!!! mais ouf... yeah si elle a bien été dirigé malgré tout!!!!!!!!

quelqu'un connait Mme Bergeron Éleveure de berger allemand à Sherbrooke?? une journaliste de TVA avait contacté l'UPRA pour obtenir des informations et noms d'éleveurs éthiques (ce qui lui a été envoyé le soir même), mais la journaliste, trop empressée, avait déjà prévu un entrevue qu'elle a fait avec cette Mme Bergeron...et comme elle discutera d'éthique, d'usines, etc... je m'inquiète un brin. Je ne connais pas du tout le monde du berger allemand, mais je sais que plusieurs éleveurs du Québec ne brillent pas par leur éthique et comme il était évident que cette journaliste ne savait pas reconnaitre un éleveur éthique et que les chances sont contre nous pour qu'elle soit tombée sur un éleveur éthique par hasard, je m'inquiete vraiment du message qui sortira de cet entrevue...

Le pire c'est qu'elle semble vraiment se croire, croire qu'elle les "sauve"... et si elle se croit, il y aura surement d'autre monde pour la croire aussi... ça donne le gout de pleurer et de crier caline!!!!!!!!!!

Ca existe au USA (Petsmart) et quelque peu au Canada (Je crois un Petsmart et Petcetera) et oui ce sont des assos souhaités et si le commerce ne vend pas d'autres animaux que ceux provenant et toujours sous la responsabilité du refuge, non pour moi ce n'est pas vriament une animalerie. (oups Moz a été plus vite que moi! )

Anik, je suis daccord...pourquoi laisser les outils (kijiji, les pacs, etc) entre les mains des bybs et usines lorsque l'on sait que ce sont là que les gens regardent en majorité et que contre ça, on n'y peut pas grand chose?

Luclo Marie Claude ça fait juste du bien des fois

Je transmets, car je viens de recevoir.. From: spacanada@mail.com To: spacanada@mail.com Date: Sun, 23 Nov 2008 16:58:34 -0500 Subject: MANIFESTATION CONTRE LES USINE A CHIOTS / DEMONSTRATION AGAINST PUPPY MILLS MANIFESTATION CONTRE LES USINE A CHIOTS / DEMONSTRATION AGAINST PUPPY MILLS (Scroll down for English section ) * SVP faire circuler le plus possible <LI class=EC_MsoNormal style="TEXT-INDENT: -0.25in; tab-stops: list .5in">Manifestation provinciale contre les usines à chiots <LI class=EC_MsoNormal style="TEXT-INDENT: -0.25in; tab-stops: list .5in">Qu’est-ce que les usines à chiots? <LI class=EC_MsoNormal style="TEXT-INDENT: -0.25in; tab-stops: list .5in">Venez signer la pétition contre les usines à chiots Chien rescapé d’usine à chiot cherche foyer permanent 1. MANIFESTATION PROVINCIALE CONTRE LES USINES À CHIOTS Le jeudi 27 novembre 2008 à 12h, La Société pour la Protection des Animaux Canada organise une manifestation provinciale pacifique en face du bureau du premier ministre du Québec. Lors de cette manifestation : - Nous distribuerons des pancartes révélant les horreurs des usines à chiots. - La S.P.A. Canada, accompagnée d’une mascotte canine, ira remettre à M. Jean Charest les 50 000 signatures contre les usines à chiots accumulées jusqu’à ce jour (en 5 mois seulement!). - Des chiens rescapés récemment des usines à chiots seront présents sur place. Si vous avez un chien ou connaissez quelqu’un qui a un chien qui provient d’une usine à chiot, amenez-le avec vous! Il est primordial de venir unir votre voix à celle de la S.P.A. Canada au nom de tous les chiens qui ont souffert et tout ceux qui souffrent encore, emprisonnés dans les usines à chiots. De plus, en ce temps d’élection, c’est le moment idéal pour faire pression sur le gouvernement; d’autant plus que M. Jean Charest y est allé d'un commentaire dans le cadre de la campagne électorale, en soulignant la possibilité de rendre les lois plus sévères pour mieux encadrer l'élevage des chiots. DATE: Jeudi le 27 novembre 2008LIEU: 2001, avenue McGillCollege, Montréal, Québec (métro McGill) HEURE : 12h am (Affiche de l’événement en attachement) Si vous ne pouvez pas assister à la manifestation, prenez quelques minutes pour appeler ou envoyer un courriel à M. Jean Charest pour le supplier d’adopter des lois interdisant les usines à chiots au Québec. Par téléphone, au 514 873-3411, ou par courriel, directement sur le site au http://www.premier-ministre.gouv.qc.ca/premier-ministre/nous-joindre/nous-joindre.shtml. Nous vous encourageons également à écouter le reportage sur les usines à chiots de jeudi dernier à l’émission ‘Enquête’ à la télé de Radio-Canada. Vous pouvez le visionner au lien suivant : http://www.radio-canada.ca/emissions/enquete/2008-2009/Reportage.asp?idDoc=68514 2. QU’EST-CE QU’UNE USINE A CHIOTS? Le Québec est reconnu pour être la province de choix des usines à chiots de l’Amérique car c’est l’un des derniers endroits où les lois de protection des animaux ne sont pas efficaces. Les usines à chiots sont des centres de reproduction massive de chiens. Dans ces établissements, les chiens sont gardés toute leur vie dans des cages souvent trop petites, ils sont gardés dans des conditions insalubres, sont mal et sous nourri, sont sujet à des virus, parasites et infections sans jamais être traités par un vétérinaire, les mâles et les chiots malades ou trop vieux sont tués et les femelles sont forcées d’avoir jusqu’à 3 portées par année sans repos et lorsqu’elles ne sont plus fertiles, elles sont tuées, vendues ou abandonnées. Il est estimé qu’il existe entre 1500 et 1800 usines à chiots au Québec et que 400 000 chiots naissent chaque année dans ces établissements. L'industrie animalière produit aussi, dans des conditions très souvent tout aussi déplorables, d'autres espèces animales: chats, lapins, rongeurs, oiseaux, etc. Nos lois doivent pouvoir les protéger eux aussi, sans voix et sans choix... Pour plus d’information consultez le site www.nopuppymillscanada.ca ou visionnez le reportage sur les usines à chiots de jeudi dernier à l’émission ‘Enquête’ à la télé de Radio-Canada au lien suivant: http://www.radio-canada.ca/emissions/enquete/2008-2009/Reportage.asp?idDoc=68514 3. VENEZ SIGNER LA PETITION CONTRE LES USINES A CHIOTS Si vous ne l’avez pas déjà fait, nous vous invitons à venir signer la pétition contre les usines à chiots. Nos kiosques sont situés au centre-ville de Montréal sur la rue Sainte-Catherine au coin de Mansfield et nous sommes présents tous les jours de 11h00 à 19h00 pour vous accueillir. A Ottawa devant le parlement Canadien tous les Samedi et dimanche de 10h00 a 17h00. 4. CHIEN RESCAPER D’USINE A CHIOTS CHERCHE FOYER PERMANENT Une petite Shitzu femelle beige cherche un foyer permanent (photographie attachée). Elle a été rescapée la semaine dernière d’une usine à chiot à Asbestos. Elle est très enjouée et socialise très bien avec les chats et les autres chiens. Elle est présentement en foyer d’accueille a Montréal jusqu’a ce qu’elle trouve une nouvelle maison. Elle sera vaccinée et opérée en décembre. Pour plus d’informations, contactez la S.P.A. Canada. S.P.A. CanadaSociété pour la Protection des Animaux, Canada Siège social national 613-875-SPA1(7721)

madame.. j'ai un ton "madame prof" hein? caline que j'aime pas ça...et on dirait que je peux pas m'en empêcher...

Le site ne dit pas grand chose, sauf qu'elle fait de la confo (ce qui est un bon point) donc faudra questionner sur la santé, tests, tempérament, socialisation. C'est donc toutes les questions normales et une visite bien sur. car tu le sais aussi bien que moi, la confo et l'enregistrement ne garantie rien.. mais ses yorks sont beaux et enregistrés...ce qui n'est pas le fait de la majorité des yorks nés au Québec, donc c'est déjà un pas dans la bonne direction.. ça mérite une viste à mon avis!

dac avec Tessa...ça peut être un endroit un trouver des éleveurs,mais ça ne vérifie rien et ça n'affirme rien d'autre que l'éleveur est dans l'élevage depuis plus de 10 ans. Ca ne "garantie" rien si on veut du moins au niveau de l'éthique.

Les poms ne sont pas rares du tout en rescue et si on est patient, les yorks non plus, mais souvent ils sont croisés, bien que ressemblant plus au york...tsé tu as peu de chance c'est certain de tomber sur le york de 3 livres, ceux là sont revendus, pas donné au rescue pour les rotules, c'est manipulation et radio oui à ma connaissance je ne connais pas cet éleveur...as tu un lien, ils ont une page web? sinon faut poser les questions de base...

c'est sur :43:

Je ne sais pas si ces textes ont déjà été mis ici...mais je les trouve important, car ils démontrent deux choses: 1- que le reportage a des concéquences, ce qui est bien 2- qu'il est URGENT de réagir parce que les petits éleveux vont prendre le pas... il est urgent que le public comprenne que la question n'en est pas une uniquement de salubrité... Julie Latreille est scandalisée par les reportages sur les usines à chiots qui donnent mauvaise réputation aux animaleries. Maxime Pelletier, un employé de Petland, s'assure que les animaux aient tout pour leur confort: eau, nourriture, coin douillet et jouets. La réplique d'une animalerie Oriane Wion L'Œil Régional - 18 octobre 2008 Les reportages sur les usines à chiots diffusés récemment dans les médias télévisés et écrits font réagir bien des gens. Julie Latreille, propriétaire du Petland à Belœil, se dit outrée du message résultant de ce type de reportage qui cible les animaleries comme les complices des usines à chiots. Selon Mme Latreille, ce ne sont pas tous les commerces d'animaux qui doivent être mis dans le même panier. "Après le reportage qui a été diffusé à la télévision, les clients qui entrent dans mon animalerie sont plus craintifs. Que l'on me pose un paquet de questions sur la provenance de mes chiens ne me dérange en rien, je n'ai rien à cacher. C'est plutôt la mauvaise réputation des animaleries, que les médias ont propagée, qui me dérange, expose Mme Latreille. Pour ma part, contrairement à ce que laisse croire le reportage, je n'ai jamais fait euthanasier un animal parce qu'il ne se vendait pas. Dans un pareil cas, je vais baisser son prix, c'est tout". Pour se défendre, Mme Latreille certifie qu'aucun de ses chiens ne provient d'usines à chiots. "Je connais personnellement les éleveurs qui me fournissent les chiens. Je sais que leurs animaux sont bien traités avant de m'être confiés", explique Mme Latreille. D'ailleurs, cette dernière confie que la majorité de ses chiens proviennent d'un élevage à Roxton Pound, près de Bromont, alors que d'autres proviennent d'une éleveuse certifiée de Saint-Basile-le-Grand. Il arrive quelques fois que des particuliers viennent proposer des chiens à Mme Latreille et dans ces moments-là, un examen des bêtes est requis. "Quand un particulier vient me porter ses chiens, parce que sa chienne a eu une portée de chiots, je les examine de long en large et j'analyse leurs comportements. Je veux constater s'ils sont craintifs, peureux ou si au contraire ils sont sociables. Dès que possible je les fais examiner par le vétérinaire", indique Mme Latreille. Ce même vétérinaire vient toutes les semaines ausculter les animaux, les vacciner et vermifuger au besoin. Ce suivi certifie à Mme Latreille, ainsi qu'aux clients, que les animaux sont en bonne santé avant de quitter l'animalerie. Une question de confiance Mme Latreille ne prétend pas vendre des chiens pure race, bien au contraire. "Je suis franche avec les clients. Je ne vends pas de chiens de compétition. Mais ces derniers font de très bons compagnons de vie." Selon la propriétaire du Petland, tout est une question de confiance entre les clients et elle. "Quand les clients achètent un chien, je garantis ce dernier pendant un an pour tous problèmes congénitaux et 14 jours pour tout ce qui est viral. Dans les rares cas où est survenu un problème viral, j'ai assumé entièrement les frais de vétérinaire." Avant de vendre un chien, Mme Latreille et ses employés affirment prendre tout le temps nécessaire pour analyser le futur propriétaire, tant dans son attitude que sa compatibilité avec le chien. "Un client qui entre dans mon commerce en me demandant si j'ai un chien pas cher, vous pouvez être sûre que je ne lui en vends pas. Ça n'existe pas un chien pas cher. Si le client m'aborde de la sorte, je suis persuadée que le chien ne sera pas assez bien traité, alors je ne prends pas de chance. Je dois sentir que j'ai confiance en la personne avant de la laisser partir avec un de mes chiens." Afin d'éviter que les animaleries "en règle" aient une mauvaise réputation, Mme Latreille estime que la SPCA devrait faire plus de vérifications dans les animaleries. "La dernière fois que j'ai vu la SPCA à mon commerce, c'est après un appel de quelqu'un qui pensait que mes chats en vitrine étaient maltraités. Ce que la SPCA a démenti après vérification. Depuis ce jour, personne n'est revenu me voir. Je n'ai rien à cacher, je suis prête à toutes inspections." http://monteregieweb.com/Ma_Vallee/main+fr+01_300+La_replique_d_une_animalerie.html?ArticleID=546035 On peut commenter/ Commentaires(0) La Humane Society accuse Petland d'être complice des usines à chiots Regardez la vidéo de la Humane Society http://www.hsus.org/pets/pets_related_news_and_events/petland_puppy_mill_112008.html Article: http://www.consumeraffairs.com/news04/2008/11/hsus_pet_stores02.html Élevage de chiots: Des propriétaires d'animaleries se défendent (Source: Radio-Canada) Des propriétaires affirment qu'il est possible de se procurer un chien en santé dans une animalerie. Des propriétaires d'animaleries affirment qu'il est possible de se procurer un chien en santé dans ce type d'établissement. Ces derniers réagissent ainsi à un reportage diffusé à l'émission Enquête qui démontrait que les chiens vendus dans les animaleries sont souvent élevés dans des conditions insalubres dans des usines à chiots. Le propriétaire de Aquarium Drummond soutient que les chiens qui se retrouvent dans son établissement proviennent de petits éleveurs qui ont une ou deux femelles seulement. André Boucher ajoute que la provenance de tous les chiots est également notée. Les vétérinaires et la Société protectrice des animaux de l'Estrie estiment pour leur part que la vigilance des consommateurs demeure le mot d'ordre pour éviter la prolifération d'élevages douteux. Des éleveurs mis à l'amende Ginette Léveillé, qui élève des chiens à Drummondville depuis 35 ans, s'est dite secouée par les images diffusées dans le cadre du reportage. « J'ai trouvé ça pitoyable de voir la façon que les animaux étaient gardés », indique la propriétaire de l'Élevage Gigi. Même si elle possède des installations très salubres, Mme Léveillé a reçu plusieurs constats d'infraction d'Anima-Québec. Elle les conteste tous. Selon elle, les inspecteurs ont émis ces constats en se basant davantage sur les critères sanitaires que sur le bien-être des animaux. Le propriétaire du Chenil des Voltigeurs, également à Drummondville, a pour sa part été condamné en février dernier pour avoir compromis la sécurité d'animaux dont il avait la garde. Il a refusé d'accorder une entrevue à notre journaliste. http://nouvelles.sympatico.msn.ca Un pas dans la bonne direction L'élevage de chiens est une activité répandue au Québec. Selon un reportage diffusé à l'émission Enquête, beaucoup de chiens, principalement des chiots destinés à la vente, sont élevés dans des conditions de délabrement et d'insalubrité qui contreviennent aux lois et règlements de la province. La Société pour la prévention de la cruauté envers les animaux (SPCA) de l'Outaouais recueille chaque année près de 10 000 chiens. La SPCA de la région réclame depuis longtemps la fermeture des usines à chiots et la réalisation de vraies inspections sur le terrain. « On a proposé une entente de service avec ANIMA-Québec, une espèce de projet-pilote qui peut-être va voir le jour en avril 2009. Il y a de bonnes chances que ça voit le jour. Moi, un de mes inspecteurs, j'en ai quatre, a suivi la formation d'ANIMA-Québec. On a payé ses frais de formation et il est prêt à appliquer la loi lorsque le gouvernement sera prêt à donner le ok », explique le directeur général de la SPCA en Outaouais, Yves Geoffrion. Ainsi, le patrouilleur formé par ANIMA-Québec pourrait bientôt obtenir le droit d'effectuer des inspections dans les animaleries et dans les usines à chiots dans la région. Par ailleurs, la SPCA estime qu'il faut modifier la Loi sur la protection sanitaire des animaux, puisqu'elle stipule en ce moment qu'un animal est un bien et n'a donc aucun droit. audio-vidéo Les explications de Gilles Taillon http://www1.radio-canada.ca/regions/ottawa/2008/11/22/001-spca-anima-quebec-inspections_n.shtml

/parlons-chiens-f9/association-d-eleveurs-ethiques-t16548.htm /parlons-chiens-f9/criteres-de-base-pour-un-eleveur-ethique-t16526.htm je crois qu'il y en avait un autre, mais je ne retrouve plus..

Zouzoune, vu que les mêmes questions reviennent sans cesse et que j'ai toujours l'impression qu'on repars au même point, je dirais que même les membres de LPD ne les lisent pas.. mais pour l'accès aux personnes extérieures je ne sais pas, mais il y a je crois quelques postes sur les questions à poser aux éleveurs qui sont en post it, donc si c'est accessible, les gens pourraient facilement lire. Je suis totalement dac avec donner des outils, je n'ai JAMAIS dit le contraire. et je suis totalement dac aussi avec donné les liens vers les clubs de race et le ckc.. je voulais juste souligner que ce n'était pas "tout", que sans outil et sans recherche de la part de l'acheteur, donner un lien vers un club de race ne donnait pas grand chose vu qu'il n'y avait pas de vérification de faite. Rien de plus. Autrement je ne suis toujorus pas daccord...pour moi c'est faisable de vérifier l'éthique d,un éleveur, questions en main. Pour moi, il y a des critères de base à lesquels se référer, très précis et en général plutot objectif et qui évitent totalement le "enregistré, chien champion mais produit à outrance et des chiens malades par dessus le marché"... ya aucun outil de miraculeux, mais je considère toujours que de faire connaitre quels sont les critères de l'élevage éthique et d'offrir des questions comme outil aux acheteurs est la meilleure chose à faire. Je ne sais pas si vous avez lu les autres postes ou ce fut discuté, mais on avait parlé aussi d'un sceau canin qualité ou éthique canin, quelque chose du genre comme dans le monde équestre et professionnel un peu partout ou on évalue les commerces, les centres équestres et leur donne un sceau d'excellence (et la pub qui va avec) lorsque c'est mérité. Ca serait une nouvelle référence pour le public et avec un bon questionnaire en main, même des clients mystères pourraient vérifier l'éthique d'éleveurs.. dans la dernière semaine, ce sujet a été discuté sur je crois trois postes différents..ça serait bien de tout lire pour avoir une vu d'ensemble. :43: C'est un sujet important surtout que suite au reportage, il y a plein de personnes qui vont "se chercher" et j'aime bien l'idée de les guider vers la bonne direction car si on ne le fait pas, quelqu'un d'autre le fera..